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sommeil

Pourquoi bâiller est contagieux ?

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Ce n’est pas seulement l’action de bâiller qui est contagieuse, mais aussi le simple fait d'y penser. Probablement que plusieurs internautes étoufferont quelques bâillements en lisant la réponse qui suit...

On a longtemps cru qu’on bâillait pour alimenter notre cerveau en oxygène. Logiquement, si une personne manque d'oxygène dans une pièce, les autres personnes présentes dans la même pièce vont elles aussi manquer d'oxygène. Résultat : tout le monde bâille pour compenser ! Mais cette explication ne tient pas debout. Des expériences l'ont prouvé : on a fait respirer de l’oxygène pur à des cobayes… et ils continuaient tout de même à bâiller ! Qu'est-ce qu'on fait quand une théorie ne fonctionne plus ? On en cherche une autre !

Plusieurs chercheurs pensent donc maintenant que le bâillement sert à donner de l'énergie à notre cerveau. Avec tous leurs instruments sophistiqués, ils ont pu mesurer qu'après un bâillement, notre cerveau s'active plus qu'à l'habitude. Mais si le bâillement ne sert qu’à stimuler l’activité cérébrale, pourquoi se transmettrait-il d’une personne à l’autre ? Pour l’instant, on n’a pas de réponse précise. Seulement des hypothèses ! En voici une : le bâillement serait un moyen de synchroniser l’activité de plusieurs cerveaux appartenant aux individus d’un même groupe. Pour quoi faire ? Pense aux hommes préhistoriques. Ils devaient se regrouper pour chercher de la nourriture et affronter les prédateurs. Pas question de faire chacun sa petite affaire de son côté ! Mieux valait donc qu’ils se sentent énergiques au même moment. De là, peut-être, l'utilité du bâillement.

 

http://www.quebecscience.qc.ca/posetacolle/Pourquoi-lorsque-quelqun-baille-nous-avons-envie-de-bailler-aussi

 

 

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Pourquoi nous souvenons-nous de certains rêves et pas d’autres ?

 

Pourquoi nous souvenons-nous de certains rêves et pas d’autres ? Parce que cela implique un mécanisme du cerveau qui contrôle si nous devons nous rappeler ou oublier des choses quand nous sommes éveillés.

C’est ce que déclarent Luigi De Gennaro de l’Université de Rome et son équipe, qui ont eu recours à l’électroencéphalogramme (EEG) pour enregistrer l’activité cérébrale d’étudiants pendant qu’ils dormaient. L’équipe a enregistré 65 étudiants : 30 qui se réveillaient habituellement tout en ayant des mouvements oculaires rapides (REM) pendant leur sommeil, et 35 qui s’éveillaient à l’étape 2 d’un sommeil sans REM. Environ les deux tiers des deux groupes se sont souvenus de leurs rêves pendant l’étude.

Ceux qui se réveillaient durant un sommeil REM et qui se rappelaient bien de leurs rêves étaient plus susceptibles d’afficher un mode d’oscillation de l’électroencéphalogramme appelé "ondes thêta" dans les régions du cortex frontal et préfrontal – les régions du cerveau où la plupart de nos pensées avancées apparaissent. "Le type d’oscillation de l’EEG et la région corticale impliquée sont les mêmes que celles qui comptent pour se remémorer les souvenirs chez les sujets éveillés" dit De Gennaro.

Chez les sujets qui sont éveillés sans mouvements oculaires rapides, ceux qui se souvenaient de leurs rêves avaient des modèles d’activité des ondes alpha dans le lobe temporal droit, qui est impliqué dans la reconnaissance des événements émotionnels, et qui rassemble l’activité connue comme étant majeure pour les souvenirs pendant la période d’éveil [1].

Le résultat est que même quand nous sommes endormis, les mêmes régions de nos cerveaux sont en alerte pour se souvenir de certaines choses. Il y a souvent des événements qui sont émotionnellement chargés et que le cerveau considère comme importants, que nous soyons éveillés ou non.

De Gennero déclare que ses résultats constituent les premières preuves que la physiologie par lesquels les souvenirs sont stockés est la même que nous soyons éveillés ou endormis. "Ces résultats sont similaires aux modèles d’EEG connus dans la recollection des souvenirs éveillés, ce qui suppose un continuum des processus à travers le cycle éveil-sommeil" dit Michael Czisch, qui a étudié le sommeil à l’Institut Max Planck de Munich.

 

http://www.insoliscience.fr/

 

Où va notre âme quand on dort?

Dans l'état de sommeil, l'âme ne quitte pas complètement le corps contrairement à ce qui se passe dans le cas de la mort, mais reste rattachée au corps, tout en se déplaçant librement à travers les cieux. Nous pouvons comparer celà à un rayon ou à un fil dont l'extrémité demeure dans le corps. Le rayon de cette âme s'allonge jusqu'aux cieux et puis retourne dans le corps lorsque le dormeur s'éveille.

(…) Dans le sommeil, l'âme humaine sort par les narines et voyage jusqu'à ce qu'elle soit en présence du Seigneur du Trône.

Si le dormeur est dans un état de pureté, son âme se prosterne devant son Créateur. Puis, l'âme peut rencontrer le monde des rêves, ou rencontrer les âmes des gens qui sont morts, mais ce qu'il rencontre réellement est une page du savoir d'Allah concernant l'invisible et contenant le bien ou le mal qu'Il a décrété pour cet être humain en particulier.

Si le dormeur est sincère, généreux et pur, et est quelqu'un qui ne s'adonne pas aux futilités futilités quand il est éveillé, alors quand son âme réintègre son corps, elle transmet à son coeur la vérité de ce qu'Allah, le Grand et le Majestueux, lui a laissé voir. Lorsque cela arrive, cela est appelé un « rêve véridique ».

Dans le sommeil, l'âme peut aussi voyager librement dans le monde et rencontrer les âmes des gens qui sont encore en vie et elle obtient d'elle des informations. Une partie de ce qu'elle apprend est véridique et une partie est fausse. La partie mensongère est le rêve normal ou le chuchotement de l'âme.

Si le dormeur est un menteur et aime ce qui est dévié, son âme s'élève aussi dans les cieux durant le sommeil, elle se déplace librement dans le monde, elle rencontre d'autres âmes et apprend d'elles des informations concernant l'invisible. Cependant, alors que l'âme est en train de réintégrer le corps, elle rencontre chaytan à mi-chemin et il brouille le vrai avec le faux comme il le fait quand une personne est éveillée. Puis, lorsque le dormeur se réveille, il est confus et ne sait pas exactement ce qu'Allah, le Puissant et le Majestueux lui a laissé voir et, par voie de conséquence, il ne comprend pas le savoir obtenu, il ne se souvient que de ce que chaytan lui a montré. Ce sont les rêves confus.

Les preuves :

{Allah reçoit les âmes au moment de leur mort ainsi que celles qui ne meurent pas au cours de leur sommeil. Il retient celles à qui Il a décrété la mort, tandis qu'Il renvoie les autres jusqu'à un terme fixé. Il y a certainement là des preuves pour des gens qui réfléchissent.} S 39 v 42

Ibn Umar (radiAllahu anhu) a dit : " Les âmes montent au ciel pendant le sommeil , on leur ordonne de se prosterner sous Le trône d’Allah 3azza wa djal , celles qui sont purifiées (ablution avant de dormir) se prosternent proche du trone et celles qui ne le sont pas , se prosternent loin . "

(Rapporté par Bukhari)

Le Prophète (Salla Allahu ‘Alayhi Wa Salam) a dit : " Celui qui dort avec ses ablutions, un ange passe la nuit a ses cotés , dès qu’il se réveil l’ange dit : " Oh Allah , pardonne a Ton serviteur car il a dormi en état de pureté (ablution) . " Vos âmes passeront la nuit a coté du trône d’Allah.
(Rapporté par At Tabarani)

Il est rapporté dans un hadîth d’Ibn Abbâs – l’Agrément d’Allâh sur lui – que le Prophète (Salla Allahu ‘Alayhi Wa Salam) sur lui – a dit :
« Purifiez ces corps, Allâh vous purifiera. En effet, tout fidèle qui maintient la propreté rituelle toute la nuit aura un ange à ses côtés. Chaque fois qu’il se remue au cours de la nuit, l’ange dit : « Seigneur, pardonne à Ton serviteur, car il a passé la nuit propre. »
(Rapporté par At-Tabarânî. Al-Moundhirî a dit que sa chaîne de transmission était bonne, voir : « sahîh al-djâmi’ », n° 3831).

 

 

http://oumsoumaya2.over-blog.com/article-ou-va-l-ame-pendant-notre-sommeil-52813268.html

http://coransounnah.wordpress.com/2012/02/15/sais-tu-ou-ton-ame-va-quand-tu-dors/

 

e6un7

 

 

Le sommeil, et le « lavage de cerveau »

Si l’on sait précisément en quoi il est utile que notre cœur batte ou quels avantages nous procure la respiration, le rôle du sommeil reste bien plus difficile à définir. Évidemment, on l’associe à la récupération, mais également au renforcement de la mémoire de la journée ainsi qu’à la régulation du métabolisme du système immunitaire. Mais planent autour encore de nombreuses inconnues, notamment sur les mécanismes spécifiquement impliqués.

Pourtant, à n’en pas douter, sa fonction est cruciale. Car des insectes aux mammifères, en n'oubliant pas les autres espèces animales, tout le monde ou presque dort . Les Hommes passent entre un quart et un tiers de leur vie à se reposer. Ce temps de repos ne permet pas d'amasser des ressources alimentaires ou de se reproduire, et expose les animaux à leurs prédateurs. Pourquoi y consacrer toutes ces heures s’il n’y a pas d’utilité biologique derrière ?

Une première réponse concrète vient d’être apportée par des chercheurs new-yorkais de l’université Cornell, sous l'égide de Maiken Nedergaard. Leur spécialité : la façon dont le cerveau se débarrasse de ses déchets. Dans la science , ils viennent de montrer que la mécanique se met en place durant le sommeil. Des résultats importants qui pourraient avoir des répercussions sur le traitement de la maladie d’Alzheimer.

Le système glymphatique, laveur de cerveaux

Pour bien comprendre, il faut reprendre l’histoire depuis le début. Le cerveau étant un organe fondamental, il se trouve bien protégé et isolé du reste du corps par une barrière quasi imperméable, la barrière hématoencéphalique, évitant ainsi l’intrusion de toxines ou de pathogènes. De ce fait, à la différence du reste de l’organisme qui évacue ses déchets par le système lymphatique, on pensait que l’encéphale devait systématiquement recycler tout le matériel cellulaire.

Cette idée a été mise à mal dernièrement par cette même équipe de scientifiques, d’abord dans Science Translational Medicine en août 2012, puis en juillet dernier dans Science. Sur des souris, ils ont mis en évidence un réseau de canaux microscopiques dans le cerveau, équivalent au système lymphatique, qu’ils ont baptisé glymphatique, du fait de l’intervention des cellules gliales, qui soutiennent les neurones. Cette fois pas de lymphe, mais du liquide céphalorachidien (LCR), qui récolte les déchets amoncelés qui finissent, en passant par des pores bien calibrés, par être dégradés dans le foie.

Notre cerveau dispose d'un système d'élimination des déchets qui s'active surtout durant le sommeil.
Notre cerveau dispose d'un système d'élimination des déchets qui s'active surtout durant le sommeil. © Mark Lythgoe, Chloe Hutton, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0

Ces scientifiques sont même allés plus loin en démontrant que le mouvement du LCR était dû à l’activation de canaux microscopiques, présents dans les membranes des cellules gliales. En effet, dès lors qu’ils les ont éteints, le liquide devenait stagnant. Or, activer les canaux demande beaucoup d’énergie à la cellule. Est-il possible que les cellules gliales utilisent leurs ressources simultanément pour soutenir l’activité neuronale, et l’élimination des déchets ? Les auteurs ont supposé que non, et que ces deux activités devaient être séparées. Ainsi, selon leur théorie, durant l’éveil, les cellules nerveuses sont privilégiées, tandis que la nuit, on met en place le processus d’évacuation des détritus.

Des déchets principalement éliminés durant le sommeil

Les auteurs ont voulu vérifier leur hypothèse. Des souris ont été entraînées pour se détendre et s’endormir dans un dispositif d’imagerie biphotonique, capable de déceler des mouvements de fluides dans un tissu vivant. Lorsque l’électroencéphalogramme révélait que les animaux plongeaient dans une phase de sommeil, les scientifiques injectaient un colorant vert, afin de suivre ses déplacements dans le cerveau. Une demi-heure plus tard, d’une petite caresse sur la queue, les rongeurs se réveillaient. Alors, un colorant rouge était inoculé. Les chercheurs pouvaient ainsi comparer distinctement les deux situations.

Ils en ont conclu que durant le sommeil, le débit du LCR était environ dix fois plus important que pendant la phase d’éveil, ce qui confirmait leur intuition. Ils expliquent cette situation par une adaptation physiologique jamais observée : les cellules gliales semblent perdre du volume, ce qui se traduit par une augmentation de 60 % du diamètre des vaisseaux du système glymphatique, augmentant alors le rendement de l’évacuation des déchets.

Une nouvelle voie contre les maladies neurodégénératives

En parallèle, ils ont effectué un autre test. Ils ont administré aux souris des bêta-amyloïdes marquées. Ces protéines s’amoncellent dans le cas de la maladie d’Alzheimer et contribuent à la mort des neurones. En phase de sommeil, leur élimination est deux fois plus rapide que durant l’éveil.

Voilà donc une piste qui pourrait expliquer pourquoi de nombreux troubles neurologiques sont associés à des troubles du sommeil. Un déficit de repos pourrait directement être impliqué, en facilitant l’accumulation de protéines nocives, comme les bêta-amyloïdes, mais également l’alpha-synucléine, impliquée quant à elle dans la maladie de Parkinson.

D’autres questions interpellent les chercheurs. D’abord, ils pensent que ce « lavage du cerveau » contribue à la récupération. Mais dans quelle mesure l’accumulation des résidus du métabolisme intervient-elle dans la sensation de fatigue ? D’autre part, comment les canaux des cellules gliales changent-ils de conformation durant le sommeil ? Si les chercheurs semblent avoir décrit l’une des fonctions du sommeil, il se pourrait sûrement que celle-ci ne soit pas la seule. L’enquête est donc bien loin d’être terminée.

 

 

http://www.futura-sciences.com

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Les bienfaits de la sièste

Sieste

Le sommeil est essentiel pour être en forme physiquement et mentalement. En complément d’une bonne nuit de repos, la sieste présente de nombreux bienfaits.

Alors qu’elle fait partie des habitudes de nombreux peuples des pays chauds, il n’est pas commun pour les gens des pays plus au nord, tels que la France ou le Canada, de faire la sieste. Que ce soit par manque de temps ou par préjugés, ce court moment de repos est largement délaissé à l’âge adulte. Les études les plus récentes vantent toutefois les mérites de la sieste.
Une solution à l’insomnie

Une étude menée par l’Institut National de Prévention et d’Éducation pour la Santé (INPES), parue en 2008, a démontré que 17 % des Français âgés de 25 à 45 ans accumuleraient, chaque nuit, une dette de sommeil1. Au Canada, près de 40 % de la population éprouveraient de troubles du sommeil selon des chercheurs de l’université Laval. Ils seraient également 12 % à souffrir d’insomnie. Les effets négatifs qui en découlent sont nombreux : stress, manque de concentration, sautes d’humeur, etc. Les siestes permettraient de rattraper le sommeil perdu et, par le fait même, de pallier aux désagréments qui en résultent. Or, elles ne devraient pas excéder 30 minutes, sans quoi elles ne feraient qu’aggraver les symptômes.
10 minutes pour se revigorer

Les siestes de 10 minutes seraient les plus efficaces en comparaison à celles de 5 ou 30 minutes. C’est ce qu’a conclu une étude parue en 20062. Elles permettraient notamment d’améliorer les capacités cognitives, de redonner de la vigueur, de contrer la fatigue et d’accroître la vigilance. Ces bienfaits ont perduré jusqu’à deux heures et demie après le réveil. Contrairement aux siestes plus longues, celles de 10 minutes ne provoquent pas de somnolence post-éveil. Des effets à plus long terme sont également reconnus, notamment une diminution des risques d’être atteint d’une maladie cardiovasculaire.
Un besoin biologique

Les chercheurs sont nombreux à appuyer la théorie que la sieste est issue d’un rythme biologique inné chez les mammifères, dont l’humain. Entre 14 h et 15 h, une importante somnolence se fait généralement sentir, accompagnée d’une diminution significative de la vigilance. Cette fatigue soudaine survient autant chez les gens en manque de sommeil que chez ceux qui sont bien reposés. Afin de contrer cette baisse d’énergie, il serait profitable de dormir durant une dizaine de minutes.
La sieste, source de créativité et d’efficacité !

Plusieurs études ont établi un lien entre la sieste et l’augmentation des performances cognitives et psychomotrices3. Ce moment de repos accordé en milieu de journée permettrait d’avoir une meilleure mémoire et de consolider les apprentissages. Les personnes qui s’y adonnent sont plus dynamiques et créatives en après-midi en comparaison à celles qui ne pratiquent pas la sieste. Ainsi, les grandes entreprises sont de plus en plus nombreuses à promouvoir cette pratique auprès de leurs employés. Les gens ayant un horaire très chargé en tirent davantage profit puisqu’elle permet de regagner de 1 à 2 heures de sommeil lorsqu’elle est réalisée sur une base quotidienne.
Encore plus bénéfique chez les personnes âgées

Avec l’âge, le nombre d’heures de sommeil tend à diminuer jusqu’à une moyenne de 6 h 30 par nuit. Les statistiques démontrent qu’en prenant en considération les heures de sommeil de jour et de nuit, le temps total de repos des personnes âgées atteint les proportions recommandées4. Ainsi, les siestes d’une plus longue durée leur seraient favorables.

http://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=bienfaits-sieste

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Les bienfaits de la sièste (Essonne) par telessonne

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