referencer site web - referenceur gratuit - $(document).ready(function(){ chargementmenu(); });

Articles divers

"La disparition du racisme, comme c'est le cas chez les Musulmans, est une des réussites les plus marquantes de l'Islam et il y a dans le monde contemporain, une urgente nécessité à propager cette vertu islamique..."

A.J. Toynbee "Civilization on Trial", New York, 1948, p. 205.


Derniers billets publiés

le cerveau des enfants d'aujourd'hui est différent de celui des enfants des années 1980!

 
par Pascale Millot

Les enfants de 2010 ne sont plus les mêmes que ceux des années 1970, 1980 ou même 1990. Le monde a tellement évolué autour d’eux que leur cerveau en a été transformé.
  Nous vivons dans une société où les enfants sont minoritaires et cela se voit. Il n’en a pas toujours été ainsi. En fait, c’est même une situation récente dans l’histoire humaine, puisque les petits ont longtemps été plus nombreux que les adultes.

La tendance actuelle n’est cependant pas prête de s’inverser. Car on a beau se réjouir d’une légère hausse de la natalité, c’est plutôt la retraite imminente des baby boomers, ces gens nés entre les années 1946 et 1960 environ, qui va teinter de gris la société québécoise pour un bon bout de temps.

On ne s’étonnera donc pas de l’importance accordée aux enjeux touchant les personnes âgées: de la maladie d’Alzheimer qui fait des ravages au Viagra qui fait des miracles; des caisses de retraite qui se vident à la main-d’œuvre qualifiée qui fout le camp; de l’isolement des aînés à la transmission déficiente du savoir.

Et pendant que nous nous regardions vieillir en nous demandant comment éviter la souffrance, les regrets et l’ennui, les enfants, eux, ont changé. Beaucoup changé.

On pouvait certes soupçonner quelque chose. Les médecins n’ont jamais autant diagnostiqué de troubles de déficit d’attention, et prescrit de Ritalin pour en contrôler les symptômes. Les profs répètent que les enfants (surtout les garçons) ne tiennent plus en place. Ils ajoutent généralement qu’ils sont plus éveillés, plus ouverts sur le monde, plus cultivés. Quant aux parents, ils trouvent leurs rejetons bien précoces et remarquent qu’ils tiennent des raisonnements plus élaborés, brouillant du même coup les rapports d’autorité traditionnels.

Mais après tout, le monde de l’enfance n’a-t-il pas toujours été un peu mystérieux, énigmatique? Un univers qui nous échappe, à peine en a-t-on refermé la porte.

Ce n’est pas une blague, nos rejetons ne sont plus les mêmes: le cerveau des enfants de 2010 est différent de celui des enfants des années 1980!
Est-ce si étonnant?

Jamais l’environnement dans lequel nous évoluons n’a bougé aussi vite. Et avec les vies folles que nous menons, il serait bien surprenant que les tout-petits n’en ressentent pas les soubresauts.

Les couples se sont séparés, les familles se sont reconstituées; les mères sont allées travailler; les bambins ont envahi les garderies; la technologie s’est emballée; Internet est arrivé; le rythme de nos vies s’est accélérée.

On sait par exemple aujourd’hui que la télé modifie les connexions neuronales des tout-petits. Mais ce n’est pas tout. L’environnement dans lequel ils vivent agit aussi sur leurs gènes, ou du moins sur l’expression de leurs gènes, comme le démontre cette discipline fascinante appelée épigénétique.

Il reste une chose, cependant, qui n’a pas changé: l’enfance demeure cette période précieuse et critique où se forment les bases de la sécurité affective, garante de relations sociales et amoureuses harmonieuses; un grand chantier d’apprentissage où se tricote l’attachement qui sera déterminant dans l’aptitude au bonheur.

Et pour construire tout ça, les enfants auront toujours besoin de nous, les grands, pour les guider, les protéger, les aimer. Ça, ça ne changera pas.

http://www.quebecscience.qc.ca/La-grande-metamorphose-des-tout-petits

  • e6un7

Les Maladies d'amour

 

Sans forcément finir mal, certaines histoires d'amour connaissent quelques aléas. Féminins ou masculins, les troubles sexuels présentent le plus souvent une composante psychologique, qui a pu se greffer sur un problème physiologique. Stress, fluctuations hormonales, maladies… la vie sexuelle est loin d'être un long fleuve tranquille. Pour que désir rime de nouveau avec plaisir !
Tour d'horizon des amours impossibles
Dès que notre corps souffre, que ce soit physiquement ou psychologiquement, notre sexualité en pâtit. Pertes de désir, troubles érectiles, anorgasmie… les troubles sexuels, masculins ou féminins, sont particulièrement fréquents.
Les causes psychologiques
Stress, déprime… notre mode de vie n'est pas de tout repos. Outre ces pressions externes, des problèmes inconscients et profonds peuvent handicaper le désir mais également l'acte sexuel proprement dit.
Du vaginisme à la perte d'érection, c'est souvent dans la tête que se situe l'origine des troubles.
Les causes hormonales
Puberté, grossesse et ménopause, la vie physiologique des femmes est ponctuée d'importantes variations hormonales. Mais l'impact sur la vie sexuelle est très discuté. Quel est leur rôle exact sur la libido ? Les étudesLes maladies organiques et leurs traitements sur la pilule, la ménopause ou l'andropause sont nombreuses mais les avis restent partagés.
Les maladies organiques et leurs traitements
Toutes les maladies physiques ou mentales peuvent entraîner une diminution du désir sexuel, du fait de la fatigue engendrée. Mais certaines maladies peuvent directement handicaper la santé sexuelle par leur localisation ou par leurs effets secondaires.
Le poids des ans et la routine
La sexualité n'est pas un des plaisirs dont on doit se priver avec le temps. Désormais, on est jeune plus longtemps ! L'âge et la ménopause ne signifient plus l'exclusion des plaisirs de la vie. A condition toutefois de bannir habitude et monotonie de la vie sexuelle…

Pourquoi l'infidélité des femelles ?

http://4.bp.blogspot.com/_l2qCUJYehYY/TB659a_i4FI/AAAAAAAABQk/_gJdMJkFgDo/s1600/mouche008.jpg

Une étude suggère en effet que ce comportement dit de “promiscuité (sexuelle)” dans le jargon des biologistes et évolutionnistes serait très avantageuse afin d'éviter la pure et simple extinction.

Ce comportement est par ailleurs risqué au niveau individuel car lors de l'accouplement, les risques d'être surpris par un prédateur est plus grand et reste consommateur en énergie et en temps ainsi qu'en calories pour l'ardente femelle.

Il faut comprendre au préalable qu'il existe un gène nommé SR (pour sex-ratio) qui introduit un biais dans l'égalité des sexes à la naissance.

Voici comment ce gène fonctionne.

Chez les males, le gène SR éradiquera tous les spermatozoïdes qui contiennent un chromosome Y.

Si vous vous souvenez bien, ce chromosome Y permet d'avoir des males avec deux chromosomes différents : X et Y (les femelles sont XX).

Bilan des courses : les descendants de males qui ont le gène SR seront des femelles uniquement.

Ces descendantes vont elles-même détenir le même gène SR et le transmettre lors d'un accouplement.

Vous voyez le tableau au final : on se retrouve avec une société d' “amazones-mouches” ; très sympathique pour le dernier mâle survivant mais pas trop pour la communauté qui se retrouve dans une impasse génétique.

la population finit par mourrir sans descendants.

Afin de tester ce scénario d'horreur, les chercheurs ont donc comparé un groupe normal de mouches mâles et femelles pouvant avoir des partenaires multiples et un groupe de mouches mâles et femelles dont ces dernières ne pouvaient avoir le droit de s'accoupler qu'avec un seul partenaire.

Ils ont bien observé au bout du compte qu'au bout de 5 à 12 générations, la population strictement monogame s'éteignait d'elle-même, faute de mâles.

Cette expérience démontre le fait que pouvoir s'accoupler avec différents partenaires ... fait la différence !

Pourquoi ?

L'astuce réside dans le fait que les mâles qui portent ce gène SR ne produise que la moitié du nombre normal de spermatozoïdes.

Lorsqu'ils tentent de féconder une femelle, leurs spermatozoïdes sont donc en net infériorité numérique par rapport aux spermatozoïdes d'un mâle qui ne porte pas ce drôle de gène.

La compétion des spermatozoïdes limite fortement la propagation de ce gène SR.

Source 1 :Actualité originale (pop-up, anglais)

 

 

 

Soubhana Allah:courbatures et point de côté sont des alertes

Le point de côté viendrait d’une mauvaise oxygénation des muscles ?

Le point de côté viendrait d’une mauvaise oxygénation des muscles ?

 Il apparait souvent lors d’un effort physique, quand on manque de souffle, et se traduit par une douleur qui apparait au niveau des abdominaux, ce qui nous force à réduire notre allure et même à nous arrêter quelques instants pour reprendre le souffle. Après quelques minutes de pause la douleur disparait, par conclusion on pourrait définir que c’est la respiration qui en ai la cause, mais pas seulement.

De nos jours nous n’avons toujours pas d’explications scientifiques connues sur les mystères du point de côté, cependant nous avons plusieurs hypothèses qui s’affrontent.

Une crampe musculaire du diaphragme serait à l’origine du point de côté. Pour comprendre le mécanisme voici un petit rappel sur la respiration : au moment où nous inspirons, le diaphragme se contracte et le poumon se dilate et lorsque nous expirons les poumons se compriment et le diaphragme se relâche.

Quand nous faisons un effort physique notre respiration s’accélère, nous passons de 16 à 20 contractions par minute, au repos, à 100 voire 170 contractions par minutes, en activité physique. Il faut faire attention à ne pas confondre avec le pouls ou le rythme cardiaque qui correspondent aux battements du cœur (entre 50 à 80 pulsations par minute pour un adulte en bonne santé). Dans le cas de notre point de côté, une accélération du rythme respiratoire peut provoquer une contracture du diaphragme qui entraîne donc la douleur familière.

Deuxième hypothèse, un problème de circulation sanguine (ou vascularisation). Avec l’effort physique, l’afflux sanguin vers les organes devient de plus en plus important et peut provoquer des contractions et une tétanie de certains organes. Un point de côté droit, référence au foie et un point de côté gauche fait référence à la rate. L’afflux sanguin permet aux globules rouges d’apporter l’oxygène aux muscles, cet afflux entraînerait une trop grande accumulation du sang dans le foie ou la rate qui provoquerait donc ces douleurs.

Une autre hypothèse encore indique que le point de côté serait dû à l’habitude et à l’expérience. En effet, un coureur expérimenté aura rarement des points de côté qu’un coureur occasionnel, ceci est certainement dû à une plus grande maitrise de son corps et de son souffle.

marathon Le point de côté viendrait d’une mauvaise oxygénation des muscles ?

Mais comment éviter les points de côté ?

Tout est dans la respiration, il est conseillé d’échauffer son diaphragme en respirant profondément avec la bouche. Essayez de synchroniser votre respiration/inspiration en fonction de votre foulée. Respirez et expirez bien comme il faut sans pour autant exagérer.

Évitez de faire du sport aussitôt après avoir mangé des aliments difficiles à digérer, il faut laisser un intervalle de 3 heures avant de commencer son activité physique. Évitez les aliments riches en fibres comme les céréales complètes, les aliments qui peuvent provoquer des gaz tels que les choux ou les petits pois, les charcuteries, les alcools ou bien les pâtisseries et autres viennoiseries.

Boire régulièrement en petite quantité, il est préférable de boire peu, mais espacé pendant l’effort physique.

Et si un point de côté vous prend que faire ?

Pour faire passer le point de côté, vous n’êtes pas forcé d’arrêter votre course, à moins que vous ne puissiez plus soutenir la douleur. Il est conseillé de ralentir son allure et de concentrer son attention sur sa respiration.

Les sportifs disent aussi qu’il faudrait se courber en avant et expirer par la bouche afin qu’il disparaisse.

Après l’effort le réconfort, enfin pas tout à fait.

Les courbatures apparaissent peu après l’effort physique, elles durent en général 4/5 jours. Plus la durée et l’intensité de l’effort produit sont élevées, plus les courbatures durent longtemps et sont douloureuses.

On entend souvent dire que les courbatures étaient dues aux résidus d’acide lactique que produit les muscles après un effort intense ou inhabituel, mais que nenni. Les courbatures apparaissent lorsque le muscle est soumis à un exercice plus ou moins intense qu’il n’a pas l’habitude de réaliser, les fibres musculaires subissent des micro-déchirures et c’est sa réparation qui provoquerait les douleurs.

Plus de renseignements :

Article rédigé par : Alex.

Profitant d’un dimanche ensoleillé la semaine dernière, j’ai décidé de reprendre la course à pied histoire de brûler tout le surplus de calorie accumulé pendant les périodes de fêtes. J’avais couru plus de 45 minutes lorqu’un premier point de côté se fit sentir, j’ai alors essayé de faire abstraction de cette douleur mais un second se manifesta. Contraint de m’arreter quelques minutes pour faire disparaitre cette douleur, je me mis alors à réfléchir sur l’origine du point de côté. Ne vous êtes-vous jamais poser la question de savoir d’où provenait la douleur du point de côté et de quelle manière on pouvait l’éviter ?

Les démodex:créatures vivant sur nos cils


Voici les particularités de ces créatures :

cette petite créature du nom de “démodex folliculorum” ou démodex, a une taille de 0,4 mm. C’est un petit acarien (une créature minuscule qui ne peut être observée qu’au microscope électronique) qui vit dans les pores, les cheveux, le nez, le menton et à la base des cils.

Les infections liées aux démodex se forment lorsque quelques-uns de ces acariens se rassemblent à la base d’un seul cil.

Ces acariens se nourrissent de peaux mortes ou de sécrétions oculaires. Dans un follicule pileux de cil, il y a 25 œufs de démodex. Ces derniers, lorsqu’ils arrivent à maturité abandonnent leur follicule pileux et en trouvent un nouveau pour y laisser leurs œufs. Ce processus dure 14-18 jours.

Le corps des démodex est couvert d’écailles leur permettant de s’accrocher facilement aux follicules des poils.

Tant que plusieurs d’entre eux ne se réunissent pas sur un seul follicule pileux de cil, les démodex ne sont pas nuisibles.

Certaines espèces de démodex peuvent entraîner des maladies oculaires avec des complications dans la sécrétion des larmes. Car ces acariens mangent les cellules des glandes (les glandes de Zeis) responsables de la sécrétion des larmes.

La maladie de la blépharite est une indisposition due à ces acariens et il s’ensuit des sensations de brûlure. Avec cette maladie, les cils peuvent tomber.

Dans le Coran, Allah fait savoir aux gens qu’il est nécessaire de Le remercier pour la création sans défaut de nos sens et ce dès la naissance :

"Et Allah vous a fait sortir des ventres de vos mères, dénués de tout savoir, et vous a donné l'ouïe, les yeux et les cœurs (l'intelligence), afin que vous soyez reconnaissants." (Sourate an-Nahl, 78)

HARUN Yahya

e6un7

Créer un site internet avec e-monsite - Signaler un contenu illicite sur ce site