referencer site web - referenceur gratuit - $(document).ready(function(){ chargementmenu(); });
Créer un site internet

Articles de islamiates

Pourquoi le piment brûle t-il la langue ?

Dans la catégorie des aliments "qui piquent", le piment est le numéro un. Plus fort que le poivre ou que la moutarde, il enflamme la bouche de son consommateur. Quelle substance est responsable ? Et quels sont les moyens de soulager une bouche en feu ?

La sensation que le piment procure en bouche ne laisse pas indifférent. La responsable ? La capsaïcine. Cette substance est présente en grandes quantités dans les graines du piment mais aussi dans tout le fruit. C'est sa concentration qui détermine le "piquant" du piment.

Illusion de brûlure

En effet, la capsaïcine est irritante pour les épithéliums, c'est-à-dire les cellules qui recouvrent les muqueuses de la bouche, des mammifères. Les sensations de brûlures et les douleurs associées résultent de l'interaction chimique de cette substance avec les neurones sensoriels.

Pourquoi ? La capsaïcine a le pouvoir de se lier à des récepteurs particuliers des neurones, les récepteurs vanilloïdes. Ceux-ci font alors entrer des ions dans les neurones, ce qui déclenche un stimulus nerveux. Le cerveau l'interprète comme une brûlure, mais en réalité, rien ne brûle : la bouche ne se recouvre pas de cloques !

Si la brûlure est illusoire, la sensation, elle, ne l'est pas. D'ailleurs, il existe même une échelle, dite de Scotville, qui donne le degré de "chaleur" d'un piment. Elle va de 0, neutre, à 10, explosif.

ECHELLE DE SCOTVILLE
0 Neutre 6 Ardent
1 Doux 7 Brûlant
2 Chaleureux 8 Torride
3 Relevé 9 Volcanique
4 Chaud 10 Explosif
5 Fort    

Boire du lait

Avoir la bouche en feu, ce n'est pas dangereux, mais c'est désagréable. Et inutile de se rincer avec de l'eau : la capsaicine est insoluble dans ce liquide. En revanche, elle se dissout dans le gras (elle est liposoluble). Seule remède : il faut donc ingérer une substance à base de caséine, une phosphoprotéine, elle aussi lipophile, qui va se mettre à la place de la capsaïcine sur les récepteurs. Le lait reste le produit le plus disponible, mais les crèmes glacées ou le fromage sont aussi efficaces.

La capsaïcine est aussi l'ingrédient actif dans les bombes lacrymogènes. Quand les gouttelettes entrent en contact avec les yeux, c'est très douloureux ! Donc si vous manipulez des piments "explosifs", ne vous frottez pas les yeux !

http://www.linternaute.com/science/biologie/pourquoi/06/piment/piment.shtml

e6un7

L'argent gagné avant la conversion à l'Islam est-il halal?

 L'argent obtenu grâce à la vente d'alcool avant la conversion est-il halal ? Peut on en conserver aumoins une partie ?

Du moment que l'argent de la vente d'alcool, c'est avant la reconversion à l'islam, on a pas à s'en défaire : il est halal .

Il en est de même des biens mobiliers et immobiliers achetés grâce à l'argent ainsi acquis.

Explication:

A) S'il s'agit d'une chose ('ayn) qui est en soi illicite (harâm li 'aynihî) en islam :

Ainsi, si quelqu'un avait acheté de nombreuses bouteilles d'alcool quand il était non-musulman, une fois reconverti à l'islam il ne doit bien sûr pas consommer cette boisson mais ne peut pas non plus en tirer profit (il ne peut par exemple pas la revendre) ; il ne peut non plus pas l'offrir à un non-musulman (cliquez ici) ; la solution théorique pour lui serait d'en faire du vinaigre (ce qui est autorisé d'après l'école hanafite, cliquez ici et ici) ; sinon il n'y a pas d'autres possibilité que de détruire cet alcool.

De même, si un zoroastrien était marié à sa propre sœur, une fois converti à l'islam, il doit se séparer d'elle : le statut "dûment mariés" ne demeure pas, puisqu'en islam un homme ne peut pas être le mari de sa propre sœur. Ce mariage était maintenu tant que ces deux personnes étaient zoroastriens, fût-ce en Dâr ul-islâm (cliquez ici), mais une fois qu'ils se sont convertis à l'islam ou que l'un d'eux s'est converti à l'islam, ce mariage devient nul.

-
B) Par contre, s'il s'agit d'une chose qui, au regard de l'islam, est en soi licite (halal fî nafsihî) mais illicite à cause de la voie par laquelle elle a été obtenue (harâm li kasbihî) :

– B.1) Si cette voie d'acquisition constitue un interdit universel, tel que voler quelqu'un qui est mu'âhid (soit le cas 1.1 dans notre autre article) :

Si, lorsque encore non-musulman, cet homme avait volé :
– une personne musulmane qui était mu'âhid avec lui (c'est-à-dire que son pays n'était pas en guerre contre celui de cette personne musulmane),
– ou une personne non-musulmane qui était d'une part mu'âhid avec lui (son pays n'était pas en guerre avec le pays de cette personne non-musulmane) et d'autre part mu'âhid avec les musulmans aussi :
cet homme aura le devoir, avant ou après sa reconversion à l'islam, de rembourser à cette personne l'argent qu'il lui a volé (cf. MF 22/10).

– B.2) Et s'il s'agit d'un interdit enseigné par l'islam (soit un cas autre que le 1.1 dans l'article suscité) :

Un premier exemple : Un non-musulman prêtait de l'argent à intérêt, et touchait donc cet intérêt, que sa religion d'alors considérait éthiquement licite (alors que l'islam considère cela illicite). Cet homme se convertit à l'islam ; doit-il se séparer de tout cet argent que, avant sa conversion, il avait touché en tant qu'intérêt ?
La réponse est : Non, cet argent acquis auparavant lui appartient et est entièrement licite.
Par contre, une fois converti à l'islam, conclure de nouveaux contrats à intérêt lui est bien sûr interdit, et, s'il le fait, l'argent ainsi acquis sera illicite (harâm) (cliquez ici). De même, s'il avait déjà conclu des contrats avant sa conversion mais n'avait pas encore touché l'argent de l'intérêt, une fois converti à l'islam, il ne doit pas prendre ce reliquat, qui lui est interdit.

De même, s'il vendait de l'alcool avant sa conversion à l'islam, l'argent qu'il avait déjà touché pour des ventes de ce genre lui appartient et, une fois reconverti à l'islam, il n'a pas à s'en séparer ; cependant, il doit changer d'activité maintenant converti à l'islam.
Par contre, s'il restait une somme d'argent que quelqu'un lui devait pour lui avoir acheté de l'alcool dans le passé, il ne doit pas toucher cette somme ; si la personne la lui remet, il la prendra et la donnera à un nécessiteux.

La preuve de ces deux règles se trouve, comme l'a souligné Ibn Taymiyya, dans un verset coranique. Ibn Taymiyya écrit : "Et de même en est-il pour ce que le non-musulman a fait d'actions illicites selon la religion islamique, que lui il considérait licites dans sa religion : à l'instar des transactions et prises illicites telles que transaction à intérêt, jeu de hasard, vente d'alcool et de porc, mariage sans tuteur et sans témoins, accaparement des biens de musulmans par domination, et chose semblable. Cette chose illicite, son statut devient caduc par l'islam, et elle reste pour lui comme ce qui n'a pas été interdit. (…) Ceci contrairement à ce dont ils n'avaient pas encore pris possession : après s'être convertis à l'islam, il ne leur est pas autorisé de le prendre, de cette façon illicit, tout comme ils ne peuvent pas faire une (nouvelle) transaction illicite. Ceci est établi en son lieu, à cause de cette parole de (Dieu) Elevé : "O vous qui avez apporté foi, craignez Dieu, et délaissez ce qui reste d'intérêt si vous êtes croyants" [Coran 2/278] : Il leur a ordonné de délaisser ce qui restait à la charge (d'autrui) d'intérêt (devant leur être versé), et Il ne leur a pas ordonné de se défaire de ce qu'ils avaient déjà touché" (MF 22/8).

