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Le Coran est une méthode de vie

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La supériorité des paroles d’Allah par rapport à celles de Ses créatures est parelle à la supériorité d’Allah par rapport à Ses créatures. Le Coran est un livre différent de tout autre. Les livres terrestres sont écrits par des êtres humains tandis que le Coran est la parole d’Allah et la supériorité des paroles d’Allah par rapport à celles de Ses créatures est pareille à la supériorité d’Allah par rapport à Ses créatures.
Ces paroles d’Allah témoignent que la réflexion au Coran raffermit la foi

(Et quand Ses versets leur sont récités, cela fait augmenter leur foi. Et ils placent leur confiance en leur Seigneur)

[Al-'Anfâl (Le Butin): 2]

Lire le Coran augmente et affermit la foi, rapproche d’Allah.

La lecture du Coran guérit ce qui se trouve dans le cœur comme Les passions et les questions douteuses :

Il y a des maladies qui touchent l’œil, l’odorat, le nez, l’estomac, les intestins, le foie, les os, et des maladies graves qui causent la mort mais toutes ont des remèdes comme le Prophète (bénédictions et paix sur lui) le dit:

Toute maladie a un remède

[Rapporté par Mouslim et Ahmad d'après Djaber]

Il y a également des maladies qui affectent les cœurs tels la rancune, l’avidité, l’orgueil, l’arrogance, la plongée dans les désobéissances qui est une maladie grave, le trop grand espoir, la négligence en ce qui concerne Allah.
Ces maladies sont terribles, elles commencent avec la mort de l’être et finissent avec lui en enfer, quel terrible destin ! Tandis que les maladies corporelles aussi graves qu’elles puissent être finissent avec la mort. Celui qui est touché par les maladies du cœur cause du mal à la société, égare les gens, construit sa gloire sur leurs décombres, améliore sa vie par leur mort ou construit sa gloire sur leur humiliation, toutes des maladies qui anéantissent. Mais les gens sont inconscients et ne prennent conscience qu’à la mort.
La preuve :

(O gens! Une exhortation vous est venue, de votre Seigneur, une guérison de ce qui est dans les poitrines, un guide et une miséricorde pour les croyants)

[Yoûnous - (JONAS): 57]

Une guérison de ce qui est dans les poitrines, parce que celui qui prie et récite le Coran ne peut avoir de la rancune, prendre ce qui ne lui appartient pas, s’enorgueillir ou faire du tort aux gens:

(Une guérison de ce qui est dans les poitrine)

[Yoûnous - (Jonas): 57]

Si après avoir lu le Coran vous ne trouvez pas que vous êtes guéri de la rancune, de la jalousie, de l’animosité, de l’envie de ce qui se trouve chez certaines personnes, du désir de déformer la société, alors vous n’avez pas lu le Coran comme il faut.

(O gens! Une exhortation vous est venue, de votre Seigneur, une guérison de ce qui est dans les poitrines, un guide et une miséricorde pour les croyants)

[Yoûnous - (JONAS): 57]

 les maladies du cœur sont nombreuses mais les oulémas les ont divisées en deux groupes, les passions et les questions douteuses. Le doute est une maladie qui touche au credo. Avec les maladies qui touchent les êtres humains, les guerres, la pauvreté et les famines on se demande où est la miséricorde et l’équité divines? Il y a des doutes. Pourquoi l’Occident est-il très riches, ses pays sont agréables et forts, bien que noyés dans les désobéissances? Encore des doutes, toujours plus de doutes. Mais nous avons le Coran qui guérit de cette maladie:

(Puis, lorsqu’ils eurent oublié ce qu’on leur avait rappelé, Nous leur œuvrâmes les portes donnant sur toute chose (l’abondance); et lorsqu’ils eurent exulté de joie en raison de ce qui leur avait été donné, Nous les saisîmes soudain)

[Al-'An`âm (Les Bestiaux): 44]

Ce verset repose. Il nous fait savoir que la force et la noyade dans les péchés des Occidentaux est une sorte d’appât. C’est comme pour un malade atteint de cancer qui demande au médecin de lui indiquer quoi manger et ce dernier lui répond de prendre tout ce dont il a envie. Est-ce là une réponse en faveur du malade alors que lorsqu’un malade qui se plaint de l’estomac prend un met qui lui fait du mal, le médecin le lui reproche fortement? Dans ce dernier cas cela a lieu parce qu’il y a un espoir de guérison. En lisant le Coran, vous vous rendez compte qu’Allah prend grand soin des croyants, Il les éduque et les éprouve fortement pour les amener au repentir. Nous avons ce hadith qudsi qui dit:

(Les gens qui M’invoquent sont ceux vers qui va Mon affection, Mes remerciements et Mes dons. Je ne fais pas désespérer de Ma miséricorde les gens qui me désobéissent. S’ils se repentent, Je suis leur bien-aimé, si non, Je suis leur médecin. Je les accable de malheur pour les purifier de leurs péchés et de leurs défauts. La bonne action chez Moi est multipliée par dix et plus encore, tandis que le péché est compté tel quel et Je pardonne)

[Rapporté par Al-Bayhaqi et Al-Hâkem d'après Mouâdh et par Al-Daylami et Ibn 'Assâker d'après Abou Ad-Dardâ']

L’Honorable Coran comprend des remèdes:

(Pharaon était hautain sur terre; il répartit en clans ses habitants, afin d’abuser de la faiblesse de l’un d’eux: Il égorgeait leurs fils et laissait vivantes leurs femmes. Il était vraiment parmi les fauteurs de désordre)

[Al-Qassas (Le Récit) : 4]

A présent faites attention:

(Mais Nous voulions favoriser ceux qui avaient été faibles sur terre et en faire des dirigeants et en faire les héritiers, * et les établir puissamment sur terre, et faire voir à Pharaon, à Hâmân, et à leurs soldats, ce dont ils redoutaient)

[Al-Qassas (Le Récit) : 5, 6]

Ce verset est un remède pour ce qui se trouve dans le cœur:

(Puis, lorsqu’ils eurent oublié ce qu’on leur avait rappelé, Nous leur œuvrâmes les portes donnant sur toute chose (l’abondance); et lorsqu’ils eurent exulté de joie en raison de ce qui leur avait été donné, Nous les saisîmes soudain)

[Al-'An`âm (Les Bestiaux): 44]

L’honorable Coran est un remède pour deux genres de maladies, les passions et les questions douteuses.

Le Cœur est sain par le Coran :

Allah dit:

(Le jour où ni les biens, ni les enfants ne seront d’aucune utilité,* sauf celui qui vient à Allah avec un cœur sain)

[Ach-Chou`arâ' (Les Poètes): 88, 89]

Certains oulémas ont dit que le cœur sain est celui qui n’a aucune passion qui déplait à Allah, qui ne croit en rien qui contredit la révélation d’Allah, qui ne permet aucune légalité à part celle d’Allah, qui n’adore qu’Allah. Et moi, je vous jure par Allah que, si vous lisez régulièrement le Coran, vous serez guéri de toutes les passions et tous les doutes

Celui qui suivra Mon guide n’aura pas le cerveau égaré ni le cœur affligé :

Allah dit:

(Toutes les fois que Je vous enverrai un guide, ceux qui [le] suivront n’auront rien à craindre et ne seront point affligés)

[Al-Baqara (La Vache): 38]

Ni son cerveau s’égare ni son cœur s’afflige

Celui qui lire le Coran n’aura rien à craindre et ne sera pas affligé:

Ces deux paroles sont la ligne de conduite du future et du passé ensemble:

(Toutes les fois que Je vous enverrai un guide, ceux qui [le] suivront n’auront rien à craindre et ne seront point affligés)

[Al-Baqara (La Vache): 38]

Ils n’auront rien à craindre dans le futur et ne seront pas affligés:

(Dis: “Rien ne nous atteindra, en dehors de ce qu’Allah a prescrit pour nous. Il est notre Protecteur)

[At-Tawba (Le Désavœu ou le repentir) : 51]

Il dit :

(Celui à qui Nous avons fait une belle promesse dont il verra l’accomplissement, est-il comparable à celui à qui Nous avons accordé la jouissance de la vie présente et qui sera ensuite le Jour de la Résurrection, de ceux qui comparaîtront (devant Nous))

[Al-Qassas (Le Récit) : 61]

Avec le Coran tu vis dans une vie différente :

(Celui qui est croyant est-il comparable au pervers? (Non), ils ne sont point égaux)

[As-Sajda (La Prosternation) : 18]

(Traiterons-Nous les soumis [à Allah] à la manière des criminels? * Qu’avez-vous? Comment jugez-vous?)

[AL-QALAM (La Plume) : 35, 36]

(Ceux qui commettent des mauvaises actions comptent-ils que Nous allons les traiter comme ceux qui croient et accomplissent les bonnes œuvres, dans leur vie et dans leur mort? Comme ils jugent mal!)

[Al-Jâthiya (L'Agenouillée) : 21]

Tu trouves l’issue favorable de chaque problème dans le Coran :

Si vous lisez le Coran:

(Et quiconque craint Allah, Il Lui donnera une issue favorable)

[At-Talâq (Le Divorce): 2]

(Sur Mes serviteurs tu n’auras aucune autorité, excepté sur celui qui te suivra parmi les dévoyés)

[Al-Hijr : 42]

Si vous lisez le Coran:

(Ceux qui disent: «Notre Seigneur est Allah», et qui se tiennent dans le droit chemin, les Anges descendent sur eux. «N’ayez pas peur et ne soyez pas affligés; mais ayez la bonne nouvelle du Paradis qui vous était promis. * Nous sommes vos protecteurs dans la vie présente et dans l’au-delà; et vous y aurez ce que vos âmes désireront et ce que vous réclamerez)

[Foussilat (Les Versets détaillés): 31]

Le Coran est un remède pour l’âme, un remède contre les passions et les doutes.

Par le Coran tu peux fuir vers Allah :

Celui qui désire aller vers Allah:

(Fuyez donc vers Allah. Moi, je suis pour vous de Sa part, un avertisseur explicite)

[Adh-Dhâriyât (Qui éparpillent): 50]

(Et il dit: «Moi, je pars vers mon Seigneur et Il me guidera)

[As-Sâffât (Les Rangées) : 99]

Nous avons dans le Coran des versets qui démontrent que nous pouvons fuir vers Allah, courir vers Lui, prendre le chemin qui mène à Lui. Et la preuve en est ces versets:

(Ceci n’est qu’un rappel pour l’univers, * pour celui d’entre vous qui veut suivre le chemin droit)

[At-Takwîr (L'Obscurcissement) : 28]

Celui qui désire suivre la voie droite qui le mènera vers Allah qu’il lise le Coran:

(Ceci n’est qu’un rappel pour l’univers, * pour celui d’entre vous qui veut suivre le chemin droit)

[At-Takwîr (L'Obscurcissement) : 28]

Si vous marchez de nuit, sans lanterne, dans un chemin isolé, passant par un bois, avec des creux, des monticules, des serpents, des scorpions, des bêtes sauvages, des parties glissantes, vous aurez surement un accident. Avec une lanterne, vous éviterez les creux et les monticules, vous tuerez les scorpions et les serpents. Mais, est-ce que celui qui a une lanterne en main et comme celui qui lit le Coran:

(Une lumière et un Livre explicite vous sont certes venus d’Allah! Par ceci (le Coran), Allah guide aux chemins du salut ceux qui cherchent Son agrément. Et Il les fait sortir des ténèbres à la lumière par Sa grâce. Et Il les guide vers un chemin droit)

[TSC, Al-Mâ'ida (La Table servie) : 15, 16]

La moralité est dans le Coran :

Lorsqu’on demanda à notre mère ‘A’icha qu’elle était la moralité du Prophète (bénédictions et paix sur lui), elle répondit :

Sa moralité était conforme au Coran

[Rapporté par Mouslim d'après ‘A’icha]

Dans le Coran l’homme apprend les principes :

Le milliard pour vous doit égaler au sous. Un milliard gagné par un moyen illicite, vous le poussez du pays, en bon croyant vous dites “non” d’un ton très sûr sans penser aux conséquences. Vous n’acceptez pas d’accomplir ce qui déplait à Allah. Le croyant qui lit le Coran ne s’humilie pas devant les fouets des bourreaux ou devant les lingots d’or. Il ne tergiverse pas, il a des principes.
Le despote est un être qui tue les autres sans raison. Mais qu’ont répondu les sorciers du Pharaon au despote qui dit :

(C’est moi votre Seigneur, le très haut)

[An-Nâzi`ât (Les Anges qui arrachent les Ames) : 24]

(Je ne connais pas de divinité pour vous, autre que moi)

[Al-Qassas (Le Récit) : 38]

(Avez-vous cru en lui avant que je ne vous y autorise? C’est lui votre chef qui vous a enseigné la magie. Je vous ferai sûrement, couper mains et jambes opposées, et vous ferai crucifier aux troncs des palmiers, et vous saurez, avec certitude, qui de nous est plus fort en châtiment et qui est le plus durable)

[Tâ-Hâ : 71]

Ils répondirent :

(Par celui qui nous a créés, dirent-ils, nous ne te préférerons jamais à ce qui nous est parvenu comme preuves évidentes. Décrète donc ce que tu as à décréter. Tes décrets ne touchent que cette présente vie)

[Tâ-Hâ : 72]

Comment nous faut-il lire l’honorable Coran?

La plupart des Musulmans aujourd’hui lisent le Coran par curiosité pour se cultiver, acquérir de la science, jouir de sa composition majestueuse et de son éloquence etc. Tandis que les Compagnons le lisaient d’une autre façon. Ils se demandaient ce qu’Allah voulait d’eux à travers Ses paroles. Ils le lisaient pour appliquer Ses recommandations et Lui obéir, et c’est la différence entre nous et eux. Il y a une différence entre lire le Coran pour la culture et le lire comme une méthode pratique de notre vie. Il n’y a pas en islam de l’admiration négative:

Il n’a pas foi en le Coran celui qui transgresse Ses interdits

[Rapporté par At-Termizi d'après Sohaïb]

Le croyant sincère lit le Coran pour appliquer les ordres d’Allah et suivre Son chemin. Ce qui implique que lorsqu’Allah dit :
“O vous les croyants …”, vous pensez qu’Allah vous dit : “O vous qui croyez en Moi, en Ma majesté, en Mon pouvoir, en tant que Seigneur, Créateur et Maître, vous qui croyez en Mon existence, Mon unicité, Ma perfection, Mes plus beaux attributs et Mes qualités supérieures accomplissez ceci …”

Si vous lisez un verset sans sentir qu’il vous concerne votre foi est défectueuse

Si vous lisez un verset sans sentir qu’il vous concerne votre foi est défectueuse. Les Compagnons du Prophète (bénédictions et paix sur lui) mémorisaient dix versets et les appliquaient. Ensuite, ils en mémorisaient dix autres et ainsi de suite. Si vous lisez le Coran pour appliquer Ses recommandations vous suivez les Compagnons mais si, qu’Allah ne le veuille, vous médisez de quelqu’un, à quoi vous aura servi de lire ce verset :

(et ne médisez pas les uns des autres)

[Al-Houjourât (Les Appartements): 12]

Aussi :

Il n’a pas foi en le Coran celui qui transgresse Ses interdits

[Rapporté par At-Termizi d'après Sohaïb]

Maints lecteurs du Coran qui sont maudits par le Coran

[Venu dans les traditions]

Le Coran est une méthode divine qui fait un prodige du croyant :

Le Coran n’est pas un livre pour le plaisir intellectuel, ni un livre de littérature artistique, bien que tout cela s’y trouve. C’est une méthode de vie, une méthode divine spéciale. Un beau mot que j’ai entendu disait : “Le Coran accomplit des miracles”. A lire le Coran, le croyant devient lui-même un prodige. S’il est apathique, peureux, avare ou ignorant, il se trouve haussé, devient courageux, généreux ou savant. Si le Coran ne fait pas de vous un prodige, vous n’en avez pas su profité. Le caractère inimitable du Coran fait du croyant un prodige car, devenu discipliné, il rejette de son pied les milliers en argent qui comportent le moindre doute. Cette histoire que je lis souvent me touche toujours :
Khoubaïb ibn ‘Ady avait été fait prisonnier par Qouraïche après la bataille de Badr. Ils voulurent le tuer pour se venger de leurs morts dans cette bataille. Il accomplit deux Rak’a (unité de prière) et on le plaça à l’endroit où il devait être tué à coup de flèches. A ce moment Abou Soufiane lui dit : “Aimerais-tu Khoubaïb que Mohammad soit à ta place?” Avec la vue de ses enfants et de sa femme devant Khoubaïb répondit : “Par Allah, je n’aimerais pas avoir les délices de ce monde et ses plaisirs et que Mohammad soit touché par une épine.” Les délices de ce monde à l’échelle de nos jours cela signifie une maison de 400m2, avec une très belle vue, de l’air conditionné, des sols en marbre, des meubles luxueux, avec tous les appareils électroménagers, des fleurs, des fruits, des jus et des automobiles à la porte.
Par Allah, si le Coran ne fait pas de vous un prodige, vous n’en avez pas profité. Le milliard pour vous doit égaler au sous. Un milliard gagné par un moyen illicite, vous le poussez du pays, en bon croyant vous dites “non” d’un ton très sûr sans penser aux conséquences. Vous n’acceptez pas d’accomplir ce qui déplait à Allah. Le croyant qui lit le Coran ne s’humilie pas devant les fouets des bourreaux ou devant les lingots d’or. Il ne tergiverse pas, il a des principes.
Honorables frères, si le Coran ne fait pas de vous un prodige, cela signifie que vous n’en avez pas profité. Le croyant qui lit le Coran est un homme à principes, qui prend position, porte un message comme les Compagnons que le Prophète (bénédictions et paix sur lui) a éduqués. Khaled Ibn Al-Walid avait demandé un renfort de cinquante mille hommes pour faire face à l’ennemi. Abou Bakr lui en envoya un seul nommé Al-Qa’qâ’ Ibn ‘Amr. Al-Qa’qâ’ arriva chez Khaled qui lui demanda où se trouvait le renfort? Il lui répondit : “Je suis le renfort” et il sortit un message d’Abou Bakr pour Khaled où était écrit : “Par Allah, une armée où se trouve Al-Qa’qâ’ n’est jamais battue.”
En ce temps, un homme valait un million, de nos jours un milliard d’hommes valent mille. Un milliard et demi de Musulmans n’ont aucun poids. Ils ne sont pas maîtres de leurs affaires, et les autres peuvent leur faire du tort par mille voies. Pourtant, le Coran dont le prodige scientifique est un témoignage qu’Il présente les paroles d’Allah fait du croyant un prodige. Aussi la réflexion au Coran est-elle un des plus forts moyens pour l’augmentation de la foi.

 

http://www.muhammad-pbuh.com/fr/?p=175

 

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