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judaïsme

Les propriétés de l'épouse dans le Christianisme, le judaisme et l'Islam

Dans le Christianisme :

Jusqu'à récemment, ils suivaient les mêmes règles que le judaïsme. Les familles offraient à leurs filles des dots. Une femme pouvait réclamer sa dot si le mariage était annulé, sauf si elle était coupable d'adultère. Dans ce cas, elle perdait son droit à la dot au profit de son mari. La femme mariée en Europe et en Amérique chrétienne perdait son droit sur ses biens et ce jusqu'à la fin du 19ème siècle et début du 20ème. Elle perdait ses biens et sa personnalité. Aucun de ses actes n'avait de valeur légale. Pire, si une personne avait participé avec elle, cette dernière était coupable de crime et accusée de complicité de fraude. Elle ne pouvait ni attaquer en justice ni être attaqué, ni pouvait attaquer en justice son propre mari. L'épouse appartenait à son mari, elle perdait ses biens, sa personnalité légale et son nom de famille.

Dans le judaïsme :

Le mari possède son épouse comme s'il possédait une esclave. Cette conception est la raison du double norme dans les lois de l'adultère et du pouvoir du mari à annuler les serments de sa femme. Dès qu'une femme est mariée, elle perd complètement n'importe quel contrôle sur ses propres biens ou sur ses gains au profit de son mari. "Puisqu'il a pris possession d'une femme, n'est-il pas logique qu'il prenne possession de ce qu'elle possédait?". Le mariage peut rendre la femme la plus riche pratiquement sans le sou. Le Talmud décrit la situation financière de la femme : "Comment une femme peut-elle posséder quoique ce soit? Tout ce qui est à lui est à lui, et ce qui est à elle est aussi à lui...Ses propres salaires et ce qu'elle trouve dans la rue sont aussi à lui. Les objets du foyer, jusqu'aux miettes de pain sur la table sont à lui. Si elle aurait un invité à la maison et qu'elle le nourrissait, cela serait voler son mari..." (San. 71a, Git. 62a). Toute propriété de la femme n'a pour fonction que de susciter des prétendants au mariage. La famille juive assigne à une fille un part des biens du chef de famille pour l'utiliser comme dot en cas de mariage. C'est à cause de cette dot qu'avoir des filles est un fardeau pour les pères. La dot est un cadeau de mariage présenté au mari. Le mari devient propriétaire de la dot après le mariage et l'épouse perd tout contrôle. On lui demandait de travailler après le mariage et tous les gains qu'elle récoltait va au mari. Elle peut reprendre ses biens qu'en 2 occasions : le divorce ou la mort de son mari. Si la femme meurt en premier, le mari héritait de ses biens tandis que si l'homme meurt, la femme reprend sa dot originale sans prendre les biens de son mari.

Dans l'islam :

Depuis le 7ème siècle de l'ère chrétienne, l'islam a octroyé aux femmes mariées la personnalité indépendante que l'occident judéo-chrétien lui a refusée. La mariée et sa famille ne sont pas obligées de présenter un cadeau au mari. La fille n'est pas un handicap. Elle n'a pas besoin de cadeaux pour attirer des maris potentiels. C'est au prétendant de présenter un cadeau de mariage. Ce cadeau est la propriété de la femme, ni le prétendant, ni la famille n'ont de droit dessus. Elle retient ses cadeaux de mariage même si elle divorce plus tard. La mari n'a aucun droit sur les biens de sa femme excepté ce qu'elle accepte de lui offrir. "Et donnez aux épouses leur mahr, de bonne grâce. Si de bon gré, elles vous en abandonnent quelque chose, disposez-en alors à votre aise et de bon coeur" (Sourate 4 ; verset 4). Les biens sont sous son contrôle total et pour son utilisation car c'est le mari seul qui a la charge de subsistance de l'épouse et des enfants. Elle n'est pas obligée de subvenir aux besoins de la famille sauf si elle le veut volontairement. Les époux héritent mutuellement. Une femme mariée conserve son statut juridique légal en toute indépendance et son nom de famille.

 

http://journal-musulmane-reconvertie.over-blog.com/article-les-proprietes-de-l-epouse-111997863.html

 

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Le principal désaccord théologique entre judaïsme et islam

Islam, christianisme, judaisme

En fait il y a un désaccord théologique entre le judaisme, le christianisme nicéen et l'Islam  : c'est sur un ou quelques points principaux que chacune de ces trois religions est en désaccord théologique avec les deux autres.

Le principal désaccord entre le christianisme nicéen et l'islam porte sur la nature de Jésus : dans la croyance chrétienne, Jésus n'est pas créé mais engendré, et n'est pas en dehors de Dieu .

Et le principal désaccord théologique existant entre le judaïsme (selon la forme qu'il a prise au cours du temps) et l'islam porte sur l'héritage des promesses faites à Abraham. Pour le judaïsme, les fils d'Israël en sont les seuls bénéficiaires, de sorte que c'est dans leur lignée seulement que, après Abraham, les prophètes sont apparus ; de plus, selon cette religion, il n'y a plus eu de prophète authentique après Malachie. Par contre, pour l'islam, si l'Alliance a effectivement été conclue d'abord avec les fils d'Israël, elle a ensuite, après l'échec de la mission de Jésus, été conclue avec les fils d'Ismaël (cliquez ici), de sorte que c'est chez eux qu'est apparu le prophète ultime, Muhammad, dont le message s'adresse à l'humanité tout entière.

Ci-après un passage extrait d'un écrit d'un savant indien en sciences de l'islam, Shâh Waliyyullâh (Al-Fawz ul-kabîr, pp. 29-31). Il parle des trois messages reçus de Dieu par Moïse, Jésus et Muhammad respectivement, et de ce que certaines personnes adhérant jusqu'alors au contenu d'un message antérieur ont pu penser lorsqu'elle se sont trouvées confrontées à un message ultérieur.

Il écrit : "Chaque message enseigne le principe suivant : il y aura une différence entre ce qu'il adviendra [dans l'au-delà] de celui qui aura adhéré à cette religion [en croyances] mais n'aura pas pratiqué [en actes], et ce qu'il adviendra de celui qui aura catégoriquement refusé d'y adhérer. (…) Or cette réalité a été exprimée dans chaque message en désignant celui qui y adhère par un nom spécifique :
– dans la religion se référant à la Loi mosaïque, il est désigné par : "le fils d'Israël" ;
– dans la religion se référant à l'Evangile, par : "celui qui adhère au message de Jésus" ;
– et, dans le Coran, par : "celui qui adhère au message de Muhammad".
En réalité le pivot de ce principe est la foi en Dieu et en le jour dernier, ainsi que l'adhésion à la Voie du Messager dont on vit à l'époque ; le pivot n'en est pas le nom en soi [, et celui qui aura eu foi en Dieu et en le jour dernier, et aura adhéré à la Voie du Messager dont il a connu l'époque, celui-là aura le bonheur dans l'au-delà].
Mais certaines personnes se sont mises à penser que le pivot est le nom employé dans ces textes du passé, même si la personne ne remplit plus la condition du pivot véritable, comme nous l'avons expliqué, c'est-à-dire même si elle ne croit pas de façon correcte en Dieu, ou bien même si elle n'adhère pas à la Voie du plus récent Messager de Dieu [bien que cette Voie soit parvenue jusqu'à elle]."

Il écrit également : "De même, Dieu a nommé le peuple qu'Il a choisi pour être, par le biais de l'adhésion à la Voie du Messager du moment, les porteurs immédiats de Son Message : "le peuple choisi", les "bien-aimés de Dieu". Cette réalité a été exprimée dans chaque message selon les expressions en usage chez ce peuple à son époque – c'est d'ailleurs pourquoi il n'y a rien d'étonnant à ce que, avant le message donné à Muhammad, les termes "fils de Dieu" aient été employés par Dieu pour signifier : "les bien-aimés de Dieu".
Mais certaines personnes se sont mises à penser que cette appellation (de "peuple choisi") de la part de Dieu est liée au peuple en tant que tel ; elles n'ont pas compris qu'elle n'est pas liée à l'appartenance à un peuple mais à l'adhésion à la Voie du Messager de l'époque qui a cours."

Shâh Waliyyullâh dit encore : "Dans chaque message, des règles ont été édictées en conformité avec les usages du peuple destinataire et en conformité avec la situation prédominante du moment. De plus, dans chaque message l'emphase a été mise sur le fait d'avoir la ferme conviction que ce message est la vérité et qu'il est nécessaire d'y adhérer. L'objectif réel, à chaque fois, est de dire qu'il est nécessaire d'y adhérer pendant la période où il est applicable, c'est-à-dire jusqu'à ce que vienne un nouveau messager, porteur d'un nouveau message, qui comportera certaines règles qui seront édictées conformément aux nouvelles situations et aux usages différents.
Mais certaines personnes se sont mises à penser que les propos [de Dieu ou de l'un de Ses prophètes] enjoignant de ne pas cesser de se référer à telle Ecriture sont de portée intemporelle et qu'il est impossible que Dieu – par le moyen d'une règle différente, communiquée à un moment ultérieur à un Messager ultérieur parce que la situation a changé ou que l'ancien usage n'est plus de vigueur – abroge une règle qu'Il avait communiquée à un moment antérieur par l'intermédiaire d'un Messager antérieur."

 

http://www.maison-islam.com/articles/?p=480

 

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Les religions et l'extase

symboles religeux, religions

 

Le bonheur absolu

Les philosophes : ils ne savent pas comment excuser Dieu ; c'est pourquoi ou bien ils le nient, ou bien ils le prouvent : ce qui revient au même. En effet au lieu de chercher d'abord à le voir, ils commencent par le concevoir. Jacques Rivière"

Ne discutez pas les doctrines et les religions, elles sont une.
Toutes les rivières vont à l'océan.
La grande eau se fraie mille chemins le long des pentes.
Selon les races, les âges et les âmes, elle court dans des lits différents, mais c'est toujours la même eau." Ramakrishna

Insouciant, dans la joie, contemplatif, naïf, paisible, voici le béat.

L'humanité est vouée à atteindre sa perfection. Cette perfection, c'est la sagesse et l'extase. Telle est la base de notre philosophie.

Une expérience universelle

En divers écrits et sous diverses appellations, les courants spirituels et philosophiques ont dépeint l'expérience extatique.

Certains l'appellent Bhakti (l'hindouisme), devekout (le judaïsme), béatitude ou félicité (le christianisme). D'autres l'a nomment hâqiqa, fanâ (l'islam), nirvana ou éveil (le bouddhisme). D'autres encore, l'intitulent ataraxie, époché, splendeur, joie (Spinoza) ou souverain bien (Aristote)..

Tout ces termes, décrivent la même sensation psychique.

Une technique identique

Pour atteindre cet état, les religions proposent des techniques fondamentalement similaires. Prière et ascèse pour le christianisme. Méditation, éveil et ascèse pour le bouddhisme et le zen. Prière et récitation pour le judaïsme, le bouddhisme et l'islam. Etc.

Ces techniques ont le même but : conduire au renoncement, à l'anéantissement du moi et à la sublimation. Elles font toutes appel à la méditation, au contrôle du corps, au jeûne, ou au monachisme.

 

Le judaïsme

La splendeur dans le judaïsme, le Zohar

judaismeL'intention de s'unir physiquement avec Dieu, apparaît dés le départ du monothéisme. Elle est au centre des préoccupations de sa religion mère : le judaïsme.

Pour atteindre la splendeur (zohar) le hassidisme (un des courants du judaïsme), propose : une ascèse vigilante et joyeuse (pour purifier l'âme), le dépouillement, et l'humilité (anava) nécessaires à la prière du cœur, à la concentration (awana) à l'adoration (aboda) à l'embrasement de l'amour (nitlahavout) enfin au mystère et à la consommation de l'union (devekut).

Le but est d'incarner la vie intérieure de Dieu. C'es l'itinéraire de l'homme en marche vers l'union mystique, aïn, seuil indicible du non être.

La prière, la justice, la pénitence réparent la brisure du péché. Elles permettent la rédemption venue de Dieu seul. Elles ouvrent sur la plénitude du royaume sans frontières de l'amour.

La correspondance entre dieu et l'homme est absolue. Extraits du livre de la splendeur (sepher ha zohar)

 

Le christianisme

L'état d'oraison dans le chistianisme

christianismeCette quête de l'absolu, se retrouve bien entendu au sein du christianisme. Elle fait partie des socles sur lesquels est construit cette grande religion.

Dans l'expérience spirituelle de la contemplation, le sujet éprouve intimement et physiquement la présence de Dieu.

Pour que l'homme soit capable de Dieu, il faut qu'il se désapproprie de lui-même.

La mort de l'amour propre, la purification des sens intérieurs, l'abandon de la volonté constitue les principaux aspects de ce chemin d'abnégation.

Le dépouillement de soi-même passe d'abord par l'abandon de l'amour que l'on se porte, le renoncement à tous les besoins de gratification sociale, affective et morale qu'éprouve le moi

L'Islam

La haqîqa, le fanâ, pour les musulmans

islamOn trouve, bien évidemment, l'extase au cœur de l'islam. C'est la recherche principale du soufisme.

Pour cette grande religion, la troisième et ultime étape de la vie spirituelle, conduit à la haqîqa, à la vérité. Elle marque la coïncidence des contraires, des opposés.

C'est le domaine de l'union, de l'unicité, de la dissolution ou dilution de l'humain dans le divin.

Le voyageur spirituel acquiert une humanité pour ainsi dire angélique pour arriver enfin à une humanité divinisée où il est dit que l'homme est annihilé en dieu qui, seul subsiste.

Les attributs humains sont remplacés par les attributs divins. Le chercheur devient ainsi l'objet de sa quête. Il est lui-même le but.

Lorsque tu te connais, ton ego illusoire est enlevé et tu n'es autre qu'Allah.

http://mecaniqueuniverselle.net/bonheur/religion-extase.php

L'eau et les ablutions dans les religions monothéistes

Au début, l’eau est alors un des quatre éléments fondateurs du monde avec l’air, le feu et la terre) et de nombreuses sociétés primitives l’ont divinisée. Les égyptiens tout d’abord avec le Nil qui rythmait la vie de l’Égypte ancienne par ses crues qui fertilisaient et irriguaient les terres le bordant, les romains ensuite avec les thermes qui étaient voués à deux usages : les bains hygiéniques et les immersions dans les eaux curatives. Mais il n’en reste pas moins que la guérison thermale est due au pouvoir bénéfique de l’eau, qui provient donc du caractère sacré des divinités qui l’habitent. Ces deux exemples ne sont bien sûr qu’une infime partie des cultures polythéistes qui ont divinisé l’eau. Avec le judaïsme et ensuite le christianisme et l’islam, l’eau a perdu son caractère divin tout en conservant pour autant son aspect sacré. Dans cette partie du projet pluridisciplinaire, nous ne traiterons ainsi que du symbolisme de l’eau dans les trois grandes religions monothéistes. Cette brève étude sera complétée par les interviews d’un rabbin, d’un prêtre et d’un imam qui nous dirons ce que représente l’eau pour eux dans leur lien intime avec la pratique de leur religion. En effet, les religions du Livre – judaïsme, christianisme et islam – ont toutes pris naissance dans des zones désertiques, où l’eau reste précieuse, “ don de Dieu ”.

L’eau dans l’ancien Testament apparaît comme « principe créateur, au travers des nuées, brouillards (…). C’est de l’eau et de la terre qu’est façonné le premier homme ». L’épisode du déluge montre ensuite le caractère destructeur et purificateur de l’eau : les hommes qui ne respectent pas la loi divine sont noyés et seul Noé et son Arche survivront aux flots dévastateurs. Le symbole de l’arc en ciel, qui crée l’alliance entre Dieu et les hommes sauvés a ses fondements … sur l’océan. Il est intéressant de noter que de nombreux travaux ont démontré l’existence d’un tel épisode dans les textes fondateurs des grandes civilisations, comme l’Amérique Latine, l’Egypte ou la civilisation mésopotamienne, où l’on retrouve des éléments de déluge liés à une notion de jugement et de sélection par les flots à la fois dévastateurs et purificateurs. Le déluge reste dans la plupart des cas rattaché à une faute rituelle, issue des péchés des hommes ou de la décrépitude du monde. Le déluge est ainsi la re-création du monde, sa régénération. Citons par exemple les religions australiennes, où une grenouille géante absorbe toutes les eaux. Soufrant de la soif, les animaux décident de faire rire la grenouille, qui alors libère les eaux emprisonnées. La Parole, tant dans le Deutéronome que dans la Thora et ses 613 Tables de la Loi, est comparée à une pluie bénéfique, chargée de s’infiltrer sur la terre. L’eau, élément protecteur des bons et destructeurs des méchants, se retrouve dans l’épisode du passage de la Mer Rouge par Moïse, lui même « sauvé des eaux ». Dans le cantique des cantiques, la fiancée, la Terre d’Israël, est désignée comme la fontaine des jardins. L’eau est également présente sous forme de rosée, et ainsi la Rosée de Pâques symbolise la survie du peuple hébreux, cette renaissance ou résurrection est symbolisée par le jour nouveau et la manifestation bénéfique de l’aube au travers de la rosée. Il semble que les rites de purification aient été poussés très loin du temps du Christ, peut-être à cause des épidémies de peste. Par exemple, les esséniens pratiquaient un bain de purification avant chaque repas, comme l’indiquent le nombre de piscines retrouvées à Qumram.

L’eau et le judaïsme

Les premiers rites

Le rite et les symboles liés à l’eau et la purification sont nombreux dans la religion juive.

L’eau intervient souvent dans le déroulement d’un culte comme vecteur de pureté et de spiritualité. Rappelons en effet que Moïse a dû laver son corps et ses vêtements pour recevoir la Loi divine. L’eau et l’action de se laver instaurent donc une limite entre le matériel et l’immatériel, entre l’homme et le divin. On retrouve le symbole de l’eau, lien visible entre le ciel et la terre. Les rites d’eau sont de trois types : ablution, aspersion ou immersion. Ils restent indissociables d’une purification qui d’abord s’appliquait surtout aux prêtes. Après la destruction du temple, ces sites ont concernés tous les pratiquants, la purification ayant valeur d’aide à reconstruire le temple.

Les rites de purification, consignés dans le Lévitique, sont :

Lavage des mains après avoir lu les textes religieux, de façon à bien dissocier la vie spirituelle de la vie matérielleImmersion des femmes venant d’accoucherLavage des mains avant la prière du matin et avant de bénir chaque repas.

Il existe un rituel de contact entre l’eau et les mains : prendre par 3 fois de l’eau d’un pichet et la faire couler doucement sur chaque main. Ce temps permet là encore de créer « un sasse » entre les phases matérielle et spirituelle. Pour Pâques et Rosh Ashanah, le lavage des mains est instauré. La fête du Soukhot remonte à la tradition du second temple (VIè siècle avant JC) et symbolise les récoltes et vendanges automnales. Elle comprend toujours une prière pour la pluie et une évocation des eaux du ciel (nuages qui entourent le trône de Dieu). La fête de Shavouot (commémoration de la révélation faite à Moïse) est célébrée au Maroc en particulier en se jetant de l’eau les uns sur les autres pour fêter l’eau qui sauva Moïse.

Le bain rituel

Il se pratique dans le Miqvé. Les textes spécifient qu’ils doivent se faire dans des eaux non dormantes (eaux de pluie, rivières, sources, …). Le bassin d’eau de pluie qu’est le Miqvé représente ce lieu de purification. De taille suffisante pour recevoir plusieurs individus et pour qu’ils s’y immergent, c’est un lieu de culte et un lieu de rencontre où l’on vient se purifier ; comme par exemple pour marquer la fin des périodes menstruelles des femmes. Le Miqvé s’est étendu sur le pourtour de la méditerranée et en Europe centrale alors que les thermes romaines prenaient également de l’ampleur. Mais la signification reste opposée : les thermes romaines sont des lieux de plaisir et dévolus au corps alors que les miqvés sont parfois le centre de recueillement de la communauté juive, comme on peut encore le voir à Montpellier, Venise ou Cracovie. Originellement constitués pour des pays arides, ils ont souvent évolués, notamment en Europe, vers des bains enterrés, en relation directe avec les nappes phréatiques les plus pures.

L’eau dans le Nouveau Testament

L’ensemble des textes du nouveau testament reprend et prolonge les écrits anciens et en particulier les différents symboles. Les écrits se situent également dans la même zone géographique, où l’eau revêt une importance naturelle et sociale déterminante. Il n’est donc pas étonnant que nous retrouvions l’eau dans symbolique catholique, dans les rites de l’eucharistie et dans la plupart des paraboles. Par exemple l’eau du puits de la samaritaine : Jésus demande à boire à une étrangère et en échange dit « qui boira l’eau que je lui donnerai, n’aura plus jamais soif : l’eau que je lui donnerai devient en lui source d’eau jaillissante en vie éternelle « L’eau devient conductrice de divinité et de vie éternelle. Ce symbole est repris abondamment notamment par les grands mystiques comme Ste Thérèse d’Avila ou St Jean de la Croix : l’atteinte de la perfection divine ressemble à un arrosage et une irrigation de l’âme. Jésus commence sa vie publique en transformant l’eau en vin, lors des fêtes de Cana. Puis il guérit un paralytique en « le jetant dans les eaux bouillonnantes ». Ensuite il marche sur l’eau. Alors qu’ils subissent une tempête importante et que la barque se remplit d’eau, « lui, s’étant éveillé, imposa silence aux vents et aux flots, qui s’apaisèrent et il se fit un grand calme ». Un symbole souvent difficile à expliquer concerne sa crucifixion : au moment d’expirer, de son flanc sort de l’eau qui se mêle au sang.

L’eau et les religions chrétiennes

Les fêtes chrétiennes reprennent abondamment la symbolique de la purification. Le baptême reprend la scène décrite par les Evangiles où Jésus s’est fait immergé dans le Jourdain par Jean le Baptiste, moment où il reçoit la révélation : Dieu le désigne comme son fils et une colombe vient se poser sur son épaule. « Moi, je vous baptise dans l’eau », dit Jean « et lui vous baptisera dans l’Esprit ». Les baptisés sont immergés partiellement ou aspergés pour devenir « fils de Dieu » : St Jean dit « si quelqu’un ne renaît pas de l’eau et du St Esprit, il ne peut pas entrer dans le royaume de Dieu ».

Le sacrement du baptême

Ce sacrement se retrouve aujourd’hui chez tous les chrétiens, avec une présence plus ou moins forte de l’eau. On retrouve déjà des ablutions d’ordre initiatique dans les temples d’Isis et Mythra. Par différence aux religions plus anciennes, le baptême n’est donné qu’une fois, comme rite d’initiation. L’immersion des statues de saints semble issue de pratiques héritées de religions antérieures. Les chrétiens continuent à organiser des pèlerinages vers des lieux sacrés liés à l’eau (Saintes Marie de la Mer). Les Baptistes, qui regroupent des mouvements où la cérémonie du baptême et des ablutions joue un rôle central, pratiquent encore l’immersion complète. Les orthodoxes peuvent avoir des rites très complets d’immersion et d’onction d’huile. L’utilisation de l’eau dans le rite de la messe est importante : l’eau bénite est utilisée en introduction du sacrement, par aspersion de l’autel (5 croix). L’eau bénite provient de la bénédiction du samedi sain, alors que le saint crème, l’huile bénite est bénie lors de la messe du matin du jeudi saint. Souvent l’eau bénite est mélangée au saint crème. Après l’offertoire, moment où le prêtre accompagne la transfiguration du pain et du vin (coupé d’eau) et où l’assemblée communie, le prêtre se lave les mains. Un psaume l’accompagne, le psaume 26 « lavabo (je laverai) ». Le terme Lavabo vient de cet usage. L’eau mélangée au vin lors de l’eucharistie représente l’humanité qui se mélange dans le sang du christ. Chez les orthodoxes, l’eau ajoutée est bouillante (la chaleur de la Foi qui a reçu l’Esprit sain). Comme nous l’avons déjà vu, l’eau (en particulier les sources) revêt une importance capitale au moyen âge. Les sources bénéfiques sont protégées par des saints et y sont attachées des légendes où se mêlent les épisodes religieux et des anciennes coutumes celtes ou druidiques. Les sources miraculeuses sont à elles seules des lieux de culte importants. On ne citera que celui qui rassemble tous les ans au mois d’Août un nombre important de malades croyants ou non : Lourdes. La coutume veut qu’ils soient plongés dans la source qui a jailli du rocher où Bernadette a vu la Vierge. Les pèlerins emportent souvent un peu d’eau miraculeuse avec eux.

