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Blog de Islamiates

Islam et Christianisme: l'homme à l'image de Dieu?

 

Grandes leçons que celles que l’on tire d’un dialogue authentique avec tous ceux qui estiment que l’homme ne peut être réduit à son animalité, mais qu’il est habité par un secret qui le rattache nécessairement à la transcendance. Par l’esprit on va à Dieu.

Les musulmans sont particulièrement sensibles à l’idée que le Créateur ne peut être représenté par une image, en se servant des éléments de sa création. Toute image voilerait et trahirait ce que précisément elle voudrait indiquer au-delà d’elle-même. L’interdiction de représenter Dieu est d’ailleurs une injonction que l’on trouve dans la Bible et dans le Coran.

Le Prophète Muhammad affirme cependant : “ Dieu a créé Adam à son image. ” Parole rapportée par Al-Bukhârî et Muslim, et reconnue comme étant authentique. L’imam An-Nawawî range ce hadith dans la catégorie des traditions comprenant des éléments descriptifs. Le savant Ibn Hajar Al-‘Asqalânî explique que le déterminant possessif “ son ” (en arabe le pronom hu) peut se rapporter à Adam lui-même. Ce qui signifierait que Dieu l’a créé sous une forme achevée : Adam n’a pas suivi différentes étapes de croissance, comme c’est le cas pour ses descendants.

Mais Al-‘Asqalânî ajoute : “ Il a été dit que le pronom se rapporte à Dieu. Ceux qui l’affirment s’en tiennent à cette version : “ Dieu a créé Adam à l’image du Très Miséricordieux ”. L’image signifiant la qualité, et le sens étant que Dieu l’a créé d’après Ses qualités : connaissance, vie audition, vue, et ainsi de suite. Cela alors que rien ne peut être comparé aux qualités divines. ”

C’est pratiquement dans les mêmes termes que Muhammad Hamidullah, érudit décédé récemment, commente cette parole après avoir remarqué que l’expression figure dans la Bible en Genèse, 1, 27 : “  Apparemment, cela signifie que Dieu possède les attributs de l’audition, de la vision, de la parole, du vouloir, du savoir, du pouvoir créateur, etc. L’homme aussi possède un reflet de tout cela, dans la même proportion, sans aucun doute, qu’il y a entre le soleil et son reflet dans l’eau, mais avec toutefois un degré qui surpasse ce qu’on trouve chez les autres créatures. ”

Dieu est miséricordieux. L’homme est capable de miséricorde. Dieu est vivant, et à l’homme a été donnée la vie. Dieu est omniscient, et les enfants d’Adam disposent du pouvoir de connaître. Néanmoins, il serait absurde de limiter la miséricorde divine à celle des humains. De même, Dieu est le Vivant qui ne meurt pas, alors que l’homme est mortel. Et si ce dernier est capable de connaître, son savoir demeure relatif, limité et imparfait, alors que la connaissance divine est absolue, illimitée et parfaite.

En d’autres termes, cette expression : “ Dieu a créé Adam à son image ” révèle selon l’Islam, si l’on s’en tient à cette dernière interprétation, que l’homme dispose de qualités qui lui confèrent une dignité réelle, et la possibilité de se perfectionner sur les plans moral et spirituel, sans manifester cependant une volonté de rabaisser le divin au rang de l’humain, ou d’élever l’humain au rang du divin.

Là réside justement la différence avec l’imagerie qui s’est développée dans la tradition chrétienne, où renversant l’ordre des choses, on s’est mis à représenter Dieu à l’image de l’homme.

Pour autant que nos diverses spiritualités se croisent, il faut savoir en reconnaître les divergences.

http://haniramadan.blog.tdg.ch/archive/2008/02/25/islam-et-christianisme-l-homme-%C3%A0-l-image-de-dieu.html

 

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Pourquoi Dieu a crée l'Homme? Réponse du Coran, la Bible et la Torah

Dans le Coran


Islam: Pourquoi Dieu nous a créé ? 

La création est la conséquence logique de l’attribut divin de Créateur.  Un Créateur qui ne créerait pas est une contradiction en soi.  Ce qui ne veut pas dire que Dieu ait besoin de Sa création, car Il ne connaît aucun besoin.  C’est plutôt la création qui a besoin de Lui.  Mais comme la grandeur d’un écrivain se reconnaît à  ses écrits, la perfection de l’attribut créatif divin se manifeste dans la création.  La création au sens pur est unique à Dieu.  Bien que les humains s’attribuent parfois l’acte de créer, nous savons tous qu’il ne s’agit pas de création au sens pur (i.e. à partir de rien).  Les humains ne font que manipuler ce qui existe déjà, c’est-à-dire ce qui a déjà été créé par Dieu.  Une table est faite de bois, lequel provient des arbres; les planches sont retenues entre elles à l’aide de clous et de vis, lesquelles sont faites de métaux puisés dans des mines.  Les humains n’ont créé ni les arbres ni les métaux.  Toutes les « créations » humaines sont faites à partir d’éléments de base que les humains ne peuvent créer.

Même les images que créent les artistes sont influencées par les choses qu’ils ont vues, car il est impossible d’imaginer ce qui n’a jamais été perçu par les sens.  Donc, toutes les idées de l’artiste sont des reflets de ce qui est déjà créé.  Seul Dieu crée à partir du néant.  Ce fait pourtant simple à comprendre demeure difficile à saisir pour certains.  Des philosophes, anciens et modernes, n’arrivant pas à comprendre comment Dieu pouvait créer à partir du néant, ont prétendu que le monde créé et tout ce qu’il contient sont, à l’origine, une partie de Dieu lui-même.  Selon eux, Dieu aurait tiré une partie de Lui-même pour créer l’univers.  Ce concept découle de l’analogie qu’ils établissent entre Dieu et l’homme, qui ne peut « créer » qu’en manipulant et modifiant ce qui existe déjà.  Cependant, une telle analogie de sied pas à Dieu, car elle Lui prête des limites qui sont uniquement humaines.  Dans le Coran, Dieu affirme :

« Rien ne Lui ressemble.  Il entend tout et voit tout. » (Coran 42:11)

Par conséquent, l’acte de création est la conséquence logique de l’attribut divin de Créateur.  Dieu Se décrit Lui-même comme le Créateur dans de nombreux versets du Coran afin de bien faire comprendre à l’humanité que tout Lui appartient, à Lui seul.

« Dieu est le Créateur de toute chose, et de toute chose Il est le Gardien. » (Coran 39:62)

« Dieu vous a créés, vous et ce que vous fabriquez. » (Coran 37:96)

L’homme doit comprendre que rien, dans cet univers, ne se produit sans que Dieu ne le sache.  Chercher protection contre le mal ou chercher à s’attirer un bien de toute source autre que Dieu constitue une grave erreur.  Par ignorance, nombreux sont ceux qui cherchent à échapper au malheur ou à s’attirer la chance par l’intermédiaire de toute une variété d’amulettes, de porte-bonheur, de l’astrologie, de la chiromancie, etc.  C’est pourquoi, dans le Coran, Dieu ordonne à l’homme de ne chercher protection qu’auprès de Lui :

« Dis : « Je cherche protection auprès du Seigneur de l’aube naissante contre le mal des êtres qu’Il a créés. » (Coran 113:1-2)

Allah, le Tout-Puissant, n’est pas mauvais : Il est Bon.  Il a créé un monde dans lequel le bien et le mal peuvent être faits par les êtres auxquels Il a donné cette capacité.  Toutefois, nul bien ni mal ne peut se produire, en ce monde, sans la permission de Dieu.  C’est la raison pour laquelle il est futile de se tourner vers d’autres que Dieu pour chercher secours et protection.

« Nul malheur n’atteint [l’homme] sans la permission de Dieu. » (Coran 64:11)

Le dernier prophète envoyé par Dieu, Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a ainsi expliqué ce concept :

« Sachez que si l’humanité tout entière s’unissait pour vous porter secours, elle ne pourrait faire que ce que Dieu a déjà écrit pour vous.  De même, si l’humanité tout entière s’unissait pour vous nuire, elle ne pourrait faire que ce que Dieu a déjà écrit pour vous. » (at-Tirmidhi)

Dans la Bible

Dieu nous a créés par amour
 
 

Pourquoi la vie ? Pourquoi vivre ? A quoi ça sert ? Pourquoi, si Dieu existe nous a-t-il créés ? Et si c’était par amour, pour l’amour....

