سبحانك اللهم و بحمدك أشهد أن لا إله إلا أنت أستغفرك و أتوب إليك
Et dans votre propre création, et dans ce qu’Il dissémine comme animaux, il y a des signes pour des gens qui croient avec certitude. (Coran, 45 : 4)
La thermorégulation est le mécanisme qui permet à un organisme de conserver une température constante. Elle est le résultat de production et de déperdition de chaleur. On distingue les organismes homéothermes des poïkilothermes. Les poïkilothermes sont des organismes dont la température interne n'est pas constante. La thermorégulation se fait par la thermolyse (perte de chaleur) et la thermogenèse (production de chaleur).
Les animaux poïkilothermes (ou à « sang froid ») sont des animaux ayant une température corporelle qui varie. Par cette caractéristique, ils diffèrent et s'opposent auxhoméothermes qui ont une température interne relativement stable. Ils ne sont pas à confondre avec les hétérothermes qui sont des homéothermes dont la température corporelle habituellement stable, varie dans certains cas (les animaux qui hibernent, les nourrissons dont la température corporelle n'est pas encore stable, etc.)
La plupart des organismes poïkilothermes (qui ne contrôlent pas leur température corporelle) sont également ectothermes(c'est-à-dire que leur chaleur corporelle provient de l'extérieur). Il existe toutefois des cas particuliers, et il est nécessaire de rappeler que poïkilotherme et ectotherme ne sont pas synonymes.
Cette non-maîtrise de leur température interne les empêche d'avoir une activité « normale » lors des périodes froides, mais c'est une caractéristique beaucoup plus économe en énergie que leshoméothermes. Les deux types ont survécu car ils sont caractéristiques de modes de vie différents, même si on considère que l'homéothermie est un caractère évolué.
Les animaux à sang froid font référence à 3 principaux mécanismes dethermorégulation.
L'exothermie : les animaux contrôlent la température de leur corps grâce à des moyens externes (se mettre au soleil, par exemple).
La poïkilothermie : la température de ces animaux varie, souvent en fonction de la température ambiante de l'environnement immédiat.
Le bradymétabolisme : le métabolisme au repos est bas (p.e. en cas de conditions hivernales extrêmes, ou par manque de nourriture) ; ces animaux peuvent "sombrer" dans des états proches de la mort, jusqu'au retour de conditions favorables (comme pour l'hibernation).
Très peu d'animaux possèdent seulement l'une de ces 3 caractéristiques ; la plupart utilisent une combinaison de ces 3 aspects de thermophysiologie (avec leurs contreparties : endothermie, homéothermie et tachymétabolisme), pour couvrir un large spectre de tous les types de températures corporelles.
Différentes stratégies de contrôle de température incluent :
Les serpents et les lézards, profitant du soleil sur des rochers
Les poissons, changeant de profondeur en fonction de la température de l'eau
Les animaux du désert, tirant profit du sable pendant la journée
Les insectes, réchauffant les muscles de leurs ailes en produisant des vibrations
Souvent, les poïkilothermes ont un métabolisme plus complexe que les homéothermes. Pour une réaction chimique importante, ils peuvent en effet avoir des systèmes de 4 à 10enzymes, qui opèrent à différents niveaux de températures. En conséquence, les poïkilothermes ont souvent des génomes plus complexes que leur homologues homéothermes dans une même niche écologique. Un bon exemple est la grenouille, ainsi que le crapaud.
Dans toutes les sociétés, la mort d'un proche est signifiée par le port du costume de deuil . Le deuil est entendu au sens large : « Espèce particulière d'habit pour marquer la tristesse qu'on a dans des occasions fâcheuses, surtout dans des funérailles. » Si les modalités de l'expression du deuil varient selon les cultures, quelques constantes se retrouvent : le bannissement des couleurs vives, le retrait temporaire des manifestations de la vie sociale et la plus grande rigueur dans le respect du deuil imposé aux femmes, à la fois dans sa durée et dans le costume.
La diversité des mœurs et des usages suivis par les différentes sociétés émerveille. Ils relèvent que le blanc domine en Orient, mais aussi à Rome, à Sparte, en Castille et dans quantités d'autres régions d'Europe. Les reines de France portent le deuil en blanc jusqu'au XVIe siècle : Marie Stuart, Élisabeth d'Autriche et Louise de Lorraine sont les dernières reines blanches ; Anne de Bretagne aurait été la première reine à porter le deuil en noir, imitée par Catherine de Médicis puis par Marie de Médicis et Anne d'Autriche. La dernière souveraine à avoir porté le deuil blanc est la reine Élisabeth d'Angleterre, épouse de George VI : lors de sa visite officielle en France en 1938, après la mort de sa mère, elle porte des vêtements blancs. En outre, le blanc subsiste longtemps pour le deuil des jeunes filles et des enfants, parallèlement à la diffusion du noir. Quant aux rois de France et d'Angleterre, ils portent le deuil en violet ou en pourpre, couleurs royales, encore que Henri VIII ait choisi le blanc à la mort d'Anne Boleyn, qu'il avait fait exécuter.
La généralisation du noir aux XVIe et XVIIe siècles prend sa source à la cour de Bourgogne puis à celle des Habsbourg, qui en sont les héritiers. Cette austérité qui souligne la majesté du pouvoir est la marque de la domination espagnole en Europe...
Symbolique de la couleur Noire
Mort
Elégance
Deuil
Nuit
Silence
Noblesse
Distinction
Respect
Mystère
Angoisse
Le noir correspond à l’absence de lumière, donc de couleurs. Il symbolise, le néant, le mystère, les ténèbres et donc la mort.
Son association à la mort explique que le deuil, dans beaucoup de pays, se porte noir. Mais il est aussi lié à la respectabilité (magistrats, professeurs), à l’élégance sophistiquée, son omniprésence dans la mode en est la preuve. Il peut être perçu comme conventionnel et reste utilisé dans les occasions solennelles. Le noir s’associe avec bonheur à toutes les autres couleurs afin de créer un certain contraste, notamment avec les couleurs vives telles que le rouge ou encore le jaune. Association courue en signalétique pour sa bonne visibilité .
Le noir dans l’histoire et dans le monde : Le noir était associé au renoncement à la vanité du monde, d’où les manteaux noirs dans les costumes religieux chrétiens et musulmans Associé à la mort, aux ténèbres le noir ne symbolise le deuil en France que depuis son port par Anne de Bretagne, qui, à la mort de Charles VIII fut la première reine à le porter. Jusque là la couleur du deuil était le blanc (les reines blanches). Dans certains pays, les veuves s’habillent en noir pour le restant de leur vie.
En Inde, il est la pureté originelle : l’immortel est noir tandis que le mortel est blanc, c’est le soi universel opposé au moi individuel.
Les Chinois l’associent au Yin féminin, terrestre, instructif, maternel.
Plusieurs déesses mères sont noires : Diane d’Éphèse, Isis, Kali hindoue. Il existe de nombreuses vierges noires illustrant la moisson mariale française. Sur le Mont Palatin la Magna Mater était noire ainsi que la Ka’ba de la Mecque. C’est le symbolisme originel. Il est à la fois commencement et fin.
Chez les mystiques musulmans les étapes de la progression des Soufis vers la béatitude sont colorées et aboutissent au noir brillant précédant l’extase suprême ou l’éblouissement.
Symbolique de la couleur Blanche
Pureté,
Innocence,
Chasteté,
Richesse,
Silence,
Au-delà,
Vertu,
Bonté,
Fidélité
Couleur liée à la pureté et à l’innocence dans les pays d’Occident, elle signifie le deuil dans les pays d’Asie. Elle est souvent associée au jour et à la lumière, mais avant tout, le blanc sous-entend la virginité. Le blanc représente aussi la sagesse, il s’identifie avec la lumière intérieure dans beaucoup de religions. Couleur passe-partout, le blanc se marie parfaitement avec toutes les couleurs. Couleur fraîche et calme, le blanc peut également vous insuffler la paix et la relaxation.
Le blanc dans l’histoire et dans le monde
Le blanc est donc couleur de deuil à la cour de France jusqu’à la fin du XVIE siècle(les Reines blanches). C’est la couleur de la pureté, donc de la virginité (la mariée est vêtue de blanc), donc aussi de l’innocence (l’enfant que l’on baptise est vêtu de blanc).
De même pour les enterrements, les enfants sont conduits en terre sous un suaire blanc orné de fleurs blanches. Les religieuses novices sont habillées en blanc. Cette notion de passage et d’au-delà conduit les prêtres à se vêtir de blanc. Le pape porte des vêtements blancs. La pureté prend la couleur immaculée : c’est la Vierge de l’immaculée Conception vêtue de blanc. Jésus apparaît aux disciples vêtu de blanc.
Le blanc est aussi le secret correspondant à la lumière intérieure chez les Soufis, se rattachant au for intérieur de l’être représenté par Moïse.
Le côté maléfique du blanc est donc relatif au deuil ancien, alors que les animaux blancs étaient réservés aux sacrifices : moutons, taureaux, colombes…
L’éléphant blanc est sacré en Thaïlande et réservé au roi.
Le blanc, est réputé porter chance. Naguère les enfants royaux étaient habillés de blanc pendant leur petite enfance (jusqu’à 7 ans).
En Inde, en Chine et au Japon le blanc symbolise la mort. Les Egyptiens enveloppaient les défunts dans un linceul blanc pour montrer que la mort délivre l’âme pure de son enveloppe charnelle périssable.
Chez les Hébreux, la tunique de lin blanc représentait la pureté du Sacrificateur et la justice divine.
A Rome, le blanc était la couleur des vestales (prêtresses qui étaient brûlées vives lorsqu’elles manquaient à leur vœux de chasteté…). C’était aussi le couleur des druides, des initiés…
La question de savoir s’il existe une vie après la mort n’est pas du ressort de la science, dans la mesure où la science se préoccupe uniquement de classifier et d’analyser des données sensorielles. En outre, l’homme ne s’occupe de recherche scientifique, au sens moderne, que depuis quelques siècles, alors qu’il connaît le concept de la vie après la mort depuis des temps immémoriaux. Tous les prophètes envoyés par Dieu ont appelé leurs peuples à adorer Dieu et à croire en la vie après la mort. Ils insistèrent tant sur cette croyance que le moindre doute à ce sujet signifiait nier l’existence de Dieu et rendait toutes les autres croyances sans fondement. Le fait même que tous les prophètes, envoyés par Dieu, aient traité cette question métaphysique avec autant de confiance et d’unanimité, à des milliers d’années de distance les uns des autres, tend à prouver que la source de leur connaissance de la vie après la mort, telle qu’ils la proclament tous, est la même, c’est-à-dire la révélation Divine. Nous savons aussi que ces problèmes étaient très contestés par leurs peuples et tout particulièrement sur la question de la vie éternelle car les gens pensaient que cela ne pouvait exister. En dépit de cette opposition, les prophètes conquirent, quand même, une multitude d’adeptes sincères. La question est de savoir ce qui amena ces adeptes à renoncer aux croyances établies, aux traditions et aux coutumes de leurs ancêtres, au risque de s’aliéner leur propre communauté. La réponse est simple: Ils firent appel à leur raison et à leur cœur et comprirent où était la vérité. Ont-ils perçu la vérité par leur conscience perceptive? Certainement pas, puisqu’il est impossible d’exprimer la vie après la mort.
En réalité, Dieu a pourvu l’homme d’une conscience rationnelle, esthétique et morale en plus de sa conscience perceptive. Cette conscience guide l’homme au milieu de réalités qui ne peuvent être vérifiées par le sens. C’est pour cette raison que les prophètes lorsqu’ils appellent les hommes à croire en Dieu et à l’existence d’une vie après la mort, font appel à la conscience esthétique, morale et rationnelle de l’homme. Ainsi par exemple, lorsque les idolâtres de la Mecque niaient jusqu’à la possibilité d’une vie après la mort, le Coran démontra la faiblesse de leur position par des arguments logiques et rationnels: “Il pensa donner un exemple de Notre incapacité, oubliant sa propre création, et dit: Qui fait revivre les ossements une fois réduits en poussière? Dis: Celui qui les a créés une première fois les fera revivre et il se connaît parfaitement en toute création. Lui qui a fait pour vous du feu à partir des arbres verts et voilà que c’est de ce feu que vous allumez (vos brasiers). Celui qui a créé les cieux et la terre, serait-Il incapable de créer leur pareil? Bien sûr que si! Et Il est Le Créateur par excellence et L’Omniscient.” (S. 36, V. 78-81)
Ailleurs, le Coran dit clairement que les incroyants n’ont pas d’arguments solides pour nier la vie après la mort, que cela est basé sur des conjectures: “Ils disent: Il ne s’agit que de notre vie ici-bas. Nous mourons et nous venons à la vie et seul le temps qui passe nous fait périr. Ils n’ont de cela aucune science mais ne font que conjecturer. Quand on leur récite nos versets bien clairs leur seul argument est de dire: Faites venir nos ancêtres si ce que vous dites est vrai” (S. 45, V. 24-25).
Dieu ressuscitera tous les morts. Mais Dieu décide du déroulement des événements. un jour certain viendra où l’univers sera entièrement anéanti, après quoi les morts seront ressuscités pour comparaître devant Dieu. Ce jour sera le commencement de la vie éternelle, et ce jour là chacun sera récompensé par Dieu selon ses bonnes ou mauvaises actions.
L’explication donnée par le Coran à propos de la vie après la mort correspond à ce que notre simple conscience morale d’homme réclame. En réalité, si la vie après la mort n’existait pas, la croyance en Dieu, elle même, devient inutile, car, si l’on croit malgré tout en Dieu, il s’agirait alors d’un Dieu injuste et indifférent: après avoir créé l’homme, Il se désintéresserait du destin de celui-ci! Les criminels et les innocents connaitraient-ils le même sort? Or Dieu est juste. Il punit les tyrans dont les crimes sont innombrables: Ceux qui ont tué des centaines de personnes innocentes, corrompu leur société, réduit en esclavage nombre de gens afin de satisfaire leurs passions etc...Et grande sera la récompense des croyants.
La durée de la vie humaine est courte et ce monde physique n’est pas éternel; punir ou récompenser équitablement les mauvaises ou les bonnes actions n’est pas possible dans cette vie, où tout est périssable. Le Coran insiste beaucoup sur le fait que le Jour du Jugement doit venir et que Dieu décidera du destin de chaque âme en fonction de ses actions: “Ceux qui ont mécru dirent: L’Heure ne nous viendra pas, Dis: Oh que si, par mon Seigneur! Elle vous viendra, (par) Lui qui connait l’Inconnu! Rien ne Lui échappe dans les cieux et sur terre, pas même le poids d’un grain de poussière (d’un atome). Il n’est rien de plus petit ou de plus grand qui ne soit mentionné dans un Livre bien clair.” “Afin qu’Il récompense ceux qui auront cru et fait les bonnes ouvres. Pour ceux-là il y aura une absolution et des biens généreux.” “Ceux qui auront tout fait pour mettre Nos versets en défaut, ceux-là auront des tourments faits de supplices répugnants et douloureux.” (S. 34, V. 3-5) C’est le jour où les attributs de Justice et de Miséricorde de Dieu se manifesteront pleinement. Dieu sera miséricordieux envers ceux qui ont souffert pour Lui sur terre, car ils croyaient au bonheur éternel après la mort. Mais quant à ceux qui auront abusé de la générosité divine sans se soucier de l’au-delà, ils seront dans un état pitoyable. Le Coran fait la comparaison. “Est-ce que celui à qui Nous avons promis une bonne chose (le Paradis) et qu’il va sûrement trouver est similaire à celui à qui Nous avons accordé la jouissance de la vie ici-bas et qui sera ensuite, le jour de la résurrection, de ceux qu’on traînera (au châtiment)?” (S.28, V. 61) Le Coran dit également que la vie terrestre est une préparation à la vie éternelle. Mais ceux qui la nient sont esclaves de leurs passions et de leurs désirs, et se moquent des personnes vertueuses et croyantes. Ces personnes ne réalisent leur sottise qu’à l’heure de leur mort et désirent alors que leur soit laissée une dernière chance sur terre, mais en vain. L’état lamentable dans lequel ils se trouvent à l’heure de la mort, l’horreur du Jour du Jugement et le bonheur éternel promis aux croyants sincères sont merveilleusement décrits dans les versets suivants du Livre Sacré: “Dis: Seigneur! Si jamais Tu me montres ce qui leur est promis, alors Seigneur, ne me place pas parmi les gens injustes! Nous sommes parfaitement capable de te montrer ce que Nous leur promettons. Oppose à la malveillance la manière la plus douce. Nous savons parfaitement ce qu’ils décrivent. Et dis: Seigneur! Je me mets sous Ta protection contre les les incitations des démons. Et je cherche, Seigneur, Ta protection contre leur présence auprès de moi! Jusqu’à ce que la mort vienne à l’un d’eux. Il dit alors: Seigneur! retournez-moi (à la vie). Peut-être que je ferai quelque bonne œuvre de ce que j’ai laissé. Oh que non! Ce n’est là qu’une vaine parole qu’il prononce et derrière eux se trouve un barrage jusqu’au jour où ils seront ressuscités. Lorsqu’on soufflera dans la Trompe, ce jour-là il n’y aura plus entre eux aucun lien de parenté et ils ne s’interrogeront pas entre eux. Ceux dont les œuvres pèseront lourds, ceux-là sont les bienheureux. Ceux dont les œuvres seront légères, seront ceux qui ont ruiné leur propre âme et qui s’éterniseront en Enfer. Les flammes leur lèchent le visage et leurs lèvres s’y retroussent, découvrant leurs dents.” (S. 23, V. 93-104)
La foi en la vie éternelle ne garantit pas seulement la réussite dans l’Au-delà, elle donne la paix et le bonheur à ce monde en rendant les individus plus responsables et plus consciencieux dans toutes leurs actions.
Voyez la population de l’Arabie, avant la Révélation: le jeu, la boisson, les querelles entre tribus, les pillages et les meurtres étaient leurs principaux traits de caractère tant qu’ils ne croyaient pas en la vie éternelle. Dès qu’ils eurent accepté de croire en un Dieu Unique et en la Vie éternelle, ils devinrent la nation la plus disciplinée au monde. Ils abandonnèrent leurs vices, s’entraidèrent lorsqu’ils étaient dans le besoin et réglèrent leurs disputes avec justice et équité. De même, la négation de la Vie éternelle a des conséquences sur l’Au-delà tout comme dans ce bas monde. Lorsqu’une nation entière la nie, toutes sortes de maux et dépravations apparaissent dans la société et finissent par la détruire.
Le Coran parle de la fin terrible des `Ad, des Thamoud et du Pharaon en détail: “Les Thamoud et les `Ad n’ont pas cru au Jugement. Les Thamoud ont été anéantis par la foudre. Les `Ad ont été anéantis par un vent mugissant et impétueux que Dieu a utilisé entre eux pour tout dévaster durant sept nuits et huit jours. Tu aurais vu alors ce peuple renversé par terre comme des troncs évidés de palmiers. En aperçois-tu le moindre vestige? Pharaon, ceux qui vécurent avant lui et les cités renversées commirent des fautes: Ils désobéirent au Prophète de leur Seigneur et Dieu les emporta avec une force irrésistible, lorsque l’eau déborda, nous vous avons portés sur le vaisseau (l’Arche de Noé), afin que ceci devienne pour vous un rappel et qu’une oreille attentive le retienne.”
“Lorsqu’on sonnera une fois la trompette; lorsque la terre et les montages seront emportées et pulvérisées d’un seul coup, alors ce jour-là la terreur inéluctable surviendra, le ciel se fendra et restera béant ce jour-là. Celui qui recevra son livre dans la main droite dira: Voici...Lisez mon livre! Je savais que j’y trouverais mon Jugement. Il jouira d’une vie agréable dans un jardin situé très haut et dont les fruits sont à la portée de la main. Mangez et buvez en paix en récompense de ce que vous avez accompli dans les jours passés.” “Mais celui qui recevra son livre dans la main gauche dira: Malheur à moi!...Si on ne m’avait pas remis mon livre, je ne connaîtrais pas mon Jugement! Hélas!... Si seulement cette mort était définitive! Ma fortune ne m’a servi à rien et ma force a disparu!” (S. 69, V. 4-39)
Voici donc des raisons très convaincantes de croire en la Vie éternelle.
Premièrement, tous les Prophètes envoyés par Dieu ont appelé à y croire.
Deuxièmement, toute société humaine bâtie sur le principe de cette croyance est une société idéale et paisible, débarrassée de tous les maux sociaux et moraux.
Troisièmement, l’histoire témoigne du fait que chaque fois que cette croyance a été rejetée par une communauté, malgré les avertissements répétées du Prophète, la communauté toute entière a été punie par Dieu dans ce monde.
Quatrièmement, ses facultés morales, esthétiques et rationnelles font que l’homme est en mesure d’admettre la possibilité de l’existence de la vie après la mort.
Cinquièmement, les attributs divins de Miséricorde et de Justice n’ont aucun sens s’il n’y a pas de vie après la mort.
Il faut tout d'abord savoir que, d'après les sources musulmanes, les rêves sont de plusieurs types.
Le Prophète (sur lui la paix) a dit :"Le rêve est de trois sortes : - le rêve véridique ; - le rêve où l'homme converse avec son âme ; - et le rêve qui cause de l'effroi ("tahzîn"), provenant du diable" (rapporté par at-Tirmidhî, n° 2280).
1) "Le rêve où l'homme converse avec son âme" décrit ce que la psychanalyse contemporaine connaît bien : les messages du subconscient humain. L'homme voit en rêve ce qui, pendant l'état de veille, l'a marqué. L'homme voit également en rêve ce qu'il essaie de refouler, et ce genre de rêves peuvent lui révéler une part de ses désirs inavoués.
3) "Le rêve qui cause de l'effroi, provenant du diable" est le cauchemar. Il est provoqué, selon les mots du Prophète, par le démon, qui trouve là un moyen supplémentaire pour pouvoir troubler l'homme. On ne doit accorder, selon l'enseignement du Prophète, aucune importance à ce genre de rêves, et c'est pourquoi cela ne sert à rien de le raconter. Ainsi, à un homme venu lui raconter qu'il avait vu en rêve que sa tête s'en allait et qu'il essayait de la rattraper, le Prophète dit : "Lorsque le diable se joue de toi dans ton rêve, ne le raconte pas"(rapporté par Muslim, n° 2268). Si on fait de tels rêves, il faut entre autres demander à Dieu Sa protection contre le démon et ne le raconter à personne (rapporté par al-Bukhârî et Muslim).
Pour ces deux types de rêves (rêve purement psychique et cauchemar), il n'y a pas d'interprétation religieuse (ta'bîr) (Hujjat ullâh il-bâligha, tome 2 p. 531).
2) Seul "le rêve véridique" est sujet à interprétation religieuse. Ce type de rêve est constitué : - du rêve qui contient une indication venant réellement de Dieu, - du rêve prémonitoire, - du rêve télépathique, - etc. En aucun cas il ne s'agit de se fonder sur un rêve pour en vouloir à quelqu'un (parce qu'en rêve on aurait vu à son sujet quelque chose de déplaisant), ni pour établir ce qui est interdit, permis ou obligatoire (bref pas pour établir des règles – ahkâm). Prendre ce genre de rêve en compte veut dire que l'on peut en tenir compte dans la mesure où il nous donnerait une indication supplémentaire, dans tout cas ne contredisant aucun principe établi.
Le "rêve véridique" n'est pas synonyme de la bonne nouvelle ("bushrâ"). Il peut effectivement être une bonne nouvelle ("bushrâ") et être agréable. Mais constitue aussi un "rêve véridique" le rêve qui est vrai mais est déplaisant, parce qu'il constitue un avertissement venant de Dieu ("indhâr") ou un reproche ("mu'âtaba") (Fat'h ul-bârî, tome 12 p. 465). Le Prophète lui-même a vu un rêve véridique qui lui a été déplaisant (il s'agissait d'un événement futur ; il a raconté :"Alors que je dormais, (…), j'ai vu qu'on a placé devant moi deux bracelets en or ; cela m'a été déplaisant. On m'a donné la permission de souffler sur eux ; je l'ai fait et ils se sont envolés." Le Prophète a ensuite interprété ce rêve comme étant l'annonciation des deux imposteurs qui devaient apparaître de son vivant : l'un au Yémen et l'autre à al-Yamama (rapporté par al-Bukhârî, n° 4118). Mais même quand il est déplaisant, le rêve véridique reste différent du cauchemar (le type de rêve n° 3, plus haut évoqué), ce dernier ne constituant qu'une scène d'effroi et d'affliction, à l'exemple de ces rêves où le dormeur se voit en train d'essayer de fuir ou de hurler.
Comment l'islam explique-t-il les rêves prémonitoires ? Pendant le sommeil, l'âme se trouve dans un état différent de celui où elle se trouve pendant l'état de veille, conformément à ce que Dieu en a dit dans le Coran : "Dieu prend les âmes au moment de leur mort, ainsi que l'âme qui n'est pas morte pendant son sommeil. Il garde alors celle au sujet de laquelle Il a décrété la mort et renvoie l'autre jusqu'à un terme fixé..." (Coran). Après notre mort nous irons dans le monde de l'étape (al-barzakh), mais pour le moment, nous vivons dans le monde que nous connaissons (ad-dunyâ). Or Dieu a créé une dimension où les actions que l'on fait prennent forme et où ce qui va arriver dans ce monde y prend d'abord forme également. C'est ce que Shâh Waliyyullâh a nommé "'âlam ul-mithâl" ("le monde de la représentation") (Hujjat ullâh il-bâligha, tome 1 pp. 51-56). C'est bien pourquoi une fois, le Prophète Muhammad (sur lui la paix) à qui, Dieu montrait parfois en état de veille aussi certaines des choses de ce monde de la représentation, dit à ses Compagnons : "Voyez-vous ce que je vois ? Je vois les troubles (fitan) tomber dans vos maisons comme la pluie" (rapporté par al-Bukhârî et Muslim). Or, il arrive parfois à certaines personnes que leur âme, pendant leur sommeil, voit certaines de ces choses se déroulant dans ce monde de la représentation ("'âlam ul-mithâl"). C'est l'origine des rêves prémonitoires. Le Prophète a ainsi vu en rêve l'apparition des deux imposteurs (comme nous l'avons vu plus haut). Il a aussi vu un rêve, alors qu'il était encore à La Mecque, qu'il émigrerait vers une terre où se trouvaient des dattiers, mais il avait cru qu'il s'agissait de la ville de al-Yamâma ou de celle de Hajar ; les faits lui montrèrent ensuite qu'il était en fait question de la ville de Yathrib, celle qui devait ensuite s'appeler Médine (rapporté par al-Bukhârî et Muslim).
Un autre type de rêve véridique est celui où l'on voit la représentation d'un acte, vertueux ou mauvais. Il s'agit apparemment, ici encore, du fait que l'âme du dormeur a des aperçus de scène du monde de la représentation ("'âlam ul-mithâl"). Umm al-'Alâ vint ainsi raconter au Prophète qu'elle avait vu en rêve que 'Uthmân ibn Maz'ûn, décédé, avait une source qui coulait. Le Prophète dit : "C'est son action qui continue pour lui" (rapporté par al-Bukhârî, n° 6615). 'Uthmân avait fait un acte vertueux dont les effets continuent sur terre après la mort (voir Fat'h ul-bârî, commentaire de ce Hadîth). Le Prophète lui-même avait, un matin, raconté à ses Compagons avoir fait un rêve où il avait vu deux anges l'emmener avec eux et où, au cours d'un voyage, il avait vu différentes personnes subir différents types de punitions : il y avait celui qui, durant sa vie, prêtait à intérêt, celui qui, durant sa vie, faisait courir des rumeurs, etc. (rapporté par al-Bukhârî, n° 1320 etc.).
Interprétation des rêves. Nous avons déjà dit que seul le "rêve véridique" était à interpréter. L'interprétation des rêves est une science, et le Prophète a dit qu'il ne fallait pas interpréter les rêves n'importe comment (voir Fat'h ul-bârî, tome 12 pp. 539-541). L'interprétation repose sur la compréhension du symbolisme : quelle chose vue dans le rêve représente quelle chose ? Certains symbolismes sont universels, tandis que d'autres sont régionaux, liés aux cultures (voir Hujjat ullâh il-bâligha, tome 1 p. 263).
- Avertissement :
Que certains rêves soient véridiques ne devrait pas pousser des musulmans et musulmanes à accorder une importance excessive aux rêves ; il en est ainsi qui considèrent chacun de leurs rêves comme étant "véridique" (prémonitoire ou autre), qui vivent ainsi dans un monde quasi-virtuel et qui parfois s'angoissent pour des causes bien légères.
L’hibernation est un état d’hypothermie régulée, durant plusieurs jours ou semaines qui permet aux animaux de conserver leur énergie pendant l’hiver. Durant l’hibernation les animaux ralentissent leur métabolisme jusqu’à des niveaux très bas, avec la température de leurs corps et des taux respiratoires qui s’abaissent graduellement, et en utilisant les réserves de graisse du corps qui ont été stockées pendant les mois actifs. Un animal que certains considèrent à tort comme un hibernant est l’ours. En effet, bien que ses fréquences cardiaques ralentissent, la température corporelle de l’ours reste relativement stable et il peut être facilement réveillé. Il en est de même pour les blaireaux, les ratons laveurs et les opossums. Les ours sont des semi-hibernants, on parle alors d'hivernation.
De nombreux animaux hibernent pendant la saison froide. Marmottes, hamsters ou grenouille entrent en hibernation lorsque les conditions climatiques leur deviennent défavorables et que la nourriture se fait plus rare. Cachés au fond de leur terrier, ils ralentissent leur métabolisme et utilisent progressivement leurs graisses en attendant le retour de la belle saison.
Une équipe de chercheurs de l’université Duke aux États-Unis s’intéresse à un de nos cousins primates, le chirogale moyen, un petit lémurien de Madagascar lui aussi capable d’hiberner. Pendant 7 mois, lorsque les températures diminuent, il entre dans une torpeur en réajustant sa température interne avec la température extérieure afin de consommer un minimum d’énergie à se chauffer. Publiée dans la revue Plos one, leur étude montre qu’ils ne dorment pas complètement mais diminuent considérablement leur rythme cardiaque, celui-ci s’abaissant de 120 à 6 coups par minute.
Les hibernants obligatoires comme l'ours hibernent n’importe quand dès que la température extérieure est inférieure à 6 °C pendant 48 heures. Son aptitude à hiberner est meilleure en hiver, c’est-à-dire à partir du mois de septembre. Il suffit alors de 24 heures à moins de 20 °C pour que l'ours rentre en hibernation. Les hibernants saisonniers, par exemple le spermophile (écureuil américain), ne sont capables d’hiberner qu’entre mi-novembre et mi-février. En dehors de cette période, même si les conditions sont défavorables, l’animal n'hiberne pas.
Physiologie au cours de l’hibernation
La diminution de la température interne entraîne un ajustement des différentes fonctions. Le métabolisme diminue de 98 %. Il y a une diminution : de la consommation d’oxygène, du rythme respiratoire, du rythme cardiaque (de 350 à 3 battements par minute pour le spermophile, de 500 à 5 pour le lérot), du flux sanguin (il y a une irrigation particulière au niveau du cerveau, du cœur et du tissu adipeux), du taux d’hormones de croissance. Le système nerveux est réactionnel. Cependant, seules les aires cérébrales jouant un rôle dans les fonctions végétatives autonomes (comme la respiration) restent véritablement actives. Les autres régions ne montrent pas d'activité corticale spontanée. Mais l’animal réagit aux bruits, au toucher, etc. La diminution de la vitesse de circulation du sang nécessite un abaissement de sa coaguabilité pour éviter le risque de formation de caillot. Ceci se fait par une baisse du taux de plaquettes et des facteurs de la coagulation. Les périodes de sommeil sont caractérisées du point de vue respiratoire, par des bouffées de cycles respiratoires entrecoupées d'apnées prolongées (jusqu'à une heure chez le hérisson ou le lérot). Les faibles échanges gazeux au niveau des poumons contribuent à l'accumulation dans l'organisme de dioxyde de carbone dissout, ce qui acidifie le sang (on parle d'acidose respiratoire). Au cours de l’hibernation, il y a des réveils périodiques à des moments variables, mais très rares, et de plus en plus fréquents quand on arrive à la fin de l’hibernation. Le réveil dure quelques heures et correspond à une remontée de température rapide. Ceci pour tous les hibernants, avec une périodicité variable. Par exemple le hamster doré se réveille tous les 3 à 5 jours alors que le spermophile se réveille tous les 15 jours. Pendant ces réveils, l’animal tourne dans l’hibernaculum, mange, urine et se rendort. Des expériences d’ablation des neurones de l’hypothalamus ont montré une suppression de ces réveils et une mort de l’animal. Ces réveils sont donc fondamentaux, ils permettent notamment d’éliminer les déchets du métabolisme dont l’accumulation est très toxique. Ces réveils font intervenir la thermogenèse dite sans frisson, c’est-à-dire en utilisant le tissu adipeux brun. 90 % de la perte de poids pendant l’hibernation est due à ces phases de réveil. Il est remarquable que la zone CA3 du cerveau d'un animal en hibernation subisse les mêmes régressions synaptiques que le cerveau d'une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer. Mais chez l'hibernant, ces régressions sont réversibles et seraient le produit d'hyperphosphorylations de protéines tau produites par les cellules du cerveau (irréversible chez les malades d'Alzheimer ou de paralysie supranucléaire progressive), et de déphosphorylations lorsque les connexions se reforment.
Facteurs internes Les facteurs internes ont été mis en évidence avec le spermophile. En injectant du sang d’un spermophile hibernant dans un spermophile non hibernant, on constate que le spermophile non hibernant devient hibernant. Les facteurs internes d’hibernation circulent donc dans le sang (ces facteurs sont encore mal connus). Selon des études récentes, l'aire pré-optique de l'hypothalamus permet la baisse du point de consigne de l'organisme jusqu'à 2 °C chez certaines espèces. Le système reproducteur serait également impliqué dans l'inhibition de l'hibernation. Expérimentalement, l'injection de testostérone provoque la fin de l'hibernation. Au niveau du foie sont produites des protéines formant un complexe : HPc (complexe des protéines d'hibernation). Ce complexe est composé des protéines HP20, HP22, HP27 et HP55. Une diminution du taux sanguin de ces HPc précède l'hibernation. Le cycle est inversé au niveau du liquide céphalo-rachidien (LCR) : en effet, le maximum du taux de HPc y est atteint pendant l'hibernation. Notons également que la protéine HP50 n'est jamais présente dans le liquide céphalo-rachidien, mais celui-ci contient la HP20. Cette protéine passerait du sang vers le LCR au niveau du plexus choroïde, la région du cerveau où ce liquide est produit. L'hibernation au niveau cellulaire
Les processus cellulaires sont stoppés ou tout au moins fortement ralentis de plusieurs manières : comme le repos en hibernation Phosphorylation de certains composants Des groupes phosphoryles se fixent sur les pompes à sodium et sur les pompes à potassium, empêchant ainsi les échanges de ces ions entre les compartiments intracellulaires et extracellulaires. De plus, des groupements phosphoryles s'attachent aux ribosomes, ce qui bloque la synthèse protéique. Source d'énergie cellulaire pendant l'hibernation Alors que l'énergie cellulaire est en temps normal principalement tirée de l'oxydation de molécules de glucose, ce sont les lipides qui deviennent la source d'énergie prioritaire pendant l'hibernation. Ralentissement de la transcription de l'ADN Une acétylase favorise la transition des histones de leur état acétylé vers l'état désacétylé. Ceci provoque une condensation accrue de l'ADN, qui s'enroule alors plus étroitement autour des histones, et rend les gènes beaucoup moins accessibles. En outre, les ARN polymérases ne sont plus actives, ce qui réduit encore les possibilités de transcription. Origine cellulaire de la diminution de température corporelle[modifier | modifier le code] Dans les tissus adipeux bruns, la membrane interne des mitochondries possède des protéines découplantes qui laissent passer facilement les protons, permettant ainsi de diminuer le gradient de concentration entre les deux compartiments situés de part et d'autre de cette membrane. Une moins grande quantité d'ATP est ainsi produite par l'ATPase. Le flux de protons alimente donc principalement l'élévation de la température par les protéines découplantes. Lors de l'hibernation, l'activité de ces protéines découplantes est diminuée. Sortie de l’hibernation
La sortie de l’hibernation se caractérise par un réchauffement rapide des différentes parties du corps, une augmentation de la fréquence cardiaque, etc. Ces mécanismes sont plus rapides que ceux de l’entrée en hibernation. Tout est rétabli en quelques heures.
Des Hommes sur de nouvelles planètes grâce à l’hibernation ?
Les chercheurs ont également montré que le battement cardiaque de ces primates passait de 120 à 6 coups par minute et que leur respiration ralentissait. D’autre part, lorsqu’il fait moins de 25 °C, ils perdent leur capacité d’homéothermie et leur température se met à fluctuer en fonction de celle de l’environnement. Ainsi, ils économisent leur énergie pendant la période hivernale.
Ces découvertes nous permettent d’en connaître plus sur l’hibernation chez les primates. Elles sont le point de départ d’un champ de recherche qui pourrait s’étendre à l’Homme. Selon Chris Smith, du Duke Lemur Center à Durham en Caroline du Nord, les possibilités sont innombrables. « Chez les personnes malades en attente d’un organe, le temps est compté, explique-t-il. Si l’on pouvait ralentir leur métabolisme comme le fait le chirogale moyen, on pourrait les faire patienter plus longtemps, et peut-être leur sauver la vie. » La même chose serait valable pour les astronautes. En les mettant en état d’hibernation, il serait possible de repousser les limites de l’exploration spatiale, et de visiter de nouvelles planètes !
Dans le futur, les scientifiques veulent reproduire cette étude sur un plus grand nombre d’animaux et les étudier pendant plus longtemps. Ces recherches permettraient de mieux comprendre l’hibernation, et pourquoi pas, la reproduire un jour chez l’Homme.
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité