En effet, lorsque l'on mastique du chewing-gum, une hausse d'activité s'opère dans le cerveau. C'est le résultat d'expériences réalisées par une équipe de neurologues japonais de l’université de Gifu. Lors de tests pratiqués sur des volontaires mâchant ou non du chewing-gum. Pour les personnes qui mastiquer du chewing-gum, il a été remarquer une suractivité de l’hippocampe. C'est la région du cerveau associée essentiellement à notre intelligence visuo-spatiale* et à notre mémoire visuelle.
Les sujets ne consommant pas de chewing-gum, ne montraient aucun fonctionnement neuronale particulier, alors que les autres avaient leur cerveau en pleine activité. Les chercheurs suggèrent ainsi, l'aide que le chewing-gum pourrait apporter pour prévenir la perte de mémoire liée au vieillissement. Concrètement, c'est le fait de mâcher qui produit une activité musculaire particulière, laquelle déclenche une accélération du rythme de travail de l’hippocampe. Cette mémorisation pourrait atteindre 35% !
hippocampe
Petite parenthèse à retenir ! Clin d'oeil
Mâcher du chewing gum sans sucres pendant les cours ou en faisant ses devoirs améliore les performances scolaires !
En 1999, le chercheur allemand Siegfried Lehrl de l'université d'Erlangen a éffectué une étude sur 123 élèves, dans laquelle il montre que le fait de mâcher un chewing-gum entraîne une amélioration des performances intellectuelles pouvant aller jusqu'à 40% !
Cette découverte est confirmée par Lucy Wilkinson de l'institut de neurologie de l'université de Newcastle qui a constaté que le chewing-gum pouvait être une aide dans la capacité à apprendre, retenir et se remémorer des informations. L. Wilkinson explique que en plus d'une meilleure oxygénation du cerveau, la mastication du chewing-gum inhiberait la production d'insuline par le pancréas. Ceci permettrait au foie de libérer davantage de glucose dans le sang. Ce surplus de glucose apporterait un surcroît d'énergie, permettant au cerveau de fonctionner plus efficacement, d'où les meilleures performances constatées, notamment au niveau de la mémorisation et de l'attention.
Trois hypothèses affirmeraient donc que le chewing-gum est bénifique au cerveau :
- Mâcher augmenterait l'activité du cerveau au niveau de l'hippocampe qui commande la zone de mémoire.
- L'insuline libéréé par le pancréas lorqu'une personne mastique exciterait l'hippocampe.
- Mâcher favoriserait l'arrivée d'oxygène vers le cerveau permmettant une meilleure concentration.
→ Plus de recherches sont nécessaires pour découvrir tous les bienfaits offerts par le chewing-gum, mais les premières études laissent entrevoir que le chewing-gum peut-être un moyen efficace pour stimuler l'attention, la concentration et la mémoire !
*L' Intelligence visuo-spatiale est ce qui permet de visualiser des objets tri-dimensionnels dans sa tête.
http://cheewing-gum.e-monsite.com/pages/content/macher-du-chewing-gum-serait-bon-pour-la-memoire.html
Notre monde a connu ces dernières années l’explosion et la révolution des réseaux sociaux ainsi que l’apparition d’un grand nombre de moyens de communication modernes qui sont devenus un phénomène qui mérite qu’on s’y arrête afin de sonder ses mystères et de saisir l’étendue de son influence dans le domaine de la communication et de l’interaction naturelles des individus. Cette profusion redoutable de mondes virtuels et de moyens de communication fait qu’aujourd’hui un individu moyen utilisateur des nouvelles technologies est connecté à six ou sept moyens de communications différents, c’est ainsi que les utilisateurs de ces programmes sont sous une grande pression et sont sans cesse sollicités.
Ainsi, étant donné que le plus souvent les « amis » de tous ces réseaux se trouvent aux quatre coins du monde, il est impossible de rester en contact avec eux de manière permanente à moins de rester éveillé 24 h sur 24. Outre cet inconvénient, il nous faut mettre en évidence le fait que ces mondes et systèmes sociaux virtuels arrachent petit à petit ses contributeurs de la réalité jusqu’à ce que ceux-ci deviennent dépendants au point que très vite ces derniers coupent peu à peu le contact avec la société réelle dans laquelle ils vivent, avec leur épouse ou époux, avec leurs connaissances ou encore avec leurs proches de manière générale, pire on constate parfois que cette addiction amène des individus à négliger leurs adorations et leurs obligations religieuses.
Heureusement, le constat n’est pas toujours aussi sombre ; ainsi, dans certaines situations ces moyens de communication permettent le développement humain à travers la formation de groupes d’individus qui peuvent participer à des programmes de développement personnel ou visant à une élévation des compétences professionnelles et scientifiques des participants, cela génère pour eux des opportunités, leur permet de penser collectivement et aussi d’accéder à des conseils bénéfiques émanant des expériences des « amis » et des participants de ces réseaux.
De plus, ces réseaux sociaux sont considérés comme étant un domaine important permettant l’apparition de nombreuses innovations écrites ainsi que leur développement et leur maturation en les proposant à un large public constitué en grande partie de gens de culture et de lettres issus de toutes les spécialités académiques et scientifiques possédant souvent un vécu très riche qui aide à affiner les talents naturels.
Outre ce que l’on vient de dire, nous pouvons ajouter que les réseaux sociaux contribuent à générer le sentiment profond de la réalisation de soi, car, en effet, ils donnent à l’individu un espace ouvert dépourvu de surveillance ou d’entraves à l’expression des sentiments et avis que le sujet a dans la tête, lesquels génèrent des réactions de la part des autres contributeurs.
Ces réseaux sociaux comblent largement les désirs des participants de vouloir se mettre en avant via des photos, des vidéos et des commentaires laissés sur les pages personnelles quotidiennement ou pris sur les pages des autres « amis ». Il ne fait aucun doute que ces réseaux sociaux servent également à renouer avec des anciennes connaissances perdues de vue, à étendre son réseau de relations sociales ou encore à réduire les distances géographiques entre les contributeurs et leurs proches où qu’ils soient dans le monde.
Toutefois, les phénomènes négatifs liés à ces réseaux sociaux restent très problématiques et peuvent avoir de graves conséquences. Ainsi, certains développent une dépendance à ces réseaux et une poursuite des basses passions qui les maintiennent entre le monde réelle et le monde virtuel ; et bien que la plupart de ces réseaux sociaux ont pour condition – ou au moins encouragent – l’enregistrement des données personnelles réelles de ces utilisateurs, on constate que l’écrasante majorité de ces derniers utilisent des identités fictives qui génèrent inévitablement de l’illusion et de la frivolité, à l’inverse le fait de donner ses vraies données personnelles évitent les délires et excès des gens qui dès lors doivent assumer la responsabilité légale et morale de ce qu’ils écrivent ou publient car il est possible de les suivre grâce à ces données.
Enfin, nous pouvons dire que le fait de se réfugier dans ces nouveaux moyens de communication et de substituer la réalité par leurs mondes virtuels est un indicateur très fort de l’incapacité des gens qui en deviennent accros à communiquer directement et de manière naturelle avec leur environnement réel et à exprimer leurs sentiments avec leurs proches ou avec leurs amis. Par ailleurs, il a été observé que l’addiction à l’utilisation de ces nouveaux moyens de communication a pour conséquence l’isolement social ainsi que l’émergence grandissante du sentiment de stress et d’angoisse chez les sujets concernés.
http://www.islamweb.net/frh/index.php?page=articles&id=202198&fromPart=51
Bave d'escargot : à quoi ça sert ?
L’escargot, comme tous gastéropodes, produit un mucus gluant grâce à des glandes situées au niveau de son pied, qu’on désigne communément sous le terme de « bave d’escargot » :
Elle est composée de 91 à 98 % d’eau et de molécules appelées glycoprotéines, formées par l’association d’une protéine et de sucres.
Elle agit à la fois comme un lubrifiant et comme une colle, ce qui permet à l’animal de ramper sur divers supports, y compris verticaux.
Elle est utilisée par l’animal pour réparer sa coquille en cas de fêlure, assurant le dépôt de calcite, du calcaire très pur.
Utilisation de la bave d’escargot dans les cosmétiques
Une utilisation ancestrale
En fait, l'utilisation de la bave d'escargot par les êtres humains n'est pas nouvelle :
Dès l’Antiquité, on prête de nombreuses vertus médicinales à l’escargot. Il était alors considéré comme un véritable médicament et employé pour lutter contre divers maux, ingéré cru, cuit, ou broyé, avec ou sans sa coquille selon les symptômes.
Il est un peu délaissé au moyen-âge, avant de retrouver sa place à partir du 19 ème siècle, où il est principalement utilisé pour ses propriétés antitussives (luttant contre la toux).
À noter : un sirop contre la toux sèche très utilisé actuellement a pour substance active l’hélicidine, un extrait de jus de cuisson de l’escargot de Bourgogne, Helix pomatia.
Son utilisation dans le domaine des soins de la peau fait partie de la tradition ancestrale de certains peuples :
Chez les mapuchés, des amérindiens vivant au Chili et en Argentine, son utilisation est très répandue depuis des siècles.
La bave d'escargot permet notamment de guérir les blessures superficielles et d'améliorer l’aspect de la peau.
Propriétés confirmées par les données scientifiques récentes
Une étude clinique, menée en 1999 et 2000 au sein de la Coaniquem, fondation d’aide à l’enfant brûlé au Chili, a montré l’intérêt d’un traitement à base de crème contenant de la bave d’escargot chez des patients présentant des cicatrices et des greffes de peau.
Elle a permis d’atténuer les rougeurs et autres colorations des zones lésées et d'améliorer l’aspect des portions greffées.
Bave d'escargot et cosmétiques
L’industrie cosmétique a rapidement saisi l’intérêt de la bave d’escargot :
Elle apparaît sur l’étiquette de nombreux produits de beauté sous le nom d’« Helix aspersa saliva ».
Cette appellation vient du nom de l’espèce d’escargot utilisée dans ce cadre, Helix aspersa ou « petit-gris ».
La bave d’escargot est utilisée dans la formulation de produits aussi divers que des crèmes anti-rides, des protections solaires, des shampoings… et même des rouges à lèvres ou des dentifrices !
Extraction de la bave d'escargot
Pour répondre aux besoins croissants de ce marché, certains producteurs d’escargots dédient tout ou partie de leur activité à la récolte de mucus. La phase d’extraction, parfois appelée « traite de l’escargot », nécessite plusieurs étapes :
la collecte des animaux dans des parcs enherbés où ils sont élevés ;
le lavage dans de l’eau tiède ;
le prélèvement de mucus proprement dit, mécanisé ou manuel. L’opération, bien que stressante pour l’animal, ne le tue pas.
Chaque escargot fournit 1 à 2 g de bave par récolte. La substance est alors filtrée et purifiée, avant d’être intégrée à la formule du cosmétique.
Bon à savoir : une seule entreprise a obtenu la certification biologique pour sa bave d’escargot (Ecocert Greenlife / Cosmos), grâce à un procédé d’extraction reconnu respectueux de l’animal.
Bave d'escargot : idéal contre le vieillissement cutané
La bave d’escargot contient un cocktail de substances qui lui confèrent des effets hydratants et cicatrisants, et qui contribuent à lutter contre le vieillissement cutané :
La première est l'alantoïne régénérante. Très couramment employée dans les produits cosmétiques, cette molécule à des vertus calmantes et hydratantes. Elle contribue à la régénération cellulaire de la peau.
La bave d'escargot contient également de l’acide glycolique exfoliant. Il fait office de peeling doux, en permettant l’élimination des cellules mortes qui ternissent l’éclat de la peau.
Le collagène et l’élastine améliorent la résistance et la souplesse de la peau.
La bave d’escargot est riche en vitamines. La vitamine A donne de l’éclat à la peau, la vitamine C est indispensable pour la synthèse du collagène, et la vitamine E, antioxydante, préserve les tissus des attaques des radicaux libres.
Enfin, la bave d'escargot contient des substances antibiotiques, pour lutter contre les infections de la peau causées par des bactéries comme Escherichia coli, Staphylocoque aureus ou autres.
Grâce à ces caractéristiques, les produits à base de bave d’escargot permettent :
d’améliorer l’aspect des cicatrices, vergetures et brûlures ;
d’atténuer les tâches brunes ;
de réduire l’acné ;
de freiner l’apparition des rides.
http://soin-du-corps.comprendrechoisir.com/astuce/voir/288058/la-bave-d-escargot-alliee-de-notre-peau
Au début, l’eau est alors un des quatre éléments fondateurs du monde avec l’air, le feu et la terre) et de nombreuses sociétés primitives l’ont divinisée. Les égyptiens tout d’abord avec le Nil qui rythmait la vie de l’Égypte ancienne par ses crues qui fertilisaient et irriguaient les terres le bordant, les romains ensuite avec les thermes qui étaient voués à deux usages : les bains hygiéniques et les immersions dans les eaux curatives. Mais il n’en reste pas moins que la guérison thermale est due au pouvoir bénéfique de l’eau, qui provient donc du caractère sacré des divinités qui l’habitent. Ces deux exemples ne sont bien sûr qu’une infime partie des cultures polythéistes qui ont divinisé l’eau. Avec le judaïsme et ensuite le christianisme et l’islam, l’eau a perdu son caractère divin tout en conservant pour autant son aspect sacré. Dans cette partie du projet pluridisciplinaire, nous ne traiterons ainsi que du symbolisme de l’eau dans les trois grandes religions monothéistes. Cette brève étude sera complétée par les interviews d’un rabbin, d’un prêtre et d’un imam qui nous dirons ce que représente l’eau pour eux dans leur lien intime avec la pratique de leur religion. En effet, les religions du Livre – judaïsme, christianisme et islam – ont toutes pris naissance dans des zones désertiques, où l’eau reste précieuse, “ don de Dieu ”.
L’eau dans l’ancien Testament apparaît comme « principe créateur, au travers des nuées, brouillards (…). C’est de l’eau et de la terre qu’est façonné le premier homme ». L’épisode du déluge montre ensuite le caractère destructeur et purificateur de l’eau : les hommes qui ne respectent pas la loi divine sont noyés et seul Noé et son Arche survivront aux flots dévastateurs. Le symbole de l’arc en ciel, qui crée l’alliance entre Dieu et les hommes sauvés a ses fondements … sur l’océan. Il est intéressant de noter que de nombreux travaux ont démontré l’existence d’un tel épisode dans les textes fondateurs des grandes civilisations, comme l’Amérique Latine, l’Egypte ou la civilisation mésopotamienne, où l’on retrouve des éléments de déluge liés à une notion de jugement et de sélection par les flots à la fois dévastateurs et purificateurs. Le déluge reste dans la plupart des cas rattaché à une faute rituelle, issue des péchés des hommes ou de la décrépitude du monde. Le déluge est ainsi la re-création du monde, sa régénération. Citons par exemple les religions australiennes, où une grenouille géante absorbe toutes les eaux. Soufrant de la soif, les animaux décident de faire rire la grenouille, qui alors libère les eaux emprisonnées. La Parole, tant dans le Deutéronome que dans la Thora et ses 613 Tables de la Loi, est comparée à une pluie bénéfique, chargée de s’infiltrer sur la terre. L’eau, élément protecteur des bons et destructeurs des méchants, se retrouve dans l’épisode du passage de la Mer Rouge par Moïse, lui même « sauvé des eaux ». Dans le cantique des cantiques, la fiancée, la Terre d’Israël, est désignée comme la fontaine des jardins. L’eau est également présente sous forme de rosée, et ainsi la Rosée de Pâques symbolise la survie du peuple hébreux, cette renaissance ou résurrection est symbolisée par le jour nouveau et la manifestation bénéfique de l’aube au travers de la rosée. Il semble que les rites de purification aient été poussés très loin du temps du Christ, peut-être à cause des épidémies de peste. Par exemple, les esséniens pratiquaient un bain de purification avant chaque repas, comme l’indiquent le nombre de piscines retrouvées à Qumram.
L’eau et le judaïsme
Les premiers rites
Le rite et les symboles liés à l’eau et la purification sont nombreux dans la religion juive.
L’eau intervient souvent dans le déroulement d’un culte comme vecteur de pureté et de spiritualité. Rappelons en effet que Moïse a dû laver son corps et ses vêtements pour recevoir la Loi divine. L’eau et l’action de se laver instaurent donc une limite entre le matériel et l’immatériel, entre l’homme et le divin. On retrouve le symbole de l’eau, lien visible entre le ciel et la terre. Les rites d’eau sont de trois types : ablution, aspersion ou immersion. Ils restent indissociables d’une purification qui d’abord s’appliquait surtout aux prêtes. Après la destruction du temple, ces sites ont concernés tous les pratiquants, la purification ayant valeur d’aide à reconstruire le temple.
Les rites de purification, consignés dans le Lévitique, sont :
Lavage des mains après avoir lu les textes religieux, de façon à bien dissocier la vie spirituelle de la vie matérielleImmersion des femmes venant d’accoucherLavage des mains avant la prière du matin et avant de bénir chaque repas.
Il existe un rituel de contact entre l’eau et les mains : prendre par 3 fois de l’eau d’un pichet et la faire couler doucement sur chaque main. Ce temps permet là encore de créer « un sasse » entre les phases matérielle et spirituelle. Pour Pâques et Rosh Ashanah, le lavage des mains est instauré. La fête du Soukhot remonte à la tradition du second temple (VIè siècle avant JC) et symbolise les récoltes et vendanges automnales. Elle comprend toujours une prière pour la pluie et une évocation des eaux du ciel (nuages qui entourent le trône de Dieu). La fête de Shavouot (commémoration de la révélation faite à Moïse) est célébrée au Maroc en particulier en se jetant de l’eau les uns sur les autres pour fêter l’eau qui sauva Moïse.
Le bain rituel
Il se pratique dans le Miqvé. Les textes spécifient qu’ils doivent se faire dans des eaux non dormantes (eaux de pluie, rivières, sources, …). Le bassin d’eau de pluie qu’est le Miqvé représente ce lieu de purification. De taille suffisante pour recevoir plusieurs individus et pour qu’ils s’y immergent, c’est un lieu de culte et un lieu de rencontre où l’on vient se purifier ; comme par exemple pour marquer la fin des périodes menstruelles des femmes. Le Miqvé s’est étendu sur le pourtour de la méditerranée et en Europe centrale alors que les thermes romaines prenaient également de l’ampleur. Mais la signification reste opposée : les thermes romaines sont des lieux de plaisir et dévolus au corps alors que les miqvés sont parfois le centre de recueillement de la communauté juive, comme on peut encore le voir à Montpellier, Venise ou Cracovie. Originellement constitués pour des pays arides, ils ont souvent évolués, notamment en Europe, vers des bains enterrés, en relation directe avec les nappes phréatiques les plus pures.
L’eau dans le Nouveau Testament
L’ensemble des textes du nouveau testament reprend et prolonge les écrits anciens et en particulier les différents symboles. Les écrits se situent également dans la même zone géographique, où l’eau revêt une importance naturelle et sociale déterminante. Il n’est donc pas étonnant que nous retrouvions l’eau dans symbolique catholique, dans les rites de l’eucharistie et dans la plupart des paraboles. Par exemple l’eau du puits de la samaritaine : Jésus demande à boire à une étrangère et en échange dit « qui boira l’eau que je lui donnerai, n’aura plus jamais soif : l’eau que je lui donnerai devient en lui source d’eau jaillissante en vie éternelle « L’eau devient conductrice de divinité et de vie éternelle. Ce symbole est repris abondamment notamment par les grands mystiques comme Ste Thérèse d’Avila ou St Jean de la Croix : l’atteinte de la perfection divine ressemble à un arrosage et une irrigation de l’âme. Jésus commence sa vie publique en transformant l’eau en vin, lors des fêtes de Cana. Puis il guérit un paralytique en « le jetant dans les eaux bouillonnantes ». Ensuite il marche sur l’eau. Alors qu’ils subissent une tempête importante et que la barque se remplit d’eau, « lui, s’étant éveillé, imposa silence aux vents et aux flots, qui s’apaisèrent et il se fit un grand calme ». Un symbole souvent difficile à expliquer concerne sa crucifixion : au moment d’expirer, de son flanc sort de l’eau qui se mêle au sang.
L’eau et les religions chrétiennes
Les fêtes chrétiennes reprennent abondamment la symbolique de la purification. Le baptême reprend la scène décrite par les Evangiles où Jésus s’est fait immergé dans le Jourdain par Jean le Baptiste, moment où il reçoit la révélation : Dieu le désigne comme son fils et une colombe vient se poser sur son épaule. « Moi, je vous baptise dans l’eau », dit Jean « et lui vous baptisera dans l’Esprit ». Les baptisés sont immergés partiellement ou aspergés pour devenir « fils de Dieu » : St Jean dit « si quelqu’un ne renaît pas de l’eau et du St Esprit, il ne peut pas entrer dans le royaume de Dieu ».
Le sacrement du baptême
Ce sacrement se retrouve aujourd’hui chez tous les chrétiens, avec une présence plus ou moins forte de l’eau. On retrouve déjà des ablutions d’ordre initiatique dans les temples d’Isis et Mythra. Par différence aux religions plus anciennes, le baptême n’est donné qu’une fois, comme rite d’initiation. L’immersion des statues de saints semble issue de pratiques héritées de religions antérieures. Les chrétiens continuent à organiser des pèlerinages vers des lieux sacrés liés à l’eau (Saintes Marie de la Mer). Les Baptistes, qui regroupent des mouvements où la cérémonie du baptême et des ablutions joue un rôle central, pratiquent encore l’immersion complète. Les orthodoxes peuvent avoir des rites très complets d’immersion et d’onction d’huile. L’utilisation de l’eau dans le rite de la messe est importante : l’eau bénite est utilisée en introduction du sacrement, par aspersion de l’autel (5 croix). L’eau bénite provient de la bénédiction du samedi sain, alors que le saint crème, l’huile bénite est bénie lors de la messe du matin du jeudi saint. Souvent l’eau bénite est mélangée au saint crème. Après l’offertoire, moment où le prêtre accompagne la transfiguration du pain et du vin (coupé d’eau) et où l’assemblée communie, le prêtre se lave les mains. Un psaume l’accompagne, le psaume 26 « lavabo (je laverai) ». Le terme Lavabo vient de cet usage. L’eau mélangée au vin lors de l’eucharistie représente l’humanité qui se mélange dans le sang du christ. Chez les orthodoxes, l’eau ajoutée est bouillante (la chaleur de la Foi qui a reçu l’Esprit sain). Comme nous l’avons déjà vu, l’eau (en particulier les sources) revêt une importance capitale au moyen âge. Les sources bénéfiques sont protégées par des saints et y sont attachées des légendes où se mêlent les épisodes religieux et des anciennes coutumes celtes ou druidiques. Les sources miraculeuses sont à elles seules des lieux de culte importants. On ne citera que celui qui rassemble tous les ans au mois d’Août un nombre important de malades croyants ou non : Lourdes. La coutume veut qu’ils soient plongés dans la source qui a jailli du rocher où Bernadette a vu la Vierge. Les pèlerins emportent souvent un peu d’eau miraculeuse avec eux.
L’eau dans le Coran
L’eau occupe une place prépondérante dans l’Islam, non seulement de par sa valeur intrinsèque, pour une civilisation qui s’est surtout développée dans des pays désertiques, mais aussi par la symbolique très précise qu’elle véhicule. En effet l’eau présente dans le désert revêt deux formes ambivalentes : l’eau destructrice des oueds et des orages et l’eau bienfaitrice des jardins luxuriants. Le Coran cite 63 fois le mot « eau » (ma’). C’est grâce à une source “ zam zam ” que la servante d’Israël qui porte son fils est sauvée. Cette source sacrée fait partie intégrante des sites du pèlerinage de La Mecque et le pèlerin doit s’y baigner et en rapporter quelques litres. Quand Mahomet reçoit la parole, il demande qu’on le couvre d’une cape et qu’on l’asperge d’eau.
La purification
Le coran dit ainsi “ Vous qui croyez, si vous vous mettez en devoir de prier, alors rincez-vous le visage et les mains, jusqu’aux coudes, passez-vous la main sur la tête et sur les pieds jusqu’aux chevilles. Si vous êtes en état d’impureté, alors purifiez-vous ”. La purification, comme pour les autres religions du Livre, revêt donc un aspect fondamental, mais cette fois au quotidien. En effet les musulmans se purifient avant les cinq prières quotidiennes par un rite très précis, touchant et aspergeant toutes les parties du corps dans un ordre très précis, de la tête vers les pieds, en commençant par le côté droit du corps. L’eau utilisée doit elle même être pure et n’avoir eu aucun contact avec des impuretés ou des êtres impurs.
Le pèlerinage à la Mecque
Evènement très important dans la vie d’un musulman, le pèlerinage répond à un trajet très précis, passant en particulier par la source sacrée de zam zam. Les pèlerins doivent se baigner (ou du moins accéder à l’eau et s’asperger) et se recouvrir d’un linge blanc, puis continuer jusqu’à la cité sainte, où les dernières étapes évoquent l’eau à de multiples reprises.
Les lieux d’ablution
La fontaine au centre de la cour de la Mosquée semble provenir de la coutume architecturale romaine du Pluvarium, destinée à recevoir les eaux de pluie et à maintenir une certaine humidité dans les villas. Elle est parfois transformée en puits plus ou moins ouvragé, et sert aux croyants dans le rite de purification. La piscine rituelle, Midha, a bien sûr comme origine la midva judaïque. Sa forme et sa localisation sont très semblables, mais son usage reste plus rituel et moins communautaire. Le Hammam est à l’origine un lieu de purification et de recentrage sur soi important. Plus proche du lieu de vie communautaire que la midha, il reste encore aujourd’hui un lieu privilégié de détente et de confidence.
Pierre Eric TREYEN
Le thème abordé est d’une grande importance, car il a un impact direct dans la vie individuelle ou collective.
L’homme tout au long de sa vie connaitra des situations où la réconciliation sera de mise. C’est à cet effet qu’Allah a longuement insisté sur ce principe moral. Lui le Créateur connait mieux l’homme que quiconque, Il sait les différences qu’il peut avoir au sein même de la structure familiale, entre associés, entre pays, au sein des villages, des tribus.
Notre histoire regorge de sagesses de proverbes qui mettent en exergue cette notion, laquelle est un acteur positif dans la vie des gens. Dans la suite de ce qui précède, nous constatons que chaque civilisation installait un système dans lequel étaient abordées toutes les affaires sociales en y établissant une cellule qui vise le règlement des litiges à l’amiable.
De nos jours encore, bon nombre de pays vont vers une pensée commune ’ la médiation’. Aussi ils tendent à la vulgarisation de ce précepte qui puise sa source dans le coran.
En islam, devrons-nous nous souvenir, la réconciliation est un acte de piété, en dehors du fait que c’est une pratique faisant partie de notre héritage socio- culturel.et la médiation
Explication :
Lorsqu’on évoque le mot réconciliation, ce qui nous vient immédiatement à l’esprit c’est qu’à l’origine existe un conflit suscitant la dite réconciliation.
Les palliatifs pouvant remédiés à une situation conflictuelle sont envisagés dans deux voies :
La première est le règlement à l’amiable, fort recommandée en islam, et l’autre est celle de la justice.
Le mot réconciliation dans la langue arabe comporte plusieurs significations allant vers le sens ; bon, meilleur, complet.
Sachons aussi que cette notion est à maintes fois mentionnée dans le coran, il faut retenir que ce n’est pas chose facile, que cela nécessite beaucoup d’efforts, de sacrifices d’où la grande récompense à ceux qui s’y prêtent.
Dans un premier temps, nous allons extraire les versets explicites qui y font mention.
1). Son origine :
Le coran et la sunna (tradition musulmane) sont les deux sources canoniques de la législation islamique ; à titre d’illustration, dans un premier temps, nous allons extraire les versets explicites qui y font mention.
a). Selon le coran :
La réconciliation est évoquée trois fois dans ce verset, ce qui explique l’importance qui lui est accordée: « Et si une femme craint de son mari abandon ou indifférence, alors ce n’est pas un péché pour les deux, s’ils se réconcilient par un compromis quelconque, et la réconciliation est meilleure, puisque les âmes sont portés à la ladrerie. Mais si vous agissez en bien et vous êtes pieux… Allah est certes, Parfaitement connaisseur de ce que vous faites». Les femmes /128.
Dans le verset suivant, la réconciliation est rattachée à la crainte divine, aussi celui qui ne croit pas en Dieu, ne craint pas Allah et ne pourra pas réussir dans cette entreprise.
«Ils t’interrogent au sujet du butin. Dis : « Le butin est à Allah et à Son Messager. Craignez Allah, maintenez la concorde entre vous et obéissez à Allah et à Son messager, si vous êtes croyants». Le butin/1.
« Et si deux groupes de croyants se combattent, faites la conciliation entre eux. Si l’un deux se rebelle contre l’autre, combattez le groupe qui se rebelle, jusqu’à ce qu’il se conforme à l’ordre d’Allah. Puis, s’il s’y conforme, réconciliez avec justice et soyez équitables car Allah aime les équitables’». Les appartements/. Réconcilier est un impératif en islam, car cela préserve une autre notion fondamentale ; la fraternité entre musulmans.
«Il n’y a rien de bon dans la plus grande partie de leurs conversations secrètes, sauf si l’un d’eux ordonne une charité, une bonne action, ou une conciliation entre les gens. Et quiconque le fait, cherchant l’agrément d’Allah, à celui-là Nous donnerons bientôt une récompense énorme» les femmes/114/128. L’islam est bienveillant à l’égard des hommes, il se soucie de toutes les situations auxquelles l’homme peut -être exposé.
Il dit: «O mon peuple, voyez-vous si je me bas sur une preuve évidente émanant de mon Seigneur, et s’Il m’attribue de mon Seigneur, et s’Il m’attribue de Sa part une excellente donation ?...Je ne veux nullement faire ce que je vous interdis. Je ne veux que la réforme, autant que je le puis. Et ma réussite ne dépend que d’Allah. En Lui je place ma confiance, et c’est vers Lui que je reviens repentant. Hud/88.
«Et ceux qui se conforment au Livre et accomplissent la Salat, (en vérité), Nous ne laissons pas perdre la récompense de ceux qui s’amendent ». Al Araf/170.
Il serait trop long de rapporter les versets nous invitant à la réconciliation, mais comme on peut le constater à travers eux ; réconcilier les gens est un acte de foi fortement préconisé.
2). Selon la tradition musulmane
La tradition musulmane, elle aussi contient son lot de hadiths, de témoignages qu’elle porte sur ce sujet.
1) L’homme a sur chaque articulation, une aumône. Chaque jour où le soleil se lève et où tu réconcilies deux adversaires, tu fais une aumône. En aidant un homme à enfourcher sa monture, en lui portant sa marchandise, tu fais une aumône ; une bonne parole, c’est une aumône ; chaque pas que tu fais pour te rendre à la prière, c’est une aumône ; en écartant un obstacle du chemin, tu fais une aumône‘.
2) Ne vous détestez pas, ne vous jalousez pas, ne vous tournez pas le dos, les uns aux autres. En tant que serviteurs de Dieu, soyez frères. Il n’est pas licite pour un musulman, de rompre les relations avec son frère en islam plus de trois jours.
3) Oum Keltoum bent Oqba Ben Abit Mouait a dit : j’ai entendu le Messager de Dieu dire : ‘ il n’est pas menteur celui qui réconcilie entre les gens en rapportant des propos mensongers ou en disant du bien’.
4) Dans une autre version de Moslim elle a dit : ‘ je ne l’ai jamais vu autorisé le mensonge sauf dans trois cas : la guerre, la réconciliation des gens, ce que dit l’homme à sa femme et la femme à son mari ‘.
5) Selon Abou Horeira, le prophète a dit : « Dieu façonna les créatures. Alors, la création achevée par lui, la parenté dit : « Ici c’est l’endroit où l’on peut se réfugier auprès de toi contre la rupture des liens de parenté ! Oui, répondit Dieu « Ne consens-tu pas à ce que Je sois favorable à ceux qui viendront à toi et que Je rompe Mes relations avec ceux qui les rompront avec toi ? certes, oui Seigneur, répondit-elle. Et bien cela t’est accordé, reprit Dieu.
6) Un jour, alors qu’une tribu s’entredéchirait le prophète dit à ses compagnons : « Levez-vous et allons les réconcilier.»
7). On n’insistera jamais assez sur l’attitude du prophète Muhammad, lors du traité D’Hodaibiya qu’Ali rédigea. Rappelons ce fait : le prophète chargea Ali Abi Taleb de rédiger un écrit, ce dernier inscrit la formule usuelle : au nom d’Allah le plus Miséricordieux des Miséricordieux et Mohammed est Son prophète. Les mécréants contestèrent, ils voulaient que le nom de prophète soit effacé. Ali refusa d’effacer, le prophète effaça lui-même, au lieu de se montrer intransigeant, il opta plutôt pour l’indulgence. En usant de diplomatie, il sût calmer les esprits de ses adversaires.
La réconciliation est fortement recommandée, sauf lorsqu’elle autorise ce que Dieu a défendu, et interdit ce que Dieu a permis.
3). Les fruits de la réconciliation :
1).Se conformer à la loi divine qui préconise la réconciliation.
2) Chercher une solution pacifique
3) Dissiper la haine, le ressentiment entre les protagonistes.
4) Cela fait gagner du temps, dispense des dépenses financières
5) Cela permet de répandre l’amour entre les gens, de consolider leurs relations
6) Ce principe, une fois appliqué incite au pardon.
a) Théoriquement notre patrimoine oral est très riche, à titre d’illustration, il nous plait de rapporter deux proverbes kabyles qui démontrent bien tout le bien fondé de l’expression suivante: et la réconciliation est meilleure ‘ : Celui qui délaisse une part de ses droits, en sortira vainqueur’. C’est une manière d’exhorter les gens à ne pas être à cheval, lorsqu’il est question de leurs droits et d’être plutôt enclins au pardon.
Voici un autre proverbe où il est dit : « Le fleuve du bien n’a pas de sang ». le fait de se réconcilier n’engendre pas de blessure. Dans le cas où une des deux parties est lésée par rapport à l’autre, retenons que cela n’aura pas d’impact négatif sur sa propre personne, en agissant de la sorte, il aide à promouvoir cete idée qui priviligie l’intérêt collectif.
b). Sa pratique :
Comme nous l’avons cité précédemment, la société algérienne favorise ce moyen pour régler les conflits pacifiquement à titre d’exemple ; dans la société kabyle tajmaat est une institution juridique gérant les affaires sociales des villageois en l’occurrence ; les litiges . Dans le béni m’zab, les mozabites de Ghardaia jouissent eux aussi de ce système pour résoudre leurs différents. Une assemblée Ahzaven connue pour ses muliples efforts consentis à cette noble tâche, tient un conseil’ ahzave’ où elle réceptionne et traite les cas qui lui sont soumis.
Ce mécanisme répond à une logique édictée dans le coran, et dans la tradition prophétique.
5. Les qualités inhérentes du médiateur.
1) Le postulant doit avant toute chose ; croire en la noblesse de sa tâche, y mettre son cœur.Il ne pourra pas être efficace s’il n’adhére pas moralemnt à ce principe.
2) Avoir l’esprit du sacrifice, en d’autres termes ne pas lésiner sur les facteurs suivants : le temps qu’on concède lors du règlement car les négociations reposent sur lui, les efforts tant physiques qu’intellectuels. Parfois le médiateur peut avoir recours à sa bourse ne serait-ce que pour les dépenses liés à l’affaire .
3) La patience est indispensable, d’autant plus lorsqu’on fait face à des protagonistes coriaces. - avoir une bonne méthode de travail, expliquer, démontrer toutes les données de l’affaire, les étudier sous tous les plans.
4).être à l’écoute des plaignants, avoir l’art de bien écouter,
5) Etre communicatif, disponible, privilégier le dialogue,
6) connaitre les données suffisantes, être bien informé de la question
Les régles pour réconcilier :
Il est à rappeler qu’entreprendre une médiation nécessite de se réferer aux légales de la bienséance.
1) Avoir une compréhension profonde du conflit. Rassembler les données claires et justes avant la séance de médiation. On ose imaginer ce que peut engendrer des données fausses sur l’évolution et le dénouement de l’affaire.
2) Gagner la confiance des parties, ne pas avoir de préjugés.
3) Il faut porter son attention sur le problème et non sur les adversaires.
4) Ne pas interrompre, ne pas lancer des remarques personnelles désobligeantes à l’égard des parties.
5) Se montrer objectif et impartial ; accorder le même temps à la parole, recevoir les parties de la même manière .
6) Prendre en considération les différences sociales ( niveau de vie, rang social, sans causer de tort à quiconque).
7) Il faut prendre le temps nécessaire pour traiter l’affaire, et ne pas la bacler,
8) Inviter les parties concernées à s’impliquer pour trouver des solutions idoines,
9) Dissiper la pression sur les protagonistes,
10) demander l’avis des experts,
11) respecter les limites édictées par Allah,
12) Rédiger un procés verbal aprés la séance de médiation, et y retourner en cas de besoin pour se rappeler de ce qui a été convenu.
Pour conclure, retenons que le médiateur doit avoir une prédisposition à remplir ce rôle, être doté d’un potentiel intellectuel qu’il mettra au profit des autres.
Conclusions :
1) La réconciliation est un acte noble.
2) La cellule de conciliation ne remplace pas la justice,
3) Le médiateur collabore avec la justice,
4) Il faut constituer des conseils de médiation et développer leurs fonctions
5) L’opinion internationale est portée vers ce moyen de régler les dissensions pacifiquement,
6) Se servir des expériences réussies dans le domaine,
http://www.bouizeri.net/francais/index.php?option=com_content&view=article&id=160:la-reconcilliation-en-islam&catid=1:sunna&Itemid=3
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité