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Pourquoi le Coran reprend certains récits bibliques?

Le fait que des récits se trouvant dans le texte biblique soient aussi présents dans le texte coranique n'implique pas que le second soit un plagiat du premier : nous musulmans expliquons cette communauté de certains récits par deux raisons…

A) L'une est que le Coran a le même auteur qu'un certain nombre de passages de la Bible ; le texte de l'Ancien Testament a connu des retouches à cause de l'histoire difficile que connurent ses porteurs, mais il est des éléments s'y trouvant qui ont la même origine que le texte coranique : Dieu. Car il faut rappeler ici que Muhammad n'a jamais prétendu être le seul prophète de Dieu, mais bien le dernier prophète et messager de Dieu, dont le message présente, par rapport à ceux de Moïse et de Jésus notamment, ce qu'on peut appeler un "changement dans la continuité". L'origine commune explique la similitude de certains récits. Une nuance, toutefois : Youssef Seddik écrit : "Le Coran est la transcription, pour ainsi dire brute, d'une révélation qui fut faite à Muhammad le Mecquois entre 610 et 632. Les Ecritures saintes précédentes se contentent de "citer" Dieu" (Le Nouvel Observateur, n° 2042-2043, 24 décembre 2003-7 janvier 2004, p. 78). En effet, la forme qu'a prise ce qu'on nomme l'Ancien Testament est telle que si un certain nombre de passages de cet Ancien Testament contiennent d'authentiques révélations divines faites à des prophètes antérieurs, ces révélations sont insérées dans la narration de la vie de ces prophètes. Les quatre Evangiles constituent quant à eux des "biographies religieuses" de Jésus, où sont relatés sa mission, ses actes et ses propos. Youssef Seddik poursuit : "Le texte du Coran, lui, est "à la première personne" : c'est Dieu qui parle de bout en bout" (Ibid.).

B) L'autre raison expliquant la communauté de certains récits entre le texte coranique et certains écrits judéo-chrétiens non prophétiques est que parfois Dieu a, dans Sa Parole qu'est le Coran, relaté des événements historiques auparavant rapportés par des hommes non-prophètes. C'est le cas par exemple du récit des Sept Dormants : l'événement que ce récit mentionne s'est déroulé postérieurement à l'époque de Jésus comme de celle de ses Apôtres, et de ce fait ne figure pas dans le texte biblique (ni les Evangiles ni les Actes des Apôtres ni les Epîtres de l'un ou de l'autre) ; par contre il était présent dans la tradition syriaque chrétienne (et notamment dans deux homélies de Jacques de Saroug, mort en 521 de l'ère chrétienne) avant d'avoir été relaté et donc confirmé par Dieu, dans Sa Parole qu'est le Coran, à un moment compris – dans le calendrier d'humains – entre l'an 610 et l'an 632 de l'ère chrétienne (c'est la période des vingt-trois années où eut lieu la révélation du Coran à Muhammad). L'historicité de l'événement explique qu'il ait été relaté par des hommes, et aussi par Dieu lors de Sa dernière révélation, le Coran (récit des "Gens de la Caverne", Coran 18/9-26) : Dieu n'a fait que confirmer un événement que des hommes non prophètes avaient relaté avant qu'Il n'en parle dans une Révélation.

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Ensuite il faut savoir qu'à côté des similitudes entre texte biblique et texte coranique à propos de certains récits, il existe aussi entre eux trois différences majeures à ce propos…

1) Première différence entre la Bible et le Coran :

A côté des récits présents dans la Bible aussi, le Coran contient d'autres récits qui ne figurent absolument pas dans le texte biblique. Ainsi, les histoires de 'Ad, de Thamûd, de Madian avec leur prophète respectif – Hûd, Sâlih et Shu'ayb – ne figurent pas dans le texte biblique, alors qu'ils sont développés dans le Coran (cf. Al-Jawâb us-sahîh 1/180).

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2) Seconde différence :

Il arrive que, pour un même récit, texte coranique et texte biblique présentent de sérieuses divergences. Au regard des musulmans, la raison en est la présence d'erreurs humaines dans la retransmission d'une parole divine antérieure, ou dans la relation d'un événement historique antérieur (pour plus de détails, lire notre article à ce propos). Maurice Bucaille écrit ainsi : "(…) Dans les pays occidentaux, juifs, chrétiens et athées s'accordent unanimement pour avancer (sans d'ailleurs la moindre preuve) que Mahomet a écrit ou fait écrire le Coran en imitant la Bible. On avance que des récits coraniques reprennent les récits bibliques. Cette prise de position est aussi légère que celle qui amènerait à dire que Jésus aurait lui aussi trompé ses contemporains pour s'être inspiré de l'Ancien Testament au cours de sa prédication : tout l'Evangile de Matthieu est – on l'a vu – fondé sur cette continuité avec l'Ancien Testament. Quel exégète aurait l'idée d'enlever à Jésus son caractère d'envoyé de Dieu pour ce motif ? C'est bien ainsi, pourtant, qu'en Occident le plus souvent on juge Mahomet : il n'a fait que copier la Bible. Jugement sommaire qui ne tient aucun compte du fait que, sur un même événement, Coran et Bible peuvent donner des versions différentes. On préfère passer sous silence la divergence des récits. On les déclare identiques et ainsi les connaissances scientifiques n'ont pas à intervenir. Ces questions seront développées à propos des récits de la création et du déluge" (La Bible, le Coran et la science, Seghers, Paris, p. 126).

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2.1) Il est des points où le Coran se démarque explicitement d'éléments présents dans le texte biblique : ainsi, le Coran affirme que Adam et Eve mangèrent ensemble le fruit interdit, demandèrent ensemble pardon à Dieu et reçurent ensemble le pardon de Dieu : ce disant, il semble se démarquer de l'idée que ce soit Eve qui ait montré la voie du péché à Adam et que Adam se soit plaint à Dieu de son épouse comme étant l'instigatrice de la faute ; ainsi encore, le Coran se démarque explicitement de l'idée que Jacob, entendant le récit que Joseph, son fils, lui fait de son songe, l'ait grondé ; le Coran affirme clairement que la main de Moïse est devenue blanche sans aucune maladie (allusion au fait qu'elle ne devenait pas "lépreuse", comme le dit le texte biblique) ; le Coran déclare avec force que Salomon n'a jamais adoré des idoles, etc. ; de même, le Coran donne comme nom au père de Abraham : "Azar", et non "Térah" ; pareillement, le Coran parle du roi d'Egypte de l'époque de Moïse en disant "Pharaon", mais désigne celui de l'époque de Joseph par un simple "le roi" (nous allons y revenir plus bas)...

2.2) Il est d'autres points à propos desquels le Coran ne confirme ni n'infirme les éléments du texte biblique : le Coran n'affirme par exemple pas que le Déluge de l'époque de Noé ait été universel, comme il n'affirme pas non plus qu'il ait été localisé ; en fait il ne dit rien de son ampleur ; le Coran ne donne non plus aucun chiffre concernant la communauté israélite qui émigre d'Egypte sous la conduite de Moïse ...

2.3) Enfin, il est des éléments que l'on trouve dans le Coran alors qu'ils sont inconnus de la tradition judéo-chrétienne (ils sont absents aussi bien du texte biblique que des autres écrits) : ainsi en est-il de la présence d'un "Haman", responsable de constructions, dans l'entourage de Pharaon, du sauvetage du corps de Pharaon après sa mort dans les flots (Coran 10/92), de la demande faite par les apôtres à Jésus de prier Dieu qu'Il fasse descendre une table garnie (Coran 5/112-115 ; voir commentaire de H. Boubakeur, tome 1 pp. 332 et 395).

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3) Troisième différence :

Dans le Coran, les détails des récits et la narration linéaire sont souvent estompés, au profit d'allusions et de réminiscences qui mettent en exergue l'objectif premier du récit : la leçon spirituelle, morale et humaine à en retirer. Youssef Seddik écrit : "Faisant preuve d'une profonde connaissance de la matière biblique, il [le Coran] en récapitule l'héritage, du récit adamique jusqu'à l'ascension de Jésus et la prédication de Jean-Baptiste, en passant par le Déluge, l'Exode, le règne de David et de Salomon, les vicissitudes de Job et Jonas… Mais il abandonne la narration factuelle, si frappante dans les deux Testaments, au profit d'un ton métaphorique visant à délivrer une leçon d'humanité. Les péripéties historiques s'estompent, le récit coranique se fait parabole" (Le Nouvel Observateur, n° 2042-2043, p. 78). Je me suis ici contenté de reproduire ces explications de Y. Seddik, tout en sachant qu'il est certains points – qui n'ont rien à voir directement avec le sujet en cours – où il ne partage pas vraiment la vision islamique orthodoxe à propos du Coran.

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Un point, simple, qui prouve que l'auteur du Coran n'est pas le prophète Muhammad :

La Bible emploie le mot "pharaon" pour désigner non seulement le souverain d'Egypte de l'époque de Moïse mais aussi celui de l'époque de Joseph (Genèse 47/11) et même celle de Abraham (Genèse 12/15-20).

Or, alors qu'il emploie bien ce nom "pharaon" à propos du souverain d'Egypte de l'époque de Moïse, et ce en plus de 74 fois (cf. Al-Mu'jam ul-muhah'ras li alfâz il-qur'ân il-karîm), le Coran n'emploie jamais le nom "pharaon" pour désigner le souverain d'Egypte de l'époque de Joseph : à son sujet il utilise le terme "roi", et ce aux cinq occasions où il fait allusion à lui (12/43, 12/50, 12/54, 12/72, 12/76), et bien qu'il dise explicitement que cette partie du récit de Joseph se déroule en Egypte (12/21, 12/99).

Maurice Bucaille écrit : "(…) les études linguistiques modernes ont montré que le mot "pharaon" a commencé par désigner "la grande maison", la demeure du roi de l'Ancien Empire, vers 2400 avant J.-C., mais son emploi pour désigner la personne même du souverain n'est attesté dans les textes qu'à partir de l'époque amarnienne, vers 1370 avant J.-C (J. Vercoutter)" (Moïse et Pharaon, Seghers, p. 73). "Le roi d'Egypte n'a été désigné par le vocable "Pharaon" qu'à partir du roi Aménophis IV, c'est-à-dire au deuxième quart du XIVè siècle avant J.-C. Toute utilisation du mot pour désigner un roi d'Egypte avant cette époque est un anachronisme (…)" (p. 298), anachronisme "qui serait comparable à l'erreur que commettrait, par exemple, un historien du futur – connaissant l'usage courant que l'on fait du mot "Elysée" pour désigner le chef de l'Etat – en appliquant ce mot pour nommer le roi de France il y a plusieurs siècles" (p. 73).

Si le Coran était un plagiat de la Bible, et si Muhammad, un arabe illettré du VIIè siècle de l'ère chrétienne, était son auteur – comme certains l'affirment – et non son récepteur-retransmetteur – comme le dit la croyance des musulmans –, alors comment expliquer que cet homme ait pu savoir que, pour désigner soixante-quatorze fois le souverain d'Egypte de l'époque de Moïse, il fallait bien recopier du texte biblique le terme "Pharaon", alors que, pour décrire cinq fois le souverain d'Egypte du temps de Joseph, il était impératif de délaisser ce même terme, ayant pourtant été ici aussi employé dans le texte biblique, et lui préférer le mot "roi".

Bucaille écrit : "Je signale qu'à l'époque de la communication aux hommes du Coran, la langue égyptienne ancienne était disparue depuis plus de deux siècles de la mémoire humaine [cf. p. 252] ; elle en restera effacée jusque dans le cours du XIXè siècle. On ne pouvait par conséquent pas alors savoir qu'un roi d'Egypte de l'époque de Joseph devait être désigné autrement que dans la Bible. Subtilité du choix des expressions, à ce sujet, du texte du Coran, qui suscite la réflexion" (Moïse et Pharaon, p. 298).

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Un mot pour conclure :

On peut, en un mot, dire que le récit coranique renvoie au récit biblique – dont il confirme des passages, parce qu'ils sont d'origine divine et/ou de relation humaine authentique – et, tout à la fois, se démarque de lui.

Le Coran renvoie au récit biblique dans la mesure où une partie de celui-ci relate des vérités historiques – que l'auteur du passage soit Dieu ou des chroniqueurs humains – et qu'il s'agit de se référer à cette partie du texte biblique si on désire obtenir le détail de ce à quoi le Coran ne fait (comme l'a fait remarquer Y. Seddik) qu'allusion. Tout musulman qui a un tant soit peu étudié les ouvrages de commentaires du Coran (tafsîr) le dira : comprendre certains éléments du texte coranique mentionnés sans détail ni explication (comme par exemple l'identité de Gog et Magog) se fait par référence à des éléments présents dans des écrits judéo-chrétiens (désignés par les Commentateurs du Coran sous le nom général de "isrâ'îliyyât"), qu'il s'agisse de passages du texte biblique, ou d'autres traditions (haggada, homélies...). (Soit dit en passant que parfois, dans le cas des récits coraniques qui renvoient à des événements propres à la péninsule arabique, il s'agit de se référer à des traditions arabes préislamiques, pour les mêmes raisons : ainsi en est-il du récit de l'installation de Ismaël à la Mecque.) Il est à noter que si le Coran renvoie à des passages de textes bibliques, et s'il s'agit parfois de textes jugés "canoniques" par les autorités religieuses, il s'agit aussi, d'autres fois, de textes qu'elles ont décrétés "apocryphes" : ainsi, l'allusion coranique au tirage au sort par lancer de calame pour désigner à qui devait revenir la garde de Marie encore enfant (Coran 3/44) renvoie à un texte chrétien "apocryphe" (Yussuf Ali) ; l'allusion au miracle de l'oiseau de glaise réalisé par Jésus (3/49, 5/110) renvoie à l'Evangile de l'Enfance (Hamidullah), également "apocryphe"...

Mais parallèlement à tout cela, le Coran se différencie du texte biblique, et ce non pas seulement parce que parfois il contredit formellement certains détails de son récit (comme nous l'avons vu plus haut) mais aussi dans la mesure où les détails bibliques que lui, le Coran, ne contredit ni ne confirme, ne l'engagent pas : dès lors, quand on s'aperçoit, à la suite de recherches scientifiques, que certains de ces détails (comme la période depuis laquelle des humains habitent la terre, l'ampleur du Déluge, le nombre des israélites ayant quitté l'Egypte avec Moïse, la façon dont ils se sont installés en Canaan, etc.) sont erronés, lui n'est pas impliqué.

Tout ceci concerne, rappelons-le, les rapports entre les récits coraniques et bibliques. Car pour ce qui est des croyances et des règles, le musulman ne se réfère qu'au Coran (lire à ce sujet le point 3 de notre article à propos de la Bible).

http://www.maison-islam.com/articles/?p=419

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Les principales leçons coraniques

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Dieu le Miséricordieux

Notre Dieu est un Dieu Unique ! Il n'y a de Dieu que Lui : Celui qui fait miséricorde, le Miséricordieux"

(Sourate Al-Baqarah, II, 163)


           Allâh, le Créateur de l'Univers, est Un et Unique. Il n'a pas d'associé dans la création et l'administration de l'Univers.

           Nous voyons que le mécanisme de la création est en action et en ordre parfait, et qu'il ne présenta nulle aucun chaos ni aucun désordre. Ayant en vue cet ordre et cet arrangement, nous pouvons très bien réaliser qu'il y a seulement Un Etre Omnipotent et Omniscient qui contrôle la totalité de ce mécanisme. C'est Lui que nous appelons Dieu ou Allâh.

           Tous les Prophètes envoyés par Lui dans ce monde, nous ont appris qu'Il est Un et Unique.

           Nous Musulmans, croyons que tous les êtres humains sont les serviteurs d'Allâh et que toute chose est créée par Lui. Nous adorons seulement cet Un et Unique Allâh.

La véracité

           "Craignez Dieu ! Parlez avec droiture afin qu'Il réforme votre conduite..."

(Sourate Al-Ahzab, XXIII, 70)

           La véracité est l'une des bases fondamentales de l'établissement de relations sociales mutuelles. C'est pourquoi, l'Islam a attaché une grande importance à la véracité, considérée comme une valeur morale ; le Coran la mentionne en diverses occasions. Les gens ont confiance en l'homme qui parle avec droiture et véracité. Ils le tiennent en haute estime et admettent comme vrai tout mot qu'il prononce.

           En revanche, si l'homme dit des mensonges, des sottises et des extravagances, il perd tout crédit aux yeux des gens ; et le Tout-Puissant Allâh est aussi mécontent de lui.

           Si nous parlons toujours sagement et que nous sommes véridiques, Allâh nous aide à faire des choses bonnes et bénéfiques, et à mener une vie prospère. Nous devrions nous rappeler toujours que la véracité est la base de la dignité et de l'honneur de l'homme.

Allâh - Le bon

           "Dieu est très bon et très généreux envers Ses créatures"

(Sourate Al-Baqarah, II, 217)

           Allâh que nous adorons est juste. Il est bon envers toutes Ses créatures, et Il n'est injuste envers personne. Il récompense ceux qui accomplissent de bonnes actions. En revanche, ceux qui commettent de mauvaises actions doivent recevoir la punition appropriée.

           Allâh aime Ses créatures. Il les aide et les guide dans le droit chemin par l'intermédiaire des Prophètes.

           Allâh veut que tous les êtres humains fassent de bons actes afin qu'ils mènent une vie heureuse et prospère. Il veut aussi que ceux qui commettent de mauvais actes, dus à leur ignorance, puissent renoncer à leurs voies inconvenables, se repentir sincèrement de leurs pêchés et commencer à accomplir de bons actes.

           Allâh veut la bonté et le bonheur pour tout le monde, et Il est très bon envers tout le monde.

L'effort et le succès

           "L'homme ne possèdera que ce qu'il aura acquis pas ses efforts"

(Sourate Al-Najm, LIII, 39)

           Il n'y a pas de doute concernant le fait que l'homme ne peut réaliser aucun progrès sans effort ni travail dur. Par exemple, quelqu'un qui étudie de tout son cœur devient savant. De la même façon, le fermier qui laboure la ferme, y sème les graines et l'irrigue, est rapidement récompensé par la récolte. En revanche, celui qui est paresseux, indolent et ne faisant rien, est en butte à des malheurs et des ennuis. L'indolence et l'irresponsabilité produisent pauvreté et chagrin ; c'est ce que l'Islam déteste beaucoup. L'Islam considère le travail dur comme un devoir.

           Le Noble Prophète (P) insistait sur le travail dur. On raconte qu'il a dit : "Celui qui travaille est l'ami d'Allâh, et celui qui ne travaille pas, Allâh le considère comme un ennemi".

           L'Imam Ja'far Al-Çâdiq (P), notre sixième Imam, lui aussi, a attiré l'intention des gens sur les avantages du travail dur. Il a dit : "Allâh n'aime pas ceux qui dorment beaucoup et qui ne travaillent pas".

La tyrannie est condamnée

           "Celui qui est chargé d'inquiété sera malheureux"

(Sourate Tâhâ, XX, 111
           Dans le verset ci-dessus, le Tout-Puissant Allâh nous met en garde contre les malfaiteurs et déclare toute mauvaise action comme illégale. Celui qui fait mal à une autre personne, se moque d'elle, médit d'elle en son abscence ou l'accuse faussement, est un malfaiteur.

           Ceux qui enfreignent les droits des autres, leur nuisent ou usurpent leurs effets, sont des gens méchants.

           Si nous ne nous soucions pas de nos parents, si nous les embêtons et désobéissons à leurs ordres, nous sommes coupables de mauvaise action à leur égard. Nous commettons de mauvaises actions si nous nous moquons de nos frères et sœurs, ou si nous nous conduisons mal avec nos copains.

           Il ne faut pas que nous oubliions que le Tout-Puissant Allâh n'aime pas les malfaiteurs.

L'encouragement mutuel

           "Encouragez-vous mutuellement à la piété et à la crainte révérencielle de Dieu"

(Sourate Al-Mâ'idah, V, 2)

           Tout être humain a besoin de coopération des autres pour mener une vie plaisante et confortable. L'homme ne peut jamais connaître le bonheur en restant à l'écart des autres. A vrai dire, la coopération entre les gens en ce qui concerne les bonnes actions, garantit le progrès de la société humaine.

           L'Islam aussi désire que les gens puissent coopérer entre eux en accomplissant de bonnes actions, telles que l'aide aux nécessiteux, la construction d'écoles et d'hopitaux... etc.

           L'Islam a insisté auprès des Musulmans, dans des termes très fermes, pour qu'ils coopèrent entre eux. Il souhaite aussi qu'ils aident ceux qui se trouvent en difficulté. Pour cela, chacun de nous devrait s'efforcer de connaître les besoins et les difficultés des autres et de les résoudre autant que possible.

L'adoration et la bonne conduite

           "Ton Seigneur a décrété que vous n'adoriez que Lui. Il a prescrit la bonté à l'égard de vos père et mère..."

(Sourate Al-Isrâ', XVII, 23)
           Allâh nous a créés et il nous a octroyé d'innombrables dons afin que nous puissions mener une vie heureuse et paisible. C'est pourquoi, il est de notre devoir de Le remercier de L'adorer.

           Dans le Noble Coran, l'obéissance aux parents est mentionnée à plusieurs reprises et au même titre que l'obéissance à Allâh ; et dans certains cas, elle est mentionnée comme étant la première recommandation aux fils d'Adam.

           Nos parents nous ont accordé beaucoup de faveurs. Ils ont enduré beaucoup de difficultés pour nous élever. C'est pourquoi, il est nécessaire pour nous, d'apprécier le bien qu'ils nous on fait. Nous devons obéir à leurs ordres. Nous devrions faire de notre mieux pour les récompenser de leur bonté, afin que le Tout-Puissant Allâh soit bon avec nous.

           L'Islam a beaucoup insisté sur le bon traitement que l'on doit réserver au parents. Dieu est satisfait de ceux qui rendent leurs parents heureux ; et on suscite Sa colère si on les ennuie.

La récompense du bien

           "La récompense de Dieu est-elle autre chose que le bien"

(Sourate Al-Rahmân, LV, 60)

           Si vous passez le long d'une montagne et que vous dites quelque chose à haute voix, vous entendrez votre propre voix une deuxième fois après un moement. Elle fera écho à elle-même ou elle résonnera. Vous entendrez une feuxièle fois exactement ce que vous acez dit. Par exemple, si vous avez dit à haute voix "bien" l'écho en sera "bien" ; mais si vous avez crié "mal", vous entendrez une seconde fois le mot "mal".

           La même chose se produit avec nos actions. Si quelqu'un aise son semblable, les autres les aideront et les honoreront. Dieu aussi est satisfait d'une telle personne et Il la comble de plus de bienfaits. Toutefois, si l'homme commet de mauvaises actions et nuit aux autres, il perd tous les sympathisants, et personnes ne reviendra l'aider lorsqu'il se trouve en difficulté.

           Le Tout-Puissant Allâh dit : Quiconque fait le bien en verra le résultat, et quiconque fait le mal, en verra aussi le résultat".

Ne ridiculisez pas les autres

           "Que certains d'entre vous ne se moquent pas des autres ; ils se pourraient que ceux-ci fussent meilleurs que ceux-là"

(Sourate Al-Hujurâte, XLIX, 11)
           Certaines personnes se moquent des autres et les humilient devant leurs semblables. Les gens qui disent du mal des autres sont normalement ceux dont l'éducation et l'instruction ne sont pas à la hauteur, et qui n'ont pas appris les manières sociales correctes. Ils ne sont peut-être pas prévenus que les êtres humains sont égaux et que personne n'a le droit d'humilier un autre ni de lui nuire. Ils oublient aussi qu'il est tout à fait possible que ceux qu'ils ridiculisent, puissent être, en réalité, meilleurs qu'eux-mêmes, en raison de leurs bonnes qualités.

           Il est du devoir de chaque Musulman de respecter les autres. S'il remarque tout défaut dans le corps, les vêtements ou la maison d'un autre, il ne devrait pas rire de lui ni le ridiculiser.

L'assistance divine

           "La miséricorde de Dieu est proche de veux qui font le bien"

(Sourate Al-A'râf, VII, 67
           Dieu est Bon envers toutes Ses créatures, et Il commande aux être humains d'être bons et bienveillants. Il désire que chacun de nous traite autrui avec affection et bienveillance, et que nous nous montrions fraternels et généreux envers ceux qui ont besoin de nous.

           Quiconque accomplit les actes suivants est censé être bonne personne :
           - aider les nécessiteux
           - aider une personne perdue à retrouver son chemin
           - traiter l'ophelin avec compassion
           - écarter une pierre se trouvant sur son passage
           - aider l'aveugle à traverser la rue
           - nourrir les animaux et les oiseaux, et leur donner un abri confortable.

           Allâh aime ceux qui accomplissent de bonnes actions et aident les autres. Il augmente leur récompense proportionnellement aux services qu'ils ont rendus aux autres.

Nous devons être miséridordieux

           "Pratique le pardon ; ordonne le bien ; écarte-toi des ignorants"

(Sourate Al-Arâf, VII, 199)

Nous tirons trois leçons importantes de ce verset. La première est que si quelqu'un nous contrarie, nous devons lui pardonner. Si nous agissons de la sorte, il sera naturellement désolé et honteux de nous avoir maltraité et ne répétera plus la sottise. D'ailleurs, Allâh aussi sera satisfait de nous pour avoir pardonné.

           La deuxième leçon que ce verset nous apprend est que nous devons demander aux autres de faire de bonnes actions. Par exemple, si l'un de nos amis s'enfonce dans l'habitude de dire des mensonges, notre devoir est de lui demander de renoncer à cette mauvaise habitude et à dire toujours la vérité.

           Si nous nous éclairons les uns les autres sur le bien et le mal, et si nous prescrivons la bonté et admonestions les pécheurs pour leurs mauvaises actions, il sera possible de réformer la société et d'en extirper les péchés et les crimes.

           La troisième leçon que nous tirons de ce verset, c'est notre de soustraire la société aux gens ignorants. Cela est nécessaire parce qu'un homme mauvais laisse une certaine influence sur les habitudes de ses amis, ce qui entrave leurs propres avancement et éducation.

Nous devons être amicaux

           "Vivez fraternellement et en paix entre vous"

(Sourate Al-Anfâl, VIII, 1
L'Islam est la religion de la paix, de l'amitié et de la fraternité. Il considère tous les Musulmans comme égaux, et des frères les uns des autres. Il leur ordonne de s'aimer les uns les autres et d'être fraternel et bons.

           Il arrive souvent que deux personnes s'asseoient ensemble et jouent entre elles. Plus souvent le jeu prend une tournure très sérieuse et elles commencent à échanger des mots blessants et à se quereller. C'est là une très mauvaise habitude qui rappelle les Arabes de l'Epoque de l'Ignorance, lesquels se querellaient pour des banalités et déclenchaient par la suite des hostilités tribales qui duraient des années.

           Chaque fois qu'une discussion semble prendre une mauvaise tournure, il vaut mieux tout simplement y mettre fin, d'une façon raisonnable. Ainsi, s'il arrive que deux personnes commencent à échanger des mots blessants, le devoir de ceux qui en sont les témoins, est d'intervenir et de ramener la paix entre elles. En tant que vrais Musulmans, nous devons avoir l'esprit calme et être justes les uns envers les autres.

Nous ne devons pas être égoïstes

           "Et sois bienfaisant comme Allâh t'a été bienfaisant"

(Sourate Al-Qasas, XXVIII, 77)

           Le devoir de tous ceux qu'Allâh a favorisés de richesse et de prospérité est de ne pas penser seulement à leur propre bien-être. Au contraire, ils doivent aider les autres et essayer de les soustraire à la détresse. Par exemple, le devoir de tout homme instruit est de ne pas être mesquin lorsqu'il s'agit de communiquer son savoir aux autres. De même, l'homme riche doit aider les nécessiteux. Il ne doit pas oublier que la richesse ne restera pas éternellement dans mains d'une personne ou d'une famille.

           Le Noble Prophète a dit :

           "Celui qui ne s'intéresse pas aux affaires des Musulmans n'est pas Musulman, non plus, celui qui entend un Musulman appeler à l'aide, sans répondre à son appel".

           La récompense spirituelle qu'Allâh a fixée pour l'aide au frère de foi est si précieuse qu'une récompense similaire n'est promise que pour très peu d'autres actes.

Nous devons éviter les activités insensées

           "Oui, ils sont gagnants les croyants, qui sont humbles dans leurs prières, qui évitent les propos vains.

(Sourate Al-Mu'minoun, XXIII, 3)
           Ce verset montre que s'abstenir des activités insensées est l'un des signes de ceux qui croient en Allâh.

           Il y a des gens qui, lorsqu'ils s'asseoient ensemble, ont l'habitude de se laisser aller dans des bavardages banals et d'y prendre plaisir. C'est là une grande sottise.

           Certaines personnes cassent les branches des arbres sans raison. Parfois, elles tourmentent les oiseaux ou les animaux, ou bien, elles font du mal aux autres par de mauvaises paroles et de mauvaises actions. On appelle cela des actes absurde qu'il faut éviter.
           Toutes ces habitudes et actions qui conduisent l'homme à négliger Allâh et Ses commandements sont absurdes également. Nous devons nous abstenir de telles habitudes et éviter de perdre notre temps précieux.

           Nous ne devons pas nous lier d'amitié avec des gens qui aiment les choses insensées, ni avoir d'estime pour eux.

Nous devons bien garder le fidéicommis

           "Oui, ils sont gagnants les croyants [...] qui respectent les dépôts qui leur sont confiés ainsi que leurs engagements"

(Sourate Al-Mu'minoun, XXIII, 8)
           Le verset ci-dessus montre que l'un des signes de ceux qui croient en Allâh réside en ceci que si l'on leur confie n'importe quel bien, ils en prennent soin, et que s'ils font une promesse, ils la tiennent. Par exemple, si une personne laisse chez nous son livre ou toute autre chose, notre devoir est de le conserver proprement. Nous ne devons pas permettre qu'il subisse conserver des dégâts ni qu'il soit volé à cause d'une négligence de notre part ; et nous devons le rendre en bon état à son propriétaire.

           De même, si le facteur nous délivre par erreur une lettre appartenant à quelqu'un d'autre, il faut la conserver comme un fidéicommis. Notre devoir moral est donc de ne pas l'ouvrir ne de la lire. Bien plus, nous devons la passer telle quelle, à l'adresse indiquée aussi tôt que possible.

           Si l'un de nos amis fait une confidence et que nous lui promettons de garder son secret pour nous_mêmes, nous devons tenir notre promesse.

Nous devons pratiquer ce que nous prêchons

           "Commandez-vous aux hommes la bonté, alors que, vous-mêmes, vous l'oubliez ?"

(Sourate Al-Baqara, II, 44)
           Il y a des gens qui aiment beaucoup donner des conseils auc autres. Ils leur disent d'aider le pauvre, d'observer la propreté, de dire la vérité, d'être bons et gentils et de faire d'autres bonnes actions. Toutefois, lorsqu'ils se trouvent eux-mêmes dans des sistuations similaires à celles dans lesquelles se trouvaient ces autres, leur moralité subit un changement et ils se compromettent dans le péché. Le Noble Coran demande impérativement à de tels hommes de ne pas se contenter de donner des conseils aux autres, mais de faire de bonnes actions et de s'abstenir de mauvaises actions eux-mêmes.

           On avait bien dit que la droiture et l'honnêteté sont comme la bonne écriture et qu'elles s'apprennent seulement par la pratique.

Nous devons tenir nos promesses

           "Tenez vos engagements, car les hommes seront interrogés sur leurs engagements"

(Sourate Al-Asrâ, XVII, 34)
           Si l'un de vos amis vous promet de fournir un livre pour préparer votre examen qui aura lieu la semaine prochaine, mais oublie de vous l'apporter, vous serez naturellement ennuyé.

           L'exemple ci-dessus nous montre clairement combien il est important de tenir une promesse. Il est donc nécessaire de respecter une promesse que nous faisons à quelqu'un.

           Il arrive parfois que les gens fassent des promesses sans y réfléchir dûment, mais que plus tard, ils réalisent qu'ils ne sont pas en mesure de les tenir. C'est là la pire des insouciances, car un tel agissement cause des ennuis aux deux parties concernées. C'est pourquoi nous devons réfléchir avant de promettre. Cependant, lorsuqe nous aurons fait une promesse, notre devoir moral et religieux sera de la tenir.

           Les gens qui tiennent leurs promesses cultivent en eux-mêmes les qualités de l'honnêteté et de la ponctualité et mènent une vie réussie. Ils sont respectés par leurs camarades, et Allâh aussi est satisfait d'eux.

Nous ne devons dire rien de mal

           "Ne fouinez pas dans les affaires des autres, et ne médisez jamais des autres dans leur dos"

(Sourate Al-Hujurât, XLIX, 12)

           Ce verset contient deux commandements d'Allâh, qui visent deux grands maux sociaux.

           Le premier commandement nous enjoint de ne pas regarder indiscrètement les affaires des autres sans une raison valable. Certains individus ont la mauvaise habitude d'essayer de connaître les affaire privées des autres. Par exemple, ils brûlent d'envie de savoir quelque chose sur la richesse des autres ou sur les conversations qu'ils ont eues avec d'autres personnes. Ce sont là de mauvaises habitudes, et Allâh interdit de nous y abandonner.

