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Blog de Islamiates

La science confirme le Coran:le cerveau n’est mature que vers 40 ans

 

وَوَصَّيْنَا الْإِنسَانَ بِوَالِدَيْهِ إِحْسَاناً حَمَلَتْهُ أُمُّهُ كُرْهاً وَوَضَعَتْهُ كُرْهاً وَحَمْلُهُ وَفِصَالُهُ ثَلَاثُونَ شَهْراً حَتَّى إِذَا بَلَغَ أَشُدَّهُ وَبَلَغَ أَرْبَعِينَ سَنَةً قَالَ رَبِّ أَوْزِعْنِي أَنْ أَشْكُرَ نِعْمَتَكَ الَّتِي أَنْعَمْتَ عَلَيَّ وَعَلَى وَالِدَيَّ وَأَنْ

أَعْمَلَ صَالِحاً تَرْضَاهُ وَأَصْلِحْ لِي فِي ذُرِّيَّتِي إِنِّي تُبْتُ إِلَيْكَ وَإِنِّي مِنَ الْمُسْلِمِينَ

Dans le Coran il est dit :" Nous avons recommandé à l’homme d’être bienveillant envers son père et sa mère. Sa mère le porte dans la douleur et le met au monde dans la douleur. Et pendant trente mois, elle endure les fatigues de sa gestation et de son allaitement. Quand il atteint sa maturité, à l’âge de quarante ans, il dira : «Seigneur, fais que je sois reconnaissant envers Toi pour les bienfaits dont Tu nous as comblés, moi et mes parents, et que j’accomplisse de bonnes œuvres que Tu agréeras ! Fais aussi que ma postérité soit d’une bonne moralité ! Je reviens repentant vers Toi et me déclare du nombre des soumis.»Al-Ahqaf - 46.15

Le prophète Mohammed, lui même à eu la révélation à l'âge de 40 ans. Or , jusqu'à présent ,les scientifiques pensaient que votre cerveau arrêtait physiquement de se développer à la sortie de l’enfance, mais la recherche montre qu’il continue de changer à l’âge mûr.

Des scanners du cerveau ont montré que le cortex préfrontal, la région juste derrière votre front, continue de changer de forme aux âges de 30 et 40 ans. Cette découverte est particulièrement significative, car le cortex préfrontal est une région clé du cerveau, et on pense souvent qu’il est la région responsable de ce qui fait de nous des êtres humains.

On sait qu’il est impliqué dans la prise de décision, dans les interactions sociales et de nombreuses autres caractéristiques de la personnalité. Le Professeur Sarah-Jayne Blakemore [1], neuroscientifique à l’Université de Londres, déclare : "jusqu’à ces 10 dernières années environ, nous supposions que le cerveau humain arrêtait de se développer pendant l’enfance."

"Mais nous savons maintenant, grâce à l’imagerie cérébrale, que nous étions loin de la vérité, et que de nombreux cerveaux humains continuaient de se développer pendant plusieurs décennies. La région du cerveau qui est passée par le développement le plus long est le cortex préfrontal droit, la partie antérieure du lobe frontal du cerveau."

"C’est la partie du cerveau qui est impliquée dans la fonction cognitive supérieure, comme la prise de décision, la planification et le comportement social. Elle a aussi des implications dans la compréhension des autres individus."

"Elle commence à se développer au début de l’enfance, est réorganisée à la fin de l’adolescence, et continue de se développer pendant la trentaine et la quarantaine. C’est la région du cerveau qui nous rend humains."

Source:

http://www.insoliscience.fr/?Le-cerveau-n-est-mature-que-vers

Pourquoi nous avons deux narines?

Nos ancêtres aquatiques avaient deux orifices nasaux antérieurs pour laisser entrer l'eau et deux postérieurs pour l'évacuer. Leur "nez" ne leur servait pas à sentir mais seulement à respirer. L'évolution vers le nez que nous connaissons actuellement a débuté avec l'arrivée des vertébrés sur la terre ferme qui s'est combinée avec le déplacement de deux des orifices nasaux. Ils ont d'abord pris place dans la mâchoire puis se sont déplacés vers le pharynx. Aujourd'hui, nous respirons donc à travers deux sinus nasaux par lesquels nous pouvons, en plus, sentir ce que nous mangeons ou buvons.

Lorsque l'air arrive dans le nez, il passe d'abord un goulot d'étranglement puis est réchauffé et humidifié à l'arrière. Là, une petite partie du sinus est tapissée de muqueuse où des millions de cellules neuro-sensorielles, spécialisées dans la perception des molécules olfactives, sont immobilisées. Après fixation "d'odeurs" sur leurs récepteurs spécifiques de surface, un signal nerveux est transmis au cerveau, le long du nerf olfactif. Hors des muqueuses, un autre nerf est impliqué dans l'odorat : le nerf trijumeau. Ses terminaisons réagissent à une stimulation chimique mais seulement si les composés sont présents en concentration importante.

"Nous pouvons sentir en stéréo", précise Thomas Hummel, responsable du département "Goût et Odorat" du centre Hospitalier Universitaire de Dresde. "Cependant, c'est seulement lorsque le nerf trijumeau est stimulé que l'on peut différencier finement les odeurs". Une inspiration courte et intense aide à distribuer plus efficacement les molécules odorantes dans le nez. Les scientifiques ont également pu montrer que la deuxième narine ne servait pas seulement à respirer en stéréo mais aussi à mieux respirer. En inspirant 50% d'une odeur dans chacune des narines, elle est perçue plus intensément que si elle empruntait seulement un sinus.

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/41510.htm

e6un7

Quel est le statut du travail en islam et les règles qui le régissent ?

Il n’est pas licite pour un musulman de fainéanter et de ne pas chercher à gagner son pain, que la raison de cette oisiveté soit de se consacrer à l’adoration, ou au nom de la confiance en Dieu, car il ne pleut ni de l’or ni de l’argent.

Il ne lui est pas licite non plus de compter sur la charité alors qu’il a la capacité physique de travailler pour subvenir à ses besoins, aux besoins de sa famille et de tous ceux qui sont à sa charge. A ce sujet, le Prophète de l’islam - paix et bénédictions sur lui - dit : "L’aumône n’est pas permise au profit du riche, ni du bien portant."

L’une des choses auxquelles le Prophète - paix et bénédictions sur lui - s’est fermement opposé et qu’il a interdites au musulman est le recours à la charité, recours qui entame la dignité et l’honneur, en dehors de toute nécessité qui pousserait l’individu à tendre la main. Il dit - paix et bénédictions sur lui : "Celui qui tend la main sans être dans le besoin est comme celui qui empoigne des braises." Il dit aussi : "Celui qui tend la main pour s’enrichir hérite d’une balafre au visage le Jour de la Résurection et mange des braises de la Géhenne. Libre à chacun de se servir peu ou prou." Il dit également : "Nul n’aura de cesse de tendre la main jusqu’à ce qu’il comparaisse devant Dieu sans la moindre chair au visage."

Par ces terribles menaces, le Prophète - paix et bénédictions sur lui - vise à sauvegarder la dignité du musulman et à lui inculquer la continence, le fait de compter sur soi-même et d’éviter la mendicité.

De plus, le Prophète - paix et bénédictions sur lui - réprouve le mépris que certains manifestent envers certains travaux et métiers. Ainsi enseigne-t-il à ses compagnons que la dignité réside dans le travail quel qu’il soit et que le déshonneur et la perte de la face consiste à quémander l’assistance d’autrui : "Mieux vaut pour l’un d’entre vous de prendre une corde et de ramasser une cordée de bois qu’il transportera sur son dos, puis qu’il vendra, de sorte que Dieu lui épargne le déshonneur de tendre la main à untel, qui lui fera l’aumône ou la lui refusera."

Le musulman peut donc gagner sa vie dans l’agriculture, le commerce, l’industrie ou en tant qu’artisan ou fonctionnaire tant que cela n’est pas fondé sur une activité illicite, ou que cela contribue ou soit associé à l’illicite. Le musulman peut exercer une fonction, que cela soit pour le compte du gouvernement, pour le compte d’un organisme, ou pour un particulier, tant qu’il est capable d’honorer les responsabilités de son travail et de s’acquitter des devoirs qui sont les siens. Il n’est pas permis pour un musulman de postuler pour un travail dont il n’est pas digne, notamment dans les postes administratifs et judiciaires.

Abû Hurayrah - que Dieu l’agrée - rapporta que le Prophète - paix et bénédictions sur lui - dit : "Malheur aux princes, malheur aux chefs, malheur aux trésoriers. Il est des gens qui, le Jour de la Résurrection, souhaiteront être suspendus aux étoiles par les cheveux, entre les cieux et la terre, plutôt que d’avoir pris une responsabilité dont ils n’étaient pas dignes." Abû Dharr rapporte : "Je demandai au Messager de Dieu : ’Pourquoi ne m’attribues-tu pas une fonction ?’ Il me tapa l’épaule et me dit : ’Abû Dharr, tu es faible, et il s’agit d’un dépôt. Y faillir vaut la honte et les regrets le Jour de la Résurrection, sauf à celui qui est digne de s’en charger et qui s’acquitte des devoirs qui lui incombent.’" Il dit également - paix et bénédictions sur lui : "Les juges sont de trois types : un type ira au paradis alors que les deux autres iront en enfer. Ceux qui connaissaient la justice et qui ont jugé conformément à elle, ceux-là iront au paradis. Ceux qui connaissaient la justice mais la bafouaient, ceux-là iront en enfer. Et ceux qui jugeaient entre les gens tout en étant ignorants, ceux-là iront en enfer."

Mieux vaut donc pour le musulman de ne pas convoiter les grandes fonctions, ni de courir derrière elles, quand bien même il en serait digne car ceux qui divinisent les postes en deviennent les esclaves, et ceux qui consacrent toute leur attention aux apparences de ce monde seront privés du soutien du ciel.

`Abd Ar-Rahmân Ibn Samurah rapporta que le Messager de Dieu - paix et bénédictions sur lui - lui dit : "`Abd Ar-Rahmân, ne demande pas le principat car, si tu l’obtiens sans demande de ta part, tu seras aidé dans ta tâche, mais si tu l’obtiens suite à ta demande, tu seras livré à toi-même face à ta responsabilité."

Anas - que Dieu l’agrée - dit : "Celui qui demande le poste de juge et fait appel à des intercesseurs pour l’obtenir, y sera livré à lui-même. Mais celui qui endosse cette responsabilité malgré lui, Dieu lui enverra un ange pour l’assister dans ses décisions." Ceci vaut tant qu’on ignore que personne d’autre n’est compétent pour cette responsabilité et que l’intérêt général et la bonne marche des affaires pâtiraient si l’on ne se proposait pas. Aussi le Coran nous relate-t-il dans le récit de Joseph le véridique que ce dernier dit au roi : "Assigne-moi les dépôts du territoire : je suis bon gardien et fin connaisseur." [1]

L’autorisation susmentionnée d’occuper une fonction vaut à condition que son exercice ne nuise pas aux musulmans. Par exemple, il n’est pas permis à un musulman de travailler en tant qu’officier ou soldat dans une armée qui combat les musulmans. Il ne lui est pas licite non plus de travailler dans une entreprise ou une usine d’armement partie prenante dans une guerre contre les musulmans. Il ne lui est pas permis de travailler dans un organisme ennemi de l’islam et qui combat les musulmans.

De même, tout métier aidant à l’injustice ou à l’illicite est illicite, à l’instar des métiers liés à l’usure, les débits d’alcool, les casinos et les lieux de débauche. Que l’on ne commette pas soi-même l’illicite n’est pas une excuse car, comme nous l’avons précisé précédemment, aider à l’accomplissement du péché est un péché. C’est pourquoi le Prophète - paix et bénédictions sur lui - maudit-il le scribe et les deux témoins d’une transaction usurière, tout comme il maudit celui qui empoche l’usure. Il maudit également celui qui presse le vin et celui qui le sert, au même titre que celui qui le boit.

Tout ceci vaut, bien entendu, en l’absence de nécessité impérieuse obligeant le musulman à gagner son pain dans ce genre de métiers. Si nécessité il y a, on en tient compte à sa juste mesure tout en détestant le métier en question et en cherchant en permanence un autre métier afin que Dieu lui facilite un gain licite, loin de tout péché.

Par ailleurs, le musulman se doit de s’écarter des choses douteuses susceptibles de fragiliser sa religion et d’affaiblir sa certitude, quand bien même il en tirerait une grande fortune. Le Prophète - paix et bénédictions sur lui - dit : "Abandonne ce qui te trouble au profit de ce qui apaise ton coeur." Il dit également : "Le serviteur n’atteint le rang des vertueux que lorsqu’il délaisse une part des choses bénignes par crainte de tomber dans les choses malignes."

 Docteur Yûsuf `Abd Allâh Al-Qaradâwî

http://www.islamophile.org/spip/Le-statut-du-travail-et-ses-regles.html

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Est-il permis de manger de la viande des bêtes sacrifiées par les chrétiens ?

Est—il permis, à notre époque actuelle, de manger de la viande des bêtes sacrifiées par les chrétiens ? Sachant que lors du sacrifice, les techniques qu’ils emploient pour égorger la bête sont multiples, à l’exemple des dispositifs mécaniques ou encore l’utilisation de substances psychotropes ?

Allah, Béni et Exalté soit-Il, vous a rendues licites les bêtes égorgées par les Gens du Livre (les juifs et les chrétiens), qu’ils s’agissent des chrétiens ou des juifs. Il nous a également rendues licites les bêtes égorgées par les gens de l’Islam (les musulmans).

Cependant, je vous pose cette question : « à supposer que vous connaissez un musulman de part son affiliation à l’Islam, mais que celui-ci égorge sa bête d’une manière qui n’est pas conforme au rite Islamique ; est ce que cette viande [provenant de sa bête] serait-elle mangeable ? »

Certes, nous ne la mangerions pas sans aucun doute ! Alors, qu’en serait-il des chrétiens s’ils venaient à agir également ainsi ?

Si le musulman qui ne se conforme pas au rite lorsqu’il va égorger la bête et supposé qu’il le fasse, par exemple, par strangulation ou qu’il la laisse mourir ou bien encore qu’il ne prononce pas intentionnellement le Nom d’Allah au moment de l’égorger, alors la viande [provenant de la bête] de cette individu ne doit pas être consommé.

Il en va de même pour le chrétien qui n’égorge pas sa bête de la façon recommandée par sa religion. Car Allah, Béni et Exalté soit-Il, nous a permis de manger les bêtes égorgées par les Gens du Livre (les juifs et les chrétiens), si elles on été égorgées de la façon recommandée par la religion [selon le Livre].

Sachez que l’avis qui prévaut quant à la nourriture des juifs et les chrétiens, c’est l’immunité pour la personne et qu’il est permis de manger de la viande des bêtes qu’ils égorgent vu que vous ne savez pas si elles ne sont pas égorgées de la façon recommandée par la religion et il en va de même en ce qui concerne les musulmans. Donc, s’il arrive qu’un musulman ou qu'un chrétien égorge sa bête et que vous ne connaissez pas de quelle façon il l’a fait, alors nous vous dirons dans ce cas mangez-en !

Par contre, si vous parvenez à savoir avec certitude que cette personne n’égorge pas [sa bête] de la façon recommandée par sa religion, que ce soit selon notre législation, ou celle des Gens du Livre, alors la viande [provenant de cette bête] ne doit pas être consommé, que cette personne soit musulmane ou chrétienne.

Et Allah est le plus savant.

Source : www.mandakar.com

Fatwa de Sheikh Falah Ibn Ismail Mandakar (rahimahou Allah)
Traduction rapprochée : par AbuKhadidja Al Djazairy

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Menstrues:la science confirme l'interdiction des rapports sexuels par l'Islam

 

 

Dieu (le Très-Haut) a dit : {Et ils t'interrogent sur la menstruation des femmes. - Dis : "C'est un mal. Eloignez-vous donc des femmes pendant les menstrues, et ne les approchez que quand elles sont pures. Quand elles se sont purifiées, alors cohabitez avec elles suivant les prescriptions deDieu car Dieu aime ceux qui se repentent, et Il aime ceux qui se purifient".} (2/222)


Selon Anas (que Dieu l'agrée), les Juifs avaient l'habitude d'isoler la femme en période menstruelle; ils ne partageaient pas les repas avec elle et cessaient tout rapport intime avec elle. Les compagnons du Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) l'interrogèrent à ce sujet, d'où la révélation du verset (2/222) qui fit dire au Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) : "Faites tout avec elles, hormis les rapports intimes". Quand ils apprirent ces propos, ils dirent : "Que veut cet homme ? Il cherche à se démarquer de nous dans toutes nos affaires". (Mouslim n°455)

Selon Abou Hourayra (que Dieu l'agrée), le Prophète (paix et bénédiction de Dieu sur lui) a dit : "Quiconque a des rapports intimes avec une femme en période de menstruation ou lui fait l'acte sexuel par voie anale, ou fréquente un devin (pour l'interroger) ne croit plus à la révélation faite à Muhammad". (At-Tirmidhi 1/243, cité dans Sahih al-Djami' n°5918)

Machrouq Ibn Al-Ajda' a dit qu'il a demandé à 'Aïcha (que Dieu l'agrée) ce que pouvait faire l'homme avec sa femme quant elle à ses menstrues; elle répondit : "Il fait tout,sauf la pénétration". (Al-Boukhâri)

Composition des régles, composition du sang menstruel  


Le sang menstruel est composé principalement en sang, des fragments nécrotiques de l’endomètre, des cellules de la muqueuse vaginale, sécrétions du col et du vagin, et des bactéries de la flore vaginale.

Le sang menstruel est différent du sang ordinaire, par sa composition et ses propriétés physiques.

Autrement dit, le sang menstruel est du sang suspendu dans un mélange de sécrétions vaginales cervicales, de débris tissulaires, globules rouges et mucine qui varient en composition selon les phases de la menstruation qui commence par une phase liquide trouble suivie d’une phase visqueuse puis d’une phase liquide claire.

Le contenu de la menstruation varie d’une femme à une autre, d’un cycle à un autre, et d’un âge à un autre. Le contenu du sang de règles dépend aussi de l’épaisseur de l’endomètre. Les secrétions vaginales présentes dans les menstrues sont composées essentiellement d’eau et des électrolytes comme Sodium ou potassium.

La concentration de composants présents dans le sang menstruel est moindre que leur concentration dans le sang ordinaire : plus d’eau, moins de fer, et moins d’hémoglobine. Le pH de règles est semblable à celui du sang (7,2).

La concentration des protéines, de cholestérol et de bilirubine est moindre que le sang ordinaire.

Le sang menstruel ne possèdent pas les éléments de coagulation, le sang menstruel demeure liquide et ne coagule ni dans l’organisme ni à l’extérieur. Il manque donc dans le sang menstruel les trois éléments indispensable à la coagulation sanguine (Prothrombine, thrombine, fibrinogène.) Le sang menstruel est riche en élément permettant de liquéfier le sang.

Le nombre des plaquettes dans le sang menstruel est moindre que le dans le sang ordinaire. La viscosité des règles varie selon le jour, les femmes et la composition des menstrues, et leur contenue de mucine. Les règles sont plus visqueuses que le sang ordinaire et que l’eau.

La viscosité des règles varie aussi selon leur contenue de secrétions cervicales

Le sang menstruel et l’irritation cutanée  

Certaines femmes rapportent une irritation vulvaire pendant la période menstruelle. Ces irritations se situent sur les grandes et les petites lèvres en général.

Les grandes lèvres peuvent avoir une rougeur et un gonflement léger (on nomme cette lésion érythème), les petites lèvres aussi.

Les variations hormonales jouent sans doute un rôle. Le taux des hormones est généralement élevé

 

Le sang menstruel est irritant sur la peau en général, même sur la peau du ventre ou des jambes. Cette irritation s’explique par la présence des enzymes lytiques comme la protéase utile pour empêcher le sang menstruel de coaguler, mais peuvent irriter la peau

 

La vulve et surtout les grandes lèvres sont moins sensibles à l’irritation provoquée par le sang menstruel, laissant penser que la peau vulvaire est adaptée uniquement pour être moins sensible à l’exposition cyclique des règles.

 

Cette irritation joue également un rôle dans l’activité sexuelle du couple pendant les règles. L’irritation peut affecter aussi le partenaire en cas de relation sexuelle pendant les règles.

 

Le contact prolongé avec le sang menstruel peut irriter le gland ou le pénis, et provoquer des rougeurs .

 


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