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Articles de islamiates

Soubhana Allah ,le corps humain: un système de recyclage parfait

 

Le système de recyclage du corps humain possède une structure parfaite. Chaque instant, les nombreux déchets nuisibles, les cellules mortes, les corps étrangers qui entrent et se font neutralisés par le système de défense ainsi que beaucoup d’autres substances inutiles circulent dans notre corps. Or, aucun de ces derniers ne nuit au corps. 


Car dans le corps, il se trouve des systèmes capables de jeter ces substances dehors ou bien de valoriser ces dernières dans les opérations effectuées à l’intérieur du corps. Nous pouvons donner comme exemple les globules rouges qui sont renouvelées constamment. La durée de vie de ces globules est d’environ 120-130 jours. Les globules rouges “âgés” meurent dans le foie, la rate et la moelle osseuse. Et de nouveaux globules rouges sont constamment produits à la place ceux qui meurent. Chaque seconde 10 millions de globules rouges meurent et chaque jour 200 milliard de nouvelles cellules sont créés à la place. De cette manière, tous les globules rouges du corps sont complètement renouvelés tous les 4 mois environ.

Grâce au système de recyclage de notre corps, les molécules de fer qui se trouvent à l’intérieur des globules rouges sont entreposés et prêts à être utiliser dans la production de nouveaux globules rouges. Ceci est un exemple de planification industriel excellent. Le corps humain, avec toutes ses qualités, est le propre du miracle.

Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que c'est cela (le Coran), la Vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute chose ? (Sourate Fussilat, 53)

Harun Yahya

e6un7

 

La magie est en constante relation avec la science

Magie

La physique-chimie

La magie est en constante relation avec la science. En effet, les "trucs" sont dans 80% des cas issus des techniques scientifiques. Il n'est pas rare de croiser un magicien diplômé de sciences. Mais aucune de ces techniques ne s'avère efficace si le magicien n'arrive pas à capter l'attention et surtout le regard de son public. Le vrai " truc " du magicien en réalité c'est ce talent.

La matière magique

Mais un magicien qui ne sait que capter et conserver votre regard aura bien du mal à vous étonner. La magie est un tout, et dans cet ensemble, la physique et la chimie ont leur place. Dans quel but le magicien va-t-il exploiter les lois de la physique ? Pour jouer sur la matière et tout simplement donner l'impression de manipuler les forces, les atomes, les fluides. Ce qui vous intéresse c'est l'explication par l'exemple, qu'à cela ne tienne. Voici un tour déroutant qui pourrait aussi être présenté comme une expérience de physique pure.

L'objectif : Faire rentrer un œuf dur dans une bouteille sans forcer.
La difficulté : le diamètre de l'œuf est largement supérieur à celui du goulot de la bouteille.
Le truc : Prenez votre bouteille en verre et jetez-y une allumette ou encore un bout de papier enflammé. Placer immédiatement votre œuf sur la bouteille. Attendez un peu : l'œuf descend tout seul au fond de la bouteille. Magique ? Non, physique.
L'allumette ou le papier entraine une combustion à l'intérieur de la bouteille ce qui se traduit par l'élimination totale de l'oxygène créant un vide partiel ou si vous préférez un appel d'air. L'œuf est ainsi aspiré vers le fond et rentre sans difficulté.

La chimie fascinante

Changer l'eau en vin, faire s'enflammer une rose, les magiciens sont aussi de bons petits chimistes. Armés de colorants surpuissants ils sont capables de nous bluffer. Comment fonctionne un colorant ? C'est simple, comme toute matière il absorbe certaines ondes lumineuses et en rejette d'autres, il a la couleur qu'il réfléchit. Au contact d'une autre matière il modifie la structure réfléchissante. Les magiciens ont des colorants très concentrés qui leur permettent de les utiliser au goutte à goutte très discrètement. Un exemple avec le tour consistant à changer de l'eau en vin. Pour cela, le magicien tient deux verres : un rempli d'eau, l'autre vide. Vraiment vide ? Non, une minuscule goutte de colorant est préalablement déposée au fond du verre. Dès qu'il verse le verre d'eau dans le verre contenant le colorant, l'eau se teinte, comme par magie.

Les magiciens nous émerveillent avec d'autres outils chimiques comme les aveuglants et les explosifs. Une solution inflammable sur un bout de tissu couplée avec un des outils empruntés à la pyrotechnie et le tour est joué : la combustion semble spontanée et surtout magique.

Les mathématiques

Les mathématiques sont très couramment utilisées par les magiciens et notamment pour les tours effectués avec des cartes ou encore des exercices de mentalisme, vous savez quand le magicien devine à quel nombre vous pensez par exemple. Il ne s'agit pas d'un don mais plutôt d'une habile construction mathématique.

Maths et divination

La cartomagie est fortement construite à partir des mathématiques

Quand on manie bien les maths on peut tout à fait créer un tour de magie époustouflant. Cela n'est pas très surprenant car pendant les performances, nous ne pensons pas aux mathématiques et si c'est le cas il peut se passer de très longues heures avant que l'on y comprenne quelque chose. Les mathématiques ont en quelque sorte un double pouvoir magique. En effet, les tours qui les utilisent le plus sont très cadrés et ne peuvent jamais rater, ils sont impressionnants car généralement ils sont interactifs, ils exigent la participation d'un individu extérieur. Comme ils sont bien construits et infaillibles, les tours mathématiques ne peuvent souffrir de l'intervention d'une personne extérieure. Par exemple si le magicien demande à quelqu'un de penser à un nombre compris entre 15 et 35, c'est que son tour est mathématiquement construit pour que, quelque soit le nombre choisi, la réponse reste la même.

Le jeu des 21 cartes

Voilà un jeu que vous avez sans doute pratiqué dans votre enfance.

Prenez 21 cartes et demandez à la personne pour qui vous exécutez le tour d'en choisir une qu'il mémorise. Distribuez les cartes, faces visibles sur trois tas. Une carte un tas, une carte, un tas, etc. Vous avez donc 3 tas de 7 cartes. Demandez à votre partenaire dans quel paquet se situe sa carte. Cela est important car maintenant rassemblez les trois paquets en prenons soin de mettre le tas indiqué au milieu des deux autres.

Appelons cette série d'opérations l'étape 1. Répétez encore deux fois.

Quoiqu'il arrive et quelque soit la carte choisie ce sera toujours la onzième carte que vous retournerez au final

La psychologie
 

Le mentalisme est une des branches de la magie. Cette notion fait écho à tous les tours de magie donnant l'impression au public que le magicien a un don et pas n'importe lequel, celui de lire les pensées, et par extension de les manipuler, les influencer. Le mentaliste Fred Darevil qui a bien voulu nous renseigner sur ce domaine si particulier.

Mentalisme et magie

Le mentalisme c'est l'illusion du paranormal par excellence. Bien qu'il constitue l'une des disciplines de la magie, le mentalisme est à mettre un peu à part. Déjà, il est arrivé récemment dans notre pays, mais il est pratiqué depuis plus longtemps dans les pays anglo-saxons. On affirme que le mentalisme fait partie intégrante du monde de la magie parce qu'ils partagent des techniques communes, des trucs. Les mathématiques y jouent d'ailleurs un rôle essentiel. En effet, les mentalistes ne sont pas des voyants. Ils ne revendiquent aucun don surnaturel, bien au contraire. Pourtant ils parviennent à pénétrer et manipuler nos pensées. Comment ?

Quand la magie a rendez-vous avec le cerveau

Aujourd'hui, le mentalisme cherche à se passer de plus en plus des trucages qui l'affilient à la magie traditionnelle. Pour donner une meilleure illusion, les mentalistes ne cherchent pas les secrets magiques dans des livres oubliés mais plutôt dans des manuels de neurosciences. Pourquoi ? Parce que c'est en comprenant mieux l'esprit humain que l'on peut mieux mettre au point des techniques capables de l'influencer. Les neurosciences et la psychologie permettent de mettre en avant des "failles psychologiques", les mentalistes s'en servent pour mieux les exploiter et être plus convaincants. En dehors de la magie les mentalistes offrent leurs services dans les entreprises pour remotiver les employés, leur redonner confiance, leur faire prendre conscience qu'ils sont capables d'accomplir des choses bien plus grandes que ce qu'ils ne pensent.

Le sixième sens

Le mentalisme en s'interrogeant sur les systèmes psychologiques pose également de nouvelles questions sur les rapports que nous entretenons avec la magie. Par exemple, qu'est-ce qui nous fascine réellement dans le tour de la femme sciée ? Est-ce la prouesse technique que nous ne comprenons pas ou plutôt l'exposition de la métaphore de l'invulnérabilité ?

La magie nous émerveille aussi et surtout pour tous les fantasmes inconscients auxquels elle fait constamment appel.

 

http://www.linternaute.com/science/magazine/dossier/magie/3.shtml

 

e6un7

 

Les faux interdits en Islam

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Lever les mains lors d’une invocation : Depuis des siècles, il est coutume, après la prière, de réciter à voix haute certaines formules laudatives et de conclure, en levant les mains, par la récitation à voix haute d’une invocation et de la Fâtiha. Lorsque l’invocation est terminée, ils passent leurs mains sur leurs visages. Selon les radicaux musulmans, il est interdit de lever les mains après la prière pour invoquer Allâh. Le croyant doit, selon eux, se limiter à des louanges, puis quitter sa place. Ils arguent par deux hadiths rapportés par Muslim en disant qu’étant donné la précision des termes et la fiabilité de ces deux hadiths, le Prophète ne procédait pas ainsi et que par conséquent il est interdit de le faire. Cette interprétation est dénigrée par les plus éminents juristes, lesquels recommendent tous de lever les mains pour invoquer Allâh. ‘Umâra ibn Ru’ya raconte qu’il vit un jour Bishr ibn Marwân sur la chaire (minbar) levant les mains [durant son invocation]. Il lui dit : « Qu’Allâh enlaidisse ces deux mains ! J’ai vu le Prophète (P); jamais il n’a fait plus que de pointer son index

Ce hadith indique que le fait de lever les mains durant le prêche (khutba) n’est pas une sunna. Néanmoins, il est autorisé, car durant la prière du vendredi, le Prophète leva les mains pour demander la pluie. Leurs opposants répondent qu’il s’agit là d’un cas exceptionnel. » Anas a dit : « Le Prophète (P) ne levait les mains dans aucune invocation, si ce n’est celle de [la prière] pour demander la pluie, à tel point que l’on voyait le blanc de ses aisselles. » Selon le sens apparent de ce hadith, le Prophète ne levait jamais les mains [pour invoquer Allâh], excepté pour demander la pluie. Mais ce n’est pas le sens de ce hadith, bien au contraire, il est attesté que le Prophète leva ses mains en de nombreuses autres circonstances. J’ai réuni, à cet effet, une trentaine de hadiths, tous extraits des deux Sahîhs. Ce hadith signifie, qu’excepté pour demander la pluie, jamais le Prophète ne levait les mains aussi haut, [les bras tendus], à tel point que l’on voyait ses aisselles.

Le Prophète (P) a dit, « Votre Seigneur est pudique et généreux, lorsque son serviteur lève les mains vers Lui, Il a honte de le laisser les ramener vers lui vides. ». Ce hadith est la preuve du fondement juridique de cette pratique après les invocations, et les hadiths sur ce sujet sont très nombreux. » ‘Umar a dit : « Quand le Prophète (P) levait les mains dans ses invocations, il ne les ramenait jamais vers lui sans les passer sur son visage. »

La voix de la femme : Selon eux, une femme ne doit pas débattre de sujets religieux avec un homme, sa voix étant considérée comme impudique (‘awrâ). Pourtant, jamais à l’époque du Prophète, il ne fut demandé aux femmes de se taire. Bien au contraire, la Tradition enseigne qu’elles ont pris la parole lors d’assemblées et que le Prophète ou ses Compagnons, leur ont répondu aimablement.

Le Prophète (P) a dit : « “Ô femmes, multipliez les aumônes et implorez fréquemment le pardon. J’ai constaté, que vous étiez les gens de l’Enfer les plus nombreux.” Une femme d’une grande éloquence demanda : “Ô Messager d’Allâh, qu’avons nous de si particulier pour mériter d’être les gens de l’Enfer les plus nombreux ?” Le Prophète répondit : “Vous maudissez beaucoup et dénigrez les bienfaits de vos époux. Je ne connais pas de créature, assimilable à l’homme sensé, qui soit autant diminuée que vous dans sa raison et dans sa religion.” Elle demanda : “Ô messager d’Allâh, que signifie, être diminué dans sa raison et dans sa religion ?” Il répondit : “Pour la raison, le témoignage de deux femmes équivaut à celui d’un homme [voir Coran 2/282]. Pour la religion, elles demeurent plusieurs jours sans prier et elles mangent durant le mois de ramadan. »

‘Umar ibn al-Khattâb déclara : “Ne donnez pas plus de quarante onces pour la dote d’une femme ; quand bien même elle serait une fille des Ghussa. Celui qui outrepassera cette mesure, je déposerai son surplus au Trésor public.” Depuis le rang des femmes, une femme de grande taille et au nez écrasé se leva et clama : “Que dis-tu là !” [Umar lui demanda] : “Qu’y a-t-il ?” Elle répondit : “Allâh a dit : Si vous avez donné à l’une un quintal, n’en reprenez rien (Coran 4/20).” ‘Umar dit alors : “Une femme a eu raison et un homme a eu tort !”

Le baise-main : Le fait de baiser la main ou le front de son maître en religion est considéré par les radicaux musulmans, non pas comme un témoignage de respect, mais comme une innovation pernicieuse initiée par les soufis, alors qu’il n’en est rien puisque les Compagnons le faisaient : « Ibn Abbâs rencontra un jour Zayd ibn Thâbit, il prit les rênes de sa monture et se mit à le guider en signe de respect. Zayd lui dit : “Laisse, ô cousin du Prophète.” Ibn Abbas répondit : “Il est de notre devoir de traiter ainsi nos savants et nos aînés.” Zayd lui dit alors : “Donne-moi ta main.” Ibn Abbâs la lui tendit et Zayd l’embrassa en disant :“Il est de notre devoir de traiter ainsi les proches de notre Prophète.” » « Thâbit venait parfois [s’instruire] auprès d’Anas ibn Mâlik.Lorsqu’il devait venir, Anas disait à sa servante : “Donne-moi un peu de parfum que je me parfume les mains, car Thâbit refuse [de s’asseoir pour s’instruire] tant qu’il ne m’a pas embrassé la main.” »

Le chapelet : Nombreux sont les musulmans qui aujourd’hui ont renoncé à faire usage du chapelet (subha). Dans de nombreuses mosquées, ils ont totalement disparu, « confisqués par les radicaux musulmans », lesquels prétendent qu’il est une innovation empruntée aux chrétiens, cela sans que jamais personne n’ait apporté la moindre preuve que ce ne soit pas l’inverse ! Ce n’est pas parce que le christianisme est antérieur à l’Islam que cette innovation doit leur être attribuée. Même si cela était le cas, les trois religions ont en commun plusieurs autres choses : les chaires (minbar), les autels (mihrâb), les pupitres, les caisses servant à recueillir les aumônes. Bien plus encore, des églises ont été transformées en mosquées et inversement. D’autre part, est-il réellement interdit d’imiter les Gens du Livre dans tout ce qu’ils font ? Ibn ‘Abbâs a dit : « Le Prophète (P) aimait imiter les Gens du Livre dans tout ce qui ne lui avait pas été enjoint de faire […]. » Les radicaux disent, qu’en plus d’être une innovation empruntée aux chrétiens, la subha doit disparaître, car pour se bénir, certaines personnes se frottent le visage avec, à la fin de leurs dévotions. Même si le caractère blâmable de cette pratique était démontré, cela ne justifierait pas son interdiction, car ils en font autant avec le Coran qu’ils embrassent et posent ensuite sur leur front !

Le comptage des formules de louanges (tasbîh) avec les phalanges, est une sunna comme l’indique le hadith dans lequel le Prophète dit aux femmes : « Louez Allâh en vous servant de vos doigts. Assurément, ils seront interrogés et ils parleront. » Quant à se servir de noyaux, de petits cailloux et autres, c’est également une bonne chose ; certains Compagnons le faisaient. Le Prophète vit un jour la Mère des croyants louer Allâh en se servant de petits cailloux et il l’a confirma dans sa façon de faire. La subha n’est pas « un objet de culte », mais un « instrument de culte » assimilable aux tapis de prière, aux boussoles et aux calendriers de prières ; par conséquent, il est une innovation constructive. Ses partisans disent, à juste titre, que le simple fait de le voir incite à s’en servir. Il est même un réflexe pour de nombreux musulmans qui, en attendant l’heure de la prière, font des dizaines, des centaines, parfois mille prières sur le Prophète. Nous invitons les détracteurs de la subha à en faire autant en comptant sur leurs phalanges, sachant que le Prophète (P) a dit : « Les gens les plus en droit de me rejoindre au Jour du jugement, seront ceux qui priaient le plus pour moi. »

La chemise traditionnelle : Le Prophète (P) a dit : « Celui qui, par ostentation, laissera pendre son vêtement, Allâh ne le regardera pas au jour du jugement. » – « Celui qui aura revêtu un vêtement par ostentation, Allâh lui fera porter, au jour du jugement, un vêtement humiliant puis, Il y mettra le feu. » – « Personne ne revêtira un vêtement afin de pavoiser et attirer l’attention des gens sur lui, sans qu’Allâh ne détourne de lui Son regard, jusqu’à ce qu’il ait retiré ce vêtement. »

Le port de la chemise est fortement recommandé pour prier : d’une part afin de cacher parfaitement sa nudité, et d’autre part, quand elle est propre et belle, afin de témoigner de son respect à Allâh. Excepté pour la prière, il n’existe pas de hadiths recommandant au musulman de se vêtir de quelque façon que ce soit, si ce n’est décemment. La Tradition enseigne que le Prophète aimait les vêtements blancs et qu’il n’aimait pas ceux à motifs, car ils distraient l’orant pendant sa prière. Les radicaux musulmans prétendent qu’il est une sunna, donc un devoir, de porter des chemises en tout temps et en tous lieux. Ceux qui n’en portent pas sont, selon eux, de mauvais musulmans, quand ils ne sont pas qualifiés par d’autres épithètes ! Si, comme ils le prétendent, porter une chemise traditionnelle est un témoignage de foi, que doit-on penser des vêtements occidentaux qu’ils portent en dessous ?

La barbe : Le Prophète (P) a dit : « Cinq [préceptes] font parti de la nature originelle de l’homme (fitra) : se raser les poils des parties sexuelles, la circoncision, se tailler les moustaches, se raser [ou s’épiler] les aisselles et se couper les ongles. » Pour les imams Abû Hanîfa, Mâlik et Ibn Hanbal, se raser la barbe est interdit (harâm) ; pour l’imam ash-Shâfi‘î, cela est blâmable (makrûh). Il ne fait donc aucun doute que se laisser pousser la barbe est, au moins, fortement recommandé. Cette divergence d’opinions est due au fait qu’il n’existe aucun hadith où il est explicitement ordonné à chaque musulman de se laisser pousser la barbe. Quant au hadith suivant, avec lequel argumentent les radicaux musulmans, il est comme de nombreux autres, détourné de son contexte. Le Prophète (P) a dit : « [...] Laissez la barbe et taillez les moustaches. » Extraite de son contexte, cette « fraction de hadith » fait figure d’argument irréfutable ; replacée dans son contexte initial, l’obligation disparaît, car le Prophète (P) a dit : « Différenciez-vous des polythéistes : laissez la barbe et taillez les moustaches. » Dans ce hadith, le Prophète définit la façon de porter la barbe, pour ceux qui auront fait ce choix, afin qu’ils se distinguent des juifs et des chrétiens. Les premiers, comme ils le font encore aujourd’hui, avaient coutume de porter une barbe longue, les seconds une barbe courte. Le musulman doit adopter la longueur intermédiaire. Le Prophète (P) a dit : « Les juifs et les chrétiens ne se teignent pas les cheveux. Différenciez-vous d’eux ! »

Commentaire d’Ibn Taymiyya : « Tout ce qui se rapporte au fait de les imiter date du début de l’émigration [à Médine]. Puis tout ceci fut ensuite abrogé, car à cette époque, les juifs ne se distinguaient pas [dans leurs apparences] des musulmans, ni par la barbe, ni par les vêtements, ni par un signe particulier. Puis il fut attesté, par le Coran, la Sunna et le consensus [des Compagnons], lequel connut son apogée sous le règne de ‘Umar ibn al-Khattâb, que ce qu’Allâh avait institué, quant à l’obligation de se différencier des incroyants, devenait exécutoire, tant pour les traditions que pour les dévotions. L’application tardive de cette obligation trouve son explication dans le fait que cette différenciation ne pouvait prendre effet que lorsque la religion fut pratiquée ouvertement et que ses préceptes furent prédominants, comme pour la guerre sainte, l’impôt versé par les Gens du Livre et ceux sous notre domination. Quand les musulmans de la première heure se trouvaient en état d’infériorité, cette obligation ne leur fut pas imposée. Mais quand la religion fut parachevée et suffisamment répandue et prédominante, l’obligation pour les musulmans de se différencier des non-musulmans devint obligatoire. De nos jours […], il en est de même, si le musulman se trouve en terre ennemie ou hostile à l’Islam, il n’est pas tenu d’observer cette obligation dans les apparences à cause des contraintes que cela suppose, au contraire il lui est recommandé (mustahab), voire obligatoire (wâjib), de les imiter temporairement [ou partiellement] dans leurs moeurs, si le fait de les imiter est bénéfique pour la religion ou peut amener autrui à se convertir. Dans le cas contraire [nous résumons] cela n’est pas permis, en particulier en terre d’Islam. » Le Prophète (P) a dit : « Assurément ! Allâh ne regarde pas vos visages et vos biens ; mais Il regarde vos coeurs et vos actions. » En Islam, les signes extérieurs de piété ne sont en rien un gage de sincérité. En réalité, la barbe, la chemise traditionnelle, etc. ne sont pour les radicaux musulmans que des subterfuges destinés à se reconnaître les uns les autres.

Les écoles de jurisprudence : Croyants, obéissez à Allâh, obéissez au Prophète et à ceux d’entre vous qui détiennent l’autorité. En cas de litige, remettez-vous-en à Allâh et au Prophète, si vous croyez en Allâh et au jour dernier. C’est un bien et la meilleure des issues (Coran 4/57) Le Prophète (P) a dit : « Les juifs se sont divisés en soixante et onze – ou soixante-douze factions –. Les chrétiens se sont divisés en soixante et onze – ou soixante-douze factions –. Ma communauté se divisera en soixante-treize factions. » Dans une autre version, il ajoute : « soixante-douze iront en Enfer et une seule entrera au Paradis ; ce sera celle de l’union. »

Tous les radicaux musulmans font valoir ce verset du Coran et ce hadith en leur faveur. Selon eux, les autorités religieuses désignées dans ce verset sont leurs chefs religieux, et les Gens du consensus (ahl as-sunna wa-l-jamâ‘a), cités dans ce hadith, le mouvement auquel ils appartiennent. Ils considèrent les écoles de jurisprudence comme des innovations et leurs différents points de vue comme autant d’erreurs. Selon eux, ces écoles doivent disparaître et être remplacées par une seule. Ils ont également opté pour une méthode et des arguments qui semblent de plus en plus convaincre les jeunes musulmans. La méthode consiste, dans un premier temps, à les culpabiliser en leur disant : « Allez-vous renoncer à ce que le Prophète a dit pour suivre l’imam Mâlik ? » Et, fort de leur argument, ils ajoutent : « Nos imams ne se réfèrent qu’au Coran et aux hadiths authentiques, alors que ceux des différents mouvements ont tous d’autres supports de réflexion. »

Ils leur expliquent que, depuis des siècles, la religion d’Allâh n’a cessé de se dégrader du fait de l’aversion des adeptes des autres religions, des innovations, des sectes et de l’ignorance des gens, mais surtout à cause des imams des quatre écoles de jurisprudence et de leurs divergences et qu’il convient désormais de revenir à « la vraie religion », cela grâce aux directives d’une génération exceptionnelle de savants (‘ulamâ) contemporains comme messieurs Ibn ‘Abd al-Wahhâb, Albânî et quelques célébrités saoudiennes. Et sans autres précisions que : « Les savants ont dit (qâl al-‘ulamâ) » ils imposent à leurs sympathisants toute une série de mesures et de réflexions incompatibles avec le Coran et la Tradition. Ce credo tendancieux est dénoncé, depuis fort longtemps, par les plus grands juristes, en particulier Ibn Taymiyya, l’un des savants musulmans les plus virulents à l’encontre des innovateurs et des sectes.
Si Ibn Taymiyya, dont les radicaux musulmans ne cessent de se réclamer sans rien savoir de lui, avait considéré ces écoles de jurisprudence comme des innovations, il n’aurait pas adhéré à deux d’entre elles et vanté ici les mérites de leurs fondateurs. Il nous suffira de rappeler que tous les plus grands savants de notre communauté, sans aucune exception, depuis al- Bukhârî à Ibn Taymiyya, ont tous adhéré à une école de jurisprudence avec, il est vrai, une très forte propension pour celle de l’imam ash-Shâfi‘î, ce qui ne change rien. Qui mieux que ces imams auraient pu se dispenser d’adhérer à l’une de ces écoles, voire en fonder une ? Pourtant, ils ne l’ont pas fait. Dès lors, comment les radicaux musulmans peuvent-ils prétendre pouvoir s’en dispenser sans penser que tous ces savants se sont trompés ? Adhérer aux recommandations d’une école de jurisprudence (madhab) n’a jamais été considéré, par aucun de ces maîtres, comme un acte de soumission à une créature, aussi savante soit-elle, mais comme se conformer à une logique jurisprudentielle. At-Tabarî, l’auteur du premier commentaire complet du Coran fonda sa propre école puis, selon certains biographes, il y renonça vers la fin de sa vie pour devenir shafi‘îte. Al-Bukhârî étudia la jurisprudence auprès d’al-Humaydî, l’un des principaux élèves de ash-Shâfi‘î. Muslim l’étudia auprès d’al-Harmala un autre élève d’ash-Shâfi‘î. Ces deux imams se sont également instruits auprès d’Ahmad ibn Hanbal et, al-Bukhârî lui a présenté son célèbre al-Jâmi‘ as- Sahîh. Les spécialistes du Hadith, parmi les élèves et contemporains de ces deux maîtres, étaient également shâfi‘îtes : at-Tirmidhî, an-Nasâ’î, Abû Dâwûd, Ibn Mâja et d’autres. Ces informations figurent en toutes lettres dans les monographies et la préface de leurs ouvrages. Tous sont d’authentiques Anciens vertueux et, dit az-Zarqânî : « Il n’est pas permis de penser d’eux qu’ils aient considéré comme authentique ce qui ne l’était pas. »

 

http://coursduvendredi.com/salafiste.php

 

e6un7

Des facteurs capables d'apporter le bonheur aux êtres humains

Coouleur de la peau

Après que les sources de bonheur inquiètent l'humanité depuis longtemps, une étude récente a révélé trois facteurs capables de résoudre ce dilemme et de montrer les éléments qui génèrent la joie chez l'être humain.

L'étude de Jonathan Haight et Jennifer Silffers,a révélé que, après avoir suivi les réactions des mères sur une vidéo publiée dans le programme télévisé "Oprah",la communication et l'empathie entre les êtres humains renforcent la sécrétion de l'ocytocine et activent les effets du nerf stomacal pulmonaire,qui sont motivés au bonheur.

Et sur le processus et d'accès l'homme au bonheur, Haight-Ashbury, a montré que le bonheur de l'homme provient de l'interaction entre le corps humain et son environ, en notant qu'il y a trois facteurs qui permettraient d'améliorer la situation psychologique de l'homme.

1 – la communication et l'interaction avec les autres

D'une part la communication avec les autres, et le sentiment avec eux et avec leurs réalisations est un facteur essentiel, en revanche, l'homme doit faire ses efforts pour atteindre l'objectif «le plus élevé», ce qui lui donne une impulsion pour la poursuite de la vie.

2 - Le bénévolat pour servir les autres

L'étude a noté que le processus de bénévolat au service des autres élèvera le moral du peuple, et lui faire sentir d'une sorte de satisfaction personnelle de soi, notant que ce phénomène s'augment pendant les crises.

3 – La méditation sur l'univers

D'autres scientifiques ajoutent un autre élément, qui conduirait au bonheur,et qui est la poursuite des mystères universels et des événements mondiaux sur l'Internet, ce qui suscite la joie dans son cœur.

L'Hormone de l'amour

Selon un certain nombre de recherches, on trouve que le bonheur est lié à l'ocytocine, l'hormone qui est connue sous le nom "l'hormone de l'amour" parce qu'elle est sécrétée pendant la réunion et la rencontre entre les amoureux, car elle est liée aux cas de sentiment de confiance et de fidélité.

Le nerf stomacal pulmonaire

D'autre part, les experts ont noté que le bonheur est également lié au nerf stomacal pulmonaire, qui est le seul nerf qui naît dans le cerveau et se termine dans le système digestif, en liant les muscles du visage avec le cœur et les poumons. les experts ont expliqué que ce nerf livre le message entre le système nerveux et les membres clés dans le corps humain, et réduit la fréquence cardiaque et apaise le système immunitaire humain.

Est-ce que le Saint Prophète a précédé les savants de l'occident à ces résultats?

Cela ce que les scientifiques ont trouvé, après des longues expériences, mais l'Islam les a précédé,car le Prophète la paix soit sur lui dit: (pas de monachisme en Islam), c'est pourquoi il nous ai commandé de prière en groupe, il nous ai commandé des conseils de mention , et il nous a ordonné d'appeler à Allah, le croyant ne doit  pas être isolé de la population , car la visite de la parenté est un des cultes les plus importants, et délaissement est le pire des travails. Par conséquent, l'islam a ordonné la communication avec les autres et l'interaction avec eux, selon l'étude.

De la présente étude, nous constatons que le bonheur est également associé au service volontaire des autres, et nous disons: l'islam nous a ordonné d'aider les autres et d'être le type de frères, ainsi que l'islam nous a ordonné d'honorer nos parents et de les traiter avec bonté, il nous a demandé de la charité envers les pauvres et les nécessiteux, et de pardonner ceux qui nous ont persécutés et pardonner à ceux qui nous ont maltraités et pardonner les maux des autres. Et de rappeler les paroles du Saint Prophète paix soit sur lui: (celui qui a sauvé un musulman d'une peine, Dieu le sauverai d'une des peines du Jour de la Résurrection).

L'étude a noté l'importance La méditation aux mystères de l'univers et de la création, mais en tant qu'un musulman, je contemple dans le grand livre du Coran,ce Coran qui est plein de versets universels qui appellent les croyants pour plus d'humilité, de foi et de bonheur. Même le culte de La méditation est un des plus grands cultes, Dieu dit sur les croyants : (ils méditent sur la création des cieux et de terre) [Al-Imran: 191].

Quant à l'importance de l'hormone de l'amour et sa liaison au bonheur, et en commentant ce résultat, nous disons que l'islam a ordonné de se marier et jouir dans les limites légale, et a ordonné de se réunir avec les croyants et de mentionner Allah, nous souvenons que la plupart des commandes et des interdictions de Dieu, adressée aux croyants dans le Coran est venu au pluriel ("O vous qui croyez!) ce qui indique l'importance de se trouver le croyant avec la communauté et de ne pas la laisser.

Pour le nerf stomacal pulmonaire et sa liaison avec le bonheur, l'Islam a ordonné de manger les bonnes choses, et interdit les mauvaises, il a interdit l'excès, et si le croyant suivre ces enseignements, il assurera la bonne santé et évitera la maladie, ainsi que plus de bonheur.

Nous disons: N'est-ce pas ce qui a été apporté par l'Islam? Ne doit pas que Les scientifiques américains apprécier cette religion, et de comprendre que ses études qui visent au bonheur de l'homme,le Prophète de la Miséricorde paix soit sur lui,a les précédés?

Je jure, mes chers,que le Prophète qui a apporté ces enseignements qui assurent le bonheur des êtres humains, est un prophète généreux et Miséricordieux, et non pas un prophète de la destruction, ou de terrorisme, tel qu'ils l'apparaissent! Il est celui que le Seigneur de gloire a qualifié, en disant:

[9:128]

Un Envoyé est venu à vous d'entre les vôtres. Vos épreuves lui pèsent. Il est avide de votre bien. Il est compatissant et clément envers les croyants.

[9:129]

S'ils se détournent de toi, dis : " Dieu me suffit ! Il n'y a de dieu que Lui ! Je me confie entièrement à Lui ! Il est le Seigneur du Trône immense ! "

 [repentance: 128-129].

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Ecrit par: Abduldaem Al-Kaheel

www.kaheel7.com/fr

 

Références:

http://arabic.cnn.com/2009/scitech/5/3/happiness.factors/index.html

 

Dix trucs bizarres dans votre corps quand vous dormez

Le sommeil 1

Tandis que vous dormez, votre corps fait plein de choses bizarres dans votre dos.

Pas de panique : c'est normal.

Mais quand vous aurez lu ceci, vous ne vous coucherez plus comme avant.

1. Vos muscles sont temporairement paralysés
C'est inquiétant mais c'est pourtant bien cela qui se passe : vos muscles sont déconnectés de votre cerveau. Mais c'est une très bonne chose ! C'est ce qui vous empêche de passer à l'acte quand vous êtes en train de rêver.

2. Vos yeux sautillent
Lors de la phase du sommeil dit « paradoxal », qui est la phase où vous rêvez, vos yeux roulent dans tous les sens. Ce phénomène est appelé « mouvement oculaire rapide », ou Rapid Eye Movement (REM) en anglais.

On pense que ces mouvements accompagnent le travail de mémorisation qui s'effectue pendant le sommeil paradoxal, mais les chercheurs ignorent à quoi cela sert au juste. Parfois, les mouvements sont en rapport direct avec le contenu du rêve : si vous rêvez de tennis par exemple, vos yeux iront de droite à gauche comme s'ils suivaient la balle.

Chez les aveugles, ce phénomène n'existe pas : au lieu de bouger les yeux, ils font des bruits et des mouvements du corps.

3. Vous grandissez
Vous ne pourrez pas forcément devenir joueur de basket professionnel en vous réveillant mais c'est un fait, vous grandissez quand vous dormez. Les disques de cartilage qui sont entre vos vertèbres se comportent comme des coussins : ils se réhydratent et gonflent la nuit car le poids de votre corps ne pèse plus sur eux.

Pour maximiser les effets, dormez sur le côté, en position fœtale : c'est la position qui minimise le poids sur votre dos.

4. Votre pression sanguine baisse
Lorsque vous êtes couché, le cœur n'a plus besoin de pomper aussi fort pour renvoyer votre sang de vos orteils jusqu'à votre cerveau. Il ralentit, vos artères se détendent et votre pression sanguine baisse, donnant le temps à votre système cardiovasculaire de se relaxer.

Les personnes souffrant d'hypertension doivent, plus que les autres, veiller à avoir assez de sommeil. Cela réduit leur risque d'accident cardiaque.

5. Sursaut brutal
Lorsque vous vous endormez, il se peut que vous sursautiez brutalement. C'est normal : 70 % des gens connaissent ce phénomène. Ces sursauts peuvent être généralisés ou ne toucher que les jambes, et s'accompagnent souvent d'une sensation de chute, ou de perte d'équilibre, parfois d'un cri.

Dans de rares cas ils sont handicapants, mais la plupart du temps, ils sont tout à fait normaux. Les médecins appellent cela des « myoclonies d'endormissement ».

Par contre, si vous aimez vous blottir dans les bras de votre conjoint pour vous endormir, veillez à vous écarter un peu juste avant de sombrer, pour ne pas vous réveiller mutuellement.

6. Emission de gaz
Les gens n'aiment pas que je parle de ça, mais le fait est que le sphincter se détend la nuit, augmentant le risque que des gaz ne s'échappent.

Heureusement, le sens de l'odorat – et celui surtout de votre conjoint – est fortement réduit pendant le sommeil. C'est ce qui explique aussi pourquoi les alarmes incendie ont été inventées : l'odeur du brûlé a peu de chance de vous réveiller quand vous dormez.

7. Votre peau rajeunit
Avez-vous pris récemment dans vos bras un petit enfant qui se réveille, après avoir fait « le tour du cadran » (dormi 12 heures) ?

La peau de son visage est toute douce, chaude, d'une belle couleur de pêche, bien irriguée.

Lorsque vous dormez, vous êtes en état de jeûne, et votre corps produit de l'hormone de croissance pour commander à vos cellules graisseuses (adipocytes) de relâcher du gras pour servir d'énergie à votre organisme. Mais l'hormone de croissance stimule aussi la production de collagène, une protéine qui forme la trame des os, des vaisseaux sanguins et de la peau.

Une bonne nuit de sommeil a un effet rajeunissant sur la peau, et réduit les rides et ridules. Réciproquement, une mauvaise nuit et plus encore une nuit blanche donnent les traits tirés, vieillis.

Vous savez désormais pourquoi.

8. Votre température baisse
Juste avant de vous endormir, la température de votre corps diminue, déclenchant la production de mélatonine, l'hormone du sommeil qui règle votre horloge biologique (cycle circadien).

Votre température est au plus bas vers 2 h 30 du matin. C'est en général à cette heure-là que vous essayez de voler un peu de couverture à votre conjoint.

9. Excitation sexuelle
Les hommes comme les femmes connaissent des épisodes d'excitation sexuelle durant les phases de sommeil paradoxal, et cela n'a rien à voir avec les rêves évocateurs.

Le cerveau est plus actif pendant cette phase qui est celle où il rêve, ce qui augmente le besoin en oxygène et donc le flux sanguin dans le cerveau, mais aussi dans le reste du corps.

Ce qui provoque des gonflements intempestifs.

10. Quel type de dormeur êtes-vous ?
Il y a les « couche-tôt » et les « lève-tard ».

Il y a ceux qui sont toujours en forme malgré des nuits courtes, et ceux qui sont toujours fatigués malgré des nuits longues.

Au fond, il n'y a que cette dernière catégorie qui pose problème. Si vous dormez mal et que vous êtes fatigué la journée, c'est certes dommage, mais ce n'est pas très étonnant.

 

 

e6un7

 

 

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