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Pourquoi a-t-on soif quand on mange salé ?

Le sodium est présent dans notre corps sous forme d'ions Na+. Chez une femme de 65 kg, on compte environ 92 g de sel dont seulement les deux tiers sont échangeables. Le sodium est le principal ion minéral du liquide extracellulaire, et joue un rôle essentiel dans la régulation de la pression osmotique (entre l'intérieur et l'extérieur des cellules).

A votre avis, pourquoi les industriels du biscuit apéritif sont-ils aussi les principaux fabricants de sodas et autres boissons commerciales ? Parce que le sel donne soif, bien sûr !
Car le corps humain contient plus de 60% d'eau (cette teneur est même de 75% chez le bébé). Le compartiment intra-cellulaire, c'est-à-dire le contenu liquide de toutes les cellules de l'organisme, représente 30 à 32 litres chez une femme de 65 kg. L'eau est filtrée à travers la membrane cellulaire de façon à assurer une pression égale des deux côtés (interne et externe) de la membrane. L'espace intracellulaire est riche en ions potassium (K+) contrairement à l'espace extracellulaire qui est riche en sodium (Na+).

Des cellules qui se vident
En temps normal, l'alimentation nous apporte entre 7 et 8 g de chlorure de sodium par jour (soit 3 g de sel environ). Mais ce taux peut fortement varier selon les habitudes. Si vous avez tendance à saler particulièrement vos plats, il peut monter jusqu'à 25 g/jour. Si on mange trop salé, l'excès de Na+ va augmenter la pression osmotique. L'eau sera donc aspirée vers l'espace extracellulaire tandis que les cellules auront tendance à se vider partiellement. Or, 1 à 2 % de déshydratation de l'espace intracellulaire suffit pour déclencher la soif.

Car au-dessus du seuil, l'augmentation de la pression osmotique entraîne une secrétion d'arginine vasopressine (AVP), une hormone chargée d'envoyer un signal à l'hypothalamus (une région dans le bas du cerveau). Lors d'une expérience, on a injecté 1 mm³ de sérum salé dans l'hypothalamus d'une chèvre. Résultat : celle-ci s'est mise à boire des énormes quantités d'eau, allant même jusqu'à une hyper-hydratation !

L'hypernatrémie (excès de sel dans l'organisme) est cependant très rare, et plutôt du à un manque d'eau qui déséquilibre le taux de sodium. Il faut quand même savoir que l'absorption de 60 g de sel pur est mortelle.

Les bébés sont beaucoup plus sensibles au signal de soif que les personnes âgées. Il faut dire qu'ils ont normalement une "source" immédiatement disponible !
Mais que se passe-t-il quand l'organisme perd en même temps de l'eau et du sel ? C'est par exemple le cas lors d'hémorragies ou de diarrhées importantes. Dans ce cas, la pression osmotique reste constante, et pourtant on ressent une grande sensation de soif.

C'est en fait la baisse du volume sanguin qui agit comme signal. La soif est alors accompagnée d'une attirance pour les mets salés. D'ailleurs, on conseille aux coureurs de fond de boire de l'eau légèrement salée.

La soif, une sensation variable
Il ne faut pas croire cependant que la sensation de soif est un phénomène purement réflexe. Même avec de l'eau à disposition, on peut se retrouver en état de déshydratation sans que l'on s'en rende vraiment compte. Selon Viviane de la Guéronnière, directrice des études médicales au Centre Evian pour l'eau, les personnes âgées sont particulièrement exposées à la déshydratation. Car deux mécanismes de lutte coexistent pour lutter contre la déshydratation : le signal de soif et la rétention d'eau par les reins. Or, la rétention d'eau précède la soif, et ce décalage s'accentue avec le temps.

 

Céline Deluzarche, L'Internaute

 

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Le Savoir-vivre en Islam

En plus des 5 piliers et des obligations essentielles dont le Musulman doit s’acquitter, l’Islam établit également des règles de conduite pour les Musulmans.

