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fatwa

La vérité sur le « Jihad Nikah » (Djihad du sexe)

Bonnes actions en Islam

Une nouvelle forme de guerre sainte autorisée par une fatwa, qui autorise le « djihad a'nikâh » c'est-à-dire le jihad par le sexe; plus proche de la traite des femmes et de jeunes filles que d'une voie directe pour le Paradis.

A l'origine, le mufti criminel saoudien, Cheikh Mohammed Al Arifi a émis la fatwa du jihad pour le mariage, envoyant ainsi des centaines de jeunes filles « se prostituer »

Ces relations physiques successives font penser à la prostitution, mais pour les rebelles , il s’agit du « djihad a’nikâh » c’est-à-dire le jihad par le sexe. Certains extrémistes religieux justifient la pratique du « djihad a’nikâh » au nom de la nécessaire contribution à la « guerre sainte ». En d’autres termes, il s’agit d’une prostitution « halalisée » pour aider à l’instauration du respect de la charia sur Terre. Elles doivent être vouées aux combattants pour « les soulager et leur redonner des forces afin qu’ils puissent vaincre l’ennemi ».

le site électronique Al Nakheel souligne « la terrible situation générée dans la foulée de cette fatwa qui a encouragé des centaines de takfiris à violer les jeunes filles et les femmes syriennes ». » Le viol est devenu monnaie courante et il a perdu son aspect criminel et répréhensible » ajoute la même source. Le site regrette que la fatwa a même trompé » des femmes occidentales qui se rendent en Syrie pour s’offrir aux terroristes ! » Al Nakheel s’attarde ensuite sur les crimes commis en marge de cette fatwa : » l’ASL et Al Nosra se livrent désormais très facilement au meurtre des femmes et des filles jihadistes pour le mariage ».

Il autorisait en effet les djihadistes en manque de relations sexuelles du fait de l'éloignement de leurs familles, à conclure des "mariages temporaires", qui devaient être de courte durée de manière à permettre à tous d'assouvir leurs besoins. Les "épouses temporaires" devaient évidemment avoir plus de 14 ans, être veuves ou répudiées. Les femmes volontaires pour ce djihad d'un genre jusqu'ici inconnu dans l'islam pourraient revendiquer le titre de moudjahidât, et si elles décédaient pour une raison ou une autre, elles auraient, comme tous les combattants de la guerre sainte, immédiatement accès au Paradis.

Pour lui donner du crédit, cette idée était imputée à un cheikh saoudien ultra-conservateur, un certain Mohammed al-Arifi dont le nom n'avait pas été choisi par hasard. L'intéressé s'était fait remarquer par la promulgation d'avis juridiques montrant un rigorisme radical et un mépris certain pour les femmes. Le cheikh a immédiatement nié ce qu'il était censé avoir diffusé sur les réseaux sociaux... mais qui ne figurait nulle part sur sa page internet. Il a expliqué qu'un imposteur avait utilisé son compte twitter, où il comptait plus de 3 millions de followers, pour lui imputer ce qu'il n'avait jamais dit. La taille du twitt, composé de plus de 180 caractères, suffisait à démontrer qu'il s'agissait d'une forgerie. Il n'aurait pu d'ailleurs formuler un tel avis, qui prenait le contre-pied de deux conditions incontournables de la chari'a concernant le mariage : la présence d'un wali, un tuteur, lors de la de conclusion du contrat, puisque la femme en islam n'est pas invitée à donner directement son consentement, qui est formulé par l'un de ses proches ; et la 'idda, le délai de viduité de 3 à 4 mois qui permet de s'assurer que la femme répudiée n'est pas enceinte, de manière à ne pas avoir de doute sur l'identité du géniteur de son futur enfant et à permettre à ce dernier d'obtenir sa part d'héritage de son père.

L'affaire a continué malgré tout à faire grand bruit, au point de contraindre le cheikh à s'expliquer à la télévision, au mois d'avril 2013, sur ce qu'il n'avait jamais dit. Sa paternité de la fatwa n'est plus aujourd'hui mise en avant et la plupart des journaux arabes qui continuent d'évoquer cette question parlent désormais d'une "fatwa d'origine inconnue". La majorité d'entre eux n'arrivent pourtant pas à accepter le fait qu'elle n'a tout simplement jamais existé. A défaut d'avoir suscité des vocations de moudjahidât, elle aura au moins fait vendre beaucoup de papier…

Deux développements ont redonné depuis peu de l'actualité à cette affaire. L'un en provenance de Tunis. L'autre depuis la Syrie.

Initié par cet avis juridique désormais anonyme, un mouvement d'importation en Syrie de candidates tunisiennes à ce genre de djihad ne se serait jamais interrompu. En mars 2013, le quotidien saoudien Al Hayat rapportait que, répondant à cet appel de leur plein gré ou sous la pression de leurs proches, au moins 13 jeunes tunisiennes s'étaient rendues en Syrie pour y fournir des "services sexuels" aux djihadistes. Une vidéo contenant un témoignage mais ne présentant aucun début d'élément de preuve venait aussitôt confirmer la chose. Repris à satiété sur les réseaux sociaux, d'autres témoignages continuaient à accréditer cette histoire. Le 20 septembre, le ministre tunisien de l'Intérieur Loutfi Ben Jeddo affirmait devant les membres de l'Assemblée constituante que des Tunisiennes continuaient de se rendre en Syrie pour y pratiquer le "djihad al-nikah". Il ne fournissait aucun chiffre, mais son silence ouvrait la porte à toutes les supputations. Certains médias parlaient aussitôt de dizaines, d'autres de centaines de femmes parties dans ces conditions. Certains utilisaient ces chiffres au conditionnel. D'autres les retenaient sans hésitation, en recourant au présent de l'indicatif…

Le problème est qu'aucun témoignage crédible n'a jamais confirmé, ni avant, ni après, les propos du ministre. Il est vrai que des Tunisiens sont partis, certains disent par centaines, d'autres affirment par milliers, prêter main forte à leurs frères Syriens, en choisissant généralement de combattre dans les rangs d'unités islamistes, si ce n'est de djihadistes, les uns par convictions personnelle, les autres par souci d'efficacité. Mais ce n'est pas parce que leur présence en Syrie est devenue un problème intérieur et extérieur pour les autorités tunisiennes, que ces dernières doivent prêter leur concours à une propagande dont on sait désormais depuis des mois qu'elle ne repose sur rien. Puisqu'elles semblent trouver du plaisir à se livrer à cette publicité qui ne sert pas précisément leur pays, elles pourraient peut-être expliquer aussi pourquoi la Tunisie serait le seul et unique pays arabe du Maghreb et du Machreq frappé par cette épidémie ?

En Syrie même, le "djihad du mariage" a régulièrement fait l'objet de campagne de dénonciation sur les chaînes officielles. Elles ont produit elles aussi, pour illustrer ce phénomène, des témoignages, tantôt de "terroristes" capturés qui avouaient avoir contraint leurs femmes à se prostituer dans ces conditions, tantôt de femmes victimes de ce genre d'esclavage sexuel. Mais, en raison du manque de crédibilité de ces témoins et de la faiblesse de leurs témoignages, leurs récits n'ont pas convaincu grand monde, y compris dans les rangs des partisans du régime auxquels ils étaient en priorité destinés. Dans l'espoir de frapper un grand coup, les autorités syriennes ont alors préparé avec plus de soin l'apparition sur les écrans de la chaîne officielle Al-Ikhbariya, le 22 septembre, d'une jeune fille de 16 ans, qui répondait au nom de Rawan Qaddah. Elles espéraient que son témoignage, appris par cœur et débité à vive allure sans épargner aux auditeurs un seul détail scabreux, ferait définitivement pencher les sceptiques de leur côté. Encore une fois, elles ont obtenu un résultat contraire.

Dans les rangs des partisans du pouvoir, qui ne sont pas moins conservateurs qu'une majorité de ses opposants, beaucoup ont été choqués de voir une si jeune fille exposée aux regards pour faire état des agissements éminemment répréhensibles dont elle avait été victime, sans que les réalisateurs de l'émission ait pris la peine de dissimuler ou de flouter son visage. Ils ont également été offusqués des détails qu'elle a donnés concernant ce que son père l'avait contrainte de faire avec un djihadiste, puis avec plusieurs, avant d'abuser d'elle à son tour au nom du "djihad du mariage". Ils ont enfin été surpris de la voir apparaître sur leurs écrans en habits d'hiver, alors que la température, à Damas, oscille encore en cette saison entre 25 et 30°.

Les activistes n'ont eu aucun mal à démontrer que la jeune fille n'avait été que la vedette involontaire d'un show scabreux, dont l'objectif était destiné à dénigrer les révolutionnaires en général, à travers les moudjahidin accusés de s'adonner à des relations sexuelles contraintes avec des jeunes femmes et des jeunes filles parfois mineures. Ils ont établi que celle qui répondait effectivement au nom de Rawan Qaddah - un nom extrêmement connu dans son gouvernorat d'origine, d'où sont issus aussi bien Souleiman Qaddah, un ancien secrétaire général adjoint du Parti Baath, que l'homme d'affaire Mouwaffaq Qaddah, enrichi à Doubaï dans le commerce des pièces détachées pour voitures - et qu'elle était native du village de Nawa. Ils ont expliqué son apparition dans des habits d'hiver par le fait qu'elle avait été enlevée sur le chemin de son école, plusieurs mois plus tôt, par des éléments de la Sécurité militaire. Sa mise en avant était destinée à porter atteinte à la réputation de son père, chef respecté d'une katiba de l'Armée Syrienne Libre active dans la région, qui avait été accusé à tort d'appartenir au Jabhat al-Nusra et à al-Qaïda.

Ils n'ont pas eu davantage de difficulté à relever les nombreux détails qui confirmaient que la jeune fille récitait l'histoire qu'elle avait été contrainte de mémoriser, sans en modifier un seul mot : elle parlait du début à la fin d'une voix monocorde et mécanique ; elle n'affichait aucun sentiment de honte, de tristesse ou de colère, même en mentionnant les humiliations et les agissements les plus dégradants qui lui avaient été imposés ; elle ne cessait, durant tout le récit de sa mésaventure, de baisser les yeux comme pour s'assurer qu'elle ne s'écartait pas de son texte ; elle paraissait vouloir accabler son père, dont elle avait a plusieurs reprises souligné le rôle et elle avait mentionné son comportement infamant à son égard sans montrer la moindre gêne ; elle se contredisait - mais la faute en revenait au rédacteur du scénario à la télévision syrienne, auquel sa volonté de charger le père avait fait perdre sa lucidité - en indiquant que celui-ci se faisait payer pour les passes qu'il contraignait sa fille à subir…

Devant le scandale provoqué par ces affaires, l'Armée syrienne libre et la Coalition nationale syrienne ont réagi. Même le Jabhat al-Nusra y est allé de son communiqué. Tous ont affirmé que le "djihad al-nikah", qui était contraire aux législations divines et humaines n'avait jamais existé en Syrie et que les prétendues victimes, tunisiennes ou syriennes, dont les témoignages avaient été colportés par les médias du régime - y compris celui de la jeune Rawan Qaddah - n'avaient été que les comparses plus ou moins consentantes d'une machination contre eux qui les dépassaient. Dans un communiqué diffusé le 25 septembre,

la Coalition Nationale Syrienne demande avec force et vigueur que ne soient pas relayés les mensonges qui ont trait à ce que la propagande du régime d’al-Assad a appelé le "djihad sexuel".

Il va sans dire que si de telles pratiques existaient, la Coalition ne manquerait pas de condamner ces actes. Mais dans le cas présent, il ne s’agit pas de dénoncer une sur-médiatisation de phénomènes qui existent, mais qui, limités et marginaux, ne rendent pas compte des initiatives et des valeurs de l’écrasante majorité des activistes syriens. Il ne s’agit pas non plus de dénoncer une mise sous silence des crimes de masses planifiés du régime pour s’attarder sur quelques actes condamnés par l’opposition elle-même.

Non, il est ici question de condamner le mensonge sur un phénomène qui n’existe tout simplement pas.

Le "djihad sexuel" est une notion inexistante et sans aucun fondement. Des propos ont été faussement attribués à un savant mais il n’existe aucune preuve, et l’intéressé a nié avoir tenu de telles paroles. Il est du devoir de chacun de vérifier les sources d’une information avant de relayer ladite information. Il est du devoir de chacun de confronter chaque information aux informations sûres en provenance du terrain.

 

 

http://www.alterinfo.net/Vous-allez-etre-decus-le-Jihad-Nikah-Djihad-du-sexe-en-Syrie-n-a-jamais-existe-_a95311.html

 

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Conditions pour être mufti

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Shaikh 'Ali Hassan Al-Halabi



Certes, parmi les questions acceptées en Religion est que l'être humain sera interrogé pour chaque mot qu'il a prononcé dans cette vie. Allah dit : « Il ne prononce pas une parole sans avoir auprès de lui un observateur prêt à l’inscrire. » [Sourate Qaf : 18] Et il sera interrogé pour chaque action que ses membres ont commis. Allah dit : « Toute âme est l’otage de ce qu’elle a acquis. » [Sourate Al-Mudathir : 38] Il sera même interrogé sur chaque idée à laquelle son esprit et âme ont pensé  et qu'il a mis en action. Allah dit : « Que vous manifestiez ce qui est en vous ou que vous le cachiez, Allah vous en demandera compte. » [Sourate Al-Baqara : 284]



Donc les hommes subiront une interrogation complète - sur leurs actions, leurs paroles, leurs aspects intérieurs et extérieurs. Et la manière dont ils ont lié cela aux lois religieuses pour chacun d'entre eux, comme ce qui est légal et ce qui est illégal. Et il sera tenu pour responsable pour tout cela, recevant la récompense pour cela dans l’au-delà, soit par le Paradis, soit par le Feu de l'enfer.



C’est pourquoi, il est clair que le musulman doit demander et s'informer des règles de sa Religion concernant chaque chose, grande et petite, dans ce monde. Car aucun musulman n'est complètement conscient et bien informé de toute les règles de la Religion, sans exception.



Les mots fatwa et futya se réfèrent à la clarification d'une règle. On dit : « le Faqih (le savant de Fiqh) a publié une fatwa sur cette question » quand il a clarifié son jugement. Et l’istifta est le fait de poser la question, en cherchant la règle.



Allah dit : «  Ils te demandent ce qui a été décrété. Dis : “Au sujet du défunt qui n’a pas de père ni de mère ni d’enfant »  [Sourate Nisa : 176]



Parmi les questions bien connues est que la première personne à publier des fatwas de cette nation et le plus haut d'entre eux dans le statut, le plus véridique dans le discours, le plus proche d'entre eux dans la clarification et le meilleur d'entre eux dans la réalisation (du verdict correct) et le plus charitable d'entre eux envers les gens, était le messager d'Allah - celui qui était digne de confiance dans sa transmission du message, Muhammad Ibn 'Abdillah, puissent la paix  et les bénédictions d'Allah être sur lui



Donc, le rang de capacité de publier des verdicts (fatwas) est parmi les positions les plus honorables, le plus excellent d'entre eux dans le statut, mais (repose sur lui) aussi le danger le plus sévère et il est le plus questionné devant Allah, le plus Grand, et les musulmans. C'est en effet une grande confiance qui repose sur les cous des muftis (ceux qui publient des jugements).



Le mufti est celui qui informe de la loi d'Allah basé sur sa conscience et sa connaissance de ses preuves.



Les savants ont placé un certain nombre de qualifications comme des conditions que le mufti doit avoir afin qu'il puisse être capable de publier des verdicts (fatawa). Elles sont au nombre de cinq :



D'abord : L’islam (c'est-à-dire qu’il doit être musulman).



Deuxièmement : Taklif (c'est-à-dire l'état dans lequel une personne devient responsable de ses actions, comme lorsqu’il atteint l'âge de puberté et est raisonnable).



Troisièmement : 'Adala (la fiabilité)


Les savants ont unanimement convenu de ces trois premières.


Quatrièmement : L’ijtihad


C'est l'avis d'une majorité des savants. L’ijtihad consiste en quatre choses :



  1. 1.      La connaissance du Qur'an et de la Sunna : c'est en connaissant en détail ce qu’ils contiennent qui soit lié aux règles, et on atteint cela par la mémorisation d’une quantité énorme d'eux deux. Ou il pourrait juste avoir la capacité de parvenir à la compréhension d’une façon facile et modérée, en connaissant les aspects des preuves du Qur'an et du hadith, en étant capable de distinguer le hadith authentique du faible, ce qui abroge et ce qui est abrogé, le général et le spécifique et l’absolu et le limité.


  1. 2.      La connaissance de la langue arabe : Sa connaissance doit être une connaissance qui lui permette de comprendre le Qur'an et la Sunna dans le langage et la langue des arabes.


  1. 3.      La connaissance des principes du Fiqh : Cela sert de base pour le mufti par lesquels, il devient conscient des concepts des règles et il parvient aux preuves détaillées.

 


  1. 4.      La connaissance des accords unanimes (Ijma') des savants et leurs divergences : Ceci pour qu'il ne sorte pas de leur sillon. Et pour que sa préférence (pour un avis), qui est conforme aux preuves du Livre et de la Sunna soit dans le sillon des avis qui ont divergés.


Cinquième Condition : Il doit avoir des qualités de génie intellectuel et un bon esprit. Donc le verdict d'une personne stupide et simple n'est pas correct, ni celui de celui qui fait trop d'erreurs.



De ce qui a été exposé précédemment, il est clair, que le verdict (fatwa) d'une personne qui suit aveuglément (un madhab) n'est pas valable. Le muqalid (le disciple aveugle) est : Celui qui prend la parole (c'est-à-dire l'avis) d'une autre personne sans (connaître) la preuve pour cela.


 


Dans son traité "Al-Qawl-ul-Mufid fi Al-Ijtihad wat-Taqlid ", l’imam As-Shawkani  (rahimahullah) a soutenu cette parole en disant de la restriction du verdict du disciple aveugle : « Ce que je crois à propos du disciple aveugle qui émet des verdicts, est qu’il ne lui est pas permis de publier des verdicts pour ceux qui lui demandent concernant les lois d’Allah ou de Son messager ou la vérité ou même sur ce qui est établi dans la Religion ou sur ce qui lui est permis et qui lui est interdit. Ceci puisque le disciple aveugle n'est conscient d’aucune de ces choses. Et personne ne les connaît sauf le Mujtahid. »



Voici les paroles des savants en ce qui concerne les règles de la publication de verdicts et les conditions pour être mufti. Selon la Volonté d'Allah, je les ai condensés en un abrégé plaisant et agréable. Pour que ceux qui cherchent à diminuer et dégrader la qualification pour publier des verdicts soient empêchés de leur mensonge et pour qu'ils retournent sur leurs tromperies. Car, par Allah ils ne vérifient pas (la vérité) dans leur suivi aveugle ! Ainsi comment peuvent-ils accomplir le rôle d'Ifta (publication de verdicts) et d’ijtihad ?



Et en effet nous voyons parmi nous celui qui ne se soumet pas à ces conditions, pour ne pas dire qu’il en est conscient, sans parler de ce que ces conditions s’appliquent à lui. Et avec cela, quand il publie un verdict, vous entendez, émanant de lui des sons forts comme des explosions de bombes et des sons hurlants, comme le tonnerre et la foudre. Et tout cela accompagné de mots insultants, loin de la façon de parler et du comportement des savants, ne convenant pas même au commun des musulmans !!


 


 


Notes de bas de page :



2. 'Ilam-ul-Muwaqi’in d'Ibn Al-Qayim - 1/11


3. Al-Fatwaa Wa Alaqatuha bil-Mujtama (page. 6 – 8) d'Izz-ud-Din Al-Khatib At-Tamimi


  1. Sifat-ul-Fatwa pg. 4 d'Ibn Hamdan

5. Voir At-Tadhkira Fi ‘Ulumil-Hadith – (n° 41-45) d'Ibn Mulaqin avec ma vérification.
6. Al-Futyaa Wa Manahij-ul-Ifta (26-29) de Muhammad Suliman Al-Ashqar
7. Al-Futyaa Wa Manahij-ul-Ifta 26-29


 


 


Source : de son introduction au livre Salah-ul-'Aalam bi-Ifta-il-'Alim (pg. 3 - 8) de Hamid Ibn 'Ali Al-'Imadi [mort en 1171H]


Traducteur : isma'il alarcon


Traduit en français par les salafis de l’Est


http://www.salafs.com/modules/news/article.php?storyid=46

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