La Bible, lettre de Dieu pour nous, révèle la hauteur et la profondeur de l’amour de Dieu. Elle nous dit même en une courte formule que tout son être est fait d’amour :« Dieu est amour » (1ère épître de l’apôtre Jean ch.4  v.16). Se suffisant pourtant à lui-même de toute éternité, Dieu a choisi d’investir son amour dans un être extérieur à lui-même. Il a voulu par amour et amitié se choisir un vis à vis de chair et de sang, un compagnon avec qui partager et communier, une descendance à aimer, avec qui parler.

Et oui…quel profond mystère ! Tu es le fils, la fille que Dieu s’est choisi pour se reconnaître et pour incarner son amour. Le premier livre de la Bible, la genèse, nous précise que l’homme a été créé à l’image de Dieu, selon sa ressemblance. Dieu n’a pas créé un objet, un pantin complètement étranger à lui-même mais il s’est investi dans cette création au point d’incarner une part de lui-même en elle. Le psalmiste (un psalmiste est un auteur de psaumes, l’équivalent de nos chansons actuelles) nous révèle que l’homme a été fait de peu inférieur à Dieu. Réalisons que nous portons, malgré le mal qui nous affecte, l’empreinte de Dieu. Il a mis en nous son souffle, son esprit, nous a rendus capable de penser, de ressentir, de créer, d’entrer en relation et d’aimer.

C’est cette origine et cette divine ressemblance qui fonde notre valeur, notre dignité. Dieu nous a créés aussi uniques. Tu as donc de la valeur ! Tu es précieux/se pour Dieu. Il t’aime toi, pour qui tu es et ta vie vaut donc le coup d’être vécue. Tu as à découvrir cet amour de Dieu pour toi, et tu n’as pas fini d’en explorer les différentes facettes !

Le récit biblique poursuit en évoquant l’émergence du mal en l’homme, le péché, et la rupture avec le Dieu saint pour conséquence. Il précise que Dieu est tellement étranger au mal (c’est ce que veut dire le mot “saint”) que ses yeux purs ne peuvent soutenir la vue du mal. C’est pourquoi nous sommes coupés de la présence de Dieu (voir l’article : le péché, ce qui nous sépare de Dieu). Cependant, Dieu n’a pas renoncé à son amour pour nous. Il veut restaurer la relation qu’il voulait entretenir avec toi. Il a choisi pour cela de venir à ta rencontre, en Jésus-Christ, sur terre. Jésus a offert sa vie sur la croix pour porter tes fautes, afin que tu puisses retrouver une relation d’amour avec Dieu, dans la réconciliation.

Ne désires-tu pas expérimenter l’amour de Dieu pour toi, sentir que la vie vaut le coup d’être vécue parce que tu es aimé(e) profondément ? Dis alors à Dieu ton désir d’entrer en relation avec lui, de l’aimer en retour, de te confier en lui et d’apprendre à le connaître. Reconnais dans la vérité que le mal t’affecte et te tient à distance de Lui. Comprends-tu ce que Jésus a fait pour toi afin que tu sois pardonné(e) et réconcilié(e) avec Dieu le Père ? Accepte alors avec reconnaissance la grâce de Dieu manifestée en Jésus afin d’entrer dans cette relation de qualité, relation filiale, d’amour et d’intimité.
 
Dans la Torah
 
Dans la Tawrat, dans le livre de la Genèse, au premier chapitre, verset 26, il est écrit : “Dieu dit : ‘Faisons l’homme à notre image selon notre ressemblance, pour qu’il domine sur les poissons de la mer, sur les oiseaux du ciel, sur le bétail, sur toute la terre et sur tous les reptiles qui rampent sur la terre.’ Dieu créa l’homme à son image : Il le créa à l’image de Dieu, homme et femme il les créa”1 .Nous avons là une vérité profonde et très riche de sens que nous devons tous connaître. C’est que Dieu a créé le premier homme à son image ! Réfléchissez-y ! Dieu a fait l’homme pour qu’il soit comme lui ! Vraiment, l’homme est la créature la plus importante de toutes celles que Dieu a faites, car seul l’homme a été créé à l’image de Dieu ! Mais que veut dire la Parole de Dieu quand elle dit : “Dieu créa l’homme à son image” ? Nous trouvons la réponse au chapitre deux, au verset sept, où il est dit : “L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière du sol ; il insuffla dans ses narines un souffle vital, et l’homme devint un être vivant”2 Nous remarquons dans ce verset que lorsque Dieu créa le premier homme, il le créa avec .deux éléments : le corps et l’âme. L’homme n’est pas simplement un être physique. Il a un corps et une âme. Dieu a créé l’homme en deux temps. Écoutez de nouveau ce que disent les Écritures : D’abord : “L’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière du sol”. Ensuite : Dieu “insuffla dans ses narines un souffle vital, et l’homme devint un être vivant”. De ce texte, nous apprenons que lorsque Dieu créa l’homme, il forma d’abord un corps. Pourquoi Dieu fit-il le corps en premier ? Il fit le corps d’abord parce que c’était le lieu d’habitation dans lequel Dieu allait placer l’âme de l’homme. Savez-vous que votre corps est votre ‘maison’ dans laquelle vit votre âme ? C’est ce que les Écritures nous enseignent lorsqu’elles disent : “Notre demeure terrestre n’est qu’une tente”3Dieu a créé le corps de l’homme .4 pour que l’âme y habite. Comment Dieu créa-t-il le premier corps humain ? Les Écritures disent que le Seigneur le forma de la poussière du sol. A l’époque moderne dans laquelle nous vivons, nous savons que la poussière de la terre est composée d’environ vingt éléments chimiques, et les scientifiques nous disent que chacune de ces vingt substances chimiques se trouve aussi dans le corps humain. C’est pourquoi le prophète David a écrit dans le Zabour : “Car l’Éternel sait de quoi nous sommes formés, il se souvient que nous sommes poussière”5 ! Oui, le corps est fait de poussière ! Mais cela ne veut pas dire qu’il est sans valeur ! Dans le corps humain,  il y a plus de soixante-dix mille milliards de particules que nous appelons des ‘cellules’. Et toutes ces particules sont imbriquées les uns dans lesautres et prévues pour fonctionner en parfaite harmonie. Le corps humain est un miracle ! Dans notre corps, Dieu a placé le cerveau, le cœur, les poumons, l’estomac, le foie, les intestins, les os,les muscles, la peau, les yeux, les oreilles, le nez, la bouche, et beaucoup, beaucoup d’autres parties merveilleuses. Chaque organe ‘connaît’ son rôle. Seul Dieu pouvait le créer ! C’est pour cela que le prophète David a aussi écrit : “Je te célèbre ; car je suis une créature merveilleuse. Tes œuvres sont des merveilles, et mon âme le reconnaît bien
Dieu a confié une grande responsabilité à l’homme ! L’homme doit choisir par lui-même de suivre Dieu ou Satan, de chérir la Parole de Dieu ou de la mépriser. Dieu ne vous forcera pas à croire en sa Parole. Il ne vous forcera jamais à l’aimer et à lui obéir. L’amour n’est plus l’amour s’il est contraint. Dieu permet à chacun d’entre nous de choisir par lui-même quel chemin il veut suivre. Mais, à la fin, Dieu jugera tous ceux qui auront rejeté son royaume, parce que Dieu a créé l’homme pour lui-même. C’est ce que disent les Écritures. Nous sommes ici-bas sur terre pour Dieu. Nous ne sommes pas ici-bas pour nous-mêmes, ou pour gagner de l’argent, ou pour quoi que ce soit ou qui que ce soit d’autre. Dieu nous a créés pour lui-même. Dieu nous a créés avec la capacité de le connaître, de l’aimer et de lui obéir pour toujours .
 
 

 

 

Les origines de la fête de noël

Le pere noel

 

Jésus-Christ (que la paix soit avec lui) a apporté un grand nombre de beaux enseignements pour les gens de son époque, notamment la foi en Dieu unique. Mais il était inévitable qu’avec le temps sa religion souffre d’un déclin constant ; ce qui a facilité l’adoption progressive par les chrétiens de croyances et de rites païens et de pratiques culturelles nouvelles. Dans cette brève présentation, nous vous invitons à examiner l'authenticité de la fête de Noël, et nous poserons quelques questions : Cette fête est-elle réellement chrétienne ? Est-ce l’anniversaire de Jésus ? Jésus l'aurait-il approuvé ?

La plupart des chrétiens considèrent Noël comme une fête religieuse. À travers le monde, les églises diffusent messages et sermons qui laissent croire que le 25 décembre est l’anniversaire authentique de Jésus-Christ. Combien de fois n’a-t-on pas revécu la mise en scène du miracle de la Nativité - l’enfant Jésus dans la crèche, les Rois Mages, etc. ?

La fête de Noël ranime, sans doute, des sentiments de solidarité entre chrétiens, de par leur identité, leur culture et leurs objectifs communs : ils ont tous recours aux arbres de Noël, aux cloches, aux bougies et aux bûchers, sans oublier le Père Noël. Toutes ces choses aident à créer une ambiance de fête et de réjouissances.

L’historique de la fête de Noël

Il est un fait que ni l’année, ni le mois, ni encore le jour de la naissance de Jésus ne sont mentionnés dans la Bible. En fait, le récit biblique nous indique qu’il naquit durant l’été (de juin à septembre en Palestine), car les bergers étaient dehors avec leurs troupeaux (voir Luc 2 : 8). L’hiver étant une saison de pluie, il n’était pas question pour les bergers de passer la nuit à la belle étoile (Esdras 10 : 9). Si l’histoire de la naissance du Christ se trouve bien dans la Bible, la célébration de l’événement, quant à elle, n’est nullement indiquée. D’ailleurs, il est intéressant de noter que selon la Bible, ni Jésus ne l’avait jamais célébré, ni ses disciples auxquels il avait lui-même enseigné la religion juste. En effet, si la célébration de Noël devait figurer dans la religion de Jésus, ses suivants l’auraient certainement fêtée. Or, l’édition anglaise de 1911 de l’Encyclopédie catholique, diffusée par l’Église Catholique Romaine, déclare que « Noël ne figure pas parmi les premières fêtes de l’Église... elle apparaîtra pour la première fois en Égypte. » C’est dire que cette fête est d’origine païenne.

Le Coran affirme aussi que la période de naissance de Jésus était en été, période des dattes mûres que la Vierge Marie mangea avant d'accoucher : « Elle devient donc enceinte [de l'enfant], et elle se retira avec lui en un lieu éloigné. 23. Puis les douleurs de l'enfantement l'amenèrent au tronc du palmier, et elle dit : « Malheur à moi ! Que je fusse mort avant cet instant ! Et que je fusse totalement oubliée ! » 24. Alors, il l'appela d'au-dessous d'elle [lui disant :] « Ne t'afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source. 25. Secoue vers toi le tronc du palmier : il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. 26. Mange donc et bois et que ton œil se réjouisse ! Si tu vois quelqu'un d'entre les humains, dis [lui :] « Assurément, j'ai voué une abstinence au Tout Miséricordieux : je ne parlerai donc aujourd'hui à aucun être humain ». (Qur’an, 19:16-26).

Pourquoi le 25 décembre ?

Peu de gens savent que la naissance de Jésus est fêtée à différentes dates dans le monde chrétien : le 6 janvier, le 21 avril, ou encore le 1er mai. Cette multitude de dates a pour origine le fait que la date exacte n’est pas connue. Mais le 25 décembre est une date très importante pour les païens romains : il s’agit de la célébration de « Brumalia », suivant les « Saturnalia », fêtées du 17 au 24 décembre. Cette fête avait le but de rendre hommage à Saturne, le Roi-Soleil de l’agriculture. Selon l’encyclopédie éditée par Schaff-Herzog :

« ... la fête, solidement enracinée dans la tradition populaire, ne put être éliminée par l’influence chrétienne. Cette fête païenne, avec sa débauche et ses réjouissances, était si populaire que les paléochrétiens de l’Empire Romain furent heureux d’avoir un prétexte pour continuer à la célébrer sans trop changer son esprit ou sa tradition. »

Bien loin de rejeter cette fête païenne, l’Église l’agréa en prenant le soin de l’adapter : au lieu d’être la naissance du Roi-Soleil des Romains, désormais ce serait celle de Jésus-Christ, le Fils de Dieu ! Ce fut le Pape Jules 1er qui, en l’an 320 après J.-C., avait déclaré que le 25 décembre serait la date officielle de la naissance du Christ. Dès lors, le Christianisme deviendrait une religion attirante et acceptable pour les masses populaires païennes de Rome. Ceci poussa les chrétiens de Mésopotamie (les Syriens et les Arméniens) à accuser leurs coreligionnaires occidentaux d’idolâtrie pour avoir adopté cette fête païenne. Notons au passage qu’en 1643, le parlement britannique avait officiellement aboli la célébration de la Noël, la considérant non chrétienne en raison de son origine païenne.

Quelques croyances païennes défendues

La religion romaine : Vers l’an 200 avant J.-C., les païens romains adoraient Attis, le fils de la vierge Nana, dont la naissance était célébrée le 25 décembre. Il aurait été crucifié le 25 mars pour le salut des hommes. Il descendit aux enfers et y demeura trois jours, puis ressuscita un dimanche en tant que « dieu-soleil pour la nouvelle saison ». Son corps était symboliquement consommé sous la forme de pain.

La religion égyptienne : Osiris était un dieu-sauveur, dont l’adoration s’étendit jusqu’à Rome avant la fin du premier siècle. On l’appelait, entre autres : le Seigneur des Seigneurs, le Roi des Rois, le Dieu des Dieux, la Résurrection, la Vie, le Bon Pasteur... le dieu grâce auquel les hommes et les femmes pouvaient renaître. Trois hommes sages avaient annoncé sa naissance. Ses adorateurs mangeaient des gâteaux de blé, symbolisant son corps.

La religion persane : Mithra était un dieu païen en compétition avec le christianisme jusqu’au 4e siècle. Sa naissance aurait eu lieu le 25 décembre en présence de plusieurs témoins, dont... des bergers et trois mages portant des présents ! Beaucoup croyaient qu’il était né d’une vierge, qu’il faisait des miracles, qu’il guérissait les malades et qu’il exorcisait les personnes possédées par des démons. Il aurait célébré un dernier repas avec ses douze disciples avant de monter au ciel le 21 mars.

La religion babylonienne : La scène de la Nativité était très répandue dans l’ancienne Babylonie. Y figuraient la déesse-mère Sémiramis, qui, par ses complots, était devenue la Reine du Ciel, et Nemrod, le Fils divin du Ciel. Après la mort prématurée de Nemrod, sa mère proclama qu’un arbre à feuilles persistantes avait poussé durant la nuit à partir d’une souche morte, une indication symbolique de la renaissance de Nemrod. Elle déclara que dorénavant, le jour de son anniversaire, Nemrod visiterait l’arbre éternellement vert pour y laisser des présents.

Ne serait-ce pas là l’origine réelle de l’arbre de Noël ? En définitive, la ressemblance entre ces légendes païennes et l’histoire de la Nativité sont pour le moins flagrantes.

Il est à souhaiter que tous les chrétiens qui croient vraiment en Dieu, réfléchiront, et arriveront à faire la distinction entre les commandements de Dieu et les innovations des hommes. Nous espérons aussi qu’ils n’hésiteront pas à débarrasser le christianisme de toutes pratiques païennes. Jésus dit qu’il n’est pas venu pour « détruire la Loi ou les Commandements... mais pour les accomplir » (Matthieu 5 : 17). Quiconque suivra des enseignements autres que ceux de Jésus sera rejeté : « Personne ne peut servir deux maîtres... vous ne pouvez servir Dieu et la Richesse. » (Voir Matthieu 6 : 24). « Éloignez-vous de moi, vous qui agissez en hommes qui méprisent la Loi. » (Matthieu 7 : 23).

À cela, Jésus rajoute que Dieu avait dit par la bouche du prophète Esaïe : « C’est en vain qu’ils continuent à m’adorer, car ils enseignent pour doctrine des commandements d’hommes. Lâchant le commandement de Dieu, vous tenez ferme la tradition des hommes. » (Marc 7 : 7,8).

Par ailleurs, Dieu commande aux croyants : « N’apprenez absolument pas la voie des païens... En effet, les coutumes des impies ne sont qu’un... simple arbre qu’on a coupé dans la forêt, travaillé des mains de l’artisan... D’argent et d’or, on l’enjolive. » (Jérémie 10 : 2-4).

Par ailleurs, Dieu les met en garde : « Prends garde à toi, de peur que tu te laisses prendre à leur suite... Toute parole que Je vous commande, voilà ce que vous devrez avoir soin de pratiquer. Vous ne devrez rien y ajouter et rien en retrancher. » (Deutéronome 12 : 30 et 32).

En somme, Jésus (sur lui la paix) n'a jamais ordonné de célébrer son anniversaire comme tous les prophètes d'ailleurs, mais a seulement commandé les gens de suivre ses enseignements dont le plus important : celui d'adorer Dieu seul sans rien lui associer dans son adoration et dans sa législation…

Aux chrétiens, nous posons la même question qu’avait posée Paul : « Quelle part a le fidèle avec l’incroyant ? Et quelle entente y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? » (2 Corinthiens 6 : 15,16).

Jésus n’est donc pas né le jour de la Noël. Et il n’aurait certainement pas approuvé l’institution de cette célébration, car elle est d’origine païenne, elle est contraire à la Loi, elle se situe en dehors de ses enseignements et des Commandements de Dieu. Comment un prophète pourrait-il tolérer des coutumes ou des rites païens ? S’il les agréait, ce serait la négation même de l’objectif de sa venue, qui n’était autre que d’amener les gens vers le vrai Dieu, le Dieu Unique, le Créateur des cieux et de la terre.

 

La Naissance de Jésus dans le Coran

 

Dieu dit : « (Rappelle-toi,) quand les Anges dirent : « Ô Marie, voilà que Dieu t'annonce une parole de Sa part : son nom sera « Al-Masih » « 'issa », fils de Marie[1], illustre ici-bas comme dans l'au-delà, et l'un des rapprochés de Dieu".
46. Il parlera aux gens, dans le berceau et en son âge mûr et il sera du nombre des gens de bien". 47. - Elle dit : « Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu'aucun homme ne m'a touchée ?» - « C'est ainsi ! » dit-Il. Dieu crée ce qu'Il veut. Quand Il décide d'une chose, Il lui dit seulement : « Sois» ; et elle est aussitôt. 48. "Et (Dieu) lui enseignera l'écriture, la sagesse[2], la Thora et l'Évangile, 49. et Il sera le messager aux enfants d'Israël [et leur dira] : » En vérité, je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur. Pour vous, je forme de la glaise comme la figure d'un oiseau, puis je souffle dedans : et, par la permission de Dieu, cela devient un oiseau. Et je guéris l'aveugle-né et le lépreux, et je ressuscite les morts, par la permission de Dieu. Et je vous apprends ce que vous mangez et ce que vous amassez dans vos maisons. Voilà bien là un signe, pour vous, si vous êtes croyants ! 50. Et je confirme ce qu'il y a dans la Thora révélée avant moi, et je vous rends licite une partie de ce qui était interdit. Et j'ai certes apporté un signe de votre Seigneur. Craignez Dieu donc, et obéissez-moi. 51. Dieu est mon Seigneur et votre Seigneur. Adorez-Le donc : voilà le chemin droit. » (Qur’an, 3:45-51)

 

Dieu dit également : « Mentionne, dans le Livre (le Coran), Marie, quand elle se retira de sa famille en un lieu vers l'Orient. 17. Elle mit entre elle et eux un voile. Nous lui envoyâmes Notre Esprit (Gabriel), qui se présenta à elle sous la forme d'un homme parfait. 18. Elle dit : « Je me réfugie contre toi auprès du Tout Miséricordieux. Si tu es pieux, [ne m'approche point]. 19. Il dit : « Je suis en fait un Messager de ton Seigneur pour te faire don d'un fils pur ». 20. Elle dit : « Comment aurais-je un fils, quand aucun homme ne m'a touchée, et je ne suis pas prostituée ? » 21. Il dit : « Ainsi sera-t-il ! Cela M'est facile, a dit ton Seigneur ! Et Nous ferons de lui un signe pour les gens, et une miséricorde de Notre part. C'est une affaire déjà décidée ». 22. Elle devient donc enceinte [de l'enfant], et elle se retira avec lui en un lieu éloigné. 23. Puis les douleurs de l'enfantement l'amenèrent au tronc du palmier, et elle dit : « Malheur à moi ! Que je fusse mort avant cet instant ! Et que je fusse totalement oubliée ! » 24. Alors, il l'appela d'au-dessous d'elle [lui disant :] « Ne t'afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source. 25. Secoue vers toi le tronc du palmier : il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. 26. Mange donc et bois et que ton œil se réjouisse ! Si tu vois quelqu'un d'entre les humains, dis [lui :] « Assurément, j'ai voué un jeûne au Tout Miséricordieux : je ne parlerai donc aujourd'hui à aucun être humain ». 27. Puis elle vint auprès des siens en le portant [le bébé]. Ils dirent : « Ô Marie, tu as fait une chose monstrueuse ! 28. « Sœur de Haroun, ton père n'était pas un homme de mal et ta mère n'était pas une prostituée ». 29. Elle fit alors un signe vers lui [le bébé]. Ils dirent : « Comment parlerions-nous à un bébé au berceau ? » 30. Mais (le bébé) dit : « Je suis vraiment le serviteur de Dieu. Il m'a donné le Livre et m'a désigné Prophète. 31. Où que je sois, Il m'a rendu béni ; et Il m'a recommandé, tant que je vivrai, la prière et la Zakat ; 32. et la bonté envers ma mère. Il ne m'a fait ni violent ni malheureux. 33. Et que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai, et le jour où je serai ressuscité vivant. » 34. Tel est Hissa (Jésus), fils de Marie : parole de vérité, dont ils doutent. 35. Il ne convient pas à Dieu de S'attribuer un fils. Gloire et Pureté à Lui[3] ! Quand Il décide d'une chose, Il dit seulement : « Sois ! » et elle est.
36. Certes, Dieu est mon Seigneur tout comme votre Seigneur. Adorez-le donc. Voilà un droit chemin. » (Qur’an, 19:16-36)

Que Dieu nous donne la force et le courage de suivre Sa Parole, et d’abandonner la tradition des hommes et leur duperie. Que la Paix et les Bénédictions de Dieu soient avec tous les croyants sincères. Amen.

 

Publié par

Le bureau de prêche de Rabwah (Riyadh)

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Jésus-Christ (que la paix soit avec lui) a apporté un grand nombre de beaux enseignements pour les gens de son époque, notamment la foi en Dieu unique. Mais il était inévitable qu’avec le temps sa religion souffre d’un déclin constant ; ce qui a facilité l’adoption progressive par les chrétiens de croyances et de rites païens et de pratiques culturelles nouvelles. Dans cette brève présentation, nous vous invitons à examiner l'authenticité de la fête de Noël, et nous poserons quelques questions : Cette fête est-elle réellement chrétienne ? Est-ce l’anniversaire de Jésus ? Jésus l'aurait-il approuvé ?

La plupart des chrétiens considèrent Noël comme une fête religieuse. À travers le monde, les églises diffusent messages et sermons qui laissent croire que le 25 décembre est l’anniversaire authentique de Jésus-Christ. Combien de fois n’a-t-on pas revécu la mise en scène du miracle de la Nativité - l’enfant Jésus dans la crèche, les Rois Mages, etc. ?

La fête de Noël ranime, sans doute, des sentiments de solidarité entre chrétiens, de par leur identité, leur culture et leurs objectifs communs : ils ont tous recours aux arbres de Noël, aux cloches, aux bougies et aux bûchers, sans oublier le Père Noël. Toutes ces choses aident à créer une ambiance de fête et de réjouissances.

L’historique de la fête de Noël

Il est un fait que ni l’année, ni le mois, ni encore le jour de la naissance de Jésus ne sont mentionnés dans la Bible. En fait, le récit biblique nous indique qu’il naquit durant l’été (de juin à septembre en Palestine), car les bergers étaient dehors avec leurs troupeaux (voir Luc 2 : 8). L’hiver étant une saison de pluie, il n’était pas question pour les bergers de passer la nuit à la belle étoile (Esdras 10 : 9). Si l’histoire de la naissance du Christ se trouve bien dans la Bible, la célébration de l’événement, quant à elle, n’est nullement indiquée. D’ailleurs, il est intéressant de noter que selon la Bible, ni Jésus ne l’avait jamais célébré, ni ses disciples auxquels il avait lui-même enseigné la religion juste. En effet, si la célébration de Noël devait figurer dans la religion de Jésus, ses suivants l’auraient certainement fêtée. Or, l’édition anglaise de 1911 de l’Encyclopédie catholique, diffusée par l’Église Catholique Romaine, déclare que « Noël ne figure pas parmi les premières fêtes de l’Église... elle apparaîtra pour la première fois en Égypte. » C’est dire que cette fête est d’origine païenne.

Le Coran affirme aussi que la période de naissance de Jésus était en été, période des dattes mûres que la Vierge Marie mangea avant d'accoucher : « Elle devient donc enceinte [de l'enfant], et elle se retira avec lui en un lieu éloigné. 23. Puis les douleurs de l'enfantement l'amenèrent au tronc du palmier, et elle dit : « Malheur à moi ! Que je fusse mort avant cet instant ! Et que je fusse totalement oubliée ! » 24. Alors, il l'appela d'au-dessous d'elle [lui disant :] « Ne t'afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source. 25. Secoue vers toi le tronc du palmier : il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. 26. Mange donc et bois et que ton œil se réjouisse ! Si tu vois quelqu'un d'entre les humains, dis [lui :] « Assurément, j'ai voué une abstinence au Tout Miséricordieux : je ne parlerai donc aujourd'hui à aucun être humain ». (Qur’an, 19:16-26).

Pourquoi le 25 décembre ?

Peu de gens savent que la naissance de Jésus est fêtée à différentes dates dans le monde chrétien : le 6 janvier, le 21 avril, ou encore le 1er mai. Cette multitude de dates a pour origine le fait que la date exacte n’est pas connue. Mais le 25 décembre est une date très importante pour les païens romains : il s’agit de la célébration de « Brumalia », suivant les « Saturnalia », fêtées du 17 au 24 décembre. Cette fête avait le but de rendre hommage à Saturne, le Roi-Soleil de l’agriculture. Selon l’encyclopédie éditée par Schaff-Herzog :

« ... la fête, solidement enracinée dans la tradition populaire, ne put être éliminée par l’influence chrétienne. Cette fête païenne, avec sa débauche et ses réjouissances, était si populaire que les paléochrétiens de l’Empire Romain furent heureux d’avoir un prétexte pour continuer à la célébrer sans trop changer son esprit ou sa tradition. »

Bien loin de rejeter cette fête païenne, l’Église l’agréa en prenant le soin de l’adapter : au lieu d’être la naissance du Roi-Soleil des Romains, désormais ce serait celle de Jésus-Christ, le Fils de Dieu ! Ce fut le Pape Jules 1er qui, en l’an 320 après J.-C., avait déclaré que le 25 décembre serait la date officielle de la naissance du Christ. Dès lors, le Christianisme deviendrait une religion attirante et acceptable pour les masses populaires païennes de Rome. Ceci poussa les chrétiens de Mésopotamie (les Syriens et les Arméniens) à accuser leurs coreligionnaires occidentaux d’idolâtrie pour avoir adopté cette fête païenne. Notons au passage qu’en 1643, le parlement britannique avait officiellement aboli la célébration de la Noël, la considérant non chrétienne en raison de son origine païenne.

Quelques croyances païennes défendues

La religion romaine : Vers l’an 200 avant J.-C., les païens romains adoraient Attis, le fils de la vierge Nana, dont la naissance était célébrée le 25 décembre. Il aurait été crucifié le 25 mars pour le salut des hommes. Il descendit aux enfers et y demeura trois jours, puis ressuscita un dimanche en tant que « dieu-soleil pour la nouvelle saison ». Son corps était symboliquement consommé sous la forme de pain.

La religion égyptienne : Osiris était un dieu-sauveur, dont l’adoration s’étendit jusqu’à Rome avant la fin du premier siècle. On l’appelait, entre autres : le Seigneur des Seigneurs, le Roi des Rois, le Dieu des Dieux, la Résurrection, la Vie, le Bon Pasteur... le dieu grâce auquel les hommes et les femmes pouvaient renaître. Trois hommes sages avaient annoncé sa naissance. Ses adorateurs mangeaient des gâteaux de blé, symbolisant son corps.

La religion persane : Mithra était un dieu païen en compétition avec le christianisme jusqu’au 4e siècle. Sa naissance aurait eu lieu le 25 décembre en présence de plusieurs témoins, dont... des bergers et trois mages portant des présents ! Beaucoup croyaient qu’il était né d’une vierge, qu’il faisait des miracles, qu’il guérissait les malades et qu’il exorcisait les personnes possédées par des démons. Il aurait célébré un dernier repas avec ses douze disciples avant de monter au ciel le 21 mars.

La religion babylonienne : La scène de la Nativité était très répandue dans l’ancienne Babylonie. Y figuraient la déesse-mère Sémiramis, qui, par ses complots, était devenue la Reine du Ciel, et Nemrod, le Fils divin du Ciel. Après la mort prématurée de Nemrod, sa mère proclama qu’un arbre à feuilles persistantes avait poussé durant la nuit à partir d’une souche morte, une indication symbolique de la renaissance de Nemrod. Elle déclara que dorénavant, le jour de son anniversaire, Nemrod visiterait l’arbre éternellement vert pour y laisser des présents.

Ne serait-ce pas là l’origine réelle de l’arbre de Noël ? En définitive, la ressemblance entre ces légendes païennes et l’histoire de la Nativité sont pour le moins flagrantes.

Il est à souhaiter que tous les chrétiens qui croient vraiment en Dieu, réfléchiront, et arriveront à faire la distinction entre les commandements de Dieu et les innovations des hommes. Nous espérons aussi qu’ils n’hésiteront pas à débarrasser le christianisme de toutes pratiques païennes. Jésus dit qu’il n’est pas venu pour « détruire la Loi ou les Commandements... mais pour les accomplir » (Matthieu 5 : 17). Quiconque suivra des enseignements autres que ceux de Jésus sera rejeté : « Personne ne peut servir deux maîtres... vous ne pouvez servir Dieu et la Richesse. » (Voir Matthieu 6 : 24). « Éloignez-vous de moi, vous qui agissez en hommes qui méprisent la Loi. » (Matthieu 7 : 23).

À cela, Jésus rajoute que Dieu avait dit par la bouche du prophète Esaïe : « C’est en vain qu’ils continuent à m’adorer, car ils enseignent pour doctrine des commandements d’hommes. Lâchant le commandement de Dieu, vous tenez ferme la tradition des hommes. » (Marc 7 : 7,8).

Par ailleurs, Dieu commande aux croyants : « N’apprenez absolument pas la voie des païens... En effet, les coutumes des impies ne sont qu’un... simple arbre qu’on a coupé dans la forêt, travaillé des mains de l’artisan... D’argent et d’or, on l’enjolive. » (Jérémie 10 : 2-4).

Par ailleurs, Dieu les met en garde : « Prends garde à toi, de peur que tu te laisses prendre à leur suite... Toute parole que Je vous commande, voilà ce que vous devrez avoir soin de pratiquer. Vous ne devrez rien y ajouter et rien en retrancher. » (Deutéronome 12 : 30 et 32).

En somme, Jésus (sur lui la paix) n'a jamais ordonné de célébrer son anniversaire comme tous les prophètes d'ailleurs, mais a seulement commandé les gens de suivre ses enseignements dont le plus important : celui d'adorer Dieu seul sans rien lui associer dans son adoration et dans sa législation…

Aux chrétiens, nous posons la même question qu’avait posée Paul : « Quelle part a le fidèle avec l’incroyant ? Et quelle entente y a-t-il entre le temple de Dieu et les idoles ? » (2 Corinthiens 6 : 15,16).

Jésus n’est donc pas né le jour de la Noël. Et il n’aurait certainement pas approuvé l’institution de cette célébration, car elle est d’origine païenne, elle est contraire à la Loi, elle se situe en dehors de ses enseignements et des Commandements de Dieu. Comment un prophète pourrait-il tolérer des coutumes ou des rites païens ? S’il les agréait, ce serait la négation même de l’objectif de sa venue, qui n’était autre que d’amener les gens vers le vrai Dieu, le Dieu Unique, le Créateur des cieux et de la terre.

 

La Naissance de Jésus dans le Coran

 

Dieu dit : « (Rappelle-toi,) quand les Anges dirent : « Ô Marie, voilà que Dieu t'annonce une parole de Sa part : son nom sera « Al-Masih » « 'issa », fils de Marie[1], illustre ici-bas comme dans l'au-delà, et l'un des rapprochés de Dieu".
46. Il parlera aux gens, dans le berceau et en son âge mûr et il sera du nombre des gens de bien". 47. - Elle dit : « Seigneur ! Comment aurais-je un enfant, alors qu'aucun homme ne m'a touchée ?» - « C'est ainsi ! » dit-Il. Dieu crée ce qu'Il veut. Quand Il décide d'une chose, Il lui dit seulement : « Sois» ; et elle est aussitôt. 48. "Et (Dieu) lui enseignera l'écriture, la sagesse[2], la Thora et l'Évangile, 49. et Il sera le messager aux enfants d'Israël [et leur dira] : » En vérité, je viens à vous avec un signe de la part de votre Seigneur. Pour vous, je forme de la glaise comme la figure d'un oiseau, puis je souffle dedans : et, par la permission de Dieu, cela devient un oiseau. Et je guéris l'aveugle-né et le lépreux, et je ressuscite les morts, par la permission de Dieu. Et je vous apprends ce que vous mangez et ce que vous amassez dans vos maisons. Voilà bien là un signe, pour vous, si vous êtes croyants ! 50. Et je confirme ce qu'il y a dans la Thora révélée avant moi, et je vous rends licite une partie de ce qui était interdit. Et j'ai certes apporté un signe de votre Seigneur. Craignez Dieu donc, et obéissez-moi. 51. Dieu est mon Seigneur et votre Seigneur. Adorez-Le donc : voilà le chemin droit. » (Qur’an, 3:45-51)

 

Dieu dit également : « Mentionne, dans le Livre (le Coran), Marie, quand elle se retira de sa famille en un lieu vers l'Orient. 17. Elle mit entre elle et eux un voile. Nous lui envoyâmes Notre Esprit (Gabriel), qui se présenta à elle sous la forme d'un homme parfait. 18. Elle dit : « Je me réfugie contre toi auprès du Tout Miséricordieux. Si tu es pieux, [ne m'approche point]. 19. Il dit : « Je suis en fait un Messager de ton Seigneur pour te faire don d'un fils pur ». 20. Elle dit : « Comment aurais-je un fils, quand aucun homme ne m'a touchée, et je ne suis pas prostituée ? » 21. Il dit : « Ainsi sera-t-il ! Cela M'est facile, a dit ton Seigneur ! Et Nous ferons de lui un signe pour les gens, et une miséricorde de Notre part. C'est une affaire déjà décidée ». 22. Elle devient donc enceinte [de l'enfant], et elle se retira avec lui en un lieu éloigné. 23. Puis les douleurs de l'enfantement l'amenèrent au tronc du palmier, et elle dit : « Malheur à moi ! Que je fusse mort avant cet instant ! Et que je fusse totalement oubliée ! » 24. Alors, il l'appela d'au-dessous d'elle [lui disant :] « Ne t'afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source. 25. Secoue vers toi le tronc du palmier : il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres. 26. Mange donc et bois et que ton œil se réjouisse ! Si tu vois quelqu'un d'entre les humains, dis [lui :] « Assurément, j'ai voué un jeûne au Tout Miséricordieux : je ne parlerai donc aujourd'hui à aucun être humain ». 27. Puis elle vint auprès des siens en le portant [le bébé]. Ils dirent : « Ô Marie, tu as fait une chose monstrueuse ! 28. « Sœur de Haroun, ton père n'était pas un homme de mal et ta mère n'était pas une prostituée ». 29. Elle fit alors un signe vers lui [le bébé]. Ils dirent : « Comment parlerions-nous à un bébé au berceau ? » 30. Mais (le bébé) dit : « Je suis vraiment le serviteur de Dieu. Il m'a donné le Livre et m'a désigné Prophète. 31. Où que je sois, Il m'a rendu béni ; et Il m'a recommandé, tant que je vivrai, la prière et la Zakat ; 32. et la bonté envers ma mère. Il ne m'a fait ni violent ni malheureux. 33. Et que la paix soit sur moi le jour où je naquis, le jour où je mourrai, et le jour où je serai ressuscité vivant. » 34. Tel est Hissa (Jésus), fils de Marie : parole de vérité, dont ils doutent. 35. Il ne convient pas à Dieu de S'attribuer un fils. Gloire et Pureté à Lui[3] ! Quand Il décide d'une chose, Il dit seulement : « Sois ! » et elle est.
36. Certes, Dieu est mon Seigneur tout comme votre Seigneur. Adorez-le donc. Voilà un droit chemin. » (Qur’an, 19:16-36)

Que Dieu nous donne la force et le courage de suivre Sa Parole, et d’abandonner la tradition des hommes et leur duperie. Que la Paix et les Bénédictions de Dieu soient avec tous les croyants sincères. Amen.

 

Publié par

Le bureau de prêche de Rabwah (Riyadh)

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Célèbrités converties à l'Islam: Leurs histoires et motivations

سبحانك اللهم و بحمدك أشهد أن لا إله إلا أنت أستغفرك و أتوب إليك 

Eva De VITRAY-MEYROVITCH

A fait toute sa carrière aux postes de Chercheur

et Directrice du Service des Sciences Humaines du CNRS.

Née dans l’aristocratie française, élevée chez des religieuses. Auteur de plusieurs livres. Convertie en 1950

 

« Le Coran est la dernière révélation, et Mohammad (Paix sur lui) est le sceau des prophètes (.....) Puis j’ai été heureuse de constater que je n’étais pas seule, mais je me trouvais située, sans le savoir, dans une grande tradition. Et cela sans avoir à rien renier. Je ne reniais ni la Torah, ni l’Evangile. Je laissai simplement de côté ce qui m’avait toujours agacée, les décisions conciliaires, dogmatiques de messieurs réunis à Rome pour décider que Dieu est comme ceci ou comme cela.(...) On ne se convertit pas à l’Islam, on embrasse une religion qui englobe toutes les autres... » (Extraits de “Islam, l’autre visage”, Eva de Vitray, Ed. Albin Michel, 1995)

 

Mme MARGARET MARCUS

(Maryam Jamilah)

Américaine, anciennement Juive. Écrivain et journaliste. Auteur de plusieurs livres. Convertie à l’Islam en 1962

« Ma famille et mes amis étaient des gens bourgeois, respectables, intelligents, et cultivés. Des gens qui observaient et croyaient fermement en une certaine base morale. Cependant ils rejetaient tout lien entre l’éthique, la morale donc, et la théologie. L’autorité des Lois et Morales Musulmanes procède de Dieu l’Omnipotent. Le plaisir et le bonheur dans l’Islam ne sont que les fruits produits par une satisfaction émotionnelle dans l’exécution consciencieuse de ses devoirs pour le seul plaisir de Dieu, afin d’atteindre, ainsi, le salut. En Islam, les devoirs s’élèvent toujours au-dessus des droits. C’est seul dans l’Islam que ma quête des valeurs absolues fut satisfaite. Dans l’Islam seul j’ai pu enfin trouver tout ce qui avait une vraie valeur, ce qui était beau et bon, donnant une direction et une signification à la mort et la vie humaine. »

  Adresse actuelle: C/ C Mr Mohammad Yusuf Khan, Sant Nagar, Lahore, Pakistan

Leopold WEISS

(Mohammad Asad)

Homme d’Etat autrichien, journaliste et auteur, ancien correspondant étranger pour le célèbre « Frankfuerter Zeitung », auteur de “Islam at Cross Roads”, “Le chemin de la Mecque” (Fayard éd.) et traducteur du Coran.

Converti à l’Islam en 1926

« L’Islam me paraît comme un chef d’œuvre d’architecture. Toutes ses parties sont harmonieusement conçues pour se compléter et se soutenir entre elles. Rien n’est ici superflu, et rien ne manque, avec comme résultante l’équilibre parfait d’une composition sans faille. »

  Il est décédé le 20 février 1992 – que Dieu lui fasse miséricorde –

Herbert HOBOHM

(Aman Hobohm)

Diplomate Allemand, Fonctionnaire Civil et Missionnaire. Un intellectuel, qui a servi la Mission Diplomatique Allemande dans diverses parties du monde. Travaille actuellement comme Attaché Culturel à l’ambassade Allemande à Riyadh, en Arabie.

Converti à l’Islam en 1941

« J’ai pu vivre sous différentes latitudes, avec des modes de vie différents et j’ai eu l’occasion d’étudier diverses idéologies, mais je suis arrivé à la conclusion que rien n’est comparable à l’Islam. Aucun de ces systèmes ne détient un code de vie aussi complet que noble. Seul l’Islam le possède; et c’est la raison pour laquelle tant d’hommes, en toute sincérité, embrassent cette religion. L’Islam n’est pas théorique; il est pratique. Il signifie la soumission complète à la volonté de Dieu ! »


Savant converti par Anisy

  Adresse actuelle: Cultural Attaché, German Embassy, PO. Box 8974, Riyadh 11492, Saudi Arabia.

Vengatachalam ADIYAR

(Abdoullah Adiyar)

Indien, journaliste et écrivain Tamoul reconnu. A travaillé comme rédacteur dans le quotidien du Dr M. Kirunanidhi ,“Murasoli”, pendant 17 ans. A travaillé avec 3 précédents Ministres en chef de “Tamil Nadou”. A reçu la récompense “Kalaimamani” (Big Gem of Arts) du Gouvernement “Tamil Nadou” en 1982. Converti à l’Islam en 1987

 

« Dans l’Islam j’ai trouvé satisfaction et apaisement à des questions lancinantes qui harcelaient ma conscience: concernant la théorie de la Création, le statut de la femme, la création de l’univers, etc. L’histoire de la vie du Saint Prophète m’a beaucoup fasciné, et il fut alors facile pour moi de faire la comparaison avec celles d’autres leaders religieux, et avec leurs philosophies. »

 

  Adresse actuelle: 1 Ashok Avenue, Rangarajapuram, Kodambakkam, Madras, Inde.

Bogdan KOPANSKI

(Bogdan Ataoullah Kopanski)

Américain, d’origine polonaise. Docteur en Histoire Politique. A fait un parcours très intéressant vers l’Islam et a affronté de sévères épreuves; a été deux fois emprisonné par le régime Communiste polonais (1965, 1981-82). Converti à l’Islam en 1974

« Quand j’avais 12 ans, je rejetais la foi contradictoire et illogique de l’Église. Deux années plus tard, en 1962, j’ai été fasciné par la lutte victorieuse des musulmans algériens contre le colonialisme français. C’était la première “flèche de l’Islam” à me toucher. Durant mes études secondaires et à l’université, j’étais un exemple typique de la génération de rebelle rouge (communiste). Mon cheminement vers la Vérité du Saint Coran était lente et imprévue... En 1974 j’ai visité la Turquie, je préparais ma thèse sur la politique du Sultan et Calife Suleiman Kanunís envers l’état polonais. Je fut alors surpris par la plus mélodieuse voix que l’humanité puisse produire: l’AZAAN, l’appel à la prière par un muezzin. Mes cheveux se sont dressés sur ma tête. Une force étrange mais puissante me conduisit à la vieille mosquée d’Istanbul. Là, de vieux Turcs barbus et souriants, m’enseignèrent LE WOUZOU, (ablutions). J’ai proclamé la SHAHADA en larmes, et j’ai fait ma première prière, la SALAAT Maghrib... J’ai alors balayé toutes mes idéologies de pacotille... Pour la première fois de ma vie, j’ai éprouvé une telle félicité, et je ressentais le plaisir de l’amour d’Allah dans mon cœur. J’étais un musulman... »

Cliquez sur ces liens pour lire l'histoire de leur conversion : 

- Le récit de leur conversion (47 témoignages)

- Ils ont choisi l'islam

- James Abiba : Un jeune lycéen américain qui embrasse  l’Islam

- Cathy : Une américaine guidée grâce à un exemplaire traduit du Saint-Coran

- Reyhana : Des enfants Musulmans font changer l’attitude de leurs parents par leurs comportements exemplaires

- Siraj Wahaj : Un musulman américain comme modèle pour les musulmans

- Suzanne : Une mère qui applique l’Islam avec ses enfants dans leurs vies quotidiennes

- Dr Najat : Comment s’est islamisé un Docteur de confession «HINDOUS» et  comment il a servi la communauté musulmane avec abnégation!?

- Jim : Jim et sa compagne de confession boudhiste embrassent l’Islam

- 230 témoignages d'anglosaxons (en anglais)

Cliquez sur ces liens pour écouter l'histoire de leur conversion :

  - Maymouna : L'histoire très touchante de sa conversion

- Céline : L'histoire de la conversion de Céline, jeune fille de 25 ans

- Géraldine : L'histoire de sa conversion

- Audrey : D'origine canadienne, Audrey nous explique l'histoire de sa conversion (audio/video)

Cassius Clay alias Mohamed Ali Clay

 

Boxeur américain. Trois fois Champion du Monde de Boxe, catégorie Poids Lourds. Anciennement Chrétien, converti à l'Islam en 1965.

Il dit :
“J'ai eu beaucoup de grands moments dans ma vie. Mais les sensations que j'ai éprouvées tandis que j'étais sur Le mont Arafat, le jour de Hadj (pèlerinage musulman), étaient les plus forts de ma vie. Je me suis senti exalté par l'atmosphère spirituelle indescriptible qui y régnait: lorsqu'un million et demi de pèlerins invoquaient Dieu pour le pardon de leurs péchés et pour leur accorder Sa Grâce et Ses bénédictions. C'était une expérience poignante que de voir des gens appartenant à des couleurs, races et nationalités différentes, rois, hommes d'états et hommes ordinaires de pays très pauvres, tous enveloppés de deux draps blancs simples, le même pour tous, priant Dieu. Priant Dieu sans aucun complexe de supériorité ou d'infériorité entre eux. C'était une des manifestations pratiques et concrètes du concept d'égalité (de l'homme) en Islam”

Malcolm X

 

 

Né le 19 mai 1925 à Omaha, Malcolm X est sans doute avec Marcus Garvey et Martin Luther King le leader noir le plus important de l'histoire contemporaine. Malcolm avait non seulement un talent d'orateur incontestable, mais il avait aussi une vrai vision du monde qui l'entourait, de plus il ne s'est jamais contenté de beau discours, il est toujours passé aux actes, et a oeuvré pour sa communauté à l'instar de Nat Turner et John Brown, et d'autres noirs qui, quelques décennies plus tôt, aidaient les esclaves à s'enfuir de leur plantation. A chaque époque de sa vie Malcolm a été sincère dans tous ce qu'il a entreprit ce qui ne l'a pas empêché d'effectuer des changements de direction complet dans ses idées et son comportement : quand il a découvert l'Islam ou encore après son pèlerinage à la ville sainte de la Mecque.

Pour voir son site web (en anglais), cliquez sur le lien

http://www.cmgww.com/historic/malcolm/index.htm

 

Joseph Cohen alias Yosef Mohammed Khatib

 

Juif converti à l'islam.

Pour voir la vidéo où il explique sa conversion (en anglais), cliquez sur le lien

http://www.jews-for-allah.org/

Art Blakey alias Abdullah Ibn Buhaina

 

Art Blakey fait partie des grands. Il a crée et mené les Jazz Messengers, Il fut le premier batteur à se rendre sur le continent africain à la recherche de ses lointaines racines, et à y étudier les rythmes et les percussions. Converti à l'Islam, il prendra le nom d'Abdullah Ibn Buhaina.

Ferdinand Lewis Alcindor (ou Lew Alcindor) alias Kareem Abdul-Jabbar

 

Kareem Abdul-Jabbar, né Ferdinand Lewis Alcindor (ou Lew Alcindor) le 16 avril 1947 à New York, est un ancien joueur de basket-ball de NBA.

Il détient les records historiques de la NBA du plus grand nombre de points marqués en carrières et du plus grand nombre de matches joués.

Kareem Abdul-Jabbar a également développé le bras roulé (sky hook), tir très prisé des pivots de nos jours car quasiment incontrable.

Il a joué en NBA pour les Bucks de Milwaukee puis les Lakers de Los Angeles, où son association avec Magic Johnson fera merveille... Il prend sa retraite en 1989 après vingt saisons et une des plus belles carrières de la NBA.

Pendant ses études en 1971, Kareem Abdul-Jabbar se convertit à l'Islam et prend le nom que tout le monde connaît.

On l'a vu aussi entraîneur assistant en NBA au sein des Los Angeles Clippers.

Le Docteur Maurice Bucaille

 
 
Il s'est trouvé en contact de la piété musulmane pendant l'exercice de ses fonctions de chirurgien. Il s'est trouvé à maintes reprises auscultant les âmes autant que les corps, ainsi il a découvert des aspects de l'Islam que beaucoup de monde ignore. Pour mieux comprendre, le Dr. Bucaille s'est mis à étudier le Coran et pour parfaire son étude, il apprendra la langue arabe ( langue du Coran). Au cours de son étude, à sa grande surprise il a découvert dans le Coran - entre autre - certaines informations scientifiques concernant des phénomènes que l'on ne peut comprendre qu'avec les lumières de la science moderne, ainsi que des informations historiques qui n'ont été élucidées qu'avec l'archéologie moderne...

Il dit :

"Ayant mesuré la marge qui séparait la réalité de l'Islam de l'image qu'on s'en faisait dans nos pays occidentaux, je ressentis le vif besoin d'apprendre l'arabe que je ne connaissais pas, pour être en mesure de progresser dans l'étude d'une religion si méconnue. Mon premier objectif résida dans la lecture du Coran et dans l'examen de son texte phrase par phrase, avec l'aide des commentaires divers indispensables à une étude critique. Je l'abordai en prêtant une attention toute particulière à la description qu'il donne d'une multitude de phénomènes naturels : la précision de certains détails du livre les concernant, seulement perceptible dans le texte original, me frappa en raison de sa conformité avec les conceptions qu'on peut en avoir à notre époque, mais dont un homme de l'époque de Mahomet ne pouvait avoir la moindre idée. Je lus par la suite plusieurs ouvrages consacrés par des auteurs musulmans aux aspects scientifiques du texte coranique: ils m'ont apporté de très utiles éléments d'appréciation, mais je n'ai pas encore découvert une étude d'ensemble effectuée en Occident sur ce sujet.
Ce qui frappe d'abord l'esprit de qui est confronté avec un tel texte pour la première fois est l'abondance des sujets traités: la création, l'astronomie, l'exposé de certains sujets concernant la terre, le règne animal et le règne végétal, la reproduction humaine. Alors que l'on trouve dans la Bible de monumentales erreurs scientifiques, ici je n'en découvrais aucune. Ce qui m'obligeait à m'interroger: si un homme était l'auteur du Coran, comment aurait-il pu, au VIIe (septième) siècle de l'ère chrétienne, écrire ce qui s'avère aujourd'hui conforme aux connaissances scientifiques modernes? Or, aucun doute n'était possible: le texte que nous possédons aujourd'hui du Coran est bien le texte d'époque, si j'ose dire (...) Quelle explication humaine donner à cette constatation? A mon avis, il n'en est aucune, car il n'y a pas de raison particulière de penser qu'un habitant de la péninsule Arabique pût, au temps où, en France, régnait le roi Dagobert, posséder une culture scientifique qui aurait dû, pour certains sujets, être en avance d'une dizaine de siècles sur la nôtre".
 

 

 
 
 
 
 
 
 

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Pourquoi vendredi est important en Islam ?

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Le jour du vendredi fait partie des moments sacrés pour le musulman. En effet, ce jour est un cadeau offert par Allah au Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) de telle manière que le vendredi est supérieur aux autres jours de fête dans l'Islam.

En effet, le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit :

" Le vendredi est le plus excellent et distingué jour parmi les autres jours de la semaine aux yeux d'Allah, si bien qu'il excelle l'Eidoul Fitr et l'Eidoul Ad-ha." (Cité par Ibn Maajah dans son Sounan)

La raison de cette excellence semble être l’accomplissement des événements de grande importance. En effet, c'est en ce jour que fut créé Adam (‘alayhi salam) Il fut admis au Paradis un vendredi et c'est aussi en ce jour qu'il en fut retiré. De même, le jour du jugement aura lieu un vendredi. ". (Cité par Tirmidhî dans son Sounan)

Les créatures d'Allah ont connaissance de l’importance de ce jour. C'est la raison pour laquelle le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit :"Il n'y a pas un ange proche d'Allah, ni le ciel et la terre, ni le vent, ni les montagnes, ni les océans qui n'ont peur le jour du vendredi." (Cité par Ahmad dans son Mousnad)

Une autre version est rapportée ainsi : "Il n'y a pas un vendredi sur lequel le soleil s'est levé sans que la terre, les océans, les pierres et toutes les créatures d'Allah n'aient eu peur de son lever (du soleil) sauf les hommes et les Djins." (Cité par Abdoul Razzâq dans son Mousannaf)

Mais en dépit de l'attitude craintive des créatures d'Allah en ce jour, il est regrettable de constater que l'homme passe cette journée sans se soucier de quoi que ce soit, ne prenant pas en considération ces moments précieux. Il est donc nécessaire de connaître les vertus de ce jour, les droits qui y sont liés et l'attitude à adopter en ce jour sacré.

L'importance du vendredi

L'importance de ce jour telle qu'elle a été citée dans les sources islamiques nous prouve toute l'attention accordée par Allah et son Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) au vendredi.

· Abou Hourayra (radhia Allâhou anhou) rapporte que le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit : " Le meilleur jour sur lequel le soleil s'est levé est le jour du vendredi. C'est en jour que fut créé Adam (‘alayhi salam). Il fut admis au Paradis un vendredi et c'est aussi en ce jour qu'il fut en retiré." (cité par Mouslim dans son Sahih)

· Aous ibn Aous (radhia Allâhou anhou) rapporte que le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit : " Le meilleur de vos jours et le vendredi. (Ne manquez donc pas d') envoyer la salutation sur moi en grand nombre, car votre salutation m'est présentée." (cité par Abou Daoud dans son Sounan)

Les vertus du vendredi et le fait d'y aller tôt (à la mosquée)

Celui qui connaît les vertus de ce jour prendra soin d'être régulier dans son accomplissement, et de se hâter à ne pas perdre une seule seconde de ce précieux temps pour accomplir les bonnes œuvres et s'éloigner des mauvaises.

· Abou Hourayra (radhia Allâhou anhou) rapporte que le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit : "Les cinq Salahs ainsi que le vendredi jusqu'au prochain vendredi sont des moyens de rachats (kaffarah) entre ce qui s'y trouve." (cité par Mouslim dans son Sahih)

· Salman (al Farsî) (radhia Allâhou anhou) rapporte que le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit : " Il n'y a pas un homme qui prend un bain le jour du vendredi et qui se purifie autant qu'il peut, qui se parfume ensuite, et part à la mosquée, et (en arrivant là bas) ne saute pas (les rangs) entre deux personnes, fait ensuite ce qu'il doit faire comme salah (sounnah), et écoute attentivement lorsque l'Imam parle (pendant le Khoutbah), sans qu'Allah ne lui pardonne ces péchés entre ce vendredi et le suivant." (cité par Boukhari dans son sahih)

· Abou Hourayra (radhia Allâhou anhou) rapporte que le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit : " Celui qui prend le bain purificateur (Ghousloul Djanaabah) le vendredi et part de très bonne heure (à la mosquée) recevra la récompense d'avoir égorgé un chameau pour Allah. Celui qui part à la deuxième heure recevra la récompense d'avoir égorgé un bœuf; celui qui part à la troisième heure recevra la récompense d'un cabri avec cornes, celui qui part à la quatrième heure recevra la récompense d'un poule; celui qui part à la cinquième heure recevra la récompense d'avoir donné un œuf pour Allah. Et lorsque l'Imam arrive (pour faire le Khoutbah), les anges se présentent et écoutent attentivement le Zikr."(cité par Boukhari et Mouslim dans leur sahih)

La gravité de négliger le Djoum'ah (salah du vendredi)

· Abdoullah ibn Oumar et Abou Hourayra (radhia Allâhou anhou) disent qu'ils ont entendu le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) dire : "Que cessent ceux qui abandonnent la Salah en congrégation le vendredi, ou alors Allah scellera leur coeur et ils deviendront des gens négligents (cad que leurs coeurs seront privés de bonté et de désir à la pratique du bien." (cité par Mouslim dans son Sahih)

· Abou Hourayra (radhia Allâhou anhou) rapporte que le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit : "Celui qui délaisse trois Salahs du Vendredi sans raison, Allah lui scelle le coeur et il est alors du nombre des hypocrites". (Cité par Sa'îd Ibn Mansoûr dans sonSounan)

Quelques étiquettes à suivre le vendredi

Lire la Sourate Al Kahf

Abou Sa'id (radhia Allâhou anhou) rapporte que le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit : "Celui qui lit la Sourate Al Kahf la nuit de Djoum'ah, Allah lui accordera une lumière entre lui et la Ka'ba." (Cité par Darmy dans son Sounan)[2]

Ne pas manquer la Salah de Fajdr à la mosquée le vendredi

Ibn 'Oumar (radhia Allâhou anhou) dit qu'un vendredi matin, il ne vit pas Humrân à la mosquée. Quand il le retrouva, il lui dit : "Qu'est ce qui t'a occupé au point de ne pas faire la Salah du matin à la mosquée ? Ne sais-tu pas que la Salah la plus considérée auprès d'Allah est la Salah en congrégation du vendredi matin ?" (Cité par Sa'îd Ibn Mansoûr dans son Sounan) [3]

De partir tôt à la mosquée et de prendre le déjeuner après la Salah de Djoum'ah.

Anas (radhia Allâhou anhou) cite cela comme l'habitude des compagnons du Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) (Cité par Boukhari dans son Sahih)

Partir à la mosquée un peu avant la Salah de Magrib pour invoquer Allah et profiter de l'heure d'acceptation (ساعة الاستجابة).

En effet, le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit concernant le vendredi : "Il y a une heure en ce jour que si le croyant la trouve et qu'il demande à Allah quelque chose, Allah la lui accordera certainement." (Cité par Boukari et Mouslim dans leur Sahih)

Et Abou Hourayra (radhia Allâhou anhou) qui est le rapporteur du hadith dit que le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a fait un signe avec sa main pour montrer que cette heure est très limitée.

Les savants ont différentes opinions concernant cette heure d'acceptation ; mais la majorité des 'Oulama est d'avis que c'est juste avant la Salah de Magrib car dans un hadith, le Prophète (sallallâhou 'alayhi wa sallam) a dit de " chercher cette heure dans les derniers moments après 'Assr " (cité par Abou Daoud dans son Sounan)

 

http://algeria.easyforumpro.com/t2276-l-importance-du-vendredi-en-islam

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