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Articles de islamiates

Jouir, oui mais sans excès !

 

Jouir de ce que Dieu met à notre disposition

Lorsque l’homme observe autour de lui, il constate comme nous l’avons déjà dit que toute la nature lui offre ce qui lui est nécessaire pour subvenir à ses besoins et qu’i trouve, tant dans la végétation que dans le monde animal, tout ce dont son corps a besoin pour rester en bonne santé. Mais l’homme ne réfléchit pas quant à la provenance de ces biens. Et il en profite sans se poser de questions !

Quant au musulman, il doit se souvenir combien il est redevable envers Dieu ! C’est une des raisons pour lesquelles il doit sans cesse Le Louer, Le remercier et Lui être reconnaissant de cette abondance et de Sa générosité.

Si chacun y prend une part active, en préservant ce que nous consommons, en nous gardant de polluer l’eau, l’air, la nourriture, oui, certainement, si ensemble, nous agissons ainsi, peut-être est-il encore temps d’assurer à nos enfants et nos petits enfants des conditions de vie convenables… Si Dieu le veut !

Se garder de tout excès

Pour la même raison, nous devons user de tout ce qui est nécessaire à notre subsistance de façon parcimonieuse, en respectant ce que nous ne consommons pas et en évitant le gaspillage, l’un des nombreux maux de notre époque.

« Ô fils d’Adam !... Mangez et buvez et ne commettez pas d’excès car Dieu n’aime pas ceux qui commettent des excès… Mais évitez tout gaspillage, car Dieu n’aime pas ceux qui gaspillent ! »

Si l’on évoque le gaspillage, cela ne concerne pas uniquement ce qui est destiné à la nourriture, mais également toutes ressources dont nous disposons. Une évidente s’impose au musulman : tout excédent, qu’il s’agisse de nourriture ou d’autre chose doit être distribué à ceux qui sont dans le besoin, et surtout, ne rien jeter qu’il soit possible d’utiliser.

Le prophète a dit : « Mangez, buvez, habillez-vous et faites l’aumône sans ostension, ni prodigalité. Dieu aime voir les traces de ses bienfaits sur son serviteur ».

Cependant, l’islam n’interdit pas de profiter de ce que Dieu met à disposition parmi les choses licites, bien au contraire.

La condition qui est mise à cette permission est que nous en disposons avec un cœur rempli d’humilité et de reconnaissance, sans faire preuve d’orgueil ni de vanité.

Abdallah Ibn Mas،ud a rapporté que l’Envoyé de Dieu a dit : « Quiconque a dans le cœur la moindre trace d’orgueil n’entrera pas au paradis ». Un compagnon qui était présent demanda : « Et si l’homme aime porter de beaux habits et de belles sandales ? » Le Prophète lui répondit : « Dieu est beau et aime ce qui est beau ! »

Nous savons que les premiers musulmans, au début de la Révélation, étaient issus de divers milieux, certains étaient de riches commerçants, d’autres étaient des pauvres ou des esclaves. Lorsqu’ils émigrèrent vers Médine, ils furent réduits à tous vivre pauvrement ; même les plus nantis avaient dû abandonner leur bien à la Mecque.

« La famille de Muhammad n’a jamais fait deux repas dans la même journée sans que l’un d’eux ne consistât qu’en dattes ».

http://www.paradise-islam.fr.gd/Jo%EFr-de-ce-que-Dieu-met-%E0-notre-disposition.htm

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L'incroyable essor des sciences arabes


Abu Hamid AL-GHAZALI
(1058 - 1111)

(Qu'Allah lui fasse Miséricorde, Amine)

Pour les esprits colonisateurs du XIXe siècle, les Arabes n’ont rien inventé, ils ont juste eu l’immense privilège de garder bien au chaud le savoir des Grecs. Et quand enfin, au XXe siècle, les historiens reconnaissent l’importance des sciences arabes, les esprits s’échauffent : ce sont les Arabes qui ont tout inventé ! Jusqu’à nos célèbres chiffres ! Petite mise au point...

Les sciences méditerranéennes naissent au IIe Millénaire av JC., en Mésopotamie (voir Ré- flexiences n°3). On sait que les Mésopotamiens sont parvenus à repérer les cycles d’éclipses de Lune et de Soleil au terme de plusieurs siècles d’observations qu’ils se transmettent de génération en génération, jusqu’à l’avènement du monde grec. Celui-ci s’empare de ces extraordinaires relevés et commence à produire des textes scientifiques qui explicitent les résultats mésopotamiens. Puis, entre les IIe et IXe siècles ap JC., les observations se font plus rares : on n’en a relevé que neuf autour du berceau méditerranéen. Après Ptolémée (IIes. ap JC.), il n’y a plus d’avancées en astronomie et on ne fait plus que commenter les anciens textes. Par contre, du côté des mathématiques, la recherche continue et elle subsiste même jusqu'au IVe siècle.

Toutes les sciences démarrent au IXe siècle, sous le califat d’al-Ma’mûn. A partir de 813, celui-ci fait traduire à tour de bras tous les textes grecs philosophiques et scientifiques possibles. Il crée la Maison de la Sagesse, un centre qui fonctionne comme une académie : on y dépose les textes à traduire, puis les traductions. Ce centre, financé par le pouvoir, permet le redémarrage de l’activité scientifique. La recherche naît donc immédiatement de la traduction. Ainsi, après la première traduction de l’Almageste de Ptolémée (ouvrage grec d’astronomie du IIe siècle), on construit le tout premier observatoire du monde arabe, et les observations continues reprennent. Au Xe siècle, à Bagdad, les astronomes arabes établissent un programme d’observations sur trente ans ! (durée nécessaire pour pouvoir observer le plus grand cycle des planètes connues alors).

Ce surprenant et fulgurant essor des sciences dans le monde arabe s’explique en partie par la géographie de l’empire. Le passage du monde byzantin au monde musulman s’est pratiquement fait sans déplacement de frontières car les Arabes se sont installés sur des territoires qu’ils ont repris aux Byzantins. Les scientifiques arabes disposent ainsi de manuscrits grecs qui sont déjà sur place et qu’ils n’ont pas besoin de rechercher. De plus, les pélerinages à La Mecque favorisent des échanges incroyables. Le voyage peut durer quatre ans. Les savants s’arrêtent au Caire, à Damas, à Bagdad, etc. et ils transmettent leur savoir de ville en ville.

L’algèbre est sans doute la plus étonnante des disciplines scientifiques pratiquées par les Arabes. On ne sait pas vraiment comment est née cette science, il semble que Al Khwârizmî l’ait créée à partir de rien en 830 dans son traité d’algèbre (ce même Al Kwârizmî qui donnera par la suite son nom à “algorithme”). Les Arabes parviennent à réfléchir sur des inconnues et à mener des raisonnements indépendants des objets sur lesquels ils travaillent. C’est un degré d’abstraction qui n’a encore jamais été atteint. Pas même par les Indiens qui ont pourtant un grand nombre d’inventions dans leur besace : la numération de position, le sinus et le cosinus, et nos fameux faux “chiffres arabes” ! (voir Réflexiences n°3).

L’optique a également été révolutionnée par les Arabes, et en particulier par Ibn al-Haytham. Au début du Xe siècle, cet homme remet en cause toute l’optique ancienne. Avant lui, on pensait que l’oeil émettait un rayon qui palpait les choses pour qu’on puisse les voir. Si on ne voyait pas de loin, c’est que notre rayon n’était pas assez puissant et il retombait avant d’atteindre l’objet. Ibn al-Haytham comprend que l’oeil n’émet pas la lumière, il ne fait que la recevoir ! Il développe par la suite tout un travail sur l’arc-en-ciel en identifiant la réfraction due aux gouttes d’eau.

La médecine n’est pas en reste. Les Arabes apprennent les pratiques grecques en Perse et dépassent rapidement leurs prestigieux prédécesseurs. Al-Razi est ainsi le premier à identifier la variole et la rougeole, tandis que Al-Quarashi décrit pour la première fois le passage du sang du ventricule droit au ventricule gauche via les poumons.

En 1258, la prise de Bagdad par les Mongols marque l’effondrement d’un monde. Les bibliothèques sont mises à sac et les savoirs arabes se dispersent. Heureusement, un savant, Nasîr al-Dîn al-Tûsi, reprend les choses en main. Il remet au goût du jour tous les textes arabes qu’il retrouve et refait une “bibliothèque des classiques”. Tous les textes sont réécrits en tenant compte des avancées scientifiques du moment. Il réécrit ainsi l'Almageste et modifie les raisonnements trigonométriques en intégrant les sinus et cosinus arrivés d'Inde à la fin du VIIIe siècle. Les sciences renaissent sur les ruines de Bagdad. Al-Tûsi est également le maître d’oeuvre du célèbre Observatoire de Marâgha (au nord-ouest de l’Iran actuel) qui fournit pendant 60 ans des séries d’observations en continu. C’est sur ces données, et non sur celles de Ptolémée, que s’appuie par la suite Copernic pour élaborer sa nouvelle cosmologie. Ce qui fait de lui le “dernier élève de l’Ecole de Maragha”.

A partir du XVe siècle, la communauté sicentifique arabe se dissout. Le rétrécissement géographique de l’empire affecte la diffusion des savoirs et la langue arabe perd sa valeur de langue scientifique. C’est la fin de l’âge d’or des sciences arabes.

Certains savoirs scientifiques ont pu transiter par des points de passage entre le monde arabe et le monde latin. En Sicile, la cour de Roger II (vers 1150) puis celle de Frédéric II (vers 1250) est bilingue latin / arabe et favorise les échanges entre les deux cultures. En Italie du Nord, il existe également un milieu juif arabisé qui traduit des connaissances arabes en latin, en passant par l’hébreu. Mais, il faut admettre qu’il n’y a pas dans le monde latin du XIIe siècle la volonté politique qu’il y a au IXe siècle dans le monde arabe avec Al’Mamoun. Par contre, la philosophie et la théologie connaissent d’énormes développements et, en astronomie, on atteint la perfection des systèmes géocentriques avec épicycles (voir schéma ci-dessous).

La planète se déplace sur un petit cercle mobile, l’épicycle. Le centre de cet épicycle tourne autour de la Terre sur un autre cercle, le déférent.

Jusqu’au XVIe siècle, il n’y a donc pas de renouveau dans la recherche scientifique latine. On traduit beaucoup les grands auteurs grecs et arabes pour les besoins des Universités (Paris, Oxford, Bologne), mais on ne crée pas de nouveaux savoirs en sciences.

http://www.reflexiences.com/dossier/102/l-incroyable-essor-des-sciences-arabes/

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Bioluminescence : Pourrait-on s'éclairer un jour grâce à un animal?

Bioluminescence

La nuit, la bioluminescence des lucioles est un spectacle qui nous laisse tous émerveillés et intrigués. Mais avez-vous déjà envisagé d’éclairer votre habitat avec de la lumière provenant d’un organisme vivant ?

La bioluminescence est la production et l'émission de lumière par un organisme vivant résultant d'une réaction chimique au cours de laquelle l'énergie chimique est convertie en énergie lumineuse.

Le mot a pour origine le terme grec bios signifiant vie et le terme latin lumen, lumière.

La bioluminescence est une forme de luminescence, produisant une lumière dite froide car moins de 20 % de la lumière génère de la chaleur. Elle ne doit pas être confondue avec la fluorescence, la phosphorescence ou de la lumière réfractée.

La bioluminescence peut être générée par des organismes symbiotiques hébergés au sein d'un organisme plus grand. Le composé chimique à l'origine de la luminescence est la luciférine. Celle-ci émet de la lumière en s'oxydant grâce à l'intervention de la luciférase, une enzyme. La réaction chimique peut avoir lieu à l'intérieur ou à l'extérieur de la cellule. Chez les bactéries, l'expression des gènes liés à la bioluminescence est contrôlée par un opéron appelé lux operon.


Distribution


La majorité des émissions lumineuses marines appartiennent au spectre lumineux du bleu et du vert, les longueurs d'onde qui peuvent être transmises aisément à travers l'eau. Plus rarement, certaines espèces émettent dans le rouge ou dans l'infrarouge.

La bioluminescence non marine est plus rare mais autorise une variété de couleurs plus importante. Les formes de bioluminescence terrestre les plus connues sont les lampyres et les lucioles mais des facultés de bioluminescence ont été décrites chez d'autres insectes, des arachnides et chez certains champignons.

L'homme émet également de la lumière d'origine bioluminescente, mais en quantité si infime qu'elle n'est perceptible que par des appareils photographiques extrêmement sensibles[1].

Fonction de la bioluminescence


Il existe quatre théories principales pour l'évolution du caractère de bioluminescence :

Camouflage

Bien que cela puisse paraître paradoxal, certains poissons ou le calmar Euprymna scolopes utilisent la bioluminescence à des fins de camouflage. En effet, à des profondeurs moyennes, les prédateurs repèrent leurs proies par en dessous, la silhouette de celles-ci se dessinant comme des ombres chinoises dans la faible lumière arrivant de la surface. Certains poissons dissimulent leur silhouette aux prédateurs situés en dessous d'eux grâce à la bioluminescence produite sur leur face ventrale, qui simule la lumière de la surface.

Attraction


Linophryne lucifera, un poisson abyssal avec un appendice frontal bioluminescent.
La bioluminescence peut également être utilisée comme un leurre par différentes espèces abyssales comme certains lophiiformes. Un appendice lumineux ballant et s'étendant au-dessus de la tête du poisson permet ainsi d'attirer les petits animaux à une distance autorisant l'attaque.

L'attraction des partenaires sexuels est une autre fonction de la bioluminescence. On la trouve notamment chez les lampyres qui utilisent un flash périodique au niveau de leur abdomen pour attirer leur partenaire lors de la reproduction.

Le plancton bioluminescent, que l'on trouve dans les eaux propres, comme sur les côtes nord de Bretagne près de Saint-Malo, dans les réserves, en Corse et au sud-est de France : Porquerolles… Les micro organismes composant le plancton utilisent la bioluminescence pour être mieux vus des poissons : le poisson, attiré par ces lumières arrive et les avale. Le plancton se reproduit plus vite dans l'abdomen du poisson que dans l'eau alentour (présence de bactéries, température plus élevée…), et il arrive ainsi que dans des régions où l'eau est plutôt pure, on puisse voir de petits nuages bleutés se former dans l’eau si on s'amuse à la remuer.

Répulsion

Certains calmars et petits crustacés utilisent des mélanges chimiques bioluminescents (également des boues de bactéries bioluminescentes) afin de repousser les attaques des prédateurs de la même manière que beaucoup de calmars utilisent l'encre : un nuage de luminescence est expulsé déroutant ou repoussant un potentiel prédateur permettant ainsi au calmar ou au crustacé de prendre la fuite en toute sécurité.

Communication

La bioluminescence pourrait également jouer un rôle direct dans la communication entre bactéries (voir quorum sensing). Elle induit également la symbiose entre des bactéries et une espèce hôte et pourrait jouer un rôle dans l'agrégation de colonie.

Types de bioluminescence


La bioluminescence peut être divisée en trois types principaux : une bioluminescence intracellulaire, une extracellulaire et celle des bactéries symbiotiques.

Bioluminescence intracellulaire

<img alt="Puis-je m'éclairer avec un animal ?" src="http://www.universcience.tv/ressources/media/photo-5649-puis-je-m-eclairer-avec-un-animal-o.html" /> <h2><iframe allowfullscreen="true" class="player" frameborder="0" height="324" mozallowfullscreen="true" scrolling="no" src="http://www.universcience.tv/index.php/player-html5-53584b2438cabfc427671258d92d6af6.html" webkitallowfullscreen="true" width="576">Puis-je m&amp;#39;&amp;eacute;clairer avec un animal ?</iframe></h2> <p>L&amp;#39;&amp;eacute;mission de lumi&amp;egrave;re par un &amp;ecirc;tre vivant s&amp;#39;appelle la <a href="http://www.universcience.tv/nom-bioluminescence.html">bioluminescence</a> . Ainsi certaines mouches, des <a href="http://www.universcience.tv/nom-mille-pattes.html">mille-pattes</a> , des calamars, des m&amp;eacute;duses des &amp;eacute;toiles de mer, des <a href="http://www.universcience.tv/nom-coraux.html">coraux</a> , une esp&amp;egrave;ce de requin mais aussi des <a href="http://www.universcience.tv/nom-bacteries.html">bact&amp;eacute;ries</a> et des <a href="http://www.universcience.tv/nom-micro-algues.html">micro-algues</a> peuvent produire de la lumi&amp;egrave;re. Lorsque que la production de lumi&amp;egrave;re se fait par r&amp;eacute;actions chimiques, on parle de chimiluminescence. Cet &amp;eacute;pisode fait partie des 6 diffus&amp;eacute;s lors de Lille 3000.</p>

La bioluminescence intracellulaire est générée par des cellules spécialisées du corps de certaines espèces multicellulaires dont la lumière est émise vers l'extérieur à travers la peau ou intensifiée par des lentilles et des matériaux réfléchissants (comme les cristaux d'urate des lucioles ou les plaques de guanine de certains poissons). Ce type de bioluminescence est celle de nombreuses espèces de calmars.

Bioluminescence extracellulaire


Mécanisme général des réactions de bioluminescences
La bioluminescence extracellulaire est réalisée à partir de la réaction entre la luciférine et la luciférase, une enzyme. Une fois synthétisé, chaque composant est stocké dans des glandes de la peau ou sous celle-ci. L'expulsion et le mélange de chaque réactif à l'extérieur produit des nuages lumineux. Ce type de bioluminescence est commun à quelques espèces de crustacés et aux céphalopodes abyssaux.

Symbiose avec des bactéries luminescentes

Ce phénomène est uniquement connu chez les animaux marins comme les cténophores, les cnidaires, les vers, les mollusques, les échinodermes et les poissons. Il semble que ce soit le type de bioluminescence le plus répandu du règne animal.

À différents endroits du corps, les animaux disposent de petites vésicules, communément appelées photophores qui renferment des bactéries luminescentes. Certaines espèces produisent de la lumière continue dont l'intensité peut être neutralisée ou modulée au moyen de diverses structures spécialisées. Les organes lumineux sont généralement reliés au système nerveux ce qui permet à l'animal de contrôler l'émission lumineuse.

Utilisation en biotechnologie


La bioluminescence des organismes est la cible de nombreux domaines de recherche. L'utilisation de la luciférase est répandue en génie génétique comme gène marqueur.

Des bactéries du genre Vibrio en symbiose avec de nombreux invertébrés marins comme la seiche Euprymna scolopes ou des poissons sont un modèle expérimental clé dans l'étude des symbioses, du quorum sensing et de la bioluminescence.

En biotechnologie, la bioluminescence a permis le développement de l'ATPmétrie. En effet, la luciférase est également capable de réagir avec l'adénosine triphosphate (ou ATP). Elle permet donc de quantifier la biomasse dans un échantillon grâce à un appareil appelé luminomètre qui mesure l'intensité lumineuse.

 

 

 

Exploiter la bioluminescence, une idée lumineuse
INNOVATION. Lucioles, vers luisants et poissons abyssaux créent leur propre lumière. Dès lors, pourquoi ne pas utiliser cette capacité pour créer des objets lumineux qui ne nécessitent ni raccordement électrique, ni produit chimique ou illumination préalable ?

