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L’Occident, se désintéresse de plus en plus à la religion. Eglises de plus en plus vides, parfois vendues à des groupes privés comme c’est le cas en Allemagne (ou aux Pays-Bas où elles sont parfois transformées en restaurant, voire en discothèque !). Comment expliquer ce malaise entre l’Europe et ses racines chrétiennes, et ce repli progressif de la spiritualité auquel nous assistons ?
Pourtant dans son temps l’Occident fut aussi religieux que l’Orient, les églises tenaient une part importante au sein de la vie de chacun, et la religion chrétienne avait une place bien ancrée au sein de la société. Les raisons de cette disparition progressive de la spiritualité en Occident, ne sont pas uniquement dues à certains textes de loi comme celui de 1905, qui promulgue la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Ces derniers ne furent que la concrétisation d’un état d’esprit déjà en place depuis quelques siècles (1).
Le recul de l'esprit religieux en Europe au profit du scientisme et de la rationalité est également dû au succès de la philosophie des « lumières », dont les philosophes les plus distingués (en majorité athées ou agnostiques), exercèrent une réelle influence sur leurs contemporains (Descartes, Spinoza, Newton, Rousseau… ). Ce détournement progressif de l’homme « moderne » des valeurs sacrées véhiculées par la religion a précipité sans qu'il le sache sa chute. Il est facile de constater que de nos jours le fait religieux est de plus en plus sur la défensive. Quand la religion n’est pas utilisée pour nourrir une ambition personnelle, elle est réduite à un pur formalisme ou un vulgaire mysticisme, tout sauf religieux (2).
L’homme, qui ne voit donc plus en ces textes religieux qu’un ensemble de récits mythologiques moralisateurs, perd ainsi complètement la notion d’obligations religieuses véhiculées par la doctrine de sa tradition, dont l’origine première est de recueillir les commandement divins à l’attention des hommes afin de leur tracer la voie et dicter leur conduite sur Terre.
C'est ainsi que l'homme religieux a dégénéré en homme moralisateur, parce qu'il a oublié ou ignoré l'origine même du dogme de ses ancêtres et son fondement. Il ne pratique plus qu'une pseudo lecture terre à terre de ses textes religieux, au point de finir par ne plus les comprendre ; d'où la mise en avant de la « morale » au profit du « dogme » qui est souvent relégué au second plan dans le protestantisme (3).
L’avènement de la critique moderne des religions, l’analyse du fait religieux par l'unique point de vue scientifique, historique ou rationnel n'a fait que renforcer le sentiment antireligieux chez nos contemporains. Ne comprenant plus ni les textes fondateurs ni l'histoire de sa civilisation, l'homme du 21ième siècle sacralise toute science expérimentale et doute de tout enseignement religieux. Or l'on sait, du doute à la "négation", il n y a qu'un pas, que plusieurs n'hésitent plus désormais à franchir.
De plus, en faisant l'erreur de réduire la religion à un banal dualisme : Amour/Haine, Bien/Mal, Paradis/Enfer... On commet toujours l'erreur de la ramener à un niveau individuel ou humain ; celui de l'émotionnel, des idées préconçues et du parcours personnel, cocktail idéal pour finir par croire à tout et à n'importe quoi et se perdre dans un abîme de mécréance. L'homme moderne, dans sa révolte vis-à-vis de la religion, s'est détourné du Ciel et de ce fait Dieu l'a oublié. D'ailleurs cette ignorance et incompréhension des enseignements religieux, ce glissement accéléré de la croyance mentale vers l'impiété quotidienne par les actes, sont des signes fort caractéristique de la fin des temps (4). Le prophète Muhammad (PBSL) avait d'ailleurs bien annoncé cette "déchéance spirituelle", irréversible et symboliquement eschatologique de la civilisation humaine, dans un célèbre hadith rapporté par Muslim : « l'homme se lèvera le matin croyant et sera le soir incrédule capable de vendre sa religion pour des futilités de la vie présente »
Ainsi, manifestement nous ne sommes plus très loin de cette époque qualifiée par la tradition musulmane de a’ khir a-zaman, où les « cœurs » seront divisés, les discours divergents et les passions vives, et où la religion disparaîtra pour faire place à un pur formalisme.
A tout ceux qui pensent que la marche du monde va ainsi, ceux qui sont omnibulés par l'esprit scientiste au point de ne rien concevoir en dehors de lui, ceux qui pensent que désormais il n’est plus possible de corriger le tir, et surtout qu’ils ont besoin « de voir un signe » pour revenir à Dieu, cela sont du point de vue doctrinal considérés comme des « aveugles » de l'esprit : « Sourds, muets, aveugles, ils ne peuvent guère revenir (de leur égarement). » (Coran 2:18)
Le changement n’advient donc jamais de l’extérieur, cela est d’une rigueur métaphysique ; la tradition religieuse enseigne que de part sa position centrale dans le cosmos, c’est à l’homme de s’élever vers la vérité et non l’inverse. Et à ce sujet le Coran prêche que Dieu ne change pas un peuple sans que ce dernier ne change quelque chose en lui-même : « Pensiez-vous que Nous vous avions créés sans but, et que vous ne seriez pas ramenés vers Nous ? » (Coran 23:115). Mais les hommes sont-ils prêts à sortir de leur paresse spirituelle, de quitter leur vie bassement matérielle pour s’élever enfin à la Vérité ?
(1) Il convient de retenir à ce sujet que l'avènement de la « Réforme » au 16éme siècle des mains de M. Luther et J. Calvin, ainsi que la formulation plus tard du libéralisme des mains de ses théoriciens A. Smith et B. Constant furent des événements décisifs dans l'histoire de l'Europe pour comprendre l'avènement de la modernité et de la société laïque.
(2) Les récits contemporains tournant autour de la passion du Christ témoignent d'eux-mêmes de cet état de fait.
par Lionel. J

Le foyer de l'araignée:
Toute la beauté, le romantisme et la tranquillité qui règne dans le foyer musulman laisse place à la méchanceté, à la violence, à l’adversité qui règne dans le foyer (nid !!!) de l ‘araignée comme nous allons le voir :
- Ce foyer est le plus humiliant : il ne connaît ni miséricorde, ni amour :
La femelle dévore le mal après la fécondation
Les petits de l’araignée dévorent leur mère une fois ils sont grands.
Le mal s’enfuit de son foyer par peur de la femelle qui le tue.
- Ce foyer se base essentiellement sur les intérêts matériels temporaires de cette vie ci bas, une fois ils sont réalisés par les membres de ce foyer, ils ne connaissent qu ‘une hostile cohabitation;
- La femelle séduit le mal et l’invite chez elle pour un seul but seulement : la fécondation, une fois elle atteint son but elle essaie de le tuer par ses crochets empoisonnés c’est pour cela que le mal s’enfuit de son foyer. L’exemple type de cette maligne araignée s’appelle : la veuve noiretrès connue dans le vaste monde des araignées.
EXEMPLE DE CETTE ARAIGNÉE : Il y en a certaines femmes qui ressemblent aux araignées à ce niveau, il s’agit de celle qui se marie avec un homme seulement pour son aisance matérielle: maison, villa, argent …., une fois elle réalise ses intérêts ou si elle trouve un autre homme plus séduisant, elle congédie son homme de son foyer et les recours contre lui aux tribunaux aussi si cet homme tombera malade elle quitte son lit et ne lui donne le soin le moindre.
- Au sein de ce foyer les petits restent tranquilles, sous la domination des parents jusqu’à ce qu’ils deviennent capables de compter sur leurs efforts : une fois leurs crochets et leurs poisons sont disponibles pour l’attaque, cette dernière se fait contre la mère araignée qui se trouve seule dans le foyer puisque le père s’enfuit une fois il remplisse sa fonction biologique.
EXEMPLE DE CES ENFANTS : il existe parmi les êtres humains des enfants qui congédient leurs parents ou les tuent afin de céder leurs places à leurs conjoints et à leurs enfants.
- Ce foyer puisqu’il ne connaît pas la miséricorde envers ses membres, il le méconnaît pour les autres vivant : (insectes, animal.), une fois un vivant passe à ce foyer il tombe entre les crochets de l’araignée qui le tue.
- Le mal dans ce foyer n’a de rôle que satisfaire: ses besoins biologiques (fécondation), nourriture, repos, en cas de besoin, il entre au foyer et exerce ce rôle matériel une fois il le termine il s’enfuit.
EXEMPLE DE CE MAL : certains hommes ne rentrent à leurs foyer que pour dormir, avoir des relations conjugales, manger……en générale la satisfaction de ces hommes est purement matérielles, une fois ils sont satisfaits ils quittent le foyer pour le café, le club, l’hôtel ou les rencontre des amies et le voyage et ne connaissent le chemin de leurs maisons que pour satisfaire les mêmes besoins.
- L’autorité au sein de ce foyer est entre les mains de la femelle, Allah – Glorifié soit-Il - dit : « ressemblent à l'araignée qui s'est donnée maison ». L’araignée : 41- Al ankaboute :
C’est elle qui l’organise et donne la permission au mal de rentrer ou décamper et n’accepte pas sa domination ni de lui partager la vie, elle veut vivre sans lui. En cas où il souhaite rester au foyer, sa vie sera en danger. Il sera tué.
Exemple de cette situation : le foyer où l’homme n’a pas d’importance, ni prééminence.
Le choix !!!! : Voilà mon frère musulman, ma sœur musulmane, choisissez de ces deux exemples de foyer celui qui vous convient : un foyer fort ou règne le respect, la tranquillité et la miséricorde. Ou bien un foyer de faible base ou la tranquillité, le respect et la miséricorde n’ont pas de lieu. Allah – Glorifié soit-Il -nous a expliqué par sa parfaite parole le sacré Coran que : Ceux qui ont pris les protecteurs en dehors de Dieu ressemblent à l'araignée qui s'est donnée maison. Or la maison la plus fragile est celle de l'araignée. Si seulement ils savaient ! L’araignée : 41- Al ankaboute
Si seulement ils savaient ! : L’importance de l ‘amour, de la miséricorde, de la paix, de la tranquillité, de la piété, de la fidélité, du sacrifice, de l‘entraide pour le convenable et le bien.
Si seulement ils savaient ! : Le danger que constituent les troubles des relations sociales et sentimentales entre l’homme<-la femme<-les enfants, <- les proches reliés par le sang et les voisins.
Si seulement ils savaient ! : Pour obtenir ce savoir, il nous faut trop étudier, apprendre du savoir religieux, avoir de la patience par l’accomplissement de la prière.
Si seulement ils savaient ! : L’importance de mettre la protection du foyer entre les mains de l’homme au sein du foyer musulman :
Si l’homme comprend le vrai sens de la prééminence : c’est une responsabilité qu’il porte sur son dos afin de protéger, bien traiter sa femme, ses enfant, ses proches et de prendre en charge leurs besoin matériels.
Si la femme comprend qu’elle trouve dans la prééminence sa propre protection sociale, psychique, physique, culturelle, il s’agit d’un signe de son individuation au sein de la société musulmane, s’elle saura que cette individualisation ne se trouve pas chez les autres femmes non musulmanes et surtout chez les européennes qui travaillent jours et nuit et doivent prendre leur charges à l’age de la puberté pour se vieillir sans protecteur.
Si seulement ils savaient ! : Que l’effondrement de l’organisation sociale islamique rendra le foyer du musulman un foyer d’araignée - veuve noire, où :
-Le père congédie son fils,
-Le fils tue ses parents,
-La fille quitte le foyer,
-La femme surveille et prémédite son mari,
-L’homme profite de sa femme.
Si seulement ils savaient ! : Que la vraie liberté de la femme en Islam se trouve là où elle jouit de ses droits matériels, psychiques, physiques, scientifiques, …
Si seulement ils savaient ! : Que ce que la société musulmane connaissent actuellement au nom de droits de la femme et qui pousse la femme contre l’homme et l’homme contre la femme n’a rien avoir avec l ‘Islam.
Alors, qui donc parmi nous, accepte de vivre comme l’araignée ?!!Qui accepte d’avoir des mauvaises relations sociales?!
Qui accepte de vivre sans paix ni tranquillité?!
Qui accepte de vivre entouré de peur, d’insécurité, de trouble et le malheur?!
Qui accepte de vivre dans un foyer qui le reconnu en cas de force et le méconnaît en cas de faiblesse?!
Chers musulmans, crée dés le début un foyer basé sur la soumission aux ordres d’Allah sa peur, un foyer d’amour, de miséricorde afin de trouver tous ses parfaits sens de vie enracinés dans votre entourage comme un arbre entouré de soin donnant de belles fleures qui enchantent ceux qui les voient.
Remarque : certaines personnes croient que la faiblesse de la maison de l’araignée réside dans ces fils qui sont Trop fins, scientifiquement il a été démontré que ces fils sont trop forts, même plus forts si on les comparent avec les fils de l’acier de la même finesse.
La faiblesse du foyer de l’araignée se voit dans sa construction interne : la faiblesse des relations entres ses membres comme nous l’avons déjà vus et aussi dans sa construction externe puisqu’il ne la protège pas contre la pluie, le soleil, le froid comme voient certains érudits de l’Islam.
Le foyer de l'araignée:
Toute la beauté, le romantisme et la tranquillité qui règne dans le foyer musulman laisse place à la méchanceté, à la violence, à l’adversité qui règne dans le foyer (nid !!!) de l ‘araignée comme nous allons le voir :
- Ce foyer est le plus humiliant : il ne connaît ni miséricorde, ni amour :
La femelle dévore le mal après la fécondation
Les petits de l’araignée dévorent leur mère une fois ils sont grands.
Le mal s’enfuit de son foyer par peur de la femelle qui le tue.
- Ce foyer se base essentiellement sur les intérêts matériels temporaires de cette vie ci bas, une fois ils sont réalisés par les membres de ce foyer, ils ne connaissent qu ‘une hostile cohabitation;
- La femelle séduit le mal et l’invite chez elle pour un seul but seulement : la fécondation, une fois elle atteint son but elle essaie de le tuer par ses crochets empoisonnés c’est pour cela que le mal s’enfuit de son foyer. L’exemple type de cette maligne araignée s’appelle : la veuve noiretrès connue dans le vaste monde des araignées.
EXEMPLE DE CETTE ARAIGNÉE : Il y en a certaines femmes qui ressemblent aux araignées à ce niveau, il s’agit de celle qui se marie avec un homme seulement pour son aisance matérielle: maison, villa, argent …., une fois elle réalise ses intérêts ou si elle trouve un autre homme plus séduisant, elle congédie son homme de son foyer et les recours contre lui aux tribunaux aussi si cet homme tombera malade elle quitte son lit et ne lui donne le soin le moindre.
- Au sein de ce foyer les petits restent tranquilles, sous la domination des parents jusqu’à ce qu’ils deviennent capables de compter sur leurs efforts : une fois leurs crochets et leurs poisons sont disponibles pour l’attaque, cette dernière se fait contre la mère araignée qui se trouve seule dans le foyer puisque le père s’enfuit une fois il remplisse sa fonction biologique.
EXEMPLE DE CES ENFANTS : il existe parmi les êtres humains des enfants qui congédient leurs parents ou les tuent afin de céder leurs places à leurs conjoints et à leurs enfants.
- Ce foyer puisqu’il ne connaît pas la miséricorde envers ses membres, il le méconnaît pour les autres vivant : (insectes, animal.), une fois un vivant passe à ce foyer il tombe entre les crochets de l’araignée qui le tue.
- Le mal dans ce foyer n’a de rôle que satisfaire: ses besoins biologiques (fécondation), nourriture, repos, en cas de besoin, il entre au foyer et exerce ce rôle matériel une fois il le termine il s’enfuit.
EXEMPLE DE CE MAL : certains hommes ne rentrent à leurs foyer que pour dormir, avoir des relations conjugales, manger……en générale la satisfaction de ces hommes est purement matérielles, une fois ils sont satisfaits ils quittent le foyer pour le café, le club, l’hôtel ou les rencontre des amies et le voyage et ne connaissent le chemin de leurs maisons que pour satisfaire les mêmes besoins.
- L’autorité au sein de ce foyer est entre les mains de la femelle, Allah – Glorifié soit-Il - dit : « ressemblent à l'araignée qui s'est donnée maison ». L’araignée : 41- Al ankaboute :
C’est elle qui l’organise et donne la permission au mal de rentrer ou décamper et n’accepte pas sa domination ni de lui partager la vie, elle veut vivre sans lui. En cas où il souhaite rester au foyer, sa vie sera en danger. Il sera tué.
Exemple de cette situation : le foyer où l’homme n’a pas d’importance, ni prééminence.
Le choix !!!! : Voilà mon frère musulman, ma sœur musulmane, choisissez de ces deux exemples de foyer celui qui vous convient : un foyer fort ou règne le respect, la tranquillité et la miséricorde. Ou bien un foyer de faible base ou la tranquillité, le respect et la miséricorde n’ont pas de lieu. Allah – Glorifié soit-Il -nous a expliqué par sa parfaite parole le sacré Coran que :
Ceux qui ont pris les protecteurs en dehors de Dieu ressemblent à l'araignée qui s'est donnée maison. Or la maison la plus fragile est celle de l'araignée. Si seulement ils savaient ! L’araignée : 41- Al ankaboute
Si seulement ils savaient ! : L’importance de l ‘amour, de la miséricorde, de la paix, de la tranquillité, de la piété, de la fidélité, du sacrifice, de l‘entraide pour le convenable et le bien.
Si seulement ils savaient ! : Le danger que constituent les troubles des relations sociales et sentimentales entre l’homme<-la femme<-les enfants, <- les proches reliés par le sang et les voisins.
Si seulement ils savaient ! : Pour obtenir ce savoir, il nous faut trop étudier, apprendre du savoir religieux, avoir de la patience par l’accomplissement de la prière.
Si seulement ils savaient ! : L’importance de mettre la protection du foyer entre les mains de l’homme au sein du foyer musulman :
Si l’homme comprend le vrai sens de la prééminence : c’est une responsabilité qu’il porte sur son dos afin de protéger, bien traiter sa femme, ses enfant, ses proches et de prendre en charge leurs besoin matériels.
Si la femme comprend qu’elle trouve dans la prééminence sa propre protection sociale, psychique, physique, culturelle, il s’agit d’un signe de son individuation au sein de la société musulmane, s’elle saura que cette individualisation ne se trouve pas chez les autres femmes non musulmanes et surtout chez les européennes qui travaillent jours et nuit et doivent prendre leur charges à l’age de la puberté pour se vieillir sans protecteur.
Si seulement ils savaient ! : Que l’effondrement de l’organisation sociale islamique rendra le foyer du musulman un foyer d’araignée - veuve noire, où :
-Le père congédie son fils,
-Le fils tue ses parents,
-La fille quitte le foyer,
-La femme surveille et prémédite son mari,
-L’homme profite de sa femme.
Si seulement ils savaient ! : Que la vraie liberté de la femme en Islam se trouve là où elle jouit de ses droits matériels, psychiques, physiques, scientifiques, …
Si seulement ils savaient ! : Que ce que la société musulmane connaissent actuellement au nom de droits de la femme et qui pousse la femme contre l’homme et l’homme contre la femme n’a rien avoir avec l ‘Islam.
Alors, qui donc parmi nous, accepte de vivre comme l’araignée ?!!Qui accepte d’avoir des mauvaises relations sociales?!
Qui accepte de vivre sans paix ni tranquillité?!
Qui accepte de vivre entouré de peur, d’insécurité, de trouble et le malheur?!
Qui accepte de vivre dans un foyer qui le reconnu en cas de force et le méconnaît en cas de faiblesse?!
Chers musulmans, crée dés le début un foyer basé sur la soumission aux ordres d’Allah sa peur, un foyer d’amour, de miséricorde afin de trouver tous ses parfaits sens de vie enracinés dans votre entourage comme un arbre entouré de soin donnant de belles fleures qui enchantent ceux qui les voient.
Remarque : certaines personnes croient que la faiblesse de la maison de l’araignée réside dans ces fils qui sont Trop fins, scientifiquement il a été démontré que ces fils sont trop forts, même plus forts si on les comparent avec les fils de l’acier de la même finesse.
La faiblesse du foyer de l’araignée se voit dans sa construction interne : la faiblesse des relations entres ses membres comme nous l’avons déjà vus et aussi dans sa construction externe puisqu’il ne la protège pas contre la pluie, le soleil, le froid comme voient certains érudits de l’Islam.
Par le Docteur : Nazmi Khalil Abou Al- Atta- M’ussa
Traduit Par : Bint Al Andalouse
Beaucoup d’éléments et de preuves viennent confirmer ce qui semble redevenu une vérité pour de nombreux scientifiques. Oui, il y a bien un phénomène de retour, car cette thèse était jadis très prisée, jusqu’à ce que la théorie darwinienne de l’évolution vienne la battre en brèche.
La raison d’une telle attitude dans la communauté scientifique semblait provenir des conséquences du processus de sécularisation des religions, que des personnes voulaient à tout pris lancer. La théorie de l’évolution n’avait pourtant pas plus de poids, à l’époque médiévale, que la théorie du dessein des biologistes naturels et des physiciens théologiens tels que Newton et Kepler. N’ayant pas plus d’argumentation à fournir à l’époque, la théorie darwinienne prit alors le dessus, car cette solution toute faite venait satisfaire cette envie de vouloir se débarrasser de toute contrainte, que la religion conférait ou connotait.
Cette négativité est sans doute due à la religion chrétienne qui n’a pas été des plus tolérantes au Moyen-Âge et dont l’intégrisme de l’Inquisition acheva et enterra toute influence dans la pensée, qui n’a aujourd’hui de judéo-chrétien qu’un vocabulaire sans sens. Cependant, on voit actuellement réapparaître le courant des biologistes dits téléologiques, qui reviennent cette fois-ci en s’appuyant de preuves qui sont maintes fois plus convaincantes que la théorie de l’évolution, tant elles constituent des vérités scientifiques aujourd’hui. L’intervention de la religion vient enfin enrichir et compléter les efforts de ces biologistes reconnus mondialement. Nous avons présenté dans l’un de nos articles Abdelmajid Zendani, cet éminent chercheur qui a, depuis ces vingt dernières années, longtemps contribué à ce dialogue avec tous types de scientifiques, la plupart du temps athées. C’est le cas de beaucoup d’autres tels que Zaghloul An Najjar, l’éminent géologue, ou Mohamed Al Barr, le spécialiste en médecine et en génétique. Nous allons commencer une série d’articles qui présente des phénomènes scientifiques intéressants de manière détaillée qui permet d’établir les futurs ponts du dialogue entre l’occident et l’islam, seule religion aujourd’hui qui considère et légitime la science. Parmi les thèmes qui seront traités, sont les découvertes étonnantes liées aussi bien au monde microscopique telles que les propriétés physiques et chimiques des constituants élémentaires de la cellule - l’eau, les composés du carbone, le gaz carbonique, l’oxygène, l’ADN, les protéines, la membrane cellulaire, etc. - qu’au monde macroscopique de l’univers, l’harmonie des sphères, la présence des spectres électromagnétiques et la lumière.
Les supernovae
Grâce aux progrès de l’astronomie, l’observation de certaines manifestations cosmiques permet d’établir des déductions intéressantes. C’est le cas d’un des phénomènes les plus spectaculaires : les supernovae. Cette autodestruction des étoiles, dans une colossale explosion, correspond à la dispersion tout autour d’elles de toute la matière dont elles étaient constituées. Cette réaction n’est pas sans importance pour les êtres vivants, car ces étoiles sont des réservoirs d’éléments indispensables à la vie : le carbone (C), l’azote (N), l’oxygène (O) et le fer (Fe) sont élaborés dans les fors nucléaires situés à l’intérieur des étoiles. Pour se retrouver sur Terre, ils doivent donc avoir été expulsés par des étoiles avoisinantes. "C’est dans la mort des étoiles, que la vie prend naissance" [1]. Les ondes de choc engendrées permettent de déclencher le phénomène de condensation des gaz et des poussières interstellaires, qui conduisent à la formation des systèmes planétaires, tels que notre système solaire !
Viens ensuite une considération importante : la distance qui sépare les étoiles de notre galaxie, semble optimale, car ces supernovae essentielles à la vie, pourraient s’avérer très destructrices. Elles pourraient effectivement, si elles étaient rapprochées quelque peu de la Terre, l’inonder d’un flot de radiations mortelles et faire disparaître toute trace de vie. A l’inverse, si elles étaient plus éloignées, les produits seraient distribués de manière trop diffuse et ne profiteraient guère à la Terre, ni au système solaire qui ne se serait même pas formé. La fréquence et la distribution des explosions d’étoiles sous forme de supernovae constituent aussi un paramètre d’importance critique.
Les niveaux d’énergie
En outre, les niveaux d’énergie existant à l’intérieur des étoiles ne produisent ces éléments nécessaires à la vie, qu’à des conditions très précises d’équilibre des niveaux d’énergie de certains atomes plus lourds tels que le Carbone 12C et l’Oxygène 16O. "Bref, selon la physique et l’astronomie modernes, la formation des composants chimiques élémentaires de la vie et des systèmes planétaires capables d’abriter la vie et l’évolution durant des millions d’années n’est possible qu’à la condition que la structure de l’univers et toutes les lois de la nature soient précisément celles que nous connaissons". "A mesure qu’ils ont de mieux en mieux compris les systèmes physiques, depuis les noyaux jusqu’aux galaxies, les scientifiques se sont rendus compte que de nombreux traits de ces systèmes sont remarquablement dépendants des valeurs précises des constantes fondamentales". [2]
"Comment cela peut-il avoir un rapport avec l’homme ?" s’exclamait Kepler, un des grands astronomes du 17ème siècle. Se contentant de cette intuition à l’époque, les quelques propos relevés montrent, combien ils peuvent être aujourd’hui des éléments convaincants. "L’Homme n’est pas un détail banal au sein du cosmos ni le sous-produit mineur de forces aveugles, non orientées vers un but. Il a vraiment été voulu que nous soyons ici." [3]
Abdelhak O.
[1] Denton - L’évolution a-t-elle un sens ? Editions Fayard p.52
[2] Paul Davies The Accidental Universe, Cambridge Unversity Press, Préface
[3] Paul Davies The Mind of God Penguies Books p.232
Les abeilles construisent des ruches dans lesquelles jusqu'à 80.000 d'entre elles peuvent vivre et travailler ensemble en fabriquant de petites cellules de cire appelées alvéoles.
En conclusion, les cellules hexagonales requièrent un minimum de cire permettant leur élaboration tout en stockant la plus grande quantité possible de miel. Les abeilles n'ont certainement pas calculé elles-mêmes tout ceci, ces connaissances n'ayant été acquises par l'homme qu'après de nombreux calculs géométriques complexes. Ces petites créatures utilisent la forme hexagonale de façon innée, simplement parce que leur Seigneur leur a "inspiré" et enseigné d'agir ainsi.
Tout en travaillant, les abeilles ouvrières forment des cercles et se rassemblent dans des essaims. En agissant ainsi, elles maintiennent la température nécessaire à la production de cire. De petits sacs situés dans leurs abdomens produisent un liquide transparent qui s'écoule à l'extérieur et permet de durcir les fines couches de cire. Les abeilles collectent la cire à l'aide de crochets fixés sur leurs pattes. Elles placent cette cire dans leurs bouches, et la mâchent et la transforment jusqu'à ce qu'elle devienne suffisamment molle et puisse donc être appliquée aux parois des alvéoles. Beaucoup d'abeilles œuvrent ensemble afin de maintenir la température sur leur lieu de travail, pour que la cire demeure tendre et malléable.

El Qurtubî a dit : La divergence au sujet du terme Messie repose sur vingt-trois hypothèses. L’Érudit Abû el Hattâb ibn Dihya les a dénombrées dans son encyclopédie : Majma’ el Bahraïn. Je n’ai pas encore vu de personnes ayant rassemblées autant d’hypothèses sur la question avant moi. Pourtant, j’ai voyagé, circulé, et rencontré des hommes de tout horizon.
Premièrement : Massîh Messie provient de Massyih dont le schème est Maf’il avec la non-vocalisation du sin. Ensuite, la vocalisation a été transmutée du Ya au sin pour simplifier la prononciation.
Deuxièmement : ibn ‘Abbâs a dit : le Messie ne posait pas sa main (en arabe : Massaha) sur un malade ou un infirme sans qu’il ne guérisse ni sur un mort sans qu’il ne revive. Le cas échéant, il est constitué sur la forme du participe présent dans le sens de Mâssih (le faiseur ou celui qui passe sa main).
Troisièmement : selon Ibrahim An-Nakha’î, il signifie plutôt « le véridique » ; el Asma’î et ibn el A’rabî le rejoigne également sur cette idée.
Quatrièmement : Abû ‘Ubaïd a expliqué : je pense que l’origine de ce vocable fut Ha Ma Shiha avec un shine. Puis, en s’arabisant, il serait devenu massiya comme le prononce les Juifs.
Cinquièmement : ibn ‘Abbâs a dit également comme le rapporte ‘Atâ d’après ce dernier : Jésus fut appelé Massih en raison de ses pieds plats. Ainsi, il n’a pas de creux sous la plante du pied dans le sens où cet endroit ne doit normalement pas avoir de contact avec le sol. S’il manque ce creux à une personne, on dit qu’elle est Raha (qu’elle a les pieds plats).
Sixièmement : il fut surnommé ainsi pour être sorti du ventre de sa mère le corps oint par une huile ; Massaha signifiant oindre.
Septièmement : il fut nommé ainsi pour avoir reçu une onction d’huile à sa naissance.
Huitièmement : l’Imam Abû Ishâq el Jawânî a évoqué dans son œuvre el Gharîb el Kabîr : Allah Tout Puissant lui aurait donné ce nom ou bien aurait-il été nommé ainsi pour avoir fait onction à Zakariya.
Neuvièmement : il fut appelé ainsi en raison de sa beauté du visage. En effet étymologiquement, ce terme exprime les beaux traits du visage. On dit Masha pour un visage rayonnant de beauté et de charme. Dans ce registre, nous avons dans le Hadith suivant, bien qu’il soit faible et singulier : « Se présentera à vous par ce passage, une personne prospère (ou rayonnante), comme s’il y avait sur son visage les marques (Masha) de la royauté. »
Dixièmement : le terme Massîh signifie étymologiquement un éclat d’argent, ce qui correspond exactement à l’aspect physique de ‘Îsâ. Il est blanc de peau avec légèrement le teint rouge, lui donnant ainsi le plus beau teint qui soit. Il a la poitrine large et robuste et son corps est ramassé et compact.
Onzièmement : ce terme correspond étymologiquement à la sueur du cheval comme le dénote le vers suivant :
Les étalons ont suinté du Massîh
C’est-à-dire : ils ont sué.
Il est certifié dans Sahîh Mouslim, selon ibn Ka’b : « Quand le Prophète () a remarqué mon état critique, il m’a donné un coup sur la poitrine, et je fus trempé de sueur comme si je contemplais Allah Tout puissant, en étant rempli de frayeur. »[1] El Khattâbi l’a mentionné dans son commentaire en précisant qu’il s’écrit avec un Sâd ou un Dhâd. El ‘Ijâj a versifié :
Les étalons ont suinté du Massîh
C’est à dire : ils ont sué.
Douzièmement : il a le sens de coït : un homme a effleuré Massâha une femme s’il a eu des rapports sexuels avec elle. Ibn Fâris l’a fait remarquer dans el Mujmal.
Treizièmement : le Messie serait une épée comme l’a signalé Abû ‘Amr el Mutarriz.
Quatorzièmement : ce serait un ânier (qui conduit des ânes et qui en fait la location).
Quinzièmement : il correspondrait à celui qui arpente la terre, autrement dit qui parcourt de longues distances, comme l’a précisé le crédible linguiste Abû el ‘Abbâs Ahmed ibn Yahya ibn Tha’lab. C’est pourquoi, ‘Issa fut surnommé le Messie. Une fois, on le retrouve dans le Shâm, une autre fois en Égypte, parfois le long de la mer à el Muhâma et el Qaffâr. Lui et le faux messie furent nommés ainsi en raison de leur long circuit à travers les pays.
Seizièmement : ce même auteur rapporte selon sa propre chaîne de transmission qui remonte à Abû el Hasan el Qabîsî, ce dernier ayant posé la question à l’Érudit, le « lecteur » Abû ‘Amr Ad-Dânî : comment lit-on le faux messie Massih ?
- Avec un A après le Mîm et sans redoubler le S comme pour le fils de Marie (r) qui a été enveloppé (recouvert dans le sens d’enduit) par la bénédiction tandis que pour l’Antéchrist, il a œil recouvert (enveloppé ou effacé).
Abû el Hasan a commenté : il y en a qui le lise avec un I après le Mîm et en redoublant le Sîn ; ils le surnomment ainsi. Quant à moi, je le prononce uniquement comme je te l’ai appris.
Ibn Dihya a dit : selon el Azharî, on prononce Massih en redoublant le Sin suivant le schème Fa’’il à la différence du Messie (r). Ensuite, d’après une chaîne de transmission qu’il fait remonter à son maître ibn Bashkwal, selon Abû ‘Imrân ibn ‘Abd Ar-Rahmân, j’ai entendu dire l’Erudit Abû ‘Omar ibn ‘Abd el Bar : Certains l’ont lu avec un Kha donnant Massikh (monstrueux, difforme). Cependant, aux yeux des gens de science, c’est une grossière erreur ; il n’y a aucune différence entre les deux prononciations. Il est certifié en effet, selon le Messager d’Allah (r) que ce dernier le formulait ainsi comme les compagnons et ses ambassadeurs, nous l’ont transmis. Les linguistes se sont référés dans ce chapitre aux vers de ‘Abd Allah ibn Qaïs e-Raqiyat :
Laisse Roqiya ont-il dit et éloigne-toi
Quand sortira le Massîh répondis-je !
Il veut dire : quand sortira l’Antéchrist conformément à leurs commentaires, c’est pourquoi, nous l’avons illustré ici.
A-Rajiz a dit :
Quand le Massih tuera le Massih
Quand le Messie (r) tuera le faux Messie à Nabzik. Je l’ai lu dans le premier volume de sharh alfath el Gharib min e-Sahih de son auteur le Juge, l’Imam, le Moufti Abû el Asbâgh ibn Sahl.
Dix-septièmement : l’Antéchrist fut appelé ainsi, car il n’a ni œil ni sourcil. Ibn Fâris a dit : le faux Messie a l’un des côtés du visage effacé ou essuyé ; il n’a ni œil ni sourcil. C’est pourquoi, l’Antéchrist fut appelé ainsi. Puis, il a fait remonter à Hudhaïfa un propos attribué au Prophète (r) : « L’œil de l’Antéchrist est effacé, il est recouvert d’une membrane épaisse.»[2] Rapporté par Mouslim.
Dix-huitièmement : il signifie Menteur, il est donc particulier à l’Antéchrist. Il va en effet mentir en prétendant être Dieu, ce qui est le mensonge de l’humanité. C’est pourquoi, à travers ce pseudonyme, Allah l’a dénigré et l’a couvert d’opprobre.
Dix-neuvièmement : il provient du démon qui est le fourbe et le malin ; de Tamsih (menteur, imposteur) également selon ibn Fâris. On dit donc qu’il est le Menteur en usant aussi le terme Timsah (voulant dire aussi crocodile).
Vingtièmement : ce terme proviendrait des déplacements et des pérégrinations du Faux Messie, il serait pris de la racine de Fâ’il dans le sens du participe présent. La différence entre cette origine et celle mentionnée dans le quinzième point, c’est que la première origine est particulière au simple déplacement sur terre, tandis qu’ici elle est plus précise ; cela veut dire qu’il va couvrir de ses déplacements et empiéter toute la surface de la terre à l’exception de Médine et de la Mecque.
Vingt et unièmement : c’est une pièce de monnaie lisse non gravée ou effacée comme nous l’apprend ibn Fâris. Cela répond exactement aux caractéristiques du borgne étant donné qu’une partie de sa face est comme effacée ; cette déformation ou défiguration est des plus laides.
Vingt-deuxièmement : l’érudit Abû Na’îm dans son œuvre dalâil e-Nubuwwa (les signes de la prophétie) explique que le Messie fils de Marie fut qualifié ainsi étant donné que ses péchés furent effacés.
Vingt-troisièmement : l’érudit Abou Na’îm dans ce livre en question a assuré : Il est dit que Jésus fut baptisé ainsi pour avoir reçu l’onction bénite de la part de Jibril (Gabriel) () comme le formule le verset : (et m’a rendu bénit où que je sois ).[3]
Extraits du livre Le faux Messie et l’avènement du Messie fils de Marie d’el Qurtubî édité par Dar al Mouslim.
Publié par le bureau de prêche de Rabwah (Ryadh)
[1] Rapporté par Mouslim (820).
[2] Rapporté par Mouslim (2934).
[3] Mariam ; 31 remarque : il ne faut pas confondre le participe passé béni, bénie dans le sens de loué, consacré (propre à Allah) et comblé de grâces (de la part d’Allah uniquement), et bénit, bénite dans le sens de consacrer par une cérémonie qu’elle soit liturgique ou non. Ex : eau bénite. Voir le Guillet. (N. du T.).

1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité