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Articles de islamiates

Quatre graisses bonnes et peu connues

Les bonnes graisses protègent contre les maladies cardiaques en diminuant le niveau d'inflammation et la pression sanguine. Mais le plus beau est qu'augmenter votre consommation de ces graisses augmentera votre capacité à brûler les graisses que vous stockez.

Vous savez évidemment que l'huile d'olive est bonne pour vous. Mais il y en a d'autres qui sont encore meilleures, et dont vous n'avez probablement jamais entendu parler.

Alors voici ces cinq huiles alternatives qui ajouteront une nouvelle dimension à votre cuisine, et des années à votre vie.

Le Ghee (ou ghi)


Ghee (prononcer ji) vient d'un mot hindou qui signifie « graisse », et c'est un ingrédient majeur dans la cuisine indienne.

Le ghee est préparé en faisant mijoter du beurre non salé dans un grand pot jusqu'à ce que toute l'eau se soit évaporée et que les protéines aient sédimenté au fond. Le beurre clarifié est ensuite retiré à la cuillère pour éviter de le mélanger avec les particules solides. À la différence du beurre, le ghee peut être conservé durant de longues périodes sans réfrigération du moment qu'il est stocké dans un conteneur étanche pour éviter l'oxydation et les moisissures. Il a un léger goût de noisette, et est un peu plus foncé que le beurre.

Attention, il existe une imitation de ghee utilisée dans certains restaurants indiens, qui est faite à base d'huile végétale hydrogénée. Ce « beurre clarifié végétal » est très riche en acides gras trans qui augmentent le risque de cancers et d’infarctus, et doit être évité à tout prix.

Les recherches montrent que le ghee a des effets positifs sur les lipides sanguins [1]. Il réduit l'inflammation. Une étude menée dans les populations rurales du Rajasthan a constaté que les hommes qui mangent deux cuillères à soupe par jour de ghee diminuent leur risque cardiaque de 23 % [2].

Bien que le ghee ne soit pas un produit de grande consommation, il n'est pas très difficile à trouver en boutique de produits exotiques et en boutique bio. On peut aussi le fabriquer soi-même et le commander en ligne. Une simple recherche avec les mots clés « acheter du ghee » fera apparaître de nombreuses offres.

L'huile d'avocat


L'huile d'avocat est, comme l'huile d'olive, très riche en acides gras mono-insaturés.

Sa particularité, cependant, est d'être beaucoup plus riche que l'huile d'olive en oméga-7 (acide palmitoléique) et contient plus d'oméga-3 (0,95 g pour 100 g).

Très riche en vitamine E, qui est l'antioxydant naturel des huiles végétales, elle est très résistante à l'oxydation, se conserve extrêmement bien et montre une très bonne stabilité face à la cuisson. Le point de fumée (température à laquelle une huile se dégrade et produit des composés toxiques) est supérieur à 250°C, ce qui en fait une des huiles les plus résistantes qui soient.

Toutefois, l'utiliser crue reste la meilleure façon de préserver ses nutriments. Vous pouvez trouver de l'huile extra-vierge d'avocat, pressée à froid et biologique, en ligne ou dans votre magasin bio.

Huile MCT


L'huile MCT est une huile liquide à base d'acides gras à chaîne moyenne (MCT = Medium Chain Triglycerides). Ce sont les graisses que notre corps consomme pour fournir de l'énergie.

Si vous suivez un régime cétogène pour lutter contre un cancer, l'huile MCT aide votre corps à passer en mode de cétose. Cela veut dire qu'il utilise les acides gras, et non le glucose, comme source d'énergie. Le résultat est que les cellules cancéreuses ont plus de difficultés pour survivre. Ceci parce qu'elles ont l'habitude de fonctionner en mode de fermentation, ce qui n'est possible qu'avec le glucose.

A noter que l'huile MCT est aussi vendue en pharmacie pour les personnes qui ont des maladies qui les empêchent de bien absorber les lipides, comme la mucoviscidose et les maladies chroniques du foie.

Vous ne trouverez pas d'huile MCT dans la plupart des magasins. Il faut commencer par la consommer en petite quantité. Elle a un effet laxatif. Essayez d'en mettre un peu avec votre salade pour commencer. (la suite ci-dessous)

L'huile de macadamia

C'est ma préférée. L'huile de macadamia a une odeur délicate qui relève délicieusement les assaisonnements et les sauces. Elle résiste aussi à l'oxydation liée à la chaleur. Vous pouvez donc l'utiliser dans la poêle comme dans la cuisine.

Comme l'huile d'avocat, elle a une très forte teneur en acide gras mono-insaturés, supérieure à l'huile d'olive, et est extrêmement stable. Elle a aussi un goût plus neutre. En revanche elle coûte plus cher.

Essayez d'ajouter un ou plusieurs de ces produits gras à votre régime alimentaire. Cela peut vous apporter des bienfaits pour le cœur et pour les papilles, car il est important de savoir varier les plaisirs, surtout quand on mange sain.

A votre santé !

L'hypnose entre la science et la religion

Au départ, l'hypnose est une méthode mise au point en psychiatrie. En court-circuitant les processus mentaux, elle permet théoriquement d'atteindre plus facilement l'inconscient. Cela peut permettre de faire ressurgir certains problèmes ou traumatismes liés à l'enfance. Mais comment cela fonctionne-t-il ?
Quelles sont les différentes techniques d'hypnose ?
Il existe deux écoles complémentaires. La première, traditionnelle est basée sur la suggestion. La personne face à l'hypnotiseur subit des injonctions verbales, visuelles et corporelles. Pratiquée jusqu'à Freud, cette technique part du postulat suivant : si l'on suggère à un patient de guérir, il peut guérir. Aujourd'hui encore, les hypnotiseurs de spectacle qui s'amusent à endormir une salle entière, relèvent de cette école.
La deuxième, l'hypnose Ericksonienne, sollicite la participation active du patient. Il s'agit plus d'un état de profonde relaxation, pendant lequel le patient va pouvoir s'exprimer librement. Le thérapeute utilise des métaphores, c'est-à-dire un langage symbolique, pour guider l'inconscient du sujet et l'amener à trouver lui-même les solutions à ses problèmes.

L'hypnose en science

Pendant deux siècles, l'hypnose a été pratiquée en se heurtant continuellement au scepticisme des cercles scientifiques. Aujourd'hui, le cerveau se laisse ausculter en temps réel et l'hypnose devient un objet d'étude légitime en même temps qu'une pratique thérapeuthique.

Vers la fin des années 1980 est apparue la tomographie par émission de positrons (TEP), une technique d'imagerie qui permet d'observer le cerveau en activité par le biais des variations locales du débit sanguin. On pouvait donner une tâche précise au sujet (effectuer un calcul, chanter une chanson) et voir quelles zones du cerveau s'activaient. On pouvait aussi comparer le fonctionnement du cerveau normal à celui du cerveau sous hypnose. En 1995, l'équipe du CHU de Liège lance une étude sur la perception de la douleur et obtient des résultats intéressants : la réponse au même stimulus douloureux n'est pas la même lorsque le cerveau est sous hypnose ou non (4). Et cette fois, les évaluations commencent à prendre une allure objective, car ce n'est plus le sujet qui parle, mais son cerveau, directement. Une équipe de Montréal menée par Pierre Rainville (5) montre que l'hypnose peut agir sur deux aspects distincts de la douleur : la sensation ou l'émotion. Ces deux composantes coexistent dans tout stimulus douloureux : un caillou dans la chaussure fait mal mais n'inquiète guère, tandis qu'une douleur au ventre ou dans la poitrine, même modérée, peut être très anxiogène. Sous hypnose, tout en maintenant une stimulation constante (au moyen d'une sonde thermique à 47 °C par exemple), on peut suggérer que l'intensité de la douleur s'accroît, mais pas son ressenti émotionnel, ou bien l'inverse. Dans les deux cas, la douleur augmente, mais ce ne sont pas les mêmes zones du cerveau qui s'activent. Autrement dit, les composantes sensorielle et affective de la douleur sont dissociables, tant sur le plan subjectif que sur le plan neurologique.

Ces premiers résultats ont permis d'asseoir une crédibilité scientifique pour l'hypnose. Depuis lors, des centaines d'études ont été menées, tant dans le domaine clinique que dans le domaine des sciences cognitives.

L'hypnose en Islam

1- Certaines fatwas qui ont été émises au sujet du jugement de l'hypnotisme, ont été émises selon des pratiques qui ne sont pas correctes et qui n'entrent pas dans l'appellation de l'hypnotisme ; parce que parler des choses de l'invisible et utiliser les djinns, sont des choses désapprouvées par ceux qui pratiquent l'hypnotisme parmi les docteurs et les spécialistes.

2- L'hypnotisme fait partie d'un domaine scientifique bien connu, et son rôle dans le traitement est connu, et il a des règles et des bases.

3- L'hypnotisme est utilisé pour convaincre le malade du traitement qu'il refusait dans ses conditions normales. Et il est utilisé aussi pour former une nouvelle conviction positive chez le malade afin qu'il surmonte ses convictions négatives.

4- Certaines pratiques se sont mélangées à l'hypnotisme lors de l'exécution, et ces pratiques renferment des choses interdites, c'est la raison pour laquelle les gens ont pensé que l'hypnotisme est interdit ; mais l'interdiction est venue de ces pratiques et non pas de l'hypnotisme, comme cela se produit au cirque avec l'utilisation de la sorcellerie et du charlatanisme.

6- Etant donné que l'hypnotisme est un genre de traitement, il peut être alors utilisé dans le bien, tout comme il peut être utilisé dans le mal ; donc, convaincre une personne d'une certaine idée [pensée], dépend de la légalité de cette idée ou de l'illégalité de cette idée ; alors si l'idée est bonne, il est permis de faire le traitement, et si elle ne l'est pas, le traitement n'est pas permis.

Dr Abderrahmaane ibn Ahmed Al-Djour'î

http://www.scienceshumaines.com/l-hypnose-le-therapeute-et-la-science_fr_14723.html

  • e6un7

Pourquoi visiter les cimetières le vendredi en particulier?

 

La visite des tombes est recommandée pour les hommes.

En effet, Ahmad, Muslim et les auteurs des Sunans ont rapporté d'après 'Abdallâh Ibn Burayda :

Le Messager de Dieu a dit :

"Je vous avais déconseillé de visiter les tombes, visitez-les désormais, car elles vous rappelleront l'Au-delà."

L'interdiction était due au fait que la période antéislamqie était encore proche et les habitudes de cette époque toujours présentes chez les gens. A ce moment-là les gens ne s'abstenaient pas du langage inconvenant et grossier; cependant quand il se sont convertis à l'Islam et ils ont connu ses principes, le Législateur leur a permis de les visiter.

On rapporte d'après Abu Hurayra :

"Le Prophète visita la tombe de sa mère et pleura tant que les présents se mirent à pleurer avec lui. Puis il dit : « J'ai demandé à mon Seigneur qu'Il m'autorise à invoquer pour elle le Pardon, mais Il me l'a refusé; je Lui ai demandé de m'autoriser à visiter sa tombe et Il me l'a accordé; visitez donc les tombes, car elles vous rappelleront la mort.»" [ Rapporté par Ahmad, Muslim, Abû Dâwûd, An-Nasa'i et ibn Mâja.]

Quel est l'avis religieux sur le fait de visiter les cimetières le vendredi en particulier?

Il n'y a pas d'origine à cela. Ce qui est légiféré, c'est la visite des tombes à n'importe quel moment accommodant le visiteur, que ce soit la nuit ou la journée. Quand au fait de définir un jour particulier ou une nuit particulière est une innovation dans la religion qui n'a pas d'origine, selon cette parole du Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam): " Celui qui innovera dans notre religion des choses qui n'en font pas partie, qu'on le lui rejette", rapporté par Al-Boukhârî et Mouslim; selon cette parole du Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam): "Tout acte non conforme a nos enseignements est à rejeter" rapporté par Mouslim dans son Sahîh d'après 'A'icha(Qu'Allah soit satisfait d'elle). Fatwa de cheikh Ben Baz tirée de son recueil de fatwa: Tome 13, page 336

http://sajidine.com/fiq/funeraille/visite_tombe.htm

http://www.salat-janaza.com/

  • e6un7

Notre vécu change l'anatomie du cerveau

On croyait dur comme fer jusqu'à récemment que le cerveau était immuable. Même aujourd'hui, selon la croyance populaire, des modifications du cerveau ne sont possibles que par des interventions médicales ou pharmaceutiques. Or, ce n'est pas comme cela que le cerveau fonctionne. Plutôt, le vécu de chaque personne engendre des changements continuels dans l'anatomie de son cerveau tout au long de sa vie, formant ainsi ses habiletés particulières ainsi que son caractère. Le réseau des neurones est en perpétuel réarrangement, autant relativement aux microchangements des neurotransmetteurs qu'aux grandes bases intégratives reliées à l'intelligence.

On découvre de plus en plus de liens entre la souffrance morale et le fonctionnement du cerveau. On sait maintenant que des manifestations purement biologiques au cerveau peuvent être modifiées par des expériences exclusivement humaines comme la psychothérapie, par exemple, sans aucune intervention chimique. Ainsi, la psychothérapie à elle seule peut modifier le fonctionnement du cerveau de façon permanente.

Le psychiatre Kandel (Prix Nobel 1998) a démontré la plasticité du cerveau. Par exemple, des images scannées du cerveau de musiciens témoignent de différences faisant suite à leur pratique d'instruments de musique. Leur cerveau «musical» s'est développé à la suite de leurs répétitions avec leurs instruments de musique et non à cause de gènes précis. Autres exemples : les neurones de rats élevés dans des environnements plus stimulants sont beaucoup plus branchés. Ces environnements rehaussés stimulent les rats au point que leur cerveau s'en trouve amélioré. Chez les humains, le nombre de dendrites neurales du centre du langage dans le cerveau est proportionnel au degré de scolarité d'un individu.

Pour bien comprendre, il faut savoir que le cerveau est constitué de neurones, environ cent milliards, qui établissent entre eux des connexions tout au long de la vie. Chaque neurone a une moyenne de 10 000 connexions qui le relient à d'autres neurones. Ce qui porte à environ un million de milliards de connexions dans le cerveau, faisant ainsi du cerveau la structure la plus complexe de la Terre. La connexion de chaque neurone se fait par l'émission de petites impulsions électriques qui déclenchent une substance chimique appelée neurotransmetteur, laquelle rejoint un autre neurone de cette façon, et il s'enclenche ainsi une série de répercussions sur une multitude d'autres neurones tous interconnectés. Ainsi, un seul neurone peut influencer une moyenne de 10 000 neurones à l'autre bout du processus lors de l'envoi d'un seul message. Le cerveau se forge de cette manière.

Or, savez-vous que les contacts interpersonnels sont parmi les principales causes de connexions des neurones? Dans son livre The Developing Mind, le psychiatre Daniel Siegel explique comment l'esprit d'une personne émerge de l'activité de son cerveau, dont la structure biologique est formée par ses relations interpersonnelles dès le début de sa vie et tout au cours de sa vie. Ce qui fait dire à Siegel que «les connexions humaines forment les connexions des neurones». En effet, le vécu interpersonnel altère à la fois l'activité et la structure des connexions entre les neurones, formant ainsi les divers circuits responsables des divers processus du cerveau comme la mémoire, les émotions, la conscience de soi, etc.

Je fais le lien avec la dépression. Malheureusement, celle-ci est encore très mal comprise. On est porté à blâmer le cerveau ou les gènes, alors que les réelles explications relèvent de notre vécu et du sens que nous donnons à ce vécu. Il y a des échanges bidirectionnels constants entre notre cerveau, notre organisme et notre vécu. Ainsi, le calme ressenti à la vue d'un beau point de vue du fleuve Saint-Laurent s'accompagne d'un accroissement de l'amplitude des ondes alpha dans le cerveau. Autrement dit, le cerveau réagit en fonction de notre vécu. Nous ne sommes pas à la merci de la «mécanique biologique» de notre cerveau, puisqu'au contraire, nous agissons et notre cerveau se modifie en conséquence.

Les personnes en dépression ne sont pas les esclaves de leur cerveau détraqué qu'il faudrait remettre sur les rails nécessairement de façon chimique. Notre cerveau est en constante adaptation, et ceci en fonction de notre vécu, sans apport chimique externe. Le corps et l'esprit sont intimement liés. Des répercussions physiques se manifestent automatiquement à la suite de nos émotions, mais de façon temporaire, et vice versa. Dans le cas d'une dépression typique, il s'agit de changements normaux, mineurs et temporaires et non de pathologies graves du cerveau.

En résumé, ce que nous vivons au jour le jour change l'anatomie de notre cerveau. Notre personnalité est donc le fruit de l'interaction active entre notre bagage héréditaire et notre expérience concrète de la vie.

http://www.lapresse.ca/le-soleil/vivre-ici/coin-du-psy/201306/01/01-4656803-notre-vecu-change-lanatomie-du-cerveau.php

  • e6un7

Pourquoi visiter les cimetières le vendredi en particulier?

I

l n'y a pas d'origine à cela. Ce qui est légiféré, c'est la visite des tombes à n'importe quel moment accommodant le visiteur, que ce soit la nuit ou la journée. Quand au fait de définir un jour particulier ou une nuit particulière est une innovation dans la religion qui n'a pas d'origine, selon cette parole du Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam): " Celui qui innovera dans notre religion des choses qui n'en font pas partie, qu'on le lui rejette", rapporté par Al-Boukhârî et Mouslim; selon cette parole du Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam): "Tout acte non conforme a nos enseignements est à rejeter" rapporté par Mouslim dans son Sahîh d'après 'A'icha(Qu'Allah soit satisfait d'elle). Fatwa de cheikh Ben Baz tirée de son recueil de fatwa: Tome 13, page 336

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