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Articles de islamiates

Pourquoi certains ont les yeux de couleurs différentes ?

Yeux vairons

Les yeux vairons : quelques éclaircissements

Les yeux vairons représentent une particularité que seules quelques personnes possèdent parmi l’ensemble de la population. Il s’agit d’une caractéristique qui peut également se retrouver chez les animaux, les chats et les chiens en particulier.

A quoi ressemblent des yeux vairons, pourquoi les appelle-t-on de la sorte et d’où vient cette particularité présente sur une infime partie de la population? Se sont des points que nous allons tenter d’éclaircir à travers ce nouvel article.

Les yeux vairons : Définition

Les yeux vairons se caractérisent par une différence de couleur, ou hétérochromie, au niveau de l’iris des deux yeux. Cela peut être plus ou moins marqué en fonction des individus. C’est à dire qu’une personne atteinte d’hétérochromie n’aura pas la couleur des yeux strictement identique sur chaque oeil.

Les formes de yeux vairons les plus marquées étant le fait d’avoir deux yeux de couleurs totalement différentes, par exemple un oeil bleu et l’autre vert. Toutefois, il se peut aussi que la différence de couleur soit beaucoup moins marquée. En effet, il se peut qu’il s’agisse d’une tâche de couleur différente présente dans un seul des deux yeux. Par exemple, la présence de marron dans l’un des deux yeux bleus.

Ce genre de caractéristique sera donc plus ou moins remarquable en fonction du degré d’hétérochromie observable. Certains yeux vairons sont marrons, avec des nuances de marrons plus ou moins foncés, ces derniers sont plus difficilement repérables par exemple, ou en tout cas peut être pas du premier coup, par rapport à la présence d’un oeil bleu et d’un oeil vert.

Le terme « vairon » provient du mot vair, terme utilisé en ancien français pour définir une difficulté à déterminer la couleur exacte des yeux d’une personne. En effet, il peut arriver que vous croisiez quelqu’un qui ait des yeux bleus tirant vers le gris par exemple ou le vert, la couleur des yeux de cette personne est donc difficilement interprétable à 100%. Ce terme est aussi employé pour désigner une espèce de poisson, qui possède des tâches, le point commun avec les yeux vairons étant donc la variation de couleur.

Causes de l’apparition des yeux vairons

Les yeux vairons ont une origine purement génétique. La couleur des yeux est en effet déterminée par bébé aux yeux vaironsplusieurs gènes, qui entrent en interaction les uns avec les autres, bien que le processus entier n’ait pas été encore vraiment déterminé. En effet, on ne connaît qu’une partie des gènes responsables de la couleur des yeux. Avec cette caractéristique d’hétérochromie des yeux, on peut penser que les deux yeux ne font pas appel aux mêmes gènes, qu’une copie pourrait servir à l’oeil gauche et que l’autre serve à l’oeil droit. Ainsi, il pourrait arriver cette différence.

L’autre hypothèse qu’on pourrait émettre est qu’une gène particulier bloque la production de mélanine (plus il y en a, plus nos yeux sont foncés, tout comme pour notre peau). Et ceci sur un seul des deux yeux ou même sur une seule partie d’un oeil. Cela pourrait aussi être dû à une mutation d’un gène qui du coup s’exprime différemment.

Dans tous les cas, ce caractère ne semble pas être dominant car les parents avec des yeux vairons n’ont pas à tous les coups des enfants avec les mêmes caractéristiques. Ainsi, si vous possédez cette caractéristiques et avez peur de la transmettre pour diverses raisons, n’ayez crainte, il y a très peu de chances pour que vos enfants aient aussi ces couleurs de yeux différentes. D’ailleurs, le nombre de personnes avec des yeux vairons le prouve, il s’agirait de la norme et non pas d’un événement plutôt rare, si cette caractéristique était dominante. Ainsi, tout comme les yeux bleus qui sont récessifs par rapport aux yeux marrons, les yeux vairons le sont également, par rapport au fait d’avoir les deux yeux de la même couleur.

Les yeux vairons, un atout certain

yeux vaironsAvoir de tels yeux peut paraître un réel handicap pour certains. Pourtant, il s’agit là d’un signe bien particulier, plutôt apprécié parmi l’ensemble de la population. Certes cela peut paraître étrange et déroutant mais le regard d’une telle personne est aussi sublimé, il s’agit d’une réelle intrigue qui en fait un attrait certain pour les autres.

Petit cela ne doit pas être forcément très évident, il est vrai que les enfants entre eux ne sont pas réputés pour être très tendres. La différence peut faire peur, de même que pour les différences de couleur de peau. Avec l’âge, ces différences tendent à s’estomper.

Vous l’aurez sûrement remarqué mais des nombreux acteurs et actrices, chanteurs… possèdent cette caractéristique, leur différence a pu être un plus dans leur carrière, on peut ainsi citer parmi eux par exemple yeux vairons_jane seymourJane Seymour (héroïne de Docteur Quinn femme médecin), Josh Henderson (a joué dans les experts, desperate housewives…).

Ainsi, posséder cette caractéristique n’est pas une tare, bien au contraire. On peut relier le fait d’avoir des yeux de ce type à la couleur bleue qui perdure. En effet, les yeux bleus sont récessifs et pourtant on continue à avoir une partie de la population avec cette caractéristique, simplement car ce trait est admiré par les autres et que cela constitue donc un plus au niveau esthétique. Les yeux vairons continuent également de perdurer, on peut donc penser qu’il s’agit également d’un atout esthétique.

Camoufler des yeux vairons

Pour des raisons telles que le regard des autres qui parfois peut être trop insistant, ou l’image de soi qui n’est pas identique à celle des autres, il peut arriver qu’une personne avec hétérochromie aux yeux souhaite faire disparaître cette différence.

Or, ceci est largement possible à l’heure actuelle. En effet, il ne s’agit pas d’effectuer une opération des yeux bien entendu, mais de porter un artifice afin de modifier la couleur des yeux. Qu’il s’agisse de vos yeux que vous souhaiteriez camoufler ou de ceux de vos enfants qui peuvent mal supporter la chose, il suffit de mettre des lentilles de couleur. Ainsi, cela permet d’avoir des yeux uniformes si l’on puis dire, mais cela a tout de même un certain coût.

Ceci dit, il convient de mentionner qu’aujourd’hui bon nombre de personnes cherchent à se démarquer des autres en jouant sur la couleur et l’apparence de leurs yeux. Ainsi, on trouve même des lentilles fantaisie qui amènent un petit côté excentrique et plus ou moins fantastique au regard, mêlant fascination et étonnement. Il n’est pas exclus de penser que les yeux vairons aient donné l’idée de la mise en place de ce type de lentilles.

http://un-oeil-deux-yeux.com/les-yeux-vairons-quelques-eclaircissements/

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Les aliments qui vous fatiguent

Il est possible que, parfois, au cours de la journée, vous vous sentiez fatigué moralement et physiquement, sans aucune explication. Cela peut être dû à votre alimentation et à votre régime quotidien, car certains aliments augmentent la sensation de fatigue. Nous allons vous en présenter certains dans notre article, pour que vous puissiez en réduire votre consommation pour améliorer votre santé.

Les aliments riches en sucre, au lieu de donner de l’énergie au corps comme le pensent beaucoup de personnes, fatiguent notre organisme, car ils se métabolisent très rapidement et ce processus demande une grande quantité d’énergie. Toutes les autres activités qui en demandent sont donc impactées. Le sucre donne une impulsion énergétique au corps mais ce n’est pas du tout durable.
La consommation d’aliments riches en graisses entraîne également une grande fatigue. Leur composition est difficile à digérer pour notre corps qui doit brûler plus d’énergie dans le processus digestif. C’est pour cela que les produits gras peuvent générer plus de lourdeur dans l’estomac, ce qui provoque une sensation de ballonnement et de fatigue peu après le moment de l’ingestion.

Graisses
Certains aliments sont très lourds pour notre organisme et produisent de la fatigue directement après leur consommation. Ces aliments sont la dinde, le lait, les graines, le riz complet et les légumes secs. La consommation de ces produits est importante car ils apportent des nutriments essentiels à notre organisme mais, cette ingestion doit être régulée en fonction des effets qu’ils produisent sur la personne qui en consomme. Tous les organismes humains ne répondent pas de la même manière aux nutriments et les assimilent de manières différentes.
La caféine génère de l’hyperactivité et met le cerveau humain en alerte. Le café est une boisson stimulante qui active les fonctions du corps rapidement mais, si vous n consommez trop, elle peut générer de l’insomnie. Celle-ci provoquera de la fatigue, car vous n’arriverez pas à trouver le sommeil, et nuira à vos activités du quotidien.Café
La fatigue peut également être due au manque d’hydratation, lorsque l’on consomme peu de liquides durant la journée. La déshydratation entraîne une grande fatigue, les principaux symptômes de la déficience de liquides dans l’organisme étant les maux de têtes et le manque de concentration. Le meilleur liquide pour assurer un bon fonctionnement du corps est tout simplement l’eau.
La consommation importante d’aliments contenant des actifs chimiques peut altérer l’équilibre du corps, peut générer de la fatigue et des troubles sur du long terme.
La consommation excessive de nourriture dite « malbouffe » comme les hamburgers, les hot-dogs ou les pizzas, ainsi qu’une alimentation irrégulière à des horaires changeants nuisent grandement à notre organisme. Ce dernier devra s’activer davantage pour compenser ces excès et cela générera une fatigue très importante du corps et un manque de concentration.

Conseils pour éliminer la sensation de fatigue

La consommation de fruits et légumes nous apporte les nutriments nécessaires à l’activité de notre corps et à notre bien-être.
Les céréales complètes nous donnent l’énergie nécessaire pour commencer la journée de la meilleure manière possible.
Les noix, les amandes et le sésame offrent au corps une source d’énergie indispensable pour réaliser toutes les activités de la journée. De plus, ils permettent de conserver la concentration nécessaire pour les tâches quotidiennes.
Rester toujours en activité permet d’éviter la sensation de fatigue. L’activité est la meilleure alliée du corps pour ne pas se fatiguer, vous devez vous lever le matin en pleine forme et conserver une bonne routine précise pour ne pas dérouter votre organisme. Maintenez tous vos sens actifs durant la journée en écoutant de la musique, en stimulant vos yeux, en activant votre sens olfactif grâce à des odeurs fortes comme celle du poivre, en restant dans un endroit lumineux qui empêche la fatigue des yeux.
Maintenez le corps actif et stimulé grâce à des étirements et des mouvements que vous pouvez réaliser durant toute la journée. Faites de l’exercice physique, adoptez un programme en fonction de vos horaires de travail. Si vous ne pouvez pas réaliser d’exercices physiques durant la journée, essaye de changer un peu vos habitudes et prenez les escaliers au lieu de l’ascenseur, marchez et ne prenez pas votre voiture, par exemple.
Adoptez des horaires fixes de sommeil ce qui permettra à votre corps de se reposer et de se recharger en énergies durant la nuit. Vous soulagerez votre fatigue quotidienne et serez d’attaque pour le lendemain matin.
Conservez un régime alimentaire sain qui apporte à votre organisme les nutriments nécessaires à son bon fonctionnement et à son rendement optimal pour toute la journée.

http://amelioretasante.com/les-aliments-qui-vous-font-sentir-fatigues/

Les arbres dans le Coran

Arbre

Le terme shajar (ashjâr au pluriel) désigne dans le vocabulaire coranique aussi bien les arbres proprement dits que tout végétal, plus précisément « ce qui pousse avec une tige grosse ou fine ». Certains arbres sont désignés, comme l’olivier, le palmier dattier, le grenadier, l’acacia et le figuier, mais d’autres comme l’arbre du paradis n’y sont pas identifiés.

Le Coran affirme qu’ils sont une grâce dont Dieu a fait don aux hommes, grâce à l’eau qu’il répand et qui est le plus souvent associée à la vie. Cette grâce est de deux ordres : elle est la manifestation miraculeuse de la beauté et le don divin de la subsistance accordée aux hommes. Les arbres sont aussi le signe de l’impuissance des hommes à produire d’eux-mêmes la beauté de la nature, comme le rappelle la sourate al-naml (27,60).

La Tradition considère que les végétaux furent créés en troisième après la terre et les montagnes, et comme toutes les choses créées, les arbres sont supposés se prosterner devant Dieu, se remémorer Dieu et proclamer sa gloire. Ils ont parfois été utilisés par le Prophète comme métaphores pour décrire les hommes, et un de ses propos déclare par exemple que le palmier est l’arbre qui ressemble le plus à l’homme et qu’il a été créé de la même argile qu’Adam. Les traditions insistent aussi sur l’importance de planter des arbres, et en font l’une des aumônes les plus nobles ; elles rapportent plusieurs cas où Mahomet aurait interdit de couper les arbres de certaines zones considérées sacrées à Médine et à La Mecque. Le Coran utilise abondamment les végétaux pour ce qui concerne  la  vie  des  hommes,  dans  la mesure où ils leur assurent une subsistance naturelle, et dans ses descriptions eschatologiques. L’utilisation  métaphorique   du végétal pour parler des hommes permet de désigner « les arbres excellents » dont les racines sont saines, qui poussent vers le ciel et donnent de bons fruits à chaque saison,  et « les arbres mauvais »,  plantes éphémères sans racines, faciles à arracher (14, 24-26). De même que les arbres sont associés à la vie et à l’eau et qu’ils fournissent de nombreuses images pour décrire l’atmosphère du paradis, certains arbres sont associés à l’enfer et à ses châtiments.

Le paradis est désigné par le terme janna qui signifie jardin, il est doté de multiples végétaux qui procurent une ombre apaisante et fraîche et de fruits dont les élus se délectent sans efforts. Les arbres du paradis donnent aussi des plats cuisinés faits de viandes et de volailles délicieuses, bien que cuites sans être bouillies ou rôties, et exhalant des parfums de musc et d’ambre. La description de ces mets accumule les métaphores tirées du monde végétal, soulignant ainsi par hyperbole l’importance extrême attachée au végétal dans la compréhension de la récompense promise aux croyants.

Les arbres du paradis sont d’un vert sombre, le vert jouant un rôle symbolique important dans l’islam, et le Coran mentionne parmi eux le lotus, le grenadier, le palmier, la vigne, l’acacia à gomme, le bananier sauvage et des plantes aromatiques. Un arbre du paradis porte sur chacune de ses feuilles le nom de chaque homme, et quand un individu doit mourir, « sa » feuille tombe. Certains ont identifié cet arbre au lotus, une mention qui renvoie aussi à l’une des conceptions que le Coran offre de la création et à la résurrection des hommes : le processus est comparé à la germination et à la croissance des plantes, de même que la littérature concernant l’ascension céleste du Prophète compare la naissance des houris à l’apparition des plantes.

Des traditions attribuées au Prophète indiquent en outre que les arbres et les pierres attestent de sa prophétie, et une tradition en particulier mentionne un arbre nommé al-shajara al-sumra auquel il se serait référé pour prouver sa qualité de prophète à un Bédouin qui l’interrogeait, et qui aurait prononcé cette attestation trois fois.

Des arbres spécifiques sont mentionnés dans le Coran, souvent au moyen de périphrases :

L’arbre vert (al-shajara al-khadrâ’) contient un feu rappelant le feu infernal aux hommes, mais qui a été trempé deux fois dans l’eau de manière à en diminuer l’effet et à permettre à ceux-ci d’en tirer profit.

« C’est lui qui, pour vous,
a dans l’arbre vert placé du feu
dont vous utilisez la flamme. » (36, 80)

« Avez-vous considéré le feu
que vous obtenez par frottement ?
Est-ce vous qui en faites croître le bois ?
Ou bien en sommes-nous les producteurs ?
.
Nous avons fait tout cela
comme un Rappel et une chose utile
pour les voyageurs du désert. » (56, 72-73)

Selon les exégètes, il s’agirait d’arbres poussant dans le désert. D’abord verts, ils se dessécheraient en vieillissant et s’enflammeraient spontanément ; ce sont des arbustes comme le markh et le ‘afâr.

L’arbre de l’immortalité (al-shajara al-khuld) « et du royaume perpétuel » est celui dont Dieu a interdit à Adam et Ève de s’approcher.

« Le Démon le tenta en disant :
Ô Adam !
T’indiquerais-je l’Arbre de l’immortalité
et d’un royaume impérissable ? (20, 120)

Il est aussi désigné par la littérature religieuse comme « arbre interdit ». Le Coran n’attribue aucune caractéristique physique à cet arbre qui permettrait de l’identifier.

L’arbre béni (al-shajara al-mubâraka) est mentionné dans la sourate de la Lumière :

« Dieu est la lumière des cieux et de la terre.
Sa lumière est comparable à une niche
où se trouve une lampe.
La lampe est dans un verre ;
Le verre est semblable à une étoile brillante.
.
Cette lampe est allumée à un arbre béni :
l’olivier qui ne provient ni de l’Orient, ni de l’Occident
et dont l’huile est près d’éclairer
sans que le feu la touche. » (24, 35)

assimilé à un olivier hors de toute orientation dont l’huile est lumineuse par essence.

L’arbre de la satisfaction (al-shajara al-ridwân) est celui sous lequel les musulmans sont censés avoir prêté allégeance au Prophète en l’an 6 de l’hégire (627 de l’ère commune), lors de la bataille d’al-Huday-biyya.

« Dieu était satisfait des croyants
quand ils te prêtaient serment sous l’arbre. » (48, 18)

L’arbre Thoubaa fait partie des arbres du paradis. Son nom se rapporte à une chose délicieuse, la meilleure chose, la beauté, la béatitude et la félicité. La Tradition considère que la communauté des musulmans sera réunie sous cet arbre au jour du Jugement. Le Prophète de surcroît aurait indiqué qu’il ne ressemble à aucun arbre existant dans le monde, on l’a donc décrit en utilisant les images les plus merveilleuses – son tronc immense est fait de rubis et il est parfumé de musc et d’ambre. Il a des fruits comme des perles au goût de miel et de gingembre, et ses racines laissent s’écouler des sources de vin. (voir en commentaires pour plus d’informations données par les hadiths)

L’ensemble des espèces citées parmi lesquelles dominent les arbres fruitiers dispense une ombre aussi rafraîchissante que durable (4, 57 ; 13,35). Enfin les branches pendant bas sont à portée de main (55, 54 ; 69, 23 ; 76, 14).
La végétation qui pousse dans le brasier infernal n’est à l’inverse composée que d’un seul arbre et d’un arbuste qui dispensent l’un et l’autre « de fumée noire, ni fraîche, ni généreuse » (56, 43-44) qui s’oppose comme telle à celle dispensée par les espèces paradisiaques.

L’arbre maudit (al-shajara al-mal’unâ) désigne pour sa part l’arbre nommé Zaqqoum, qui est l’opposé de l’arbre Thoubaa et qui pousse en bas de l’enfer. Il fait partie des châtiments réservés aux damnés : ses fruits sont des démons qui déchirent leurs entrailles.

« L’arbre de Zaqqoum
est l’aliment du pêcheur.
Il bout dans les entrailles comme du métal en fusion,
comme de l’eau bouillante. » (44, 43-46)

« N’est-ce pas un meilleur lieu de séjour que l’arbre de Zaqqoum ?
Nous l’avons placé comme une épreuve pour les injustes ;
c’est un arbre qui sort de la Fournaise ;
ses fruits sont semblables à des têtes de démons. » (38, 62-65)

« Oui, vraiment, ô vous les égarés, les négateurs !
Vous mangerez les fruits de l’arbre Zaqqoum » (56, 51-52)

Considéré par les exégètes comme un arbre propre à l’enfer, le Zaqqoum était pourtant connu du botaniste Dînawâri (vers 281/894): il s’agit selon lui, d’un arbre qui pousse au Yemen, de couleur poussière, au tronc noueux, sans épines, aux fleurs malodorantes et amères, et aux petites feuilles arrondies dont les extrémités sont très laides.

(cet arbre avec des fruits semblables à des têtes rappelle étrangement l’arbre Waq Waq).

Outre cet arbre, d’autres végétaux tapissent l’enfer, en particulier des plantes sèches, pestilentielles et qui écorchent les corps.

Enfin, l’arbre Yaqtin est associé à Jonas. Selon le Coran (37, 146), lorsque celui-ci fut rejeté sur la terre et qu’il se trouvait nu, Dieu fit croître cette plante afin qu’il se couvre de sa feuille. D’après la Tradition, il s’agirait d’une sorte de courge.

Il faut aussi signaler que le buisson ardent de la tradition biblique [1] n’est pas mentionné en tant que tel dans le texte coranique, même si cet épisode qui concerne Moïse est décrit dans trois longs passages (20, 9-14 ; 27, 7-9 ; 28, 29-30).
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Le Coran, traduit et annoté par Denise Masson, éditions La Pléiade, 1967.
Dictionnaire du Coran
, Mohammad Ali Amir-Moezzi, pp.78-79-260-353-899.
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L’illustration choisie est une calligraphie de Lassaâd Métoui, tirée du livre co-écrit avec Malek Chebel « Les cent noms de l’Amour », un livre superbe où on découvre que les Arabes disposent de 99 noms pour nommer Allah, et qu’ils en ont 100 pour parler de l’amour…

La calligraphie représente l’expression Houbb ilâhi :
Amour Divin, amour fondé sur la réciprocité entre le Créateur et sa Créature.

Il les aimera, et eux aussi l’aimeront. (Coran ; 5, 54).

http://krapooarboricole.wordpress.com/2010/05/06/les-arbres-dans-le-coran/

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Les différentes manières de renforcer ses os

Quand on est jeune, les inquiétudes vis à vis des maladies futures sont moindres. Pourtant, celles-ci peuvent apparaître plus tard, comme l’ostéoporose, qui est devenue une rivale pour les humains, et qu’il est donc nécessaire de traiter avec anticipation. Pour cela, il existe des manières faciles et variées de conserver une bonne santé des os. Nous voulons aujourd’hui partager avec vous ces méthodes pratiques pour renforcer votre structure osseuse. Profitez-en !

Tout au long des années, nous avons considéré le lait et ses dérivés comme une source principale de calcium, mais qu’en est-il des personnes intolérantes au lactose ? Nous allons vous présenter une nouvelle proposition qui permet de contribuer à la calcification continue des os, afin d’éviter un risque de fracture.

Qu’est-ce que l’ostéoporose ?
L’ostéoporose est due à la réduction de masse osseuse qui produit de la fragilité dans les os. Les femmes ont plus de propension à souffrir d’ostéoporose, surtout après la ménopause.

Il est important, pour éviter la fragilisation des os, de consommer régulièrement des aliments contenant de la vitamine B12, essentielle pour la conservation de la masse osseuse. Pour un adulte, il est bon de consommer le millième d’un gramme chaque jour. Vous devez enrichir votre régime alimentaire avec du poisson, de la viande, des oeufs et des produits laitiers.

Consommer-oeuf

Le calcium est primordial pour éviter l’ostéoporose et les fractures. On trouve ce nutriment principalement dans les produits laitiers et ses dérivés. De plus, la vitamine D est également indispensable pour la bonne distribution du calcium dans les os et le sang. Cette vitamine peut être trouvée dans l’huile de foie de morue, le jaune d’oeuf et le beurre.

Il faut aussi ajouter à votre régime alimentaire des aliments qui apportent des quantités exactes de phosphore, étant donné que ce minéral est indispensable dans la formation des os. Il peut être consommé dans les aliments suivants : produits laitiers, poisson, fruits secs, céréales complètes et légumes secs. Le magnésium s’est également converti en un nutriment primordial quand on veut prendre soin de ses os et il peut être trouvé dans les fruits de mer, les oeufs et les céréales.

Le fluor est un élément qui permet que la dureté et la stabilité de la matrice minérale de la structure osseuse. On le trouve dans les éléments suivants : l’eau, le poisson, le thé noir et les fruits de mer. La silice fait également partie de la grande liste de composants indispensables pour le renforcement des os. On peut en extraire dans l’eau minérale, le café, la levure de bière et les aliments riches en fibres comme les céréales complètes.

Céréale

Lutter contre la fragilisation et la réduction de la masse osseuse
Evitez les mauvaises positions du tronc, rester de préférence le tronc droit et évitez les mouvements rotatoires forts avec.
Réduisez l’usage des chaussures avec des talons très hauts, car vous devez permettre au corps de garder une position flexible et stable pour éviter l’usure des os.
Au moment de vous asseoir, vous devez éviter les chaises et les coussins trop mous, vous devez avoir une position droite et bien appuyer la plante des pieds sur le sol. Cela renforcera les os de votre dos et de vos jambes.
Il est également nécessaire de faire une activité physique fréquemment car l’exercice est un stimulant direct pour la formation et le renforcement des os. L’un des principaux risques de l’ostéoporose réside dans la sédentarité. Il est recommandé d’avoir une vie active. L’un des principaux exercices qui peuvent aider pour éviter la décalcification et la fragilisation des os est de marcher. Les marches quotidiennes prolongent et aident au développement et au renforcement de la structure osseuse.
Nous pouvons voir qu’un bon régime alimentaire est indispensable pour conserver le bon état et la force de nos os, mais qu’une bonne alimentation seule ne suffit pas, elle doit être complétée avec des bonnes postures, de l’activité physique fréquente et l’ingestion de produits laitiers et de leurs dérivés surtout pendant la grossesse et la croissance. Cela permettra que l’apport de calcium suffisant pour une bonne formation de la masse musculaire.

Tenez compte de la santé de vos os afin qu’ils aient une vie prolongée et sans risque de fractures ou de problèmes qui peuvent venir avec l’âge. Il est indispensable que dès la jeunesse, vous pensiez au bien-être de votre corps dans le futur, car les maladies et les affections physiques arrivent au fur et à mesure des années et pour le corps, il est plus difficile d’absorber des nutriments à un âge avancé.

http://amelioretasante.com/les-differentes-manieres-de-renforcer-ses-os/

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Les fondements de l'art islamique

Les arts de l islam

La diffusion de la religion musulmane a donné naissance, au sein d’un vaste territoire, à une manière commune de penser et de vivre : la civilisation islamique. Les cultures marquées par l’islam n’ont cessé d’échanger, tout en conservant leur identité. Elles ont développé une esthétique propre, communément appelée « arts de l’Islam », qui s’applique tout autant au domaine religieux que profane. Cette unité esthétique s’appuie sur la calligraphie, qui sublime le texte sacré et orne objets
et monuments, reproduisant à l’infini des motifs ornementaux, géométriques ou floraux : l’arabesque et les entrelacs. La représentation figurée des hommes et des animaux n’y est pas bannie, mais elle n’est pas présente sur les feuillets du Coran ou dans les mosquées.
Facteur déterminant dans les arts de l’Islam, le mécénat des souverains et des princes a favorisé la production d’objets précieux et raffinés, et le développement de techniques
qui seront imitées jusqu’auXVe siècle en Europe avant que le mouvement ne s’inverse.Au XIX e siècle, des artistes, des techniciens, des artisans-théoriciens et des amateurs
d’objets d’art européens redécouvrent les arts islamiques et constituent des collections privées ou des musées.

Le fondement ontologique de l’art sacré en islam

L’art sacré en islam se base avant tout sur une vision du monde selon laquelle l’ensemble de la création est le reflet et la manifestation des différents attributs divins, parmi lesquels al-jamâl, la beauté. Chaque être créé reflète ainsi à sa manière l’un des aspects de l’infinie beauté divine. Le Créateur du monde n’est donc pas seulement Miséricordieux, Pardonneur, Bon… mais est également à la source de toute beauté. Loin d’être une chose purement subjective, la beauté est donc une réalité concrète existant dans le monde indépendamment de la perception de l’homme.

Si Dieu est beau, l’art, qui consiste notamment en la figuration de la beauté, est donc un moyen de se rapprocher de Dieu. Cette réalité fonde une esthétique non pas subjective et dépendant du psychisme de chacun, mais qui s’enracine dans la réalité même du monde. Selon un langage philosophique, la beauté est donc un attribut essentiel et concret (sefat-e zhâti va ’ayni) des choses, et non le résultat de perceptions subjectives et relatives qui détermineraient ce qui serait beau ou pas au gré des modes et des courants artistiques. La beauté étant une réalité objective, le but de l’art sacré sera donc de la révéler de la façon la plus subtile possible. Car réalité objective n’est pas pour autant synonyme d’évidence ni de matérialité : dans la majorité des cas, les œuvres d’art visent à véhiculer des beautés à la fois intellectuelles et spirituelles, dont la perception nécessite une certaine culture et éducation de l’âme. Le Coran lui-même souligne l’existence de différents types de beautés : les beautés sensibles, à travers l’exemple du ciel et des étoiles (37:6 ; 41:12), des animaux (16:5-6), de la nature (27:60) ; les beautés intellectuelles au travers de l’évocation d’un "beau pardon" (15:58) ou d’une "belle patience" (12:18 ) ; et enfin les beautés spirituelles, comme celle de la foi (49:7).

La beauté comme miroir et "signe" d’un Au-delà spirituel

Sur la base de cette vision du monde, la beauté ne doit donc jamais être considérée et contemplée en elle-même : en évoquant ces différentes beautés, le Coran vise à éveiller l’âme de l’homme afin qu’en observant ces réalités créées (makhluq), il comprenne la beauté de leur Créateur (Khâleq) et se rapproche de Lui. Ainsi, à la fin de chaque verset évoquant la beauté de la création, des attributs de Dieu sont évoqués (Latif, ‘Alim…) afin de souligner la source ultime de ces beautés. Les différentes manifestations de la beauté n’ont donc aucune valeur intrinsèque hors de leur rôle de manifestation (non d’incarnation) [5] et de rappel du divin. Nous pouvons citer un exemple pour clarifier ces deux façons d’envisager la beauté : imaginons un panneau indiquant "Téhéran, 40 km". Nous pouvons porter deux types de regard sur ce panneau : se limiter à considérer son strict aspect matériel, et dire "ce panneau est fait de fer et de bois". Ce regard échoue cependant à voir réellement le message véhiculé par ces matériaux. Un autre regard consiste à dépasser la forme et la matière de ce panneau et à considérer uniquement ce qu’il veut nous montrer, c’est-à-dire que nous nous trouvons à une distance de 40 km de la ville de Téhéran. Ce second regard considère avant tout le panneau comme un "signe" montrant une réalité au-delà de lui-même. C’est ce regard que le croyant se doit de porter sur le monde, et qui consiste à considérer les êtres non pas comme des agrégats de cellules, mais comme autant de "signes" qui nous montrent les perfections divines dans leurs différents degrés de manifestation.

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La calligraphie arabe et islamique

La calligraphie est l’art de la belle écriture. L’art calligraphique se caractérise par le symbolisme des lettres et le développement de l’expressivité du texte illustrée. L’agencement des lettres y a une haute signification car il s’agit d’exprimer en termes intelligibles la réalité cachée.

La calligraphie arabe a atteint à travers la civilisation islamique un sommet de raffinement et d’harmonie jamais égalé. Dans certaines œuvres islamiques, l’écriture stylisée a été raffinée à tel point que l’élégance l’emporte sur la lisibilité.

L’écriture arabe a beaucoup évolué au cours de son histoire, prenant des formes variées suivant les supports et les usages. À partir de l’écriture arabe, les calligraphes ont été amenés à créer, selon les époques et les lieux, un certain nombre de styles. L’art de la calligraphie arabe a évolué vers deux formes maîtresses : le Koufique (rigide et anguleux) et le Naskhi (cursif, souple et arrondi). Ces deux styles de base ont engendré une multitude d’autres calligraphies.

Il existe divers styles d’écriture calligraphique arabe. Les principaux sont (cliquez sur les noms pour des exemples) :

• Le Diwani : d’origine Turque, et ayant connu son summum durant le règne Ottoman, ce style de calligraphie arabe se définit par l’élongation des caractères et son allure ornementale prononcée.
• Le Koufique : anguleux et géométrique ; style utilisé autrefois par les scribes de Koufa pour la copie des Corans. Il a servi aussi à la gravure des inscriptions dans la pierre. Il est encore très employé de nos jours dans la décoration architecturale.
• Le Naskhi : dont les origines remontent au 8e siècle, à gagné en popularité après que le calligraphe notoire Ibn Mouqlah l’eu retravaillée au 10e siècle en une forme plus rythmée. Avec l’arrivée du papier, qui succéda au parchemin, et grâce à Ibn Al-Bawbab qui en fit une calligraphie élégante, ce style gagna ses lettres de noblesse et servit d’écriture principale pour les Corans. Aujourd’hui, il y a plus de Corans copiés en Naskhi que dans toutes les autres écritures arabes réunies. Elle est presque toujours composée de courts traits horizontaux et de verticales d’égale hauteur au-dessus et au-dessous de la ligne médiane. Les courbes sont pleines et profondes, les jambages droits et verticaux.
• Le Riqa : ou « Petite Feuille » dérive du Naskhi et du Thuluth. L’aspect géométrique de ses lettres et particulièrement les fioritures des finales, s’apparente largement à celles du Thuluth, mais elle est bien plus petite et dotée de courbes plus arrondies et ses Alifs ne sont jamais écrits avec des barbelures. Le centre des boucles des lettres est toujours rempli, les lignes horizontales sont très courtes et les ligatures agencées avec densité, les finales étant souvent rattachées aux initiales. C’est de nos jours l’écriture manuscrite la plus employée dans le monde arabe.
• Le Taliq : aussi appelé Farsi, est léger et élégant, comme suspendu ; créé par les calligraphes de la Perse pour les recueils de poésie, il est devenu un des styles prépondérants chez les Persans, les Indiens et les Turcs.
• Le Thuluth : apparue au 7e siècle, est une calligraphie statique et monumentale, surtout utilisée à des fins décoratives dans les manuscrits et les inscriptions. Elle a également servi pour la copie des Corans, surtout pour les têtes de chapitre et les colophons. On la juge comme la plus importante des écritures ornementales. Quelques autres styles calligraphiques :
• Le Maghribi : naguère utilisé dans les pays du Maghreb, en Espagne islamique et au Soudan, il tend, aujourd’hui, à être remplacé par le Naskhi en Afrique du Nord.
• Le Mohaqqaq : était à l’origine une écriture dont les lettres étaient moins angulaires que le Koufique, avec des ligatures amplement séparées ; l’ensemble était « produit avec méticulosité » comme son nom le signale. Avec la découverte du papier autour de 750, cette calligraphie arabe acquit une certaine rondeur qui la rendit plus facile à tracer et elle devint l’écriture privilégiée des scribes. Modifiée par Ibn Muqlah, elle conserva ses déliés allongés sans trop de pleins ni d’enjolivures accusées sous les lignes. Cela en fit l’écriture privilégiée des Corans de grand format.
L’ architecture arabe

La civilisation islamique s’illustre par une architecture très riche et diversifiée. Du Maghreb à l’Asie, de l’Espagne à l’Afrique profonde, cette architecture multiple se caractérise par une très grande sobriété des lignes et un foisonnement extrême des détails architecturaux.

Le plan d’un bâtiment typique peut être tout simplement rectangulaire (forme des basiliques antiques), ou parfois constitué d’une succession de travées reposant sur des piliers surmontés d’une ou plusieurs successions de coupoles (pas de forme particulière). Si la mosquée d’origine est trop petite, comme celle de Cordoue, on lui ajoute quelques travées supplémentaires, si bien que le bâtiment initial peut devenir une forêt de piliers. Ce plan évoluera au fil des siècles et en Iran prendra une architecture en T autour de la cour.

Le minaret : il n’apparaît que vers le 9e siècle. C’est également un signe distinctif, visible (et audible surtout). De l’extérieur, le minaret est de coupe carrée en Espagne et élevé (comme le clocher chrétien) ; mais de forme cylindrique au Moyen Orient, soit sous la forme ancienne des ziggourats babyloniennes, soit mince et élégant, de taille modeste mais multiplié par quatre comme les quatre angles des vastes mosquées au dôme élevé de l’Inde.

La cour : un espace ouvert, ombragé, agréable, mais surtout le passage obligé par la fontaine à ablutions. C’est donc l’entrée principale des croyants.

La coupole : repose à l’origine sur quatre piliers. C’est le schéma simple. D’origine byzantine, la coupole va être complètement adoptée par l’art islamique : elle prendra par la suite des formes intérieures complexes, décorées de stucs, plâtre qui permet des décorations extrêmement ciselées, ou des formes extérieures en bulbe, parfois recouvert d’or (Dôme du Rocher à Jérusalem), ou de mosaïque de couleur (Mosquée Bleue d’Ispahan).

Quelques « joyaux » de l’architecture arabe islamique (cliquez pour la photo) :
Le Tadj Mahall (ou Taj Mahal)
Ispahan, mosquée bleue
Kairouan, la ville (médina)
Samarcande, les medresas (écoles)

L'architecture religieuse s'enrichit assez tôt d'autres types d'édifices : les ribāts sont connus dès le viiie siècle ; les zāwiyas, mausolées, médersas, hôpitaux, cuisines des pauvres et autres constructions charitables doivent leur apparition à des motivations mêlant charité et propagande souveraine, philanthropie, munificence et religion.

http://www.firdaous.com/00180-les-differents-styles-de-la-calligraphie-arabe.htm

http://www.imarabe.org/sites/default/
http://www.teheran.ir/spip.php?article1431


Visite virtuelle : les arts de l'Islam au...par FranceInfo

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