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Blog de Islamiates

On peut apprendre au cerveau à contrôler les manques

Une étude de l’Université Yale a montré que les techniques thérapeutiques standards diminuent le manque des fumeurs de cigarette, en régulant l’activité dans deux régions séparées mais reliées du cerveau.

Les fumeurs auxquels on apprend des stratégies cognitives, comme penser aux conséquences à long terme de la cigarette, montrent une activité accrue dans le cortex préfrontal, une région du cerveau associée au contrôle cognitif et à la pensée rationnelle. Ils ont aussi montré une activité réduite dans les régions du striatum, une région du cerveau associée aux manques de drogues et aux comportements à la recherche de récompenses, selon l’article publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences [1].

"Ceci montre que les fumeurs peuvent en effet contrôler leurs manques et désirs, ils ont juste besoin qu’on leur explique comment faire" dit le professeur de psychiatrie Hedy Kober, auteur de l’article.

Les manques sont les stimulations qui conduisent souvent à rechuter dans un ensemble d’addictions, qui ont un cout économique et social. Fumer la cigarette seule est responsable de 40000 décès par an (plus que la drogue et l’alcool réunis). Certains experts prédisent que ceux qui abusent des substances devraient montrer des déficiences dans des régions du cortex préfrontal, qui, entre autres fonctions, aident à contrôler les émotions. Mais chez les fumeurs au moins, cela ne semble pas être le cas. Cette région du cerveau montre une activité accrue, et les fumeurs rapportent moins de manques intenses quand ils ont recours aux stratégies cognitives.

La thérapie cognitive comportementale a déjà montré être un outil efficace pour traiter tout une variété de désordres mentaux, y compris les désordres liés à l’utilisation de drogues. Et cette étude montre pourquoi cette approche est efficace, dit Kober.

"Nous ne voyons aucune déficience dans le cortex préfrontal, ce qui suggère que le cerveau est capable, quand il est actif, de recruter des régions du contrôle pour réduire les manques" dit-il. Kober et ses collègues cherchent maintenant à savoir s’ils peuvent répliquer ces résultats chez des sujets qui utilisent d’autres types de drogues.

Notes

[1] Prefrontal–striatal pathway underlies cognitive regulation of craving. PNAS

http://www.insoliscience.fr/?On-peut-apprendre-au-cerveau-a

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LES ARABES ONT-ILS INVENTE L’UNIVERSITE?

La civilisation arabe est à l’origine de deux au moins des grandes institutions modernes : l’hôpital et l'observatoire. Il est fort probable qu’on lui en doit aussi une troisième: l’Université.

Telle est du moins la thèse qu’exposent ici deux enseignants de l’université de Leeds (Grande-Bretagne) : MM. R.Y. Ebied (études sémites) et M.J.L. Young (études arabes).

Le Moyen Age a légué au monde moderne trois institutions très importantes : l’hôpital, l’observatoire et l’université. Nous savons depuis longtemps que les deux premières proviennent de la civilisation arabe.

Quoiqu’un bon nombre d’instruments astronomiques aient été inventés par les Grecs, c’est sous les auspices des califes ou successeurs du prophète arabe Muhammad que l’observatoire devint une institution permanente. Selon les documents parvenus jusqu’à nous, le premier observatoire permanent fut celui qu’établit le calife Ma’mum (813/832 apr. J.-C.) à Bagdad, sa capitale, aux environs de l’année 830.

La contribution la plus importante des Arabes à la médecine est l’établissement et l’entretien de nombreux hôpitaux. S’ils n’ont pas inventé l’hôpital comme institution, ils ont apporté tant de soins à l’organisation, au financement et à l’entretien des hôpitaux que beaucoup de leurs idées sont encore visibles dans les hôpitaux d’aujourd’hui.

On peut également démontrer indirectement que la troisième institution médiévale, l’université, doit en grande partie son existence à la civilisation Islamique.
Parmi les auteurs de manuels scientifiques, médicaux et philosophiques, des savants musulmans, comme Avicenne, Averroès, Albategnius, Avempace, Avenzoar, Albucasis, Arzachel et Alpetraguis, occupent le premier plan.

Il y a une grande probabilité que les universités européennes aient utilisé ces manuels, en dépit de l’hostilité entre l’islam et le monde chrétien.

Mais des preuves de plus en plus nombreuses indiquent que c’est dans l’islam médiéval que nous devons chercher l’origine de l’université elle-même. Les plus grands centres intellectuels musulmans fonctionnaient depuis bien plus d’un siècle quand les premières universités furent fondées en Europe. Le collège-mosquée d’Al-Qarawiyyin à Fez (Maroc) fut établi en 859, celui de Cordoba au début du dixième siècle, le collège-mosquée d’Al-Azhar au Caire en 972 et la Maison de la sagesse dans la même ville au onzième siècle. En Europe, les premiers centres d’éducation supérieure apparurent beaucoup plus tard. Les universités de Bologne, de Paris et de Montpellier n’existaient sûrement pas avant le douzième siècle.

Lorsque ces universités apparurent en Europe chrétienne, elles possédaient bien des traits communs avec leurs équivalents islamiques. Les étudiants étaient pour la plupart organisés par « nations» - C’est-à-dire qu’ils étaient groupés pour leur logement selon leur lieux d’origine. A l’université d’Al-Azhar au Caire, il existait des logements distincts pour les étudiants du Maroc, de Haute Egypte, d’Irak... A l’université de Paris, les corps d’étudiants comprenaient la nation anglaise, la nation flamande, et bien d’autres. Il reste des traces de cette organisation géographique des étudiants dans quelques-uns des collèges d’Oxford, comme ceux de Lincoln, de Worcester et de Hereford.

Un autre trait de ressemblance se trouvait dans le fait que les professeurs universitaires se mettaient en tenue particulière, la toge, pour les cours et les cérémonies officielles. La coutume de mettre des vêtements larges ressemblant à ceux qu’on mettait en Europe chrétienne existait depuis le début dans les centres intellectuels de l’islam.

La terminologie en usage dans les premières institutions intellectuelles de l’Europe chrétienne montre elle aussi une analogie avec celle de l’islam le premier terme européen pour indiquer l’université - studium generale - semble être une traduction du terme académique arabe “majlis amm” signifiant « assemblée générale pour suivre des études ».

Le «permis d’enseigner» Autre point commun : la coutume largement répandue d’offrir une instruction gratuite aux étudiants. De même, la tradition de l’étudiant itinérant était connue dans les pays islamiques longtemps avant de se révéler comme caractéristique de la vie scolaire dans les pays chrétiens.

Les étudiants musulmans ne s’attendaient pas qu’un seul professeur sache tout sur une matière, et la coutume de voyager d’un centre d’études à un autre s’était installée dans la vie scolaire de ces étudiants. Ces migrations continuelles sont peut-être à l’origine d’un des traits les plus caractéristiques de l’éducation islamique: la « ijazah » ou “permis d’enseigner”.

La « ijazah » était le diplôme délivré par un professeur à son étudiant au terme d’un programme d’études et donnant à l’élève le droit d’enseigner les matières qu’il avait étudiées. Ces permis existaient déjà au neuvième siècle. Pour les étudiants voyageant d’un centre académique à un autre à la recherche d’une plus grande instruction, ces « permis d’enseigner » avaient la valeur d’un passeport et d’un certificat de compétence dans des matières particulières. Il est Intéressant de noter que le terme « licence », qui sert aujourd’hui à désigner un degré universitaire, provient du latin « licentia docendi » - permis d’enseigner - terme qu’on donnait dès le début au diplôme conféré aux étudiants dans les universités chrétiennes.
Dans les universités islamiques du Moyen Age, les professeurs étaient plus libres dans leur enseignement que dans les premières universités chrétiennes. Il n’est donc pas étonnant que chaque professeur ait eu le droit de conférer ses « permis d’enseigner », alors qu’en Europe ce droit était réservé au recteur. Mis à part cette différence, la « ijazah » et la «licentia docendi » étaient des instruments identiques de la vie universitaire. Ces ressemblances entre les pratiques universitaires de l’islam et celles du monde chrétien s’expliquent par le rôle joué pas l’Espagne dans l’établissement de contacts entre l’un et l’autre.

L’Espagne Islamique était un des grands centres académiques du Moyen Age, et, après la prise de Tolède par les chrétiens (1085), ce pays devint la voie principale par laquelle les fruits de la science islamique passaient à l’Europe chrétienne. A Tolède, l’archevêque Raymond (mort en 1251) fonda une école pour traduire les oeuvres arabes en latin et les mettre ainsi à la disposition du monde savant chrétien. Les trésors de la littérature philosophique, scientifique et médicale arabe furent traduits en latin à l’usage des professeurs et des étudiants chrétiens. Il ne serait donc point surprenant qu’avec les livres, les étudiants chrétiens aient ramené de l’Espagne des idées sur l’organisation des universités.

Le baccalauréat

Une des personnalités éminentes dans le domaine des études orientales en Angleterre, le regretté professeur Alfred Guillaume, affirmait dans la première édition de The Legacy of Islam (Oxford 1931) que l’on aurait la preuve d’une liaison entre les universités islamiques et celles de l’Ouest, si l’on trouvait une explication satisfaisante du terme médiéval «baccalareus» ou « baccalaureus » - dont dérive le terme français « baccalauréat». Le professeur Guillaume fit remarquer que l’explication qui fait dériver ce terme du latin «vassa» (une vache) ne peut être prise au sérieux. Il suggère que « baccalaureus » pourrait bien être une défectueuse transposition en latin d’une expression arabe comme par exemple « bihaqq al-riwaya » signifiant le droit de transmettre une science.

En effet, bien des termes arabes sont passés, déformés, dans le latin du Moyen Age, et dans les autres langues européennes, dans lesquelles ils sont encore en usage aujourd’hui.

Parmi ces termes on trouve des mots familiers comme « chèque » (de l’arabe « sakk », « tarif » (ta’ref), et « amiral » (amir al’bahir) et bien d’autres. GuiIlaume n’a jamais trouvé l’expression, «bihaqq al-riwaya » dans aucun document arabe, et l’étymologie qu’il en propose ne peut-être considérée que comme une conjecture très intéressante. Mais les dernières recherches des écrivains de nos jours dans les différents exemples de « ijazah » médiéval ont démontré non seulement qu’une expression très similaire à celle que suggéra Guillaume était en usage dans des documents arabes de même type, mais aussi que cette expression était employée exactement dans le sens voulu pour son étymologie proposée. La première «ijazah» (conservée dans un manuscrit de l’université de Cambridge), dans laquelle on trouve l’expression « bihaqq al-riwaya », date de l’année 1147; or, on ne trouve pas le terme « baccalaureus » en Europe, employé dans le sens « licencié », avant 1231, année où le système des degrés universitaires fut établi par la bulle « Parens scientiarum » du pape Grégoire IX. Il paraît donc probable que le terme bachelier est dérivé de l’expression en usage dans les diplômes de l’université islamique.

R.-Y. EBIED et M.-J.-L. YOUNG. (Le monde de l’éducation)

ECOLES MUSULMANES ET UNIVERSITES EUROPEENNES

J’ai lu avec intérêt l’article paru dans le Monde de l’éducation de septembre sous le litre : « Les Arabes ont-ils inventé l’Université ? » Cet article qui présente sans préjugé un aspect de la culture arabe musulmane s’insère dans la tradition d’un groupe de chercheurs occidentaux qui existent depuis le dix neuvième siècle, et dont le nombre ne cesse de croître. (...) A ce sujet ,excusez-moi de me référer à une étude que j’ai publiée en Angleterre en 1957, et où j’ai souligné qu’au Moyen Age les grandes écoles musulmanes et les Universités fondées en Europe à cette époque différaient sur les points suivants

1. Pour la création des Universités musulmanes, il n’était nécessaire d’obtenir ni l’autorisation de gouvernement ni celle d’une autorité religieuse supérieure.
2. Les disciplines enseignées dans les Universités musulmanes étaient beaucoup plus variées.

3. Quoique l’enseignement coranique fût prépondérant, les Universités musulmanes n’établissaient pas une hiérarchie officielle entre les disciplines enseignées (1).

A. R. KINANY, Directeur du Bureau de l’Organisation de la ligue islamique mondiale à Paris.

(1) The Year Book of Education, 1957, Evans Brother», Londres. Extrait du Monde de l’Education n” 23.

Source: islam-fraternet.com

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Pourquoi un toucher de la main suffit à calmer la douleur?

Il pourrait y avoir une bonne explication à ce réflexe qu’ont les gens de naturellement frotter leur main après avoir été blessé. Un compte-rendu publié dans Current Biology [1] montre que l’action de se toucher/frotter apporte un apaisement important de la douleur aigue dans des conditions expérimentales. Les chercheurs suggèrent que ce soulagement vient d’une modification de la représentation cérébrale du corps dans sa globalité.

"La douleur est une expérience importante, mais aussi compliquée, et elle peut être causée de nombreuses façons différentes" dit Patrick Haggard de l’Université du Collège de Londres. "Nous avons montré que les niveaux de douleur dépendaient non seulement des signaux envoyés au cerveau, mais aussi comment le cerveau intégrait ces signaux dans une représentation cohérente du corps dans sa globalité."

Haggard et ses collègues l’ont découvert en étudiant les effets du toucher sur soi-même chez les gens auxquels on avait causé une douleur thermique dans des conditions expérimentales (l’illusion de brulure thermique). "Cette méthode, pour provoquer une douleur, est l’une des mieux établie en laboratoire pour étudier la perception de la douleur" explique le chercheur. "Dans notre version, l’index et l’annulaire sont placés dans de l’eau chaude, et le doigt majeur dans de l’eau froide. Cela produit un sentiment paradoxal qui fait que le doigt du milieu est douloureusement chaud. "C’est idéal parce que cela permet aux scientifiques d’étudier l’expérience de la douleur sans causer de blessure réelle à ceux qui participent aux études."

Quand cette douleur a été provoquée sur les deux mains d’un individu, et que les trois doigts d’une main étaient touchés par les mêmes doigts de l’autre main immédiatement après, la chaleur douloureuse vécue par le doigt central a chuté de 64% comparée à une condition sans toucher. Ce soulagement n’est pas apparu quand une main seulement était placée dans les conditions de la douleur provoquée. Un toucher partiel, dans lequel seuls un ou deux doigts ont été pressés l’un contre l’autre, ne marchait pas non plus. Pas plus que le fait de presser la main affectée contre la main de l’expérimentateur qui avait été aussi chauffée et refroidie dans les mêmes conditions.

"En somme, écrivent les auteurs, l’illusion de la brulure thermique n’a été réduite que lorsque l’information thermo-sensorielle et tactile provenant des trois doigts a été complètement intégrée. C’est-à-dire que la réduction de la douleur exige un pattern somato-sensoriel très cohérent, tout comme une cohérence entre les patterns tactile et thermique, et une cohérence de stimuli entre les deux mains."

Haggard ajoute que des études antérieures sur la douleur chronique avaient suggéré l’importance de la représentation du corps dans l’expérience de la douleur. Par exemple, la douleur du membre fantôme, qui est si souvent ressentie suite à une amputation d’un membre, apparait diminuer, le temps que le cerveau converge vers une représentation actualisée du corps. Il déclare que les nouvelles découvertes élargissent l’important rôle de la représentation du corps dans la douleur aigue, et que cela pourrait conduire à une meilleure compréhension des mécanismes cérébraux impliqués dans la douleur chronique.

Enfin, ces résultats pourraient être appliqués de façon pratique, disent les chercheurs. "Nos travaux suggèrent que les thérapies qui visent à renforcer la représentation multisensorielle du corps pourraient être efficaces pour ce qui est de réduire la douleur."

Notes

[1] Marjolein P.M. Kammers, Frédérique de Vignemont, & Patrick Haggard. Cooling the Thermal Grill Illusion through Self-Touch. Current Biology, 2010

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Pourquoi le rythme cardiaque augmente en présence de la personne qu'on aime ?

L'existence de phéromones chez les humains

L'existence de phéromones chez les humains est de plus en plus attestée, selon les études réalisées dans ce domaine depuis une dizaine d'années. «Une phéromone est une molécule sécrétée à l'extérieur du corps par les glandes sudoripares et qui modifie le comportement ou l'humeur d'un autre individu», explique Johannes Frasnelli, chercheur postdoctoral au Centre de recherche en neuropsychologie et cognition du Département de psychologie de l'Université de Montréal.
Ses travaux viennent d'apporter une contribution majeure à la connaissance du système phéromonal chez l'être humain et montrent que, contrairement à une croyance très répandue, l'organe voméronasal (OVN) n'est pas à l'œuvre dans la détection de ces molécules.

Chez les mammifères, les phéromones sont captées par un circuit nerveux distinct du système olfactif appelé «organe voméronasal» (du nom latin de l'os qui sépare les deux narines, le vomer). Cet organe est composé de terminaisons nerveuses situées de part et d'autre de la cloison nasale et conduisant à un bulbe olfactif secondaire ou accessoire.

L'existence d'un OVN chez l'humain a été l'objet de controverses parce que les résultats des recherches se sont avérés contradictoires. «Il faut un endoscope pour scruter cette zone nasale et les observations varient selon l'état des muqueuses», précise Johannes Frasnelli.

Selon la méthode employée, les observations font état d'une structure nerveuse particulière là où se trouve l'OVN chez les animaux, soit à deux ou trois centimètres de l'entrée de la cavité nasale, chez 25 à 75 % des personnes. «Cette structure est néanmoins révélée chez 100 % des individus lorsqu'on procède par autopsie», ajoute le chercheur. Il y aurait donc bel et bien une structure voméronasale chez l'être humain.

Il n'en fallait pas plus pour qu'on déduise que la perception des phéromones passe par ce circuit, ce qui a soulevé de nouvelles polémiques, puisque des travaux ont montré que ce système semblait inactif. Les expériences de Johannes Frasnelli vont dans le sens de cette dernière observation et pourraient bien clore le débat.

Pourquoi le rythme cardiaque de l'homme augmente en présence d'une femme qu'il aime ?

Quand un homme est amoureux d'une femme son rythme cardiaque augmente systématiquement. Ce pourrait être fort romantique mais, il n'en est rien, c'est une réaction simplement chimique. En effet, lors de la réaction amoureuse, des hormones sont rejetées par la personnes et inhalées par le partenaire.

Ces hormones sont nommées les phéromones. Une fois inhalées, les phéromones vont produire à la personne plusieurs phénomènes traduisant l'émotion comme la hausse de la tension artérielle, la transpiration et surtout l'augmentation du rythme cardiaque.

http://www.nouvelles.umontreal.ca/recherche/sciences-de-la-sante/20110321-les-pheromones-humaines-seraient-captees-par-le-systeme-olfactif.html

http://www.pourquois.com/corps_humain/pourquoi-rythme-cardiaque-homme-augmente-presence-femme-aime.html

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Santé cardiovasculaire rime avec bonheur et bien-être

 la santé cardiovasculaire dépend de la qualité de vie et de la bonne humeur

Plusieurs études démontrent que la santé cardiovasculaire dépend de la qualité de vie et de la bonne humeur. Parcourez donc cet article pour découvrir les détails et les résultats de ces recherches.

D’après les études menées par les chercheurs de la Harvard School of Public Health, l’optimisme joue un rôle important dans la réduction des risques de maladies cardiaques. En effet, en se basant sur 200 études différentes, ces scientifiques ont abouti à la conclusion selon laquelle les individus « optimistes » présentent 50% de risque en moins que les personnes moins optimistes d’être atteints d’une maladie cardio-vasculaire.

D’autres recherches réalisées par les scientifiques de l’Université d’Uppsala Hôpital en Suède ont également démontré que l’adoption d’un comportement positif dans la gestion du stress ne peut être que bénéfique pour le cœur. Pilotées par Mats Gulliksson, ces études s’étalant sur 94 mois ont démontré que les individus souffrant de maladies cardiovasculaires et sujets à une thérapie cognitivo-comportementale présentent 41 % de risques de moins que les individus soignés suivant des méthodes traditionnelles d’être exposé à un incident cardiaque.

Penser à son bien-être

Le fait de penser à son bien-être et à son bonheur contribue également à la protection de l’individu contre les problèmes cardiaques. Plusieurs recherches se sont penchées sur la question, notamment celle qui a été publiée dans l’European Heart Journal. En suivant de près l’état de santé de 1 700 personnes âgées de plus de 18 ans, sans aucune trace de maladies cardiovasculaires, les chercheurs ont mesuré le niveau d’affection des sujets de l’étude afin de déterminer leur niveau de perception du bonheur. Il ressort de cette étude que les personnes ayant un niveau d’affection positif élevé, donc, ceux qui sont plus « heureux » présentent moins de risques au développement de ce type de maladie.

D’après ces chercheurs, la sensation de bien-être et de bonheur conduit automatiquement les individus à améliorer leur santé grâce à des comportements sains, pour ne citer que la pratique régulière de plusieurs exercices, l’adoption d’une alimentation saine, une meilleure hygiène de vie, voire un poids normal.

Quid de la bonne humeur ?

Toujours selon les résultats publiés par l’European Heart Journal, la bonne humeur figure aussi parmi les solutions destinées à réduire les risques d’exposition aux maladies cardio-vasculaires. Plusieurs occasions permettent à un individu d’adopter une bonne humeur, entre autres la pratique d’une activité physique que l’individu apprécie en particulier. D’après ces chercheurs, le fait d’avoir un penchant pour telle ou telle activité et de la pratiquer en toute sérénité améliore considérablement la qualité de vie de la personne concernée.

Ces activités, qu’elles soient intenses ou plus calmes permettent en effet de soulager les muscles tendus et d’être plus apaisé avec soi-même pour affronter sa journée en toute confiance.

Les bienfaits de l'optimisme en Islam

Une étude scientifique récente a révélé que l'optimisme augmente la résistance du corps aux maladies et procure à l être humain plus de bonheur dans sa vie. C’était en fait le comportement de notre prophète Salut et Paix soient sur Lui. Lorsqu'on avait interrogé Assayida (notre mère) Aicha, Dieu soit satisfait d’elle, à propos du comportement du prophète, elle a répondu qu’il était l’incarnation du Coran. Il avait pleinement appliqué le coran et avait obtenu le bonheur total. Nous devons suivre son exemple dans notre comportement. Et là où la psychiatrie est incapable de nous donner la satisfaction et la paix intérieure, nous trouvons que le Coran nous comble. Le Tout-Puissant dit : « Or, il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose alors que c’est un bien pour vous. Et il se peut que vous aimiez une chose alors que c’est un mal pour vous. C'est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas.” [Al-Baqarah: 216] ». Le Prophète Paix soit sur lui, aimait le bon augure. Qui a donc enseigné ce comportement préconisé par les scientifiques occidentaux aujourd'hui à notre prophète Paix et Salut soient sur Lui ?!

Maintenant, contemplez avec moi ce verset, Allah dit: « Ne vous laissez pas abattre, ne vous affligez pas alors que vous êtes les supérieurs, si vous êtes de vrais Croyants ». [Al-Imran: 139]. Ce verset exhorte le croyant à avoir un comportement positif, à rester fort et à ne pas s’incliner devant les souffrances de la vie.

Les savants disent que le sentiment d’inhabilité affaiblit le système immunitaire. Le sentiment permanent de tristesse lui aussi est à l’origine de divers troubles mentaux. Nous ne pouvons que dire Gloire à Allah !

http://www.mutuelle-zen.com/sante-cardiovasculaire-rime-avec-bonheur-et-bien-etre/

http://www.kaheel7.com/fr/index.php/sante-et-medecine/250-les-secrets-de-lame-2

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