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Articles de islamiates

Quels sont vos meilleurs alliés naturels pour une éternelle jeunesse ?

Fruits de mer

L’acide hyaluronique est un hydrate de carbone naturel qui favorise le bon fonctionnement articulaire et la réparation des tissus. Nos corps est né avec de l’acide hyaluronique cependant en vieillissant, nos réserves d’acide hyaluronique diminuent lentement. Connu sous le nom de la “Fontaine de Jouvence ”, l’acide hyaluronique est un nutriment essentiel qui renforce efficacement les yeux, la peau, le collagène et l’immunité. Voici quelques excellents aliments qui peuvent aider à booster l’acide hyaluronique:Acide Hyaluronique

L’acide hyaluronique (également appelé AH) est une molécule omniprésente dans notre corps qui se comporte comme une éponge moléculaire pour attirer, capter et retenir une grande quantité d’eau dans le derme. Utilisé quotidiennement, ses pouvoirs hydratants permettent d’éliminer les ridules, de combler les rides et de restituer à la peau son aspect pulpeux rebondi et soyeux.

L’acide hyaluronique est produit naturellement dans l’organisme et contribue fortement à la jeunesse de votre peau et à la bonne santé des tissus conjonctifs (valves cardiaques, os, cartilage). Le liquide synovial, l’humeur vitrée des yeux et les fluides de l’oreille interne ont aussi besoin d’un apport régulier en acide hyaluronique. Avec l’âge cependant, sa production dans le corps chute brutalement, s’ensuit alors rides et sécheresse de la peau, manque de souplesse, raideurs et douleurs rhumatismales. De même dans l’arthrose la concentration du liquide articulaire en acide hyaluronique diminue considérablement, facilitant ainsi les lésions du cartilage dues aux contraintes mécaniques. Il s’avère alors nécessaire de combler ce manque dans l’organisme.

Aliments naturels contenant de l'acide hyaluronique

• Les viandes telles que: l’agneau, le veau, le bœuf, la dinde et le canard, tous riches en acide hyaluronique. Bien qu’il soit important de maintenir des niveaux sains de cholestérol, manger ces viandes avec modération peut aider à produire du collagène naturel, qui aide avec la cicatrisation des plaies et renforcer les tissus conjonctifs.

• L’huile de foie de morue contient de grandes quantités d’acide hyaluronique et de vitamine A, ce qui aide à combattre le vieillissement prématuré, réduire les rides et favoriser la production naturelle de la peau.

• Les fruits et les légumes riches en vitamine C contiennent également des niveaux élevés d’acide hyaluronique. Des fruits et des légumes tels que: le brocoli, le kiwi, le chou frisé et les fraises peuvent aider à renforcer les fonctions oculaires, favoriser la cicatrisation naturelle des plaies et protéger la peau des dommages des radicaux libres.

• Les épices et le poivre contiennent une quantité importante de nutriments sains qui peuvent être bénéfiques pour votre santé et votre bien-être en général. Le persil, la coriandre, les poivrons rouges et verts peuvent offrir à votre corps de l’acide hyaluronique qui peut renforcer l’immunité, stimuler le métabolisme et favoriser la santé de lMielie Miel de Manuka et wakame Phytessence

Pour garder à la fois l'acide hyaluronique et le collagène à des niveaux élevés (ce qui maintient notre peau plus jeune) que nous devons faire deux choses:

1. Rendre le corps à créer plus (dans le cas du collagène)
2. Prévenir les dégâts de l'offre actuelle de ces deux substances dans le corps

Comment pouvez-vous aider de votre corps à créer plus de collagène?

Le meilleur moyen est l'utilisation d'utiliser un type spécial de miel appelé Miel de Manuka Actif. Le miel de Manuka est un produit naturel de collagène enhancer, et stimuler naturellement votre corps pour créer plus de collagène.

Votre meilleur pari si vous voulez pour inhiber la hyaluronidase est d'utiliser wakame Phytessence.

Phytessence wakame est la forme extrait et séché du varech wakame de la mer. Les Japonais ont utilisé cette algue comestible comme aliment de base et de la médecine pour des centaines d'années. Selon "Encyclopedia of Natural Medicine," la peau saine des femmes japonaises peut résulter de la consommation de wakame phytessence dans le régime alimentaire typiquement japonais. Phytessence wakame est une plante riche en nutriments qui a plusieurs avantages pour la santé supposés. En plus de manger la forme première de l'algue ou de consommer un supplément, vous pouvez également appliquer cette varech à votre peau par voie topique. Vous devriez parler avec un médecin, cependant, avant d'utiliser tout supplément wakame phytessence orale ou topique.

Propriétés de Phytessence Wakame

Phytessence wakame contient de nombreux nutriments dont les vitamines, minéraux, acides aminés, acides gras essentiels et d'antioxydants. Plus précisément, wakame wakame contient des vitamines A, C, E, K, acide folique et riboflavine et minéraux sodium, fer, potassium et calcium. En outre, Phytessence Wakame contient les antioxydants et les acides aminés tryptophane, la thréonine, la leucine, la valine, l'alanine, l'acide aspartique et l'acide glutamique. En outre, wakame wakame contient plusieurs composés dont pilyfucose sulfatées qui peuvent protéger votre peau contre les rayons UV et la pollution.

Acide Hyaluronique

Hyaluronidase est une enzyme qui décompose un acide dans votre peau appelée acide hyaluronique. Lorsque l'acide hyaluronique se combine avec le collagène et élastique dans votre peau, l'acide hyaluronique aide à garder votre peau lisse et élastique et jeune. Phytessence wakame contient pilyfucose sulfaté, une substance qui protège l'acide haluronic dans votre peau de l'enzyme hyaluronidase. Ainsi, wakame phytessence prend également en charge une peau saine.

Antioxydant

Les radicaux libres dans la forme de toxines alimentaires et sous-produits environnementaux nuisent non seulement l'épiderme de votre peau, mais aussi le reste de votre corps au niveau cellulaire. Ayant des niveaux adéquats d'antioxydants dans votre corps peut aider à vous protéger contre ces radicaux libres nocifs. Phytessence wakame est riche en antioxydants qui aident à protéger votre corps et favorisent la santé cellulaire globale générale.

Inflammation

Inflammation dans votre peau peut briser la structure des protéines de votre peau. Cette rupture et la réparation constante peuvent vieillir votre peau et rendre votre peau un aspect plus ancien que ce est. En outre, l'inflammation dans d'autres parties de votre corps peut entraîner des problèmes de santé, y compris l'arthrite et les troubles de vos organes internes. Phytessence wakame est aussi un anti-inflammatoire qui peut réduire l'inflammation de la surface de votre peau et l'inflammation dans d'autres parties de votre corps. Propriétés anti-inflammatoires de Phytessence wakame résultent des vitamines du complexe B trouvés dans cette algue.

http://www.jouvea.org/alimentaires-hyaluronique-a04460159.htm

http://www.docpinck.com/quels-sont-les-avantages-pour-la-sante-de-phytessence-wakame/

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Le Coran:adéquation entre l’univers, l’eau et la vie

 L’eau est un liquide si familier pour l’homme, qu’il oublie si souvent qu’il en est très dépendant. Thalès pensait que l’eau était à l’origine de toute chose et Bentley la considérait comme « le sang vital de la Terre » [1]. Avant de rechercher toute trace de vie sur cet univers, il est nécessaire de savoir si eau il y a, et de préférence liquide :

image 155 x 122 (JPEG) « Dans un solide cristallin, où les atomes sont rangés en série régulière, comme dans un solide vitreux, où ils sont répartis de façon désordonnée dans l’espace, les atomes se trouvent en contact rigide les uns et avec les autres, ce qui ne laisse guère de possibilités à la réalisation de processus moléculaires dynamiques caractérisant la vie. Quant aux gaz, où les atomes consécutifs ont toute liberté de mouvement, ce type de matière est beaucoup trop volatil et instable pour fournir une matrice chimique à la vie. » [2]

Cette matrice chimique doit aussi être l’unique genre adapté à la vie biologique, pour pouvoir démontrer d’une manière scientifique que la théorie du hasard n’est pas sensée. Bien que persuadés, les biologistes défenseurs de la théorie du dessein, manquaient trop souvent de preuves à l’appui et les propos de Paley montrent bien dans quel type de difficulté se débattait la théologie naturelle de l’époque :

 « Nous savons bien que l’eau peut bouillir [...] geler [...] s’évaporer [...], sans savoir pour autant ce qu’est l’eau » [3]

Mais au fur et à mesure que le temps passait et par le principe d’accumulation des sciences, l’argumentation devînt de plus en plus convaincante. Avec Whewell, directeur du collège de la Trinité, le traité Bridgewater écrit en 1832, constitua une progression notable dans le domaine de la biochimie. Il présente dix-neuf phénomènes terrestres, dont la plupart sont liées au caractère adéquat de l’eau à la vie.

La chaleur latente

 Parmi les découvertes remarquables qu’il développa, fut celle de l’étude de la chaleur latente de l’eau. Elle apparaît fortement élevée : pour faire fondre 1 gramme de glace, il faut autant d’énergie que pour faire passer 1 gramme d’eau de 0°C à 80°C. En étudiant ce que cela pouvait avoir comme conséquence sur l’environnement, il conclut que celle-ci est « heureusement » haute, sinon :

 « les lacs et les rivières ne seraient plus que des phénomènes épisodiques, apparaissant pour de courtes périodes et s’évaporant presque instantanément, avant de bientôt renaître »

 image 132 x 180 (JPEG) Au début du vingtième siècle, Lawrence Henderson, ancien professeur d’Harvard, écrira en 1913 une thèse des plus remarquables sur le caractère adéquat de l’eau. The Fitness of environment, « L’adéquation de l’environnement » est restée d’ailleurs d’actualité. Avec une richesse sur les plans comparatifs et quantitatifs, il arrive à démontrer avec plus de force que l’eau est le seul constituant à prétendre servir de matrice à la matière vivante. Il affirme que :

« Par ses caractéristiques fondamentales, l’eau (c’est-à-dire les divers composés chimiques et processus physico-chimiques qui composent les êtres vivants, ainsi que les traits chimiques et physiques de l’hydrosphère) représente le havre le plus adéquat que l’on puisse imaginer pour la vie »

Son étude est originale car elle s’intéresse cette fois-ci plus précisément du monde vivant : l’eau est aussi le régulateur des organismes de grande dimension et est en particulier responsable de refroidissement adaptatif des animaux à sang chaud, une des conséquences de la chaleur latente :

 « Chez les animaux comme l’homme [...] la chaleur est un produit d’excrétion très important, qu’il est nécessaire d’éliminer en grandes quantités et dans ce but, seuls trois grands moyens sont disponibles : la conduction, le rayonnement et l’évaporation » Mais à la température qui est celle du corps « la conduction ou le rayonnement ne peuvent être responsables que d’une très faible élimination de chaleur, de sorte que le refroidissement produit par l’évaporation est le seul moyen important pour réduire la température »

La conduction thermique

Une des autres découvertes d’Henderson est cette forte conductivité thermique, qui est quatre fois supérieure à toute autre liquide. Les liquides sont généralement de mauvais conducteurs thermiques, mais celle de l’eau étant élevée c’est :

« Ce qui favorise l’égalisation de la température au sein des cellules vivantes, dont la structure empêche l’établissement de courants de convection »

Nous nous arrêtons là sur les propriétés thermiques de l’eau. Nous verrons dans la seconde partie, les propriétés chimiques de l’eau. Mais il apparaît déjà clairement, que l’eau semble déjà être le seul candidat idéal à tenir le rôle de matrice.

Le solvant universel mythique des alchimistes

L’eau n’aurait pas pu jouer son rôle biologique avec les propriétés physiques que nous avons mentionnées, si elle n’était pas un bon solvant. Presque tous les composés chimiques se dissolvent dans l’eau. Si ce n’est pas entièrement, on notera son action relative. C’est ainsi que la lente érosion des roches qu’elle entretient, va remplir les rivières, les fleuves et les mers, des minéraux utiles à la vie et utiles à l’homme. Les rivières du monde entier apportent chaque année à l’océan quelques cinq milliards de matériaux dissous

« Henderson répertorie trente-trois éléments différents pouvant être trouvés dans la mer. Et pour montrer l’utilité, dans les systèmes biologiques, de la capacité de l’eau à dissoudre les substances, il cite plus de soixante composés différents observables à l’état dissous dans l’urine humaine. » [1]

Une extraordinaire réactivité

L’eau est le catalyseur de très nombreuses réactions agissant sur terre. C’est-à-dire que les réactions ne se réaliseraient pas aussi rapidement en absence de l’eau. Mais quoiqu’elle soit très réactive, elle est beaucoup moins que d’autres liquides comme les bases et les acides, capables de dissoudre rapidement des composés presque insolubles dans l’eau. Mais n’oublions pas que le but de notre étude est de prouver que l’eau est sans équivoque la seule matrice chimique pouvant servir de matrice chimique à la vie. Or dans la vie organique, certaines molécules qui « baignent » dans le cytoplasme des cellules, seraient inévitablement dissous si la matrice était plus réactive.
Une autre donnée d’importance : on relève que l’eau possède -à première vue- deux défauts en matière de réactivité :

-  les composés contenant de longues chaînes paraffiniques, comme les lipides, sont pratiquement insolubles dans l’eau,
-  de nombreuses réactions de synthèse en chimie organique ne peuvent se produire qu’en l’absence de l’eau.

Or il s’avère aujourd’hui que ces deux défauts dans la réactivité, qui donnent l’impression d’un « fait exprès », sont au contraires deux preuves supplémentaires de l’adéquation de l’eau à la vie : la premier joue un rôle primordial dans le rôle vital de l’agencement de la cellule, le second concerne les nombreuses réactions de synthèses qui se réalisent dans des « chambres de réaction spéciales », excluant toute présence d’eau, au centre des protéines.

La viscosité de l’eau

Bien que cette propriété ne fut pas découverte par Henderson, Michael Denton s’est soucié de la compléter, comme propriété fondamentale permettent d’appuyer la thèse de l’adéquation. La viscosité de l’eau est l’une des plus faibles des liquides communs. Seuls les gaz à l’état liquide ont une viscosité généralement plus faible que l’eau. Mais cette viscosité est encore une fois inscrite dans un équilibre :

« L’eau perdrait toutefois en adéquation si sa viscosité était bien inférieure à celle de la sienne. Les structures des êtres vivants seraient soumises à des mouvements bien plus violents, sous l’action des forces de cisaillement [2], si la viscosité de l’eau avoisinait celle de l’hydrogène liquide. Des forces de cisaillement se manifestent au sein d’une structure lorsqu’une force appliquée à cette dernière tend à distordre sa forme. Une structure composée de poix, douée d’une forte viscosité, résistera bien plus efficacement aux forces de cisaillement qu’une structure composée de mélasse. [...] Si la viscosité était plus faible, les structures fragiles seraient facilement désorganisées par des forces de cisaillement et l’eau serait incapable de fournir un soutien à des structures microscopiques complexes permanentes. La délicate architecture moléculaire de la cellule ne pourrait probablement pas perdurer, tandis que les organes d’organismes complexes de grande dimension seraient brutalement ballottés de façon continuelle, même dans le cadre de mouvements doux ». [3]

L’eau et l’homme

Jusqu’à présent toutes les propriétés physico-chimiques ont prouvé que l’eau était sans doute la seule espèce pouvant prétendre à être la matrice de la vie. Mais il est encore plus intéressant de constater que chacune de ses propriétés indépendantes semblent s’assembler pour servir la même finalité biologique :

« Considérons par exemple l’altération des roches et son résultat final, la distribution dans toute l’hydrosphère des minéraux indispensables aux êtres vivants par le biais rivières puis des mers. C’est grâce à la tension de surface élevée que l’eau pénètre dans la fissure des roches ; c’est cette anormale dilatation lors de la congélation qui fait éclater les roches, engendrant de nouvelles fissures et accroissant la surface accessible à l’action dissolvante de l’eau, grâce à laquelle des éléments chimiques peuvent être extraits des roches et passer en solution. Par ailleurs, la glace possède la viscosité appropriée pour que les glaciers puissent éroder les roches brisées. [...] La faible viscosité de l’eau lui permet de s’écouler rapidement dans les rivières et dans les torrents de montagne, et de transporter à grande vitesse les minuscules particules abrasives de roche et de limon glaciaire, lesquelles vont accentuer les processus d’érosion des roches. La réactivité chimique de l’eau et son grand pouvoir dissolvant entrent aussi en ligne de compte, permettant l’extraction et le passage en solution des éléments minéraux contenus dans les roches et, finalement leur distribution dans toute l’hydrosphère ». [4]

En s’abreuvant l’homme va alors contribuer à sa survie, oubliant parfois que cet eau est loin d’être ordinaire. Il est la fin de cette chaîne, comme si cet énorme univers se dirigeait vers lui, comme s’il était la finalité de la vie.

Il apparaît clairement maintenant que si nous prenons à la fois les conclusions faites sur toutes ses propriétés « que si l’eau n’existait pas, il faudrait l’inventer ». Aucun liquide ne peut concurrencer l’eau sur le modèle d’une vie fondée sur le carbone. Et s’il existe une vie quelque part dans le cosmos, il doit forcément y avoir de l’eau. Avec toutes ces propriétés simultanément adéquates, nous disposons de suffisamment de preuves selon lesquelles les lois de la nature ont été façonnées de manière propice à assurer la vie des êtres vivants. Il y a donc une relation étroite entre la matière et la vie sur terre et l’eau est l’un de ses principaux vecteurs. Nous verrons les fois prochaines d’autres éléments venant s’inscrire dans cette thèse, remise en cause pertinente et argumentée, et non pas seulement une infirmation gratuite de la théorie de l’évolution.

 

[1] Richard Bentley, Confutation of Atheism from the Origin and Frame of the World, 1693

[2] Michael Denton, L’évolution a-t-elle un sens ? Editions Fayard p65

[3] Paley, The Miscellaneous Works of William Paley, Baldwin and Co, Londres

[4] La chaleur latente correspond à la chaleur absorbée lorsqu’un solide fond ou qu’un liquide s’évapore.

[1L’évolution a-t-elle un sens ?, Michael Denton , Editions Fayard, p81

[2] Des forces de cisaillement s’exercent au sein d’une couche d’un matériau donné lorsque la sous-couche supérieure presse sur la sous-couche inférieure, avec une force orientée parallèle à sa surface. Les forces de cisaillement sont responsables des glissements de terrain ; elles permettent également à la couche supérieure d’un glacier de glisser sur les couches inférieures.

[3] Ibid p93

[4] Ibid p84-85

Abdelhak O.

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Mâcher du chewing-gum serait bon pour la mémoire !

Chewing gum

En effet, lorsque l'on mastique du chewing-gum, une hausse d'activité s'opère dans le cerveau. C'est le résultat d'expériences réalisées par une équipe de neurologues japonais de l’université de Gifu. Lors de tests pratiqués sur des volontaires mâchant ou non du chewing-gum. Pour les personnes qui mastiquer du chewing-gum, il a été remarquer une suractivité de l’hippocampe. C'est la région du cerveau associée essentiellement à notre intelligence visuo-spatiale* et à notre mémoire visuelle.

Les sujets ne consommant pas de chewing-gum, ne montraient aucun fonctionnement neuronale particulier, alors que les autres avaient leur cerveau en pleine activité. Les chercheurs suggèrent ainsi, l'aide que le chewing-gum pourrait apporter pour prévenir la perte de mémoire liée au vieillissement. Concrètement, c'est le fait de mâcher qui produit une activité musculaire particulière, laquelle déclenche une accélération du rythme de travail de l’hippocampe. Cette mémorisation pourrait atteindre 35% !

hippocampe

Petite parenthèse à retenir ! Clin d'oeil

Mâcher du chewing gum sans sucres pendant les cours ou en faisant ses devoirs améliore les performances scolaires !

En 1999, le chercheur allemand Siegfried Lehrl de l'université d'Erlangen a éffectué une étude sur 123 élèves, dans laquelle il montre que le fait de mâcher un chewing-gum entraîne une amélioration des performances intellectuelles pouvant aller jusqu'à 40% !

Cette découverte est confirmée par Lucy Wilkinson de l'institut de neurologie de l'université de Newcastle qui a constaté que le chewing-gum pouvait être une aide dans la capacité à apprendre, retenir et se remémorer des informations. L. Wilkinson explique que en plus d'une meilleure oxygénation du cerveau, la mastication du chewing-gum inhiberait la production d'insuline par le pancréas. Ceci permettrait au foie de libérer davantage de glucose dans le sang. Ce surplus de glucose apporterait un surcroît d'énergie, permettant au cerveau de fonctionner plus efficacement, d'où les meilleures performances constatées, notamment au niveau de la mémorisation et de l'attention.

Trois hypothèses affirmeraient donc que le chewing-gum est bénifique au cerveau :

- Mâcher augmenterait l'activité du cerveau au niveau de l'hippocampe qui commande la zone de mémoire.
- L'insuline libéréé par le pancréas lorqu'une personne mastique exciterait l'hippocampe.
- Mâcher favoriserait l'arrivée d'oxygène vers le cerveau permmettant une meilleure concentration.

→ Plus de recherches sont nécessaires pour découvrir tous les bienfaits offerts par le chewing-gum, mais les premières études laissent entrevoir que le chewing-gum peut-être un moyen efficace pour stimuler l'attention, la concentration et la mémoire !

*L' Intelligence visuo-spatiale est ce qui permet de visualiser des objets tri-dimensionnels dans sa tête.

http://cheewing-gum.e-monsite.com/pages/content/macher-du-chewing-gum-serait-bon-pour-la-memoire.html

Les réseaux sociaux et leurs conséquences sociétales

Eaux sociaux

Notre monde a connu ces dernières années l’explosion et la révolution des réseaux sociaux ainsi que l’apparition d’un grand nombre de moyens de communication modernes qui sont devenus un phénomène qui mérite qu’on s’y arrête afin de sonder ses mystères et de saisir l’étendue de son influence dans le domaine de la communication et de l’interaction naturelles des individus. Cette profusion redoutable de mondes virtuels et de moyens de communication fait qu’aujourd’hui un individu moyen utilisateur des nouvelles technologies est connecté à six ou sept moyens de communications différents, c’est ainsi que les utilisateurs de ces programmes sont sous une grande pression et sont sans cesse sollicités.
Ainsi, étant donné que le plus souvent les « amis » de tous ces réseaux se trouvent aux quatre coins du monde, il est impossible de rester en contact avec eux de manière permanente à moins de rester éveillé 24 h sur 24. Outre cet inconvénient, il nous faut mettre en évidence le fait que ces mondes et systèmes sociaux virtuels arrachent petit à petit ses contributeurs de la réalité jusqu’à ce que ceux-ci deviennent dépendants au point que très vite ces derniers coupent peu à peu le contact avec la société réelle dans laquelle ils vivent, avec leur épouse ou époux, avec leurs connaissances ou encore avec leurs proches de manière générale, pire on constate parfois que cette addiction amène des individus à négliger leurs adorations et leurs obligations religieuses.

Heureusement, le constat n’est pas toujours aussi sombre ; ainsi, dans certaines situations ces moyens de communication permettent le développement humain à travers la formation de groupes d’individus qui peuvent participer à des programmes de développement personnel ou visant à une élévation des compétences professionnelles et scientifiques des participants, cela génère pour eux des opportunités, leur permet de penser collectivement et aussi d’accéder à des conseils bénéfiques émanant des expériences des « amis » et des participants de ces réseaux.
De plus, ces réseaux sociaux sont considérés comme étant un domaine important permettant l’apparition de nombreuses innovations écrites ainsi que leur développement et leur maturation en les proposant à un large public constitué en grande partie de gens de culture et de lettres issus de toutes les spécialités académiques et scientifiques possédant souvent un vécu très riche qui aide à affiner les talents naturels.

Outre ce que l’on vient de dire, nous pouvons ajouter que les réseaux sociaux contribuent à générer le sentiment profond de la réalisation de soi, car, en effet, ils donnent à l’individu un espace ouvert dépourvu de surveillance ou d’entraves à l’expression des sentiments et avis que le sujet a dans la tête, lesquels génèrent des réactions de la part des autres contributeurs.
Ces réseaux sociaux comblent largement les désirs des participants de vouloir se mettre en avant via des photos, des vidéos et des commentaires laissés sur les pages personnelles quotidiennement ou pris sur les pages des autres « amis ». Il ne fait aucun doute que ces réseaux sociaux servent également à renouer avec des anciennes connaissances perdues de vue, à étendre son réseau de relations sociales ou encore à réduire les distances géographiques entre les contributeurs et leurs proches où qu’ils soient dans le monde.

Toutefois, les phénomènes négatifs liés à ces réseaux sociaux restent très problématiques et peuvent avoir de graves conséquences. Ainsi, certains développent une dépendance à ces réseaux et une poursuite des basses passions qui les maintiennent entre le monde réelle et le monde virtuel ; et bien que la plupart de ces réseaux sociaux ont pour condition – ou au moins encouragent – l’enregistrement des données personnelles réelles de ces utilisateurs, on constate que l’écrasante majorité de ces derniers utilisent des identités fictives qui génèrent inévitablement de l’illusion et de la frivolité, à l’inverse le fait de donner ses vraies données personnelles évitent les délires et excès des gens qui dès lors doivent assumer la responsabilité légale et morale de ce qu’ils écrivent ou publient car il est possible de les suivre grâce à ces données.
Enfin, nous pouvons dire que le fait de se réfugier dans ces nouveaux moyens de communication et de substituer la réalité par leurs mondes virtuels est un indicateur très fort de l’incapacité des gens qui en deviennent accros à communiquer directement et de manière naturelle avec leur environnement réel et à exprimer leurs sentiments avec leurs proches ou avec leurs amis. Par ailleurs, il a été observé que l’addiction à l’utilisation de ces nouveaux moyens de communication a pour conséquence l’isolement social ainsi que l’émergence grandissante du sentiment de stress et d’angoisse chez les sujets concernés.

http://www.islamweb.net/frh/index.php?page=articles&id=202198&fromPart=51

Bienfaits de la bave d'escargot sur la peau

Escargot

Bave d'escargot : à quoi ça sert ?

L’escargot, comme tous gastéropodes, produit un mucus gluant grâce à des glandes situées au niveau de son pied, qu’on désigne communément sous le terme de « bave d’escargot » :

Elle est composée de 91 à 98 % d’eau et de molécules appelées glycoprotéines, formées par l’association d’une protéine et de sucres.
Elle agit à la fois comme un lubrifiant et comme une colle, ce qui permet à l’animal de ramper sur divers supports, y compris verticaux.
Elle est utilisée par l’animal pour réparer sa coquille en cas de fêlure, assurant le dépôt de calcite, du calcaire très pur.

Utilisation de la bave d’escargot dans les cosmétiques
Une utilisation ancestrale

En fait, l'utilisation de la bave d'escargot par les êtres humains n'est pas nouvelle :

Dès l’Antiquité, on prête de nombreuses vertus médicinales à l’escargot. Il était alors considéré comme un véritable médicament et employé pour lutter contre divers maux, ingéré cru, cuit, ou broyé, avec ou sans sa coquille selon les symptômes.
Il est un peu délaissé au moyen-âge, avant de retrouver sa place à partir du 19 ème siècle, où il est principalement utilisé pour ses propriétés antitussives (luttant contre la toux).

À noter : un sirop contre la toux sèche très utilisé actuellement a pour substance active l’hélicidine, un extrait de jus de cuisson de l’escargot de Bourgogne, Helix pomatia.

Son utilisation dans le domaine des soins de la peau fait partie de la tradition ancestrale de certains peuples :

Chez les mapuchés, des amérindiens vivant au Chili et en Argentine, son utilisation est très répandue depuis des siècles.
La bave d'escargot permet notamment de guérir les blessures superficielles et d'améliorer l’aspect de la peau.

Propriétés confirmées par les données scientifiques récentes

Une étude clinique, menée en 1999 et 2000 au sein de la Coaniquem, fondation d’aide à l’enfant brûlé au Chili, a montré l’intérêt d’un traitement à base de crème contenant de la bave d’escargot chez des patients présentant des cicatrices et des greffes de peau.

Elle a permis d’atténuer les rougeurs et autres colorations des zones lésées et d'améliorer l’aspect des portions greffées.
Bave d'escargot et cosmétiques

L’industrie cosmétique a rapidement saisi l’intérêt de la bave d’escargot :

Elle apparaît sur l’étiquette de nombreux produits de beauté sous le nom d’« Helix aspersa saliva ».
Cette appellation vient du nom de l’espèce d’escargot utilisée dans ce cadre, Helix aspersa ou « petit-gris ».
La bave d’escargot est utilisée dans la formulation de produits aussi divers que des crèmes anti-rides, des protections solaires, des shampoings… et même des rouges à lèvres ou des dentifrices !

Extraction de la bave d'escargot

Pour répondre aux besoins croissants de ce marché, certains producteurs d’escargots dédient tout ou partie de leur activité à la récolte de mucus. La phase d’extraction, parfois appelée « traite de l’escargot », nécessite plusieurs étapes :

la collecte des animaux dans des parcs enherbés où ils sont élevés ;
le lavage dans de l’eau tiède ;
le prélèvement de mucus proprement dit, mécanisé ou manuel. L’opération, bien que stressante pour l’animal, ne le tue pas.

Chaque escargot fournit 1 à 2 g de bave par récolte. La substance est alors filtrée et purifiée, avant d’être intégrée à la formule du cosmétique.

Bon à savoir : une seule entreprise a obtenu la certification biologique pour sa bave d’escargot (Ecocert Greenlife / Cosmos), grâce à un procédé d’extraction reconnu respectueux de l’animal.
Bave d'escargot : idéal contre le vieillissement cutané

La bave d’escargot contient un cocktail de substances qui lui confèrent des effets hydratants et cicatrisants, et qui contribuent à lutter contre le vieillissement cutané :

La première est l'alantoïne régénérante. Très couramment employée dans les produits cosmétiques, cette molécule à des vertus calmantes et hydratantes. Elle contribue à la régénération cellulaire de la peau.
La bave d'escargot contient également de l’acide glycolique exfoliant. Il fait office de peeling doux, en permettant l’élimination des cellules mortes qui ternissent l’éclat de la peau.
Le collagène et l’élastine améliorent la résistance et la souplesse de la peau.
La bave d’escargot est riche en vitamines. La vitamine A donne de l’éclat à la peau, la vitamine C est indispensable pour la synthèse du collagène, et la vitamine E, antioxydante, préserve les tissus des attaques des radicaux libres.
Enfin, la bave d'escargot contient des substances antibiotiques, pour lutter contre les infections de la peau causées par des bactéries comme Escherichia coli, Staphylocoque aureus ou autres.

Grâce à ces caractéristiques, les produits à base de bave d’escargot permettent :

d’améliorer l’aspect des cicatrices, vergetures et brûlures ;
d’atténuer les tâches brunes ;
de réduire l’acné ;
de freiner l’apparition des rides.

http://soin-du-corps.comprendrechoisir.com/astuce/voir/288058/la-bave-d-escargot-alliee-de-notre-peau

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