Le foyer de l'araignée:
Toute la beauté, le romantisme et la tranquillité qui règne dans le foyer musulman laisse place à la méchanceté, à la violence, à l’adversité qui règne dans le foyer (nid !!!) de l ‘araignée comme nous allons le voir :
- Ce foyer est le plus humiliant : il ne connaît ni miséricorde, ni amour :
La femelle dévore le mal après la fécondation
Les petits de l’araignée dévorent leur mère une fois ils sont grands.
Le mal s’enfuit de son foyer par peur de la femelle qui le tue.
- Ce foyer se base essentiellement sur les intérêts matériels temporaires de cette vie ci bas, une fois ils sont réalisés par les membres de ce foyer, ils ne connaissent qu ‘une hostile cohabitation;
- La femelle séduit le mal et l’invite chez elle pour un seul but seulement : la fécondation, une fois elle atteint son but elle essaie de le tuer par ses crochets empoisonnés c’est pour cela que le mal s’enfuit de son foyer. L’exemple type de cette maligne araignée s’appelle : la veuve noiretrès connue dans le vaste monde des araignées.
EXEMPLE DE CETTE ARAIGNÉE : Il y en a certaines femmes qui ressemblent aux araignées à ce niveau, il s’agit de celle qui se marie avec un homme seulement pour son aisance matérielle: maison, villa, argent …., une fois elle réalise ses intérêts ou si elle trouve un autre homme plus séduisant, elle congédie son homme de son foyer et les recours contre lui aux tribunaux aussi si cet homme tombera malade elle quitte son lit et ne lui donne le soin le moindre.
- Au sein de ce foyer les petits restent tranquilles, sous la domination des parents jusqu’à ce qu’ils deviennent capables de compter sur leurs efforts : une fois leurs crochets et leurs poisons sont disponibles pour l’attaque, cette dernière se fait contre la mère araignée qui se trouve seule dans le foyer puisque le père s’enfuit une fois il remplisse sa fonction biologique.
EXEMPLE DE CES ENFANTS : il existe parmi les êtres humains des enfants qui congédient leurs parents ou les tuent afin de céder leurs places à leurs conjoints et à leurs enfants.
- Ce foyer puisqu’il ne connaît pas la miséricorde envers ses membres, il le méconnaît pour les autres vivant : (insectes, animal.), une fois un vivant passe à ce foyer il tombe entre les crochets de l’araignée qui le tue.
- Le mal dans ce foyer n’a de rôle que satisfaire: ses besoins biologiques (fécondation), nourriture, repos, en cas de besoin, il entre au foyer et exerce ce rôle matériel une fois il le termine il s’enfuit.
EXEMPLE DE CE MAL : certains hommes ne rentrent à leurs foyer que pour dormir, avoir des relations conjugales, manger……en générale la satisfaction de ces hommes est purement matérielles, une fois ils sont satisfaits ils quittent le foyer pour le café, le club, l’hôtel ou les rencontre des amies et le voyage et ne connaissent le chemin de leurs maisons que pour satisfaire les mêmes besoins.
- L’autorité au sein de ce foyer est entre les mains de la femelle, Allah – Glorifié soit-Il - dit : « ressemblent à l'araignée qui s'est donnée maison ». L’araignée : 41- Al ankaboute :
C’est elle qui l’organise et donne la permission au mal de rentrer ou décamper et n’accepte pas sa domination ni de lui partager la vie, elle veut vivre sans lui. En cas où il souhaite rester au foyer, sa vie sera en danger. Il sera tué.
Exemple de cette situation : le foyer où l’homme n’a pas d’importance, ni prééminence.
Le choix !!!! : Voilà mon frère musulman, ma sœur musulmane, choisissez de ces deux exemples de foyer celui qui vous convient : un foyer fort ou règne le respect, la tranquillité et la miséricorde. Ou bien un foyer de faible base ou la tranquillité, le respect et la miséricorde n’ont pas de lieu. Allah – Glorifié soit-Il -nous a expliqué par sa parfaite parole le sacré Coran que : Ceux qui ont pris les protecteurs en dehors de Dieu ressemblent à l'araignée qui s'est donnée maison. Or la maison la plus fragile est celle de l'araignée. Si seulement ils savaient ! L’araignée : 41- Al ankaboute
Si seulement ils savaient ! : L’importance de l ‘amour, de la miséricorde, de la paix, de la tranquillité, de la piété, de la fidélité, du sacrifice, de l‘entraide pour le convenable et le bien.