L’eau dans le Coran

L’eau occupe une place prépondérante dans l’Islam, non seulement de par sa valeur intrinsèque, pour une civilisation qui s’est surtout développée dans des pays désertiques, mais aussi par la symbolique très précise qu’elle véhicule. En effet l’eau présente dans le désert revêt deux formes ambivalentes : l’eau destructrice des oueds et des orages et l’eau bienfaitrice des jardins luxuriants. Le Coran cite 63 fois le mot « eau » (ma’). C’est grâce à une source “ zam zam ” que la servante d’Israël qui porte son fils est sauvée. Cette source sacrée fait partie intégrante des sites du pèlerinage de La Mecque et le pèlerin doit s’y baigner et en rapporter quelques litres. Quand Mahomet reçoit la parole, il demande qu’on le couvre d’une cape et qu’on l’asperge d’eau.

La purification

Le coran dit ainsi “ Vous qui croyez, si vous vous mettez en devoir de prier, alors rincez-vous le visage et les mains, jusqu’aux coudes, passez-vous la main sur la tête et sur les pieds jusqu’aux chevilles. Si vous êtes en état d’impureté, alors purifiez-vous ”. La purification, comme pour les autres religions du Livre, revêt donc un aspect fondamental, mais cette fois au quotidien. En effet les musulmans se purifient avant les cinq prières quotidiennes par un rite très précis, touchant et aspergeant toutes les parties du corps dans un ordre très précis, de la tête vers les pieds, en commençant par le côté droit du corps. L’eau utilisée doit elle même être pure et n’avoir eu aucun contact avec des impuretés ou des êtres impurs.

Le pèlerinage à la Mecque

Evènement très important dans la vie d’un musulman, le pèlerinage répond à un trajet très précis, passant en particulier par la source sacrée de zam zam. Les pèlerins doivent se baigner (ou du moins accéder à l’eau et s’asperger) et se recouvrir d’un linge blanc, puis continuer jusqu’à la cité sainte, où les dernières étapes évoquent l’eau à de multiples reprises.

Les lieux d’ablution

La fontaine au centre de la cour de la Mosquée semble provenir de la coutume architecturale romaine du Pluvarium, destinée à recevoir les eaux de pluie et à maintenir une certaine humidité dans les villas. Elle est parfois transformée en puits plus ou moins ouvragé, et sert aux croyants dans le rite de purification. La piscine rituelle, Midha, a bien sûr comme origine la midva judaïque. Sa forme et sa localisation sont très semblables, mais son usage reste plus rituel et moins communautaire. Le Hammam est à l’origine un lieu de purification et de recentrage sur soi important. Plus proche du lieu de vie communautaire que la midha, il reste encore aujourd’hui un lieu privilégié de détente et de confidence.

Pierre Eric TREYEN

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Le clonage entre la science et la religion

Clonage 

Le clonage des êtres humains

 Une équipe de recherche Sud Coréenne vient de démontrer la possibilité de cloner des embryons humains à des fins thérapeutiques. Cette nouvelle est une véritable révolution puisque jusqu'à présent, les spécialistes s'accordaient pour dire que leclonage de primates était extrêmement difficile à réaliser. Cette nouvelle avancée, qui ouvre des voies thérapeutiques encore difficilement évaluables, repose aussi avec d'autant plus de force la question du clonage reproductif humain.L'une des difficultés principales rencontrée lors du clonage de primates est la perte de facteurs essentiels aux divisions cellulaires, lorsque le noyau est retiré de l'oeuf.

Ces facteurs sont principalement des protéines constitutives d'une structure appelée le centrosome. L'absence de ces protéines entraîne un dysfonctionnement des centrosomes aboutissant à une mauvaise répartition des chromosomes lors de la division cellulaire, et donc à un chaos génétique (pour plus de précision lire notre article "Le clonage humain est actuellement presque impossible !") L'équipe de chercheurs a démontré que, bien que le processus de clonage demeure inefficace, celui-ci est néanmoins possible. Ils ont utilisé 242 oeufs provenant de dons de 16 femmes qui, simultanément, ont donné les cellules à partir desquels les noyaux ont été prélevés pour le clonage. Il est important de noter que les cellules "donneuses" du noyau utilisées dans cette expérience sont des cellules de soutien de l'ovule, présentes uniquement chez les femmes jeunes.Environ un quart des oeufs s'est développé jusqu'au stade du blastocyste(environ 100 cellules), stade à partir duquel des cellules souchesembryonnaires (CSE) peuvent être obtenues. L'efficacité est similaire à celle obtenue lors du clonage de la vache ou du cochon.

Cependant, les raisons de ce succès sur des cellules humaines demeurent encore inconnues. Il est possible que les techniques employées pour extraire le noyau de l'ovocyte, afin de l'énucléer, aient été plus douces que celles utilisées jusque-là. Parmi les 30 blastocystes cultivés, un seul a permis d'obtenir une lignée de CSE. Là encore, la raison de cette faible efficacité est encore inconnue, même si les chercheurs soupçonnent des anomalies génétiques non détectées qui pourraient en être la cause. Les cellules obtenues ont de nombreuses caractéristiques des cellules CSE, notamment celle de se diviser indéfiniment. Les CSE ont été capables de se différencier en différents types cellulaires, permettant ainsi d'obtenir différents tissus (cartilage, muscle, os), après injection chez la souris. Cette procédure fait naître l'espoir de pouvoir obtenir des cellules souches parfaitement adaptées aux besoins de la transplantation de tissus pour le traitement de maladies comme le diabète, la maladie de Parkinson, d'Alzheimer et même certains cancers. En effet, grâce au clonage, le problème du rejet, rencontré dans toutes les greffes, serait contourné.Cependant, nous sommes encore loin de cet objectif. En effet, il reste de nombreux obstacles à franchir, notamment celui de s'assurer que ces cellules sont bien différenciées et ne deviendront donc pas cancéreuses une fois injectées dans l'organisme. Une autre difficulté pour imaginer un jour utiliser cette technique thérapeutique à grande échelle, réside dans le fait qu'elle utilise des ovocytes humains qui sont des cellules rares et difficiles à obtenir.

Certains scientifiques craignent que l'annonce de cette réussite, et la publication du protocole de clonage, n'incite des scientifiques peu scrupuleux à se lancer dans des tentatives de clonage reproductif. Actuellement, le clonage humain a été banni dans un grand nombre de pays. Cependant, si les avis sont unanimes contre le clonage reproductif, ils sont plus mitigés en ce qui concerne le clonage thérapeutique en raison de l'exceptionnel potentiel thérapeutique de cette technique

 

La position des religions
Face aux différents types de clonage, chaque religion a une opinion qui diffère. Certaines étant plus favorables que d’autres (Bouddhisme, Judaïsme, Protestantisme), mais d’autres complètement contre (Catholicisme, Islam, Orthodoxes).

  -Le Catholicisme : la religion catholique est une des seules religions à respecter un embryon « comme une personne humaine dès le moment de sa conception ». Partant du principe que l’homme est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, les catholiques voient d’un œil méfiant le clonage thérapeutique et sont radicalement contre le clonage reproductif. Cette religion interdit donc les recherches et des thérapies sur l’embryon vu que ceci viole ce principe.

De plus, en 1995, le pape Jean-Paul II, a annonce que « l'utilisation des embryons et fœtus comme objets d'expérimentation représente un crime contre la dignité des êtres humains ». A travers ce discourt, le pape a interdit tout type de clonage, thérapeutique ou reproductif.

-Le Protestantisme : La religion protestante est plus tolérante, sur ce sujet, que la religion catholique, sans pour autant être totalement en accord avec ce sujet. Elle analyse au cas par cas le clonage thérapeutique et accepte seulement s’il y a un apport pour les progrès génétiques. En contrepartie pour clonage reproductif elle est contre, mais elle autorise toutes recherches sur l’embryon, à condition que celles-ci soient bien encadrées, qu’il y ai une visée thérapeutique, une destruction rapide, et qu’il n’y ai pas de commercialisation des produits de l’embryons.

-Le Judaïsme : De même, le judaïsme accepte le clonage thérapeutique mais a la condition qu’il y a un apport thérapeutique. Contrairement a la plupart des autres religions, le judaïsme est en accord avec le clonage reproductif, pourtant il y a encore une condition cet avis, il faut que l’individu concerné soit stérile. Concernant les recherches sur l’embryon, elles sont autorisées sauf pour les embryons in utéro, et il faut qu’elles soient encadrées d’un point de vue ra rabbinique. Le judaïsme considère, contrairement au catholique, qu’un embryon est vivant, donc un humain, quarante jours après la conception.

 

-L’Islam : La religion islamique n’est en aucun cas pour le clonage, qu’il soit reproductif ou thérapeutique. A propos des recherches sur l’embryon; elles sont interdites car ceci déshumanise la vie, mais peuvent êtres autorisées si elles sont le seul moyen pour sauver une vie et même traiter un cas de malformation. Dans la religion islamique, un embryon n’est pas considéré un être humain jusqu'à sa nidification dans la muqueuse utérine.

 

-Le Bouddhisme : Le bouddhisme, comme le catholicisme, s’oppose catégoriquement au clonage thérapeutique, pourtant en ce qui concerne le clonage reproductif, cette religion l’autorise à la condition qu’il n’y a pas de modification de patrimoine génétique. De plus, le bouddhisme autorise les recherches sur l’embryon qu’en cas de bienfaits éventuels. La religion bouddhiste dit aussi que la seule limite éthique est la souffrance.

 

-Orthodoxe : Elles sont contre les recherches sur l’embryon, n’autorisent pas le clonage thérapeutique ou reproductif. Elle pense que un embryon est un être humain des la conception, mais proclame aussi que l’embryon n’est «ni un objet ni un produit commercialisable.»

 

En conclusion, chaque religion a une opinion différente. Pourtant c’est un débat constant. De plus la religion c’est étendu au fur et a mesure du temps et on peu trouver toutes ces religions dans chaque pays. Les pays ont du donc avoir des lois a eu même qui autorisent ou bannissent le clonage, thérapeutique ou reproductif, et les recherches sur l’embryon.


Pour les musulmans

Réponse du Docteur Yûsuf Al-QaradâwîUn des mérites de l'Islam est qu'il embrasse aisément le progrès scientifique et ne met aucune limite à la créativité dans les domaines de la science et de la technologie. Tout au long de l'histoire, on ne trouvera aucune preuve de conflit entre l'Islam et la science, contrairement aux autres religions où les conflits furent nombreux, à tel point d'ailleurs que des scientifiques furent persécutés et jugés pour leurs découvertes.
L'acquisition de la connaissance - essentielle pour le bien-être de l'humanité - est profondément enracinée en Islam. Elle est considérée comme une obligation de suffisance communautaire . La Communauté musulmane devrait avoir un nombre suffisant de scientifiques musulmans maîtrisant au plus haut degré les connaissances scientifiques, et ce, dans tous les domaines.Dans le Coran, Dieu dit qu'Il a accordé au genre humain un énorme potentiel et des talents lui permettant de découvrir les secrets de la nature et d'apprendre les lois de l'univers. L'être humain est en effet le vicaire de Dieu sur Terre et tout l'univers est à son service.Dieu, le Tout-Puissant, dit : "Ne voyez-vous pas que Dieu vous a assujetti ce qui est dans les cieux et sur la terre ? Et Il vous a comblés de Ses bienfaits apparents et cachés. Et parmi les gens, il y en a qui disputent à propos de Dieu, sans science, ni guidée, ni Livre éclairant." (Sourate 31, Luqmân, verset 20)."C'est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la terre, puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux. Et Il est Omniscient." (Sourate 2, La Vache, Al-Baqarah, verset 29).Par conséquent, puisque l'univers entier est au service de l'homme, il lui est permis de l'explorer et d'en sonder les secrets. Dieu le Tout-Puissant dit : "Il y a sur terre des preuves pour ceux qui croient avec certitude, ainsi qu'en vous-mêmes. N'observez-vous donc pas ?" (Sourate 51, Adh-Dhâriyât, versets 20 et 21).

On ne doit pas penser que les découvertes et le progrès de la science sont des transgressions envers Dieu : elles n'ont été accessibles que par l'aide et la guidance de Dieu. Le Tout-Puissant dit dans les premiers versets révélés du Coran : "Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, qui a créé l'homme d'une adhérence. Lis ! Ton Seigneur est le Très Noble, qui a enseigné par la plume. Il a enseigné à l'homme ce qu'il ne savait pas." (Sourate 96, L'Adhérence, Al-'Alaq, versets 1 à 5).Les découvertes peuvent être considérées parmi les signes que Dieu a promis de montrer à l'humanité : "Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que ceci (le Coran) est la Vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute-chose ?" (Sourate 41, Fussilat, verset 53).Notre religion nous enseigne que la science est sans limite. Dieu dit : "Et vous n'avez reçu qu'une faible part de connaissance." (Sourate 17, Le Voyage nocturne, Al-Isrâ', verset 85)."Et dis : "Ô mon Seigneur, accrois mon savoir !" (Sourate 20, Tâhâ, verset 114).

Ceci inclut toute sorte de connaissances utiles, qu'elles soient religieuses ou scientifiques, à condition qu'elles soient conformes à la foi et aux valeurs morales, et qu'elles ne soient pas livrées à elles-mêmes sans les restrictions de la religion, de l'éthique et de l'intérêt général.Dans le Coran, Dieu le Tout-Puissant nous donne deux exemples d'utilisation de la connaissance d'une façon inséparable de la religion.

 

 

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