Le travail sur soi-même, de même que le rappel fait à sa famille et à ses frères et sœurs musulmans, ne sauraient consister en le simple fait d'édicter un grand nombre d'obligations et d'interdits. La révélation a choisi la voie de la formation formation des cœurs, de l'éducation, du pragmatisme et de la patience, et c'est cette voie qu'il nous faut suivre, aujourd'hui encore, pour vivre l'islam et faire le rappel de ses enseignements.
Aïcha, épouse du Prophète (sur lui la paix), raconte ainsi : "Parmi les premiers passages coraniques à avoir été révélés se trouve une sourate parmi les sourates mufassal, dans laquelle il est question du Paradis et de l'Enfer. C'est ensuite, lorsque les hommes furent retournés à l'islam, que le licite et l'illicite furent révélés. Si dès le début Dieu avait révélé : "Ne buvez plus d'alcool", les hommes auraient dit : "Nous ne le délaisserons jamais !". Si dès le début Dieu avait révélé : "Ne commettez plus l'adultère !", les hommes auraient dit : "Nous ne la délaisserons jamais !"…" (al-Bukhârî, 4707). Jundub ibn Abdillâh raconte lui aussi la même expérience, vécue en la compagnie du Prophète : "Nous étions, jeunes hommes, auprès du Prophète. Nous apprîmes alors la foi avant d'apprendre le Coran [= les lois coraniques]. Puis nous apprîmes le Coran, ce qui fit augmenter notre foi" (Ibn Mâja, 61) (cliquez ici pour découvrir ce que JUndub a désigné ici par le mot "foi").
En sus de la foi en l'existence, l'unicité et les noms et attributs de Dieu, en le jour dernier, etc., les Compagnons du Prophète apprirent aussi la morale : les devoirs et les interdits fondamentaux (Al-Muwâfaqât 2/93-94).
Ce n'est qu'après ce profond travail sur les cœurs que la révélation s'est mise à édicter obligations et interdits détaillés.
Et même ici, elle a choisi la voie du pragmatisme. Le texte coranique témoigne ainsi, aujourd'hui encore, de la patiente progression et de la pédagogie qui furent les siennes dans la mise en place de l'interdiction : l'exemple bien connu de la législation relative à l'alcool l'illustre parfaitement, puisqu'il montre une progression s'étendant sur une période de nombreuses années et comportant plusieurs étapes intermédiaires avant l'interdiction complète, survenue seulement, d'après un avis, en l'an 8 de l'hégire (Fat'h ul-bârî, 8/353), soit quelques... 18 années après le début de la prédication publique du Prophète. Et lorsque cette interdiction complète fut révélée, les musulmans étaient prêts à accueillir celle-ci au point que Anas ibn Mâlik raconte : "J'étais en train de verser à boire chez Abû Tal'ha, et à l'époque l'alcool que les gens buvaient était un alcool de datte. Le Prophète dépêcha une personne pour annoncer : "L'alcool a été interdit". (En entendant cela,) Abû Tal'ha me dit : "Va verser l'alcool dehors". Je sortis le faire. Il coula dans les ruelles de Médine…" (al-Bukhârî, 2332, Muslim, 1980). Les cœurs ayant été formés, une législation de ce genre ne pouvait en effet qu'être bien accueillie.
Aujourd'hui encore, il faut donc, d'une part, ne pas oublier le travail primordial sur la profondeur et l'intensité de la foi, et, d'autre part, comprendre les priorités (awlawiyya) par rapport à la situation d'un lieu donné, à un moment donné, pour rappeler graduellement obligations (wâjibât) et interdits (manhiyyât).
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A) Une objection formulée par certains frères et sœurs :
On entend parfois objecter à cela que cette progressivité était possible à l'époque où la révélation, elle-même graduelle, se faisait au Prophète (sur lui la paix), mais qu'aujourd'hui, l'ensemble des préceptes (et donc les obligations et les interdictions) ayant été donné et la révélation ne se faisant plus, nul ne peut plus déclarer permis ce que Dieu a déjà interdit.
En fait la réalité est plus nuancée :
– déjà il est certaines obligations (et certaines interdictions) dont le caractère même dépend du contexte dans lequel les musulmans vivent, en correspondance étroite avec les différentes situations (dawr makkî / dawr habashî / dawr madanî) que le Prophète et/ou ses Compagnons ont connues (lire à ce sujet notre article Comprendre les différences de situation) : pour les musulmans qui se trouvent dans une situation comparable à celle du Prophète quand il était à la Mecque, de nouveau l'action n'est pas instituée (mashrû') ;
– ensuite, s'il est certain qu'il est d'autres obligations et interdits qui sont aujourd'hui applicables même s'ils ont été révélés vers la fin de la mission du Prophète, ce qu'il faut comprendre c'est que personne ne remet en cause leur caractère (obligatoire ou interdit), celui-ci étant désormais définitivement établi : nous parlons seulement de la nécessité de respecter la progressivité dans le rappel (da'wa) de ces règles et dans le fait de les faire appliquer concrètement à l'échelle de la société (tanfîdh)...
A.a) La progressivité dans le rappel des règles :
C'est bien là ce que le Prophète (sur lui la paix) avait enseigné à Mu'âdh quand il l'avait envoyé au Yémen : il l'avait fait vers la fin de sa mission, quand la plupart des obligations et des interdictions de l'islam étaient déjà révélées ; et pourtant il lui avait bien recommandé d'être progressif lorsqu'il informerait ceux qui se convertiraient à l'islam des obligations leur incombant ; il lui avait dit : "Tu vas te rendre auprès de Gens du Livre. Que la première chose à laquelle tu les invites soit l'adoration de Dieu. Lorsqu'ils connaîtront Dieu, informe-les que Dieu a rendu obligatoires cinq prières dans la journée et la nuit. Lorsqu'ils feront cela, informe-les que Dieu a rendu obligatoire sur eux une aumône qui sera prise de leurs riches et donnée à leurs pauvres…" (al-Bukhârî, 1425, Muslim, 19, etc.). An-Nawawî écrit en commentaire : "...Le Prophète (sur lui la paix) a enseigné une progression dans l'invitation, commençant par le plus important, et ainsi de suite. Ne vois-tu pas qu'il a parlé d'abord de la prière puis de l'aumône, alors que personne n'a jamais dit qu'(après l'acceptation de l'islam) la prière devenait obligatoire mais non pas l'aumône ?" (Shar'hu Muslim, 1/198).
Au mois de ramadan de l'an 9 de l'hégire, une délégation de la tribu Thaqîf, qui avait auparavant combattu les musulmans, se rendit à Médine rencontrer le Prophète et embrasser l'islam. Parmi les choses qu'ils demandèrent au Prophète, il y avait que pendant trois années encore on ne fasse rien à leur temple dédié à leur idole al-Lât. Le Prophète refusa. Ils demandèrent qu'on le leur laisse deux années encore. Le Prophète refusa. Ils demandèrent une année. Le Prophète refusa. Ils finirent par demander qu'on le leur laisse un mois. Le Prophète refusa de s'engager à le laisser subsister pendant un laps de temps défini ("abâ 'alayhim an yada'ahâ shay'an mussamman"). Ils demandèrent que ce ne soit pas eux qui soient chargés de briser leurs idoles et qu'ils n'accomplissent pas les cinq prières quotidiennes. Le Prophète répondit : "Pour ce qui est du fait de briser vos idoles par vos mains mêmes, nous vous en déchargerons. (Mais) pour ce qui est de la prière : il n'y a pas de bien dans une religion dans laquelle il n'y a pas de prière" (Zâd ul-ma'âd 3/498-500). Ils demandèrent aussi qu'ils ne remettent pas d'aumône [= zakât] et ne mènent pas de lutte armée contre l'ennemi. Jâbir rapporte que "le Prophète dit après cela : "Bientôt ils donneront l'aumône et participeront à la lutte lorsqu'ils seront devenus musulmans"" (Abû Dâoûd, n° 3025). Voyez : le Prophète refusa de s'engager à ce que le temple idolâtre ne soit pas démoli immédiatement (c'était une nécessité pour l'Arabie ou pour le Hedjaz : cliquez ici pour lire notre article sur le sujet) ; de même, le Prophète refusa qu'ils ne se mettent pas à prier immédiatement après leur conversion à l'islam : "Il n'y a pas de bien dans une religion dans laquelle il n'y a pas de prière", leur dit-il. Mais pour ce qui est de démolir le temple et de briser leurs idoles, le Prophète accepta que ce ne soit pas eux qui le fassent, et il dépêcha deux Compagnons chez eux pour le faire à leur place ; de plus, le Prophète ne dit rien quand ils dirent qu'ils ne donneraient pas l'aumône obligatoire (la zakât) et ne participeraient pas à la lutte armée : ce n'est pas que le Prophète releva d'eux le caractère obligatoire de ces deux actes (puisqu'un acte obligatoire doit nécessairement être considéré obligatoire, cela relève de la croyance même) ; c'est qu'il savait qu'il s'agissait pour eux de progresser dans leur pratique de l'islam, selon le degré de priorité des actes, et qu'au bout d'un certain temps de pratique des actes prioritaires (notamment la prière), ils progresseraient et viendraient à la pratique des autres actes obligatoires : "Bientôt ils donneront l'aumône et participeront à la lutte lorsqu'ils seront devenus musulmans."
Lorsqu'il avait envoyé Mu'âdh ainsi que Abû Mûssâ au Yémen, le Prophète leur avait également recommandé ceci : "Rendez facile et non difficile. Donnez la bonne nouvelle et ne faites pas fuir". An-Nawawî écrit en commentaire : "Ce hadîth ordonne de donner la bonne nouvelle de la grâce de Dieu et de Sa grande Miséricorde, et interdit de faire fuir en ne mentionnant que les menaces de châtiment sans mentionner avec celles-ci les bonnes nouvelles. Ce hadîth enseigne d'être doux avec ceux qui se sont récemment convertis, de même qu'avec ceux qui sont enfants et adolescents, de même qu'avec ceux qui se sont repentis : il faut être doux avec eux et leur communiquer progressivement les actes de dévotion. Les enseignements de l'islam ont été révélés progressivement. Si on rend les choses faciles pour celui qui entre dans la dévotion ou qui veut y entrer, elles seront faciles pour lui, et le plus souvent il progressera et augmentera. Mais si on rend ces choses difficiles pour lui, il ne se mettra pas à les pratiquer ; et s'il les pratique, il ne le fera pas longtemps ou ne les appréciera pas" (Shar'h Muslim, 12/41). Car il faut comprendre qu'un homme ou un groupe d'hommes qui étaient jusqu'à présent éloignés de la religion ont besoin d'une certaine progressivité pour se mettre à pratiquer tout ce qui est obligatoire sur eux. Il faut être patient avec eux, tout en rappelant la nécessaire constance dans la pratique.
Aujourd'hui encore, il faut donc respecter la progressivité dans le rappel des règles. Et il faut savoir à ce sujet qu'en islam les croyances et la spiritualité sont fondatrices par rapport aux actes ; parmi les actes, ce qui est obligatoire est prioritaire par rapport à ce qui est facultatif ; se préserver de ce qui constitue une grande faute morale (kabîra) est prioritaire par rapport à arrêter ce qui constitue une petite faute morale (saghîra) ; obligation ou interdiction, un acte qui fait l'objet d'un consensus (mujma' 'alayh) doit être considéré prioritairement par rapport à un acte qui fait depuis les premiers temps de l'Islam l'objet d'une divergence d'avis entre les savants (mukhtalaf fîh).
A.b) La progressivité dans l'application concrète de celles des règles qui sont applicables dans le milieu où l'on vit :
Par rapport aux pays musulmans, il faut également respecter la progressivité dans l'application concrète des règles. C'est ce que met en exergue le récit suivant, avec Omar ibn Abd il-Azîz, le calife omeyyade célèbre pour sa justice et sa droiture : "وفيما يحكى عن عمر بن عبد العزيز أن ابنه عبد الملك قال له: "ما لك لا تنفذ الأمور؟ فوالله ما أبالي لو أن القدور غلت بي وبك في الحق." قال له عمر: "لا تعجل يا بني؛ فإن الله ذم الخمر في القرآن مرتين وحرمها في الثالثة؛ وإنى أخاف أن أحمل الحق على الناس جملة فيدفعوه جملة، ويكون من ذا فتنة"" : Un jour, Omar ibn ul-'Azîz fut ainsi questionné par son fils Abd ul-Malik : "Père, pourquoi n'appliques-tu pas [toutes] les choses ? Je ne me soucie pas que moi et toi ayons à supporter des difficultés à cause de la vérité". Le calife répondit : "Ne te presse pas, mon fils. Car Dieu a, dans le Coran, critiqué deux fois l'alcool, (puis,) la troisième fois, l'a interdit. Je crains que si j'applique d'un coup aux gens (tout) ce qui est vrai, ils rejettent d'un coup (tout ce qui est vrai) ; et que naisse à cause de cela une fitna" (Al-Muwâfaqât, ash-Shâtibî, 1/402). Voyez : l'alcool a été interdit en l'an 8 de l'hégire, et cette interdiction est complète et définitive, applicable pour tout musulman et musulmane quel que soit le lieu qu'il ou elle se trouve ; Omar ibn Abd il-Azîz parle bien, pourtant, de progressivité dans le fait de faire respecter sur la scène publique cette interdiction, par la société musulmane du début du 2ème siècle. Du début du 2ème siècle de l'hégire ! Aujourd'hui, en ce 15ème siècle de l'hégire, comment ne pas être pragmatique et ne pas tenir compte, avec les normes, de l'état des lieux ? Ibn ul-Qayyim écrit : "L'idéal (al-wâjib) est une chose et le réel (al-wâqi') est une chose. Le (bon) juriste est celui qui fait le lien entre idéal et réel et applique l'idéal en fonction des possibilités. Ce n'est pas celui qui provoque l'inimitié entre idéal et réel" (A'lâm ul-muwaqqi'în, 4/169).
Il ne s'agit pas de devenir paresseux et, au nom de la progressivité, se donner bonne conscience en remettant tout à des lendemains toujours plus lointains ; il s'agit concrètement de déterminer ce qui est applicable dans le contexte où l'on vit, puis de faire de la situation une fine analyse qui nous permette de :
– fixer les objectifs qui sont nôtres dans ce contexte (tahdîd ul-maqâssid),
– penser les moyens devant en permettre la réalisation (tahdîd ul-wassâ'ïl),
– enfin, déterminer les étapes devant rendre possible bi idhnillâh la concrétisation de ces moyens (tahdîd ul-marâhil) en fonction des priorités (fahm ul-awlawiyya) (lire à ce sujet As-Siyâssa ash-shar'iyya fî dhaw'i nussûs ish-sharî'ah wa maqâssidihâ, al-Qardhâwî, pp. 298-307).
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B) Récapitulatif :
Il faut comprendre les priorités dans le travail sur soi-même, sur le terrain, sur ses frères et sœurs. Sinon le risque est grand de faire des "islamisations de surface, creuses à l'intérieur".
Malheureusement, combien d'entre nous commencent aujourd'hui par ce qui devrait normalement être rappelé ou appliqué à la fin ! Pourtant le seul rappel ou la seule promulgation d'une règle ne change pas les hommes tant qu'elle n'est pas précédée et accompagnée d'une réforme des mentalités et des cœurs. L'échec de la tentative de prohibition de l'alcool aux Etats-Unis au début du XXème siècle grégorien le prouve. A comparer avec l'interdiction de l'alcool faite en Arabie au VIIème siècle grégorien sous la direction du Dernier des Messagers de Dieu, Muhammad (sur lui la paix) : ici l'interdiction fut non seulement réalisée de façon graduelle mais fut aussi et surtout précédée et accompagnée d'une profonde éducation spirituelle et morale.
Il faut donc, d'une part, graduellement rappeler les normes et les règles. Et il faut aussi et surtout, d'autre part, ne pas oublier le travail sur l'intensité de la foi : renforcer son lien avec Dieu, intensifier pour Lui l'amour et la crainte révérentielle dont tout croyant porte une parcelle dans les profondeurs de son cœur. Il faut commencer par le commencement, par là où a commencé le Coran, parler des rétributions de l'au-delà, évoquées dans le Coran et la Sunna… Alors nous pourrons inshâ Allâh vivre nous aussi ce que Jundub a raconté : apprendre la foi et apprendre les normes, la foi préparant le terrain pour l'acceptation des normes, et la connaissance et le respect concret ('amalan) des normes faisant augmenter la foi.
Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).
http://www.maison-islam.com/articles/?p=53
Certains aliments peuvent accentuer les effets indésirables ou diminuer l’efficacité d’un traitement médicamenteux. Les interactions entre médicaments et aliments, lorsqu’elles existent, sont clairement indiquées dans la notice. Pour un médicament concerné par ce type d’interaction, la notice mentionne les aliments à éviter et la nature du risque encouru. L’Afssaps rappelle qu’une lecture attentive de la notice des médicaments est nécessaire pour bien suivre un traitement médicamenteux.
Associés à certains aliments, l’activité de certains médicaments peut être altérée. Les interactions entre médicaments et aliments peuvent être à l’origine d’une augmentation des effets indésirables ou d’une diminution de l’efficacité du médicament. Ces interactions sont connues et mentionnées dans la notice des médicaments qu’il est toujours recommandé de lire attentivement. L’Afssaps rappelle que lors d’un traitement médicamenteux, une lecture attentive de la notice permet d’éviter tout risque.
A titre d’exemple, voici quelques interactions entre médicaments et aliments.
Le jus de pamplemousse (voir aussi la mise au point (13/10/2008) application/pdf (29 ko))
Il peut augmenter de façon importante l’absorption du médicament dans l’organisme. Deux classes de médicaments sont particulièrement concernées :
certains médicaments utilisés pour faire baisser le taux de cholestérol dans le sang : la simvastatine, et dans une moindre mesure, l’atorvastatine. Un jus de pa pris en même temps que la simvastatine peut multiplier par 15 l’absorption du médicament et provoquer des atteintes musculaires graves ;
les immunosuppresseurs préconisés contre les rejets de greffes (tacrolimus, ciclosporine…). Une prise concomitante avec un jus de pamplemousse, de façon régulière, peut endommager le rein.
L’Afssaps conseille d’éviter de prendre un jus de pamplemousse dans les deux heures qui précèdent la prise de ces médicaments, et de limiter la consommation à moins d’un quart de litre par jour. En revanche, il faut savoir que jus de pomme et d’orange ne provoquent pas d’interactions connues.
Les aliments riches en vitamine K (choux, brocolis, épinards, avocats, persil, laitue, abats)
Ils sont à consommer avec parcimonie avec les médicaments anticoagulants oraux, destinés à fluidifier le sang. Ces aliments sont à l’origine d’une diminution de l’efficacité du traitement et donc d’un risque accru de thromboses (formation de caillot dans les veines).
Il est conseillé, en cas de traitement avec des anticoagulants oraux, de ne pas manger plus d’une portion de légume par jour, ainsi que de ne pas modifier soudainement ses habitudes alimentaires, en cessant ou augmentant toute consommation.
L’alcool
L’alcool doit être évité avec tous les médicaments qui réduisent la vigilance. C’est le cas des tranquillisants (anxiolytiques de type benzodiazépines), analgésiques ou antitussifs à base de codéine ou de tramadol, neuroleptiques, certains antidépresseurs, et certains médicaments antiallergiques commercialisés depuis longtemps.
Pris conjointement avec ces médicaments, l’alcool peut provoquer une somnolence et réduire les réflexes. Ces effets peuvent avoir des conséquences dramatiques, notamment en cas de conduite automobile ou d’utilisation de machines.
De plus, la consommation d’alcool avec les anti-inflammatoires (type ibuprofène) ou l’aspirine peut être à l’origine de brûlures d’estomac ou de reflux acides.
Les agrumes (citron, pamplemousse, orange, par ordre décroissant d’acidité)
Ils doivent être évités avec les anti-inflammatoires ou l’aspirine, sous peine de majorer voire de déclencher des brûlures d’estomac ou des reflux acides.
Il est ainsi conseillé de prendre les anti-inflammatoires au milieu du repas, c’est-à-dire mélangés au bol alimentaire, pour limiter ces effets.
La caféine
Il faut éviter de consommer de la caféine lors d’un traitement contenant certains antibiotiques comme l’énoxacine, la ciprofloxacine et la norfloxacine, utilisés notamment pour traiter des infections urinaires (cystites), ainsi qu’avec la théophylline, un anti-asthmatique qui a les mêmes effets que la caféine.
Ces antibiotiques gênent l’élimination de la caféine et peuvent donc conduire à un surdosage en caféine, ou à une addition d’effets indésirables, pour la théophylline. L’excès de caféine se traduit par une excitation, des palpitations, des tremblements, des sueurs voire des hallucinations.
Il est conseillé d’éviter la consommation de café, thé, ou soda contenant de la caféine pendant la durée du traitement antibiotique ou de la réduire notablement si l’asthme est traité par un médicament à base de théophylline.
La réglisse
Elle est à l’origine d’une augmentation de la pression artérielle.
Il convient de limiter, ou mieux, d’abandonner la consommation de réglisse (bonbon ou boisson anisée sans alcool) en cas d’hypertension.
A travers ces quelques exemples, l’Afssaps tient à rappeler qu’une lecture attentive de la notice des médicaments est essentielle pour bien débuter un traitement et le suivre dans de bonnes conditions.
Enfin, l’Afssaps rappelle que tout effet indésirable grave ou inattendu doit être signalé aux Centres Régionaux de Pharmacovigilance (CRPV)
http://ansm.sante.fr/S-informer/Presse-Communiques-Points-presse/Medicaments-et-aliments-lire-la-notice-pour-eviter-les-interactions/(language)/fre-FR
Le clonage des êtres humains
Une équipe de recherche Sud Coréenne vient de démontrer la possibilité de cloner des embryons humains à des fins thérapeutiques. Cette nouvelle est une véritable révolution puisque jusqu'à présent, les spécialistes s'accordaient pour dire que leclonage de primates était extrêmement difficile à réaliser. Cette nouvelle avancée, qui ouvre des voies thérapeutiques encore difficilement évaluables, repose aussi avec d'autant plus de force la question du clonage reproductif humain.L'une des difficultés principales rencontrée lors du clonage de primates est la perte de facteurs essentiels aux divisions cellulaires, lorsque le noyau est retiré de l'oeuf.
Ces facteurs sont principalement des protéines constitutives d'une structure appelée le centrosome. L'absence de ces protéines entraîne un dysfonctionnement des centrosomes aboutissant à une mauvaise répartition des chromosomes lors de la division cellulaire, et donc à un chaos génétique (pour plus de précision lire notre article "Le clonage humain est actuellement presque impossible !") L'équipe de chercheurs a démontré que, bien que le processus de clonage demeure inefficace, celui-ci est néanmoins possible. Ils ont utilisé 242 oeufs provenant de dons de 16 femmes qui, simultanément, ont donné les cellules à partir desquels les noyaux ont été prélevés pour le clonage. Il est important de noter que les cellules "donneuses" du noyau utilisées dans cette expérience sont des cellules de soutien de l'ovule, présentes uniquement chez les femmes jeunes.Environ un quart des oeufs s'est développé jusqu'au stade du blastocyste(environ 100 cellules), stade à partir duquel des cellules souchesembryonnaires (CSE) peuvent être obtenues. L'efficacité est similaire à celle obtenue lors du clonage de la vache ou du cochon.
Cependant, les raisons de ce succès sur des cellules humaines demeurent encore inconnues. Il est possible que les techniques employées pour extraire le noyau de l'ovocyte, afin de l'énucléer, aient été plus douces que celles utilisées jusque-là. Parmi les 30 blastocystes cultivés, un seul a permis d'obtenir une lignée de CSE. Là encore, la raison de cette faible efficacité est encore inconnue, même si les chercheurs soupçonnent des anomalies génétiques non détectées qui pourraient en être la cause. Les cellules obtenues ont de nombreuses caractéristiques des cellules CSE, notamment celle de se diviser indéfiniment. Les CSE ont été capables de se différencier en différents types cellulaires, permettant ainsi d'obtenir différents tissus (cartilage, muscle, os), après injection chez la souris. Cette procédure fait naître l'espoir de pouvoir obtenir des cellules souches parfaitement adaptées aux besoins de la transplantation de tissus pour le traitement de maladies comme le diabète, la maladie de Parkinson, d'Alzheimer et même certains cancers. En effet, grâce au clonage, le problème du rejet, rencontré dans toutes les greffes, serait contourné.Cependant, nous sommes encore loin de cet objectif. En effet, il reste de nombreux obstacles à franchir, notamment celui de s'assurer que ces cellules sont bien différenciées et ne deviendront donc pas cancéreuses une fois injectées dans l'organisme. Une autre difficulté pour imaginer un jour utiliser cette technique thérapeutique à grande échelle, réside dans le fait qu'elle utilise des ovocytes humains qui sont des cellules rares et difficiles à obtenir.
Certains scientifiques craignent que l'annonce de cette réussite, et la publication du protocole de clonage, n'incite des scientifiques peu scrupuleux à se lancer dans des tentatives de clonage reproductif. Actuellement, le clonage humain a été banni dans un grand nombre de pays. Cependant, si les avis sont unanimes contre le clonage reproductif, ils sont plus mitigés en ce qui concerne le clonage thérapeutique en raison de l'exceptionnel potentiel thérapeutique de cette technique
La position des religions
Face aux différents types de clonage, chaque religion a une opinion qui diffère. Certaines étant plus favorables que d’autres (Bouddhisme, Judaïsme, Protestantisme), mais d’autres complètement contre (Catholicisme, Islam, Orthodoxes).
-Le Catholicisme : la religion catholique est une des seules religions à respecter un embryon « comme une personne humaine dès le moment de sa conception ». Partant du principe que l’homme est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, les catholiques voient d’un œil méfiant le clonage thérapeutique et sont radicalement contre le clonage reproductif. Cette religion interdit donc les recherches et des thérapies sur l’embryon vu que ceci viole ce principe.
De plus, en 1995, le pape Jean-Paul II, a annonce que « l'utilisation des embryons et fœtus comme objets d'expérimentation représente un crime contre la dignité des êtres humains ». A travers ce discourt, le pape a interdit tout type de clonage, thérapeutique ou reproductif.
-Le Protestantisme : La religion protestante est plus tolérante, sur ce sujet, que la religion catholique, sans pour autant être totalement en accord avec ce sujet. Elle analyse au cas par cas le clonage thérapeutique et accepte seulement s’il y a un apport pour les progrès génétiques. En contrepartie pour clonage reproductif elle est contre, mais elle autorise toutes recherches sur l’embryon, à condition que celles-ci soient bien encadrées, qu’il y ai une visée thérapeutique, une destruction rapide, et qu’il n’y ai pas de commercialisation des produits de l’embryons.
-Le Judaïsme : De même, le judaïsme accepte le clonage thérapeutique mais a la condition qu’il y a un apport thérapeutique. Contrairement a la plupart des autres religions, le judaïsme est en accord avec le clonage reproductif, pourtant il y a encore une condition cet avis, il faut que l’individu concerné soit stérile. Concernant les recherches sur l’embryon, elles sont autorisées sauf pour les embryons in utéro, et il faut qu’elles soient encadrées d’un point de vue ra rabbinique. Le judaïsme considère, contrairement au catholique, qu’un embryon est vivant, donc un humain, quarante jours après la conception.
-L’Islam : La religion islamique n’est en aucun cas pour le clonage, qu’il soit reproductif ou thérapeutique. A propos des recherches sur l’embryon; elles sont interdites car ceci déshumanise la vie, mais peuvent êtres autorisées si elles sont le seul moyen pour sauver une vie et même traiter un cas de malformation. Dans la religion islamique, un embryon n’est pas considéré un être humain jusqu'à sa nidification dans la muqueuse utérine.
-Le Bouddhisme : Le bouddhisme, comme le catholicisme, s’oppose catégoriquement au clonage thérapeutique, pourtant en ce qui concerne le clonage reproductif, cette religion l’autorise à la condition qu’il n’y a pas de modification de patrimoine génétique. De plus, le bouddhisme autorise les recherches sur l’embryon qu’en cas de bienfaits éventuels. La religion bouddhiste dit aussi que la seule limite éthique est la souffrance.
-Orthodoxe : Elles sont contre les recherches sur l’embryon, n’autorisent pas le clonage thérapeutique ou reproductif. Elle pense que un embryon est un être humain des la conception, mais proclame aussi que l’embryon n’est «ni un objet ni un produit commercialisable.»
En conclusion, chaque religion a une opinion différente. Pourtant c’est un débat constant. De plus la religion c’est étendu au fur et a mesure du temps et on peu trouver toutes ces religions dans chaque pays. Les pays ont du donc avoir des lois a eu même qui autorisent ou bannissent le clonage, thérapeutique ou reproductif, et les recherches sur l’embryon.
Pour les musulmans
Réponse du Docteur Yûsuf Al-QaradâwîUn des mérites de l'Islam est qu'il embrasse aisément le progrès scientifique et ne met aucune limite à la créativité dans les domaines de la science et de la technologie. Tout au long de l'histoire, on ne trouvera aucune preuve de conflit entre l'Islam et la science, contrairement aux autres religions où les conflits furent nombreux, à tel point d'ailleurs que des scientifiques furent persécutés et jugés pour leurs découvertes.
L'acquisition de la connaissance - essentielle pour le bien-être de l'humanité - est profondément enracinée en Islam. Elle est considérée comme une obligation de suffisance communautaire . La Communauté musulmane devrait avoir un nombre suffisant de scientifiques musulmans maîtrisant au plus haut degré les connaissances scientifiques, et ce, dans tous les domaines.Dans le Coran, Dieu dit qu'Il a accordé au genre humain un énorme potentiel et des talents lui permettant de découvrir les secrets de la nature et d'apprendre les lois de l'univers. L'être humain est en effet le vicaire de Dieu sur Terre et tout l'univers est à son service.Dieu, le Tout-Puissant, dit : "Ne voyez-vous pas que Dieu vous a assujetti ce qui est dans les cieux et sur la terre ? Et Il vous a comblés de Ses bienfaits apparents et cachés. Et parmi les gens, il y en a qui disputent à propos de Dieu, sans science, ni guidée, ni Livre éclairant." (Sourate 31, Luqmân, verset 20)."C'est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la terre, puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux. Et Il est Omniscient." (Sourate 2, La Vache, Al-Baqarah, verset 29).Par conséquent, puisque l'univers entier est au service de l'homme, il lui est permis de l'explorer et d'en sonder les secrets. Dieu le Tout-Puissant dit : "Il y a sur terre des preuves pour ceux qui croient avec certitude, ainsi qu'en vous-mêmes. N'observez-vous donc pas ?" (Sourate 51, Adh-Dhâriyât, versets 20 et 21).
On ne doit pas penser que les découvertes et le progrès de la science sont des transgressions envers Dieu : elles n'ont été accessibles que par l'aide et la guidance de Dieu. Le Tout-Puissant dit dans les premiers versets révélés du Coran : "Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, qui a créé l'homme d'une adhérence. Lis ! Ton Seigneur est le Très Noble, qui a enseigné par la plume. Il a enseigné à l'homme ce qu'il ne savait pas." (Sourate 96, L'Adhérence, Al-'Alaq, versets 1 à 5).Les découvertes peuvent être considérées parmi les signes que Dieu a promis de montrer à l'humanité : "Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que ceci (le Coran) est la Vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute-chose ?" (Sourate 41, Fussilat, verset 53).Notre religion nous enseigne que la science est sans limite. Dieu dit : "Et vous n'avez reçu qu'une faible part de connaissance." (Sourate 17, Le Voyage nocturne, Al-Isrâ', verset 85)."Et dis : "Ô mon Seigneur, accrois mon savoir !" (Sourate 20, Tâhâ, verset 114).
Ceci inclut toute sorte de connaissances utiles, qu'elles soient religieuses ou scientifiques, à condition qu'elles soient conformes à la foi et aux valeurs morales, et qu'elles ne soient pas livrées à elles-mêmes sans les restrictions de la religion, de l'éthique et de l'intérêt général.Dans le Coran, Dieu le Tout-Puissant nous donne deux exemples d'utilisation de la connaissance d'une façon inséparable de la religion.
La glande pinéale ou épiphyse
C'est une petite glande endocrine de l'épithalamus du cerveau des vertébrés. À partir de la sérotonine, elle sécrète la mélatonine et joue donc, par l'intermédiaire de cette hormone, un rôle central dans la régulation des rythmes biologiques (veille/sommeil et saisonniers). Dans l'espèce humaine, l'épiphyse a la forme d'une pomme de pin (d'où son nom) ou d'un petit cône (d'environ 8 mm) situé en position médiane en arrière du troisième ventricule, entre les deux thalamus, au-dessus des colliculi supérieurs derrière la stria medullaris.
Notre glande pinéale autrement connue comme notre glande maîtresse, régit notre troisième oeil est le centre de la conscience psychique dans l’esprit humain. Elle est de la taille d’un pois et se situe dans une grotte située derrière la glande pituitaire. Elle produit naturellement une hormone mélatonine qui régule appelé les rythmes du corps quotidien qui traitent directement avec le jour et les cycles de la nuit.
Développer et élargir la fonction et l’énergie de votre glande pinéale
Développer et élargir lla fonction et l'énérgie de votre glande pinéale est extrêmement important car elle affecte tous les systèmes de votre corps physique et a le potentiel de déterminer l’expansion ou la contraction de votre conscience psychique.
La lumière du soleil est extrêmement importante pour la glande pinéale. Le soleil est une forme de nourriture. La lumière du soleil peut être prise et digérée par les yeux, peau, cheveux, poils de nez et les oreilles et doit être consommé pendant au moins 30 minutes par jour.
Les légumes, ainsi que les algues séchés au soleil contiennent des quantités élevées de vitamine D etde nombreuses vitamines du groupe B et de l’iode. Les légumes à feuilles vert foncé sont extrêmement nourrissants pour la glande pinéale. Cette glande absorbe les propriétés de la couleur verte des légumes et les distribue à des systèmes appropriés de l’organisme afin que le corps soit bien nourri.
Les bons aliments peuvent influer positivement sur votre glande pinéale, mais vous pouvez également activer votre glande pinéale en mangeant plus d’aliments crus, ou en achetant une machine à ozone pour votre maison qui aidera à la purification de l’air ambiant.
La sérotonine
Autant que la glande pinéale besoin de lumière, elle doit également produire de la sérotonine suffisante pour être activée afin qu’elle puisse augmenter sa conscience psychique. Or, la sérotonine est produite lorsque le cerveau est endormi. Il est donc conseillé de dormir dans une chambre très sombre, car c’est extrêmement nourrissant pour la pinéale…
Un déséquilibre de sérotonine peut provoquer un état anxieux, et un goût excessif pour le sucré.
Pour synthétiser de la sérotonine, nous avons besoin d’un acide aminé de l’alimentation, le tryptophane. Nos cellules nerveuses le transforment en sérotonine. Plus il y en a, plus les neurones produisent de sérotonine. Mais pour des raisons d’ordre génétique, ou parce que l’alimentation n’apporte pas toujours suffisamment de tryptophane, la synthèse de sérotonine peut être insuffisante, entraînant une dépendance vis-à-vis du sucré, qui toucherait une personne sur trois. Ceci se traduit par de l’irritabilité voire de l’agressivité, des états de déprime, des difficultés à trouver le sommeil, et une attirance excessive pour le sucré qui toucherait une personne sur trois.
Les aliments riches en tryptophane sont souvent associés à des graisses, les femmes ont tendance à les écarter spontanément de leur régime. Elles ont aussi tendance à diminuer les calories qu’elles ingèrent. Cela n’est pas une solution.
Les aliments qui produisent naturellement la sérotonine sont:
Les amandes, les bananes, les piments, le riz, les pommes de terre, les aubergines, les avocats, les haricots, les lentilles, et certains fruits comme les tomates, les dattes, les noix et les prunes mais aussi les acides gras de la famille Oméga 3 qui facilitent l’action de la sérotonine au niveau cellulaire. On les trouve dans les huiles de colza, de lin, de canola, de noix,dans les graines de lin et de chanvre et aussi les poissons gras (maquereau, sardine, saumon).
Ce qu’il faut éviter: Les boissons gazeuses en général.
Consommer des produits animaux, les viandes surtout et le poisson, possèdent souvent des quantités élevées de mercure…
En conclusion
Pour finir brièvement sur la glande pinéale, celle-ci semble être notre lien avec l’univers, la « matrice », le « champs » comme le nommait Einstein, ce champs qui fait de nous ce que nous sommes : UN.
C’est d’ailleurs à travers cette glande pinéale que nous allons chercher nos souvenirs. Nous découvrons ainsi que notre mémoire n’est pas située dans notre cerveau ! Mais que celui-ci n’est qu’un récepteur telle une antenne radio très perfectionnée qui va chercher (entre autres) nos souvenirs, dans le « champs ». Ce champs, cette map universelle qui nous lie tous les uns les autres…Le WEB morphogénétique ….
L’homme est donc capable d’intéragir avec ce champs à de nombreuses occasions : télépathie, télékynésie…
La théorie de Gregg Braden veut que nous ne sommes pas (comme il était considéré jusqu’à présent) juste des observateurs des évènements qui surgissent dans nos vies, comme si le destin l’avait décidé pour nous, mais que la perception que nous avons, avec notre vue, notre toucher, notre goût, notre odorat ou notre ouïe n’est que la perception du monde que nous avons décider d’ériger devant nous. Nous devenons donc des « participateurs ».
http://fr.wikipedia.org/wiki/Glande_pin%C3%A9ale
http://www.elishean.fr/?p=16790
Le miel est la substance sucrée produite par les abeilles à partir du nectar des fleurs ou du miellat de pucerons qu'elles récoltent et entreposent dans les alvéoles de la ruche. Il est issu d'abeilles domestiquées élevées en ruches, ou d'abeilles sauvages (on parle alors de miel sauvage)
Une consommation régulière de miel (environ 40 gr par jour) renforce l'organisme et aide à compenser les carences alimentaires.
A ses facultés générales, chaque miel allie les vertus médicinales de la fleur dominante dont il provient. Il existe donc des miels spécifiques préconisés pour différentes maladies. Les quantités que l'on conseille d'absorber sont, en général, de 1 à 2 grammes de miel par kilogramme de poids (pour une personne pesant 60 kg : 60 à 120 g de miel).
QU'EST CE QUE LE MIEL DE DARMOUS?
Le miel d’euphorbe, aussi appelé Darmouss,est un miel produit exclusivement à partir des fleurs d’euphorbe qui est une plante endémique poussant dans le Souss sud marocain.
Butiné sur la plante d’euphorbe cactoïde, plante étonnante dont les racines s’enfoncent dans la roche. Le miel d’euphorbe est caractérisé par une saveur âcre. Il est recherché pour ses vertus médicamenteuses en tant que tonifiant et réchauffant. Ce miel est également très efficace pour soigner les maux de gorge.
le miel d’euphorbe est très apprécié des connaisseurs pour son goût épicé, piquant, qui vient transformer toutes les préparations culinaires d’une façon corsée et originale. Tout un Maroc inattendu est dans le miel d’euphorbe.
Les bienfaits du miel Darmouss
Le goût âcre du Miel de Darmouss chauffe la gorge et les articulations, le corps, il est reconnu pour ses vertus thérapeutiques, et est très prisé par les connaisseurs. Il est recommandé entre autres dans le traitement de l’asthme allergique, des maladies cardio-vasculaires et de l’hypertension
Il est recherché par les personnes souffrant :
- d’asthme allergique
- de maladies cardio-vasculaires
- d’hypertension
- d’impuissance sexuelle
- de maladies d’infertilité
Ce miel influe sur la revitalisation et l’organisation de l’appareil génital des hommes et
des femmes.
Il peut être utiliser sur la peau, il est hydratant, nourrissant et il apaise les peaux sensibles.
ASTUCES SANTE
Maladies vasculaires
Vous avez besoin :
- 1 à 2 cuillière à soupe Miel de darmous (cactus)
- Canelle en poudre
Faites une pate de miel / canelle.
Appliquez sur du pain pour le petit déjeuner pour remplacer votre confiture / beurre.
Excellent pour réduire le cholestérol et renforcer les capacités cardiaques
Revitalise les artères et les veines
ASTUCEs BEAUTE
Masque nourissant pour peau sèche
Vous avez besoin :
- 1 gommage à l’amande
- 1 cuillière à soupe de Miel darmouss (cactus)
- 1 jaune d’oeuf
Humidifiez votre visage, prenez une noisette de gommage, massez en mouvements circulaires en évitant le contour des yeux, puis rincez.
Mélangez 1 cuillère à soupe de miel avec 1 œuf.
Appliquez le masque et laissez poser 10 minutes
Rincez. renouvelez une fois par semaine
http://www.hijama-specialiste.fr/products/miel-du-desert/
http://maktaba-tawhid.fr/Blog/miel-darmous-cactus-proprietes-et-astuces/
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité