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Blog de Islamiates

Le grand danger des mauvaises fréquentations

Les mauvaises fréquentations figurent parmi les plus importants facteurs qui précipitent le serviteur d’Allah dans le péché. Car, les mauvais compagnons enjolivent le péché à l’homme pour le noyer, comme ils le sont eux-mêmes, dans la perversion et la turpitude. L’homme est influencé par ses compagnons.
Le Prophète (Salla Allahou Alaihi Sallam) a dit : « Chaque homme suit la religion de son meilleur ami. Que chacun de vous choisisse donc ses amis avec soin. » (hadith rapporté par Abou Dawoud et al-Tirmidhî qui le qualifie de hasan).
D’après Abû Mûsâ al-Ach’arî, qu’Allah soit satisfait de lui, le Prophète () a dit : «La compagnie de l’homme pieux et celle de l’homme mauvais sont respectivement comparables à celles du parfumeur et du forgeron. Pour le parfumeur, soit il te donne du parfum, soit tu en achètes, soit tu sens une bonne odeur en sa compagnie. Pour le forgeron, soit il brûle (le bout de) ton habit, soit tu sens une mauvaise odeur en sa compagnie » (Boukahri et Mouslim).

Selon ce hadith, la compagnie des pécheurs ressemble à celle du forgeron qui, en soufflant sur la forge, lance des étincelles qui brûlent vos vêtements, fait se dégager une fumée qui vous fait suffoquer ou une odeur désagréable. Si vous avez pour compagnons des gens mauvais et corrompus, soit vous serez contaminé par leur mal, ce qui vous poussera à propager la corruption sur terre, soit vous entendrez d’eux des futilités nuisibles et inutiles, ce qui appellera les démons à vous entourer, soit vous ferez au moins partie de leur groupe et vous acquerrez la même réputation que la leur, même si vous n’êtes pas comme eux et que vous n’adoptez pas leur façon de vivre. Qu’Allah, exalté soit-Il, fasse miséricorde à un homme qui aime les gens pieux et les gens de bien et leur tient compagnie, et qui déteste les gens corrompus mauvais et les évite.

Voilà pourquoi toute amitié qui n’est pas motivé par l’amour d’Allah, exalté soit-Il, se transformera le Jour de la résurrection en animosité. Allah, exalté soit-Il, dit (sens du verset) : « Les amis, ce jour-là, seront ennemis les uns des autres ; excepté les pieux » (Coran 43/67).

Dans son Tafsîr, Ibn Kathîr, qu'Allah lui fasse miséricorde, commenta : « Toute amitié et compagnie se transforme le Jour de la Résurrection en animosité, sauf celles qui s’inscrivent dans le cadre de l’amour pour Allah, exalté soit-Il. Ces dernières ne changeront jamais. Al-Chawkânî, qu'Allah lui fasse miséricorde, a dit dans son Tafsîr : 'Le Jour de la Résurrection, les compagnons qui s’aimaient dans le bas monde deviennent des ennemis les uns pour les autres, puisque les rapports entre eux ont été rompus et chacun d’eux devient préoccupé par ses propres affaires. En outre, comme ils trouvent que les raisons qui en ont fait des amis sont maintenant celles de leur châtiment, ils deviennent les ennemis les uns des autres' ».

Le musulman est donc enjoint de se mettre à l’écart des pécheurs et des gens désobéissants pour ne pas se compromettre et devenir comme eux, commettant les péchés avec indifférence.

Al-Mâwardi, qu'Allah lui fasse miséricorde, a dit : « L’amitié éprouvée à l’égard d’une personne mauvaise est susceptible d’attirer des ennemis et de corrompre les bonnes mœurs. Ne comporte aucun bien cette amitié qui amène l’animosité d’autrui et qui engendre dénigrements et reproches, puisque l’homme suit son compagnon ».

De son côté, ‘Abdallah ibn al-Mu’taz a ajouté : « Les amis du mal ressemblent aux arbres donnant des oranges amères, qui se brûlent entre eux ».

Un sage renchérit : « La compagnie des gens mauvais est dangereuse, et continuer à leur tenir compagnie est comme courir les mers : celui qui survivra deviendra après cela plein de prudence ». Un autre précisa : « La compagnie des gens mauvais mène à penser du mal des pieux ». Et un troisième d’ajouter : « La compagnie des gens mauvais est un mauvais choix ».

Certains récits nous mettent en garde contre la compagnie des gens désobéissants, dont le suivant qui nous montre la réalité des mauvais compagnons et leur perfidie à l’égard de celui qui leur tient compagnie.

