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Articles divers

"La disparition du racisme, comme c'est le cas chez les Musulmans, est une des réussites les plus marquantes de l'Islam et il y a dans le monde contemporain, une urgente nécessité à propager cette vertu islamique..."

A.J. Toynbee "Civilization on Trial", New York, 1948, p. 205.


Derniers billets publiés

Pourquoi ne voit-on pas l'électricité ?

L'électricité consiste en un déplacement d'électrons qui sont eux-mêmes caractérisés par leur énergie et leur vitesse. Ce ne sont pas des photons. Or la lumière est faite de photons chacun caractérisés par leur couleur. Et c'est la lumière qui « imprime » les images sur l'oeil. Donc l'électricité est invisible sauf éventuellement par ses effets secondaires produisant eux de la lumière tel que la foudre.

Atome ionisé
Schéma du processus de ionisation d'un atome.

La foudre est une décharge électrique d'une telle énergie qu'elle ionise certaines particules d'air (qui deviennent alors localement du plasma) c'est-à-dire que la foudre communique une telle quantité d'énergie à certains électrons des atomes des molécules d'air que certains électrons changent de place pour se positionner sur une orbite plus grande autour du noyau des atomes. Chacune des orbites possibles pour un électron autour du noyau d'un atome s'appelle orbitale atomique ou encore niveau d'énergie en référence au surcroît d'énergie nécessaire à un électron pour se placer à une orbite plus grande. Et inversement, un électron doit perdre de l'énergie pour aller sur une orbitale plus basse. Lorsqu'un électron absorbe de l'énergie (par collision et absorption d'un grain de lumière le plus souvent ou encore à cause d'une différence de potentiel c'est-à-dire par le passe d'un courant) et passe sur un niveau d'énergie plus élevée, on dit qu'il est dans un état excité. Mais cet état d'excitation est profondément instable et les électrons retournent spontanément dans leur état fondamental (en quelques millionièmes de secondes) qui est leur orbitale d'origine (la plus basse possible). Or pour qu'un électron passe d'une orbitale à l'autre on a vu qu'il fallait que cela s'accompagne d'un échange d'énergie : l'électron en gagne pour s'éloigner du noyau, il en perd pour s'en rapprocher. Donc, l'électron dissipe l'énergie qu'il avait acquise pour retourner à son fameux état fondamental. Mais l'énergie il faut bien qu'elle prenne une forme ou une autre. Dans le cas de l'ionisation des atomes, c'est la lumière qui le plus souvent transporte cette énergie. C'était un courant électrique qui communiquait à l'électron de l'énergie pour l'exciter, se sera un photon qui sera créé par l'électron pour larguer son trop plein d'énergie (un photon n'est rien d'autre que de l'énergie pure!). Cela explique que l'éclair est visible.

http://cyberzoide.developpez.com/pourquoi/index.php3?page=elec

  • e6un7

Pourquoi nous avons deux narines?

Nos ancêtres aquatiques avaient deux orifices nasaux antérieurs pour laisser entrer l'eau et deux postérieurs pour l'évacuer. Leur "nez" ne leur servait pas à sentir mais seulement à respirer. L'évolution vers le nez que nous connaissons actuellement a débuté avec l'arrivée des vertébrés sur la terre ferme qui s'est combinée avec le déplacement de deux des orifices nasaux. Ils ont d'abord pris place dans la mâchoire puis se sont déplacés vers le pharynx. Aujourd'hui, nous respirons donc à travers deux sinus nasaux par lesquels nous pouvons, en plus, sentir ce que nous mangeons ou buvons.

Lorsque l'air arrive dans le nez, il passe d'abord un goulot d'étranglement puis est réchauffé et humidifié à l'arrière. Là, une petite partie du sinus est tapissée de muqueuse où des millions de cellules neuro-sensorielles, spécialisées dans la perception des molécules olfactives, sont immobilisées. Après fixation "d'odeurs" sur leurs récepteurs spécifiques de surface, un signal nerveux est transmis au cerveau, le long du nerf olfactif. Hors des muqueuses, un autre nerf est impliqué dans l'odorat : le nerf trijumeau. Ses terminaisons réagissent à une stimulation chimique mais seulement si les composés sont présents en concentration importante.

"Nous pouvons sentir en stéréo", précise Thomas Hummel, responsable du département "Goût et Odorat" du centre Hospitalier Universitaire de Dresde. "Cependant, c'est seulement lorsque le nerf trijumeau est stimulé que l'on peut différencier finement les odeurs". Une inspiration courte et intense aide à distribuer plus efficacement les molécules odorantes dans le nez. Les scientifiques ont également pu montrer que la deuxième narine ne servait pas seulement à respirer en stéréo mais aussi à mieux respirer. En inspirant 50% d'une odeur dans chacune des narines, elle est perçue plus intensément que si elle empruntait seulement un sinus.

http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/41510.htm

e6un7

Les mystères du cerveau

Pesant chez l’homme en moyenne 1 450 grammes et contenant quelques 100 milliards de neurones et 1000 milliards de cellules gliales, le cerveau est le siège de la pensée consciente, de la mémoire et de la personnalité.

Qu’il s’agisse de lever le petit doigt ou de résoudre une équation, notre cerveau est aux commandes.
Malgré notre avancée technologique, nous savons encore bien peu de chose sur le cerveau humain et les maladies qui s’y rattachent.

  L’exploration du cerveau humain

C’est le chirurgien Paul Broca qui, en 1861, a été le premier à faire une relation entre une zone du cerveau et une faculté mentale.
La dissection du cerveau de l’un de ses patients, surnommé Tan-Tan, confirma sa théorie. Broca a laissé son nom à une aire du cerveau que depuis on associe au langage.

M. Leborgne, dit Tan-Tan, n'est pas un idiot. Il comprend très bien ce qu'on lui dit, joue aux échecs et a un comportement normal. Mais, les deux seules syllabes qu'il est capable de prononcer sont: tan tan.

A sa mort, Paul Broca pratique l'autopsie et remarque sur l'encéphale de Tan-Tan une lésion nette de l'hémisphère gauche, au bas de la troisième circonvolution. Tan-Tan ne pouvait pas parler car son cortex était touché à cet endroit précis. La conclusion qui s'imposa à Broca était que cette partie du cerveau contrôlait la parole.

Paul Broca

Suivant ce procédé, les chercheurs se sont penchés sur les cerveaux accidentés pour découvrir à quelle partie de notre anatomie cérébrale est associée telle ou telle fonction.

 Structure du cerveau en détail

Le cerveau comprend deux hémisphères réunis par le cerveau moyen, ou diencéphale, et par le corps calleux. Il se situe au-dessus du tronc cérébral et du cervelet.

Cet ensemble occupe la boîte crânienne. Chaque hémisphère est subdivisé par des scissures formant les lobes (frontal en avant, occipital en arrière, pariétal et temporal latéralement), et les lobes sont creusés par des sillons formant des plis, ou circonvolutions.

Le cerveau est en outre creusé de cavités, ou ventricules, remplies de liquide cérébrospinal nourricier et protecteur. Il existe un ventricule dit latéral par hémisphère, et un 3e ventricule correspondant au diencéphale.

Le cerveau est entouré par les méninges.

Coupe du cerveau

Le cerveau est constitué, comme le reste du système nerveux central, de substance grise (corps des neurones et des synapses) et de substance blanche (fibres myélinisées).

Dans les hémisphères, la substance grise se répartit en une couche superficielle épaisse, le cortex, et en noyaux profonds, les noyaux gris centraux (pallidum, putamen et noyau caudé).

Le diencéphale est composé essentiellement de deux gros noyaux gris symétriques, les thalamus. Ceux-ci surmontent l'hypothalamus, structure qui comprend de petits noyaux et se prolonge par deux glandes, l'hypophyse en bas, l'épiphyse en arrière.

Les neurones du cortex cérébral comprennent des cellules rondes, ou grains, destinées à la réception des stimulations périphériques (sensations tactiles, ondes visuelles ou sonores) ; des cellules triangulaires, ou pyramides, à vocation motrice ; des cellules fusiformes qui relient, par le corps calleux, deux points symétriques des hémisphères cérébraux.

 L’homme au cerveau coupé

L’un des cobaye les plus célèbres est Kevin, un épileptique à qui, dans les années 1860, des médecins sectionnèrent le corps calleux : une bande de tissus nerveux qui relie les deux hémisphères du cerveau.

Non seulement le malade n’a pas guéri mais de nouveaux troubles sont apparus. Kevin ne pouvait plus sourire sur commande que si l’on s’adressait à son oreille droite.
L’oreille gauche était incapable de comprendre le message.

Le neurologue Guillaume Duchenne inventa l'électrophysiologie, procédé de mesure de l'activité nerveuse et musculaire, qu'il pratique ici sur Kévin

Par ailleurs, le malheureux ne reconnaissait plus les visages familiers qui se présentaient sur la partie droite de son champ de vision.

Cette tentative peut sembler monstrueuse mais elle est surtout née de l’ignorance. Quoi qu’il en soit, l’expérience a permis aux scientifiques de mieux comprendre la façon dont nos deux hémisphères se répartissent les tâches.

 Fonctionnement du cerveau

Chaque hémisphère contrôle la moitié du corps qui se trouve du côté opposé. Autrement dit, quand on remue l’orteil droit, c’est l’hémisphère gauche qui en donne l’ordre.

Chaque hémisphère semble spécialisé dans l’accomplissement de fonctions très précises.

On attribue l’analyse des formes dans l’espace, la reconnaissance des visages, la mémoire des sons et la compréhension de la musique à l’hémisphère droit.

Celui de gauche régit les sourires, la maîtrise du calcul et la résolution logique des problèmes. Il contrôle aussi la capacité d’articuler, de décoder les sons en paroles, et de comprendre ce que l’on dit et ce que l’on entend.

Le cerveau de Tan-Tan retrouvé en 1960 dans les caves de l'ancienne faculté de médecine

Mais, les deux hémisphères travaillent en parfaite synchronisation pour diriger le moindre de nos comportements.
Le secret de cette harmonie : le corps calleux. C’est ce faisceau de fibres nerveuses qui assure la connexion.
Si Kévin ne reconnaissait pas les amis placés à sa droite, c’est que son hémisphère gauche, recevant cette information visuelle, ne pouvait la décrypter car il était privé de communication avec l’hémisphère droit, chargé lui, de l’identification des visages.

 Le cerveau en action

Les avancées technologiques nous ont offert de nouvelles possibilités d’explorer le cerveau. Le cerveau est exploré, comme le reste de l'encéphale, par l'imagerie radiologique, le scanner et surtout par l'imagerie par résonance magnétique (I.R.M.).
Ces méthodes très performantes ont supplanté l'électroencéphalographie (enregistrement de l'activité électrique de l'encéphale), technique plus ancienne.

On a déjà localisé plus de 20 aires visuelles. Chaque zone analyse séparément la forme, les dimensions ou la couleur de l’objet pour reconstruire un tout cohérent.

Pour peu que l’un de ces éléments de décodage ne fonctionne pas, notre perception du monde est bouleversée.
C’est par exemple le cas des gens qui parlent et écrivent mais sont incapables de lire, qui reconnaissent les objets mais en ignorent la fonction.

Aucun cerveau n’est tout à fait semblable à un autre. Donc, chaque cerveau est unique.

Lors de certains exercices portant sur la compréhension des mots, les femmes mettent leurs deux hémisphères au travail, alors que les hommes ne font appel qu’au gauche.

 Le cerveau d’un gaucher

Le cerveau d’un gaucher fonctionne différemment de celui d’un droitier. L’emploi d’une main plutôt qu’une autre est lié au processus du langage. C’est l’hémisphère gauche qui domine la lecture, l’écriture et les fonctions associées à la parole.
Or, pour 40% des gauchers, c’est l’hémisphère droit.

Le planum temporale, une petite zone liée au langage dans les deux hémisphères, est plus développé du côté gauche chez 90% des droitiers.
Chez 70% des gauchers, il est également volumineux des deux côtés.

Par ailleurs, chez certains gauchers, le corps calleux paraît plus épais. Ce pont de communication plus étoffé leur permet peut-être d’échanger plus facilement et plus rapidement les informations d’un hémisphère à l’autre.

Est-ce un hasard si beaucoup d’architectes, de champions d’escrime et de tennis sont gauchers ?

http://www.dinosoria.com/cerveau.htm

e6un7

Le wifi est-il un danger pour le cerveau?

 

Contrairement au téléphone mobile GSM 900 ou GSM 1800, il n’existe pas à ce jour d’étude précise sur le Wifi. C’est pourquoi nous avons décidé à la Fondation Santé et Radiofréquences de soutenir deux ou trois projets de recherche dont nous aurons les résultats dans 3 ans » explique Martine Hours, épidémiologiste et présidente du conseil scientifique de cette fondation cofinancée par l’État et les entreprises du secteur. « Ce manque d’informations doit susciter, poursuit-elle, une attention particulière, une certaine vigilance… Mais sans mettre non plus à la poubelle toute nouvelle technologie. » Très courtes, les ondes « micro-ondes » du Wifi pénètrent peu dans l’organisme, jusqu’à 2,5 cm de profondeur. Elles sont absorbées par les couches superficielles de la peau, celles gorgées d’eau et prioritairement « agitées » par l’énergie rayonnée. La puissance des émissions Wifi, bien plus faible que celle générée par un four à micro-ondes, ne provoque cependant pas de réchauffement. Officiellement donc, rien à craindre du IEEE 802.11 …

Quoique. Bien qu’aucune recherche n’ait été faite sur l’impact des signaux haut débit sans fil en eux-mêmes, la communauté scientifique dispose d’autres travaux contradictoires et relativement nombreux, menés dès le milieu des années 1980, pointant les dégâts causés sur le vivant de rayonnements à basse intensité pulsés à 2,45 Ghz. Autrement dit, dans la gamme de fréquences caractérisant les émissions Wifi.

Allo cerveau bobo…
Une partie de ces recherches, effectuées sur des rats exposés à des rayonnements électromagnétiques aux fréquences proches du Wifi, s’est intéressée aux effets neurocognitifs. Leurs résultats sont inquiétants et incitent raisonnablement à la prudence. Les risques suggérés incluent des altérations du tissu nerveux, l’apparition de protéines de stress, une modification de l’activité hormonale (mélatonine en tête), ainsi que des problèmes de concentration et de mémoire. Les expériences de l’américain Henry Lai par exemple, de l’université de Washington, célèbre pour être le premier, en 1995, à avoir mis en évidence l’effet génotoxique des rayonnements de la téléphonie mobile, ont confirmé à travers l’observation et la comparaison des comportements de rats exposés et non exposés en train de chercher leur nourriture dans un labyrinthe, l’hypothèse que ces rayonnements électromagnétiques provoquent des troubles des mémoires visuelles, spatiales et à court terme, en parasitant la transmission des neurorécepteurs cholinergiques et opiacés naturellement sécrétés par le cerveau.
« On sait depuis environ 30 ans que les champs électromagnétiques de basse intensité à très haute fréquence peuvent avoir une influence directe sur les ions calcium en réduisant leur concentration intracellulaire, » complète le Dr Andrew Goldsworthy, ancien professeur de biotechnologie à l’Imperial College of London. La diminution de ces ions, briques de base des signaux et canaux de communications électrochimiques traversant la cellule, provoque à l’échelle de la membrane cellulaire des fuites, des trous – on parle d’efflux calcique – qui perturbent le bon fonctionnement des cellules, notamment des cellules nerveuses. « Le changement de perméabilité membranaire des cellules nerveuses occasionne des potentiels d’action erronés, qui dérèglent la qualité du signal nerveux reçu par le cerveau, poursuit le scientifique britannique. Cela réduit son aptitude à accomplir des tâches complexes et entraîne, chez certaines personnes (à peu près 3 % de la population), l’apparition de symptômes variés, plus ou moins douloureux. » (cf. La parole aux Wifi-sensibles)

Superpositions des rayonnements


En réalité, plus que l’exposition directe du cerveau ou des fibres nerveuses à ces rayonnements, ce que craignent surtout les militants associatifs est le péril de l’exposition chronique, continuelle. Celle que nous subissons tous, utilisateurs ou non, à proximité d’une borne ou d’un point d’accès Wifi. Prenons un ordinateur portable standard, compatible Wifi. Sa micro-antenne détecte plusieurs connexions à portée, accessibles ou non, et plus ou moins nettes. Ce sont toutes les bornes rayonnant alentour. La vôtre peut-être, mais aussi celle de votre voisin d’à côté, du dessus. Et celle de l’entreprise d’en face… Ou du hotspot du coin. Ces sources simultanées se cumulent, s’additionnent, augmentant les doses électromagnétiques absorbées par tous les riverains. Pour y voir plus clair, l’Autorité de Régulation des télécoms (ARCEP), « dans un souci de transparence et d’information ouverte », a rendu publique en avril 2007 une étude réalisée par Supelec, sur les niveaux d’émission générés par les équipements Wifi. Ses conclusions sont sans équivoques, « les valeurs limites d’exposition du public aux champs électromagnétiques » fixées à 61 V/m « sont respectées pour tous les cas d’utilisation de matériels mesurés ou simulés dans le cadre de l’étude. » Ces valeurs, maximales au contact puis décroissantes de 10,6 V/m à 1,2 V/m selon que l’on se trouve à 12,5 cm ou 1 mètre de distance de l’antenne, sont loin d’être anodines. D’autant plus si plusieurs émetteurs se superposent. « Il n’y a pas de seuil pour le déclenchement de réactions de type “syndrome des micro-ondes”. Selon la sensibilité individuelle, des valeurs très faibles suffisent pour provoquer des sensations de chaleur ou de pulsations crâniennes, de fatigue, de migraines, d’insomnie…» avertit la biologiste Michèle Rivasi du Centre de Recherche et d’Information Indépendant sur les Rayonnements électromagnétiques (Criirem). Sur la durée, « l’hypothèse que l’exposition au Wifi sur la durée puisse être un facteur de réactions biologiques à l’origine de pathologies et de troubles sanitaires » est à retenir. D’où la recommandation du conseil scientifique du Criirem de ne pas laisser sa « box » allumé 24 heures sur 24 et d’éviter de se placer entre la borne et l’ordinateur Wifi pour limiter toute exposition chronique ou directe.
Les Conseils Des Chercheurs

L’étude ARCEP/Supelec ne se prive pas non plus, en annexe, d’énoncer quelques principes. Comme celui de ne pas installer plus de points d’accès qu’il n’en faut, ou de positionner les points d’accès en hauteur (plus haut que la hauteur de la tête : 2,10 m par exemple), pour limiter l’exposition des personnes et augmenter le rayon de couverture. Mais aussi d’éviter de toucher une antenne de façon prolongée, « cela soumet la partie du corps à une exposition inutile, plus importante pendant la durée de l’application ». Un principe de précaution, simple et explicite, qui vient contredire l’actuelle prolifération des téléphones GSM/Wifi, collés contre l’oreille ou tenus à la main… Qui s’en soucie ? ♦

Notes
- J. Smallwood, Psychological Bulletin.
- M. Mason 2007, Science.
- R. Buckner 2005, The Journal of Neuro-science
- L’Arcep, communiqué de presse du 6 avril 2007 : www.arcep.fr
- Le Wifi vu par la Fondation Santé & Radio-Fréquences : www.sante-radiofrequences.org
- Les recommandations des chercheurs du Criirem : www.criirem.org

http://mondeo.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=97&Itemid=1&ed=16

e6un7

La marche sur le feu: Spiritualité ou leurre ?

Certaines personnes semblent avoir acquis une stupéfiante immunité contre les brûlures. On rencontre ces « marcheurs sur le feu » sur tous les continents et à toutes les époques. D’où vient cette tradition ? Comment ces hommes et ces femmes peuvent-ils affronter un brasier ou des braises sans aucun dommage corporel ?

Marcher sur le feu est une pratique encore courante en de nombreux lieux du monde. Magie, spiritualité ou trucage ?

Quelle est la recette de ce pouvoir "mystérieux" ?

Le docteur Hocken qui a lui-même participé à une cérémonie a essayé d’en tirer une théorie à la fin du 19e siècle.

Pour ce sceptique, les pieds des indigènes pouvaient être immunisés par un traitement à l’acide sulfurique dilué ou à l’alun.

Mais, cette hypothèse s'est révélée fausse.

En 1935, une expérience est tentée en Grande-Bretagne. Elle est organisée par des chercheurs de l’université de Londres.
Une fosse de 7 m de long est creusée et un lit de braise y est répandu. La température est de 430°C.
Un jeune Hindou accepte d’y marcher et de faire plusieurs traversées. Les scientifiques ne constatent aucun dommage sur le jeune garçon et bien sûr aucun trucage.

Une autre expérience de même type est menée en 1937, toujours en Angleterre.

On s’est demandé si l’autohypnose ou l’hypnose de groupe pouvait expliquer cet étrange pouvoir.

On a également constaté que l’immunité contre le feu n’effaçait pas les autres douleurs. Par exemple, on peut marcher sur des braises sans être brûlé mais souffrir après coup de coupures dues aux pierres.

De même, il a été démontré qu’un marcheur sur le feu se montrera sensible à la simple chaleur d’une cigarette sous la plante des pieds alors qu’il vient de traverser une fosse de braises.

Explication rationnelle de la marche sur le feu

Le chercheur Carlos Fonseka enquêta lui aussi sur ce phénomène et se rendit à Ceylan. Il découvrit que les participants ne restaient que trois secondes en moyenne dans le feu et qu’ils traversaient en dix pas.

Donc, la plante des pieds ne reste pas plus d'une seconde au contact du feu. Ce contact, très bref, explique en grande partie l'absence de brûlure.
Cela explique d'ailleurs pourquoi ces marcheurs ne sont pas affectés par le feu du brasier mais ne supportent pas la brûlure d'une cigarette.

Il s’aperçut aussi que les marcheurs étaient habitués à marcher pieds nus et que leur plante de pied était très dure. Une corne aux pieds très épaisse constitue une excellente protection.

Carlos Fonseka a tenté de démontrer que ce rituel n'avait aucun rapport avec la pureté de l'âme (Photo First Information Group )

Il est à signaler également que quelques expériences ont été menées. Un électro-encéphalogramme d’un fakir en train de marcher sur le feu a été effectué. On a pu observer une forte émission d’ondes alpha, caractéristiques des états de transe ou de méditation. Mais, cela ne constitue en rien une preuve scientifique.

L’énigme des « marcheurs sur le feu » se résumerait donc en une vaste mise en scène dans laquelle la dimension spirituelle n'aurait aucune place. La marche sur le feu n'a certainement rien de surnaturel.

http://www.dinosoria.com/marcheur_feu.htm

e6un7

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