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Où part la graisse quant on mincit?

Barbecue a gaz 7 main 2811302


Au cours de notre vie, il nous arrive de prendre du poids. Pour le perdre, nous avons souvent recours au sport et au régime. Seulement, une fois qu’on a atteint notre poids idéal et qu’on s’est débarrassé des kilos superflus, nous sommes-nous déjà demandés où est partie toute cette graisse qui nous dérangeait tant ?

C’est insolite, mais des chercheurs de l’University New South Wales UNSW ont démontré que la graisse s’évaporait du corps à travers les poumons quand on mincit.

Surprenant, mais prouvé par l’étude microscopique du métabolisme qui a été faite par le Dr Ruben Meerman et le Dr Andrew Brown. Ils ont réussi à retracer le parcours de la graisse pour savoir ce qu’elle devenait. Alors qu’on pensait que la graisse se transformait en énergie ou en chaleur, ces chercheurs australiens ont découvert qu’elle s’évaporait de l’organisme à travers les poumons sous forme de dioxyde de carbone. Ils affirment qu’elle se transforme en air.

Selon cette étude, les poumons sont donc « le premier organe excrétoire (qui produit des matières liquides ou solides) pour la perte de poids ». Lorsqu’on perd 10 kilos, on exhale 8,4 kilos de dioxyde de carbone par les poumons et les 1, 6 kilos qui restent, deviennent de l’eau et sont éliminés sous forme d’urines, de sueur, de larmes ou autres fluides du corps.

Pour mincir, il faut donc se débarrasser du carbone stocké dans les cellules graisseuses. La méthode reste inchangée : manger moins et bouger plus

Les aliments qui vous fatiguent

Il est possible que, parfois, au cours de la journée, vous vous sentiez fatigué moralement et physiquement, sans aucune explication. Cela peut être dû à votre alimentation et à votre régime quotidien, car certains aliments augmentent la sensation de fatigue. Nous allons vous en présenter certains dans notre article, pour que vous puissiez en réduire votre consommation pour améliorer votre santé.

Les aliments riches en sucre, au lieu de donner de l’énergie au corps comme le pensent beaucoup de personnes, fatiguent notre organisme, car ils se métabolisent très rapidement et ce processus demande une grande quantité d’énergie. Toutes les autres activités qui en demandent sont donc impactées. Le sucre donne une impulsion énergétique au corps mais ce n’est pas du tout durable.
La consommation d’aliments riches en graisses entraîne également une grande fatigue. Leur composition est difficile à digérer pour notre corps qui doit brûler plus d’énergie dans le processus digestif. C’est pour cela que les produits gras peuvent générer plus de lourdeur dans l’estomac, ce qui provoque une sensation de ballonnement et de fatigue peu après le moment de l’ingestion.

Graisses
Certains aliments sont très lourds pour notre organisme et produisent de la fatigue directement après leur consommation. Ces aliments sont la dinde, le lait, les graines, le riz complet et les légumes secs. La consommation de ces produits est importante car ils apportent des nutriments essentiels à notre organisme mais, cette ingestion doit être régulée en fonction des effets qu’ils produisent sur la personne qui en consomme. Tous les organismes humains ne répondent pas de la même manière aux nutriments et les assimilent de manières différentes.
La caféine génère de l’hyperactivité et met le cerveau humain en alerte. Le café est une boisson stimulante qui active les fonctions du corps rapidement mais, si vous n consommez trop, elle peut générer de l’insomnie. Celle-ci provoquera de la fatigue, car vous n’arriverez pas à trouver le sommeil, et nuira à vos activités du quotidien.Café
La fatigue peut également être due au manque d’hydratation, lorsque l’on consomme peu de liquides durant la journée. La déshydratation entraîne une grande fatigue, les principaux symptômes de la déficience de liquides dans l’organisme étant les maux de têtes et le manque de concentration. Le meilleur liquide pour assurer un bon fonctionnement du corps est tout simplement l’eau.
La consommation importante d’aliments contenant des actifs chimiques peut altérer l’équilibre du corps, peut générer de la fatigue et des troubles sur du long terme.
La consommation excessive de nourriture dite « malbouffe » comme les hamburgers, les hot-dogs ou les pizzas, ainsi qu’une alimentation irrégulière à des horaires changeants nuisent grandement à notre organisme. Ce dernier devra s’activer davantage pour compenser ces excès et cela générera une fatigue très importante du corps et un manque de concentration.

Conseils pour éliminer la sensation de fatigue

La consommation de fruits et légumes nous apporte les nutriments nécessaires à l’activité de notre corps et à notre bien-être.
Les céréales complètes nous donnent l’énergie nécessaire pour commencer la journée de la meilleure manière possible.
Les noix, les amandes et le sésame offrent au corps une source d’énergie indispensable pour réaliser toutes les activités de la journée. De plus, ils permettent de conserver la concentration nécessaire pour les tâches quotidiennes.
Rester toujours en activité permet d’éviter la sensation de fatigue. L’activité est la meilleure alliée du corps pour ne pas se fatiguer, vous devez vous lever le matin en pleine forme et conserver une bonne routine précise pour ne pas dérouter votre organisme. Maintenez tous vos sens actifs durant la journée en écoutant de la musique, en stimulant vos yeux, en activant votre sens olfactif grâce à des odeurs fortes comme celle du poivre, en restant dans un endroit lumineux qui empêche la fatigue des yeux.
Maintenez le corps actif et stimulé grâce à des étirements et des mouvements que vous pouvez réaliser durant toute la journée. Faites de l’exercice physique, adoptez un programme en fonction de vos horaires de travail. Si vous ne pouvez pas réaliser d’exercices physiques durant la journée, essaye de changer un peu vos habitudes et prenez les escaliers au lieu de l’ascenseur, marchez et ne prenez pas votre voiture, par exemple.
Adoptez des horaires fixes de sommeil ce qui permettra à votre corps de se reposer et de se recharger en énergies durant la nuit. Vous soulagerez votre fatigue quotidienne et serez d’attaque pour le lendemain matin.
Conservez un régime alimentaire sain qui apporte à votre organisme les nutriments nécessaires à son bon fonctionnement et à son rendement optimal pour toute la journée.

http://amelioretasante.com/les-aliments-qui-vous-font-sentir-fatigues/

L'aliment interdit à consommer sans modération

Les autorités de santé vous répètent sur tous les tons que les graisses sont mauvaises pour la santé, et en particulier les graisses saturées.

Tout le monde ou presque le croit, bien que peu de personnes sachent ce que veut dire au juste graisses « saturées ». Mais est-ce important ? Pas besoin d'avoir fait dix ans de médecine pour imaginer que quelque chose de « saturé », c'est forcément mauvais pour la santé, n'est-ce pas ?

« J'sature ! »
En réalité, un acide gras « saturé » est simplement un acide gras dont tous les atomes carbone sont liés au nombre maximal d'atomes d'hydrogène. Chaque liaison carbone est occupée, et on ne peut plus ajouter d'autres atomes.

La conséquence est que la molécule est plus stable, et moins susceptible de s'oxyder. C'est une très bonne chose car les graisses oxydées sont plutôt mauvaises pour la santé. Selon plusieurs études, le cholestérol oxydé est un marqueur de l’athérosclérose, le vieillissement et le rétrécissement des artères, facteur d'accident cardiaque. (1)

Mais ce n'est pas tout.

L'alimentation traditionnelle de l'être humain, avant l'introduction massive des céréales, était extrêmement riche en acides gras saturés. Nos ancêtres, avant l'invention de l'agriculture, mangeaient en effet beaucoup de graisse d'animaux, d'entrailles, de crustacés riches en graisses.

Les quelques tribus à travers le monde qui ont conservé un mode de vie traditionnel mangent, elles aussi, très gras. Vous avez les Inuits (Esquimaux) de l'Arctique qui, jusqu'à récemment, mangeaient essentiellement de la graisse de phoque, de morse, de baleine, des poissons gras, qui contiennent une forte proportion de graisses saturées.

Les Maasaïs, une ethnie semi-nomade qui vit de l'élevage et de la chasse, au Kenya, se nourrit surtout d'un mélange de lait et de sang, prélevé sur les jeunes bovins sans les tuer, auquel ils ajoutent plantes, racines, écorces, et de nombreux végétaux. Là aussi, ce régime est très riche en graisses saturées.

Même chose pour les Tokelauiens, situés dans un archipel du Pacifique dépendant de la Nouvelle-Zélande, qui se nourrissent de noix de coco et de poisson.

Or, les uns comme les autres ont de très faibles taux de décès par maladie cardiovasculaire.

Ce fait est corroboré par la très riche teneur en graisses du lait maternel humain, formé à 54 % d'acides gras saturés. Le lait maternel étant l'aliment le plus parfait pour les bébés en croissance, la présence de fortes quantités de graisses saturées n'est certainement pas une « erreur de la nature ».

En 2010, une très importante étude, portant sur plus de 347 000 personnes, n'a constaté aucun lien entre la consommation de graisses saturées et le risque d'infarctus, d'attaque cérébrale (AVC) ou d'autres maladies cardiovasculaires. (1)

Une autre étude publiée en 2010 dans la revue médicale American Journal of Clinical Nutrition, a montré que les personnes qui souhaitent diminuer leur risque cardiovasculaire ne doivent pas diminuer leur consommation de graisses mais plutôt réduire celle de glucides, dont les féculents et l'amidon (et donc le pain, les pâtes, les céréales, y compris complètes). (2) Les personnes qui diminuent leur consommation de graisses saturées, et les remplacent par des glucides raffinés (pain blanc, pâtes, pomme de terre) augmentent leur résistance à l'insuline, leurs problèmes d'obésité, leur dyslipidémie (niveau anormal de lipides dans le sang), leur niveau de triglycéride et de cholestérol.

En fait, la nouvelle mode qui sévit depuis les années 60, et qui consiste à manger plus de glucides (surtout des céréales) et moins de graisses, est responsable d'une telle hausse de l'obésité, du diabète et des maladies cardiaques qu'il est devenu presque impossible pour nos contemporains de se souvenir que, il y a seulement un siècle, moins d'une personne sur cent était obèse (y compris aux Etats-Unis !) et les maladies coronariennes étaient pratiquement inconnues.

Plus difficile à croire encore, il n'y avait en 1950 que 100 cardiologues exerçant en France ! Ils étaient 2 200 en 1981 et sont près de 6 000 aujourd'hui ! (3)

Une telle explosion indique que quelque chose a changé, qui explique l'épidémie.

Et quel est ce quelque chose ?

Notre alimentation !

Car s'il est vrai que nous consommons beaucoup de viande rouge et de graisses saturées, notre régime alimentaire est aussi dangereusement riche en sucres et glucides raffinés.

Les aliments les plus consommés sont les plus mauvais
Les aliments qui arrivent en tête de la consommation dans les pays industrialisés sont le pain, les céréales, les sandwichs, les pâtes, les pizzas, les biscuits, les gâteaux, les desserts en tout genre, les chips, frites et biscuits d'apéritif à base de pomme de terre, qui sont des glucides. La plupart des publicités pour des produits alimentaires les concernent, car tous ces produits sont faits à partir des matières premières les plus bas de gamme, et les moins chères.

Par contre, si vous y ajoutez beaucoup de sucre ou de sel, arômes et colorants, et que vous les présentez dans de beaux emballages multicolores, vous pouvez les revendre avec une marge importante. Cela permet de financer les investissements en marketing, tout en assurant la rentabilité du fabricant.

Il est beaucoup plus difficile de faire de telles opérations sur des produits qui sont déjà très chers à la base, comme les huiles de bonne qualité, les bons légumes, la viande, le poisson, les noix ou les fruits rouges, qui sont bons pour la santé. C'est pourquoi les publicités pour ces produits là sont rares, pour ne pas dire inexistantes.

Les bonnes graisses à manger
Beaucoup de personnes s'emmêlent les pinceaux entre les graisses polyinsaturées, mono-insaturées, les acides gras trans, les oméga-3, 6 et 9.

Les bonnes sources de graisse sont :

l'huile d'olive (et bien sûr les olives entières, la tapenade...)

les noix et amandes crues, ainsi que l'huile de noix et l'huile d'amande, mais aussi les noix de pécan, les noix de macadamia, les noix du Brésil, et dans une moindre mesure les noisettes. Faites toutefois très attention en les achetant. Il devient de plus en plus difficile d'acheter des noix crues de bonne qualité. Elles sont très souvent rances, ce dont vous vous apercevez facilement car le goût est piquant. Cela veut malheureusement dire que les acides gras polyinsaturés qu'elles contiennent sont oxydés, et sont donc devenus mauvais pour la santé ;

les graisses animales d'animaux élevés en plein air et nourris d'aliments biologiques ;

les œufs bios et surtout les œufs de poules nourries de graines de lin (riches en oméga-3) ;

les avocats ;

le beurre de vaches nourries à l'herbe (et non aux céréales et au tourteau, comme la plupart des vaches européennes) ;

l'huile de noix de coco et l'huile de palmiste, qui sont les meilleures huiles à utiliser pour les fritures car elles ne se dénaturent pas à haute température (attention toutefois à ne jamais les faire fumer) ;

les poissons gras (sardines, maquereaux, anchois, harengs) et l'huile de poisson, dont bien sûr la célèbre huile de foie de morue, malheureusement tombée en désuétude et victime d'une terrible réputation, alors que, très franchement, son goût n'est pas du tout si mauvais qu'on le raconte aux enfants.

Quel est votre ration oméga-3/oméga-6 ?
Il est aussi capital de surveiller que vous avez un bon équilibre entre vos apports d'oméga-3 et d'oméga-6. Traditionnellement, ce rapport était de 4, 3 ou 2 pour 1, mais il est aujourd'hui beaucoup plus souvent de 20 pour 1, voire de 30 pour 1. Les oméga-6 sont en effet présents dans les huiles bon marché (huile de tournesol et de maïs) que l'on retrouve un peu partout, notamment dans la nourriture industrielle, alors que les oméga-3 se trouvent dans l'huile de noix, de lin et de colza, et les huiles de poisson, moins répandues et plus chères.

Malheureusement, manger trop d'oméga-6 et trop peu d'oméga-3 entraîne un état chronique inflammatoire dans votre corps, ce qui augmente votre risque de maladie cardiovasculaire et de cancer.

Faites ce que vous pouvez pour réduire votre consommation d'oméga-6 et augmenter votre consommation d'oméga-3. A noter que l'huile d'olive ne contient ni l'un ni l'autre, mais c'est une huile qui est globalement bonne pour la santé, à partir du moment où elle est extra-vierge et issue de première pression à froid, et consommée crue ou faiblement chauffée (pas de friture à l'huile d'olive ; utilisez pour cela de l'huile de coco, de l'huile de palmiste ou de la graisse de bœuf).

La graisse à éviter à tout prix
Les acides gras trans, eux, sont à éviter à tout prix. Ce sont des acides gras généralement issus du traitement industriel des huiles, qui sont hydrogénées pour les rendre solides, et fabriquer des margarines, ou donner du moelleux et de la tenue aux plats préparés, biscuits, gâteaux.

Les graisses ainsi fabriquées se conservent plus longtemps dans les entrepôts et les rayons des magasins, mais ils produisent de graves dysfonctionnements à l'échelle cellulaire.

Votre corps a BESOIN de graisse pour fonctionner de façon optimale
Malgré tout ce que je vous ai dit ici, je sais bien que, comme tout le monde, vous continuerez à vous méfier des plats « trop gras ». Ne vous impatientez pas. Il faut bien voir que, depuis notre plus jeune âge, nous avons été littéralement conditionnés pour croire que les graisses sont mauvaises pour la santé, et que ce sont les céréales, si possibles complètes et si possible avec le moins d'accompagnement, qui sont bonnes pour la santé.

Il n'est pas facile de se convaincre que c'est en fait exactement le contraire. Que dans une tartine de pain beurré, ce qui est mauvais, c'est le pain, et ce qui est bon, c'est le beurre. Et que dans une frite, ce qui est mauvais, c'est la pomme de terre, et ce qui est bon, c'est la graisse ! Bon, j'admets que j'exagère sur ce dernier point, car la frite pose le problème d'être cuite à trop haute température (220 à 240 °C), ce qui rend la graisse toxique et produit un phénomène de « glycation » très néfaste pour la santé.

Mais vous voyez tout de même le message que j'essaye de faire passer. Les graisses saturées sont indispensables pour la santé, et aident votre corps à mieux fonctionner. Elles assurent un grand nombre de fonctions importantes, dans le cœur, les poumons, le foie, les os, le système immunitaire. Elles entrent dans la composition de vos hormones, des membranes de vos cellules, et régulent le sentiment de satiété.

Un des énormes désavantages des régimes pauvres en graisse, en effet, est de provoquer un sentiment irrésistible de faim, qui provoque mauvaise humeur, énervement, voire déprime et perte du goût de vivre.

Ces tortures ne sont ni nécessaires, ni bonnes pour la santé. Et ça, il me semble que c'est tout de même une très très bonne nouvelle.

A votre santé !

JMD
Retrouvez mes meilleures chroniques dans L' Intégrale Santé Naturelle (J.-M. Dupuis, 2013, SNI éditions, 384 p.) disponible ici (lien cliquable). Tous mes droits d'auteur seront reversés à l' Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, association sans but lucratif qui défend le droit de chacun de se soigner autrement. Acheter mon livre est aussi un moyen de soutenir leur généreux combat.

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Mauvaise réputation : les hormones ont mauvaise presse. Elles sont pourtant des substances naturellement produites par l’organisme et indispensables au bon fonctionnement de votre corps, contrairement aux sucres, pesticides ou huiles trans. Apprenez-en plus grâce à l’un des tous meilleurs endocrinologues mondiaux dans cette vidéo (lien cliquable).

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Sources :

(1) Am J Clin Nutr. 2010 Mar;91(3):535-46. doi: 10.3945/ajcn.2009.27725. Epub 2010 Jan 13.

(2) Am J Clin Nutr March 2010 vol. 91 no. 3 502-509

(3) Ministère de la Santé et de la Protection sociale – éléments bibliographiques relatifs à l’évaluation des besoins de santé pour l’élaboration des SROS 3 (44)

(4) Étude d’impact présentée mardi 19 mars à la réunion annuelle de l'American Heart Association à Dallas (Texas), et conduite par une équipe dirigée par Gitanjali M. Singh, de l’Ecole de santé publique de Harvard.

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