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En Islam la mère est glorifiée toute la vie


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Tous les ans, au printemps, un dimanche est dédié aux mamans : c'est la fête des mères !
Il existe de nombreuses façons de célébrer cette journée. Tu peux lui faire un joli dessin, lui écrire un mot gentil, lui offrir un bouquet de fleurs ou même lui préparer une surprise !
Auprès de ta famille ou à l'école, tu trouveras de l'aide et des conseils pour fabriquer un joli cadeau : un objet rigolo pour les mamans qui aiment rire, un délicieux gâteau pour les gourmandes, un collier ou une boîte à bijoux pour les coquettes… tu peux même lui écrire un poème, tout est permis !
Avec beaucoup d'amour et un peu d'imagination, tu trouveras à coup sûr le cadeau qui fera plaisir à ta maman.
La fête des mères - illustration 1
Le savais-tu ?
La fête des mères est célébrée dans de nombreux pays même si la date n'est pas la même partout.
En général, elle a lieu à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin.
La tradition de la fête des mères est très ancienne. Dans l'Antiquité, les Grecs organisaient des festivités dédiées à la déesse Rhéa, la mère des dieux. Chez les Romains, on célébrait les mères lors des Matronalia, au début du de ses enfants

La mère en Islam

L’Islam a identifié la relation des enfants avec leur maman comme étant la meilleure preuve de la vraie valeur de la femme dans la constitution d’une société musulmane. Il s’agit ici d’un très célèbre Hadith rapporté par Abou Horaira (ra) dans lequel on parle d’un homme qui a sollicité le Messager d’Allah (sws) :«  O Messager de Dieu ! Quelle est la personne qui mérite que je lui tienne plus de compagnie ? »

Et la réponse du prophète fut très claire : «  Ta mère, ta mère, ta mère et ensuite ton père ».

Ce Hadith ne vient que montrer alors l’importance de la gente féminine et de la mère en particulier dans l’Islam, une évidence absolue qui met l’accent sur les trois vertus qui la distinguent du père à savoir la vertu de la conception, celle de l’accouchement et celle de l’allaitement. Chaque bon enfant doit ainsi suivre ces consignes et vouer d’amour et de compassion pour sa maman dans l’espérance qu’il arrivera à avoir sa satisfaction et sa bénédiction.

Tout jeune ou adulte, l’enfant reste toujours le petit bijou de ses parents et son traitement à leur égard doit être exemplaire aux yeux de la religion musulmane. Il s’agit de s’engager en leur faveur en exerçant ce que le Très Haut Allah leur recommande de faire (bien veiller sur eux, obéir à leurs ordres, les épauler dans leur vieillissement, etc.). La meilleure image pour illustrer cette importance nous vient de l’histoire de Jahima qui va à la rencontre du prophète (sws)  pour prendre ses conseils avant de partir aux expéditions du Jihad et c’est là que le prophète lui dit clairement :« Prends soin de ta mère car le paradis se trouve sous ses pieds ».

En effet, dans l’Islam il n’y a pas de paradis sans la bénédiction de la mère ce qui met en évidence son statut si honorable dans cette religion, un statut qui est même supérieur à celui du père.

Le SaintCoran valorise la mère

Dans le Saint Coran, le Très Haut Allah dit dans le Sourate 4 – Versets 36 : «  Adorez Allah et ne lui donner aucun associé. Agissez avec bonté envers vos père et mère ». Ce verset indique qu’il faut respecter ses parents, ne pas leur dire des mauvaises paroles ou les gronder car Allah les a placés, à travers le Saint Coran, en haute considération.

Une autre valorisation de la maman a été bien illustrée dans le livre sacré des musulmans, plus précisément au niveau du Sourate 31- Versets 14 à 15«  Et nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers son père et sa mère : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché ; et sa gestation et sevrage durent trente mois ; puis quand il atteint ses pleines forces et atteint ses quarante ans, il dit : O Seigneur ! Inspire-moi pour que je rende grâce au bienfait dont tu m’as comblé ainsi qu’à mes père et mère, et pour que je fasse une bonne œuvre que tu agrées et fais que ma postérité soit de la moralité saine ».

Il est alors bien clair que l’Islam, à travers toutes ses composantes, a donné à la maman un privilège bien déterminé comme étant un instrument de vie irréprochable que l’on doit toute notre existence et à qui on doit toujourslui rendre grâce.

 

Sources: Il était une fois une histoire 

Le Muslim poste

La mère en Islam est glorifié toute la vie

En Islam
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Tous les ans, au printemps, un dimanche est dédié aux mamans : c'est la fête des mères !
Il existe de nombreuses façons de célébrer cette journée. Tu peux lui faire un joli dessin, lui écrire un mot gentil, lui offrir un bouquet de fleurs ou même lui préparer une surprise !
Auprès de ta famille ou à l'école, tu trouveras de l'aide et des conseils pour fabriquer un joli cadeau : un objet rigolo pour les mamans qui aiment rire, un délicieux gâteau pour les gourmandes, un collier ou une boîte à bijoux pour les coquettes… tu peux même lui écrire un poème, tout est permis !
Avec beaucoup d'amour et un peu d'imagination, tu trouveras à coup sûr le cadeau qui fera plaisir à ta maman.
La fête des mères - illustration 1
Le savais-tu ?
La fête des mères est célébrée dans de nombreux pays même si la date n'est pas la même partout.
En général, elle a lieu à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin.
La tradition de la fête des mères est très ancienne. Dans l'Antiquité, les Grecs organisaient des festivités dédiées à la déesse Rhéa, la mère des dieux. Chez les Romains, on célébrait les mères lors des Matronalia, au début du de ses enfants

La mère en Islam

L’Islam a identifié la relation des enfants avec leur maman comme étant la meilleure preuve de la vraie valeur de la femme dans la constitution d’une société musulmane. Il s’agit ici d’un très célèbre Hadith rapporté par Abou Horaira (ra) dans lequel on parle d’un homme qui a sollicité le Messager d’Allah (sws) :«  O Messager de Dieu ! Quelle est la personne qui mérite que je lui tienne plus de compagnie ? »

Et la réponse du prophète fut très claire : «  Ta mère, ta mère, ta mère et ensuite ton père ».

Ce Hadith ne vient que montrer alors l’importance de la gente féminine et de la mère en particulier dans l’Islam, une évidence absolue qui met l’accent sur les trois vertus qui la distinguent du père à savoir la vertu de la conception, celle de l’accouchement et celle de l’allaitement. Chaque bon enfant doit ainsi suivre ces consignes et vouer d’amour et de compassion pour sa maman dans l’espérance qu’il arrivera à avoir sa satisfaction et sa bénédiction.

Tout jeune ou adulte, l’enfant reste toujours le petit bijou de ses parents et son traitement à leur égard doit être exemplaire aux yeux de la religion musulmane. Il s’agit de s’engager en leur faveur en exerçant ce que le Très Haut Allah leur recommande de faire (bien veiller sur eux, obéir à leurs ordres, les épauler dans leur vieillissement, etc.). La meilleure image pour illustrer cette importance nous vient de l’histoire de Jahima qui va à la rencontre du prophète (sws)  pour prendre ses conseils avant de partir aux expéditions du Jihad et c’est là que le prophète lui dit clairement :« Prends soin de ta mère car le paradis se trouve sous ses pieds ».

En effet, dans l’Islam il n’y a pas de paradis sans la bénédiction de la mère ce qui met en évidence son statut si honorable dans cette religion, un statut qui est même supérieur à celui du père.

Le SaintCoran valorise la mère

Dans le Saint Coran, le Très Haut Allah dit dans le Sourate 4 – Versets 36 : «  Adorez Allah et ne lui donner aucun associé. Agissez avec bonté envers vos père et mère ». Ce verset indique qu’il faut respecter ses parents, ne pas leur dire des mauvaises paroles ou les gronder car Allah les a placés, à travers le Saint Coran, en haute considération.

Une autre valorisation de la maman a été bien illustrée dans le livre sacré des musulmans, plus précisément au niveau du Sourate 31- Versets 14 à 15«  Et nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers son père et sa mère : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché ; et sa gestation et sevrage durent trente mois ; puis quand il atteint ses pleines forces et atteint ses quarante ans, il dit : O Seigneur ! Inspire-moi pour que je rende grâce au bienfait dont tu m’as comblé ainsi qu’à mes père et mère, et pour que je fasse une bonne œuvre que tu agrées et fais que ma postérité soit de la moralité saine ».

Il est alors bien clair que l’Islam, à travers toutes ses composantes, a donné à la maman un privilège bien déterminé comme étant un instrument de vie irréprochable que l’on doit toute notre existence et à qui on doit toujourslui rendre grâce.

 

Sources: Il était une fois une histoire 

Le Muslim poste

Soubhana Allah; des cellules fœtales viennent à la rescousse de la mère en cas de maladie

Echange cellulaire entre le f tus et sa mere

 

Durant toute grossesse, il existe un échange cellulaire entre mère et fœtus. Des cellules souches hématopoïétiques ou mésenchymateuses constituent une partie des cellules fœtales transférées dans la circulation maternelle et pourraient constituer un réservoir de cellules. .

Les échanges entre le sang de l'enfant et celui de sa mère se fait par l'intermédiaire du placenta, auquel l'embryon est relié via le cordon ombilical.

Le placenta (gâteau en latin) est l'organe reliant le futur bébé et le corps maternel au niveau de l'utérus, permettant les échanges entre le futur bébé et la mère. De plus, il produit les hormones de la grossesse. A terme, c'est un disque de 20 cm de diamètre, de 3 cm d'épaisseur et pesant environ 500 g.

Grâce à la membrane des villosités placentaires (Replis du tissu placentaire qui baignent dans le sang maternel, permettant les échanges entre la mère et le fœtus), le sang maternel et celui du fœtus restent toujours séparé. Ces villosités forment un filtre.

Chaque heure, 4 litres de sang sont filtrés par le placenta. La plupart des bactéries sont arrêtées mais certains virus (par exemple celui responsable de la toxoplasmose) passent la barrière placentaire. C'est aussi le cas de certaines drogues et du tabac. Il ne faut prendre aucun médicament sans connaître le risque de passage et de l'effet éventuel sur le fœtus.

Le cordon ombilical relie le nombril du futur bébé au placenta (et non pas au nombril de la maman comme on l'imagine parfois...). Les veines du cordon ombilical puisent du sang oxygéné et plein de nutriments dans le placenta et l'artère ombilical rejette le sang chargé de déchets et de dioxyde de carbone du fœtus.

Echange cellulaire entre le fœtus et sa mère

Durant toute grossesse, il existe un échange cellulaire entre mère et fœtus. Des cellules souches hématopoïétiques ou mésenchymateuses constituent une partie des cellules fœtales transférées dans la circulation maternelle et pourraient constituer un réservoir de cellules. .

Une cellule souche est une cellule indifférenciée, capable de s'autorenouveler, de se différencier en d'autres types cellulaires et de proliférer en culture. Les cellules souches sont issues soit de l'embryon, soit du fœtus, soit de tissus adultes avec ou sans transformation, elles peuvent aussi être obtenues par transfert de noyau. Grâce à ces propriétés, elles peuvent servir à régénérer ou recréer des tissus détruits : c'est la thérapie cellulaire.

Rôle des cellules souches

Les cellules souches ont différentes fonctions dans les organismes.

À l'état fœtal ou dans les premières phases du développement embryonnaire, elles se multiplient pour générer peu à peu toutes les cellules du corps, qu'elles soient différenciées ou non.

Dans les tissus adultes, les cellules souches sont beaucoup plus rares et regroupées dans des régions particulières des organes. Elles contribuent au renouvellement naturel des tissus (un globule rouge vit en moyenne 120 jours et doit être remplacé, par exemple) ou à leur réparation en cas de lésion. Cependant, tous les organes n'en sont pas pourvus, comme le cœur et le pancréas.


Des Cellules du Fœtus Survivent dans le Sang Maternel

C'est vrai : des cellules fœtales peuvent franchir la barrière que le placenta constitue entre la mère et son enfant. On le sait depuis la découverte en 1969 de cellules masculines (porteuses du chromosome Y) dans le sang de femmes enceintes de garçons.

Nornalement, des cellules fœtales ne devraient pas pouvoir passer la barrière du placenta, censée n'autoriser que les échanges nécessaires à la nutrition et à l'oxygénation du fœtus à travers les vaisseaux sanguins maternels et fœtaux qui s'y côtoient étroiement. Et quand bien même elles y parviendraient, elles devraient être immédiatemenl éliminées par le système immunitaire maternel, puisque son rôle est de traquer dans l'organisme tout élément étranger.
Comment sont-elles alors arrivées là ? Eh bien, cela reste un mystère complet ! Il est vrai que la présence de ces cellules est difficile à étudier. "En eflet, il n'y a que de une à trois cellules fœtales par millilitre de sang maternel, dans lequel elles sont mélangées à 10 millions de globules blancs et 5 milliards de globules rouges", explique Patrizia Paterlini, de l'unité Inserm carcinogenèse hépatique et virologie moléculaire de l'hôpital Necker, à Paris. Plusieurs types de cellules s'échappent ainsi du fœtus : des globules blancs et rouges, des cellules du placenta (lui-même constitué de cellules fœtales et de cellules maternelles), et des cellules "précurseurs" qui peuvent donner naissance à plusieurs types de cellules sanguines. Et le plus étonnant, c'est que ces dernières peuvent persister dans l'organisme maternel après l'accouchement pendant... des décennies ! A tel point qu'on a trouvé des cellules fœtales dans le sang d'une femme ayant accouché 51 ans auparavant. Phénomène également observé en cas de fausse couche ou d'avortement.
On a d'abord cru que ces cellules baladeuses s'attaquaient à la mère, un peu comme des cellules greffées détruisent parfois l'organisme qui les accueille (c'est la réaction du greffon contre l'hôte). Dans ce scénario, les cellules fœtales étaient alors désignées comme l'origine d'un dérèglement du système immunitaire, causant des maladies auto-immunes telles que le lupus ou la sclérodermie. D'ailleurs, les femmes souffrant de sclérodermie ont de 20 à 50 fois plus de cellules fœtales dans le sang que les femmes en bonne santé. "Cette hypothèse est possible, mais d'autres facteurs entrent forcément en jeu dans le déclenchement de ces maladies", tient à souligner Diana Bianchi, du Tufts University School of Medicine à Boston, qui penche pour un rôle autrement plus positif des cellules fœtales. Un rôle crucial, même : elles pourraient constituer une réserve de cellules souches venant à la rescousse de la mère en cas de maladie. Un mécanisme qui a été mis en évidence chez la souris. "On sait avec certitude que les cellules fœtales se dirigent vers des tissus préalablement lésés, comme le foie, et qu'elles les réparent en créant un tissu sain", explique Diana Blanchi.

UNE ARMÉE DE CELLULES FŒTALES

Dans la peau, elles peuvent créer de nouveaux vaisseaux sanguins ; et dans le cerveau, de nouveaux neurones. Car c'est là toute leur qualité : elles sont capables de se différencier en fonction du tissu malade qui les recrute". Ce qui expliquerait d'une tout autre manière le fort taux de cellules fœtales présentes en cas de maladie auto-immune : sorte d'armée appelée en renfort, ces cellules constitueraient une véritable thérapie cellulaire qui, pour Diana Bianchi, "conférerait un avantage évolutif aux femmes ayant enfanté".
Mais si leur rôle semble aujourd'hui éclairci, leur capacité à échapper au système immunitaire de la mère reste, elle, une énigme. Pour réussir à circuler librement, les cellules fœtales empêchent peut-être certaines protéines, susceptibles de révéler leur imposture, de s'afficher à leur sufface, et passent ainsi inaperçues du système immunitaire... mais pas des médecins. De fait, tandis que se poursuivent les recherches fondamentales, ces derniers sont aujourd'hui capables d'isoler ces cellules et de les utiliser pour effectuer un diagnostic précoce du fœtus à pàrtir d'une simple prise de sang de la mère.

http://planete.gaia.free.fr/animal/homme/bio.embryon/cellules.foetus.html

http://e-sante.futura-sciences.com

http://www.chambon.ac-versailles.fr/science/sante/repr/bb.htm

 

  • e6un7

 

Pourquoi les fœtus bâillent dans le ventre de leur mère?

À l’heure des accélérateurs de particules et de la génomique, de la 3D et de l’exploration de Mars, il existe encore des questions très simples devant laquelle la science reste désespérément muette. Par exemple : pourquoi bâillons-nous ? Tout le monde bâille, les animaux bâillent, les lions, les chiens, les rats et les hippopotames, mais personne ne sait pourquoi.

Plusieurs hypothèses ont été formulées. Actuellement, la plupart des recherches sont réalisées sur la nature contagieuse du bâillement, et sur son côté fortement suggestif. Ainsi, en nous lisant, 60 pour cent des lecteurs auront envie de bâiller, et cela n’a rien à voir avec le fait que ce texte soit éventuellement ennuyeux. Une autre hypothèse est liée au fait que le bâillement élève les concentrations de cortisol, ce qui pourrait contribuer à nous réveiller quand nous somnolons. D’autres chercheurs mettent en avant un effet thermorégulateur ; en fait, au milieu de tout ça, on a du mal à trouver la vraie raison.

Ce que l’on sait depuis peu (et grâce aux travaux de Nadja Reissland et ses collègues de l’Université de Durham en Angleterre), c’est que les fœtus bâillent dans le ventre de leur mère, et qu’ils le font davantage à 24 semaines d’âge fœtal qu’à 36 semaines. Nous voici donc en présence d’une phase du développement embryonnaire qui correspond à une forte tendance au bâillement. Ce qui pousse les chercheurs à penser que le cerveau produit des bâillements à un certain stade de sa construction car cela participerait effectivement à la régulation du flux sanguin cérébral et que cela stimule une certaine forme de maturation du cerveau dépendante de l’activité motrice. Passée cette phase, le fetus bâille beaucoup moins ; même après, les enfants de six ans bâillent moins que ceux de deux ou trois ans. Or, c’est aussi à six ans qu’apparaît le bâillement par imitation, qui fait que tout le monde commence à bâiller en soirée lorsqu’une personne lance le mouvement. D’où une possibilté : le bâillement serait intialement un comportement foetal spontané, remplissant une fonction de maturation du cerveau. Nous le conserverions ensuite comme un vestige, qui se réactiverait à la vue d’autres personnes en train de bâiller - ou bien, évidemment, lorsque nous sommes vraiment trop fatigués.

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-bailler-avant-meme-de-naitre-30762.php

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