Si seulement ils savaient ! : Le danger que constituent les troubles des relations sociales et sentimentales entre l’homme<-la femme<-les enfants, <- les proches reliés par le sang et les voisins.
Si seulement ils savaient ! : Pour obtenir ce savoir, il nous faut trop étudier, apprendre du savoir religieux, avoir de la patience par l’accomplissement de la prière.
Si seulement ils savaient ! : L’importance de mettre la protection du foyer entre les mains de l’homme au sein du foyer musulman :
Si l’homme comprend le vrai sens de la prééminence : c’est une responsabilité qu’il porte sur son dos afin de protéger, bien traiter sa femme, ses enfant, ses proches et de prendre en charge leurs besoin matériels.
Si la femme comprend qu’elle trouve dans la prééminence sa propre protection sociale, psychique, physique, culturelle, il s’agit d’un signe de son individuation au sein de la société musulmane, s’elle saura que cette individualisation ne se trouve pas chez les autres femmes non musulmanes et surtout chez les européennes qui travaillent jours et nuit et doivent prendre leur charges à l’age de la puberté pour se vieillir sans protecteur.
Si seulement ils savaient ! : Que l’effondrement de l’organisation sociale islamique rendra le foyer du musulman un foyer d’araignée - veuve noire, où :
-Le père congédie son fils,
-Le fils tue ses parents,
-La fille quitte le foyer,
-La femme surveille et prémédite son mari,
-L’homme profite de sa femme.
Si seulement ils savaient ! : Que la vraie liberté de la femme en Islam se trouve là où elle jouit de ses droits matériels, psychiques, physiques, scientifiques, …
Si seulement ils savaient ! : Que ce que la société musulmane connaissent actuellement au nom de droits de la femme et qui pousse la femme contre l’homme et l’homme contre la femme n’a rien avoir avec l ‘Islam.
Alors, qui donc parmi nous, accepte de vivre comme l’araignée ?!!Qui accepte d’avoir des mauvaises relations sociales?!
Qui accepte de vivre sans paix ni tranquillité?!
Qui accepte de vivre entouré de peur, d’insécurité, de trouble et le malheur?!
Qui accepte de vivre dans un foyer qui le reconnu en cas de force et le méconnaît en cas de faiblesse?!
Chers musulmans, crée dés le début un foyer basé sur la soumission aux ordres d’Allah sa peur, un foyer d’amour, de miséricorde afin de trouver tous ses parfaits sens de vie enracinés dans votre entourage comme un arbre entouré de soin donnant de belles fleures qui enchantent ceux qui les voient.
Remarque : certaines personnes croient que la faiblesse de la maison de l’araignée réside dans ces fils qui sont Trop fins, scientifiquement il a été démontré que ces fils sont trop forts, même plus forts si on les comparent avec les fils de l’acier de la même finesse.
La faiblesse du foyer de l’araignée se voit dans sa construction interne : la faiblesse des relations entres ses membres comme nous l’avons déjà vus et aussi dans sa construction externe puisqu’il ne la protège pas contre la pluie, le soleil, le froid comme voient certains érudits de l’Islam.
Le foyer de l'araignée:
Toute la beauté, le romantisme et la tranquillité qui règne dans le foyer musulman laisse place à la méchanceté, à la violence, à l’adversité qui règne dans le foyer (nid !!!) de l ‘araignée comme nous allons le voir :
- Ce foyer est le plus humiliant : il ne connaît ni miséricorde, ni amour :
La femelle dévore le mal après la fécondation
Les petits de l’araignée dévorent leur mère une fois ils sont grands.
Le mal s’enfuit de son foyer par peur de la femelle qui le tue.
- Ce foyer se base essentiellement sur les intérêts matériels temporaires de cette vie ci bas, une fois ils sont réalisés par les membres de ce foyer, ils ne connaissent qu ‘une hostile cohabitation;
- La femelle séduit le mal et l’invite chez elle pour un seul but seulement : la fécondation, une fois elle atteint son but elle essaie de le tuer par ses crochets empoisonnés c’est pour cela que le mal s’enfuit de son foyer. L’exemple type de cette maligne araignée s’appelle : la veuve noiretrès connue dans le vaste monde des araignées.
EXEMPLE DE CETTE ARAIGNÉE : Il y en a certaines femmes qui ressemblent aux araignées à ce niveau, il s’agit de celle qui se marie avec un homme seulement pour son aisance matérielle: maison, villa, argent …., une fois elle réalise ses intérêts ou si elle trouve un autre homme plus séduisant, elle congédie son homme de son foyer et les recours contre lui aux tribunaux aussi si cet homme tombera malade elle quitte son lit et ne lui donne le soin le moindre.
- Au sein de ce foyer les petits restent tranquilles, sous la domination des parents jusqu’à ce qu’ils deviennent capables de compter sur leurs efforts : une fois leurs crochets et leurs poisons sont disponibles pour l’attaque, cette dernière se fait contre la mère araignée qui se trouve seule dans le foyer puisque le père s’enfuit une fois il remplisse sa fonction biologique.
EXEMPLE DE CES ENFANTS : il existe parmi les êtres humains des enfants qui congédient leurs parents ou les tuent afin de céder leurs places à leurs conjoints et à leurs enfants.
- Ce foyer puisqu’il ne connaît pas la miséricorde envers ses membres, il le méconnaît pour les autres vivant : (insectes, animal.), une fois un vivant passe à ce foyer il tombe entre les crochets de l’araignée qui le tue.
- Le mal dans ce foyer n’a de rôle que satisfaire: ses besoins biologiques (fécondation), nourriture, repos, en cas de besoin, il entre au foyer et exerce ce rôle matériel une fois il le termine il s’enfuit.
EXEMPLE DE CE MAL : certains hommes ne rentrent à leurs foyer que pour dormir, avoir des relations conjugales, manger……en générale la satisfaction de ces hommes est purement matérielles, une fois ils sont satisfaits ils quittent le foyer pour le café, le club, l’hôtel ou les rencontre des amies et le voyage et ne connaissent le chemin de leurs maisons que pour satisfaire les mêmes besoins.
- L’autorité au sein de ce foyer est entre les mains de la femelle, Allah – Glorifié soit-Il - dit : « ressemblent à l'araignée qui s'est donnée maison ». L’araignée : 41- Al ankaboute :
C’est elle qui l’organise et donne la permission au mal de rentrer ou décamper et n’accepte pas sa domination ni de lui partager la vie, elle veut vivre sans lui. En cas où il souhaite rester au foyer, sa vie sera en danger. Il sera tué.
Exemple de cette situation : le foyer où l’homme n’a pas d’importance, ni prééminence.
Le choix !!!! : Voilà mon frère musulman, ma sœur musulmane, choisissez de ces deux exemples de foyer celui qui vous convient : un foyer fort ou règne le respect, la tranquillité et la miséricorde. Ou bien un foyer de faible base ou la tranquillité, le respect et la miséricorde n’ont pas de lieu. Allah – Glorifié soit-Il -nous a expliqué par sa parfaite parole le sacré Coran que :
Ceux qui ont pris les protecteurs en dehors de Dieu ressemblent à l'araignée qui s'est donnée maison. Or la maison la plus fragile est celle de l'araignée. Si seulement ils savaient ! L’araignée : 41- Al ankaboute
Si seulement ils savaient ! : L’importance de l ‘amour, de la miséricorde, de la paix, de la tranquillité, de la piété, de la fidélité, du sacrifice, de l‘entraide pour le convenable et le bien.
Si seulement ils savaient ! : Le danger que constituent les troubles des relations sociales et sentimentales entre l’homme<-la femme<-les enfants, <- les proches reliés par le sang et les voisins.
Si seulement ils savaient ! : Pour obtenir ce savoir, il nous faut trop étudier, apprendre du savoir religieux, avoir de la patience par l’accomplissement de la prière.
Si seulement ils savaient ! : L’importance de mettre la protection du foyer entre les mains de l’homme au sein du foyer musulman :
Si l’homme comprend le vrai sens de la prééminence : c’est une responsabilité qu’il porte sur son dos afin de protéger, bien traiter sa femme, ses enfant, ses proches et de prendre en charge leurs besoin matériels.
Si la femme comprend qu’elle trouve dans la prééminence sa propre protection sociale, psychique, physique, culturelle, il s’agit d’un signe de son individuation au sein de la société musulmane, s’elle saura que cette individualisation ne se trouve pas chez les autres femmes non musulmanes et surtout chez les européennes qui travaillent jours et nuit et doivent prendre leur charges à l’age de la puberté pour se vieillir sans protecteur.
Si seulement ils savaient ! : Que l’effondrement de l’organisation sociale islamique rendra le foyer du musulman un foyer d’araignée - veuve noire, où :
-Le père congédie son fils,
-Le fils tue ses parents,
-La fille quitte le foyer,
-La femme surveille et prémédite son mari,
-L’homme profite de sa femme.
Si seulement ils savaient ! : Que la vraie liberté de la femme en Islam se trouve là où elle jouit de ses droits matériels, psychiques, physiques, scientifiques, …
Si seulement ils savaient ! : Que ce que la société musulmane connaissent actuellement au nom de droits de la femme et qui pousse la femme contre l’homme et l’homme contre la femme n’a rien avoir avec l ‘Islam.
Alors, qui donc parmi nous, accepte de vivre comme l’araignée ?!!Qui accepte d’avoir des mauvaises relations sociales?!
Qui accepte de vivre sans paix ni tranquillité?!
Qui accepte de vivre entouré de peur, d’insécurité, de trouble et le malheur?!
Qui accepte de vivre dans un foyer qui le reconnu en cas de force et le méconnaît en cas de faiblesse?!
Chers musulmans, crée dés le début un foyer basé sur la soumission aux ordres d’Allah sa peur, un foyer d’amour, de miséricorde afin de trouver tous ses parfaits sens de vie enracinés dans votre entourage comme un arbre entouré de soin donnant de belles fleures qui enchantent ceux qui les voient.
Remarque : certaines personnes croient que la faiblesse de la maison de l’araignée réside dans ces fils qui sont Trop fins, scientifiquement il a été démontré que ces fils sont trop forts, même plus forts si on les comparent avec les fils de l’acier de la même finesse.
La faiblesse du foyer de l’araignée se voit dans sa construction interne : la faiblesse des relations entres ses membres comme nous l’avons déjà vus et aussi dans sa construction externe puisqu’il ne la protège pas contre la pluie, le soleil, le froid comme voient certains érudits de l’Islam.
Par le Docteur : Nazmi Khalil Abou Al- Atta- M’ussa
Traduit Par : Bint Al Andalouse
Beaucoup d’éléments et de preuves viennent confirmer ce qui semble redevenu une vérité pour de nombreux scientifiques. Oui, il y a bien un phénomène de retour, car cette thèse était jadis très prisée, jusqu’à ce que la théorie darwinienne de l’évolution vienne la battre en brèche.
La raison d’une telle attitude dans la communauté scientifique semblait provenir des conséquences du processus de sécularisation des religions, que des personnes voulaient à tout pris lancer. La théorie de l’évolution n’avait pourtant pas plus de poids, à l’époque médiévale, que la théorie du dessein des biologistes naturels et des physiciens théologiens tels que Newton et Kepler. N’ayant pas plus d’argumentation à fournir à l’époque, la théorie darwinienne prit alors le dessus, car cette solution toute faite venait satisfaire cette envie de vouloir se débarrasser de toute contrainte, que la religion conférait ou connotait.
Cette négativité est sans doute due à la religion chrétienne qui n’a pas été des plus tolérantes au Moyen-Âge et dont l’intégrisme de l’Inquisition acheva et enterra toute influence dans la pensée, qui n’a aujourd’hui de judéo-chrétien qu’un vocabulaire sans sens. Cependant, on voit actuellement réapparaître le courant des biologistes dits téléologiques, qui reviennent cette fois-ci en s’appuyant de preuves qui sont maintes fois plus convaincantes que la théorie de l’évolution, tant elles constituent des vérités scientifiques aujourd’hui. L’intervention de la religion vient enfin enrichir et compléter les efforts de ces biologistes reconnus mondialement. Nous avons présenté dans l’un de nos articles Abdelmajid Zendani, cet éminent chercheur qui a, depuis ces vingt dernières années, longtemps contribué à ce dialogue avec tous types de scientifiques, la plupart du temps athées. C’est le cas de beaucoup d’autres tels que Zaghloul An Najjar, l’éminent géologue, ou Mohamed Al Barr, le spécialiste en médecine et en génétique. Nous allons commencer une série d’articles qui présente des phénomènes scientifiques intéressants de manière détaillée qui permet d’établir les futurs ponts du dialogue entre l’occident et l’islam, seule religion aujourd’hui qui considère et légitime la science. Parmi les thèmes qui seront traités, sont les découvertes étonnantes liées aussi bien au monde microscopique telles que les propriétés physiques et chimiques des constituants élémentaires de la cellule - l’eau, les composés du carbone, le gaz carbonique, l’oxygène, l’ADN, les protéines, la membrane cellulaire, etc. - qu’au monde macroscopique de l’univers, l’harmonie des sphères, la présence des spectres électromagnétiques et la lumière.
Les supernovae
Grâce aux progrès de l’astronomie, l’observation de certaines manifestations cosmiques permet d’établir des déductions intéressantes. C’est le cas d’un des phénomènes les plus spectaculaires : les supernovae. Cette autodestruction des étoiles, dans une colossale explosion, correspond à la dispersion tout autour d’elles de toute la matière dont elles étaient constituées. Cette réaction n’est pas sans importance pour les êtres vivants, car ces étoiles sont des réservoirs d’éléments indispensables à la vie : le carbone (C), l’azote (N), l’oxygène (O) et le fer (Fe) sont élaborés dans les fors nucléaires situés à l’intérieur des étoiles. Pour se retrouver sur Terre, ils doivent donc avoir été expulsés par des étoiles avoisinantes. "C’est dans la mort des étoiles, que la vie prend naissance" [1]. Les ondes de choc engendrées permettent de déclencher le phénomène de condensation des gaz et des poussières interstellaires, qui conduisent à la formation des systèmes planétaires, tels que notre système solaire !
Viens ensuite une considération importante : la distance qui sépare les étoiles de notre galaxie, semble optimale, car ces supernovae essentielles à la vie, pourraient s’avérer très destructrices. Elles pourraient effectivement, si elles étaient rapprochées quelque peu de la Terre, l’inonder d’un flot de radiations mortelles et faire disparaître toute trace de vie. A l’inverse, si elles étaient plus éloignées, les produits seraient distribués de manière trop diffuse et ne profiteraient guère à la Terre, ni au système solaire qui ne se serait même pas formé. La fréquence et la distribution des explosions d’étoiles sous forme de supernovae constituent aussi un paramètre d’importance critique.
Les niveaux d’énergie
En outre, les niveaux d’énergie existant à l’intérieur des étoiles ne produisent ces éléments nécessaires à la vie, qu’à des conditions très précises d’équilibre des niveaux d’énergie de certains atomes plus lourds tels que le Carbone 12C et l’Oxygène 16O. "Bref, selon la physique et l’astronomie modernes, la formation des composants chimiques élémentaires de la vie et des systèmes planétaires capables d’abriter la vie et l’évolution durant des millions d’années n’est possible qu’à la condition que la structure de l’univers et toutes les lois de la nature soient précisément celles que nous connaissons". "A mesure qu’ils ont de mieux en mieux compris les systèmes physiques, depuis les noyaux jusqu’aux galaxies, les scientifiques se sont rendus compte que de nombreux traits de ces systèmes sont remarquablement dépendants des valeurs précises des constantes fondamentales". [2]
"Comment cela peut-il avoir un rapport avec l’homme ?" s’exclamait Kepler, un des grands astronomes du 17ème siècle. Se contentant de cette intuition à l’époque, les quelques propos relevés montrent, combien ils peuvent être aujourd’hui des éléments convaincants. "L’Homme n’est pas un détail banal au sein du cosmos ni le sous-produit mineur de forces aveugles, non orientées vers un but. Il a vraiment été voulu que nous soyons ici." [3]
Abdelhak O.