Bio-light fait partie du programme  « Microbial Home » de Philips. Ce projet dont les applications sont relativement nombreuses, consiste a créé des écosystèmes domestiques qui offrent une alternative aux solutions traditionnelles d’énergie, de nettoyage, d’éclairage  ou de traitement des déchets.

Le concept Bio-light repose différentes technologies biologiques pour créer des effets de lumière. Cet éclairage autonome est écologique car il ne nécessite pas d’électricité pour produire de la lumière. Il utilise des bactéries bioluminescentes qui se nourrissent de méthane et de matières compostées générées par la vie quotidienne de la maison.

Telle une oeuvre d’art, Bio-light se présente sous la forme d’un ensemble de cellules de verres soufflées maintenues par un cadre en acier. Dans ces cellules se trouvent des cultures bactériennes qui vont émettre une douce lumière verte. L’ensemble peut être accroché sur un mur.

Les cellules de verres sont reliées ensemble par des tubes de silicium qui rejoignent la base de la lampe bioluminescente. Cette base est en fait un réservoir de nourriture pour les bactéries. Tant qu’il y a à manger, Bio-light reste en fonctionnement.

L’inconvénient majeur, c’est que cette lampe ne semble pas avoir d’interrupteur. Par ailleurs, la douce bioluminescence n’est certainement pas suffisante pour fournir l’éclairage nécessaire à une maison. La lumière est produite plus lentement que nos éclairages traditionnels et les bactéries doivent être gardées en vie pour que Bio-light tienne la route.

L’avantage réside dans le fait que cette lampe ne nécessite aucun câble pour fonctionner. Bio-light est totalement déconnectée du réseau électrique.

Bibliographie

◾D.Champiat Biochemiluminescence in Biotechnology 1992 Biofutur n°110, pp. 3-19 Technoscope n°51
◾Dominique Champiat et Jean Paul Larpent, Biochimiluminescence. Principes et applications, éd. Masson biotechnologies, 1993, 531 p.
◾D. Champiat & al Biochimiluminescence and biomedical applications 1994 Cell Biology and Toxicology Volume 10, Numbers 5-6
◾Champiat Dominique & al Applications of biochemiluminescence to HACCP. Luminescence. 2001 Mar-Apr;16(2):193-8
◾ATP-metry for detecting and counting viruses D. Champiat 2004
◾ATP-metry based on intracellular Adenyl Nucleotides for detecting and counting cells, use and implementing method for determining bacteria in particular devoid of ATP. D.Champiat 2004

Notes et références

1.↑ (en) Elliot Bentley, « Humans glow in the dark », The Guardian,‎ 17 juillet 2009 (lire en ligne).

 

Wikipédia

http://www.actinnovation.com/innovation-technologie/philips-bio-light-bacteries-bioluminescentes-eclairer-maison-3898.html

 

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Notre mode de vie influence les performances de notre cerveau

Temps

Le métier que nous exerçons, les sports que nous pratiquons, la musique que nous écoutons peuvent jouer un rôle positif ou négatif pour
notre cerveau. Le travail est un élément particulièrement important puisque nous y consacrons un grand nombre d'heures chaque jour.

Les travail

"Le travail favorise une plus grande flexibilité, une plus grande plasticité cérébrale, crée de nouvelles connexions cérébrales, un
peu de stress est positif", explique le Pr Nicolas Franck, chef du service de psychiatrie du CHU de Lyon. "En revanche, trop de stress, trop
de fatigue fait perdre des capacités de mémorisation. La sécrétion d'hormones du stress peut nuire aux performances cognitives."

Ces connaissances aident à mettre au point un management plus intelligent lorsque l'on se rend compte que le stress entraîne une baisse
des mémorisations. "Cela pousse à développer des relations saines avec les collaborateurs et à recourir à un renforcement positif", explique le
Pr Nicolas Franck.

Le chômage et la retraite négatifs aux performances
cérébrales

Le chômage est négatif aux performances cérébrales car il entraîne une diminution de l'activité stimulante et parfois une dépression qui
favorisent le déclin cognitif.

La retraite peut accélérer la survenue de la maladie d'Alzheimer si elle n'est pas bien préparée. Il faut absolument lutter
contre l'isolement, contre un manque d'activité et avoir des relations sociales.

Le sport

Le Pr Franck explique que faire du sport, non seulement améliore les performances cérébrales, mais permet aussi de prévenir la maladie
d'Alzheimer. Le sport entraîne une meilleure oxygénation du cerveau, donc favorise la création de nouvelles connexions au niveau du cerveau. Il y a également un
effet de protection contre la dégradation du cerveau à travers la fabrication de substances impliquées dans la réparation du cerveau et donc un effet de
prévention à la maladie d'Alzheimer.

Les écrans

Les écrans, télé, ordinateurs, smartphones, font partie de notre mode de vie et peuvent être un plus ou un moins pour les performances de
notre cerveau. Tout dépend de l'usage. Il faut favoriser une utilisation active, et s'en servir comme support de discussion, d'échange, de supports
pédagogiques et que cela servent à une mémorisation solide.


Une étude vient de prouver qu'avec une série de mesures il est possible de freiner le déclin cognitif.

Manger sainement, faire de l'exercice physique, stimuler son cerveau mais aussi traiter tension, diabète et cholestérol… Autant d'actions bénéfiques pour les méninges. De nombreuses études établissent en effet un lien entre ces différents facteurs et la démence. Mais c'est la première fois qu'un essai contrôlé, statistiquement solide, publié par le Lancet, démontre qu'il est possible de ralentir le déclin cognitif en agissant systématiquement sur tous ces facteurs.

Les chercheurs de l'Institut Karolinska de Suède et de l'Institut national de la santé et de la prévoyance et de l'Université de Finlande orientale ont recruté 1 260 Finlandais âgés de 60 à 77 ans et les ont répartis au hasard: une moitié d'entre eux dans un groupe d'accompagnement intensif, l'autre dans un groupe contrôle recevant uniquement des conseils de santé. Les participants n'avaient pas encore développé de problèmes de mémoire importants, mais ils étaient à risque de déficience cognitive.


Pendant deux ans, les personnes suivies de manière intensives recevaient régulièrement des conseils nutritionnels, suivaient un programme d'exercice physique et de «gymnastique » cérébrale et étaient surveillées pour leurs facteurs de risques vasculaires. Au bout de deux ans, les résultats de leurs tests étaient 25 % plus élevés que ceux du groupe contrôle. Ils étaient même 83 % plus élevés pour la capacité du cerveau à organiser et réguler les processus de pensée et 150 % pour la vitesse de traitement de l'information !

Haro sur le cholestérol et le tabagisme

«Les résultats de cette étude ne sont pas discutables mais en même temps, il faut rester prudent. Les chercheurs se sont intéressés à des personnes à risque de démence. Chez elles, plus particulièrement, on sait qu'en corrigeant les facteurs de risque comme l'hypertension et le diabète on va forcément retarder le déclin cognitif », commente le Pr Bruno Dubois, neurologue à l'hôpital de la Pitié-Salpétrière.

Les «bourreaux du cœur » bien connus que sont l'hypertension artérielle, le diabète, l'obésité, le cholestérol, le tabagisme ou l'inactivité physique sont tout aussi redoutables pour les méninges. «Notre cerveau est une éponge parcourue par des millions de vaisseaux minuscules qui alimentent cette puissante centrale en nutriments, oxygène et glucose. Si ce réseau incroyablement dense de vaisseaux est fragilisé, le cerveau se portera moins bien », explique le Dr Olivier de Ladoucette, psychiatre et gérontologue. Ces facteurs de risques vont en effet progressivement entraîner des altérations vasculaires qui peuvent aboutir à une mauvaise irrigation du cerveau. C'est pourquoi protéger ses artères, c'est aussi préserver ses capacités de réflexion.

Muscler ses neurones

Outre la correction des facteurs de risques vasculaires et les mesures d'hygiène de vie, l'étude finlandaise pointe du doigt la nécessité de «muscler » en permanence son cerveau. Chacun des participants est arrivé avec une «réserve cognitive » différente qui va dépendre de son niveau d'éducation, de sa profession, de ses activités de loisirs… Mais le fait de pratiquer des exercices spécifiques accompagnés par un psychologue s'est révélé bénéfique pour tous. Un phénomène qui peut s'expliquer par la plasticité neuronale.

«Le cerveau est constamment en mouvement: les neurones passent leur temps à fabriquer de nouveaux circuits entre eux grâce au réseau de synapses», explique Olivier de Ladoucette. Stimulé, le cerveau va continuer à créer de nouvelles connexions qui vont l'aider à ne pas flancher trop vite. Il n'est donc jamais trop tard pour se mettre à doper ses méninges, même si, comme le rappelle Olivier de Ladoucette, «on vieillit comme on a vécu. Et mieux vaut prendre de bonnes habitudes jeune».

 

http://www.franceinfo.fr/emission/info-sante/2012-2013/l-impact-du-mode-de-vie-sur-les-performances-de-notre-cerveau-03-11-2013-12-55

http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/03/27/23561-changer-mode-vie-pour-proteger-son-cerveau

 

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La bataille de Ohod: la défaite est une épreuve

 

Drapeau de larabie saoudite

 

Les Mecquois étaient déterminés à se venger de leur défaite à Badr. Leurs femmes ne pouvaient pas accepter que leurs braves champions aient été si facilement vaincus par les Musulmans, et elles se moquaient de la faiblesse de leurs hommes. Abou Soufiyane voulait garder la colère des gens vive et il interdit tout deuil tant qu’ils n’auraient pas entièrement vengé leurs camarades tués. Les sentiments des gens étaient nourris encore plus par certains Juifs qui composaient des poèmes les incitant à la guerre.

Lorsque le Saint Prophète (s) bloqua les routes aux caravanes Koraïchites vers l’Irak, ce fut la goutte de trop! Les chefs Mecquois décidèrent qu’ils avaient à présent assez de raisons pour s’attaquer aux Musulmans. Les commerçants Koraïchites auraient à nouveau accès aux routes si les Musulmans étaient vaincus ; ils acceptèrent donc de payer toutes les dépenses pour la guerre.

Abou Soufiyane était conscient de la bravoure des Musulmans et il savait qu’il lui faudrait plus d’hommes qu’eux s’il voulait emporter la guerre. Il lista donc les tribus de Kanànah et de Sakif, leur promettant des armes et toutes les provisions pour le séjour.

Un grand nombre d’esclaves se jouinrent également aux Koraïchites en espérant acquérir ainsi leur liberté. Parmi eux, se trouvait Wahchi, un esclave Ethiopien. Il possédait une grande adresse dans l’utilisation des lances et on lui avait promis sa liberté s’il tuait le Saint Prophète (s), Imam Ali (a) ou Hamza.

Abou Soufiyane parvînt ainsi à préparer une importante armée de 700 hommes en armures, 3 000 soldats sur chameaux, une cavalerie de 200 hommes et un groupe de fantassins. Cette armée se mit en marche vers Médine et campa au pied des collines d’Ohod, le 5 Chawwal 3 A.H.

Le Saint Prophète (s) était mis au courant des intentions des Koraïchites par son oncle Abbass qui résidait à la Mecque. Après consultation des Musulmans, il décida de faire face à l’ennemi en dehors des limites de la ville de Médine pour 3 raisons :

1. Un face à face dans les rues étroites de Médine ne serait pas organisé et les soldats ne pourront pas faire bloc face à l’ennemi. De plus, une fois que l’ennemi aura franchi la ville, la vie des femmes et des enfants serait en danger.

2. L’ennemi pourrait encercler la ville et contrôler toutes les routes menant hors de la cité. Un tel siège porterait atteinte au moral des Musulmans.

3. Le Saint Prophète (s) ne faisait pas confiance à certains hypocrites comme Abdoullah Oubay, et craignait que ceux-là ne fassent du mal aux Musulmans à l’intérieur même de la ville.

Le Saint Prophète (s) accompagné de 1 000 hommes se mit donc en route vers Ohod à 5 Km de Médine. Abdoullah Oubay, qui voulait se battre à Médine, déserta l’armée Musulmane avec 300 de ses hommes.

Il prétexta que le Saint Prophète (s) avait écouté les plus jeunes plutôt que de l’écouter, lui. Il ne restait au Saint Prophète que 700 hommes. Seuls 100 d’entre eux portaient une armure et ils n’avaient que 2 chevaux en tout.

Le Saint Prophète (s) se mit à préparer son armée à l’attaque. 50 archers étaient flanqués entre deux collines d’Ohod afin de veiller à l’armée contre toute attaque par l’arrière. Ils avaient reçu l’ordre strict de ne quitter leurs postes sous aucun prétexte, quel que fût le dénouement de la bataille.

Le Saint Prophète (s) avait conscience que les Musulmans seraient inquiets d’être surpassés en nombre par le camp ennemi; c’est pourquoi il renforçait leur moral en leur disant: "C’est une tâche difficile que de combattre l’ennemi, et seuls ceux qui seront guidés et soutenus par Allah resteront inébranlable .

Souvenez-vous qu’Allah est avec ceux qui L’obéissent , tandis que Chaytane est le compagnon de ceux qui Le désobéissent. Restez fermes au Djihad et profitez-en pour bénéficier des bénédictions promises par Allah. Nul ne mourra dans ce monde tant qu’Allah ne l’aura pas décidé." Il leur dit ensuite de ne pas commencer la bataille tant qu’ils n’auront pas reçu l’ordre de se battre.

Du côté des Mecquois, Abou Soufiyane avait divisé son armée en 3, les hommes armés étant placés au milieu. Les hommes étaient à présent prêts et la petite troupe des Musulmans prête à laisser leurs vies pour défendre l’Islam faisait face à la grosse armée de mécréants.

L’homme qui commença la bataille d’Ouhoud s’appelait Talha bin Abi Talha, un grand guerrier de l’armée d’Abou Soufiyane. Il s’engagea dans le champ de bataille et défia les Musulmans à se battre un contre un. Le défi fut accepté par Imam Ali (a) et en moins de deux le corps inerte de Talha gisait sur le sol. L’étendard fut pris par deux de ses frères, mais les deux furent abattus par les flèches des Musulmans.

Neuf Mecquois prirent l’étendard, l’un après l’autre, mais chacun d’eux fut envoyé en enfer par Imam Ali (a). Ensuite, une soldat Ethiopien du nom de Sawaab s’avança sur le champ. Il avait un visage effrayant et en le voyant aucun Musulman n’osa avancer. Cet homme fut tué par Imam Ali (a) d’un seul coup.

Voyant ses hommes si facilement tués, Abou Soufiyane ordonna une attaque générale. Les deux armées firent face et le bruit des armes retentissait dans l’air. Du côté des Musulmans, Hamza, Abou Doujana et Imam Ali (a) firent preuve d’héroïsme et de vaillance et le chaos se mit à régner dans l’armée d’ Abou Soufiyane.

A ce moment-là, l’esclave Ethiopien Wahchi se mit discrètement derrière Hamza et d’un lancer précis et instantané, le maudit transperça Hamza à l’abdomen et l’assassina.

Les Musulmans continuèrent à attaquer l’ennemi avec succès et les Mecquois commencèrent à perdre confiance. Après avoir perdu beaucoup d’hommes, ils décidèrent de se retirer et se prirent la fuite.

Ce fut à ce moment-là que les Musulmans commirent une grossière erreur qui leur coûta beaucoup: au lieu d’obéir le Saint Prophète (s) et de poursuivre l’ennemi en dehors du champ de bataille, ils déposèrent les armes et se mirent à ramasser le butin.

Pensant que la bataille était finie, la majorité des archers bloquant le passage vers les collines quittèrent leurs postes pour ramasser le butin, malgré les ordres de leur chef.

Un des commandants Mecquois, Khalid bin Walid, fuyait lorsqu’il saisit l’opportunité d’attaquer les Musulmans par l’arrière. Il rassembla ses hommes et lança une furieuse attaque par l’arrière.

Les Musulmans furent tellement surpris qu’ils ne savaient plus que faire. Dans la confusion, leurs rangs furent désordonnés. Les Mecquois qui s’étaient retirés se rassemblèrent à nouveau pour une attaque frontale.

Le porte-étendard Musulman, Muss'ab bin Oumair fut tué. Il avait une grande ressemblance avec le Saint Prophète (s) et les Mecquois se mirent à clamer que le Saint Prophète (a) était mort. Cela jeta encore plus les Musulmans dans le chaos et la consternation.

Beaucoup de leurs célèbres personnalités perdirent courage. Certains, moins tenaces, comme Abou Bakr et Oumar bin Khattab jetèrent leurs épées ne voyant plus l’intérêt de se battre si le Saint Prophète (s) n’était plus. Oussman aussi s’enfuit, s’éloignant tellement qu’il ne revînt à Médine qu’au bout de 3 jours.

D’un autre côté, bien des soldats vaillants restèrent fidèles et s’engouffrèrent parmi les Mecquois, déterminés à se battre jusqu’à leur dernier souffle. Cela continua ainsi jusqu’à ce qu’un Musulman voie le Saint Prophète (s) et se mit à hurler le plus fort possible que le Prophète était encore en vie.

Les Musulmans reprirent leurs esprits mais le Saint Prophète (s) était maintenant devenu la cible des Mecquois. Les Mecquois se mirent à l’attaquer et une épée brisa ses deux dents supérieures. Il était tombé dans une fosse lorsqu’Imam Ali (a) le trouva et le protégea contre les attaques constantes des Mecquois. D’autres fidèles, incluant la valeureuse dame Oumme Ammarah, empêchaient également l’ennemi d’approcher le Saint Prophète (s) et l’abritaient contre la pluie de flèches.

Ce fut dans cette bataille que la réputation d’Imam Ali s’affirma et il fut reconnu comme un maître en attaque à l’épée. Il se battait avec une telle force que son épée se brisa. Le Saint Prophète (s) lui remit alors sa propre épée "Zoulfikar". Appréciant la bravoure d’Imam Ali (a), la voix de l’ange Djibraîl retentit des cieux: "Point de guerrier qu’ Ali; point d’épée que Zoulfikar." (Là ftàh illà ‘Ali, là sayfa illà Zoulfikar)

Les forces Mecquoises avaient retourné la situation mais ils étaient trop épuisés pour pouvoir profiter de leur avantage en attaquant Médine ou en faisant descendre les Musulmans des hauteurs des collines d’Ohod. Ils satisfirent leur désir de vengeance en commettant des atrocités à l’égard des blessés, leur coupant les oreilles, le nez et mutilant ainsi leurs corps. Le brave Hamza faisait partie de ces martyrs. Hind, la femme d’Abou Soufiyane lui arracha le foie qu’elle mâcha.

Dans cette bataille, 70 Musulmans furent martyrisés et 70, blessés. Imam Ali (a) fut aussi gravement blessé. Les Mecquois perdirent 22 guerriers parmi lesquels 12 furent tués par Imam Ali (a).

La défaite des Musulmans était une épreuve pour eux, et des cendres de la bataille, ils ressortirent plus déterminés et désireux de défendre leur foi et leur cause : l’Islam.

 

http://www.albouraq.org/histoire/bat_ohod.htm

 

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