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Le wifi est-il un danger pour le cerveau?

 

Contrairement au téléphone mobile GSM 900 ou GSM 1800, il n’existe pas à ce jour d’étude précise sur le Wifi. C’est pourquoi nous avons décidé à la Fondation Santé et Radiofréquences de soutenir deux ou trois projets de recherche dont nous aurons les résultats dans 3 ans » explique Martine Hours, épidémiologiste et présidente du conseil scientifique de cette fondation cofinancée par l’État et les entreprises du secteur. « Ce manque d’informations doit susciter, poursuit-elle, une attention particulière, une certaine vigilance… Mais sans mettre non plus à la poubelle toute nouvelle technologie. » Très courtes, les ondes « micro-ondes » du Wifi pénètrent peu dans l’organisme, jusqu’à 2,5 cm de profondeur. Elles sont absorbées par les couches superficielles de la peau, celles gorgées d’eau et prioritairement « agitées » par l’énergie rayonnée. La puissance des émissions Wifi, bien plus faible que celle générée par un four à micro-ondes, ne provoque cependant pas de réchauffement. Officiellement donc, rien à craindre du IEEE 802.11 …

Quoique. Bien qu’aucune recherche n’ait été faite sur l’impact des signaux haut débit sans fil en eux-mêmes, la communauté scientifique dispose d’autres travaux contradictoires et relativement nombreux, menés dès le milieu des années 1980, pointant les dégâts causés sur le vivant de rayonnements à basse intensité pulsés à 2,45 Ghz. Autrement dit, dans la gamme de fréquences caractérisant les émissions Wifi.

Allo cerveau bobo…
Une partie de ces recherches, effectuées sur des rats exposés à des rayonnements électromagnétiques aux fréquences proches du Wifi, s’est intéressée aux effets neurocognitifs. Leurs résultats sont inquiétants et incitent raisonnablement à la prudence. Les risques suggérés incluent des altérations du tissu nerveux, l’apparition de protéines de stress, une modification de l’activité hormonale (mélatonine en tête), ainsi que des problèmes de concentration et de mémoire. Les expériences de l’américain Henry Lai par exemple, de l’université de Washington, célèbre pour être le premier, en 1995, à avoir mis en évidence l’effet génotoxique des rayonnements de la téléphonie mobile, ont confirmé à travers l’observation et la comparaison des comportements de rats exposés et non exposés en train de chercher leur nourriture dans un labyrinthe, l’hypothèse que ces rayonnements électromagnétiques provoquent des troubles des mémoires visuelles, spatiales et à court terme, en parasitant la transmission des neurorécepteurs cholinergiques et opiacés naturellement sécrétés par le cerveau.
« On sait depuis environ 30 ans que les champs électromagnétiques de basse intensité à très haute fréquence peuvent avoir une influence directe sur les ions calcium en réduisant leur concentration intracellulaire, » complète le Dr Andrew Goldsworthy, ancien professeur de biotechnologie à l’Imperial College of London. La diminution de ces ions, briques de base des signaux et canaux de communications électrochimiques traversant la cellule, provoque à l’échelle de la membrane cellulaire des fuites, des trous – on parle d’efflux calcique – qui perturbent le bon fonctionnement des cellules, notamment des cellules nerveuses. « Le changement de perméabilité membranaire des cellules nerveuses occasionne des potentiels d’action erronés, qui dérèglent la qualité du signal nerveux reçu par le cerveau, poursuit le scientifique britannique. Cela réduit son aptitude à accomplir des tâches complexes et entraîne, chez certaines personnes (à peu près 3 % de la population), l’apparition de symptômes variés, plus ou moins douloureux. » (cf. La parole aux Wifi-sensibles)

Superpositions des rayonnements


En réalité, plus que l’exposition directe du cerveau ou des fibres nerveuses à ces rayonnements, ce que craignent surtout les militants associatifs est le péril de l’exposition chronique, continuelle. Celle que nous subissons tous, utilisateurs ou non, à proximité d’une borne ou d’un point d’accès Wifi. Prenons un ordinateur portable standard, compatible Wifi. Sa micro-antenne détecte plusieurs connexions à portée, accessibles ou non, et plus ou moins nettes. Ce sont toutes les bornes rayonnant alentour. La vôtre peut-être, mais aussi celle de votre voisin d’à côté, du dessus. Et celle de l’entreprise d’en face… Ou du hotspot du coin. Ces sources simultanées se cumulent, s’additionnent, augmentant les doses électromagnétiques absorbées par tous les riverains. Pour y voir plus clair, l’Autorité de Régulation des télécoms (ARCEP), « dans un souci de transparence et d’information ouverte », a rendu publique en avril 2007 une étude réalisée par Supelec, sur les niveaux d’émission générés par les équipements Wifi. Ses conclusions sont sans équivoques, « les valeurs limites d’exposition du public aux champs électromagnétiques » fixées à 61 V/m « sont respectées pour tous les cas d’utilisation de matériels mesurés ou simulés dans le cadre de l’étude. » Ces valeurs, maximales au contact puis décroissantes de 10,6 V/m à 1,2 V/m selon que l’on se trouve à 12,5 cm ou 1 mètre de distance de l’antenne, sont loin d’être anodines. D’autant plus si plusieurs émetteurs se superposent. « Il n’y a pas de seuil pour le déclenchement de réactions de type “syndrome des micro-ondes”. Selon la sensibilité individuelle, des valeurs très faibles suffisent pour provoquer des sensations de chaleur ou de pulsations crâniennes, de fatigue, de migraines, d’insomnie…» avertit la biologiste Michèle Rivasi du Centre de Recherche et d’Information Indépendant sur les Rayonnements électromagnétiques (Criirem). Sur la durée, « l’hypothèse que l’exposition au Wifi sur la durée puisse être un facteur de réactions biologiques à l’origine de pathologies et de troubles sanitaires » est à retenir. D’où la recommandation du conseil scientifique du Criirem de ne pas laisser sa « box » allumé 24 heures sur 24 et d’éviter de se placer entre la borne et l’ordinateur Wifi pour limiter toute exposition chronique ou directe.
Les Conseils Des Chercheurs

L’étude ARCEP/Supelec ne se prive pas non plus, en annexe, d’énoncer quelques principes. Comme celui de ne pas installer plus de points d’accès qu’il n’en faut, ou de positionner les points d’accès en hauteur (plus haut que la hauteur de la tête : 2,10 m par exemple), pour limiter l’exposition des personnes et augmenter le rayon de couverture. Mais aussi d’éviter de toucher une antenne de façon prolongée, « cela soumet la partie du corps à une exposition inutile, plus importante pendant la durée de l’application ». Un principe de précaution, simple et explicite, qui vient contredire l’actuelle prolifération des téléphones GSM/Wifi, collés contre l’oreille ou tenus à la main… Qui s’en soucie ? ♦

Notes
- J. Smallwood, Psychological Bulletin.
- M. Mason 2007, Science.
- R. Buckner 2005, The Journal of Neuro-science
- L’Arcep, communiqué de presse du 6 avril 2007 : www.arcep.fr
- Le Wifi vu par la Fondation Santé & Radio-Fréquences : www.sante-radiofrequences.org
- Les recommandations des chercheurs du Criirem : www.criirem.org

http://mondeo.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=97&Itemid=1&ed=16

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Le grand danger des mauvaises fréquentations

Les mauvaises fréquentations figurent parmi les plus importants facteurs qui précipitent le serviteur d’Allah dans le péché. Car, les mauvais compagnons enjolivent le péché à l’homme pour le noyer, comme ils le sont eux-mêmes, dans la perversion et la turpitude. L’homme est influencé par ses compagnons.
Le Prophète (Salla Allahou Alaihi Sallam) a dit : « Chaque homme suit la religion de son meilleur ami. Que chacun de vous choisisse donc ses amis avec soin. » (hadith rapporté par Abou Dawoud et al-Tirmidhî qui le qualifie de hasan).
D’après Abû Mûsâ al-Ach’arî, qu’Allah soit satisfait de lui, le Prophète () a dit : «La compagnie de l’homme pieux et celle de l’homme mauvais sont respectivement comparables à celles du parfumeur et du forgeron. Pour le parfumeur, soit il te donne du parfum, soit tu en achètes, soit tu sens une bonne odeur en sa compagnie. Pour le forgeron, soit il brûle (le bout de) ton habit, soit tu sens une mauvaise odeur en sa compagnie » (Boukahri et Mouslim).

Selon ce hadith, la compagnie des pécheurs ressemble à celle du forgeron qui, en soufflant sur la forge, lance des étincelles qui brûlent vos vêtements, fait se dégager une fumée qui vous fait suffoquer ou une odeur désagréable. Si vous avez pour compagnons des gens mauvais et corrompus, soit vous serez contaminé par leur mal, ce qui vous poussera à propager la corruption sur terre, soit vous entendrez d’eux des futilités nuisibles et inutiles, ce qui appellera les démons à vous entourer, soit vous ferez au moins partie de leur groupe et vous acquerrez la même réputation que la leur, même si vous n’êtes pas comme eux et que vous n’adoptez pas leur façon de vivre. Qu’Allah, exalté soit-Il, fasse miséricorde à un homme qui aime les gens pieux et les gens de bien et leur tient compagnie, et qui déteste les gens corrompus mauvais et les évite.

Voilà pourquoi toute amitié qui n’est pas motivé par l’amour d’Allah, exalté soit-Il, se transformera le Jour de la résurrection en animosité. Allah, exalté soit-Il, dit (sens du verset) : « Les amis, ce jour-là, seront ennemis les uns des autres ; excepté les pieux » (Coran 43/67).

Dans son Tafsîr, Ibn Kathîr, qu'Allah lui fasse miséricorde, commenta : « Toute amitié et compagnie se transforme le Jour de la Résurrection en animosité, sauf celles qui s’inscrivent dans le cadre de l’amour pour Allah, exalté soit-Il. Ces dernières ne changeront jamais. Al-Chawkânî, qu'Allah lui fasse miséricorde, a dit dans son Tafsîr : 'Le Jour de la Résurrection, les compagnons qui s’aimaient dans le bas monde deviennent des ennemis les uns pour les autres, puisque les rapports entre eux ont été rompus et chacun d’eux devient préoccupé par ses propres affaires. En outre, comme ils trouvent que les raisons qui en ont fait des amis sont maintenant celles de leur châtiment, ils deviennent les ennemis les uns des autres' ».

Le musulman est donc enjoint de se mettre à l’écart des pécheurs et des gens désobéissants pour ne pas se compromettre et devenir comme eux, commettant les péchés avec indifférence.

Al-Mâwardi, qu'Allah lui fasse miséricorde, a dit : « L’amitié éprouvée à l’égard d’une personne mauvaise est susceptible d’attirer des ennemis et de corrompre les bonnes mœurs. Ne comporte aucun bien cette amitié qui amène l’animosité d’autrui et qui engendre dénigrements et reproches, puisque l’homme suit son compagnon ».

De son côté, ‘Abdallah ibn al-Mu’taz a ajouté : « Les amis du mal ressemblent aux arbres donnant des oranges amères, qui se brûlent entre eux ».

Un sage renchérit : « La compagnie des gens mauvais est dangereuse, et continuer à leur tenir compagnie est comme courir les mers : celui qui survivra deviendra après cela plein de prudence ». Un autre précisa : « La compagnie des gens mauvais mène à penser du mal des pieux ». Et un troisième d’ajouter : « La compagnie des gens mauvais est un mauvais choix ».

Certains récits nous mettent en garde contre la compagnie des gens désobéissants, dont le suivant qui nous montre la réalité des mauvais compagnons et leur perfidie à l’égard de celui qui leur tient compagnie.

Sa’îd ibn al-Musayyib rapporta de son père, qu’Allah soit satisfait de lui, ce qui suit : « Au moment où Abû Tâlib était à l’agonie, le Prophète () vint le voir et trouva chez lui Abû Djahl et ‘Abdallah ibn Abî Umayya ibn al-Mughîra. Le Prophète () s’adressa à Abû Tâlib, en disant : 'Ô mon oncle, atteste que nul n’est digne d’être adoré en dehors d’Allah, et ce sera un mot, par lequel je serai témoin en ta faveur auprès d’Allah'. Aussitôt, Abû Djahl et ‘Abdallah ibn Abî Umayya s’écrièrent : 'Ô Abû Tâlib, vas-tu renier la foi de ‘Abd al-Muttalib ?'. Le Prophète () ne cessa de lui proposer de prononcer la profession de foi en répétant les mêmes mots, tandis que les deux autres lui répétaient les mêmes propos. Enfin, les dernières paroles d’Abû Tâlib furent qu’il persistait sur la religion de ‘Abd al-Muttalib et refusa d’attester que nul n’est digne d’être adoré en dehors d’Allah. Alors, le Prophète () dit : 'Par Allah ! Je demanderai à Allah de te pardonner, tant que cela ne me sera pas défendu'. Là, Allah, exalté soit-Il, révéla (sens du verset) :

'Il n'appartient pas au Prophète et aux croyants d'implorer le pardon en faveur des polythéistes, fussent-ils des parents alors qu'il leur est apparu clairement que ce sont les gens de l'Enfer' (Coran 9/113) » (Boukhari et Mouslim).

Voyez comment les mauvais compagnons – dans ce récit Abû Djahl et ‘Abdallah ibn Abî Umayya – ne laissèrent pas l’oncle du Prophète (Salla Allahou laihi wa Sallam) même au moment de rendre son dernier soupir, et n’eurent de cesse de lui rappeler le culte de ses ancêtres jusqu’à ce qu’il meure en polythéiste, à Allah ne plaise.

Allah, exalté soit-Il, dit (sens des versets) :

« Le jour où l’injuste se mordra les deux mains et dira : '[Hélas pour moi !] Si seulement j’avais suivi chemin avec le Messager ! Malheur à moi ! Hélas ! Si seulement je n’avais pas pris 'un tel' pour ami ! Il m’a, en effet, égaré loin du rappel [le Coran], après qu’il me soit parvenu'. Et le Diable déserte l’homme (après l’avoir tenté) » (Coran 25/27-29).

Ce verset fut révélé lorsque ‘Uqba ibn Abû Mu’ayt, qui était l’ami privilégié de Umayya ibn Khalaf, embrassa l’Islam. Là, Umayya lui dit : « Je ne te parlerai plus jamais de ma vie sauf si tu désavoues la religion de Mohammad ». Alors, ‘Uqba apostasia et renia l’Islam pour gagner l’agrément de son ami Umayya.

Ce récit, entre autres, nous montre le péril que représentent les mauvais compagnons. Abû Hâtim indiqua : « L’homme sensé doit demander la protection d’Allah, exalté soit-Il, contre la compagnie de celui qui ne l’aide pas à évoquer Allah, exalté soit-Il, et qui au lieu de lui rappelle pas Allah dans ses moments d’insouciances l’incite à négliger Son évocation. Celui qui a de mauvais amis finira par faire partie de leur clan, car de même que les bons n’aiment que les pieux, les méchants ne tiennent compagnie qu’aux pervers. Si l’homme doit choisir une compagnie, qu’il opte pour les gens magnanimes ». Et d’ajouter : « L’homme sensé ne tient pas compagnie aux gens désobéissants, car la mauvaise compagnie est une braise qui engendre la rancune, et le mauvais compagnon ne reste pas longtemps amical et ne respecte point ses engagements ».

Voici quelques conseils donnés par ‘Umar ibn al-Khattâb, qu’Allah soit satisfait de lui à l’un de ses amis : « Ne parle pas de ce qui ne te concerne pas, éloigne-toi de ton ennemi et méfie-toi de ton ami privilégié s’il ne craint Allah et Lui obéit. Ne fréquente pas le libertin car il t’enseignera son libertinage. Ne lui confie pas non plus tes secrets. Dans tes affaires, ne consulte que ceux qui craignent Allah » (Al-adâb al-char’iya de Ibn Muflih).

http://www.islamweb.net/frh/index.php?page=articles&id=185001&fromPart=51

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