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Chirurgie esthétique et Islam

 

Les spécialistes de la chirurgie esthétique définissent leur action comme une intervention chirurgicale visant à améliorer l’apparence d’une des parties extérieures du corps. Elle peut s’avérer nécessaire ou facultative. L’opération nécessaire ou jugée comme telle est celle devenue indispensable pour réparer un défaut comme une infirmité ou un excès ou une lésion ou une déformation. Une telle opération n’en est pas moins jugée esthétique par rapport à ses résultats.

Les défauts sont de deux sortes : des défauts congénitaux et des défauts accidentels provenant des maladies qui frappent l’homme.

Les premiers sont, par exemple, comme une lèvre inversée ou fendue et l’imbrication des doigts etc. Les seconds sont, par exemple, comme les séquelles de la lèpre et les affections similaires, l’impact des accidents et des brûlures. Point de doute que ces défauts gênent physiquement et moralement. C’est pourquoi il est permis à ceux qui en souffrent de les éradiquer ou les atténuer grâce au recours à la chirurgie. En fait, ces défauts impliquent un préjudice matériel et moral qui justifie qu’on ait un besoin pressant de recourir à la chirurgie. Le besoin ici tient lieu de la nécessité qui fait autoriser ce qui est en principe interdit .Toute intervention chirurgicale inscrite dans le cadre de la chirurgie esthétique et qui repose sur un besoin justifié par la présence d’un préjudice à écarter est autorisée et ne peut pas être considérée comme une modification de la création divine.

Pour mieux distinguer entre ce qui est permis et ce qui ne l’est pas, nous allons citer de précieux propos de l’imam an-Nawawi dans le cadre de son commentaire du hadith :

« Qu’Allah maudisse la tatoueuse et celle qui sollicite ses services ; la coiffeuse spécialisée dans l’enlèvement des poils et celle qui sollicite ses services ; la limeuse qui cherche à améliorer la dentition : elles modifient la création d’Allah » (rapporté par Mouslim, 3966).

An-Nawawi (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) dit :

« Quant à la tatoueuse, elle est celle qui pratique le tatouage. Celui-ci consiste à planter une aiguille, ou d’autres instruments à l’extérieur de la paume ou au poignet ou à la lèvre ou à d’autres parties du corps de la femme de sorte à faire couler le sang puis à bourrer la plaie avec de la poudre de kohol pour obtenir une coloration verdâtre... Cette pratique est interdite aussi bien à l’auteur qu’à l’objet consentant « Quant à l’enleveuse de poils, elle est celle qui extrait les poils du visage. Celle qui sollicite ses services est sa cliente qui lui demande d’intervenir à son profit. Cette pratique est aussi interdite sauf quand une femme voit pousser des poils sur son menton ou sous son nez. Dans ce cas, il ne lui est pas interdit de les enlever.

« Quant à la limeuse, elle est celle qui lime les dents pour créer de petites brèches entre les incisives. Elle exerce cette opération sur les vieilles et les vieillissantes pour les rajeunir et embellir leur dentition. En effet, ces jolies brèches qui séparent les dents se rencontrent chez les toutes jeunes filles. Quand une femme d’un âge avancé commence à vieillir et éprouve de la nostalgie, elle se fait limer les dents pour se redonner du charme et se fait prendre pour jeune. Cette pratique est interdite aussi bien à l’auteur qu’à celle qui la subit compte tenu des hadith et parce qu’elle constitue une modification de la création du Très Haut, une falsification et une dissimulation.

Quant à l’expression : « Celles qui se font limer les dents pour les embellir » elle signifie : celles mues par des fins esthétiques. C’est une allusion au fait que ce qui est interdit c’est de subir l’opération pour s’embellir. Mais si l’opération visait un but curatif ou de redressement, elle ne représenterait aucun inconvénient. Allah le sait mieux »(An-Nawawi, commentaire sur le Sahih de Mouslim, 13/107).

Il convient de souligner que les chirurgiens esthétiques ne font pas la différence entre le besoin pressant qui représente un danger à écarter et le besoin moins pressant. Leur seule préoccupation réside dans le gain matériel et la satisfaction du client.

Les libertins, les matérialistes et les partisans de la liberté s’imaginent que l’homme est libre de gérer son corps comme il l’entend. Ce qui constitue une aberration car le corps appartient à Allah et Il lui applique le jugement qu’Il veut. Allah le Puissant, le Majestueux nous a informés des voies qu’Iblis s’est engagé àutiliser pour égarer l’humanité. A ce propos, Il dit : « ... et je leur donnerai des ordres et ils s’évertueront certes à modifier la création d’Allah ».

Il existe des opérations esthétiques interdites pour insuffisance de considérations religieusement reconnues comme devant justifier leur autorisation. Dès lors, on les considère comme une manipulation superflue du corps ou une simple recherche de la beauté. On peut citer sous ce chapitre la réduction ou l’augmentation du volume des seins, l’enlèvement des marques de vieillesse telles que les rides et d’autres.

La Chari’a jugé que ces opérations ne sont pas permises car elles ne reposent pas sur des facteurs pouvant les rendre nécessaires ou opportunes. Leur ultime aboutissement est la modification de la création d’Allah et sa manipulation en fonction des caprices humains et des plaisirs charnels. Ceci est interdit et attire la malédiction à son auteur car la pratique réunit les deux choses susmentionnées dans le hadith : la recherche de la beauté et la modification de la création d’Allah.

A quoi s’ajoute le fait que ces opérations impliquent plusieurs aspects de tricherie, de dissimulation et d’injection d’ingrédients extraits d’embryons avortés suivant des méthodes interdites impliquant l’usage d’astuce pour leur obtention frauduleuse ou par l’achat..... Ce qui représente un crime abominable. En outre, il résulte parfois des opérations esthétiques des douleurs perpétuelles, des préjudices et des complications, d’après les spécialistes.(Voir le livre intitulé ahkam al-djiraha par Dr Muhammad Muhammad al-Moukhtar ash-Shinqiti).

Les données proviennent du site www.islam-qa.com 

 

 

 

Le sacrifice des animaux dans les religions

Dans l'Antiquité

Le sacrifice comme élément central des religions antiques a fasciné la science des religions depuis que celle-ci pense avoir compris le rituel comme le véritable « langage » de la religion. La découverte du rituel a apporté simultanément deux modèles d’interprétation dans le discours sur la religion : la religion est, dans l’homme, quelque chose d’archaïque, de primitif, de non apprivoisé par la culture. Par conséquent, la religion n’est pas ce que les théologiens veulent entendre par là aujourd’hui : un comportement éthique et son fondement ultime dans le transcendant, le respect pour l’infini, la sublimation suprême, en somme ! À l’origine, la religion s’avère être un comportement préconscient, qui se trouve en relation avec les instincts de l’homme en tant qu’être naturel. Une « situation primitive » en est le parfait exemple.

Dans la Grèce antique, la religion faisait partie du quotidien ; sacré et profane étaient étroitement imbriqués. Pour les hommes, il était crucial de pouvoir entrer en communication avec les dieux : nombre de rites furent ainsi inventés pour s'allier les Immortels, les appeler ou les remercier. Parmi ces rites, le plus couramment pratiqué étant le sacrifice – en particulier le sacrifice sanglant, qui consistait à mettre à mort un animal en l'honneur d'une divinité – et, parallèlement, le don d'offrandes. La religion grecque était donc basée sur l'échange et la réciprocité : les dieux accordent leurs faveurs et les hommes, en retour, les honorent et leur témoignent fidélité et gratitude. Mais parler aux dieux, chercher à s'attirer leurs bonnes grâces, c'était aussi reconnaître son statut de mortel. S'il semble possible d'influer, dans une certaine mesure, sur le cours des événements, les dieux restent maîtres des destinées.

Dans la Bible

Pour les chrétiens, Jésus-Christ s'est sacrifié lui-même pour sauver le genre humain, tel que cela est relaté dans plusieurs versets du Nouveau Testament. La théorie mimétique de René Girard, dans son développement, en vient à distinguer le sacrifice primaire (une collectivité met à mort une victimaire émissaire) d'un sacrifice secondaire (inauguré par les prophètes, achevé par Jésus dans une version considérée comme parfaite et imité par les martyrs), avec ceci d'intéressant que le secondaire révèle l'existence du primaire. En prédisant son propre lynchage émissaire et en acceptant d'être la victime des peuples de son temps (et d'un point de vue anthropologique de toute l'humanité), Jésus révèle le mécanisme émissaire en place depuis l'apparition d'homo sapiens voire des espèces humaines précédentes. Le Dieu des chrétiens refuse les sacrifices alors que les dieux païens multiplient les meurtres eux-mêmes et en réclament dès qu'ils se sentent offensés, ou plus exactement quand des membres de la communauté ont transgressé des interdits. Quoique les modernes sachent bien que les boucs émissaires sont innocents, cette innocence étant même intégrée dans la signification de cette locution, il s'agit d'une révélation pour les contemporains de Jésus : les "Grecs" (ou les polythéistes) ne savent pas qu'ils produisent des sacrifices pour réguler la violence profane et pacifier les relations ; de leur point de vue, celui que nous autres modernes appelons "bouc émissaire" est coupable. Jésus renverse la façon de voir la scène du sacrifice et fait passer d'une victime active avec une foule passive à une victime passive avec une foule active.
Jésus dans l'évangile de Saint Mathieu condamne le sacrifice des animaux.

 

Dans le Coran

Selon l'islam, le Coran est le point terminal de la Révélation pour cette humanité. Il se présente de fait comme la récapitulation et la synthèse des messages antérieurs, et maints récits bibliques y sont relatés de façon condensée et allusive. Le caractère sibyllin du « Livre », on va s’en rendre compte, apparaît nettement dans l’épisode du sacrifice d’Abraham.

Dans la sourate 37, ressort au thème coranique de l’épreuve (balâ’), qui agit comme une véritable pédagogie spirituelle à l’adresse des croyants et à fortiori des prophètes : l’élection et l’investiture ont pour passage obligé la purification. Abraham (Ibrâhîm en arabe) a été choisi comme « ami intime de Dieu » (khalîl Allâh) parce qu’il a subi avec succès maintes épreuves1. L’une des plus intenses fut sans doute ce songe au cours duquel le patriarche se vit en train d’immoler son fils :

- « Ô mon fils, je vois en rêve que je t’égorge. Qu’en penses-tu ? »

- « Père, répondit le fils, fais ce qui t’est ordonné. Tu me trouveras, si Dieu veut, parmi ceux qui supportent [l’épreuve] » (Cor. 37 : 102).

La commémoration du sacrifice d’Abraham, actualisée chaque année par le sacrifice d’animaux, est devenue la « grande fête » (al-‘îd al-kabîr) des musulmans, célébrée le 10 de Dhû l-Hijja, mois du Pèlerinage. Le Hajj, ceux qui l’ont accompli le savent bien, est une épreuve : répétition du Jugement dernier, il est mort à ce monde et résurrection.

À l’instar de la bête, le pèlerin est l’offrande sacrificielle dont le parcours rituel permet à la communauté musulmane, et au-delà à l’humanité, de se régénérer. Si le sacrifice animal garde aujourd’hui toute sa pertinence, et si le partage et le don de la viande perpétuent « l’hospitalité sacrée » d’Abraham, il importe de ne pas perdre de vue le sens premier du sacrifice : la purification intérieure.

Analyse sociologique du sacrifice

Le sacrifice peut se comprendre comme un échange entre les hommes qui le pratiquent et les puissances divines qui le reçoivent. Dans les sociétés primitives, non-monétaires, tout commerce suppose un échange, dons contre dons, à proportion de la situation et de la qualité des personnes engagées dans l'échange. Do ut des, je donne pour que tu donnes, selon la formule latine bien connue... Le don n'est jamais gratuit mais s'effectue selon des codes sociaux précis et réglés par la tradition.
Il en va de même dans l'échange entre hommes et puissances divines. De même que les langues anciennes n'ont pas de mot pour désigner la "religion" en soi, comme une activité et surtout une idéologie, séparée du reste des activités humaines, le sacrifice, ou ce que nous nommons tel, est d'abord à comprendre dans le cadre plus large des règles de l'échange et du fonctionnement des relations sociales. Les Dieux étant les plus puissants des êtres, la communication et l'échange avec eux sont régis par des règles certes spéciales mais qui doivent s'entendre dans un cadre plus large donc. Plus une personne est puissante et haut-placée, plus elle est censée répondre au don par un contre-don encore plus prestigieux et de plus haute valeur. On offre aux Dieux le meilleur parce qu'on attend en retour des dons inestimables, la pluie, de bonnes récoltes, la victoire, la paix, la prospérité, la santé... En latin, sacrifier veut dire faire passer dans le monde du sacré un objet profane, généralement par une forme de destruction (mais pas nécessairement, que l'on songe aux dédicaces, objets votifs et ex-voto de toutes sortes). Cette définition peut être généralisée mais n'oublions pas qu'en grec, thysia, le sacrifice est un mot de la même racine que thyein, brûler et thyo, encens, parfum. Il n'a un sens "technique" et religieux que secondairement. Sacrifier, c'est faire monter une fumée d'agréable odeur vers les Dieux, comme il est dit dans la Bible aussi.
Le sacrifice étant un échange, il est un partage... Une des formes est donc le repas sacrificiel où la victime est "sacrifiée" puis consommée de concert entre Hommes et Dieux, chaque partie recevant sa part, différence qui marque la séparation en le Ciel et la Terre mais aussi leur communion. Le sacrifice doit donc s'entendre comme une frontière, mais une frontière où l'on se rencontre et où l'on échange, aux dons des hommes devant répondre les dons des Dieux.
Dans la Bible, en Grèce, à Rome, tuer un animal pour la boucherie ou le sacrifier, n'a point de différences. Une seule manière de le mettre à mort qui est toujours sacrificielle. Puis après que la part des Dieux a été prélevée et leur a été offerte, les hommes prennent leur part, soit pour la consommer sur place dans un grand banquet commun soit pour l'amener chez eux. Dans ces temps anciens, on mangeait rarement de la viande, d'abord aux fêtes qui étaient toujours "religieuses" et donc accompagnées de "sacrifices".

 

Conclusion

Friedrich Nietzsche, Jane Harrison, Martin Nilsson renversent l’image de la « noble simplicité et calme grandeur ». L’« origine sauvage » du rituel devient, en somme, la clef de la religion ; l’homme devient l’homo necans. Dès lors naît une théorie de la culture qui attribue au sacrifice, en tant que rituel, un effet canalisateur : grâce au rite sacrificiel, la menaçante agressivité intraspécifique est déchargée sur l’animal. Au lieu de s’entretuer, les hommes mettent à mort l’animal sacrificiel. Walter Burkert et René Girard, le spécialiste de la littérature, développent simultanément une théorie semblable sur le rite sacrificiel, du point de vue de la culpabilité, de l’imitation, de l’évacuation de l’agressivité. Plus large et plus systématique est l’interprétation du sacrifice comme ordre et représentation du groupe.

 

 

http://kernos.revues.org/2029

http://www.religions-histoire.com/

http://fr.wikipedia.org/

http://oumma.com/

 

  • e6un7

     
     
     
 

En Islam la mère est glorifiée toute la vie


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Tous les ans, au printemps, un dimanche est dédié aux mamans : c'est la fête des mères !
Il existe de nombreuses façons de célébrer cette journée. Tu peux lui faire un joli dessin, lui écrire un mot gentil, lui offrir un bouquet de fleurs ou même lui préparer une surprise !
Auprès de ta famille ou à l'école, tu trouveras de l'aide et des conseils pour fabriquer un joli cadeau : un objet rigolo pour les mamans qui aiment rire, un délicieux gâteau pour les gourmandes, un collier ou une boîte à bijoux pour les coquettes… tu peux même lui écrire un poème, tout est permis !
Avec beaucoup d'amour et un peu d'imagination, tu trouveras à coup sûr le cadeau qui fera plaisir à ta maman.
La fête des mères - illustration 1
Le savais-tu ?
La fête des mères est célébrée dans de nombreux pays même si la date n'est pas la même partout.
En général, elle a lieu à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin.
La tradition de la fête des mères est très ancienne. Dans l'Antiquité, les Grecs organisaient des festivités dédiées à la déesse Rhéa, la mère des dieux. Chez les Romains, on célébrait les mères lors des Matronalia, au début du de ses enfants

La mère en Islam

L’Islam a identifié la relation des enfants avec leur maman comme étant la meilleure preuve de la vraie valeur de la femme dans la constitution d’une société musulmane. Il s’agit ici d’un très célèbre Hadith rapporté par Abou Horaira (ra) dans lequel on parle d’un homme qui a sollicité le Messager d’Allah (sws) :«  O Messager de Dieu ! Quelle est la personne qui mérite que je lui tienne plus de compagnie ? »

Et la réponse du prophète fut très claire : «  Ta mère, ta mère, ta mère et ensuite ton père ».

Ce Hadith ne vient que montrer alors l’importance de la gente féminine et de la mère en particulier dans l’Islam, une évidence absolue qui met l’accent sur les trois vertus qui la distinguent du père à savoir la vertu de la conception, celle de l’accouchement et celle de l’allaitement. Chaque bon enfant doit ainsi suivre ces consignes et vouer d’amour et de compassion pour sa maman dans l’espérance qu’il arrivera à avoir sa satisfaction et sa bénédiction.

Tout jeune ou adulte, l’enfant reste toujours le petit bijou de ses parents et son traitement à leur égard doit être exemplaire aux yeux de la religion musulmane. Il s’agit de s’engager en leur faveur en exerçant ce que le Très Haut Allah leur recommande de faire (bien veiller sur eux, obéir à leurs ordres, les épauler dans leur vieillissement, etc.). La meilleure image pour illustrer cette importance nous vient de l’histoire de Jahima qui va à la rencontre du prophète (sws)  pour prendre ses conseils avant de partir aux expéditions du Jihad et c’est là que le prophète lui dit clairement :« Prends soin de ta mère car le paradis se trouve sous ses pieds ».

En effet, dans l’Islam il n’y a pas de paradis sans la bénédiction de la mère ce qui met en évidence son statut si honorable dans cette religion, un statut qui est même supérieur à celui du père.

Le SaintCoran valorise la mère

Dans le Saint Coran, le Très Haut Allah dit dans le Sourate 4 – Versets 36 : «  Adorez Allah et ne lui donner aucun associé. Agissez avec bonté envers vos père et mère ». Ce verset indique qu’il faut respecter ses parents, ne pas leur dire des mauvaises paroles ou les gronder car Allah les a placés, à travers le Saint Coran, en haute considération.

Une autre valorisation de la maman a été bien illustrée dans le livre sacré des musulmans, plus précisément au niveau du Sourate 31- Versets 14 à 15«  Et nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers son père et sa mère : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché ; et sa gestation et sevrage durent trente mois ; puis quand il atteint ses pleines forces et atteint ses quarante ans, il dit : O Seigneur ! Inspire-moi pour que je rende grâce au bienfait dont tu m’as comblé ainsi qu’à mes père et mère, et pour que je fasse une bonne œuvre que tu agrées et fais que ma postérité soit de la moralité saine ».

Il est alors bien clair que l’Islam, à travers toutes ses composantes, a donné à la maman un privilège bien déterminé comme étant un instrument de vie irréprochable que l’on doit toute notre existence et à qui on doit toujourslui rendre grâce.

 

Sources: Il était une fois une histoire 

Le Muslim poste

La mère en Islam est glorifié toute la vie

En Islam
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Tous les ans, au printemps, un dimanche est dédié aux mamans : c'est la fête des mères !
Il existe de nombreuses façons de célébrer cette journée. Tu peux lui faire un joli dessin, lui écrire un mot gentil, lui offrir un bouquet de fleurs ou même lui préparer une surprise !
Auprès de ta famille ou à l'école, tu trouveras de l'aide et des conseils pour fabriquer un joli cadeau : un objet rigolo pour les mamans qui aiment rire, un délicieux gâteau pour les gourmandes, un collier ou une boîte à bijoux pour les coquettes… tu peux même lui écrire un poème, tout est permis !
Avec beaucoup d'amour et un peu d'imagination, tu trouveras à coup sûr le cadeau qui fera plaisir à ta maman.
La fête des mères - illustration 1
Le savais-tu ?
La fête des mères est célébrée dans de nombreux pays même si la date n'est pas la même partout.
En général, elle a lieu à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin.
La tradition de la fête des mères est très ancienne. Dans l'Antiquité, les Grecs organisaient des festivités dédiées à la déesse Rhéa, la mère des dieux. Chez les Romains, on célébrait les mères lors des Matronalia, au début du de ses enfants

La mère en Islam

L’Islam a identifié la relation des enfants avec leur maman comme étant la meilleure preuve de la vraie valeur de la femme dans la constitution d’une société musulmane. Il s’agit ici d’un très célèbre Hadith rapporté par Abou Horaira (ra) dans lequel on parle d’un homme qui a sollicité le Messager d’Allah (sws) :«  O Messager de Dieu ! Quelle est la personne qui mérite que je lui tienne plus de compagnie ? »

Et la réponse du prophète fut très claire : «  Ta mère, ta mère, ta mère et ensuite ton père ».

Ce Hadith ne vient que montrer alors l’importance de la gente féminine et de la mère en particulier dans l’Islam, une évidence absolue qui met l’accent sur les trois vertus qui la distinguent du père à savoir la vertu de la conception, celle de l’accouchement et celle de l’allaitement. Chaque bon enfant doit ainsi suivre ces consignes et vouer d’amour et de compassion pour sa maman dans l’espérance qu’il arrivera à avoir sa satisfaction et sa bénédiction.

Tout jeune ou adulte, l’enfant reste toujours le petit bijou de ses parents et son traitement à leur égard doit être exemplaire aux yeux de la religion musulmane. Il s’agit de s’engager en leur faveur en exerçant ce que le Très Haut Allah leur recommande de faire (bien veiller sur eux, obéir à leurs ordres, les épauler dans leur vieillissement, etc.). La meilleure image pour illustrer cette importance nous vient de l’histoire de Jahima qui va à la rencontre du prophète (sws)  pour prendre ses conseils avant de partir aux expéditions du Jihad et c’est là que le prophète lui dit clairement :« Prends soin de ta mère car le paradis se trouve sous ses pieds ».

En effet, dans l’Islam il n’y a pas de paradis sans la bénédiction de la mère ce qui met en évidence son statut si honorable dans cette religion, un statut qui est même supérieur à celui du père.

Le SaintCoran valorise la mère

Dans le Saint Coran, le Très Haut Allah dit dans le Sourate 4 – Versets 36 : «  Adorez Allah et ne lui donner aucun associé. Agissez avec bonté envers vos père et mère ». Ce verset indique qu’il faut respecter ses parents, ne pas leur dire des mauvaises paroles ou les gronder car Allah les a placés, à travers le Saint Coran, en haute considération.

Une autre valorisation de la maman a été bien illustrée dans le livre sacré des musulmans, plus précisément au niveau du Sourate 31- Versets 14 à 15«  Et nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers son père et sa mère : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché ; et sa gestation et sevrage durent trente mois ; puis quand il atteint ses pleines forces et atteint ses quarante ans, il dit : O Seigneur ! Inspire-moi pour que je rende grâce au bienfait dont tu m’as comblé ainsi qu’à mes père et mère, et pour que je fasse une bonne œuvre que tu agrées et fais que ma postérité soit de la moralité saine ».

Il est alors bien clair que l’Islam, à travers toutes ses composantes, a donné à la maman un privilège bien déterminé comme étant un instrument de vie irréprochable que l’on doit toute notre existence et à qui on doit toujourslui rendre grâce.

 

Sources: Il était une fois une histoire 

Le Muslim poste

Qui sont les personnes bénies ?

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Bénédiction se dit en arabe : "بَرَكة" : "Baraka", ou : "يُمْن" : "Yumn".

A l'origine "al-Baraka" signifie l'établissement, la permanence (الثبوت و اللزوم و الاستقرار) (Jalâ' ul-afh'âm, p. 165) (voir aussi Muf'radât ur-Râghib). A partir de là, "la bénédiction (al-baraka), écrit Ibn ul-Qayyim, c'est abondance du bien et sa permanence (البَرَكة كثرة الخير و دوامه)" (Badâ'i' ul-fawâ'ïd, p. 311).

1) Le fait qu'une chose soit bénie signifie donc deux choses :
– que dans cette chose il y a du bien en quantité abondante (kathîr) ;
– et que dans cette chose ce bien est établi (thâbit) et permanent (lâzim).

An-Nawawî a de même décrit ces deux aspects de la bénédiction : "A l'origine la bénédiction signifie : l'établissement du bien, et son abondance" (Shar'h Muslim sur n° 286). Fakhr ud-dîn ar-Râzî a écrit la même chose en commentaire du verset 7/54 : "La bénédiction a été commentée de deux façons : l'un est la permanence (al-baqâ' wa-th-thabât) ; l'autre est l'abondance d'effets de bien et de résultats nobles" (Tafsîr ur-Râzî, commentaire de Coran 7/54).

Al-Qurtubî a pour sa part exposé le premier aspect : "Et la bénédiction est l'abondance du bien (Wa-l-baraka : kathrat ul-khayr)" (Tafsîr ul-Qurtubîtome 4 p. 139). Ar-Râghib al-Asfahânî a quant à lui exposé le second aspect :"Et la bénédiction est l'établissement [= la permanence], dans une chose donnée, du bien conféré par Dieu (Wa-l-baraka : thubût ul-khayr il-ilâhî fi-sh-shay')" (Mufradat ur-Râghib, B-R-K).

Quant au fait que "Yumn" et "Baraka" sont deux synonymes, c'est ce que Ibn ul-Athîr a écrit : "Mention du "يُمْن" (yumn) a été répétée dans les hadîths. Il s'agit de la "baraka". Son contraire est : "شُؤْم" (shu'm)" (An-Nihâya fî gharîb il-hadîth wa-l-athar, Y-M-N, tome 2 p. 933 dans l'édition que je possède).

2) La bénédiction (Baraka) que Dieu accorde aux créatures est de deux types principaux : d'ordre temporel (dunyawî) ; et d'ordre religieux (dînî / ukhrawî) :

A) Une action "dunyawî" est une action dont l'avantage est uniquement ou essentiellement ou immédiatement lié à la vie humaine dans ce monde ; par exemple le fait de consommer de la nourriture.

Un bienfait "dunyawî" (ni'ma dunyawiyya) est donc un bienfait lié à ce qui sert uniquement, essentiellement ou immédiatement par rapport à la vie de ce monde ; par exemple l'apaisement de la faim, l'absorption des nutriments par l'organisme ; la fertilité d'une terre ; l'intelligence qu'une personne possède.
S'il s'agit d'une créature qui recèle une quantité particulièrement abondante de bienfaits "dunyawî", on parle de "bénédiction d'ordre temporel" (baraka dunyawiyya).

B) Une action "dînî" est une action dont l'avantage est uniquement ou essentiellement ou immédiatement lié à la vie de l'au-delà : par exemple la prière ; ou le jeûne ; etc.
Un bienfait "dînî" (ni'ma dîniyya) est donc un bienfait lié à ce qui sert uniquement, essentiellement ou immédiatement par rapport à la vie de l'au-delà ; par exemple la guidance vers la croyance orthodoxe ; l'acceptation par Dieu de l'action cultuelle que l'on a faite pour Lui ; le fait que Dieu se relie avec l'homme qui cherche à se relier avec Lui.
S'il s'agit d'une créature qui recèle une quantité particulièrement abondante de bienfaits "dînî", on parle de "bénédiction dînî" (baraka dîniyya).

3) Il existe différents degrés de bénédiction (Baraka), aussi bien dunyawî que dînî :

La créature ayant reçu la bénédiction de la part de Dieu est dite : "chose bénie" (mubârak). Certaines créatures ont cependant reçu de la part de Dieu une part plus importante de bénédiction que d'autres (soit de bénédiction dînî, soit de bénédiction dunyawî, soit des deux), ce qui fait qu'elles sont dites : "plus bénies" (par rapport à telle autre chose).

Ibn ul-Qayyim écrit ainsi : "La chose qui apporte le plus de bienfait (anfa'), c'est la chose la plus bénie (ab'rak)" (Zâd ul-ma'âd 4/157).

Ainsi, Dieu dit qu'Il a béni la Terre : "Dis : "Renierez-vous, et donnerez-vous des égaux à Celui qui a créé la Terre en deux périodes – voilà le Seigneur de l'univers –, et a placé au-dessus d'elle des ancres, l'a bénie (bâraka fîhâ) et lui a assigné ses ressources en quatre périodes, égales pour ceux qui interrogent. Puis (thumma) Il S'est établi vers le ciel alors que celui-ci était fumée, puis Il a dit à celui-ci et à la Terre : "Venez, de gré ou de force !" Ils dirent : "Nous venons obéissants." Il fit d'eux sept cieux en deux périodes et Il révéla à chaque ciel l'ordre (qui) lui (revenait). Et Nous avons embelli le ciel le plus bas [ou : le plus proche] par des lampes, et [celles-ci servent aussi] de protection. Voilà l'ordre établi par le Puissant, l'Omniscient" (41/9-12) ; (article 547). Ibn Kathîr écrit : "Il l'a rendue bénie, capable de (produire) le bien, de (recevoir) la semence et le plant" (Tafsîr Ibn Kathîr). La Terre tout entière a donc été bénie par Dieu.

Pourtant, il est des lieux de la Terre que Dieu a davantage bénis encore.
Ainsi, Dieu a dit de la Kaaba : "La première Maison qui a été placée sur Terre est assurément celle qui est à Bakka, bénie (mubârakan), et orientation pour les mondes" (Coran 3/96). Il s'agit d'une baraka dîniyya, liée à l'essence même de la Maison, qui est une orientation pour les mondes, les conduisant à l'adoration de Dieu l'Unique. La présence de la Maison a entraîné aussi une baraka dunyawiyya pour toute la Mecque et même pour tout le Haram, vu que, comme Dieu le rappelait aux polythéistes mecquois : "Ne les avons-nous pas établis dans un Haram sûr, jusque auquel, comme attribution de Notre part, les produits de toute chose sont apportés ?" (Coran 28/57). Ceci constitue une baraka dunyawiyya.
De même, Dieu désigne la terre de Shâm par les termes "la terre que Nous avons bénie (bârakna fîhâ)" (voir Coran 7/137 ; 17/1 ; 21/71 ; 21/81 ; 34/18). Ar-Râzî dit qu'il s'agit d'une baraka dunyawiyya et dîniyya : dunyawî par rapport à la fertilité de cette région et de l'excellence de son climat ; dînî par rapport à la quantité unique de prophètes qui y sont nés et y ont vécus (Tafsîr ur-Râzî, sur Coran 21/71).

 

En fait, toute la Terre ayant reçu une baraka dunyawiyya de la part de Dieu (conformément à ce que dit le verset 41/9), ces autres versets signifient que la terre de Shâm a pour sa part reçu une part particulièrement importante de cette baraka dunyawiyya, plus importante que d'autres régions de la Terre.

Par ailleurs, cette terre de Shâm a été également décrite dans le Coran comme étant : "la terre sanctifiée" ("al-ardh ul-muqaddassa") (Coran 5/21). Le terme "taqdîs" signifie : "purifier de toute souillure spirituelle et morale (Muf'radât ur-Râghib). "Muqaddassa" veut donc dire : "purifié de ce qui est mal" ; cependant, il s'agit de ce qui est "purifié de ce qui est mal" tout en étant "empli de ce qui est bien" (Asmâ' ullâh il-husnâ, Ar-Ridwânî, p. 250). C'est parce que le terme recèle lui aussi le sens de "être empli de bien" que Mujâhid a commenté "al-ardh ul-muqaddassa" par : "mubâraka" (Tafsîr ul-Qurtubî sur 5/21) ; c'est aussi pourquoi Ibn ul-Anbârî a commenté le terme "Tabâraka" par : "Taqaddassa" (Jalâl' ul-af'hâm, p. 167). Ceci constitue donc ce que nous avions déjà dit plus haut : la terre de SHâm recèle de la baraka dîniyya.

Pareillement à des lieux, il est des moments dans le temps que nous connaissons auxquels Dieu a conféré une bénédiction dînî, c'est-à-dire qu'ils recèlent une valeur (fadhl) dînî particulière. Ainsi en est-il du mois de ramadan, dont le Prophète a dit une fois : "Est venu à vous ramadan, un mois béni (mubârak). Dieu a rendu obligatoire pour vous le fait de jeûner. Les portes du ciel s'ouvrent pendant ce (mois), et les portes de l'enfer se ferment pendant ce (mois). Il se trouve pendant ce (mois) une nuit pour Dieu, qui est meilleure que mille mois. Celui qui est privé du bien de cette (nuit), celui-là est (vraiment) privé" (an-Nassâ'ï 2106, Ahmad). Il s'agit d'une baraka dîniyya, que Dieu a accordée à ce mois.

De même encore, il est des personnes dans l'humanité à qui Dieu a donné plus de faveurs qu'à d'autres. Dieu dit : "Nous (les) bénîmes lui* et Isaac" (Coran 37/113) (* il s'agit d'Ismaël.) De même, le prophète Muhammad (sur lui et sur tous les prophètes soit la paix) est un être béni de baraka dîniyya et de baraka dunyawiyya (ses Compagnons profitaient également de la bénédiction dunyawî de sa personne. Est-il béni parce qu'il a été nommé prophète, ou bien a-t-il été nommé prophète parce qu'il était déjà béni ? Les deux aspects sont vrais.

Pour en revenir à ce qui nous intéresse ici, on voit qu'il y a des personnes dont Dieu ou Son Messager a dit qu'elles sont plus bénies que d'autres, des lieux sur Terre qui sont plus bénis que d'autres, et des moments du temps qui sont plus bénis que d'autres. On dit que Dieu a favorisé (fadhdhala - yufadhdhilu - tafdhîlan) ces choses par rapport aux autres.

Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).

http://www.maison-islam.com/articles/?p=632

 

    • e6un7

 

 

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