Sa’îd ibn al-Musayyib rapporta de son père, qu’Allah soit satisfait de lui, ce qui suit : « Au moment où Abû Tâlib était à l’agonie, le Prophète () vint le voir et trouva chez lui Abû Djahl et ‘Abdallah ibn Abî Umayya ibn al-Mughîra. Le Prophète () s’adressa à Abû Tâlib, en disant : 'Ô mon oncle, atteste que nul n’est digne d’être adoré en dehors d’Allah, et ce sera un mot, par lequel je serai témoin en ta faveur auprès d’Allah'. Aussitôt, Abû Djahl et ‘Abdallah ibn Abî Umayya s’écrièrent : 'Ô Abû Tâlib, vas-tu renier la foi de ‘Abd al-Muttalib ?'. Le Prophète () ne cessa de lui proposer de prononcer la profession de foi en répétant les mêmes mots, tandis que les deux autres lui répétaient les mêmes propos. Enfin, les dernières paroles d’Abû Tâlib furent qu’il persistait sur la religion de ‘Abd al-Muttalib et refusa d’attester que nul n’est digne d’être adoré en dehors d’Allah. Alors, le Prophète () dit : 'Par Allah ! Je demanderai à Allah de te pardonner, tant que cela ne me sera pas défendu'. Là, Allah, exalté soit-Il, révéla (sens du verset) :

'Il n'appartient pas au Prophète et aux croyants d'implorer le pardon en faveur des polythéistes, fussent-ils des parents alors qu'il leur est apparu clairement que ce sont les gens de l'Enfer' (Coran 9/113) » (Boukhari et Mouslim).

Voyez comment les mauvais compagnons – dans ce récit Abû Djahl et ‘Abdallah ibn Abî Umayya – ne laissèrent pas l’oncle du Prophète (Salla Allahou laihi wa Sallam) même au moment de rendre son dernier soupir, et n’eurent de cesse de lui rappeler le culte de ses ancêtres jusqu’à ce qu’il meure en polythéiste, à Allah ne plaise.

Allah, exalté soit-Il, dit (sens des versets) :

« Le jour où l’injuste se mordra les deux mains et dira : '[Hélas pour moi !] Si seulement j’avais suivi chemin avec le Messager ! Malheur à moi ! Hélas ! Si seulement je n’avais pas pris 'un tel' pour ami ! Il m’a, en effet, égaré loin du rappel [le Coran], après qu’il me soit parvenu'. Et le Diable déserte l’homme (après l’avoir tenté) » (Coran 25/27-29).

Ce verset fut révélé lorsque ‘Uqba ibn Abû Mu’ayt, qui était l’ami privilégié de Umayya ibn Khalaf, embrassa l’Islam. Là, Umayya lui dit : « Je ne te parlerai plus jamais de ma vie sauf si tu désavoues la religion de Mohammad ». Alors, ‘Uqba apostasia et renia l’Islam pour gagner l’agrément de son ami Umayya.

Ce récit, entre autres, nous montre le péril que représentent les mauvais compagnons. Abû Hâtim indiqua : « L’homme sensé doit demander la protection d’Allah, exalté soit-Il, contre la compagnie de celui qui ne l’aide pas à évoquer Allah, exalté soit-Il, et qui au lieu de lui rappelle pas Allah dans ses moments d’insouciances l’incite à négliger Son évocation. Celui qui a de mauvais amis finira par faire partie de leur clan, car de même que les bons n’aiment que les pieux, les méchants ne tiennent compagnie qu’aux pervers. Si l’homme doit choisir une compagnie, qu’il opte pour les gens magnanimes ». Et d’ajouter : « L’homme sensé ne tient pas compagnie aux gens désobéissants, car la mauvaise compagnie est une braise qui engendre la rancune, et le mauvais compagnon ne reste pas longtemps amical et ne respecte point ses engagements ».

Voici quelques conseils donnés par ‘Umar ibn al-Khattâb, qu’Allah soit satisfait de lui à l’un de ses amis : « Ne parle pas de ce qui ne te concerne pas, éloigne-toi de ton ennemi et méfie-toi de ton ami privilégié s’il ne craint Allah et Lui obéit. Ne fréquente pas le libertin car il t’enseignera son libertinage. Ne lui confie pas non plus tes secrets. Dans tes affaires, ne consulte que ceux qui craignent Allah » (Al-adâb al-char’iya de Ibn Muflih).

http://www.islamweb.net/frh/index.php?page=articles&id=185001&fromPart=51

e6un7


Cligner des yeux est bon pour le cerveau

Le réflexe naturel de battre des paupière joue un rôle dans la concentration.

Le clignement naturel des yeux (ni provoqué ni nerveux) a d'autres utilités que celles que l'on croyait. Oui, il humidifie la cornée et l'empêche de se dessécher. Oui, il nettoie cette même cornée de toute poussière ou particule qui y atterrirait. Mais il semble bien avoir aussi une influence sur le fonctionnement du cerveau et sur notre niveau d'attention. Des chercheurs japonais sont des passionnés des «clins d'œil». Et les étudient depuis plusieurs années déjà au travers d'extraits de films de… Mr Bean. Ils viennent de faire une découverte qui en met plein les yeux (publié dans les Proceedings of National Academy of Sciences).

Notre cerveau permet de porter de l'attention à un nombre limité d'événements simultanés, trois ou quatre au maximum. Dans une étude précédente, les chercheurs de l'équipe de Tamami Nakano, de l'université d'Osaka, avaient déjà montré que quelqu'un regardant des vidéos de Mr Bean clignait des yeux au moment «faibles» du film, changement de scène ou quand le «héros» était hors champ, donc aux moments où l'attention pouvait se relâcher.

Ils ont réitéré l'expérience mais en mettant le cerveau des «cobayes» sous imagerie médicale par résonance magnétique pour visualiser les éventuels changements de l'activité cérébrale juste après un clignement d'œil. Et, surprise! La réponse cérébrale à l'abaissement des paupières est nette et précise. L'activité cérébrale montre une véritable modification avec ce que les chercheurs interprètent comme un passage du réseau neuronal dit «centré sur la tâche» à celui «mode par défaut». Comme un «reset» instantané du cerveau. D'autant que, deuxième conclusion importante, le cerveau désactive une microseconde les neurones responsables de l'attention.

Ce qui voudrait dire que cligner des yeux serait un signal pour le cerveau de couper très momentanément le flot d'informations lui arrivant pour mieux le contrôler et mieux se préparer à la suite. Donc tout va bien, continuons, sans y penser à cligner des yeux.

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2013/01/11/19688-cligner-yeux-est-bon-pour-cerveau

e6un7

Si on tue une personne involontairement...

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 Tuer une personne involontairement se divise en deux genres : Le premier : l'acte que le coupable a l'intention de faire et qui amène au crime, et il n'a pas l'intention de commettre un crime, mais malgré cela, il commet une erreur, comme par exemple celui qui tire sur un animal à la chasse, rate l'animal, et atteint une personne. Le deuxième : le coupable n'a pas l'intention de faire l'acte, ni de commettre un crime, mais l'acte se produit à cause sa négligence ou parce qu'il n'a pas pris ses précautions ; et peut-être que ce genre-là est le plus proche de ce que tu as mentionné. Et en ce qui concerne l'expiation du meurtre involontairement, elle n'a aucun rapport avec la "diyah" [le prix du sang versé] ; il est donc obligatoire pour celui qui a tué une personne par erreur [involontairement] d'affranchir un esclave, s'il ne trouve pas d'esclave, il jeûne alors deux mois consécutifs, selon le verset du coran, même s'il remet le prix du sang parce que l'expiation est un droit d'Allah (qu'Il soit glorifié et exalté) ; et la preuve de cela est Sa parole (qu'Il soit exalté) : {Il n'appartient pas à un croyant de tuer un autre croyant, si ce n'est par erreur.

Quiconque tue par erreur un croyant, qu'il affranchisse alors un esclave croyant et remette à sa famille le prix du sang, à moins que celle-ci n'y renonce par charité. Mais si [le tué] appartenait à un peuple ennemi à vous et qu'il soit croyant, qu'on affranchisse alors un esclave croyant. S'il appartenait à un peuple auquel vous êtes liés par un pacte, qu'on verse alors à sa famille le prix du sang et qu'on affranchisse un esclave croyant. Celui qui n'en trouve pas les moyens, qu'il jeûne deux mois d'affilée pour être pardonné par Allah. Allah est Omniscient et Sage} [Les femmes: 92].

http://fr.islamtoday.net/node/3550

Les sciences occultes en Islam

la voyance en islam

Certaines personnes prétendent connaître le monde occulte et prédire l’avenir.

On donne à ces personnes des noms variés, comme diseurs de bonne aventure, devins, voyants, augures, magiciens, liseurs de présages, oracles, astrologues, chiromanciens, etc.

Les diseurs de bonne aventure utilisent des méthodes et des moyens différents d'où ils prétendent extraire leurs informations, comme en lisant dans les feuilles de thé, en traçant des lignes, en écrivant des nombres, en lisant les lignes de la main, en dressant des horoscopes, en regardant dans les boules de cristal, en faisant s'entrechoquer des os, en jetant des bâtons, etc.

Ce chapitre traitera des arts variés utilisés pour la prédiction de l'avenir, exception faite de la magie dont nous traiterons lors du chapitre suivant. Nous pouvons distinguer deux catégories parmi ceux qui pratiquent les sciences occultes et qui prétendent accéder au monde occulte et prédire le futur.

Ceux qui n’ont pas de connaissance véritable et qui ne détiennent pas de secrets, et qui débitent à leurs clients des généralités qui peuvent arriver à la plupart des gens. Ils pratiquent souvent une série de rituels dénués de sens, puis font des prédictions calculées à caractère très général. A cause de leur généralité, certaines de leurs prédictions se réalisent. La plupart des gens ont tendance à se rappeler des quelques prédictions qui se sont réalisées et oublient rapidement les autres. Cela provient du fait qu’après quelques temps, toutes les prédictions deviennent des pensées à moitié oubliées dans le subconscient, jusqu’à ce que quelque chose survienne pour en déclencher le souvenir. Par exemple, c’est désormais une pratique courante en Amérique du Nord de publier, au début de chaque année, les prédictions des divers voyant(e)s réputé(e)s. Une étude, portant sur les diverses prédictions pour l’année 1980, a permis d’établir que la voyante la plus fiable n’atteignait qu’une précision de 24% dans ses prédictions !

Le second groupe est constitué de ceux qui sont entrés en contact avec les Djinns. C’est à ce groupe qu’il faut accorder la plus grande importance parce que ceux qui en font partie se rendent coupables du grave péché du Shirk, et ils ont souvent tendance à être d’une grande précision dans les informations qu’ils fournissent, représentant ainsi une réelle Fitnah (tentation), aussi bien pour les musulmans que pour les non musulmans.

Le monde des Djinns

Certaines personnes ont tenté de nier l’existence des Djinns, auxquels le Coran consacre pourtant un chapitre entier, Sourate al-Jinn (72). Se basant sur le sens littéral du mot Djinn, qui provient du verbe Janna, Yajounnou (couvrir, cacher, dissimuler), ils prétendent que ce mot fait plutôt référence à « d’habiles étrangers ». D’autres ont même déclaré qu’un Djinn est un humain dérangé possédant une nature fougueuse. Mais la réalité est que les Djinns sont une autre création d’Allah qui coexiste avec l’homme sur la Terre. Allah a créé les Djinns avant qu’Il ne crée les humains et Il les a créés d’un groupe d’éléments différents de ceux ayant servi à la création de l’homme.

Allah dit :

{ Nous créâmes l'homme d'une argile crissante, extraite d'une boue malléable.
Et quand au djinn, Nous l'avions auparavant créé d'un feu d'une chaleur ardente. }
[ Sourate 15 – Versets 27-28 ]

Ils furent nommés Djinns parce que le système visuel de l’homme ne lui permet pas de les déceler. Iblis (Satan) provient du monde des Djinns, bien qu’il se soit trouvé parmi les Anges lorsqu’Allah leur demanda de se prosterner devant Adam. Lorsqu’il refusa de se prosterner et qu’on lui demanda pourquoi.

Allah dit ( à son sujet dans le Coran ):

{ Je suis meilleur que lui, dit [Iblis,] Tu m'as créé de feu et tu l'as créé d'argile }
[ Sourate 38 – Verset 76 ]

Aïcha a rapporté que le Prophète a dit :

« Les Anges furent créés de lumière et les Djinns d’un feu sans fumée. »
[ Recueilli par Muslim ]

Allah a également dit :

{ Et lorsque Nous dîmes aux Anges: ‹Prosternez-vous devant Adam›,
ils se prosternèrent, excepté Iblis [Satan] qui était du nombre des djinns… }
[ Sourate 18 – Verset 50 ]

Par conséquent, il est erroné de le considérer comme un Ange déchu ou comme quelque chose de similaire.

Les Djinns peuvent être divisés en trois grandes catégories basées sur leur mode d’existence.

Le Prophète a dit : « Il y a trois types de Djinns : un type qui vole constamment dans les airs, un autre type qui prend la forme de serpents et de chiens, et un autre type qui n’est pas capable de voler et qui réside à un endroit précis ou erre ici et là. » [Recueilli par at-Tabari et Al-Hakim]

Les Djinns peuvent être ensuite divisés en deux catégories relative à leur foi : musulmans (croyants) et Kouffar (mécréants). Allah parles des Djinns croyants dans la Sourate al-Jinn en ces termes : { Dis: ‹Il m'a été révélé qu'un groupe de djinns prêtèrent l'oreille, puis dirent: ‹Nous avons certes entendu une Lecture [le Coran] merveilleuse, qui guide vers la droiture. Nous y avons cru, et nous n'associerons jamais personne à notre Seigneur. En vérité notre Seigneur - que Sa grandeur soit exaltée - ne S'est donné ni compagne, ni enfant! Notre insensé [Iblis] disait des extravagances contre Allah. } [Sourate 72 – Versets 1 à 4]

{ Il y a parmi nous les Musulmans, et il y en a les injustes [qui ont dévié]. Et ceux qui se sont convertis à l'Islam sont ceux qui ont cherché la droiture. Et quant aux injustes, ils formeront le combustible de l'Enfer. } [Sourate 72 – Versets 14-15]

Les Djinns mécréants portent plusieurs noms, aussi bien en arabe qu’en français : ‘Ifrite, Chaytane, Qarine, démons, diables, esprits, fantômes, etc. Ils essaient par divers moyens d’égarer l’homme. Quiconque les écoute et travaille pour eux est "traité" de Chaytane humain (diable).

Allah dit : { Ainsi, à chaque prophète avons-Nous assigné un ennemi: des diables d'entre les hommes et les djinns, qui s'inspirent trompeusement les uns aux autres des paroles enjolivées. Si ton Seigneur avait voulu, ils ne l'auraient pas fait; laisse-les donc avec ce qu'ils inventent. } [ Sourate 6 – Verset 112 ]

Chaque être humain a un Djinn qui l’accompagne ; ce Djinn est appelé Qarine, c’est à dire compagnon. C’est une partie du test de l’homme dans cette vie. Le Djinn encourage les bas instincts chez l’homme et essaie constamment de le détourner du droit chemin. Le Prophète a parlé de cela en ces termes : « Chacun d’entre vous a été doté d’un compagnon parmi les Djinns. » Les Sahaba demandèrent : « Même toi, Ô Messager d’Allah ? ». Le Prophète répondit : « Même moi, sauf qu’Allah m’a aidé contre lui [mon Qarine], alors il s’est soumis [à l’Islam]. Maintenant, il ne m’incite qu’à faire le bien. »[ Recueilli par Muslim (Sahih Mouslim (traduction anglaise), vol.4, p. 1472, no.6757 ]

Le Prophète Soulaymane (Salomon), comme signe de sa prophétie, a été gratifié d’un pouvoir miraculeux lui permettant d’exercer un contrôle sur les Djinns. Allah a dit : { Et furent rassemblées pour Salomon, ses armées de djinns, d'hommes et d'oiseaux, et furent placées en rangs. } [ Sourate 27 – Verset 17 ]

Un tel pouvoir, cependant, ne fut donné à personne d’autre. Personne d’autre n’est autorisé à contrôler les Djinns et personne ne peut le faire. Le Prophète a dit : « Un Ifrite [un Djinn maléfique fort et puissant] d’entre les Djinns m’a craché dessus la nuit dernière, essayant de rompre ma Salât. Allah cependant m’a permis de le maîtriser et j’ai voulu l’attacher à l’un des piliers de la mosquée pour que vous le voyiez tous au matin. Puis je me suis rappelé l’invocation de mon frère Souleymane : { Il dit: Seigneur, pardonne-moi et fais-moi don d'un royaume tel que nul après moi n'aura de pareil. C'est Toi le grand Dispensateur. } [ Sourate 38 – Verset 35 ] [Hadith recueilli par al-Boukhari (Sahih al-Boukhari (arabe anglais), vol.1, p. 268, no.75) et Mouslim (Sahih Mouslim (traduction anglaise), vol.1, p.273, no 1104]

L’homme ne peut réussir à contrôler les Djinns puisqu’il s’agit là d’un miracle spécial octroyé au Prophète Soulaymane. En fait, le contact avec les Djinns dans des circonstances autres que la possession où la cas fortuit s’opère le plus souvent par la pratique d’actes sacrilèges méprisés et interdits par la religion. [Abou Aminah Bilal Philips, Ibn Taymeeyah’s Essay on the Jinn, (Riyadh : Tawheed Publications, 1989), p.21]

Les Djinns maléfiques invoqués de cette manière peuvent aider leur partenaire sur la voie du péché et du refus de la foi en Allah . Leur but est d’attirer le plus de gens qu’ils peuvent vers le plus grave des péchés : l’adoration d’autres divinités, incluant ou excluant Allah.

Lorsque le contact est établi entre les Djinns et les [...] (oublié dans la reproduction du livre), et qu’un contrat est passé entre les deux parties, les Djinns peuvent les informer de certains événements du futur.Le Prophète a décrit de quelle manière les Djinns obtiennent de l’information sur le futur. Il a relaté que les Djinns étaient capables d’atteindre les basses sphères du ciel et d’écouter certaines informations à propos du futur lorsque les Anges se les échangent entre eux. Ils retournent ensuite sur terre pour informer leurs contacts humains. [Recueilli par al-Boukhari et Muslim (Sahih Mouslim (traduction anglaise), vol.4, p.1210, no 5538]

Cette pratique était très courante durant la période antérieure à la mission du Prophète Mohamed et les devins fournissaient alors des informations très précises. Ils ont pu ainsi accéder à des postes élevés au sein des cours royales, jouir d’une grande popularité et on leur vouait même un culte dans certaines régions du monde.

Après que le Prophète Mohamed ait été investi de sa mission, la situation changea. Allah a enjoint aux Anges de garder soigneusement les basses sphères du ciel et la plupart des Djinns furent pourchassés par des météores et des étoiles filantes. Allah a décrit ce phénomène dans le Coran par une déclaration faite par un Djinn :

{ Nous avions frôlé le ciel et Nous l'avions trouvé plein d'une forte garde et de bolides. Nous y prenions place pour écouter. Mais quiconque prête l'oreille maintenant, trouve contre lui un bolide aux aguets.} [ Sourate 72 – Versets 8-9 ]

Allah dit aussi : { Certes Nous avons placé dans le ciel des constellations et Nous l'avons embelli pour ceux qui regardent. Et Nous l'avons protégé contre tout diable banni.} [ Sourate 15 – Versets 17-18 ]

Ibn ‘Abbas a dit : « Lorsque le Prophète et un groupe de ses compagnons sortirent pour aller au marché de Ukaadh, les diables furent empêchés d’écouter les informations en provenance du ciel ; des météores les assaillirent de toutes parts et ils s’en retournèrent à leur peuple et l’informèrent de ce qu’il leur était arrivé. Quelques uns suggérèrent que quelque chose avait dû avoir lieu et ils se répandirent sur la terre à la recherche de cette chose. Certains d’entre eux croisèrent le Prophète et ses compagnons alors qu’ils accomplissaient la Salât et ils entendirent la récitation du Coran. Ils se dirent que ce devait être cela qui les avait empêché d’écouter aux portes du ciel. Lorsqu’ils retournèrent à leur peuple ils lui dirent : { Dis: ‹Il m'a été révélé qu'un groupe de djinns prêtèrent l'oreille, puis dirent: ‹Nous avons certes entendu une Lecture [le Coran] merveilleuse, qui guide vers la droiture. Nous y avons cru, et nous n'associerons jamais personne à notre Seigneur. } [Sourate 72 – Versets 1-2] [Hadith recueilli par al-Boukhari (Sahih al-Boukhari (arabe anglais), vol.6, pp. 415-6, no.443) et Mouslim (Sahih Mouslim (traduction anglaise), vol.1, pp.243-4, no 908, at-Tirmidhi et Ahmed]

Ainsi, les Djinns ne pouvaient plus récolter les informations se rapportant au futur aussi facilement qu’ils le faisaient avant la mission du Prophète . A cause de cela, les informations fournies par les Djinns de nos jours sont agrémentées de toutes sortes de mensonges.

Le Prophète a dit :

«Ils (les Djinns) ont pour habitude de se passer l’information de haut en bas, jusqu’à ce qu’elles atteignent les lèvres d'un magicien ou d’un voyant. Quelque fois un météore les rattrape avant qu’ils ne puissent transmettre l’information. Si l’information parvient sur terre avant qu’ils ne soient frappés par les météores, ils y ajouteront une centaine de mensonges.» Hadith recueilli par al-Boukhari (Sahih al-Boukhari (arabe anglais), vol.8, p.150, no.232) et at-Tirmidhi.

Aïcha rapporte que lorsqu’elle s’informa auprès du Prophète sur les diseurs de bonne aventure, il lui dit qu’ils n’étaient rien. Elle lui fit alors remarquer qu’ils disaient parfois des choses qui étaient vraies. Ce à quoi le Prophète répondit : « C’est une partie de la vérité que le Djinn vole et qu’il confie à l’oreille de son ami ; mais il y ajoute une centaine de mensonges. » Recueilli par al-Boukhari (Sahih al-Boukhari (arabe anglais), vol.7, p.439, no.687) et Muslim (Sahih Mouslim (traduction anglaise), vol.4, p.1209, no 5535...

Les djinns sont également en mesure d’informer leur contact humain du futur relatif. Par exemple, lorsqu’une personne consulte un voyant, le djinn du voyant prend l’information ayant trait aux projets d’avenir de la personne auprès du Qarine (le djinn affecté à chaque être humain) de cette dernière. Ainsi le voyant est en mesure de lui dire qu’il va faire ceci ou cela, ou qu’il va aller à tel endroit ou à tel autre. Cette méthode permet aussi au vrai voyant de connaître de manière très détaillée le passé d’une personne qui lui est totalement étrangère.

Il peut dire à un parfait étranger le nom de ses parents, son lieu de naissance, des événements se rapportant à son enfance, etc. La possibilité de décrire le passé de manière très détaillée est un des signes du véritable devin qui est entré en contact avec les djinns. Parce que les djinns sont capables de parcourir instantanément d’énormes distances, ils sont aussi en mesure d’accumuler une masse considérable d’informations relatives à des choses cachées, à des objets perdus ou à des événements dont on n’a pas été témoin. La preuve de ce pouvoir se trouve dans le Coran, dans le récit de Soulaymane et de Bilqis, Reine de Saba. Lorsque la Reine Bilqis vint le voir, Soulaymane demanda aux djinns d’apporter le trône de cette dernière, situé dans le pays qu’elle gouvernait : { Un Ifrite redoutable d’entre les djinns dit : ‹Je te l'apporterai avant que tu ne te lèves de ta place : pour cela. je suis fort et digne de confiance } [Sourate 27 – Versets 39-40]

Jugement islamique sur la lecture de l’avenir

A cause du sacrilège et de l’hérésie impliqués dans la lecture de l’avenir, l’Islam a pris une position radicale contre cela. L’Islam s’oppose à toute forme de contact avec ceux qui lisent l’avenir, sauf pour leur conseiller d’abandonner leurs pratiques interdites.

Rendre visite aux diseurs (euses) de bonne aventure

Le Prophète a établi des principes qui interdisent clairement toute forme de visite à des diseurs (euses) de bonne aventure. Safiya a rapporté, citant Hafsa (épouse du Prophète), que le Prophète a dit :
« La Salât de quiconque approche un diseur de bonne aventure et lui demande quoique ce soit
ne sera pas accepté pendant quarante jours et quarante nuits. »
Recueilli par Muslim (Sahih Mouslim (traduction anglaise), vol.4, p.1211, no 5540.

La sentence dans ce hadîth s’applique au simple fait d’approcher un devin et de lui poser des questions par curiosité. Cette interdiction se trouve renforcée par le hadîth de Mou’awiyah Ibn al-Hakam as-Salami dans lequel il dit :

« Ô Messager d’Allah, il y a certes des gens parmi nous qui rendent visite aux oracles. »
Le Prophète répondit : « N’y allez pas. ». [ Ibid, vol.4, p.1209, no 5532]

Une punition aussi sévère frappe le simple fait de visiter car c’est là le premier pas pour commencer à croire en ces personnes. Si on leur rend visite en doutant de leurs capacités à prédire l’avenir et que l’une de leurs prédictions s'avère juste, on risque de devenir un véritable adepte du devin en question et un fervent croyant en la lecture de l’avenir. L'individu ayant approché un devin se trouve néanmoins dans l’obligation d’accomplir sa Salât habituelle durant la période de quarante jours alors même qu’il n’est rétribué d’aucune manière pour ses prières. S’il laisse tomber sa Salât dans sa totalité, il aura commis un autre péché majeur. Il s’agit d’une situation similaire à l’arrêt islamique sur la Salât accomplie sur un objet volé ou dans une propriété volée et c’est l’avis de la majorité des juristes. Leur raisonnement est qu’à chaque fois qu’une Salât obligatoire est accomplie, elle produit en circonstances normales deux résultats :

1. Elle dégage l’individu de l’obligation de cette prière
2. Elle lui permet d’être récompensé

Si la Salât est accomplie sur un objet volé ou dans une propriété volée, elle dégage de l’obligation de la Salât, mais elle est exempte de toute récompense. [Citation de An-Nawawi, Taysir al-‘Aziz al-Hamid, page 407. ]

C’est pourquoi le Prophète a interdit d’accomplir deux fois les mêmes prières obligatoires.

Croire aux diseurs(euses) de bonne aventure

L’Islam rend un arrêt de Kofr (incroyance) à propos de toute personne qui rendrait visite à un devin en croyant que ce dernier connaît l’inconnaissable et prédit l’avenir. Abou Hourayrah et Al Hassan ont tous deux rapporté que le Prophète a dit : « Quiconque approche un devin et croit ce qu’il dit ne croit pas à ce qui a été révélé à Mohamed.» Recueilli par Ahmad, Abou Daoud (Sounan Abou Daoud (Traduc.anglaise), vol.3, p. 1095, no.3895 et al-Bayhaqî.

Une telle croyance donne à la création une partie des attributs d’Allah qui ont trait à la connaissance de l'inconnaissable et à celle du futur. Par conséquent, elle compromet Tawhid al-Asma was-Sifate (Le maintien de l'unité des Noms et Attributs) et constitue une forme de Shirk dans cet aspect du Tawhid.

L'arrêt de Kofr inclut, par analogie (Qiyas), ceux qui lisent les livres et les publications des astrologues, ceux qui les écoutent à la radio ou qui les regardent à la télévision, puisqu'il s'agit là des moyens les plus couramment utilisés par ces gens, au 20eme siècle, pour propager leurs prédictions. (note sajidine : c'est à dire, le fait de croire et de chercher à connaître son avenir par les moyens mentionnés ci-dessus qui sont malheureusement très répandus à notre époque).

Allah déclare de manière très claire dans le Coran que personne, à part Lui, ne connaît l'inconnaissable, pas même le Prophète Mohamed .

Allah a dit :

C'est Lui qui détient les clés de l'Inconnaissable. Nul autre que Lui ne les connaît. [ Sourate 6 – Verset 59 ]

Ensuite Il a dit au Prophète Mohamed :

{ Dis : « Je ne détiens pour moi-même ni profit ni dommage, sauf ce qu'Allah veut.
Et si je connaissais l'Inconnaissable, j'aurais eu des biens en abondance, et aucun mal ne m'aurait touché. }
[ Sourate 7 – Verset 188 ]

Allah a aussi dit :

{ Dis : «Nul de ceux qui sont dans les cieux et sur la terre ne connaît l'Inconnaissable, à part Allah.}
[ Sourate 27 – Verset 65 ]

Ainsi, toutes les différentes méthodes utilisées de par le monde par les oracles, les diseurs (euses) de bonne aventure et autres personnes du même genre sont interdites aux musulmans.

La lecture des lignes de la main, le I-Ching, les biscuits chanceux, les feuilles de thé, au même titre que les signes du zodiaque et les programmes informatiques de biorythmes prétendent tous donner à leurs adeptes une information sur leur futur. Cependant Allah a déclaré d'une manière qui ne laisse place à aucune équivoque que Lui seul connaît le futur :

{ La connaissance de l'Heure est auprès d'Allah ; et c'est Lui qui fait tomber la pluie salvatrice ; et II sait ce qu'il y a dans les matrices. Et personne ne sait ce qu'il acquerra demain et personne ne sait dans quelle terre il mourra. Certes Allah est Omniscient et Parfaitement Connaisseur. } [ Sourate 31 – Verset 34 ]

Par conséquent, les musulmans doivent prendre garde à leur façon d'aborder les livres, les magazines, les journaux, et les individus qui d'une manière ou d'une autre prétendent accéder à la connaissance du futur ou du monde occulte.

Par exemple, lorsqu'un météorologue musulman prédit qu'il y aura de la pluie, de la neige ou d'autres conditions climatiques pour la journée du lendemain, il devrait ajouter la phrase Incha Allah (si Allah le souhaite). De la même manière, lorsqu'une gynécologue musulmane informe sa patiente qu'elle accouchera d'un enfant dans 9 mois ou à telle date, elle doit prendre soin d'ajouter la phrase Incha Allah, puisque de telles déclarations ne constituent que des estimations basées sur des informations statistiques.

http://www.sajidine.com/dogme/association/voyance.htm

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le Coran évoque les empreintes digitales il y a 14 siècles

On estime que les empreintes digitales commencent à se former aux alentours de la 13e semaine de grossesse. Les circonvolutions des crêtes leur donnant leur dessin caractéristique vont dépendre de nombreux facteurs, comme la vitesse de croissance des doigts, l'alimentation du fœtus, sa pression sanguine, etc. Ce qui fait que non seulement chaque individu, mais aussi chaque doigt, a son empreinte propre. Alors si deux vrais jumeaux ont des empreintes digitales ressemblantes, elles sont pourtant différentes. Elles seront considérées comme identiques lors d'une recherche sur une scène de crime parce que le nombre de points de comparaison utilisé est limité. Mais une recherche beaucoup plus détaillée révélera ces différences. Il en est de même pour les empreintes génétiques. Une comparaison poussée montrera quelques différences.

Une empreinte digitale est une marque laissée par les crêtes des doigts, des mains, des orteils ou des pieds lorsqu'elles touchent un objet. Il en existe deux types : l'empreinte directe (qui laisse une marque visible) et l'empreinte latente (saleté, sueur ou autre résidu déposé sur un objet). Les empreintes digitales sont regroupées en trois catégories principales : l'arche, le tourbillon et la boucle. À l'intérieur de chacune de ces catégories, il y a un très grand nombre d'éléments qui nous différencient les uns des autres. En plus des cicatrices, il y a les fourches, les îlots et les espaces qui donnent un caractère unique aux empreintes latentes.

L’utilisation de l’empreinte digitale comme moyen d’identification d’une personne n’est pas nouvelle. En fait, la technique des « empreintes digitales», ou méthode dactyloscopique, a été inventé par le criminologue croate Ivan Vucetic (1858-1925), d’où l'utilisation du terme de méthode “vuceticienne”, toujours employé dans la police.
Le Coran attire l'attention sur les empreintes digitales tout en précisant qu'il est facile pour Dieu de ressusciter l'homme après la mort et de reconnaître chaque homme à travers ses empreintes ( digitales, génétiques…) , en sachant que la connaissance d'Allah est illimitée et infinie, IL est le tout Puissant, l'Omniscent :

LE CARACTÈRE UNIQUE DE L'EMPREINTE DIGITALE

L'empreinte digitale, qui est la configuration visible que la peau prend sur le bout du doigt, est absolument unique. Chaque personne vivant sur terre a des empreintes digitales uniques. Tous les hommes qui ont vécu jusqu'à aujourd'hui ont toujours eu des empreintes digitales différentes. De plus, ces empreintes restent intactes durant toute la vie à moins qu'un accident ne survienne à la personne à qui elles appartiennent.

C'est pourquoi l'empreinte digitale est reconnue comme étant une sorte de "carte d'identité" très importante et elle est largement utilisée dans ce sens sur terre.

 

Les empreintes digitales de chaque individu ayant vécu sur terre sont toutes uniques.

Il y a de cela deux siècles, la fonction de l'empreinte digitale n'était pas si importante, car ce n'est qu'à la fin du 19ème siècle que l'on a découvert que toutes les empreintes digitales étaient distinctes les unes des autres. En 1880, Henry Faulds, un scientifique anglais, a souligné, dans un article édité dans Nature, que les empreintes digitales des gens ne subissaient aucun changement durant toute leur vie. Ainsi, des suspects pouvaient être reconnus coupables grâce aux empreintes digitales qu'ils laissaient sur des surfaces telles que le verre. En 1884, un meurtre a été pour la première fois résolu grâce au moyen d'identification que les empreintes digitales avaient fourni aux enquêteurs. Depuis, les empreintes digitales sont devenues une méthode importante d'identification. Cependant, avant le 19ème siècle, il est clair que personne n'avait jamais pensé au fait que la forme onduleuse du bout du doigt ait eu une quelconque signification.

Au 7ème siècle déjà, le Coran a précisé que les bouts des doigts des êtres humains comportaient une caractéristique importante:

« L'homme, pense-t-il que Nous ne réunirons jamais ses os ?  

 Mais si ! Nous sommes Capable de remettre à leur place les extrémités de ses doigts. » [Le Coran, sourate AL-QIYAMAH 75:3-4]

 

 http://almoraabit.e-monsite.com/rubrique,empreinte-digitale,735934.html

http://coranmiracles.unblog.fr/2009/06/14/lempreinte-digitale/

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