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maladie

Les notions de maladie et de soins en Islam


Islam - L'épreuve de la maladie par al_ikhlas


Pour traiter ce sujet, nous avons trois sources, le Coran avec de nombreux versets sur la maladie, le hadith et traditions se rapportant au prophète ainsi que la pratique et traitements de l'époque ; Enfin, les oeuvres des savants musulmans sur la maladie, et principalement « ZAAD AL MAAD » d'IBN QAYYIM AL JAWZYYA ».
Ce livre rapporte les enseignements du prophète éclairant plusieurs domaines de la vie du croyant. Une grande partie de cette oeuvre traite des questions médicales : Les soins, le malade, et bien entendu, les recommandations du prophète à ces propos.
Le Coran évoque la maladie, et autres états en découlant, dans 25 versets. Il ressort de l'analyse de ces versets, qu'il y a deux catégories de maladies : Celles de la foi, citées 12 fois, dues à l'éloignement de Dieu ou l'égarement, et celles corporelles ou physiques, 13 fois.
IBN QAYYIM parle de l'intérêt des soins spirituels pour les perversités de la foi, et de la nécessité de soins médicaux pour les maladies du corps.
Dans la conception islamique, la maladie est considérée comme une épreuve divine. Or, l'épreuve est en fait une notion générale qui ne concerne pas uniquement la maladie. La vie de l'homme sur terre, n'est-elle pas justement la véritable épreuve ?
Il en découle que le musulman doit être patient. Le prophète n'a-t-il pas dit : « la patience est la moitié de la foie ». Mais cette patience ou compassion pour son prochain, ne doit pas exclure ou négliger la recherche du soin adéquat.
La nécessité des soins est indiquée dans plusieurs hadiths. Le prophète a répondu à des bédouins qui venaient lui demander : « Envoyé de Dieu, devons-nous nous soigner ? », « Oui, sujets d'Allah, soignez-vous car Allah, le puissant et le grand, n'a créé de maladie sans lui avoir associé un remède, à l'exception d'une seule ». Ils s'interrogèrent : « Laquelle ? » Le prophète répliqua : « c'est la vieillesse ».
Une deuxième hadith de MOSLIM rapporte : « pour chaque maladie il y a un remède. Quand le remède est compatible avec la maladie, il va la guérir, avec la permission de Dieu, Gloire et puissance à lui ».
Un troisième hadith : « A toute maladie un remède. Le traitement vaincra la maladie, et le souffrant se rétablira avec la permission de Dieu, à lui la puissance et la gloire ». Quand le remède est compatible avec la maladie, celui-là va la guérir avec l'aide de Dieu.
Un quatrième hadith dit : « Dieu n'a fait descendre une maladie sans avoir, en même temps, fait descendre son remède dont certains ont eu connaissance alors qu'il est demeuré inconnu pour d'autres ». Ainsi que l'homme arrive à connaître ou non ce remède, le remède existe.
Pour commenter ces hadiths qui contiennent beaucoup d'enseignements :
1ère Conclusion :
IBN QAYYIM rapporte que le fait de remettre à Dieu ne s'oppose pas à la nécessité de prendre tous les moyens de soins adéquats lorsqu'on est atteint d'une maladie. Au Contraire, il considère que le sens véritable de la confiance en Dieu est de se remettre à lui en prenant toutes les dispositions nécessaires pour atteindre ce qu'on cherche. Ainsi, en islam, il n'existe pas de contradiction entre la notion de remettre à Dieu et le fait de disposer de tous les moyens disponibles de la vie courante ( pas uniquement de se procurer les soins adéquats à sa maladie ».

2ème Conclusion :
Dans le hadith « A toute maladie, un remède ». Cela signifie pour IBN QAYYIM une incitation à chercher un remède, à commencer par le malade lui-même qui dans sa requête de soins va s'attacher à un traitement potentiellement existant et capable de le guérir, arrivera déjà à vaincre le désespoir et trouvera la force pour lutter contre la maladie. Dans ce hadith, le médecin doit être confiant puisque la maladie à son anti-dote, le remède. Lui aussi va déployer tous ses efforts à la recherche de ce remède.
3ème Conclusion :


la maladie 2éme partie ''islam'' par jamal61

Il ne suffit pas de trouver le remède et que celui-ci soit compatible avec la maladie. Il existe d'autres conditions supplémentaires pour aboutir à la guérison, notamment l'état du malade qui va recevoir ce remède et le dosage de ce dernier...
Le Coran accorde des dérogations pour aider le malade dans ses pratiques religieuses. Pour le jeûne ; « Celui, qui par suite d'une maladie ou d'un déplacement, aura manqué des jours de jeûne, devra les remplacer » verste 185, sourate 2 . Donc Dieu ordonne au malade d'accomplir son jeûne en cas de maladie.
Pour l'ablution, elle est remplacée par la purification sèche ou ablution pulvérale (taymmum) : « Si vous êtes malades ou en voyage, ou si vous venez de satisfaire un besoin, ou si avez eu des rapports avec vos femmes et que vous manquiez d'eau, cherchez de la terre propre » verset 6, sourate 5.
Pour les pèlerins, Dieu a permis au malade, ainsi qu'à celui qui souffre d'une affection de la tête ou autre de se raser durant l'Ihram : Celui qu'une maladie ou infection du cuir chevelu obligera à se raser, devra se racheter par temps de jeûne, une aumône ou un sacrifice » verset 197, sourate 2.
Commentant ces dérogations accordées aux malades, IBN QAYYIM dit que le principe de la médecine des corps se base sur trois fondements :
Préserver la bonne santé, la restriction pour ne pas aggraver la maladie, l'évacuation des substances nuisibles en ordonnant de couper les cheveux dans les cas d'infection dermatologique pour un pèlerin.
Il faut retenir également de ces versets que la religion musulmane considère que la préservation de la bonne santé et la nécessité de soins justifient une souplesse dans les prescriptions religieuses sans utiliser les substances interdites et illicites dans le traitement.
Le prophète a dit dans un hadith rapporté par EL BOUKHARI : « Dieu n'a pas mis votre guérison dans qu'il vous a interdit ».
IBN QAYYIM rapporte quelques règles pour préserver une bonne santé :
- Une alimentation saine, diversifiée, équilibrée, pas trop abondante et respectant les règles d'hygiène. En elle-même, c'est un traitement préventif.
- La prévention pour éviter la maladie.
- Pratique du sport qui permet de dégager les surplus entassés dans le corps. Le prophète a recommandé les activités sportives : La course à pied, la natation, l'équitation, le tir ...

Le statut du malade en islam
Le Statut du malade en islam doit répondre à 4 principes selon IBN QAYYIM :
- Le malade, dans le droit musulman, jouit de tous ses droits légaux. IBN EL KAUDAMA dit dans son livre EL MOUGHNI : « Celui qui ne perd pas sa raison, ses transactions et ses actions sont valables ».
- L'allègement des prescriptions religieuses.
- L'état psychique du malade.
- L'importance du médecin habile : Il ne doit pas se focaliser uniquement sur la maladie, mais prendre en compte l'environnement, les habitudes, l'âge et le pays du malade. Il doit adopter une stratégie ouvrant plusieurs possibilités de soins, et connaître l'autre partie de l'homme, qui est le côté psychique et mental.

Dr Ahmed JABALLAH

http://www.amaf-france.org/images/NotionMaladie.pdf

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Le repentir d’une personne atteinte d’une maladie incurable

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Le repentir d’un homme qui a perdu tout espoir de survivre à cause d’une maladie que l’on n’espère pas pouvoir guérir comme le cancer ou à cause de sa condamnation à mort et l’imminence de son exécution, puisque le bourreau a déjà dégainé son épée ou parce que l’on a commis l’adultère et mérite la capitation, même si les pierres à utiliser sont rassemblées, le repentir de l’intéressé est correct, car Allah accepte le repentir d’une personne aussi long temps que son âme ne commence pas à quitter son corps, compte tenu de propos du Très Haut : « Allah accueille seulement le repentir de ceux qui font le mal par ignorance et qui aussitôt se repentent. Voilà ceux de qui Allah accueille le repentir. Et Allah est Omniscient et Sage. » (Coran, 4 :17 ) La signification de l’expression « qui aussitôt se repentent»  est qu’ils se repentent avant de mourir compte tenu des propos du Très Haut après le verset précédent : « Mais l' absolution n' est point destinée à ceux qui font de mauvaises actions jusqu'au moment où la mort se présente à l' un d' eux, et qui s' écrie: "Certes, je me repens maintenant" - non plus pour ceux qui meurent mécréants. Et c' est pour eux que Nous avons préparé un châtiment douloureux. » (Coran, 4 : 18).

Mais le repentir requiert cinq conditions :

- la sincérité ;

- le regret des actes commis ;

- l’abandon immédiat de ces actes ;

- se résoudre à ne pas récidiver dans le future ;

- situer le repentir dans son temps d’acceptabilité c’est-à-dire avant l’agonie ou avant que le soleil e se lève au couchant.

 

http://islamqa.info/fr/1807

 

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Soubhana Allah; des cellules fœtales viennent à la rescousse de la mère en cas de maladie

Echange cellulaire entre le f tus et sa mere

 

Durant toute grossesse, il existe un échange cellulaire entre mère et fœtus. Des cellules souches hématopoïétiques ou mésenchymateuses constituent une partie des cellules fœtales transférées dans la circulation maternelle et pourraient constituer un réservoir de cellules. .

Les échanges entre le sang de l'enfant et celui de sa mère se fait par l'intermédiaire du placenta, auquel l'embryon est relié via le cordon ombilical.

Le placenta (gâteau en latin) est l'organe reliant le futur bébé et le corps maternel au niveau de l'utérus, permettant les échanges entre le futur bébé et la mère. De plus, il produit les hormones de la grossesse. A terme, c'est un disque de 20 cm de diamètre, de 3 cm d'épaisseur et pesant environ 500 g.

Grâce à la membrane des villosités placentaires (Replis du tissu placentaire qui baignent dans le sang maternel, permettant les échanges entre la mère et le fœtus), le sang maternel et celui du fœtus restent toujours séparé. Ces villosités forment un filtre.

Chaque heure, 4 litres de sang sont filtrés par le placenta. La plupart des bactéries sont arrêtées mais certains virus (par exemple celui responsable de la toxoplasmose) passent la barrière placentaire. C'est aussi le cas de certaines drogues et du tabac. Il ne faut prendre aucun médicament sans connaître le risque de passage et de l'effet éventuel sur le fœtus.

Le cordon ombilical relie le nombril du futur bébé au placenta (et non pas au nombril de la maman comme on l'imagine parfois...). Les veines du cordon ombilical puisent du sang oxygéné et plein de nutriments dans le placenta et l'artère ombilical rejette le sang chargé de déchets et de dioxyde de carbone du fœtus.

Echange cellulaire entre le fœtus et sa mère

Durant toute grossesse, il existe un échange cellulaire entre mère et fœtus. Des cellules souches hématopoïétiques ou mésenchymateuses constituent une partie des cellules fœtales transférées dans la circulation maternelle et pourraient constituer un réservoir de cellules. .

Une cellule souche est une cellule indifférenciée, capable de s'autorenouveler, de se différencier en d'autres types cellulaires et de proliférer en culture. Les cellules souches sont issues soit de l'embryon, soit du fœtus, soit de tissus adultes avec ou sans transformation, elles peuvent aussi être obtenues par transfert de noyau. Grâce à ces propriétés, elles peuvent servir à régénérer ou recréer des tissus détruits : c'est la thérapie cellulaire.

Rôle des cellules souches

Les cellules souches ont différentes fonctions dans les organismes.

À l'état fœtal ou dans les premières phases du développement embryonnaire, elles se multiplient pour générer peu à peu toutes les cellules du corps, qu'elles soient différenciées ou non.

Dans les tissus adultes, les cellules souches sont beaucoup plus rares et regroupées dans des régions particulières des organes. Elles contribuent au renouvellement naturel des tissus (un globule rouge vit en moyenne 120 jours et doit être remplacé, par exemple) ou à leur réparation en cas de lésion. Cependant, tous les organes n'en sont pas pourvus, comme le cœur et le pancréas.


Des Cellules du Fœtus Survivent dans le Sang Maternel

C'est vrai : des cellules fœtales peuvent franchir la barrière que le placenta constitue entre la mère et son enfant. On le sait depuis la découverte en 1969 de cellules masculines (porteuses du chromosome Y) dans le sang de femmes enceintes de garçons.

Nornalement, des cellules fœtales ne devraient pas pouvoir passer la barrière du placenta, censée n'autoriser que les échanges nécessaires à la nutrition et à l'oxygénation du fœtus à travers les vaisseaux sanguins maternels et fœtaux qui s'y côtoient étroiement. Et quand bien même elles y parviendraient, elles devraient être immédiatemenl éliminées par le système immunitaire maternel, puisque son rôle est de traquer dans l'organisme tout élément étranger.
Comment sont-elles alors arrivées là ? Eh bien, cela reste un mystère complet ! Il est vrai que la présence de ces cellules est difficile à étudier. "En eflet, il n'y a que de une à trois cellules fœtales par millilitre de sang maternel, dans lequel elles sont mélangées à 10 millions de globules blancs et 5 milliards de globules rouges", explique Patrizia Paterlini, de l'unité Inserm carcinogenèse hépatique et virologie moléculaire de l'hôpital Necker, à Paris. Plusieurs types de cellules s'échappent ainsi du fœtus : des globules blancs et rouges, des cellules du placenta (lui-même constitué de cellules fœtales et de cellules maternelles), et des cellules "précurseurs" qui peuvent donner naissance à plusieurs types de cellules sanguines. Et le plus étonnant, c'est que ces dernières peuvent persister dans l'organisme maternel après l'accouchement pendant... des décennies ! A tel point qu'on a trouvé des cellules fœtales dans le sang d'une femme ayant accouché 51 ans auparavant. Phénomène également observé en cas de fausse couche ou d'avortement.
On a d'abord cru que ces cellules baladeuses s'attaquaient à la mère, un peu comme des cellules greffées détruisent parfois l'organisme qui les accueille (c'est la réaction du greffon contre l'hôte). Dans ce scénario, les cellules fœtales étaient alors désignées comme l'origine d'un dérèglement du système immunitaire, causant des maladies auto-immunes telles que le lupus ou la sclérodermie. D'ailleurs, les femmes souffrant de sclérodermie ont de 20 à 50 fois plus de cellules fœtales dans le sang que les femmes en bonne santé. "Cette hypothèse est possible, mais d'autres facteurs entrent forcément en jeu dans le déclenchement de ces maladies", tient à souligner Diana Bianchi, du Tufts University School of Medicine à Boston, qui penche pour un rôle autrement plus positif des cellules fœtales. Un rôle crucial, même : elles pourraient constituer une réserve de cellules souches venant à la rescousse de la mère en cas de maladie. Un mécanisme qui a été mis en évidence chez la souris. "On sait avec certitude que les cellules fœtales se dirigent vers des tissus préalablement lésés, comme le foie, et qu'elles les réparent en créant un tissu sain", explique Diana Blanchi.

UNE ARMÉE DE CELLULES FŒTALES

Dans la peau, elles peuvent créer de nouveaux vaisseaux sanguins ; et dans le cerveau, de nouveaux neurones. Car c'est là toute leur qualité : elles sont capables de se différencier en fonction du tissu malade qui les recrute". Ce qui expliquerait d'une tout autre manière le fort taux de cellules fœtales présentes en cas de maladie auto-immune : sorte d'armée appelée en renfort, ces cellules constitueraient une véritable thérapie cellulaire qui, pour Diana Bianchi, "conférerait un avantage évolutif aux femmes ayant enfanté".
Mais si leur rôle semble aujourd'hui éclairci, leur capacité à échapper au système immunitaire de la mère reste, elle, une énigme. Pour réussir à circuler librement, les cellules fœtales empêchent peut-être certaines protéines, susceptibles de révéler leur imposture, de s'afficher à leur sufface, et passent ainsi inaperçues du système immunitaire... mais pas des médecins. De fait, tandis que se poursuivent les recherches fondamentales, ces derniers sont aujourd'hui capables d'isoler ces cellules et de les utiliser pour effectuer un diagnostic précoce du fœtus à pàrtir d'une simple prise de sang de la mère.

http://planete.gaia.free.fr/animal/homme/bio.embryon/cellules.foetus.html

http://e-sante.futura-sciences.com

http://www.chambon.ac-versailles.fr/science/sante/repr/bb.htm

 

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Tomber malade à cause des « courants d’air » n'est que du vent !

Rhume

« Ferme cette porte ! Y’a un courant d’air ! Tu vas nous faire attraper la mort ! » « J’ai mal au dos ! Ce doit être un courant d’air ! »

Le courant d’air est un peu le croque-mitaine de la médecine. Personne ne le voit, mais il serait la cause de beaucoup de nos maux : rhume, grippe, lumbago, etc.

Pour les maladies infectieuses (rhume, angine, etc.), voir Prendre froid. Le frisson ressenti n’est pas dû à un courant d’air, mais à l’attaque traîtresse et lâche du microbe qui a réussi à s’insinuer subrepticement dans votre organisme.

Un rhume également appelé rhinite ou coryza aigu est occasionné, pour rappel, par un virus. Contrairement à une idée reçue, le froid, une chute brusque des températures, une météo glaciale ou encore des courants d’air n’entraînent pas de rhume…mais plutôt un virus qui sera dans les parages. Mais pourquoi souffre-t-on dès lors davantage de rhume et/ou de refroidissement en hiver ? La chute du thermomètre n’est pas à incriminer mais bien le fait que de nombreuses personnes restent cloîtrées à l’intérieur dans des espaces relativement confinés, restreints. Vu leur proximité, ils augmentent ainsi le risque de contagion.

Plus le nombre de personnes est grand dans un espace confiné, plus le risque de transmettre et/ou d’attraper un virus sera élevé. Notez que l’on dénombre environ une centaine de virus qui peuvent occasionner un rhume voire un refroidissement. Ces virus, comme pour toute infection virale, sont fortement contagieux. Il suffit que quelqu’un d’enrhumé éternue et que les particules virales soient respirées dans l’air ou encore de serrer la main d’une personne malade qui vient par exemple de se moucher sans avoir pris la peine de se laver les mains pour être contaminé. A ce titre, les poignées de porte, les robinets, les claviers d’ordinateur, les gsm, les clés sont de grands vecteurs de contamination.

Nous savons aussi depuis le début du siècle que le fait de faire du courant d’air en ouvrant portes et fenêtres permet de diminuer la concentration microbienne dans les pièces. Donc, non seulement les courants d’air ne sont pas la cause des maladies, mais au contraire ils les dispersent.

Pour les lumbagos et autres douleurs musculaires, le muscle est lésé par l’effort et non par le courant d’air. Le froid sur le muscle lésé ne fait qu’aggraver la sensation douloureuse

 

http://tatoufaux.com/?Les-courants-d-air

http://www.passionsante.be/INDEX.cfm?fuseaction=art&art_id=8221

 

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Soubhana Allah, la langue renseigne sur la maladie

 

La langue est située dans la cavité buccale et mesure chez l'homme environ dix centimètres. Elle est divisée en deux : la racine et le corps. Elle prend naissance au niveau de l'os hyoïde. La langue possède quinze muscles qui sont par paire sauf le muscle longitudinal supérieur.

La langue a plusieurs fonctions mais elle nous permet surtout de reconnaitre les différentes saveurs grâce aux papilles gustatives qui la recouvrent. La langue nous sert aussi à mastiquer les aliments, à déglutir la salive et autres liquides et aussi, elle nous aide à parler grâce à ses différentes positions.

Normalement, la couleur de la langue est rose. Cependant, de nombreuses affections digestives ou infectieuses peuvent entraîner une coloration blanchâtre de celle-ci. Voici donc, ci-dessous, une liste des pathologies susceptibles d'entraîner le blanchiment de la langue.

- Un trouble digestif, lié à la consommation de boissons alcoolisées ou d'aliments gras.

- Un excès alimentaire (crise de foie): repas copieux et bien arrosé.

- Les leucoplasies, qui sont des lésions blanches de la muqueuse buccale (des plaques ou taches). Leur cause la plus fréquente est le tabagisme. 

- Les candidoses dues à la présence de champignons de type candida albicans. Ce type de champignons se développe surtout sur des terrains fragiles comme chez des sujets âgés, nourrissons, diabétiques, déficients immunitaires.

- Le lichen plan qui est une maladie bénigne de la peau et des muqueuses très répandue chez les personnes de plus de 30 ans. Ce lichen blanc buccal siège la plupart du temps sur la joue et la langue et forme de nombreuses petites lignes blanches. Il donne lieu de temps en temps à une sensation de brûlure ou un goût métallique dans la bouche.

 

 

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