           L'autre commandement qui nous est donné dans ce verset nous impose de ne pas dire de mal dans le dos des autres. Certains individus ont la mauvaise habitude de la médisance. Ils cherchent les défauts des autres en leur absence. C'est là un grand pêché commis habituellement par des gens qui ont les mauvaises qualités que sont la jalousie et lhostilité envers les autres hommes. Ils humilient ces hommes, dans la société, alors que ceux-ci ne connaissent pas leur tort et ne peuvent par consquent se défendre.

Nous ne devons pas commettre de pêché

           "Si vous évitez les grands pêchés qu'on vous a interdits, Nous tiendrons pour expiés vos méfaits (petits pêchés) et vous admettrons à une place d'honneur"

(Sourate Al-Nissâ, IV, 31)

           Si nous choisissons un endroit convenable et que nous y construisons un bâtiment édifié sur une fondation solide, celui-ci résistera aux inondations, aux tempêtes et à d'autres dangers.

           Si nous portons des vêtement épais pendant l'hiver, nous serons capables de résister au froid dans une large mesure.

           Si un pays possède une armée puissante, très bien entraînée et convenablement équipée, il pourra faire face aux troubles et aux attaques extérieures.
           De la même façon, si quelqu'un possède une fois parfaite en Allâh, il sera sauvé de tous les pêchés et méfaits, et capable de faire face à presuqe n'importe quelle épreuve avec courage. Il ne dira pas de mensonges. Il ne trahira pas des amis et ne nuira à personne. Il sera respecté par ses camarades et bénis par Allâh.

Le meilleur usage des bienfaits

           "Ne lui avons-nous pas donné deux yeux, une langue et deux lèvres ?"

(Sourate Al-Balad, XC, 8-9)
           L'un des meilleurs moyens de connaître quelque chose d'Allâh est de réfléchir sur la structure de notre corps. Cela nous permet de nous rendre compte de la Puissance du Créateur et de Le remercier. La personne qui établit sa propre identité réalise par la même la Toute-Puissance d'Allâh.

           Dans le verset ci-dessus, Allâh nous rappelle qu'il faut penser attentivement à la manière dont Il nous a pourvus de deux yeux afin qu'ils nous servent à voir. Ces yeux sont munis de beux cils, et bien qu'ils soient tous petits, avec eux nous pouvons voir très bien tout chose, grande et petite.

           Allâh nous a donné une langue pour qu'elle nous permette de parler. Il nous a donné aussi deux lèvres qui couvrent notre bouche et nos dents, et nous aident à parler.

           Nous devons réaliser l'utilité des bienfaits d'Allâh et les utiliser convenablement. Par exemple, nous devons lire des livres utiles et réaliser la grandeur d'Allâh l'Omnipotent en voyant les merveilles de l'Univers. Nous devons aussi prononcer des mots convenables et utiles, et éviter de blesser quelqu'un par notre parole.

Le Noble Coran

         Les livres célestes ont été révélé à tous les Prophètes distingués d’Allâh. Ils contenaient les ordres de commandements de Dieu, que les hommes doivent suivre. Le nom du livre qui est révélé à notre cher Prophète est le noble Coran.

         Le noble Coran est le dernier message d’Allâh à l’humanité. Il comprend les règles et les ordres de la religion islamique. Le secret du progrès spirituel et matériel de l’être humain réside dans les enseignements suivants du Coran.

         Le noble Coran nous donne l’ordre d’adorer Allâh seulement. Il nos apprend aussi à aimer les autres et à être bienveillants envers eux, à respecter et à aider nos parents, à éviter les mauvais actes et à faire de bons actes.

         Le noble Coran a été révélé en arabe. Il faut donc apprendre cette langue graduellement et essayer de lire et de comprendre les contenus du Livre sacré.

         Le noble Coran se compose d’un certain nombre de chapitres. On appelle chaque chapitre « Sourate ». Chaque sourate est subdivisé en versets qui sont appelés « Ayât ». Il y a 114 sourates dans le Coran.

         Le noble Coran contient aussi plusieurs histoires vraies intéressantes et instructives relatives aux évènements du passé. L’une d’elles, est l’histoire du Prophète Youssouf. Elle est bien connue.

         La révélation du noble Coran a commencé au mois de Ramadan et a continué pendant vingt-trois ans. La plus grande partie du Coran a été révélé à la Mecque pendant les treize premiers ans de la mission prophétique du noble Prophète Mohammed (P).

         Les premiers versets du Coran ont été révélés au noble Prophète dans la grotte de Hira, située près de la Mecque, et le dernier à Ghadir al-Khum, près de Johfa. Dans le dernier verset, Allâh a annoncé l’achèvement de la religion de l’Islam à tous égards.

http://quran.al-shia.org/fr/ejtema/divers/01.htm

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