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LA GESTION DE LA VIE CONJUGALE EN ISLAM

Il est évident que c'est la personne la plus consciente qui doit tenir la responsabilité de la gestion et de la planification. Dans la vie conjugale, il se peut qu'il y ait harmonie et équivalence des niveaux de conscience de l'homme et de la femme. Mais il se peut que l'un soit plus conscient que l'autre. Dans le premier cas, les deux conjoints doivent s'accorder sur la planification de leur vie et sur la distribution des rôles qu'ils doivent remplir pour mieux gérer cette vie en tout ce qui touche la responsabilité de chacun envers l'autre, ou envers leur vie commune.

 

Si le niveau de conscience n'est pas le même, la partie qui est plus consciente doit se charger de la planification pour la gestion de la relation conjugale. Elle doit chercher à contenir la pensée de l'autre dans sa conscience, à l'inciter à participer à la planification et à la gestion à travers la découverte et le développement des éléments positifs de sa personnalité, dans le sens de l'intégration et de la complémentarité des rôles dans la gestion commune.

 

La question de la planification au sein de la vie conjugale ressemble à la question de la planification dans la vie sociale. La planification peut relever des responsabilités de l'élite, comme de celles de la société toute entière, à travers le suffrage universel qui détermine les éléments importants pour le présent et pour l'avenir.

 

Si la femme est plus consciente que l'homme, elle peut avoir besoin d'étudier la nature des éléments positifs de sa personnalité afin de ne pas provoquer ses susceptibilités quant à la question du niveau de conscience. Elle ne doit pas toucher au sentiment, même s'il est morbide, de sa virilité, sentiment qu'ont les hommes qui imaginent que l'élément masculin est supérieur à l'élément féminin. La femme doit, dans les situations de ce genre, essayer de pénétrer dans sa conscience, dans ses sentiments, pour lui présenter le projet comme s'il était produit en commun. Puis, elle doit passer à l'étude des détails de la gestion au sein de la vie conjugale pour les partager avec l'homme. La femme peut arriver, par son tact, par sa finesse et par sa conscience, à gérer la vie conjugale dans les affaires intérieures, ou aussi, dans certaines affaires extérieures. Mais cela doit se faire d'une manière qui respecte l'importance, pour l'homme, de sentir qu'il a raison et qu'il est important. La femme ne doit pas dépasser les limites au-delà desquelles l'homme commence à sentir que le mouvement de sa femme devient de plus en plus étouffant de sa propre personnalité et de son propre sentiment de soi-même.

http://francais.bayynat.org.lb/femme_en_Islam/34.htm

 

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La clé de la réussite :la gestion du temps

aqida-sommaire.gifPar: Mohamed Elhadi

Un don divin précieux

"Deux dons précieux dont la plupart des gens ne font pas bon usage : la bonne santé et le temps libre" ». Ce sont-là les paroles du Prophète (paix et salut à lui) qui nous éclairent le chemin dans cette vie troublée par les contingences et les fausses urgences. Personne ne vous expliquera les paroles du Prophète à propos du temps mieux qu’un homme (ou une femme) d’affaires à l’agenda plein, ou encore une mère de famille aux enfants nombreux ou un élève en baccalauréat en pleine période des examens.

Ces gens que j’ai cités connaissent bien la valeur de ce don divin que nous partageons tous, mais dont nous ne faisons pas le même usage. Ils la connaissent par la force des choses. Et c’est peut être trop tard à certains moments de la vie de faire cette découverte.

Education et mentalité,…les vrais obstacles !

S’il y a une caractéristique, entre autres, qui fait notre célébrité, nous les marocains (et arabes en général), c’est malheureusement nos rendez-vous jamais respectés et notre temps sauvagement gaspillé devant les écrans des cafés. Notre administration publique a acquis le titre de machine lourde consommatrice de ressources et surtout de temps.

Certains de nos adages, faussement interprétés, entretiennent cette mentalité. Donnons un exemple : à quelqu’un qui s’attache à respecter son rendez-vous comme il se doit (heureusement, ces gens-là existent encore dans notre société), on répond souvent : doucement mon ami, ceux qui se sont pressés ont péri !

Une blague serait capable d’illustrer mieux l’idée : écoutons ce que se disait un monsieur tout le monde qui était en train d’attendre son ami dans un café où ils se sont donnés rendez-vous (ne pourraient-ils pas trouver un autre lieu ?!) : « Ah ! Il est midi, on s’est mis d’accord sur dix heures, bon, pas de problèmes de l’attendrai jusqu’à 14 heures, et s’il ne vient pas à 16 heures, je partirai vers 18 h !! » C’est aussi simple que ça !

Volonté, action et appui divin,…voici les résultats

Faisons maintenant un petit retour en arrière et cherchons ce qui peut nous donner une lueur d’espoir et nous rappeler que nos maux (dont le gaspillage du temps) ne sont pas une fatalité ou une tare génétique propre à nous, arabes et musulmans. En voici quelques exemples.

- En seulement l’espace de vingt trois ans, notre Prophète (paix et salut à lui) et ses compagnons (que Dieu les agrée) ont pu fonder une société musulmane sur la fraternité, l’égalité et l’amour en Dieu. Education, jihad, participation de la femme, abolition de l’esclavagisme, instauration de la Shoura (système de gestion démocratique),… De grandes réalisations auxquelles l’Humanité doit beaucoup.

- Trente ans ont suffi aux quatre califes (Abou Bakr, Omar, Othmane, Ali, Que Dieu les bénissent) pour faire régner la justice et l’esprit fraternel de l’islam sur les trois continents alors connus. Le système de gouvernement, unique en son genre, était le califat.

- La célébrité de l’imam Annawaoui est tellement grande que, si on ne jette pas un coup d’œil sur sa biographie, on croirait qu’il a vécu longtemps, très longtemps. Or, ce grand des grands a, à peine bouclé sa quarante cinquième année quand il a quitté la vie d’ici-bas. « Riyad Assalihin » (Le jardin des justes) est un livre qu’on trouve presque dans chaque foyer musulman et qui, avec l’autre livre « Al Adkar » (Les invocations), a acquis une notoriété éternelle dans les cœurs et les esprits.

- L’algorithme, ce processus de résolution logique des problèmes tient son nom d’un des grands maîtres musulmans des sciences mathématiques : Al Khawarizmi. Cette sommité scientifique nous a légué plus de 800 ouvrages en maths, en astronomie et en géographie. Soixante ans de passage sur terre ont suffi à faire ces exploits.

Conclusion : c’est en déployant effort et persévérance, en ayant une volonté forte et une foi sans faille que tout devient possible.

Entre réalité et modèles,…comment faire ?

C’est la grande question qui s’impose. En fait, en ayant la tête toujours enterrée dans cette triste réalité, on risque de perdre tout espoir à y répondre. Ces modèles rayonnants de notre histoire nous serviront de phares et nous insuffleront le désir de réussir la gestion du temps et, partant, réussir notre passage, si éphémère, sur cette terre.

Dans la deuxième partie de cet article, quelques éléments de réponse nous feront découvrir comment on peut acquérir une bonne maîtrise du temps et quelles en sont les techniques. Nous verrons comment faire le point sur les activités d’une semaine « normale » et quelle enveloppe horaire cela nécessite. Nous découvrirons aussi les moments idéaux à la réalisation des activités dites importantes et nous finirons par filtrer ces activités-là à l’aide de deux critères : importance et urgence.

Craintes… au départ

Il est tout à fait normal que la crainte soit la première sensation à naître dans le cœur de celui ou celle qui entreprend de gérer son temps de façon efficace. La crainte de l’échec, la crainte du regret et surtout la crainte du changement de vieilles habitudes enracinées. C’est que l’on s’apprête à quitter ce que les psychosociologues appellent la « zone de confort » pour pénétrer dans une «zone de turbulence ».

C’est à cette phase de transition qu’il faut prêter le plus d’attention pour bien réussir le changement. Dieu sait que pour nous, citoyens du tiers monde, il s’agit d’un changement radical qui mobilisera beaucoup de ressources et qui, surtout, nécessitera beaucoup de courage et de fermeté dans la décision.

Premier exercice : lister ses activités et en estimer le temps

Avant de présenter les techniques propres à la gestion du temps, il est fort important de procéder à un certain diagnostic du vécu. Nous nous plaignons tous, presque sans exception, de temps introuvable, de la pression des tâches à faire et de l’inévitable stress qui s’en suit. Mais, avons-nous, un jour, estimé la répartition que nous faisons de notre temps. Cela revient à se poser les deux questions suivantes de la façon la plus claire :

1- Quelles sont mes actions, mes activités ou mes travaux pendant une semaine dite « normale » ? Puis-je en faire une liste ?

2- Combien de temps (estimé en minutes ou en heures) chaque action (ou activité) me prend-elle ?

Une semaine dite « normale » est celle où nous n’avons pas affaire à des imprévus (voyage plus ou moins long, événement social,…), où nous ne faisons que gérer nos affaires de routine. Des plus petits gestes d’hygiène personnelle aux activités professionnelles les plus importantes en passant par nos loisirs, nos passe-temps et notre vie familiale ; le tout doit figurer dans cette liste. En fait, une grille serait le meilleur moyen de mettre au clair ce diagnostic. En voici un exemple, et à chacun de créer le modèle qui lui convient :

 

 Remarques :

• C’est à chacun d’estimer le temps que nécessite chaque activité listée dans la grille, cela peut alors varier d’une personne à l’autre.

• Cet exercice demande du temps et un peu de patience. Le prendre au sérieux permettra certainement de réussir les étapes à venir.

• La concentration et le sens de la responsabilité individuelle sont deux autres conditions.

Je vous laisserai, chers lecteurs, le temps (eh oui!, il s’agira toujours de temps !) pour faire cet exercice peu familier ; et pour ne pas vous influencer je vous rapporterai au début de la troisième partie quelques témoignages de ceux et celles qui ont vécu cette expérience.

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Apprendre à gérer ses coups de colère

L'émotion (ou "sentiment") de la colère est une combinaison complexe de sensations physiques, des cognitions (ou pensées) et les comportements.

Les sensations physiques associées à la colère sont bien connus. Une accélération du rythme cardiaque, essoufflement, une bouche sèche, des papillons dans l'estomac, jambes tremblantes, sentant etc chaude et rougie Ceux-ci peuvent sembler familier - ils sont très semblables aux sensations physiques qui se produisent dans l'anxiété. Cela n'est pas surprenant - c'est le même mécanisme physiologique qui sous-tend les deux émotions. La colère est la «lutte» de la composante "Fight or Flight" réponse au danger perçu.

Les sensations physiques de la colère et l'anxiété sont entraînés par les hormones libérées par les glandes surrénales (petites poches de tissus situé au-dessus des reins). Ces glandes surrénales sécrètent l'adrénaline dans le sang qui se disperse rapidement dans l'organisme. Il est l'adrénaline qui agit sur le corps pour le préparer à combattre ou à fuir en augmentant le cœur («cœur de course") et le taux de respiration ("la bouche le souffle court et sec»), élévation de la pression artérielle ("sensation de chaleur et rincé »), tendant les muscles (" jambes tremblantes »), etc

Pensées communes associées à la colère comprennent "Il ne peut pas dire / faire ça à moi!" ou "C'est pas juste!"

Les manifestations comportementales de la colère comprennent serrant les poings, le broyage de la mâchoire et une autre envahir l'espace personnel.

Il est très important de réaliser que toutes ces composantes interagissent et 3 feed-back à l'autre, provoquant une augmentation ou une diminution de la sensation de la colère. Par exemple, si vous êtes en colère et vous vous laissez se comporter en colère - cris et des hurlements, par exemple - vous êtes le corps va sécréter plus d'adrénaline, ce qui augmente encore les sensations de colère.

La colère n'est pas en soi un problème - il est une émotion qui a des avantages dans certaines situations. La «colère» chez les animaux quand ils sont menacés ou se disputent les droits sur le territoire ou l'accouplement est clairement une stratégie de survie. Un passif, aux manières douces tigre n'est pas susceptibles de vivre très longtemps!

Heureusement pour la plupart des êtres humains, nous n'avons plus à se battre physiquement pour survivre, de manger ou de trouver un partenaire. Cela fait beaucoup de notre redondante colère. Toutefois, le "Fight or Flight" réponse a développé en nous (et la plupart des animaux) au cours de millions d'années nous allons donc continuer à se mettre en colère pour l'avenir prévisible. Cela peut nous causer des problèmes et d'autres autour de nous.

Je ne prétends pas que nous essayer d'éliminer la colère de nos vies, mais si nous pensons qu'il est la cause de nous ou d'autres problèmes, nous pouvons essayer de le modérer et le rendre moins nuisible. Idéalement, nous pouvons le faire fonctionner pour nous plutôt que contre nous.

TCC se rapproche la colère en se concentrant sur les processus de pensée associés à la colère. La théorie est que, puisque nos pensées sont une composante fondamentale de la colère (avec des sensations physiques et les comportements), si l'on peut modérer ces pensées de colère, nous pouvons modérer les deux autres composantes ainsi par le biais du mécanisme de rétroaction.

Souvent ce sont nos pensées - nos interprétations des événements - qui déclenchent la réponse la colère en premier lieu. Si nous pouvons développer une interprétation plus équilibrée et rationnelle du monde qui nous entoure, nous pouvons étouffer la réponse la colère dans l'œuf. Un bon exemple de ceci est notre réponse à la critique. Si nous interprétons toute critique comme une attaque malveillante sur nous comme une personne, alors nous allons mettre en colère. Si nous sommes en mesure d'adopter une approche plus équilibrée, en vue de la critique rationnelle, nous pouvons nous sentir déçus, mais nous allons éviter de se faire "à chaud sous le col". Nous pouvons même être en mesure de voir que, parfois, notre porte-parole a raison!

Une autre technique pour modérer notre colère est trop penser avec plus de souplesse. Nous avons tous vu les tout-petits et jeunes enfants lancent des crises de colère - ils peuvent être d'apoplexie avec rage! Souvent, cela semble être le résultat de la pensée inflexible immature, - les jeunes enfants aiment avoir (et maquillage) des règles qui ne doit jamais, absolument jamais, être ventilées, soit par eux-mêmes ou (surtout) par d'autres. Oh, les scènes d'horreur assisté à des fêtes d'enfants quand un enfant a «cassé» les règles d'un jeu!

Malheureusement, beaucoup d'entre nous les adultes continuent à inflexible, les règles à ne jamais être brisées à la vie-. Il s'agit d'un problème si vous voulez éviter à crier et se rouler sur le sol, tout en portant un costume. Exemples de règles pour adultes sont «Personne ne doit jamais être désagréable avec moi", "La vie ne doit pas être injuste envers moi", et (mon préféré) "D'autres personnes doivent conduire ainsi et de façon courtoise que je fais».

Il ya beaucoup de problèmes avec ces règles. D'abord et avant tout de ce qui est qu'ils ne sont pas vraiment des «règles» à tous - ils sont vos préférences. Il n'existe aucune loi contre les personnes impoli de vous, ou la vie est injuste, ou gens de ne pas vous laisser sortir au niveau des jonctions. Vous préférez en était autrement, mais c'est tout ce qu'il est - votre préférence. Comme il s'avère, la plupart des gens sont généralement polis et conduire décemment, et le monde ne peut pas être tout à fait injuste, après tout, mais il y aura toujours des exceptions. Vous ne pouvez pas contrôler ces exceptions, et en ayant des règles aussi rigides que vous êtes vous-même la mise en place pour beaucoup de colère dans votre vie. Essayez la pensée le long des lignes de "Je préfère quand les choses vont à ma façon, mais parfois ils ne seront pas et je ne peux accepter et de traiter avec cela".

Cela conduit à une autre technique pour modérer la colère - la modération du langage que nous utilisons. Je ne signifie pas simplement en évitant etc jurant, mais quelque chose de plus subtil que cela, concerne à la fois les mots que nous utilisons en interne et en externe. La langue est une chose puissante - après tout, nos pensées sont constitués de mots (nous quelques photos jetés dans) - et nous pouvons l'utiliser à notre avantage. Donc, si quelque chose que nous n'aimons pas a eu lieu - de quelqu'un heurta notre voiture dans le parking - nous pouvons choisir la façon d'encadrer cet événement dans le langage. Nous pouvons penser: «Je le voudrais si elles n'avaient pas fait cela, ils auraient pu être plus prudent, cela me causer quelques désagréments et des dépenses" OU nous pouvons penser "Il a fait cela délibérément! Il était probablement ivre! Comment peut-on cela se produit, aujourd'hui, de tous les jours! " Une façon de penser utilise des termes modérés, les autres utilisations extrêmes. Même événement, mais les réponses de pensée différents. Il est clair que la réponse n'est pas seulement fait de ce tracas plus supportable, mais aussi conduit tout naturellement à trier les tracas avec un minimum de tracas.

Penser avec plus de souplesse implique aussi l'acceptation de personnes, y compris vous-même - comme des êtres humains faillibles, capables de faire des erreurs et faire le mal. Et pourtant, malgré ces défauts, ils (et vous) possèdent encore la dignité et sont dignes de respect. Cela signifie également que nous allons accepter que d'autres personnes peuvent avoir des opinions divergentes et des vues, et même si nous n'avons pas d'accord avec eux, nous n'allons pas nous rendre en colère essaie de leur faire admettre qu'ils ont tort! En outre, nous n'allons pas à d'autres étiquettes (ou vous-même) comme «méchant» ou «inutile» ou «égoïste», etc sur la base d'un ou de deux événements ou des conversations. Tout le monde peut, et il a probablement, été toutes ces choses (et autres) à un moment donné dans leur vie, et probablement sur plus d'une fois! Si vous identifiez quelqu'un, alors vous n'êtes pas seulement être totalement inexacte au sujet d'un être complexe et changeante de l'homme, mais vous êtes également susceptible d'interpréter tout ce qu'ils font à l'avenir sur la base de cette étiquette. Si un "méchant" personne tousse, tout en vous donnant un discours, puis il est évident qu'ils l'ai fait exprès pour vous embêter. Cue la réponse la colère!

Une dernière façon de modérer la colère rend l'utilisation des interactions entre les pensées, les sensations et les comportements d'une manière légèrement différente. Plutôt que de se concentrer sur les processus de pensée, cette technique vous encourage à vous concentrer sur votre comportement. En modérant votre comportement, vous fournir des «rétroaction négative» (également appelé "rétroaction inhibitrice») pour le système de réponse colère, modérer les ses effets. Donc, lors de votre prochaine sens très en colère, plutôt que de piétiner autour, en criant, en agitant les poings et être intimidant, essayez de prendre de grandes respirations lentes, se détendre vos mains, parler à un volume normal et à un rythme normal, etc Ce comportement calme enverra le message "Les choses sont OK" pour retourner à votre corps, causant la sécrétion d'adrénaline à la queue et arrêter, ce qui réduit et d'éliminer les sensations physiques de la colère. Il est intéressant, de se comporter comme si vous étiez calme travaille également sur vos pensées. Tellement calme, le comportement mesuré conduit à un corps calme et l'esprit.

Le principal problème avec les êtres humains et la colère, c'est que, pour la plupart d'entre nous, la colère n'est plus très utile. Dans nos vies modernes, nous la plupart du temps face à des irritations et des inconvénients plutôt que d'une tribu ennemie ou vorace animal sauvage. Il n'est plus approprié pour nous d'aller le visage rouge et que vous voulez casser la baraque. En utilisant les techniques décrites ci-dessus peut nous aider à modérer notre colère.

Je dis «modérée» et non «éliminer». Je pense qu'il n'est ni possible ni souhaitable d'éliminer une émotion fondamentale comme la colère d'un être humain. Nous avons besoin d'un certain niveau de colère pour nous inciter à agir de façon appropriée dans des situations où nos intérêts sont menacés. Nous ne pouvons pas être en danger physique, mais se mettre en colère peut nous inciter à nous d'agir lorsque nos patrons nous donnent une trop grande charge de travail ou notre gouvernement est restreignant nos libertés.

Mais peut-être je devrais l'appeler pas appeler cette «colère», mais «l'affirmation de soi"! (Voir ci-dessus!)

Source : http://www.energika.org/problemes-colere-a03575764.htm

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