Les enfants doivent obéir à leurs parents et leur montrer de la bonté et du respect. Désobéir à ses parents et leur manquer de respect constituent un péché très grave. Bien qu’on doive respecter ses 2 parents, c’est la mère qui mérite le plus de respect car c’est elle qui a pris soin de son enfant lorsqu’il était petit.
Le Musulman se doit de respecter tous ceux qui sont ses aînés, qu’ils soient de sa famille ou non.

"et ton Seigneur a décrété : "n'adorez que Lui; et (marquez) de la bonté envers les père et mère : si l'un d'eux ou tous deux doivent atteindre la vieillesse auprès de toi; alors ne leur dis point : "Fi ! " et ne les brusque pas, mais adresse-leur des paroles respectueuses, et par miséricorde abaisse pour eux l'aile de l'humilité; et dis : "Ô mon Seigneur, fais-leur; à tous deux; miséricorde comme ils m'ont élevé tout petit".

(Versets 23/ 24- Sourate 17)

Traiter les femmes avec amabilité

Dieu ordonne aux hommes de faire preuve de gentillesse envers leurs femmes et de faire de leur mieux pour les traiter avec bonté.

« Et comportez-vous de manière convenable envers elles … » (Coran 4:19)

Le Messager de Dieu a dit : « Les meilleurs parmi les croyants sont ceux qui ont le meilleur tempérament.  Et les meilleurs d’entre vous sont les meilleurs envers leurs femmes. »[1]  Le Prophète de miséricorde nous a dit que la façon dont un mari traite son épouse est le reflet du bon caractère dont un musulman devrait faire preuve, et que ce caractère est lui-même le reflet de la foi de l’homme.  Par quels moyens un mari musulman peut-il se montrer bon envers sa femme?  Il devrait lui sourire, éviter de la blesser, veiller à faire disparaître ce qui pourrait lui nuire, la traiter avec gentillesse et faire preuve de patience envers elle.On doit aussi toujours essayer d’aider les autres et on ne doit jamais faire preuve de mauvaise conduite envers eux en leur causant du tort.

Aider les autres

Abū Hurairah (r.a.) rapporte que le prophète a dit : « Ô Abū Hurairah, sois pieux et tu seras le meilleur des adorateurs. Contente-toi de ce que tu possèdes et tu seras le plus reconnaissant d’entre les hommes. Aime pour les autres ce que tu aimes pour toi-même et tu seras un véritable croyant. Traite ton voisin de la meilleure façon qui soit et tu mériteras d’être appelé musulman. Ne ris pas trop car le trop de rire tue le coeur. » Ibn Majah Kitāb-Uz-Zuhd

La charité, en islam, est non seulement recommandée, mais obligatoire pour tout musulman qui est stable financièrement.  Donner la charité à ceux qui sont dans le besoin fait partie de la nature du musulman et constitue un des cinq piliers de l’islam.  La zakat est une « charité obligatoire »; en effet, il est obligatoire, pour ceux que Dieu a comblés de richesses, de venir en aide aux membres de la communauté musulmane qui sont dans le besoin.  Certaines personnes, dépourvues de tout sentiment d’amour et de compassion envers autrui, ne savent qu’amasser les richesses et les faire fructifier encore en les prêtant à intérêts.  Les enseignements de l’islam sont aux antipodes de ce genre d’attitude.  L’islam encourage le partage des richesses et fait en sorte que les gens arrivent à se débrouiller et à devenir des membres productifs de la société.

Le Prophète a dit : « «Le fils d'Adam dit: «Mes biens! Mes biens!»  Or qu'as-tu d'autre, ô fils d'Adam, de tes biens si ce n'est ce que tu as mangé et que tu as ainsi épuisé; ou ce que tu as porté comme vêtements que tu as ainsi usés; ou ce dont tu as fait aumône et que tu as fait parvenir à ses ayants-droit». (Rapporté par Mouslim)  

Lorsque des musulmans se rencontrent, ils doivent se saluer. le premier doit dire:Assalamou Alaykoum (Que la paix d’Allah soit sur vous)

        Et son interlocuteur doit répondre:  Wa ‘alaykoum as-salaam ( que sur vous [aussi] soit la paix d’Allah)

Abū Yūsuf ‘Abdlāh Bin Salām (r.a.) raconte : « J’ai entendu le prophète dire : « Ô gens ! Répandez la salutation de paix parmi vous ; donnez à manger aux autres ; respectez vos liens de parenté ; suppliez Dieu quand les autres sont en train de dormir. Agissez ainsi et vous entrerez au Paradis en paix. » Tirmidhī Abwāb Sifat--Qiyāmah

Le terme « salam » signifie : être à l’abri et bien protégé contre le mal et les défauts. As-salam est aussi un grand nom d’Allah,  le Puissant et Majestueux. Sur la base de cette explication, le fait de dire « as-salamou alaykoum » signifie «Allah vous observe et vous voit ». Ce qui implique une belle leçon. La phrase signifie encore : la bénédiction du nom du Très Haut vous profite.

Pour manger

le prophète  (bénédiction et salut soient sur lui)quand il introduisait sa main, dans le récipient, il disait : au nom d’Allah » et donnait au mangeur l’ordre d’en faire de même et disait : «  Si l’un de vous veut manger, qu’il mentionne le nom d’Allah le Très Haut. S’il oublie de mentionner le nom d’Allah au début, qu’il le fasse à la fin ». (Hadith authentique rapporté par at-Tarmidhi, 1859 et Abou Dawoud, 3767).

L’avis juste est que la prononciation de la tasmiyya (au nom d’Allah) est obligatoire quand on veut manger. Les hadith qui vont dans ce sens sont clairs et authentiques et ne souffrent d’aucune opposition.

b) quand le récipient était enlevé, il disait : «  Nous louons Allah d’une louange bonne, abondante, bénie : nous ne pouvons pas compenser (Son bienfait), nous ne cesserons pas de Le louer ; nous ne pouvons pas nous passer de Lui. Car Il est notre Maître, le Puissant, le Majestueux. » Voir Boukhari, 5142.

c) Il ne critiquait jamais une nourriture. Au contraire, quand il en avait envie, il la mangeait, autrement, il la laissait et se taisait. (Rapporté par Boukhari, 3370 et Mouslim, 2064).

Parfois il disait : « Je n’en ai pas envie ou il ne suscite pas mon appétit ». (Rapporté par Boukhari (5076) et Mouslim (1946).

d) Parfois, il louait une nourriture. Quand sa famille lui demanda de la sauce (idam) et lui dit : «  Nous n’avons plus que du vinaigre, il demanda à ce qu’on lui en apportât, puis en consomma et dit : «  Quel excellent ingrédient qu’est le vinaigre ? (rapporté par Mouslim, 2052).

e) Il avait l’habitude de parler en mangeant,comme il a été dit dans le hadith précédent. C’est ainsi qu’il dit au cours d’un repas à Omar ibn Abi Salama dont il s’était chargé de l’éducation : «  Mentionne le nom d’Allah et mange de ce qui se trouve de ton côté ». (Rapporté par Boukhari, 5061 et Mouslim, 2022).

f) Il lui arrivait d’insister auprès de ses hôtes pour les amener à manger à la manière des gens généreux. Cela est indiqué dans le hadith d’Abou Hurayra rapporté par Boukhari à propos du lait qu’il avait offert (à quelqu’un) en lui disant plusieurs fois : « Bois-en » et il n’avait cessé de le répéter jusqu’à ce que son interlocuteur répondit : «  Au nom de Celui qui t’a chargé de transmettre la vérité, je ne lui trouve pas de place » (rapporté par Boukhari, 6087).

g) quand il avait mangé chez des gens, il ne sortait pas avant de prier pour eux. C’est ainsi qu’il formula la prière suivante chez Abd Allah ibn Bousr : «  Mon Seigneur, bénis leur la subsistance que tu leur as accordée ; pardonne-lui et aie pitié d’eux » (rapporté par Mouslim, 2042).

h) Il ordonnait l’usage de la main droite pour manger et interdisait l’usager de la main gauche et disais « Satan mange avec la main gauche et boit avec la main gauche »  (rapporté par Mouslim, 2020).

Ce qui implique l’interdiction de l’usage de la main gauche. Ceci est exact. En fait, celui qui mange avec sa main gauche est, soit un démon ou un assimilé à Satan.

Il a été rapporté de façon sûre qu’il a dit à un homme qui mangeait avec lui en employant sa main gauche : «  mange avec ta main droite » et l’autre de répondre : « Je ne peux pas » et le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) lui dit : « Puisses-tu ne jamais pouvoir » Par la suite, l’homme ne put plus se mettre la main (droite) dans la bouche » (rapporté par Mouslim, 2021). S’il était permis d’utiliser la main gauche pour manger, le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) n’aurait pas prié contre cette personne... Son orgueil l’empêcha d’obtempérer. Ce qui constitue le plus grave acte de désobéissance et fait mériter une telle prière.

i) Il donna à des gens qui s’étaient plaints auprès de lui de leur incapacité de se rassasier, de manger ensemble, de ne jamais manger individuellement et de mentionner le nom d’Allah afin qu’Il leur bénisse leur nourriture » (rapporté par Abou Dawoud, 3764 et Ibn Madja, 3286) Voir Zad al-Ma’ad, 2/397-406).

k) Il a été rapporté de façon sûre qu’Il a dit : «  Je ne mange pas couché du côté » (rapporté par Boukhari , 5083).

l) Il mangeait à l’aide de ses trois doigts. Ce qui est la plus utile façon de manger. Voir Zad al-Ma’ad, 220-222.

2. Quant à sa pratique relative à la prévention,en voici la substance :

a) Il tenait à bien connaître ce qu’il devait manger ;

b) Il se contentait des aliments utiles ;

c) Il se contentait de ce qui lui était nécessaire en matière de nourriture et ne cherchait pas à grossir. C’est ainsi qu’Ibn Omar (P.A.a) nous a rapporté que le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Le croyant mange de façon à ne remplir qu’un seul (ma’y) et le non croyant mange de façon à en remplir sept. » (rapporté par Boukhari, 5081 et Mouslim, 2060).

d) Il a appris à sa communauté une conduite leur permettant de se  prémunir contre les maladies provenant de l’alimentation. A ce propos, il dit : «  Le fils d’Adam ne remplit pas un récipient pire que son ventre. Que le fils d’Adam se contente du strict nécessaire. S’il ne peut pas ne pas le dépasser, qu’il réserve le tiers de son ventre au manger, un autre tiers au boire et un troisième à la respiration ». (Rapporté par at-Tarmidhi, 1381 et Ibn Madja, 3349 et vérifié par al-Albani dans As-Silsik as-Sahiha, 2265). Allah le Très Haut le sait mieux.

Etre toujours propre

L'importance de la propreté en Islam ne fait aucun doute. Bien sûr, ce qui prime pour le musulman et la musulmane, c'est la purification intérieure, celle du cœur et de l'esprit; mais il n'en reste pas moins que le respect de l'hygiène a également un statut particulier: Il suffit pour s'en convaincre de consulter les Hadiths du Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) qui nous exhortent avec insistance à respecter les pratiques qui relèvent de la nature primordiale de l'être humain ("al fitrah"); en effet, pratiquement tous ces actes ont une valeur hygiénique.
Il existe à ce sujet une Tradition assez explicite qui est mentionnée dans certains des ouvrages de Allâmah Ibné Taymiyah r.a. et qui relate que le Prophète Mouhammad (sallâllâhou alayhi wa sallam) aurait dit en ce sens:

"Allah est Pur, Il aime la pureté, Il est Propre ("nadhîf"), Il aime la propreté ("nadhâfah"), Il est Bon, Il aime la bonté, Il est Généreux, Il aime la générosité. Nettoyez donc autour de vous ("fanaddhifoû")- Dans une version, il est dit: "Nettoyez donc la cour de vos maisons."

(Tirmidhi: "Hadith Gharîb" - "Mousnad Bazzâr" - Dans la version du "Mousnad Abi Ya'la", le Hadith se termine par ces mots: "Nettoyez donc vos maisons.")

 Le joyau du silence

Le Prophète - paix et bénédiction sur lui - dit : "Que celui qui croit en Dieu et au Jour Dernier dise le bien ou qu’il se taise." Le Très-Haut dit : "Il n’y a rien de bon dans la plus grande partie de leurs conversations secrètes, sauf si l’un d’eux ordonne une charité, une bonne action, ou une conciliation entre les gens. Et quiconque le fait, cherchant l’agrément de Dieu, à celui-là Nous donnerons bientôt une récompense énorme." et aussi : "Mais entraidez-vous dans la bonté et la piété" .Or, les défauts de la langue dont le musulman doit se prémunir sont très nombreux savoir et un grand contrôle de soi.

La langue est, par excellence, l’instrument de l’expression. L’âme a de nombreux penchants et la langue est la voie la plus courte pour les exprimer. Les penchants sont tellement nombreux, mais il ne convient guère que la langue les exprime tous. L’âme est encline à l’orgueil, elle l’est aussi à l’insulte et à la chicane au moment de la colère ; elle verse dans les paroles plaisantes jusqu’à sombrer dans la futilité, elle est encline à rabaisser autrui et à lui faire ressentir ses propres mérites. Tout ceci, et j’en passe, fait partie des choses dont le musulman doit s’abstenir. Il doit apprendre à retenir sa langue de ce genre de travers et cela passe par le contrôle de la langue. Les prémices du contrôle de la langue résident dans l’entraînement au silence. Puis, il s’habitue progressivement aux paroles mesurées. Celui qui n’a pas l’habitude de se taire aura du mal à prendre l’habitude de mesurer ses propos avant de parler

La patience et l'endurance
 

 Allah - que Son Nom soit glorifié- a loué ceux qui manifestent de la patience dans la difficulté, ceux qui manifestent de l’endurance dans les épreuves et ceux qui sont reconnaissants envers Dieu qui nous a comblé de bienfaits innombrables.

 Les occurrences du mot patience, ou des mots qui en dérivent, sont très nombreuses dans le Coran. Dans certains passages, atteindre les rangs des valeureux est présenté comme un fruit de la patience et de l’endurance (32 :24) :

« Et Nous avons désigné parmi eux des dirigeants qui guidaient (les gens) par Notre ordre aussi longtemps qu’ils enduraient et croyaient fermement en Nos versets. »

et Il a dit (16 : 96) « Tout ce que vous possédez s’épuisera, tandis que ce qui est auprès d’Allah durera. Et Nous récompenserons ceux qui ont été patients en fonction du meilleur de ce qu’ils faisaient ».

Dieu accorde une récompense double à ceux qui ont enduré et patienté (28 : 54) : « Voilà ceux qui recevront deux fois leur récompense pour leur endurance, pour avoir répondu au mal par le bien, et pour avoir dépensé de ce que Nous leur avons octroyé ».

La quête du savoir

L’importance du savoir est élucidée dans les premier versets du Coran où Allah dit : « Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, qui a créé l'homme d'une adhérence. Lis ! Ton Seigneur est le Très Noble, qui a enseigné par la plume [le calame], a enseigné à l'homme ce qu'il ne savait pas. ». (Coran 96/1-5)

L’Islam n’a jamais séparé l’adoration du savoir et à travers ce verset et bien d’autres, Allah le Très-Haut, nous montre que l’adorer ne se limite pas à une série d’inclinaisons et de prosternations quotidiennes ou à de simples paroles prononcées sur le bout des lèvres.

Et l’exemple de notre Prophète, , est encore plus explicite. Pendant 23 années, son seul but fut d’enseigner et d’éduquer des hommes qui étaient des adorateurs d’idoles. Allah dit : « C'est Lui qui a envoyé à des gens sans Livre (les Arabes) un Messager des leurs qui leur récite Ses versets, les purifie et leur enseigne le Livre et la Sagesse, bien qu'ils étaient auparavant dans un égarement évident »  (Coran 62 / 2).


L'islam et la quête du savoir par Shabeel


 

http://www.islam-ahmadiyya.org/hadith/63-le-savoir-vivre-en-islam.html

http://www.islamreligion.com/fr/articles/27/

http://islamqa.info/fr/ref/6503

http://www.islamophile.org/spip/Le-silence.html

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5 choses bizarres de votre corps enfin expliquées !

Bailler

 

Pleurer quand on bâille, entendre des battements de coeur dans l'oreille... Notre corps a parfois de drôles de réactions.


Pourquoi les yeux pleurent lorsque l'on baille ?

Parce qu'en même temps certains tuyaux lacrymaux se serrent ce qui entraîne un débordement des larmes vers la surface, selon Anne Sumers, ophtalmologue.
Pourquoi entend-on les battements du coeur battre dans nos oreilles lorsqu'on est allongé ?

Cette position permet aux oreilles de toucher les os du crâne. Du coup, les battements du coeur résonnent dans la cavité osseuse.
Pourquoi nos oreilles se mettent-elles à siffler en étouffant les autres bruits ?

"Lorsqu'une région du corps cesse d'envoyer des informations au cerveau, ce dernier réagit parfois en créant des sensations fantômes", explique Christopher Chang, ORL.
Pourquoi nous arrive-t-il de reprendre notre respiration sans être essoufflé ?

Humam Farah, spécialiste des maladies pulmonaires, explique que certaines personnes font de l'apnée centrale. "Ils leur arrivent de stopper net de respirer" et reprendre leur souffle.
Pourquoi a-t-on l'impression d'étouffer lorsqu'on mange sans boire ?

C'est ce qu'on appelle de la dysphagie. Lorsqu'on mange des aliments secs, ces derniers passent plus difficilement dans le tube digestif.

 

http://www.medisite.fr/a-la-une-5-choses-bizarres-de-votre-corps-enfin-expliquees.718955.2035.html

 

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Est-il permis de manger de la viande des bêtes sacrifiées par les chrétiens ?

Est—il permis, à notre époque actuelle, de manger de la viande des bêtes sacrifiées par les chrétiens ? Sachant que lors du sacrifice, les techniques qu’ils emploient pour égorger la bête sont multiples, à l’exemple des dispositifs mécaniques ou encore l’utilisation de substances psychotropes ?

Allah, Béni et Exalté soit-Il, vous a rendues licites les bêtes égorgées par les Gens du Livre (les juifs et les chrétiens), qu’ils s’agissent des chrétiens ou des juifs. Il nous a également rendues licites les bêtes égorgées par les gens de l’Islam (les musulmans).

Cependant, je vous pose cette question : « à supposer que vous connaissez un musulman de part son affiliation à l’Islam, mais que celui-ci égorge sa bête d’une manière qui n’est pas conforme au rite Islamique ; est ce que cette viande [provenant de sa bête] serait-elle mangeable ? »

Certes, nous ne la mangerions pas sans aucun doute ! Alors, qu’en serait-il des chrétiens s’ils venaient à agir également ainsi ?

Si le musulman qui ne se conforme pas au rite lorsqu’il va égorger la bête et supposé qu’il le fasse, par exemple, par strangulation ou qu’il la laisse mourir ou bien encore qu’il ne prononce pas intentionnellement le Nom d’Allah au moment de l’égorger, alors la viande [provenant de la bête] de cette individu ne doit pas être consommé.

Il en va de même pour le chrétien qui n’égorge pas sa bête de la façon recommandée par sa religion. Car Allah, Béni et Exalté soit-Il, nous a permis de manger les bêtes égorgées par les Gens du Livre (les juifs et les chrétiens), si elles on été égorgées de la façon recommandée par la religion [selon le Livre].

Sachez que l’avis qui prévaut quant à la nourriture des juifs et les chrétiens, c’est l’immunité pour la personne et qu’il est permis de manger de la viande des bêtes qu’ils égorgent vu que vous ne savez pas si elles ne sont pas égorgées de la façon recommandée par la religion et il en va de même en ce qui concerne les musulmans. Donc, s’il arrive qu’un musulman ou qu'un chrétien égorge sa bête et que vous ne connaissez pas de quelle façon il l’a fait, alors nous vous dirons dans ce cas mangez-en !

Par contre, si vous parvenez à savoir avec certitude que cette personne n’égorge pas [sa bête] de la façon recommandée par sa religion, que ce soit selon notre législation, ou celle des Gens du Livre, alors la viande [provenant de cette bête] ne doit pas être consommé, que cette personne soit musulmane ou chrétienne.

Et Allah est le plus savant.

Source : www.mandakar.com

Fatwa de Sheikh Falah Ibn Ismail Mandakar (rahimahou Allah)
Traduction rapprochée : par AbuKhadidja Al Djazairy

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