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pensées

Sommes-nous tenus responsables de nos pensées ?

Dans le Coran, Dieu — Exalté soit-Il — dit : « Que vous manifestiez ce qui est en vous ou que vous le cachiez, Allâh vous en demandera compte. » [1] D’un autre coté, le Prophète — paix et bénédictions sur lui — a dit : « Allâh a pardonné aux membres de ma communauté leurs mauvaises pensées, tant que ces pensées ne sont pas mises à exécution ni commises. » Ce récit est rapporté par Al-Bukhârî etMuslim. Ce verset est il abrogé ? Finalement, dans quelles circonstances avons-nous à rendre des comptes pour nos pensées ?

Si nous prêtons attention à la réaction des compagnons du Prophète — que Dieu les agrée — quand le verset en question fut révélé, nous réaliserons à quel point Dieu — Exalté soit-Il — est Miséricordieux envers Ses serviteurs.

Selon l’Imâm Ahmad, Abû Hurayrah — que Dieu l’agrée — rapporta que lorsque le verset fut révélé, les Compagnons du Prophète — paix et bénédictions sur lui — furent extrêmement tristes et craignirent d’avoir à rendre compte à Dieu — Exalté soit-Il — de tout ce qui leur traverserait l’esprit. Ils allèrent voir le Prophète — paix et bénédictions sur lui —, s’agenouillèrent et lui dirent : « Ô Messager de Dieu ! Dieu — Exalté soit-Il — nous a jusqu’à présent prescrit des choses dont nous étions capables, comme la prière, le jeûne, et l’aumône. Mais concernant ce verset, nous craignons de ne pas être capables d’appliquer l’enseignement qu’il exprime. » Le prophète — paix et bénédictions sur lui — dit : « Voulez-vous marcher sur les pas des Gens du Livre qui vous ont précédé, quand ils dirent (à leurs prophètes) : “Nous avons entendu mais nous n’en ferons rien.” ? Vous devriez dire plutôt : “Nous avons entendu et nous obéissons. Pardonne-nous, Seigneur, car c’est vers Toi que sera le retour !” »

Sur ce, les Compagnons se soumirent humblement à l’ordre de Dieu transmis dans ce verset. Puis, Dieu — Exalté soit-Il — révéla le verset : « Le Messager croit pleinement à ce que lui a révélé son Seigneur, ainsi que les fidèles. Tous ensemble croient en Allâh, à Ses anges, à Ses Écritures et à Ses Messagers, (en disant :) “Nous ne faisons aucune distinction entre Ses Messagers” et ils dirent : “Nous avons entendu et nous avons obéi. Pardonne-nous, Seigneur, car c’est vers toi que tout doit faire retour !” » [2]

Puis, Dieu — Exalté soit-Il — abrogea le verset en question en révélant : « Allâh n’impose point à nulle âme que ce dont elle est capable. Tout bien qu’elle aura accompli jouera en sa faveur, et tout mal qu’elle aura commis jouera contre elle. « Seigneur ! Ne nous tiens pas rigueur de nos omissions ni de nos erreurs ! Seigneur ! Épargne-nous les terribles épreuves que Tu as fait subir à nos prédécesseurs ! Seigneur ! Ne nous impose pas d’obligations qui soient au-dessus de nos forces ! Accorde-nous Ton pardon, fais-nous remise de nos péchés et fais-nous miséricorde ! Tu es notre Seigneur ! Accorde-nous la victoire sur les peuples infidèles ! » [3]

Selon les deux Sommes Authentiques d’Al-Bukhârî et Muslim, Abû Hurayrah — que Dieu l’agrée — rapporta :

Le Messager de Dieu — paix et bénédictions sur lui — dit, « Allâh — Exalté soit-Il — dit (dans un hadith transcendant) : “Chaque fois que Mon serviteur a l’intention de faire une mauvaise action alors, vous les Anges, n’inscrivez rien à moins qu’il mette son intention à exécution ; s’il l’exécute, alors inscrivez lui une mauvaise action. Mais, s’il a l’intention de faire une bonne action et qu’il ne l’a met pas à exécution, alors inscrivez lui une bonne action (dans son registre), et s’il l’exécute, alors inscrivez lui dix bonnes actions.” »

Muslim rapporta également, d’après Abû Hurayrah, que le Messager de Dieu — paix et bénédictions sur lui — dit : « Allah — Exalté soit-Il — dit (dans un hadith transcendant), « Chaque fois que Mon serviteur a l’intention d’accomplir une bonne action mais ne met pas sa pensée à exécution, elle lui est inscrite comme une bonne action, mais s’il la met à exécution, elle lui est inscrite entre dix et soixante dix bonnes actions. Lorsqu’il a l’intention de commettre une mauvaise action mais ne l’a finalement pas exécutée, rien n’est inscrit dans son registre. Mais s’il la commet, on lui inscrit une mauvaise action. »

De nombreux hadiths furent rapportés à ce sujet. Ceci indique que Dieu — Exalté soit-Il — révéla le verset en question en guise d’épreuve pour tester la confiance et la soumission des Compagnons du Prophète — que Dieu les agrée —, et ils ont prouvé qu’ils étaient à la hauteur de la confiance de Dieu — Exalté soit-Il —. En conséquence, Le Tout-Puissant, de par Sa Miséricorde et Sa Clémence, dissipa leurs inquiétudes et décréta qu’ils n’auront pas à rendre compte de leurs pensées intimes.

Ainsi il n’y a pas de contradiction entre le verset et le hadith en question. Car le verset a été abrogé par le verset qui le suit et dont le contenu est en adéquation avec le sens du hadith.

Réponse de Sheikh Ahmad Kutty

De plus, Sheikh Ahmad Kutty, un maître de conférence et un savant musulman à l’institut islamique de Toronto, Ontario, Canada, développe davantage la notion de la responsabilité de l’individu vis-à-vis de ses pensées disant :

« Nos pensées peuvent être divisées en différentes catégories :

Le dialogue interne incessant et les pensées futiles qui accablent nos esprits et sur lesquelles nous n’avons aucune emprise,

les pensées que nous nourrissons,

les intentions que nous formulons à partir de ces pensées.
Nous ne sommes pas responsables pour la première catégorie, c’est-à-dire les pensées spontanées, car nous n’avons aucune emprise sur elles, à moins que nous ressassions ces pensées et les entretenions dans nos têtes. Nous sommes responsables si nous les ressassons. De même, nous sommes responsables des intentions découlant de nos pensées et que nous formulons délibérément. »

Réponse de Sheikh 'Atiyyah Saqr

Par ailleurs, Sheikh 'Atiyyah Saqr, l’ancien président de la Comission de Fatwâ d’Al-Azhar dit :

« Dieu — Exalté soit-Il — ne demande pas de compte à une personne pour ses pensées sauf dans deux cas :

Premièrement, si une personne est déterminée fermement à mettre en pratique ses pensées. Ceci est clairement explicité dans le hadith du Prophète : « Si deux musulmans croisent leurs épées l’un contre l’autre, alors tous les deux, à savoir le tueur et le tué, iront en enfer. » Je (le narrateur) dis : « Ô Messager d’Allâh, Cela se comprend pour le tueur, mais pourquoi est-ce le cas pour celui qui est tué ? » Il dit : « Celui qui est tué avait le désir de tuer son adversaire. » [4]

Deuxièmement, lorsque l’individu met ses pensées à exécution. Le Prophète — paix et bénédictions sur lui — dit : « Allâh a pardonné aux membres de ma communauté leurs mauvaises pensées, tant que ces pensées ne sont pas mises à exécution ni commises. » [5]

L’individu est tenu responsable de son intention de commettre une mauvaise action si ce qui l’en empêche c’est son incapacité à l’exécuter ou la crainte des autorités. Mais si ce qui l’en empêche c’est la piété et la crainte de Dieu, alors Dieu ne lui en demandera pas de compte. Au contraire, il gagnera une rétribution pour avoir lutté contre ses mauvais penchants. Ceci dissipe tout semblant de contradiction entre les textes. »

Et Dieu est le plus savant.

P.-S.

Traduit de l’anglais du site islamonline.net.
Notes

[1] Sourate 2, Al-Baqarah, La génisse, verset 284.

[2] Sourate 2, Al-Baqarah, La génisse, verset 285.

[3] Sourate 2, Al-Baqarah, La génisse, verset 286.

[4] Rapporté par Al-Bukhârî et Muslim.

[5] Hadîth rapporté dans les six recueils authentiques de Hadiths, et expliqué par l’Imâm Ibn Kathîr.

 

http://www.islamophile.org/spip/Sommes-nous-tenus-responsables-de.html

 

 

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Peut-on augmenter les capacités du cerveau et pirater les pensées?

Pirater le cerveau pour en extraire des informations
Des interfaces cerveau-machine seraient capables d'accéder à des informations présentes dans nos cerveaux. En effet, des chercheurs ont récemment montré qu'il est possible d'utiliser des interfaces neuronales directes pour accéder aux données stockées dans notre mémoire.

Si les pirates informatiques s'attaquent d'habitude à nos boites e-mail, nos ordinateurs personnels et plus récemment à nos smart-phones, ils pourraient bientôt s'attaquer directement à nos cerveaux. En effet un groupe de chercheurs des universités d'Oxford, de UC Berkeley et de Genève ont récemment découvert qu'il était possible d'extraire des informations de nos cerveaux grâce à un type particulier de périphériques d'ordinateur : les interfaces cerveau-machine, également appelées interfaces neuronales directes.


Interfaces cerveau-machine
Les interfaces cerveau-machine sont constituées d'un ensemble d'électrodes qui s'adaptent sur la tête pour y capter les ondes cérébrales (signaux électriques émis par le cerveau en activité). Ces appareils ont dans un premier temps été développés pour des applications médicales, avant d'être récemment adaptés au domaine des jeux vidéo. En effet, ces interfaces cerveau-machine viennent s'ajouter aux autres périphériques (souris, clavier, joypad) pour améliorer l'expérience du joueur; par exemple en adaptant le déroulement du jeu en fonction de l'état émotionnel de l'utilisateur (satisfaction, ennui, frustration, etc ...).

Les ondes cérébrales P300

Parmi les ondes cérébrales que ces appareils sont capables de capter, les chercheurs ont utilisé un signal particulier appelé P300. Le signal P300 est observé chez des sujets classifiant des stimuli (images, sons) en fonction d'une tâche à accomplir. Par exemple, si l'on fait défiler sur un écran une série aléatoire de nombres entre 0 et 9 et que l'on demande à un sujet de compter le nombre de fois où le nombre de 5 apparaît, un pic du signal P300 sera observé à chaque affichage du nombre 5. Ceci vient du fait que le cerveau va classifier le nombre 5 comme pertinent à sa tâche courante, tandis les autres nombres seront considérés comme non-pertinents.
Attaque par force brute
Afin d'extraire des informations du cerveau, les chercheurs ont employé une attaque dite "par force brute". Ce type d'attaque, habituellement utilisé pour retrouver des mots de passe et codes secrets, consiste à essayer toutes les possibilités. Par exemple pour deviner un code secret composé de 4 chiffres, une attaque par force brute consistera à essayer toutes les combinaisons de 4 chiffres (il y en a 10 000). Ceci est similaire à la recherche de la clef qui ouvre une serrure donnée. La méthode par force brute consiste à essayer tour à tour les clefs à notre disposition; la bonne clef sera celle qui permettra de déverrouiller la serrure.

Ce principe a été adapté en soumettant des informations visuelles au sujet et en observant sa réaction en terme de signaux P300. Une des expériences a consisté à afficher la question "quel est votre date de naissance ?", puis d'afficher un par un les 12 mois de l'année dans un ordre aléatoire. On déduit alors le mois de naissance du sujet comme étant le mois correspondant au pic d'intensité maximum du signal P300. Cette attaque a été déclinée pour cibler d'autres informations personnelles telles que le premier chiffre de notre code PIN, notre quartier de résidence, des visages familiers ou encore notre banque.


Voyage dans l'espace-temps [ Peut-on pirater le... par LPDE

Ces expériences ont permis d'extraire efficacement ces informations du cerveau des sujets sans autre source que les ondes cérébrales. Par exemple pour le mois de naissance, le système devine correctement dans 60% des cas alors que sans l'information fournie par l'interface cerveau-machine il n'y a que 8,33% de chance (une sur douze) de tomber juste.
Menaces sur la vie privée et la sécurité
Les interfaces cerveau-machine pour un usage général n'en sont qu'à leurs début. A la lumière de ces travaux, il convient de sérieusement considérer les menaces que font peser ces appareils sur la vie privée et la sécurité des utilisateurs. En effet on pourrait facilement imaginer un jeu vidéo intégrant un programme malicieux qui extrairait des informations personnelles, en stimulant le joueur avec des images ou des sons incrustés dans le jeu. Ce type de menace est d'autant plus inquiétant qu'elles peuvent s'effectuer à l'insu des utilisateurs et accéder à des informations extrêmement sensibles qui sont uniquement stockées dans le cerveau comme des mots de passe, mais aussi des informations personnelles telles que l'orientation sexuelle ou des secrets intimes.

Entretien avec un des auteurs
Daniele Perito est docteur en informatique et actuellement chercheur post-doctorant à l'université de UC Berkeley en Californie. Il est un des auteurs de ce travail et a bien voulu répondre à mes questions.

- C'est un travail de recherche très original; comment l'idée vous est-elle venue ?
C'est Ivan Martinovic qui en est à l'origine. Il m'en a fait part l'année dernière et elle m'a tout de suite plu. J'ai pensé que c'était une idée incroyablement futuriste, mais que c'était également quelque chose qui deviendrait intéressant dans les années à venir, à mesure que les interfaces cerveau-machine se démocratiseraient.

- Ce travail touche à plusieurs domaines scientifiques et a requis la collaboration de 5 coauteurs. Quelle est votre spécialité et comment avez-vous contribué à cette découverte ?
Nous sommes tous dans le domaine de la sécurité informatique à l'exception de Tomas Ros qui est un spécialiste en neurosciences et qui nous a aidé à comprendre son domaine de prédilection. Pour ma part, je me suis chargé de la définition du protocole expérimental ainsi que de la réalisation des expériences sur les participants.

- Le système que vous avez développé n'est pas parfait et commet parfois des erreurs. Qu'est-il possible de faire pour améliorer ses performances, et quelle précision peut-on espérer ?
Les instruments destinés à la recherche [en neurosciences] ont une précision beaucoup plus élevée que ceux que nous avons employés; mais ils sont également beaucoup plus chers. Cependant, de nombreuses sociétés travaillent afin de mettre sur le marché des appareils aux performances similaires mais à des coûts beaucoup plus faibles. Je pense que cela va devenir un domaine très excitant dans un futur proche.

- Quelles sont les conséquences d'une telle découverte sur nos vies ?
Aucune pour le moment. Parce que pour l'instant les interfaces cerveau-machine ne sont pas entrées dans notre quotidien et que la précision et la discrétion de ces attaques sont faibles. Cependant, la précision de ces appareils va augmenter très rapidement. Cela veut dire que leur usage va se généraliser en même temps que leur capacité à collecter des informations. Lorsque nous en seront rendu à ce point, il faudra réfléchir à des moyens de limiter les fuites d'informations personnelles.

- Les ordinateurs possèdent des protections contre ce type d'attaques. Dans le cas de nos cerveaux, existe-t-il aussi des moyens pour le protéger ?
Je pense que nous aurons besoin de techniques similaires à celles que nous utilisons aujourd'hui pour les systèmes informatiques. C'est à dire trouver un moyen de contrôler et limiter le flux d'informations. Ces attaques sont principalement possibles parce que des applications tierce-partie peuvent accéder directement à l'énorme source d'information que constituent les signaux bruts captés par l'interface cerveau-machine. Dans le futur, ces applications ne devront avoir qu'un accès restreint via une interface afin de ne leur communiquer que certaines caractéristiques des ondes cérébrales et d'en cacher le reste.

Liens :
- Page de la présentation à USENIX SEC : https://www.usenix.org/conference/usenixsecurity12/feasibility-side-channel-attacks-brain-computer-interfaces
- L'article original : https://www.usenix.org/system/files/conference/usenixsecurity12/sec12-final56.pdf

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Comment combattre ses pensées négatives

Comment combattre ses pensées négatives

Pour être un musulman dynamique et actif, il est extrêmement important d’adopter une mentalité positive. Une telle attitude favorise la pro-activité et vous aide à mener une vie productive. Au cas où vous n’êtes pas suffisamment positif, que vous vous sous-estimez et que vous n’êtes pas ambitieux, pensez-vous que vous serez assez enthousiaste pour atteindre vos buts en étant productif ?

Vu que beaucoup d’entre nous souffrent du manque de régularité dans l’accomplissement de leurs projets, j’ai décidé d’aborder le sujet des autosuggestions négatives. En effet, certaines personnes entament des projets de manière super-productive, tout ça pour tout abandonner en milieu de parcours. La racine du problème, ce sont les autosuggestions négatives.

Comme tout un chacun, ou presque, vous vous livrez de temps à autre à des autosuggestions négatives qui peuvent consommer votre énergie, affaiblir notre motivation et votre enthousiasme. Se débarrasser de ses autosuggestions négatives et adopter une attitude positive aident énormément à devenir une personne productive et à mener une vie plus épanouie et productive.

D’où viennent les pensées négatives ?

D’abord et avant tout, nous devons nous mettre d’accord sur le fait que les autosuggestions négatives sont l’œuvre du diable, notre ennemi juré. Il fait de son mieux pour nous détourner de ce qui nous est utile. Il essaie de nous bloquer, de nous insuffler du doute quant à notre aptitude à aller jusqu’au bout.

Ensuite, c’est lorsqu’on exagère dans la critique d’autrui et de soi-même que les autosuggestions négatives commencent à apparaître. Nous critiquons tout le monde que ce soit Barack Obama (est-il à la hauteur de ses responsabilités ?), la coupe de cheveux d’un frère (il pense qu’il a l’air cool) ou l’habit d’une sœur (ça ne me plaît pas). Pour finir par la suite à s’autocritiquer durement (je ne suis pas assez bon, je ne pourrais pas réussir, je déteste ma vie). Peu à peu, cela peut s’aggraver et devenir une habitude inconsciente.

C’en est assez !

Il y a tant de choses merveilleuses que vous pouvez faire dans votre vie. Toutefois, les autosuggestions négatives, profondément enracinées au fond de vous-même, vous empêchent d’avancer. La bonne nouvelle c’est que cette attitude est loin d’être irréversible : avec l’aide d’Allah vous pouvez positiver vos pensées et même votre état d’esprit tout entier !

1) Implorez Allah

Implorez la protection d’Allah (Soubhanahou Wa Ta’ala) contre le diable. Le prophète (que la paix soit sur lui) répétait souvent : « Ô Allah ! Je cherche refuge auprès de Toi contre l’incapacité (al-ajz) » – qui signifie l’inaptitude de quelqu’un à faire quelque chose. Et « Ô Allah ! Je cherche refuge auprès de Toi contre la paresse (al-kasl) », qui se manifeste lorsque vous voulez  accomplir une tâche mais que vous vous dites : « Je ne peux pas le faire ».

2) Ayez de la compassion dans votre approche

Nous devons développer une mentalité d’empathie qui nous incite à avancer et à aller jusqu’au bout. Ayons de la compassion pour nous-mêmes et cessons les critiques exagérés que ce soit envers autrui où bien envers nous-mêmes, sans pour autant nous prendre pour des personne quasi-parfaites, comme Satan pourrait parfois nous le faire croire. Il faut trouver la juste mesure : en cas d’échec nous devons en tirer des leçons, détecter nos faiblesses et surtout essayer à nouveau. Il faut dialoguer avec soi-même d’une façon positive et couper court aux suggestions négatives émanant d’autrui où de soi-même.  Cette empathie, et cet espoir, sont les moteurs d’une vie productive.

Lorsque vous voulez aider un petit enfant frustré à apprendre, vous devez  l’encourager avec des mots doux et réconfortants et le récompenser le cas échéant. Le critiquer ou bien le harceler aggraverait considérablement la situation. Vous devez vous traiter, ainsi que les autres, de la même manière. N’hésitez pas à vous remonter le moral ainsi qu’à vous félicitez au moindre progrès que vous accomplissez.

En intégrant cette nouvelle habitude dans votre vie, vous constaterez des changements incroyables. Moins vous jugerez les autres, moins vous vous jugerez également.

Vous devez immédiatement mettre un terme aux autosuggestions négatives. Ayez toujours confiance en Allah (Soubhana Wa Ta’ala) et ne sous-estimez pas vos capacités. Allah (Soubhana Wa Ta’ala) vous guidera sur le chemin de la productivité et vous aidera à accomplir vos objectifs.

Souvenez-vous que la vie est une toile blanche que vous pouvez peindre avec les couleurs de votre choix. Que ce soient des couleurs sombres ou claires, c’est à vous de choisir !

À propos de l’auteur :

Cet article a été gentiment rédigé par une rédactrice invitée par ProductiveMuslim.com : Dynamic Muslimah.


http://musulmanproductif.com/etre-motive-meilleur/comment-combattre-ses-pensees-negatives#more-896


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