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L’homme serait-il le centre des préoccupations de la nature et de l’univers ?

  Beaucoup d’éléments et de preuves viennent confirmer ce qui semble redevenu une vérité pour de nombreux scientifiques. Oui, il y a bien un phénomène de retour, car cette thèse était jadis très prisée, jusqu’à ce que la théorie darwinienne de l’évolution vienne la battre en brèche. 

La raison d’une telle attitude dans la communauté scientifique semblait provenir des conséquences du processus de sécularisation des religions, que des personnes voulaient à tout pris lancer. La théorie de l’évolution n’avait pourtant pas plus de poids, à l’époque médiévale, que la théorie du dessein des biologistes naturels et des physiciens théologiens tels que Newton et Kepler. N’ayant pas plus d’argumentation à fournir à l’époque, la théorie darwinienne prit alors le dessus, car cette solution toute faite venait satisfaire cette envie de vouloir se débarrasser de toute contrainte, que la religion conférait ou connotait.
Cette négativité est sans doute due à la religion chrétienne qui n’a pas été des plus tolérantes au Moyen-Âge et dont l’intégrisme de l’Inquisition acheva et enterra toute influence dans la pensée, qui n’a aujourd’hui de judéo-chrétien qu’un vocabulaire sans sens. Cependant, on voit actuellement réapparaître le courant des biologistes dits téléologiques, qui reviennent cette fois-ci en s’appuyant de preuves qui sont maintes fois plus convaincantes que la théorie de l’évolution, tant elles constituent des vérités scientifiques aujourd’hui. L’intervention de la religion vient enfin enrichir et compléter les efforts de ces biologistes reconnus mondialement. Nous avons présenté dans l’un de nos articles Abdelmajid Zendani, cet éminent chercheur qui a, depuis ces vingt dernières années, longtemps contribué à ce dialogue avec tous types de scientifiques, la plupart du temps athées. C’est le cas de beaucoup d’autres tels que Zaghloul An Najjar, l’éminent géologue, ou Mohamed Al Barr, le spécialiste en médecine et en génétique. Nous allons commencer une série d’articles qui présente des phénomènes scientifiques intéressants de manière détaillée qui permet d’établir les futurs ponts du dialogue entre l’occident et l’islam, seule religion aujourd’hui qui considère et légitime la science. Parmi les thèmes qui seront traités, sont les découvertes étonnantes liées aussi bien au monde microscopique telles que les propriétés physiques et chimiques des constituants élémentaires de la cellule - l’eau, les composés du carbone, le gaz carbonique, l’oxygène, l’ADN, les protéines, la membrane cellulaire, etc. - qu’au monde macroscopique de l’univers, l’harmonie des sphères, la présence des spectres électromagnétiques et la lumière.

 Les supernovae

image 131 x 92 (JPEG) Grâce aux progrès de l’astronomie, l’observation de certaines manifestations cosmiques permet d’établir des déductions intéressantes. C’est le cas d’un des phénomènes les plus spectaculaires : les supernovae. Cette autodestruction des étoiles, dans une colossale explosion, correspond à la dispersion tout autour d’elles de toute la matière dont elles étaient constituées. Cette réaction n’est pas sans importance pour les êtres vivants, car ces étoiles sont des réservoirs d’éléments indispensables à la vie : le carbone (C), l’azote (N), l’oxygène (O) et le fer (Fe) sont élaborés dans les fors nucléaires situés à l’intérieur des étoiles. Pour se retrouver sur Terre, ils doivent donc avoir été expulsés par des étoiles avoisinantes. "C’est dans la mort des étoiles, que la vie prend naissance" [1]. Les ondes de choc engendrées permettent de déclencher le phénomène de condensation des gaz et des poussières interstellaires, qui conduisent à la formation des systèmes planétaires, tels que notre système solaire !
image 130 x 86 (JPEG) Viens ensuite une considération importante : la distance qui sépare les étoiles de notre galaxie, semble optimale, car ces supernovae essentielles à la vie, pourraient s’avérer très destructrices. Elles pourraient effectivement, si elles étaient rapprochées quelque peu de la Terre, l’inonder d’un flot de radiations mortelles et faire disparaître toute trace de vie. A l’inverse, si elles étaient plus éloignées, les produits seraient distribués de manière trop diffuse et ne profiteraient guère à la Terre, ni au système solaire qui ne se serait même pas formé. La fréquence et la distribution des explosions d’étoiles sous forme de supernovae constituent aussi un paramètre d’importance critique.

Les niveaux d’énergie

image 129 x 99 (JPEG) En outre, les niveaux d’énergie existant à l’intérieur des étoiles ne produisent ces éléments nécessaires à la vie, qu’à des conditions très précises d’équilibre des niveaux d’énergie de certains atomes plus lourds tels que le Carbone 12C et l’Oxygène 16O. "Bref, selon la physique et l’astronomie modernes, la formation des composants chimiques élémentaires de la vie et des systèmes planétaires capables d’abriter la vie et l’évolution durant des millions d’années n’est possible qu’à la condition que la structure de l’univers et toutes les lois de la nature soient précisément celles que nous connaissons". "A mesure qu’ils ont de mieux en mieux compris les systèmes physiques, depuis les noyaux jusqu’aux galaxies, les scientifiques se sont rendus compte que de nombreux traits de ces systèmes sont remarquablement dépendants des valeurs précises des constantes fondamentales". [2]

"Comment cela peut-il avoir un rapport avec l’homme ?" s’exclamait Kepler, un des grands astronomes du 17ème siècle. Se contentant de cette intuition à l’époque, les quelques propos relevés montrent, combien ils peuvent être aujourd’hui des éléments convaincants. "L’Homme n’est pas un détail banal au sein du cosmos ni le sous-produit mineur de forces aveugles, non orientées vers un but. Il a vraiment été voulu que nous soyons ici." [3]

Abdelhak O.e6un7

 


 

[1] Denton - L’évolution a-t-elle un sens ? Editions Fayard p.52

[2] Paul Davies The Accidental Universe, Cambridge Unversity Press, Préface

[3] Paul Davies The Mind of God Penguies Books p.232

 

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