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Les merveilles d'Allah dans la nature

Fourmi myrmecologie

La nature regorge de spécimens qui témoignent de la grandeur de son créateur

Soubhana Allah, des êtres vivants dotés d’une technologie de pointe !

Les organes de notre corps sont des appareils qui assurent notre bon fonctionnement et chacun de ces organes a un rôle bien déterminé. Certains outils, absents chez l’être humain ont été imaginés par ce dernier alors même qu’ils se retrouvent à l’origine chez d’autres êtres vivants. Cela peut amener à se poser différentes questions…

En effet, l’Homme est arrivé à imaginer ces outils, après des recherches, des essais, des expériences, des efforts et le résultat donné est l’œuvre de son intelligence. Comment expliquer l’origine de ces outils chez les animaux si ce n’est par l’œuvre d’une intelligence suprême ? Voici quelques exemples de ces fameux outils, témoignant de l’existence d’Allah.

  • Un outil multifonction que l’on trouve à l’origine chez certains animaux : La ventouse

Nous nous servons des ventouses dans la vie de tous les jours notamment pour mettre des pare- soleil sur les vitres d’une voiture, ou pour fixer dans la cuisine, le petit crochet en plastique qui supportera les torchons … Certains animaux sont dotés de ventouse et en tirent une plus grande utilité !  En effet, en tant qu’organes de fixation et de locomotion, on les trouve chez les vers parasites comme la sangsue. Chez le rémora, un poisson, on trouve une large ventouse qu’il porte à la partie supérieure de son crâne. Il peut ainsi se coller sur d’autres poissons ou à la coque des navires. Cela lui permet d’effectuer de longs voyages à peu de frais ! La pieuvre, quant à elle, possède des centaines de ventouses alignées sur ses tentacules pour lui permettre de ramper, de saisir sa proie et de se défendre. Les pattes de mouches sont munies de ventouses microscopiques qui lui permettent de se déplacer sur une surface verticale. Ce sont ces mêmes ventouses qui permettent aux grenouilles et à certains lézards de courir sur les plafonds !

  •  Les organes lumineux 

Un grand nombre d’animaux sont capables de produire de la lumière. Cette lumière va leur servir à attirer des proies, à communiquer avec d’autres individus pour se reproduire, à épouvanter un ennemi en l’éblouissant et à s’éclairer pour mieux voir !
Les vers luisants transforment de l’énergie chimique en énergie électromagnétique. La luminescence est due à la présence des luciférines, des molécules dont l’oxydation, sous le contrôle d’une enzyme, la luciférase, aboutit à la formation d’oxyluciférine et à l’émission de photons (lumière).
Comment un vers luisant pourrait-il être à l’origine de ces réactions biochimiques complexes ? De plus, il a été prouvé que cette luminescence correspond à un rendement sans aucune perte ! Cela est d’autant plus étonnant que dans nos lampes, la proportion de la puissance consommée et restituée en lumière ne dépasse pas 7 % ! Le reste est dispersé en rayonnement infrarouge et en chaleur. Même nos appareils lumineux les plus modernes n’arrivent pas à égaler l’incroyable rendement énergétique des vers luisants ! L’Homme a inventé la première ampoule électrique il n’y a pas plus de 100 ans alors que de modestes insectes produisent une lumière parfaite depuis des millions d’années !

  •  Les organes électriques 

On rencontre ces étonnants organes chez certains poissons comme les torpilles. La torpille paralyse ses proies avec des décharges électriques pouvant dépasser 200 volts ! Cet organe électrique est placé de chaque côté de la tête. Une torpille peut ainsi disposer de plus de 2 millions d’éléments électrogènes dans ces organes ! Des outils de travail dignes des meilleurs électriciens !

  •  Le sonar de la chauve-souris : l’électrolocation 

Les sonars équipent un grand nombre de navires et d’avions mais aucun d’entre eux ne peut égaler le sonar de la chauve-souris. En effet, dans l’obscurité totale, une chauve-souris est capable de se déplacer comme si elle était en plein jour, et cela même les yeux bandés ! En effet, la chauve-souris va produire des sons qui vont ricocher sur l’obstacle qui est devant elle pour revenir et être captées par son cerveau. Gloire à Allah qui a créé un animal aussi étonnant ! La chauve-souris va utiliser ce sonar comme instrument de navigation mais aussi pour se procurer de la nourriture.

  •  La double-défense du papillon 

Les pilotes d’avion ont deux stratégies pour échapper à un ennemi qui les prend en chasse : la première consiste à changer brusquement de trajectoire pour sortir du champ de détection du radar du chasseur. La deuxième parade est d’émettre à son tour une série d’ondes qui provoque la confusion dans le radar ennemi, un système de brouillage antiradar en quelque sorte. Ces deux stratégies de défense existent chez les papillons nocturnes, proies préférées des chauves-souris. En effet, aussi étonnant que cela puisse paraître, ces papillons possèdent des récepteurs d’écoute qui vibrent sous l’effet des ultrasons émis par la chauve-souris. Normalement, ces sons sont imperceptibles par la plupart des animaux mais ces papillons ont été dotés, par notre Créateur, de tympans sensibles aux ultrasons ! Dès que le prédateur s’approche, le papillon pique vers le sol et sort ainsi du champ de détection de la chauve-souris !  Mais ce n’est pas tout puisque le papillon possède au niveau de la troisième paire de pattes, un mini-tambour à ultrasons. Dès que le papillon entend la chauve-souris s’approcher, il émet immédiatement une série d’ultrasons dont la longueur d’onde est exactement celle d’émission de la chauve-souris ! Celle-ci est totalement désorientée et n’a plus qu’à renoncer !

  •  La termite : un expert en climatisation 

En Australie, les minuscules insectes termites, pas plus grands qu’une fourmi, fabriquent des termitières qui peuvent atteindre cinq mètres de hauteur et ces bâtisses sont toujours orientées Nord – Sud. Cela s’explique par le fait que dans les régions où vivent ces termites, il fait très chaud et cette orientation permet une climatisation à l’intérieur de leur demeure. Effectivement, à midi, en présentant une telle orientation, le soleil n’irradie qu’une très petite surface de la termitière. Chez nous, le soleil se lève à l’est, il parcourt le ciel en étant penché vers le sud, jusqu’à ce qu’il se couche à l’ouest. L’Australie étant dans l’hémisphère sud, il parcourt le ciel en étant incliné vers le nord. Quand il fait le plus chaud, au milieu du jour, le soleil est haut mais incliné au nord.
C’est donc en position Nord-Sud que la termitière reçoit le moins de soleil à midi et le plus en début et en fin de journée. Ainsi le réchauffement de leur demeure est minimisé lors de la canicule et maximisé quand le soleil est moins fort, ce qui permet le maintien d’une température constante à l’intérieur de l’édifice ! Si la température venait à monter de manière importante, c’est la vie des termites qui serait mise en jeu ! Qui donc leur a appris ces techniques dignes d’un architecte, d’un ingénieur en génie civil et d’un spécialiste en climatisation ?

« Et dans votre propre création, et dans ce qu’Il dissémine comme animaux, il y a des signes pour des gens qui croient avec certitude. » Sourate 45, verset 4.

 

http://muzulmans.fr/articles/decrypter-la-science/zoom-sur-des-etres-vivants-dotes-dune-technologie-de-pointe

 

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Soubhana Allah le Caméléon projette sa langue 2 fois plus que sa taille

 

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Projeter une langue près de deux fois plus longue que sa propre taille en un 1/25e de seconde, saisir fermement une proie qui peut atteindre le tiers de sa propre masse et la ramener dans sa bouche en l'espace d'une demi-seconde : telle est la prouesse du caméléon. Cet exploit n'a pas cessé d'intriguer les chercheurs, qui ont peu à peu compris quels sont les mécanismes physiques mis en œuvre.

Tout part d'un paradoxe anatomique. Pour atteindre sa vitesse, de l'ordre de 6 mètres par seconde, l'extrémité de la langue du caméléon doit subir une accélération environ 50 fois supérieure à celle de la pesanteur. La puissance requise est de 3 watts par gramme de muscle employé, beaucoup plus que celle déployée par les autres animaux vertébrés. Un mécanisme plus subtil que la simple contraction musculaire est donc nécessaire. En 2004, des chercheurs néerlandais ont suggéré que la langue du caméléon se comporte comme une catapulte, où l'énergie est progressivement stockée avant d'être rapidement libérée.

Première particularité du caméléon, sa langue est constituée de tissus mous qui s'appuient sur une structure osseuse articulée. Avant la projection de la langue, cette structure pivote et fait sortir de la bouche le « processus entoglosse », un os de la taille d'une allumette sur lequel la langue est enfilée comme une chaussette.

La langue elle-même est un organe complexe. Son extrémité comporte une


Pour la science

L'animal le plus étrange de la nature .Soubhana Allah

 

Ses caractéristiques physiques – chameau sans bosse, pieds de rhinocéros, trompe, nez entre les yeux – défiaient les méthodes classiques de classification des espèces

Illustration d’un Macrauchenia patachonica. Robert Bruce Horsfall/CC BY 2.0. 

Avec son corps de chameau et son museau en forme de trompe, il ne ressemblait à aucun autre. Découvert par Charles Darwin au XIXe siècle, le Macrauchenia patahonica restait un casse-tête pour les scientifiques, qui désespéraient de lui trouver une place dans le règne animal, de lui attribuer des ancêtres ou au moins des cousins. Après des décennies de recherches, le Macrauchenia a enfin trouvé sa famille, a annoncé mardi 27 juin une équipe de scientifiques.

« Pour la première fois, nous avons pu séquencer l’ADN de cette espèce et nous avons déterminé sa place dans l’arbre de l’évolution », explique à l’AFP Michael Hofreiter, de l’université de Potsdam en Allemagne, coauteur de l’étude.

En 1834, lors d’une expédition en Uruguay et en Argentine, Charles Darwin tombe nez à nez avec un squelette de Macrauchenia patachonica, un animal disparu sans laisser de descendant dont le cou rappelle celui du chameau mais dont la tête est dotée d’une trompe. Une bête que Charles Darwin qualifie alors d’« animal le plus étrange jamais découvert ».

« Imaginez un chameau sans bosse, avec des pieds de rhinocéros »

Ses caractéristiques physiques forment un mélange plutôt étrange, même pour un animal de l’ère glaciaire, qui défie les méthodes classiques de classification des espèces. « Imaginez un chameau sans bosse, avec des pieds de rhinocéros et le crâne d’une antilope saïga », s’amuse Michael Hofreiter. Des particularités auxquelles on peut rajouter la fameuse trompe et un nez placé entre les yeux.

Les idées avancées par les scientifiques sont alors parfois aussi saugrenues que le physique de l’animal : certains suggèrent qu’il s’agit d’un animal aquatique qui aurait utilisé sa trompe comme un tuba. D’autres qu’il s’agit d’un cousin du lama, au regard de son long cou... Mais en près de deux siècles, aucune de ces théories n’a fait l’unanimité.

Famille des périssodactyles

Une équipe de chercheurs de l’université de Potsdam et de muséum américain d’histoire naturelle s’est donc attaqué au mystère. Grâce à des techniques de pointe, ils sont parvenus à séquencer 80 % du génome mitochondrial – l’ADN transmise par la mère – de l’animal à partir d’un fossile trouvé dans une grotte du sud du Chili.

Selon les chercheurs, le génome de l’animal révèle sa parenté avec la famille des périssodactyles qui comprend, actuellement, les chevaux, les tapirs et les rhinocéros. Selon eux, le Macrauchenia aurait divergé des périssodactyles modernes il y a 66 millions d’années.

Mais pourquoi « l’animal le plus étrange jamais découvert » a-t-il totalement disparu ? « Nous ne savons vraiment pas : à cause des hommes, des changements climatiques ou une combinaison des deux ? La question reste ouverte »

 

SOURCE:Le Monde

Top 10 des animaux les plus étranges

 

Top 10 des animaux les plus étranges et mystérieux de la planète !

La nature ne cessera probablement jamais de nous fasciner tant elle semble capable de créer des formes et des couleurs incroyables. Notre vie quotidienne ne nous expose qu’à une infime partie de ces merveilles et nous habitue à voir certaines formes. Dès que nous sortons des animaux qui nous sont familiers, nous nous étonnons et nous émerveillons de tant d’inventivité. Notre top 10 vous parle de quelques-unes de ces créatures qui nous paraissent étranges. Et comme nous habitons la planète bleue, vous ne serez pas surpris d’y trouver une majorité d’animaux marins.

 

Top 10 des animaux les plus étranges et mystérieux de la planète !

 

1 - Le rat-taupe nu

De la taille d’une grosse souris, le rat-taupe nu vit dans des régions arides d’Éthiopie et du Sud saharien. Il ne sort jamais des galeries souterraines qu’il creuse. Ses yeux étant atrophiés, l’organisation de sa vie repose sur son ouïe et son odorat bien développés. C’est grâce à ses incisives proéminentes qu'il peut forer le sol. Il est dit nu car il n’a pas de poils : il n’en a pas besoin car il vit à température constante. Sa peau est rosée et translucide.

Il a peu de prédateurs, ce qui ne contribue qu’en partie à une longévité d’une trentaine d’années qui attire beaucoup l’attention des scientifiques, même s’il existe des animaux qui vivent bien plus longtemps. Car outre son apparence, cet animal est exceptionnel : il semble posséder une immunité contre le cancer, les maladies cardio-vasculaires et la dégénérescence nerveuse. Sera-t-on capable de percer tous ses secrets pour en faire éventuellement bénéficier l’homme ?

2 - Le macropinna microstoma

Les abysses recèlent nombre d’habitants mystérieux et étrangers dont on sait peu de choses. Le macropinna microstoma en fait partie. Il se trouve généralement à des profondeurs comprises entre 500 et 1 000 mètres. Sa tête transparente laisse apparaître des éléments étonnants. Sa cavité crânienne est emplie d'un gel transparent au sein de laquelle deux gros yeux en forme de tonneaux peuvent se tourner vers l'avant ou vers le haut, pour permettre au poisson d’observer son environnement.

3 - Le grimpoteuthis

Le grimpoteuthis est un autre habitant des abysses. Celui-ci vit entre 500 et 4 000 mètres de profondeur. C’est un petit octopode appartenant à la famille des pieuvres parapluies qui comprend au total 17 espèces différentes. Il est surnommé pieuvre “dumbo” en raison de la présence de deux nageoires dont la forme évoque les oreilles de l’éléphant volant rendu célèbre par Walt Disney. Mais ces nageoires ne constituent pas son seul moyen de propulsion : un voile de peau relie ses huit pattes, comme les 16 autres espèces de la famille, qui lui permet d’atteindre une vitesse suffisante pour échapper à ses prédateurs, thons et requins. Ces octopodes peuvent aussi ramper sur le fond marin avec leurs tentacules. Autre particularité, ils font varier la couleur de leur peau à volonté et se teinter de rose, de marron, de rouge ou de blanc. Ces animaux sont rares. Les scientifiques ont longtemps cru qu’ils ne mesuraient qu’entre 20 et 30 cm de longueur, jusqu’au jour où ils ont croisé un individu mesurant 1,8 mètre.

4 - La grenouille arlequin nuit étoilée

En Colombie, la grenouille arlequin étoilée est un animal considéré comme sacré par une tribu indigène. Cette petite grenouille de moins de 5 cm de longueur tient son nom de sa couleur noir maculée de grosses taches blanches. Elle appartient à la grande famille des grenouilles arlequins, composée de 96 espèces. Elles se nourrissent principalement d’insectes comme des mouches et des moucherons, mais aussi de petits arthropodes. Bien que s’appelant communément “grenouilles”, il s’agit en réalité de crapauds. Il y a de quoi s’y perdre…

De nombreuses grenouilles arlequins ont la peau noire mais avec des taches orange ou jaunes, vertes ou rouges. Cette apparence relève de l’aposématisme, stratégie adaptative qui consiste à envoyer aux prédateurs le signal (ici visuel) selon lequel l’animal n’est pas comestible. En cas de danger, ce crapaud secrète sous sa peau un venin qui peut l’aider à échapper à la mort.

5 - La taupe à nez étoilé

Cette taupe habitant l’Amérique du Nord a un physique on ne peut plus spécial. Elle doit son nom à son nez formé de 22 appendices épidermiques roses, rappelant des tentacules. Le reste du corps ressemble à celui de la taupe que l’on trouve communément en Europe. Outre son aspect étonnant, son nez se révèle très performant car il comporte cinq fois plus de récepteurs mécano-sensoriels que sur une main humaine. Les appendices se révèlent très vivaces. Lorsque la taupe doit explorer un objet, ils lui permettent de toucher 10 à 13 endroits différents par seconde. Autre particularité, la taupe à nez étoilé est la seule espèce de taupe à vivre dans le sol boueux des zones humides. C’est une très bonne nageuse, capable de rester immergée plusieurs secondes mais aussi de détecter des odeurs sous l’eau.

6 - La lamproie

La lamproie est un animal particulier car c’est un vertébré basal qui ne comporte ni membres pairs, ni mâchoires. Elle possède tout de même des yeux fonctionnels et une colonne vertébrale. Elle fait partie de ces animaux derniers survivants des vertébrés primitifs, n’ayant pratiquement pas évolué depuis 500 millions d’années. Sa bouche est ronde et en forme d'entonnoir, armée de parties dures pointues évoquant des dents, mais constituées de kératine. La lamproie marine est un vrai parasite indigène de l’océan atlantique. Lorsqu’elle est adulte, elle s’accroche à des poissons appelés “hôtes” au moyen de sa bouche qui fait ventouse, et utilise sa langue râpeuse pour pénétrer la chair de ce qui devient sa victime car elle va ensuite en aspirer les liquides corporels et le sang.

7 - Le crabe yéti

Voici le troisième habitant des profondeurs marines de notre liste : le crabe yéti. Il ne se rencontre qu’entre 2000 et 2500 mètres de profondeur. Il doit son nom a son corps blanc et à ses pinces et pattes recouvertes de poils de la même couleur. Aux profondeurs où il habite, il n’y a plus de lumière et il est tout simplement devenu aveugle. Il doit également supporter des pressions extraordinaires. Pour résister aux froids glaciaux qu’il rencontre, les 3 espèces du genre ont adopté des stratégies différentes. Mentionnons ici seulement celle du Kiwa tyleri qui vit en colonies, à proximité des cheminées naturelles d'où s'échappe la chaleur de la Terre : l’eau y atteint les 400°C. Mais il ne faut pas qu’il soit trop près, sans quoi, il mourrait. Aussi, la distance idéale est assez réduite, d’où la nécessité de se concentrer : dans les zones favorables, on peut compter 700 crabes par mètre-carré.

8 - Le tatou nain d'Argentine

Le tatou nain d'Argentine est aussi appelé tatou tronqué. C’est un animal endémique d'Argentine qui mesure entre 12 et 15 cm de longueur, qui porte une carapace rose pâle articulée, composée de 23 à 25 plaques osseuses, et dont le ventre est recouvert de poils blancs. Il a été découvert en 1825 et constitue une espèce rare. C’est un animal très fragile, sensible au stress : il ne survit donc pas en captivité. On ne sait donc que peu de choses de lui, d’autant plus que le tatou nain d’Argentin est un animal très discret, qui creuse rapidement dans le sol en cas de danger. Il vit dans ses galeries pour n’en sortir que rarement. Il est très difficile à rencontrer, y compris pour des scientifiques qui ne sont pas capables de savoir combien il existe d’individus. C’est pour cela qu’il a également un statut d’animal fantastique, surnommé tatou “fée rose”.

9 - Le cochon de mer

Le terme de “cochon de mer” s’applique à des cétacés, des poissons ou des scotoplanes. Ce sont ces derniers qui nous intéressent. Le scotoplane est le quatrième habitant des profondeurs de notre liste des animaux les plus étranges et mystérieux de la planète. Cette espèce d’animaux a été découverte en 1879. Il est muni de ventouses sur la face ventrale et de papilles rétractiles sur la face dorsale, comme toutes les holothuries. C’est son aspect qui lui vaut son nom : il a une forme rebondie et une couleur rose. Il n’y a pas à chercher bien loin l’évocation du cochon. Ce n’est pas du tout un animal rare mais il n’est pas courant de le rencontrer puisqu’il vit entre 6 000 et 9 500 mètres de profondeur. Seuls les scientifiques ont pu le croiser. Il se nourrit du biofilm bactérien qui se trouve dans la couche supérieure du sédiment. Cette nourriture est assez pauvre. C’est pourquoi toute sa vie est organisée pour économiser l’énergie.

10 - Le glaucus atlanticus

Pour clore notre top 10, nous avons choisi un mollusque gastéropode de toute beauté. Le glaucus atlanticus est aussi nommé “dragon bleu” ou “hirondelle de mer”. C'est une limace de mer pélagique qui se rencontre en eaux tempérées et tropicales, dans toutes les mers du monde. Il peut arriver que des spécimens s’échouent sur les plages. Les papilles dorsales qui s’étirent de part et d’autre du corps central lui donnent l’aspect d’un lézard dont les membres se termineraient en formes étoilées. Les couleurs qu’il arbore sont le blanc et un bleu qui se décline en différentes teintes dont certaines intenses. Le glaucus atlanticus se nourrit principalement d'hydrozoaires (qui sont désignés, au stade adulte, par le terme de méduses) dont il tire son pouvoir urticant : dans la nature, les beautés sont souvent 

Planète animaux 

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