[1] Denton - L’évolution a-t-elle un sens ? Editions Fayard p.52
[2] Paul Davies The Accidental Universe, Cambridge Unversity Press, Préface
[3] Paul Davies The Mind of God Penguies Books p.232
Dans le Coran Islam: Pourquoi Dieu nous a créé ? La création est la conséquence logique de l’attribut divin de Créateur. Un Créateur qui ne créerait pas est une contradiction en soi. Ce qui ne veut pas dire que Dieu ait besoin de Sa création, car Il ne connaît aucun besoin. C’est plutôt la création qui a besoin de Lui. Mais comme la grandeur d’un écrivain se reconnaît à ses écrits, la perfection de l’attribut créatif divin se manifeste dans la création. La création au sens pur est unique à Dieu. Bien que les humains s’attribuent parfois l’acte de créer, nous savons tous qu’il ne s’agit pas de création au sens pur (i.e. à partir de rien). Les humains ne font que manipuler ce qui existe déjà, c’est-à-dire ce qui a déjà été créé par Dieu. Une table est faite de bois, lequel provient des arbres; les planches sont retenues entre elles à l’aide de clous et de vis, lesquelles sont faites de métaux puisés dans des mines. Les humains n’ont créé ni les arbres ni les métaux. Toutes les « créations » humaines sont faites à partir d’éléments de base que les humains ne peuvent créer. Même les images que créent les artistes sont influencées par les choses qu’ils ont vues, car il est impossible d’imaginer ce qui n’a jamais été perçu par les sens. Donc, toutes les idées de l’artiste sont des reflets de ce qui est déjà créé. Seul Dieu crée à partir du néant. Ce fait pourtant simple à comprendre demeure difficile à saisir pour certains. Des philosophes, anciens et modernes, n’arrivant pas à comprendre comment Dieu pouvait créer à partir du néant, ont prétendu que le monde créé et tout ce qu’il contient sont, à l’origine, une partie de Dieu lui-même. Selon eux, Dieu aurait tiré une partie de Lui-même pour créer l’univers. Ce concept découle de l’analogie qu’ils établissent entre Dieu et l’homme, qui ne peut « créer » qu’en manipulant et modifiant ce qui existe déjà. Cependant, une telle analogie de sied pas à Dieu, car elle Lui prête des limites qui sont uniquement humaines. Dans le Coran, Dieu affirme : « Rien ne Lui ressemble. Il entend tout et voit tout. » (Coran 42:11) Par conséquent, l’acte de création est la conséquence logique de l’attribut divin de Créateur. Dieu Se décrit Lui-même comme le Créateur dans de nombreux versets du Coran afin de bien faire comprendre à l’humanité que tout Lui appartient, à Lui seul. « Dieu est le Créateur de toute chose, et de toute chose Il est le Gardien. » (Coran 39:62) « Dieu vous a créés, vous et ce que vous fabriquez. » (Coran 37:96) L’homme doit comprendre que rien, dans cet univers, ne se produit sans que Dieu ne le sache. Chercher protection contre le mal ou chercher à s’attirer un bien de toute source autre que Dieu constitue une grave erreur. Par ignorance, nombreux sont ceux qui cherchent à échapper au malheur ou à s’attirer la chance par l’intermédiaire de toute une variété d’amulettes, de porte-bonheur, de l’astrologie, de la chiromancie, etc. C’est pourquoi, dans le Coran, Dieu ordonne à l’homme de ne chercher protection qu’auprès de Lui : « Dis : « Je cherche protection auprès du Seigneur de l’aube naissante contre le mal des êtres qu’Il a créés. » (Coran 113:1-2) Allah, le Tout-Puissant, n’est pas mauvais : Il est Bon. Il a créé un monde dans lequel le bien et le mal peuvent être faits par les êtres auxquels Il a donné cette capacité. Toutefois, nul bien ni mal ne peut se produire, en ce monde, sans la permission de Dieu. C’est la raison pour laquelle il est futile de se tourner vers d’autres que Dieu pour chercher secours et protection. « Nul malheur n’atteint [l’homme] sans la permission de Dieu. » (Coran 64:11) Le dernier prophète envoyé par Dieu, Mohammed (que la paix et les bénédictions de Dieu soient sur lui) a ainsi expliqué ce concept : « Sachez que si l’humanité tout entière s’unissait pour vous porter secours, elle ne pourrait faire que ce que Dieu a déjà écrit pour vous. De même, si l’humanité tout entière s’unissait pour vous nuire, elle ne pourrait faire que ce que Dieu a déjà écrit pour vous. » (at-Tirmidhi) Dans la Bible
|
El Qurtubî a dit : La divergence au sujet du terme Messie repose sur vingt-trois hypothèses. L’Érudit Abû el Hattâb ibn Dihya les a dénombrées dans son encyclopédie : Majma’ el Bahraïn. Je n’ai pas encore vu de personnes ayant rassemblées autant d’hypothèses sur la question avant moi. Pourtant, j’ai voyagé, circulé, et rencontré des hommes de tout horizon.
Premièrement : Massîh Messie provient de Massyih dont le schème est Maf’il avec la non-vocalisation du sin. Ensuite, la vocalisation a été transmutée du Ya au sin pour simplifier la prononciation.
Deuxièmement : ibn ‘Abbâs a dit : le Messie ne posait pas sa main (en arabe : Massaha) sur un malade ou un infirme sans qu’il ne guérisse ni sur un mort sans qu’il ne revive. Le cas échéant, il est constitué sur la forme du participe présent dans le sens de Mâssih (le faiseur ou celui qui passe sa main).
Troisièmement : selon Ibrahim An-Nakha’î, il signifie plutôt « le véridique » ; el Asma’î et ibn el A’rabî le rejoigne également sur cette idée.
Quatrièmement : Abû ‘Ubaïd a expliqué : je pense que l’origine de ce vocable fut Ha Ma Shiha avec un shine. Puis, en s’arabisant, il serait devenu massiya comme le prononce les Juifs.
Cinquièmement : ibn ‘Abbâs a dit également comme le rapporte ‘Atâ d’après ce dernier : Jésus fut appelé Massih en raison de ses pieds plats. Ainsi, il n’a pas de creux sous la plante du pied dans le sens où cet endroit ne doit normalement pas avoir de contact avec le sol. S’il manque ce creux à une personne, on dit qu’elle est Raha (qu’elle a les pieds plats).
Sixièmement : il fut surnommé ainsi pour être sorti du ventre de sa mère le corps oint par une huile ; Massaha signifiant oindre.
Septièmement : il fut nommé ainsi pour avoir reçu une onction d’huile à sa naissance.
Huitièmement : l’Imam Abû Ishâq el Jawânî a évoqué dans son œuvre el Gharîb el Kabîr : Allah Tout Puissant lui aurait donné ce nom ou bien aurait-il été nommé ainsi pour avoir fait onction à Zakariya.
Neuvièmement : il fut appelé ainsi en raison de sa beauté du visage. En effet étymologiquement, ce terme exprime les beaux traits du visage. On dit Masha pour un visage rayonnant de beauté et de charme. Dans ce registre, nous avons dans le Hadith suivant, bien qu’il soit faible et singulier : « Se présentera à vous par ce passage, une personne prospère (ou rayonnante), comme s’il y avait sur son visage les marques (Masha) de la royauté. »
Dixièmement : le terme Massîh signifie étymologiquement un éclat d’argent, ce qui correspond exactement à l’aspect physique de ‘Îsâ. Il est blanc de peau avec légèrement le teint rouge, lui donnant ainsi le plus beau teint qui soit. Il a la poitrine large et robuste et son corps est ramassé et compact.
Onzièmement : ce terme correspond étymologiquement à la sueur du cheval comme le dénote le vers suivant :
Les étalons ont suinté du Massîh
C’est-à-dire : ils ont sué.
Il est certifié dans Sahîh Mouslim, selon ibn Ka’b : « Quand le Prophète () a remarqué mon état critique, il m’a donné un coup sur la poitrine, et je fus trempé de sueur comme si je contemplais Allah Tout puissant, en étant rempli de frayeur. »[1] El Khattâbi l’a mentionné dans son commentaire en précisant qu’il s’écrit avec un Sâd ou un Dhâd. El ‘Ijâj a versifié :
Les étalons ont suinté du Massîh
C’est à dire : ils ont sué.
Douzièmement : il a le sens de coït : un homme a effleuré Massâha une femme s’il a eu des rapports sexuels avec elle. Ibn Fâris l’a fait remarquer dans el Mujmal.
Treizièmement : le Messie serait une épée comme l’a signalé Abû ‘Amr el Mutarriz.
Quatorzièmement : ce serait un ânier (qui conduit des ânes et qui en fait la location).
Quinzièmement : il correspondrait à celui qui arpente la terre, autrement dit qui parcourt de longues distances, comme l’a précisé le crédible linguiste Abû el ‘Abbâs Ahmed ibn Yahya ibn Tha’lab. C’est pourquoi, ‘Issa fut surnommé le Messie. Une fois, on le retrouve dans le Shâm, une autre fois en Égypte, parfois le long de la mer à el Muhâma et el Qaffâr. Lui et le faux messie furent nommés ainsi en raison de leur long circuit à travers les pays.
Seizièmement : ce même auteur rapporte selon sa propre chaîne de transmission qui remonte à Abû el Hasan el Qabîsî, ce dernier ayant posé la question à l’Érudit, le « lecteur » Abû ‘Amr Ad-Dânî : comment lit-on le faux messie Massih ?
- Avec un A après le Mîm et sans redoubler le S comme pour le fils de Marie (r) qui a été enveloppé (recouvert dans le sens d’enduit) par la bénédiction tandis que pour l’Antéchrist, il a œil recouvert (enveloppé ou effacé).
Abû el Hasan a commenté : il y en a qui le lise avec un I après le Mîm et en redoublant le Sîn ; ils le surnomment ainsi. Quant à moi, je le prononce uniquement comme je te l’ai appris.
Ibn Dihya a dit : selon el Azharî, on prononce Massih en redoublant le Sin suivant le schème Fa’’il à la différence du Messie (r). Ensuite, d’après une chaîne de transmission qu’il fait remonter à son maître ibn Bashkwal, selon Abû ‘Imrân ibn ‘Abd Ar-Rahmân, j’ai entendu dire l’Erudit Abû ‘Omar ibn ‘Abd el Bar : Certains l’ont lu avec un Kha donnant Massikh (monstrueux, difforme). Cependant, aux yeux des gens de science, c’est une grossière erreur ; il n’y a aucune différence entre les deux prononciations. Il est certifié en effet, selon le Messager d’Allah (r) que ce dernier le formulait ainsi comme les compagnons et ses ambassadeurs, nous l’ont transmis. Les linguistes se sont référés dans ce chapitre aux vers de ‘Abd Allah ibn Qaïs e-Raqiyat :
Laisse Roqiya ont-il dit et éloigne-toi
Quand sortira le Massîh répondis-je !
Il veut dire : quand sortira l’Antéchrist conformément à leurs commentaires, c’est pourquoi, nous l’avons illustré ici.
A-Rajiz a dit :
Quand le Massih tuera le Massih
Quand le Messie (r) tuera le faux Messie à Nabzik. Je l’ai lu dans le premier volume de sharh alfath el Gharib min e-Sahih de son auteur le Juge, l’Imam, le Moufti Abû el Asbâgh ibn Sahl.
Dix-septièmement : l’Antéchrist fut appelé ainsi, car il n’a ni œil ni sourcil. Ibn Fâris a dit : le faux Messie a l’un des côtés du visage effacé ou essuyé ; il n’a ni œil ni sourcil. C’est pourquoi, l’Antéchrist fut appelé ainsi. Puis, il a fait remonter à Hudhaïfa un propos attribué au Prophète (r) : « L’œil de l’Antéchrist est effacé, il est recouvert d’une membrane épaisse.»[2] Rapporté par Mouslim.
Dix-huitièmement : il signifie Menteur, il est donc particulier à l’Antéchrist. Il va en effet mentir en prétendant être Dieu, ce qui est le mensonge de l’humanité. C’est pourquoi, à travers ce pseudonyme, Allah l’a dénigré et l’a couvert d’opprobre.
Dix-neuvièmement : il provient du démon qui est le fourbe et le malin ; de Tamsih (menteur, imposteur) également selon ibn Fâris. On dit donc qu’il est le Menteur en usant aussi le terme Timsah (voulant dire aussi crocodile).
Vingtièmement : ce terme proviendrait des déplacements et des pérégrinations du Faux Messie, il serait pris de la racine de Fâ’il dans le sens du participe présent. La différence entre cette origine et celle mentionnée dans le quinzième point, c’est que la première origine est particulière au simple déplacement sur terre, tandis qu’ici elle est plus précise ; cela veut dire qu’il va couvrir de ses déplacements et empiéter toute la surface de la terre à l’exception de Médine et de la Mecque.
Vingt et unièmement : c’est une pièce de monnaie lisse non gravée ou effacée comme nous l’apprend ibn Fâris. Cela répond exactement aux caractéristiques du borgne étant donné qu’une partie de sa face est comme effacée ; cette déformation ou défiguration est des plus laides.
Vingt-deuxièmement : l’érudit Abû Na’îm dans son œuvre dalâil e-Nubuwwa (les signes de la prophétie) explique que le Messie fils de Marie fut qualifié ainsi étant donné que ses péchés furent effacés.
Vingt-troisièmement : l’érudit Abou Na’îm dans ce livre en question a assuré : Il est dit que Jésus fut baptisé ainsi pour avoir reçu l’onction bénite de la part de Jibril (Gabriel) () comme le formule le verset : (et m’a rendu bénit où que je sois ).[3]
Extraits du livre Le faux Messie et l’avènement du Messie fils de Marie d’el Qurtubî édité par Dar al Mouslim.
Publié par le bureau de prêche de Rabwah (Ryadh)
[1] Rapporté par Mouslim (820).
[2] Rapporté par Mouslim (2934).
[3] Mariam ; 31 remarque : il ne faut pas confondre le participe passé béni, bénie dans le sens de loué, consacré (propre à Allah) et comblé de grâces (de la part d’Allah uniquement), et bénit, bénite dans le sens de consacrer par une cérémonie qu’elle soit liturgique ou non. Ex : eau bénite. Voir le Guillet. (N. du T.).
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité