Il pourrait y avoir une bonne explication à ce réflexe qu’ont les gens de naturellement frotter leur main après avoir été blessé. Un compte-rendu publié dans Current Biology [1] montre que l’action de se toucher/frotter apporte un apaisement important de la douleur aigue dans des conditions expérimentales. Les chercheurs suggèrent que ce soulagement vient d’une modification de la représentation cérébrale du corps dans sa globalité.
"La douleur est une expérience importante, mais aussi compliquée, et elle peut être causée de nombreuses façons différentes" dit Patrick Haggard de l’Université du Collège de Londres. "Nous avons montré que les niveaux de douleur dépendaient non seulement des signaux envoyés au cerveau, mais aussi comment le cerveau intégrait ces signaux dans une représentation cohérente du corps dans sa globalité."
Haggard et ses collègues l’ont découvert en étudiant les effets du toucher sur soi-même chez les gens auxquels on avait causé une douleur thermique dans des conditions expérimentales (l’illusion de brulure thermique). "Cette méthode, pour provoquer une douleur, est l’une des mieux établie en laboratoire pour étudier la perception de la douleur" explique le chercheur. "Dans notre version, l’index et l’annulaire sont placés dans de l’eau chaude, et le doigt majeur dans de l’eau froide. Cela produit un sentiment paradoxal qui fait que le doigt du milieu est douloureusement chaud. "C’est idéal parce que cela permet aux scientifiques d’étudier l’expérience de la douleur sans causer de blessure réelle à ceux qui participent aux études."
Quand cette douleur a été provoquée sur les deux mains d’un individu, et que les trois doigts d’une main étaient touchés par les mêmes doigts de l’autre main immédiatement après, la chaleur douloureuse vécue par le doigt central a chuté de 64% comparée à une condition sans toucher. Ce soulagement n’est pas apparu quand une main seulement était placée dans les conditions de la douleur provoquée. Un toucher partiel, dans lequel seuls un ou deux doigts ont été pressés l’un contre l’autre, ne marchait pas non plus. Pas plus que le fait de presser la main affectée contre la main de l’expérimentateur qui avait été aussi chauffée et refroidie dans les mêmes conditions.
"En somme, écrivent les auteurs, l’illusion de la brulure thermique n’a été réduite que lorsque l’information thermo-sensorielle et tactile provenant des trois doigts a été complètement intégrée. C’est-à-dire que la réduction de la douleur exige un pattern somato-sensoriel très cohérent, tout comme une cohérence entre les patterns tactile et thermique, et une cohérence de stimuli entre les deux mains."
Haggard ajoute que des études antérieures sur la douleur chronique avaient suggéré l’importance de la représentation du corps dans l’expérience de la douleur. Par exemple, la douleur du membre fantôme, qui est si souvent ressentie suite à une amputation d’un membre, apparait diminuer, le temps que le cerveau converge vers une représentation actualisée du corps. Il déclare que les nouvelles découvertes élargissent l’important rôle de la représentation du corps dans la douleur aigue, et que cela pourrait conduire à une meilleure compréhension des mécanismes cérébraux impliqués dans la douleur chronique.
Enfin, ces résultats pourraient être appliqués de façon pratique, disent les chercheurs. "Nos travaux suggèrent que les thérapies qui visent à renforcer la représentation multisensorielle du corps pourraient être efficaces pour ce qui est de réduire la douleur."
[1] Marjolein P.M. Kammers, Frédérique de Vignemont, & Patrick Haggard. Cooling the Thermal Grill Illusion through Self-Touch. Current Biology, 2010
L'existence de phéromones chez les humains est de plus en plus attestée, selon les études réalisées dans ce domaine depuis une dizaine d'années. «Une phéromone est une molécule sécrétée à l'extérieur du corps par les glandes sudoripares et qui modifie le comportement ou l'humeur d'un autre individu», explique Johannes Frasnelli, chercheur postdoctoral au Centre de recherche en neuropsychologie et cognition du Département de psychologie de l'Université de Montréal.
Ses travaux viennent d'apporter une contribution majeure à la connaissance du système phéromonal chez l'être humain et montrent que, contrairement à une croyance très répandue, l'organe voméronasal (OVN) n'est pas à l'œuvre dans la détection de ces molécules.
Chez les mammifères, les phéromones sont captées par un circuit nerveux distinct du système olfactif appelé «organe voméronasal» (du nom latin de l'os qui sépare les deux narines, le vomer). Cet organe est composé de terminaisons nerveuses situées de part et d'autre de la cloison nasale et conduisant à un bulbe olfactif secondaire ou accessoire.
L'existence d'un OVN chez l'humain a été l'objet de controverses parce que les résultats des recherches se sont avérés contradictoires. «Il faut un endoscope pour scruter cette zone nasale et les observations varient selon l'état des muqueuses», précise Johannes Frasnelli.
Selon la méthode employée, les observations font état d'une structure nerveuse particulière là où se trouve l'OVN chez les animaux, soit à deux ou trois centimètres de l'entrée de la cavité nasale, chez 25 à 75 % des personnes. «Cette structure est néanmoins révélée chez 100 % des individus lorsqu'on procède par autopsie», ajoute le chercheur. Il y aurait donc bel et bien une structure voméronasale chez l'être humain.
Il n'en fallait pas plus pour qu'on déduise que la perception des phéromones passe par ce circuit, ce qui a soulevé de nouvelles polémiques, puisque des travaux ont montré que ce système semblait inactif. Les expériences de Johannes Frasnelli vont dans le sens de cette dernière observation et pourraient bien clore le débat.
Quand un homme est amoureux d'une femme son rythme cardiaque augmente systématiquement. Ce pourrait être fort romantique mais, il n'en est rien, c'est une réaction simplement chimique. En effet, lors de la réaction amoureuse, des hormones sont rejetées par la personnes et inhalées par le partenaire.
Ces hormones sont nommées les phéromones. Une fois inhalées, les phéromones vont produire à la personne plusieurs phénomènes traduisant l'émotion comme la hausse de la tension artérielle, la transpiration et surtout l'augmentation du rythme cardiaque.
la santé cardiovasculaire dépend de la qualité de vie et de la bonne humeur
Plusieurs études démontrent que la santé cardiovasculaire dépend de la qualité de vie et de la bonne humeur. Parcourez donc cet article pour découvrir les détails et les résultats de ces recherches.
D’après les études menées par les chercheurs de la Harvard School of Public Health, l’optimisme joue un rôle important dans la réduction des risques de maladies cardiaques. En effet, en se basant sur 200 études différentes, ces scientifiques ont abouti à la conclusion selon laquelle les individus « optimistes » présentent 50% de risque en moins que les personnes moins optimistes d’être atteints d’une maladie cardio-vasculaire.
D’autres recherches réalisées par les scientifiques de l’Université d’Uppsala Hôpital en Suède ont également démontré que l’adoption d’un comportement positif dans la gestion du stress ne peut être que bénéfique pour le cœur. Pilotées par Mats Gulliksson, ces études s’étalant sur 94 mois ont démontré que les individus souffrant de maladies cardiovasculaires et sujets à une thérapie cognitivo-comportementale présentent 41 % de risques de moins que les individus soignés suivant des méthodes traditionnelles d’être exposé à un incident cardiaque.
Penser à son bien-être
Le fait de penser à son bien-être et à son bonheur contribue également à la protection de l’individu contre les problèmes cardiaques. Plusieurs recherches se sont penchées sur la question, notamment celle qui a été publiée dans l’European Heart Journal. En suivant de près l’état de santé de 1 700 personnes âgées de plus de 18 ans, sans aucune trace de maladies cardiovasculaires, les chercheurs ont mesuré le niveau d’affection des sujets de l’étude afin de déterminer leur niveau de perception du bonheur. Il ressort de cette étude que les personnes ayant un niveau d’affection positif élevé, donc, ceux qui sont plus « heureux » présentent moins de risques au développement de ce type de maladie.
D’après ces chercheurs, la sensation de bien-être et de bonheur conduit automatiquement les individus à améliorer leur santé grâce à des comportements sains, pour ne citer que la pratique régulière de plusieurs exercices, l’adoption d’une alimentation saine, une meilleure hygiène de vie, voire un poids normal.
Quid de la bonne humeur ?
Toujours selon les résultats publiés par l’European Heart Journal, la bonne humeur figure aussi parmi les solutions destinées à réduire les risques d’exposition aux maladies cardio-vasculaires. Plusieurs occasions permettent à un individu d’adopter une bonne humeur, entre autres la pratique d’une activité physique que l’individu apprécie en particulier. D’après ces chercheurs, le fait d’avoir un penchant pour telle ou telle activité et de la pratiquer en toute sérénité améliore considérablement la qualité de vie de la personne concernée.
Ces activités, qu’elles soient intenses ou plus calmes permettent en effet de soulager les muscles tendus et d’être plus apaisé avec soi-même pour affronter sa journée en toute confiance.
Les bienfaits de l'optimisme en Islam
Une étude scientifique récente a révélé que l'optimisme augmente la résistance du corps aux maladies et procure à l être humain plus de bonheur dans sa vie. C’était en fait le comportement de notre prophète Salut et Paix soient sur Lui. Lorsqu'on avait interrogé Assayida (notre mère) Aicha, Dieu soit satisfait d’elle, à propos du comportement du prophète, elle a répondu qu’il était l’incarnation du Coran. Il avait pleinement appliqué le coran et avait obtenu le bonheur total. Nous devons suivre son exemple dans notre comportement. Et là où la psychiatrie est incapable de nous donner la satisfaction et la paix intérieure, nous trouvons que le Coran nous comble. Le Tout-Puissant dit : « Or, il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose alors que c’est un bien pour vous. Et il se peut que vous aimiez une chose alors que c’est un mal pour vous. C'est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas.” [Al-Baqarah: 216] ». Le Prophète Paix soit sur lui, aimait le bon augure. Qui a donc enseigné ce comportement préconisé par les scientifiques occidentaux aujourd'hui à notre prophète Paix et Salut soient sur Lui ?!
Maintenant, contemplez avec moi ce verset, Allah dit: « Ne vous laissez pas abattre, ne vous affligez pas alors que vous êtes les supérieurs, si vous êtes de vrais Croyants ». [Al-Imran: 139]. Ce verset exhorte le croyant à avoir un comportement positif, à rester fort et à ne pas s’incliner devant les souffrances de la vie.
Les savants disent que le sentiment d’inhabilité affaiblit le système immunitaire. Le sentiment permanent de tristesse lui aussi est à l’origine de divers troubles mentaux. Nous ne pouvons que dire Gloire à Allah !
http://www.mutuelle-zen.com/sante-cardiovasculaire-rime-avec-bonheur-et-bien-etre/
http://www.kaheel7.com/fr/index.php/sante-et-medecine/250-les-secrets-de-lame-2
Les rapports cultuels avec Allah sont à maintes reprises évoqués dans le Coran, de même que les rapports d’adoration des créatures envers leur Créateur. Ceci nous rappelle cette vérité qui est à la base de l’organisation de l’existence sous toutes ses formes : la nature, les végétaux, les animaux, et les êtres humains.
Chaque chose dans ce monde se tourne et se dirige vers Allah avec le désir et l’amour de la perfection. Chaque chose dans ce monde témoigne de Son unicité, de Sa royauté, et de Son existence à travers l’adoration.
Le Coran établit ainsi ce principe de l’adoration, de la prière et de l’expression de Ses louanges : « Ne vois-tu pas que tout ce qui est dans les cieux et sur la Terre célèbre Ses louanges, ainsi que les oiseaux déployant leurs ailes ? Chaque chose a appris comme L’adorer et le glorifier. Allah sait parfaitement ce qu’ils font. » (Coran, 24, 41)
Et encore : « N’as-tu pas vu que c’est devant Allah que se prosternent tous ceux qui sont dans les cieux et tout ce qui est sur la Terre, le Soleil, la Lune, les étoiles, les montagnes, les arbres, les animaux ainsi que beaucoup de gens. Il y en a aussi beaucoup qui méritent le châtiment. Et quiconque Allah avilit ne trouvera personne pour l’honorer, car Allah fait tout ce qu’Il veut. »
Le Coran, en d’autres endroits, affirme que l’adoration est le but de la création et le secret de l’existence humaine. Ainsi, il dit : « Je n’ai créé les humains et les djinns que pour qu’ils m’adorent. » (Coran, 56, 51)
D’autre part, lorsqu’Il parle des débuts de la création et de la formation de l’humain et de son existence, le Coran insiste sur ce point que l’humain a été créé d’une manière spécifique, le faisant pencher instinctivement vers l’unicité et se diriger vers Son Créateur. Allah dit à ce propos : « En suivant la nature qu’Allah a originellement donnée aux humains, pas de changement dans la création d’Allah ; voilà la religion de la droiture, mais la plupart des gens ne savent pas. » (Coran, 30, 30)
L’Imam Sadiq (S) a expliqué le sens de ce verset comme suit : « Il les a créé originellement en leur inspirant le dogme de l’Unicité. »
L’Imam al-Bâqir (S) a rapporté également cette parole du Prophète (S) : « Tout enfant qui naît se dirige instinctivement vers Allah. »
Puis, il l’a expliqué comme suit : « C’est-à-dire qu’il sait qu’Allah est son Créateur. »
L’Imam Sadiq (S) rapporte que Mûsâ ibn Umran, dans une de ses supplications adressée au Seigneur Tout Puissant, disant : « Ô Allah, quelle est la meilleure action à Tes yeux ? » Allah lui répondit : « L’amour des enfants, car ils ont été créés originellement et conformément à l’Unicité et quand Je les fais mourir, Je les introduis de part Ma Miséricorde au Paradis. »
L’étude analytique de ces textes et des pensées qu’ils recèlent ne met pas simplement en lumière les conséquences que l’amour des parents a sur l’âme de l’enfant, elle éclaire aussi les répercussions psychologiques de cet amour sur les parents aimant eux-mêmes.
Ainsi, l’amour de l’enfant pour son innocence et la pureté de sa nature innée font rayonner en lui l’amour de la nature originelle, de la pureté et de l’innocence.
L’amour de ce fait laisse à la fois une empreinte sur l’âme de l’enfant et sur celle de ses parents. Dans le hadith précédemment cité sur la nature originelle des enfants, il est dit que chaque enfant naît doté d’une direction divine ; c’est donc le milieu éducatif dans lequel il vit qui va donner une autre orientation à cet enfant, et c’est dans ce même hadith que le Prophète (S) évoque cette orientation différente : « Il n’est pas un nouveau-né qui ne naisse sans être doté d’une nature originelle le faisant incliner vers Allah ; ce sont ses parents qui le convertissent au christianisme ou au judaïsme. »
C’est donc pour parer à cette éventualité (la déviation de l’enfant par le milieu), que l’Islam a insisté sur l’importance de l’éducation en ce domaine et sur la responsabilité des éducateurs qui ont pour devoir de sauvegarder la pureté originelle et l’intégrité spirituelle de l’enfant ainsi que de veiller à sa perpétuation.
La tâche des éducateurs sera de mettre en œuvre tous les moyens nécessaires afin de sauvegarder cette nature originelle, de lui conserver son dynamisme et de conduire l’enfant sur le chemin qui le mènera à Son Créateur.
Ainsi, l’enfant naît au sein de la nature qu’il voit fascinante et remplie de phénomènes étranges et singuliers ; il y observe le ciel, le soleil, la lune, les étoiles, les nuages, la pluie, les arbres, la mer, les fleuves, les différentes couleurs des fleurs et des fruits.
Lorsque son esprit et ses facultés intellectuelles commencent à s’éveiller, il veut comprendre le monde d’une autre manière, d’une manière rationnelle ; aussi, il interroge ses parents, ses frères et sœurs aînés, ou son instituteur sur la formation de toutes les créatures vivantes ou non, sur leur origine, sur leur Créateur.
Il veut comprendre les rapports qu’entretiennent toutes ces créatures entre elles, en recherchant les liens de cause à effet.
Les parents et les éducateurs d’une manière générale ont le devoir de répondre à ces questions d’une manière adéquate qui soit adaptée à la capacité de compréhension de l’enfant. Ils s’aideront pour cela de divers moyens matériels et palpables comme les jouets ou les images pour donner à l’enfant une définition claire et simple des choses. Ils expliqueront aussi comment a été fabriqué ce jouet, dessinée cette image ; ainsi par des exemples tirés de sa vie quotidienne, l’enfant pourra comprendre ce qu’est le Créateur ; cette méthode servira également à générer un lien psychologique entre l’enfant et les manifestations de la nature elles-mêmes, attachées à leur Créateur grandiose.
Ces réponses fournies par les éducateurs à l’enfant lui serviront à mieux comprendre sa relation avec le Créateur de l’existence, mais elles viseront surtout à lui faire comprendre la générosité et la libéralité de Dieu et à l’habituer à Le remercier en lui présentant avec enthousiasme des exemples concrets qui lui feront sentir le remerciement comme une chose obligatoire et allant de soi envers toute personne qui nous fait du bien.
Cet apprentissage du remerciement commencera avec le sentiment bien concret du bien que lui prodiguent les parents, et le droit au remerciement qu’ils sont en droit d’attendre en échange de leur bonté, ce sentiment servira à l’enfant de point de comparaison pour lui faire ressentir également de la reconnaissance et de l’amour envers Allah, qu’Il soit loué.
Dans les premières années de sa vie, l’enfant possède un très grand potentiel de réceptivité et d’acceptation, il est donc du devoir des éducateurs de fournir à l’enfant toutes les informations possibles sur les actes d’adoration : il faudra lui apprendre à faire la Prière, à apprendre par cœur des chants et des histoires qui cultivent en lui les sens profonds de la foi, la relation avec Allah, et lui faire ressentir les qualités divines comme la Justice et la Miséricorde, par exemple ; lui parler du châtiment réservé à ceux qui font le mal, la toute-puissance divine sur les créatures et sur la vie.
Les règles de la psychologie démontrent que les conditions et l’atmosphère qui accompagnent la formation de l’enfant aux cultes d’adoration constituent un facteur dynamisant et stimulant. C’est pourquoi la création d’une atmosphère empreinte de joie et d’amour, alliée à des encouragements donnés à l’enfant pour le féliciter de ses actions, ou le fait de lui offrir un cadeau, ou encore le prendre en photo alors qu’il est en train de prier, tout cela suscite la joie et fait qu’il ressent les pratiques religieuses comme une chose agréable et attrayante, sentiment qui va s’enraciner dans les profondeurs de sa conscience.
A l’inverse, une atmosphère où règne la dureté, où l’enfant est forcé de faire certaines choses, ne va engendrer que le refus intérieur de l’enfant, et par la suite un sentiment de rejet apparaîtra à l’égard des actes d’adoration.
Le recours au 7e art, le cinéma, les films, les images et les dessins animés dans l’apprentissage des pratiques religieuses et leur présentation d’une manière suggestive et directe est une manière qui se révèle très efficace à cet égard.
Cet apprentissage pratique, ajouté à l’amour et à l’attention des parents pour leurs enfants, comme par exemple le fait de l’amener à des fêtes, a une grande influence sur lui.
C’est pour cette raison qu’il est fortement conseillé d’apprendre au jeune enfant le Coran, les pratiques et principes religieux, ainsi que les actes d’adoration d’une manière progressive.
L’Imam Sadiq (S) rapporte du Prophète (S) cette parole : « L’enfant à qui l’on a appris le Coran verra ses parents se faire mander (dans l’au-delà) et là, on leur fera endosser une cape qui éclairera de son resplendissement les visages des habitants du Paradis. »
Le même Imam précise le programme à suivre en matière d’éducation religieuse de l’enfant : « On lui enseignera à 7 as le Livre, et les 7 années suivantes, il apprendra à reconnaître le licite de l’illicite. »
Le Prophète (S) a dit : « Apprenez à faire la prière à vos enfants, et, dès qu’ils atteignent l’âge de la puberté, montrez-vous plus stricts et obligez-les à faire la prière régulièrement. »
On rapporte de l’Imam Ali ibn al Husayn, As-Sajjad (S) qu’il apprenait à ses enfant la prière d’une façon progressive pour ne pas qu’ils la considèrent comme une chose désagréable ou difficile ; par exemple, il leur disait d’accomplir la prière du midi et de l’après-midi ensemble et de faire de même pour les prières du coucher du soleil et de celle du soir. On lui fit des remarques auxquelles il répondit comme suit : cela est plus facile pour eux, et leur permet de s’accoutumer à désirer accomplir la prière au plus vite et en son temps, de même que cela les incite à ne pas la négliger, à ne pas la bâcler, à ne pas dormir quand le temps est venu de faire la prière, et à ne pas lui préférer d’autres occupations. L’Imam n’encourageait ses enfants qu’à faire les prières obligatoires, et disait : « S’ils arrivent à faire la prière, ne les laissez-pas la remettre à plus tard. »
Chapitre sept : L’éducation coranique
« Ce Coran guide vers ce qu’il y a de meilleur. » (Coran, 18,9)
Le Coran est le message divin éternel, le réceptacle de la pensée et de la conscience ; la ligne de conduite droite et la guidance, et le critère de la pureté et de l’authenticité.
Enseigner le Coran aux enfants et aux adolescents contribue à la formation d’une personnalité religieuse et éduque en eux les valeurs morales et la bonne conduite.
L’authenticité et la pureté sont les traits distinctifs de la personnalité et de la façon de pense de l’enfant musulman.
De la même façon, l’enseignement du Coran lui apprend à bien prononcer les mots et donc l’art de l’éloquence ; il lui donnera également une logique saine et augmentera sa mémoire, sa conscience et son savoir.
Dans le cadre d’une planification dirigée à l’encontre de l’Islam et de sa civilisation, l’enseignement du Coran a disparu de l’enseignement public dans la plupart des pays islamiques si ce n’est sous une forme toute primaire et limitée ; cela a été fait dans le but de donner une génération ignorante du Coran, vivant sans rapport avec lui, et sans se conformer à sa ligne de conduite.
Cette ignorance a atteint un tel point que même les enseignants ne savent plus lire le Coran d’une façon correcte et si agréable ; et ils ne ressentent plus ce lien spirituel, psychologique et intellectuel qui les unit au Coran, et ce, même après l’achèvement de leurs études universitaires.
La responsabilité des parents leur fait un devoir incontournable d’enseigner à leurs enfants la lecture du Coran et sa psalmodie et de leur faire comprendre que c’est un Livre sacro-saint.
Cet enseignement du Coran se voit facilité de nos jours par le développement des techniques éducatives que constituent des appareils comme le magnétophone, la télévision, la vidéo, l’ordinateur…
L’existence de Coran psalmodiés et adaptés à l’âge du récitant aide les parents à apprendre à leurs enfants le Coran par cœur d’une façon qui soit juste et harmonieuse.
Les étapes de l’enseignement du Coran
L’enseignement du Coran doit commencer dès que l’enfant est en âge de parler. C’est en effet une période propice à l’apprentissage par cœur, car l’enfant est réceptif et réagit aux connaissances qu’on lui prodigue ; on lui fera donc retenir des petites sourates en l’encourageant, soit lui faisant des éloges ou en lui offrant des petits cadeaux adaptés à son âge et à ses désirs, notamment un cadeau qu’il pourra garder longtemps et qu’il conservera comme un souvenir plaisant. Lui offrir un Coran joliment imprimé augmentera son intérêt pour lui et lui fera ressentir l’amour de ses parents envers lui et l’importance qu’ils attachent au Livre de Dieu et à son apprentissage.
L’enseignement du Coran, que ce soit sa lecture, son apprentissage par cœur ou sa psalmodie, doit être l’objet d’une attention particulière dans les établissements à vocation éducatives, et il importe d’organiser des lieux d’apprentissage tels que des écoles privées, des associations, ou des réunions privées ayant pour objectif l’enseignement et le commentaire du Coran.
Une génération qui grandit au sein d’un environnement social ayant des rapports ténus avec le Coran bénéficiera automatiquement de son influence et attachera une importance psychologique et intellectuelle au Coran et entretiendra des liens forts avec lui.
Découvrir les capacités des enfants débutants, que ce soit dans le domaine de la mémorisation ou de la psalmodie ; favoriser l’attachement et le développement, ainsi qu’encourager ces capacités par l’organisation de compétitions, de conférences, de rencontres, de mise en valeur de la mémorisation du Coran, tout ce travail tient une part importante dans ce projet d’éduquer une génération de lecteurs et de mémorisateurs du Coran.
Le Prophète (S), afin d’intégrer toute sa communauté et de l’ancrer au Livre d’Allah, s’était occupé à former une génération de mémorisateurs du Coran ; les relations rapportées par les narrateurs suffisent à démontrer ce phénomène : 400 hommes parmi les lecteurs du Coran ont trouvé le martyre dans la seule bataille de Yamâma.
La valeur de ce nombre de lecteurs prend toute sa signification si l’on sait que le nombre des habitants de la péninsule arabique à cette époque était infime.
Outre ce témoignage historique qui atteste de l’importance attachée au Coran, nous donnons ci-après un aperçu des directives prophétiques incitant les musulmans à se surpasser et à rivaliser dans la mémorisation et la lecture du Coran ainsi que l’encouragement à faire profiter autrui de ces deux bienfaits.
Le Prophète (S) a dit à ce propos : « Celui qui retient le Coran et en applique les directives se retrouvera avec les ambassadeurs (les anges et les prophètes) honorables et pieux. »
Le Prophète (S) en un autre lieu éclaire l’importance qu’il faut accorder à l’enseignement du Coran pour les jeunes et le rôle qu’il joue dans la formation de la personnalité : « Le jeune croyant qui lit le Coran voit ce dernier se mêler à sa chair et à son sang, et Allah le placera au rang des ambassadeurs. »
Le Prophète (S) encourage également les parent à apprendre le Coran à leurs enfants et a annoncé quelle était la récompense qu’Allah, qu’Il soit exalté, leur a réservé pour cela, afin de les encourager à le faire. Il a dit : « On appellera les parents qui auront appris le Coran à leurs enfants : ils seront alors revêtus de parures dont l’éclat illuminera le visage des habitants du Paradis. »
Les Imams, suivant en cela les traces du Prophète (S), ont également invité les croyants à apprendre le Coran et à lui accorder une importance primordiale : « Il ne convient pas à un croyant de mourir sans avoir appris le Coran ou d’être en voie de l’apprendre. »
Pour toutes ces raisons, nous concluons à l’importance capitale qu’il faut attacher à l’apprentissage du Coran chez les jeunes afin qu’ils reçoivent une éducation coranique, qu’ils soient à l’abri des déviations, des fausses croyances, des superstitions et des préoccupations matérialistes et qu’ils revêtent les caractéristiques d’une génération engagée appelant à la religion du Prophète (S), de son esprit et de sa conscience.
http://quran.al-shia.org/fr/ejtema/43.htm
Les règles du voyage
Voyager est une nécessité continuelle pour la vie du musulman : Le pèlerinage, la 'Omra, le jihad, le désir de s'instruire, le commerce, la visite à la famille, aux amis, etc. sont autant d'obligations qui nécessitent le déplacement. Cela explique l'importance que la religion accorde au voyage, à ses règles et au comportement observé à son égard. Le bon musulman est tenu de les connaître et de les appliquer.
Introduction générale
1 - Raccourcir les prières de 4 raka'as à 2 seulement. La prière du coucher du soleil comportant 3 raka'as reste telle quelle. Ce raccourcissement commence dès que le voyageur quitte sa résidence jusqu'au retour. Néanmoins, s'il compte séjourner plus de 3 jours dans la ville où il se rend, en y arrivant, il reprend sa prière normale. [Il existe d'autres avis]. Au retour, il la raccourcit de nouveau jusqu'à son arrivée chez lui.
Allah dit :
{Lorsque vous êtes en voyage, il vous est permis d'écourter la prière}
[Sourate 4 - Les Femmes - Verset 101]
Anas (qu’Allah l’agrée) rapporte ce qui suit : « Nous sommes partis, dit-il, de Médine à
2 - Il est permis au voyageur, au lieu de se laver les pieds, de passer les mains humides sur ses chaussures ou chaussettes.
Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui), dit Ali Ibn Abi Taleb (qu’Allah l’agrée), nous a permis de le faire pendant trois jours pour le voyageur et un jour pour le résident.
3 - Il est possible au voyageur, quand l'eau fait défaut ou s'il est difficile de s'en procurer, ou qu'elle est d'un prix élevé, de la remplacer par le « Tayammoum » - ablution avec un solide sable, pierre...
Allah le signale ainsi :
{Si vous êtes malades, ou en voyage, ou si l'un de vous vient du lieu caché ou si vous avez touché les femmes et que vous ne trouviez pas d'eau, avisez alors du sable propre et essuyez-en la figure et les bras [Sourate 4 - Les Femmes - Verset 43]
4 - On est autorisé à rompre le jeûne pendant le voyage.
Allah dit :
{Celui d'entre vous, qui se trouve malade ou en voyage, jeûnera plus tard, un nombre égal de jours}
[Sourate 2 -
5 - En voyage, il est permis d'accomplir la prière volontaire et non obligatoire de surcroît sur sa monture, quelle que soit la direction où elle se trouve. Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui), dit Ibn Omar (qu’Allah l’agrée), faisait ses prières surérogatoires sur sa chamelle, sans se soucier de la direction qu'elle prend. [Rapporté par Boukhary & Mouslim]
6 - Il est permis au voyageur de joindre les deux prières de midi et de l'après-midi, soit en avançant l'heure de la 2ème, soit en retardant celle de la 1ère. Cela est aussi valable pour la prière du coucher du soleil (Maghreb) et du soir (‘Icha) en avançant l'une ou en retardant l'autre.
Mouadh (qu’Allah l’agrée) rapporte le hadith suivant :
« Nous sommes partis, dit-il, en expédition avec le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) vers « TABOUK ». Il a joint les deux prières de midi et de l'après-midi et les deux prières du Maghreb et de ‘Icha. [Rapporté par Boukhary & Moslim]
Devoirs à observer
1 - Avant de partir, le voyageur remet les objets confiés aux ayants droit et se fait pardonner les injustices commises, car voyager est une présupposition de disparition.
2 - On fait ses provisions de route qui doivent être honnêtement acquises. On laisse des vivres à ceux dont on a la charge tels qu'épouse, enfants et parents.
3 - On fait ses adieux à sa famille, ses frères et ses amis. On leur adresse cette prière en les quittant : « Je confie à Allah votre foi, votre fidélité et le résultat de vos œuvres » Les autres lui répondent : « Qu'Allah vous accorde la piété, vous absolve et vous dirige vers le bien partout où vous allez. »
À tous ceux qui le reconduisaient, le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) disait : « Je confie à Allah votre foi, votre fidélité et le résultat de vos œuvres » [Rapporté par Abou Daoud]
4 - Le voyageur part avec 3 ou 4 compagnons bien choisis et sociables, car le voyage, dit-on, est le creuset des hommes. Il dévoile leurs caractères.
Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) dit : « Le voyageur solitaire a pour compagnon Satan qui est aussi le compagnon de deux voyageurs, mais jamais de trois. » [Rapporté par Abou Daoud, Nassa'i & Tirmidhy] Il dit également : « Si vous savez ce que je sais de la solitude, personne ne se hasarderait à voyager seul, la nuit. » [Rapporté par Boukhari]
5 - Les compagnons partant en voyage doivent élire parmi eux un chef qui dirigerait leurs affaires, après concertation avec eux. Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) dit : « Quand trois compagnons partent en voyage, ils doivent désigner l'un d'eux comme chef. »
6 - Avant de décider un voyage, il est souhaitable de faire la prière de l'ISTIKHARA (la consultation). Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) la recommandait vivement à tel point qu'il en inculquait les mots, comme il le faisait pour un chapitre de Coran. Il la recommandait dans tout ce qu'on projette d'entreprendre dans la vie. [Rapporté par Boukhari]
- En quittant la maison, le voyageur invoque Allah en ces termes : Au nom d'Allah et grâce à Lui, j'entreprendrai ce voyage. Il n'y a de puissance et de force que par Lui ! Allah ! Protège moi d'être égaré ou d'égarer les autres, d'être en erreur ou d'y induire les autres, d'être insolent ou que les autres le soient envers moi
Lorsqu'il prend place sur sa monture, il dit :
Au nom d'Allah ! À Lui je demande secours ! Il est le plus grand ! Je me confie à Lui. Point de puissance, ni de force en dehors de Lui, Le Haut, le Grand ! Ce qu'Il veut se réalise, ce qu'Il ne veut pas n'aura jamais lieu. Gloire à Lui qui nous a assujetti ce moyen de transport. Sans Lui, il nous aurait été impossible de le dompter. C'est à Lui que nous devons retourner. Seigneur, daigne que nous agissions avec droiture. Accorde-nous la piété et les œuvres dont Tu seras satisfait. Facilite-nous ce voyage et réduis-nous-en le trajet. Tu es notre compagnon, Celui qui nous remplace auprès de nos familles, nos enfants et nos biens pendant notre absence. Évite-nous la fatigue de ce voyage, la déception à notre retour et l'aspect désagréable qui pourrait nous surprendre dans nos biens, nos familles et nos enfants. [Rapporté par Abou Daoud]
8 - On part de préférence le jeudi matin. Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) dit : « Seigneur ! Bénis le matin de mon peuple ! » On rapporte que le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) partait en voyage le jeudi.
9 - Toutes les fois où l’on se trouve sur une hauteur, on dit en élevant la voix : « Allah est le plus grand ! » Un homme vint au Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui), rapporte Abou Houraïra (qu’Allah l’agrée), et lui dit : « Je compte partir en voyage, conseille-moi ! - Crains Allah, lui dit-il, et chaque fois que tu montes sur une colline tu diras : Allah est le plus grand ! »
10 - Si on pressent un mal de la part de quelque personne on invoque Allah en disant : « Seigneur ! Tu es notre défenseur. Préserve-nous de leur méchanceté » Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) recommandait de le dire.
11 - Pendant le voyage, la prière est favorablement accueillie. II est conseillé dans ce cas de s'adresser à Allah pour Lui demander des biens de ce monde et de l'autre. Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) dit : « Trois prières sont exaucées sans aucun doute : L'invocation de l'opprimé, la prière du voyageur et celle des parents en faveur de leurs enfants » [Rapporté par Tirmidhy]
12 - Quand on campe, on dit : Je demande protection à Allah contre tout mal des êtres qu'Il a créés par Ses paroles complètes. À la tombée de la nuit, on dit : Terre ! Allah est mon Dieu et Il est aussi le tien. Je Lui demande protection contre ton mal, contre le mal que tu recèles en toi, contre le mal qu'Allah a créé en ton sein et contre le mal de tout être qui se traîne à ta surface. Je demande protection à Allah contre tout lion, tout serpent, toute vipère et tout scorpion. Je Lui demande protection contre les gens qui y habitent et tous les êtres vivants et ce qu'ils ont engendré.
13 - Si on a des appréhensions, on dit : Glorifié soit Allah, Le Roi, Le Saint, Le Créateur des anges et de Jibril. Les cieux sont enveloppés de Sa Gloire et de Sa Toute-puissance.
14 - Quand on se couche au début de la nuit, on laisse les bras tendus à ses côtés, mais si on dort à la fin de la nuit on dresse les bras et on appuie la tête sur les paumes des mains pour que le sommeil ne soit pas profond, de peur de manquer la prière de l'aube en son heure.
15 - Arrivé à proximité d'une ville, on dit : Allah ! Accorde-nous-y un séjour reposant et des provisions licites et bien acquises. Attribue-nous les bienfaits de cette localité et le meilleur de ce qu'elle contient et préserve-nous de son mal et de ce qu'elle renferme comme mal. Ainsi disait le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui).
16 - Une fois les affaires terminées, on se hâte de retourner vers sa famille et son pays. Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) dit : « Le voyage est une partie du supplice : il empêche l'un de vous de manger, de boire et de dormir. Une fois le but du voyage atteint, qu'on se hâte de regagner son foyer » [Rapporté par Boukhary & Moslim]
17 - Au retour, on dit trois fois : Allah est le plus grand. Ensuite on dit : C'est à Allah que nous faisons retour ! À Lui nous demandons pardon. C'est Lui que nous adorons et remercions. On ne cesse de répéter cela comme le faisait le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui).
18 - On ne doit pas surprendre sa femme la nuit, mais on se fait annoncer par quelqu'un. On ne s'introduit pas chez elle inopinément. Le Prophète (que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui) se conduisait ainsi. Le portable aujourd’hui peut rendre service…
19 - La femme ne peut entreprendre un voyage d'un jour et une nuit qu'accompagnée d'un homme qui de nature ne peut l'avoir comme épouse.
Préparé par Sajidine
Revu par Islamhouse.com
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité