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Les Théories du vieillissement et l'éternelle jeunesse

Il n’existe pas encore une théorie universelle et unique du vieillissement. En fait, l’augmentation de l’espérance de vie est un cadeau des progrès de la science et de la technologie du 20ème siècle et s'est plus accélérée en un siècle qu’elle ne l’avait été dans les millénaires qui l'ont précédé !

Il existe quatre théories principales du vieillissement et quelques théories secondaires dont une d’entre elles semble remplie de promesses. Chacune de ces théories explique certains aspects de ce processus.

1- La théorie de "l’usure"

formulée par le Dr Auguste Weismann en 1882 qui pensait que le corps et ses cellules étaient endommagés par leur sur-utilisation et les abus qu’ils subissent au cours des ans. De nombreux organes comme le foie, l’estomac, les reins, la peau, etc., subissent une attaque et une usure infligées par les toxines alimentaires, l’environnement, la surconsommation de sucre, de graisses, d’alcool et de nicotine, les rayons ultra violets et les autres facteurs de stress. Cette usure déborde également au niveau cellulaire. Cependant, cette théorie n’explique pas tout, puisque même si vous vous vivez une vie de moine, vous vieillissez quand même. Il faut noter cependant que les suppléments nutritionnels sont efficaces pour aider le corps à se réparer et à maintenir organes et cellules en bonne santé.

2- La théorie neuro-endocrine (ou théorie hormonale)

fut développée par Vladimir Dilman, Ph.D.. Celui-ci a étudié en détail le réseau biochimique qui gère notre système endocrinien et la production de nos hormones sous la direction de l’hypothalamus, une petite glande située dans le cerveau. Durant notre jeunesse, cette production hormonale est élevée et elle diminue parfois de manière importante lorsque nous vieillissons. Ainsi, la production d’hormone de croissance se réduit dès l’âge de 30 ans, ce qui produit la diminution de la masse musculaire et l’augmentation de la masse graisseuse. Après 40 ou 50 ans les niveaux de certaines hormones (oestrogènes, progestérone et testostérone) vont diminuer, ce qui produit ménopause et andropause. Il en va de même de l’hormone thyroïdienne et de la mélatonine produite par la glande pinéale. C'est pourquoi la supplémentation hormonale est un composant essentiel des thérapies anti-vieillissement. Elle permet de remettre l’horloge hormonale à zéro et ainsi de retarder ou, possiblement, d’inverser de nombreux effets du vieillissement.

3- La théorie du contrôle génétique

Cette théorie affirme que notre héritage génétique (ADN)détermine en grande partie le rythme auquel nous vieillissons et l’âge maximum que nous atteindrons. C'est dans la structure même de l'ADN que serait inscrit la durée de notre parcours terrestre. C’est le débat entre l’inné et l’acquis qui se poursuit à l’intérieur même de nos cellules. La médecine anti-vieillissement propose en réponse à cette question d'augmenter la quantité du matériau de base de l’ADN dans les cellules, en protégeant l’ADN et en favorisant sa capacité de réparation.

4- La théorie des radicaux libres

Cette théorie révolutionnaire a été découverte par un chercheur de l’Université de Médecine du Nebraska, le Dr Denham Harman. Il a proposé l'hypothèse que la présence de radicaux libres (des molécules dotées d’un nombre impair d’électrons) correspond à l’activité des processus oxydatifs dans l’organisme, du stress oxydatif. L’oxydation se produit dès que l’on ajoute de l’oxygène à une substance. On peut donc affirmer que, paradoxalement, c’est le carburant même qui nous fait vivre qui nous détruit, en nous «oxydant». Les radicaux libres ainsi créés attaquent également les membranes de nos cellules qui sont très vulnérables à l’oxydation puisqu'elles sont constituées de lipides insaturés. L’oxydation des membranes produit un déchet métabolique, la lipofuscine, qui par accumulation dans l’organisme apparaîssent sur la peau en formant ce que l’on nomme les «tâches de vieillesse». La lipofuscine ralentit la capacité de reproduction des cellules et la synthèse de l’ADN et de l’ARN. On a aussi observé que cette activité radicalaire peut parfois entraîner la prolifération de cellules mutantes, conduisant ensuite au cancer et à la mort. Les radicaux libres attaquent aussi le collagène et l’élastine. L’intensité du stress oxydatif que nous avons subi durant notre vie est visible dans les rides observées sur notre peau.

D’autres théories ont également été proposées, et permettent de compléter la compréhension de ce phénomène complexe :

- La théorie de l’accumulation des déchets -

postule que lorsque l'équilibre entre la production de déchets par nos cellules et leur capacité à les éliminer est brisé, et que la présence de déchets est trop importante, la cellule meurt. La lipofuscine (déjà citée) constitue le principal de ces déchets.

- La théorie de la limite de Hayflick -

En 1961, le Dr Hayflick a découvert que les fibroblastes humains (cellules de la peau, des poumons, des muscles) ont une durée de vie limitée et se divisent environ 50 fois et meurent. Cependant, d'autres recherches ont montré que la nutrition semble avoir un effet sur le rythme auquel les cellules se divisent lorsque ces cellules sont bien entretenues. Elles se divisent 3 fois plus lentement.

- La théorie mitochondriale -

Les mitochondries sont les sources énergétiques des cellules et produisent l’ATP, notre principale source d’énergie. Malheureusement, ce processus génère des radicaux libres pour lesquels l'ADN des mitochondries sont des cibles faciles, car elles sont démunies de la plupart des systèmes défensifs présents dans les autres parties de la cellule. L’ADN des mitochondries accumule donc les dommages oxydatifs. Heureusement, certains antioxydants ont la capacité de pénétrer les mitochondries et de les protéger.

- La théorie des liaisons croisées -

le phénomène de glycation se produit lorsque les molécules de glucose réagissent avec les protéines. Des liaisons croisées apparaissent alors à l’occasion de cet excès de sucre dans le sang. Les liaisons croisées rigidifient le collagène, ce qui rend les tissus plus rigides et interfère dans la communication entre les cellules. Le processus de glycation semble inhibé chez les gens qui mènent une vie active, qui se nourrissent correctement et qui prennent des suppléments nutritionnels.

- La théorie de la restriction d’énergie -

est proposée par le Dr Roy Walford de l’Université de Californie (Los Angeles). Le Dr Walford a démontré clairement, dans une recherche sur des modèles animaux, que la sous nutrition sans malnutrition (un régime faible en calories et riche en nutriments) peut retarder le vieillissement fonctionnel, et peut-être même le vieillissement chronologique. Les sujets tests perdent graduellement du poids jusqu’à ce qu’ils atteignent un niveau d’efficacité métabolique maximal. Il existe cependant un doute sur la possibilité de transposer cette méthode dans la masse de l'humanité.

- La théorie des télomères -

est la plus récente. Les télomères ont été découverts par les chercheurs de Geron Corporation à Menlo Park (Californie). Les télomères sont des séquences d’acides nucléiques qui se trouvent au bout des chromosomes, dont ils maintiennent l’intégrité. Cependant, à chaque division cellulaire, les télomères raccourcissent, ce qui conduit évidemment, après de nombreuses divisions, à la mort des cellules. On a observé, dans les cellules germinales et les cellules cancéreuses, la présence de l’enzyme télomèrase, qui est l’élément clef de la conservation et même, de la réparation des télomères, conférant ainsi potentiellement aux cellules une capacité de division infinie. Les travaux de Geron Corporation visent à la fois à réparer les télomères des cellules usées, pour les remettre à neuf, et à inhiber l’action de la télomèrase dans des cellules cancéreuses, pour les empêcher ainsi de se diviser. Cette théorie est pleine de promesses non seulement pour les praticiens de la médecine anti-vieillissement, mais aussi pour les chercheurs qui luttent contre les cancers.

Malgré les immenses progrès réalisés par la recherche sur le vieillissement, il n’y a pas encore d’accord unanime entre les chercheurs sur une théorie du vieillissement. Peut-être parce qu'il n’y a pas de théorie universelle ? Une chose est sûre cependant : les travaux de la gérontologie théorique et ceux de la médecine anti-vieillissement tendent à repousser la limite de la longévité humaine et à retarder, voire à éliminer, les ravages du vieillissement !

 

Qui, à l'instar de Faust, n'a jamais rêvé d'une jeunesse éternelle ? Les récentes avancées spectaculaires de la génétique laissent tout au moins espérer la résolution des maladies dégénératives dans un proche avenir.

Deux instituts phares dans la recherche génétique sont à la pointe de nouvelles technologies révolutionnaires. Leur approche et leur finalité sont similaires, une reprogrammation des gènes facteurs du vieillissement. Mais le principe de base de cette reprogrammation est sensiblement différent entre ces deux instituts. Pour autant, que les professions de l'esthétique se rassurent, de beaux jours les attendent encore.
En effet, ces phases expérimentales laissent un champ ouvert à la guérison de certaines pathologies dégénératives et à une longévité supérieure dans des conditions de santé optimisées. Cependant de nombreux autres tests et les validations nécessaires de l'OMS (Organisation Mondiale de la Santé) sont encore nécessaires avant une application concrète de ces découvertes sur l'être humain.

Précisons que même si notre société de communication et de consommation nous impose les diktats de l'apparence, de la jeunesse, de la beauté, de la sveltesse, les applications de ces récents progrès scientifiques ciblent essentiellement un mieux vivre longtemps et sainement et n'ont pas une portée esthétique.

Bien sûr, chaque individu a le pouvoir d'optimiser son capital santé en entretenant sa forme physique et mentale grâce à une bonne hygiène de vie. Comme dit l'adage : « aide toi et le Ciel t'aidera ! ». Mais pour l'heure, c'est une poignée d'hommes, des chercheurs de valeur qui ont accompli des prouesses dans le domaine de la génétique appliquée à la longévité.

Voici, les grandes lignes des découvertes récentes respectives de ces deux instituts français.


I/ Reprogrammation des cellules centenaires (INSERN de Montpellier)

Le principe :

Selon la rédaction régionale de France 3 Languedoc-Roussillon, des chercheurs de l'INSERM de Montpellier ont réussi un exploit pour la médecine régénérative en reprogrammant des cellules de donneurs centenaires. Cette « cure de jouvence » est une première mondiale qui démontre que le processus du vieillissement n'est pas irréversible.

Ces travaux menés par M. Jean-Marc Lemaître, de l'Institut de génomique fonctionnelle (Inserm/CNRS/université de Montpellier), publiés dans la revue spécialisée "Gènes & Development" du 1er novembre 2011, démontrent que, dans un futur proche, la plupart des pathologies dégénératives pourront être corrigées en effaçant les marques de vieillissement des cellules.

Le procédé :
L'équipe de recherche est parvenue à reprogrammer des cellules de centenaires in vitro, leur redonnant ainsi leur jeunesse originelle et les caractéristiques inhérentes aux cellules souches embryonnaires (hESC).
Ces dernières peuvent alors recommencer à se différencier en cellules de tous types (neurones, cellules cardiaques, de peau, de foie...),
L'utilisation de cellules humaines adultes reprogrammées en cellules souches pluripotentes (iPSC) écarte toute polémique quant à la manipulation de cellules souches d'embyons, dont les propriétés sont cependant similaires.
Ces travaux menés depuis 2007 s'étaient heurtés jusqu'à ce jour à une limite, la sénescence, point ultime du vieillissement cellulaire. Cependant les chercheurs sont parvenus à atteindre cette phase ultime du vieillissement en démultipliant des cellules de la peau d'un donneur de 74 ans jusqu'à l'arrêt complet de la prolifération de ces cellules.
Ils ont par la suite reprogrammé ces cellules grâce à l'adjonction de 2 facteurs génétiques supplémentaires à la préparation classique. Ainsi « boostées », les cellules ont perdu toute trace de leur vieillissement antérieur.

"Les marqueurs de l'âge des cellules ont été effacés, et les cellules souches iPSC que nous avons obtenues peuvent produire des cellules fonctionnelles, de tous types avec une capacité de prolifération et une longévité accrues", explique Jean-Marc Lemaitre.
 
Applications :
Réparation des organes ou tissus chez des patients âgés, grâce à une tolérance optimale par le système immunitaire, de ces cellules adultes reprogrammées assurant ainsi non seulement un accroissement de la longévité mais surtout une qualité de de fin de vie optimisée. Les expériences menées sur des sujets âgés de 92 à 101 ans ont été un succès et laissent espérer un développement actif dans les prochaines années.

http://languedoc-roussillon.france3.fr/info/l-inserm-invente-le-rajeunissement-des-cellules-71062704.html?onglet=videos&id-video=MONT_1519541_311020110933_F3


II/ Gène de la longévité (laboratoire de Biologie Moléculaire de la Cellule de l'École Normale Supérieure - ENS - de Lyon)

Le principe :
Selon le reportage diffusé sur la chaîne LCI Santé le 16 avril 2011, un nouveau "gène de la longévité" ouvre de nouvelles pistes pour vieillir mieux.
Les travaux ont été menés par l'équipe d'Hugo Aguilaniu, chercheur CNRS au sein du LBMC, sur le principe de vieillissement du ver.
Des études menées depuis 1999 avaient démontré que l'ablation de la lignée germinale, c'est à dire les facteurs de la reproduction (spermatozoïdes et ovules), provoquait une accroissement sensible de la longévité chez le ver. Or, la découverte d'un nouveau gène, très puissant, le nhr-80, permettrait de lutter efficacement contre les maladies liées au vieillissement sans affecter la fonction de reproduction, selon des résultats publiés le 15 Mars 2011 dans Plos Biology.
Les tests effectués sur le ver ( C. elegans) et le drosophile, ont démontré un accroissement de longévité de 60 % et dans des conditions parfaitement harmonieuses. Les chercheurs sont d'ores et déjà confiants sur un élargissement du principe aux les mammifères.

Applications :
L'action gérontogène du gène nrh-80 porterait sur de les nombreux processus liés au métabolisme et à la résistance au stress.

Références
Article publié par Jérôme Goudeau et Hugo Aguilaniu, du LBMC, dans le journal Aging Cell
.http://www.ens-lyon.fr/LBMC/web/nav/article.php?id=108

http://anti-vieillissement.info/theories.html

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Quels sont vos meilleurs alliés naturels pour une éternelle jeunesse ?

Fruits de mer

L’acide hyaluronique est un hydrate de carbone naturel qui favorise le bon fonctionnement articulaire et la réparation des tissus. Nos corps est né avec de l’acide hyaluronique cependant en vieillissant, nos réserves d’acide hyaluronique diminuent lentement. Connu sous le nom de la “Fontaine de Jouvence ”, l’acide hyaluronique est un nutriment essentiel qui renforce efficacement les yeux, la peau, le collagène et l’immunité. Voici quelques excellents aliments qui peuvent aider à booster l’acide hyaluronique:Acide Hyaluronique

L’acide hyaluronique (également appelé AH) est une molécule omniprésente dans notre corps qui se comporte comme une éponge moléculaire pour attirer, capter et retenir une grande quantité d’eau dans le derme. Utilisé quotidiennement, ses pouvoirs hydratants permettent d’éliminer les ridules, de combler les rides et de restituer à la peau son aspect pulpeux rebondi et soyeux.

L’acide hyaluronique est produit naturellement dans l’organisme et contribue fortement à la jeunesse de votre peau et à la bonne santé des tissus conjonctifs (valves cardiaques, os, cartilage). Le liquide synovial, l’humeur vitrée des yeux et les fluides de l’oreille interne ont aussi besoin d’un apport régulier en acide hyaluronique. Avec l’âge cependant, sa production dans le corps chute brutalement, s’ensuit alors rides et sécheresse de la peau, manque de souplesse, raideurs et douleurs rhumatismales. De même dans l’arthrose la concentration du liquide articulaire en acide hyaluronique diminue considérablement, facilitant ainsi les lésions du cartilage dues aux contraintes mécaniques. Il s’avère alors nécessaire de combler ce manque dans l’organisme.

Aliments naturels contenant de l'acide hyaluronique

• Les viandes telles que: l’agneau, le veau, le bœuf, la dinde et le canard, tous riches en acide hyaluronique. Bien qu’il soit important de maintenir des niveaux sains de cholestérol, manger ces viandes avec modération peut aider à produire du collagène naturel, qui aide avec la cicatrisation des plaies et renforcer les tissus conjonctifs.

• L’huile de foie de morue contient de grandes quantités d’acide hyaluronique et de vitamine A, ce qui aide à combattre le vieillissement prématuré, réduire les rides et favoriser la production naturelle de la peau.

• Les fruits et les légumes riches en vitamine C contiennent également des niveaux élevés d’acide hyaluronique. Des fruits et des légumes tels que: le brocoli, le kiwi, le chou frisé et les fraises peuvent aider à renforcer les fonctions oculaires, favoriser la cicatrisation naturelle des plaies et protéger la peau des dommages des radicaux libres.

• Les épices et le poivre contiennent une quantité importante de nutriments sains qui peuvent être bénéfiques pour votre santé et votre bien-être en général. Le persil, la coriandre, les poivrons rouges et verts peuvent offrir à votre corps de l’acide hyaluronique qui peut renforcer l’immunité, stimuler le métabolisme et favoriser la santé de lMielie Miel de Manuka et wakame Phytessence

Pour garder à la fois l'acide hyaluronique et le collagène à des niveaux élevés (ce qui maintient notre peau plus jeune) que nous devons faire deux choses:

1. Rendre le corps à créer plus (dans le cas du collagène)
2. Prévenir les dégâts de l'offre actuelle de ces deux substances dans le corps

Comment pouvez-vous aider de votre corps à créer plus de collagène?

Le meilleur moyen est l'utilisation d'utiliser un type spécial de miel appelé Miel de Manuka Actif. Le miel de Manuka est un produit naturel de collagène enhancer, et stimuler naturellement votre corps pour créer plus de collagène.

Votre meilleur pari si vous voulez pour inhiber la hyaluronidase est d'utiliser wakame Phytessence.

Phytessence wakame est la forme extrait et séché du varech wakame de la mer. Les Japonais ont utilisé cette algue comestible comme aliment de base et de la médecine pour des centaines d'années. Selon "Encyclopedia of Natural Medicine," la peau saine des femmes japonaises peut résulter de la consommation de wakame phytessence dans le régime alimentaire typiquement japonais. Phytessence wakame est une plante riche en nutriments qui a plusieurs avantages pour la santé supposés. En plus de manger la forme première de l'algue ou de consommer un supplément, vous pouvez également appliquer cette varech à votre peau par voie topique. Vous devriez parler avec un médecin, cependant, avant d'utiliser tout supplément wakame phytessence orale ou topique.

Propriétés de Phytessence Wakame

Phytessence wakame contient de nombreux nutriments dont les vitamines, minéraux, acides aminés, acides gras essentiels et d'antioxydants. Plus précisément, wakame wakame contient des vitamines A, C, E, K, acide folique et riboflavine et minéraux sodium, fer, potassium et calcium. En outre, Phytessence Wakame contient les antioxydants et les acides aminés tryptophane, la thréonine, la leucine, la valine, l'alanine, l'acide aspartique et l'acide glutamique. En outre, wakame wakame contient plusieurs composés dont pilyfucose sulfatées qui peuvent protéger votre peau contre les rayons UV et la pollution.

Acide Hyaluronique

Hyaluronidase est une enzyme qui décompose un acide dans votre peau appelée acide hyaluronique. Lorsque l'acide hyaluronique se combine avec le collagène et élastique dans votre peau, l'acide hyaluronique aide à garder votre peau lisse et élastique et jeune. Phytessence wakame contient pilyfucose sulfaté, une substance qui protège l'acide haluronic dans votre peau de l'enzyme hyaluronidase. Ainsi, wakame phytessence prend également en charge une peau saine.

Antioxydant

Les radicaux libres dans la forme de toxines alimentaires et sous-produits environnementaux nuisent non seulement l'épiderme de votre peau, mais aussi le reste de votre corps au niveau cellulaire. Ayant des niveaux adéquats d'antioxydants dans votre corps peut aider à vous protéger contre ces radicaux libres nocifs. Phytessence wakame est riche en antioxydants qui aident à protéger votre corps et favorisent la santé cellulaire globale générale.

Inflammation

Inflammation dans votre peau peut briser la structure des protéines de votre peau. Cette rupture et la réparation constante peuvent vieillir votre peau et rendre votre peau un aspect plus ancien que ce est. En outre, l'inflammation dans d'autres parties de votre corps peut entraîner des problèmes de santé, y compris l'arthrite et les troubles de vos organes internes. Phytessence wakame est aussi un anti-inflammatoire qui peut réduire l'inflammation de la surface de votre peau et l'inflammation dans d'autres parties de votre corps. Propriétés anti-inflammatoires de Phytessence wakame résultent des vitamines du complexe B trouvés dans cette algue.

http://www.jouvea.org/alimentaires-hyaluronique-a04460159.htm

http://www.docpinck.com/quels-sont-les-avantages-pour-la-sante-de-phytessence-wakame/

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