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Articles divers

"La disparition du racisme, comme c'est le cas chez les Musulmans, est une des réussites les plus marquantes de l'Islam et il y a dans le monde contemporain, une urgente nécessité à propager cette vertu islamique..."

A.J. Toynbee "Civilization on Trial", New York, 1948, p. 205.


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Pourquoi se gratte-t-on lorsque cela démange ?

Que se passe-t-il dans notre cerveau lorsque cela démange et que l'on se gratte ? Pour avoir un début de réponse, il suffit d'observer ce qui se passe dans le cerveau avec l'imagerie médicale.

Quelque chose démange : on se gratte et cela nous soulage. Pourquoi ce soulagement intervient-il ? Un dermatologiste spécialisé dans la démangeaison a observé ce mécanisme de près afin de tenter de développer de meilleurs traitements. 

En effet, pour certaines personnes, ce problème est une condition chronique qui a un impact direct sur la santé globale. L'étude s'est donc protée sur 13 participants en bonne santé. Les essais se faisaient sous observation à l'aide d'un scanner IRM (Imagerie par Résonance Magnétique). 
 


Cette technologie permet de voir les zones du cerveau qui s'activent. On grattait les participants sur le bas de jambes à l'aide d'une petite brosse pendant des intervalles de 30 secondes (et 30 secondes de pause entre chaque session). 

À la grande surprise des chercheurs, les zones du cerveau qui sont normalement associées avec les sentiments négatifs étaient bien moins actives lorsqu'on grattait. Il est possible que le fait de gratter supprime les composantes émotionnelles liées à la sensation de démangeaison et remplace cette dernière par un soulagement. 

Il s'agit de la première preuve expérimentale qui montre qu'une démangeaison serait inhibée par le fait de gratter. Bien entendu, gratter n'est pas recommandé car cela abîme la peau rapidement. 

Toutefois, comprendre au mieux le processus de soulagement permettra de développer de meilleurs traitements pour soulager efficacement les patients. Un des inconvénients de l'étude est qu'il n'y avait pas de démangeaison à la base de l'expérience. Il faut donc apprécier maintenant jusqu'à quel point on peut extrapoler pour les patients souffrants de démangeaisons récurrentes. 

Comprendre la démangeaison récurrente est important. Plus de 30 millions d'Américains souffrent d'eczéma par exemple. Certains patients souffrent tellement de démangeaisons qu'ils en perdent le sommeil : le risque de décès augmenterait alors significativement. 

Sources : ImaginascienceSciencedaily

 

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Contrôler son esprit pour affûter ses sens

Neurone miroir

 Avoir une vue de lynx ou l’ouïe fine d’un hibou, cela en ferait rêver plus d’un. Mais si les sens sont si développés chez certains animaux, c’est parce que leur anatomie le leur permet. Nous savons cependant qu’il est possible d’améliorer nos sens, comme on le constate par exemple chez les non voyants pour qui l’ouïe et le toucher sont nettement supérieurs à la normale. Et s’il était finalement possible, sans appareillage et sans artifice d’aiguiser nos sens par la seule force de notre esprit ?

Des chercheurs allemands de l’université de Ruhr à Bochum et de l’université de Ludwig-Maximilians à Munich ont étudié chez un groupe pratiquant la méditation, l’impact de la concentration mentale sur le sens du toucher. L’objectif était de déterminer si, grâce à notre capacité de plasticité cérébrale, on pouvait améliorer notre perception tactile suite à un entraînement mental particulier.

Les participants avaient tous une expérience de plusieurs années de méditation zen, pratique que l’on retrouve dans le bouddhisme. Pour l’expérience, ils ont effectué une retraite de trois jours dans un centre spirituel, Benediktushof, en Allemagne, accompagnés des chercheurs. Tous les jours et pendant huit heures, ils ont médité en silence selon la pratique zen qui consiste à ne pas se focaliser sur une pensée ou un élément de l’environnement, donc à laisser « passer » ses pensées.

Pendant deux heures par jour, les chercheurs ont demandé à la moitié des participants de se concentrer sur leur index droit pendant qu’ils méditaient et de prendre conscience des perceptions sensorielles qu’ils ressentaient spontanément dans cette partie du corps. Les six heures restantes ont été consacrées à la pratique zen classique.

Leur acuité tactile a ensuite été quantifiée grâce à un test classique de discrimination tactile. Les chercheurs ont mesuré la distance nécessaire entre deux stimuli tactiles pour qu’ils soient perçus comme deux points distincts (et non pas comme un seul point). Les résultats sont probants, les participants ayant médité deux heures par jour sur leur index droit ont vu leurs performances au test augmenter de 17%. En comparaison, les personnes ayant une déficience visuelle ont des résultats de 15 à 25% supérieurs par rapport à des personnes voyantes. Le groupe ayant médité pendant huit heures sans se focaliser sur leur index n’a vu aucune amélioration.

« Les résultats de notre étude remettent en cause ce que l’on sait à propos des mécanismes cérébraux. Notre concept de neuroplasticité doit être étendu, car l’activité mentale semble induire des effets d’apprentissage similaires à la stimulation active et à l’entraînement physique. » affirme Hubert Dinse, chef du laboratoire de neuroplasticité (Neural Plasticity Lab) à Bochum et co-auteur de l’étude.

La neuroplasticité, c’est la faculté de notre cerveau à s’adapter et à se restructurer en fonction de notre environnement. Depuis plusieurs années, des travaux ont déjà démontré que l’entraînement s’accompagne d’effets de plasticité dans notre cerveau. A présent de nouvelles études comme celle-ci vont encore plus loin et suggèrent que le mental, sans stimulation physique, peut à lui seul engendrer des changements de perception et donc de plasticité.
 
Source : Philipp S.T., Kalisch T., Wachtler T., Dinse H.R. Enhanced tactile acuity through mental states. Scientific Reports, 2015; 5: 13549 doi: 10.1038/srep13549

Chatouiller:pourquoi rit-on?

 

 

Parce que les chatouilles excitent nos glandes exocrines situés dans les parties du corps humain rarement sollicitées.

Ceci provoque un message nerveux électrique léger a l’intensité continue jusqu’au cortex sous-épinal, influant sur la production de sérotonine, responsable au niveau des capteurs nerveux cérébraux (neurones) d’une diminution de leur réactivité, ce qui provoque le rire. Le rire étant un message d’alerte du corps.

Selon Stearns (1972), sensation de picotement survient à la suite de la stimulation des récepteurs du toucher et de récepteurs de la douleur dans la peau. Cependant, bien que la médiation par le toucher, ne signifie pas que les zones les plus sensibles au toucher sont les zones les plus sensibles de divertissement.
Par exemple: la paume de la main est une zone très sensible au toucher, mais en général, les gens seront plus sentir des picotements dans les pieds que les mains. Plusieurs autres secteurs sont facilement amusé, entre autres, est la région de l''aisselle, le torse, le cou, les genoux, nombril, taille, etc.
Jusqu''à présent, n''arrive toujours pas à savoir pourquoi certaines zones du corps les plus sensibles à l''amusement par rapport aux autres régions du corps. En 1924, JC Grégoire a déclaré que la partie du corps les plus sensibles dans les zones d''attraction du corps est plus vulnérable aux attaques. Selon lui, le chatouillement il procurera des retombées à chaque individu de mieux protéger la zone.

Les réponses données à des stimuli est d''attractions très subjective, en fonction de l''expérience de chaque personne sehigga chaque personne a un niveau de sensibilité différente à ces stimuli. On sent un sentiment d''amusement est aussi fortement influencée par la perception du toucher dans le cerveau à des stimuli qui "aurait" générerait un sens de l''humour.
Par exemple: une personne qui a eu un grand amusement causé par le chatouillement dans sa zone de taille fournira une réponse immédiate sera amusé et rire quand chatouillée au même endroit, avant même le début chatouillait sa taille. La réponse apparaît comme un résultat de la perception excessive du cerveau aux stimuli qui sera donnée.
Quelqu''un qui rit quand chatouillait est influencée par des facteurs sociaux. Quelqu''un qui chatouillait rire quand on sait. Toutefois, si ce ne sont de ce fait par quelqu''un d''autre et tout à coup, alors la réponse obtenue n''est pas riant, mais pourrait être une réponse à arracher, pas comme même en colère.
Why Can''t We Feel le picotement vous êtes amusé?
Dans une étude du cerveau à l''University College de Londres ont montré qu''un petit cerveau (cervelet) font partie du cerveau qui est capable de prévenir la sensation de picotement, si nous nous chatouiller. Les actes du cervelet pour contrôler le mouvement du corps. Le cervelet est capable de distinguer entre les stimuli inattendus et imprévisibles.
Nous obtenons une touche de stimulus inattendu (par exemple, quand nous essayons de chatouiller le corps lui-même), nous sommes en mesure de savoir quelle partie du corps sera touché (chatouille) et petit cerveau permet de réprimer ces stimuli afin que le cerveau ne réagit pas à ces stimuli (pas semblé amusé).
Toutefois, lorsque le corps est chatouillé par d''autres, le corps ne peut pas prévoir quelle partie du corps d''être attaqué alors que le cervelet n''a pas été disposé à supprimer ces stimuli. En conséquence, le cerveau réagissent à des stimuli tels. L''existence de l''élément de «surprise» joue un rôle important dans la cause de cette sensation de picotement. Les différences dans les réactions aux stimuli inattendus et le stimulus inattendu est formé comme une réponse élaborée par le corps à se protéger. 

 

Pourquoi se chatouiller soi-même ne provoque-t-il aucune hilarité ?

Un fourmillement monte le long de votre corps et c'est tout à coup l'explosion... d'hilarité. Ces spasmes nerveux vous envahissent sans pouvoir vous arrêter ; à moins que le farceur chatouilleur arrête ses sévices. Le responsable de cette avalanche de rires suite aux chatouilles est le cortex somatosensoriel. Celui-ci est activé une fois que nous avons pris conscience de la sensation de chatouilles.

Oui mais alors pourquoi, lorsque nous nous infligeons ce supplice nous-même, nous restons de marbre ? Le cervelet, une autre région du cerveau, est l'auteur de ce trouble. Ce dernier est chargé d'estimer si nos sensations perçues sont issues de nos propres actions ou de celles d'autrui. Si nous nous auto-chatouillons, le cervelet va alors inhiber l'activité du cortex somatosensoriel et il n'y aura pas de rire.


 

 

Pourquoi bâiller est contagieux ?

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Ce n’est pas seulement l’action de bâiller qui est contagieuse, mais aussi le simple fait d'y penser. Probablement que plusieurs internautes étoufferont quelques bâillements en lisant la réponse qui suit...

On a longtemps cru qu’on bâillait pour alimenter notre cerveau en oxygène. Logiquement, si une personne manque d'oxygène dans une pièce, les autres personnes présentes dans la même pièce vont elles aussi manquer d'oxygène. Résultat : tout le monde bâille pour compenser ! Mais cette explication ne tient pas debout. Des expériences l'ont prouvé : on a fait respirer de l’oxygène pur à des cobayes… et ils continuaient tout de même à bâiller ! Qu'est-ce qu'on fait quand une théorie ne fonctionne plus ? On en cherche une autre !

Plusieurs chercheurs pensent donc maintenant que le bâillement sert à donner de l'énergie à notre cerveau. Avec tous leurs instruments sophistiqués, ils ont pu mesurer qu'après un bâillement, notre cerveau s'active plus qu'à l'habitude. Mais si le bâillement ne sert qu’à stimuler l’activité cérébrale, pourquoi se transmettrait-il d’une personne à l’autre ? Pour l’instant, on n’a pas de réponse précise. Seulement des hypothèses ! En voici une : le bâillement serait un moyen de synchroniser l’activité de plusieurs cerveaux appartenant aux individus d’un même groupe. Pour quoi faire ? Pense aux hommes préhistoriques. Ils devaient se regrouper pour chercher de la nourriture et affronter les prédateurs. Pas question de faire chacun sa petite affaire de son côté ! Mieux valait donc qu’ils se sentent énergiques au même moment. De là, peut-être, l'utilité du bâillement.

 

http://www.quebecscience.qc.ca/posetacolle/Pourquoi-lorsque-quelqun-baille-nous-avons-envie-de-bailler-aussi

 

 

  • e6un7

5 choses bizarres de votre corps enfin expliquées !

Bailler

 

Pleurer quand on bâille, entendre des battements de coeur dans l'oreille... Notre corps a parfois de drôles de réactions.


Pourquoi les yeux pleurent lorsque l'on baille ?

Parce qu'en même temps certains tuyaux lacrymaux se serrent ce qui entraîne un débordement des larmes vers la surface, selon Anne Sumers, ophtalmologue.
Pourquoi entend-on les battements du coeur battre dans nos oreilles lorsqu'on est allongé ?

Cette position permet aux oreilles de toucher les os du crâne. Du coup, les battements du coeur résonnent dans la cavité osseuse.
Pourquoi nos oreilles se mettent-elles à siffler en étouffant les autres bruits ?

"Lorsqu'une région du corps cesse d'envoyer des informations au cerveau, ce dernier réagit parfois en créant des sensations fantômes", explique Christopher Chang, ORL.
Pourquoi nous arrive-t-il de reprendre notre respiration sans être essoufflé ?

Humam Farah, spécialiste des maladies pulmonaires, explique que certaines personnes font de l'apnée centrale. "Ils leur arrivent de stopper net de respirer" et reprendre leur souffle.
Pourquoi a-t-on l'impression d'étouffer lorsqu'on mange sans boire ?

C'est ce qu'on appelle de la dysphagie. Lorsqu'on mange des aliments secs, ces derniers passent plus difficilement dans le tube digestif.

 

http://www.medisite.fr/a-la-une-5-choses-bizarres-de-votre-corps-enfin-expliquees.718955.2035.html

 

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