Nous avons dit que ce converti doit maintenant changer d'activité. S'il se trouve dans une situation où il ne peut pas immédiatement abandonner cette activité car il se retrouverait à la rue, sans ressources, il doit néanmoins immédiatement chercher un autre travail, et considérer sérieusement toutes les opportunités halal qui s'offrent à lui ; et l'argent qu'il touche ainsi parce qu'il n'a immédiatement pas les moyens de faire autrement n'est pas halal, il doit s'en souvenir.

Un second exemple : un chrétien et une chrétienne se marient à l'église ; du moment qu'ils ont alors respecté les conditions spécifiées par leur religion, ils sont "mari et femme" (c'est-à-dire que la relation qu'ils auront après ce mariage ne sera pas de la fornication, et ce bien qu'ils soient toujours dans le kufr akbar), même si cette façon de conclure le mariage est telle que si un musulman et une musulmane ou un musulman et une chrétienne y avaient recours, ils ne seraient pas considérés dûment mariés (et leur relation serait considérée comme étant de la fornication). La même chose peut être dite pour un polythéiste et une polythéiste qui se marient en respectant les règles de leur religion en la matière : ils sont alors dûment mariés.
La preuve en est que Dieu dit dans le Coran au sujet de Abû Lahab : "Et sa femme, la porteuse de fagots" (Coran 111/4). Ibn ul-Qayyim souligne que s'ils n'étaient pas considérés mariés, Dieu n'aurait pas désigné la compagne de Abu Lahab par les termes : "et sa femme". La même chose peut être dite à propos de celle qui est désignée dans le Coran comme étant "la femme de Pharaon" (Coran 66/11) (voir Ahkâmu ahl idh-dhimma, pp. 308-309).
Dès lors, si des époux chrétiens se convertissent tous deux en même temps à l'islam, leur statut de "mari et femme" demeure ; il n'est pas besoin pour eux de faire un mariage "islamique" après leur conversion. (Au cas où l'épouse se convertit à l'islam et l'époux demeure chrétien, ou l'époux ne se convertit pas à l'islam en même temps que son épouse mais plus tard, il y a un grand débat entre les ulémas à ce sujet ; mais ce n'est pas l'objet de cet article.) Ibn Taymiyya écrit : "Et (le Prophète) a maintenu les gens de la période pré-islamique dans leurs mariages qui avaient été conclus dans cette période pré-islamique, bien que beaucoup de ces (mariages) sont invalides en islam. Ceci [= le maintien des mariages des non-musulmans] fait quasiment l'unanimité entre les imams connus ; ce n'est qu'à propos de certains cas qu'il existe une divergence isolée" (MF 22/8-9).

-
II) Et si, avant sa conversion à l'islam, l'homme avait tué des gens ?

– 1) S'il s'agissait d'une personne qui n'était pas en état de guerre contre lui :

Il est responsable de ce qu'il a fait, et sa conversion à l'islam n'effacera en rien ce qu'il a fait.

– 2) Si par contre son pays était en guerre contre le pays de cette personne, et c'est dans le cadre de cette guerre, loyalement (et non après lui avoir promis la sécurité s'il se rendait), qu'il a tué cette personne, qu'il considérait son ennemi :

Même si la personne qu'il avait ainsi tuée est musulmane, vu qu'il guerroyait contre les musulmans, la conversion à l'islam de cet homme à l'islam efface cela : il n'a ni le péché d'avoir tué cette personne, ni ne peut subir le talion, ni n'a le devoir de verser le dédommagement (diya).

-
III) Et si, avant sa conversion à l'islam, l'homme avait négligé des actions obligatoires (telles que accomplir les prières quotidiennes) ?

A l'unanimité des ulémas celui qui s'est converti à l'islam n'a pas à remplacer (qadhâ) les prières obligatoires qu'il n'avait pas faites quand il était non-musulman. Il en est de même des jeûnes du ramadan, etc.

Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).

http://www.maison-islam.com/articles/?p=606

    • e6un7

Participer au rituel de l’enterrement et valorisé en Islam

Dans la tradition musulmane, que ce soit pour les chiites ou les sunnites, la vie terrestre n’est qu’une étape de l’existence. C’est un «état transitoire», obligé, vers la «vraie vie», la «vie dernière». La mort est donc une (re)naissance, un passage vers un autre monde. C’est aussi une des lois de Dieu dans sa création:

«Puis quand vient leur terme, ils ne pourront ni la retarder d’une heure ni l’avancer.» Coran 16/61.

La tombe permet au croyant de «préserver sa dignité» . Dans l’islam, l’enterrement est dû à tout être humain indépendamment de sa religion. «L’enterrement est considéré comme un droit pour le mort et comme une obligation pour sa communauté», explique Nadir Bourkani des Pompes funèbres musulmanes. C’est aussi un moyen de soustraire le corps aux animaux.

Le corps du défunt doit d’abord être lavé, la tête dirigée vers la Mecque avant d’être enveloppé dans un linceul blanc.

«La grande ablution commence par le côté droit, précise Reda Benelhani des pompes funèbres musulmanes Rahma, et finit par le gauche. Elle concerne l’ensemble du corps à l’exception de la tête et des pieds, qui sont lavés lors de la petite ablution. L’ensemble est répété trois fois. Le corps est ensuite enveloppé dans des pièces de tissu, au minimum trois pour un homme et cinq pour une femme.»

Le rituel et l’enterrement sont des actes reconnus et valorisés:

«Celui qui lave un croyant et n’en dévoile rien, Dieu lui pardonnera quarante fois. Celui qui aura creusé la tombe pour un croyant et l’y introduit, aura la même récompense que s’il l’avait abrité jusqu’au Jour de la Résurrection. Et celui qui l’aura mis dans un linceul, Dieu le revêtira au Jour de la Résurrection d’habits de soie fine et de brocarts du Paradis.» (Al-Hâkim, Bayhaqî, Ibn Mâja 1451)

L’enterrement doit être effectué le plus rapidement possible, au maximum 24 heures après le décès. Or certaines législations ne le permettent pas. (En France, par exemple, il faut attendre au minimum 24 heures après la mort avant de procéder à un enterrement.) A l’origine, cette pratique était mise en place à cause de la chaleur en Arabie qui décomposait les corps très rapidement, mais la tradition est maintenue encore aujourd’hui. Avant que le corps soit inhumé, une prière funéraire est célébrée.

Ce qui arrive aux mort avant d'être enterré

Quant l’âme est renvoyée vers le corps, elle trouve qu’on a déjà commencé à le laver, si son lavage s’impose. Elle s’installe auprès de sa tête en attendant que l’on termine de le laver. Par Sa grâce, Dieu libère parfois le regard des hommes pieux, et ils aperçoivent leur âme sous sa forme terrestre. C’est ainsi qu’un homme raconte qu’il était occupé à laver le corps de l’un de ses fils, lorsque celui-ci lui apparut soudain, assis au chevet de son propre cadavre. Par peur de céder à l’illusion, cet homme quitta le côté où il apercevait la silhouette de son fils et alla se mettre de l’autre côté. Il ne cessa pourtant pas de le voir jusqu’à ce que le mort fût enseveli dans son linceul.

Ensuite, après la mise en bière du corps, cet homme, versé dans la science, revit la silhouette de son fils installée au-dessus du cercueil.

On rapporte également sue plus d’un homme parmi les saints a interpellé un mort pendant qu’il était dans son cercueil en ces termes : « Où est un tel, où est l’esprit ? », et en guise de réponse le linceul s’était agité spontanément à deux ou trois reprises, au niveau de la poitrine du mourant. On rapporte également que al-Rabi’ Ibn Khaytham qu’il s’est agit dans les mains de celui qui le lavait. Nous savons également qu’un mort a parlé dans son cercueil à l’époque de Abou Bakr et a évoqué les mérites de ce dernier ainsi que ceux de ‘Omar. C’est qu’évidemment cette âme avait contemplé un spectacle appartenant au Monde supérieur. Car Dieu dévoile ces choses à l’ouïe de ceux qu’il veut.

Une fois que le mort est enveloppé dans son linceul, son âme lui cille extérieurement à la poitrine et ne cesse de mugir et de gémir, en criant aux Anges : « Hâtez-vous de m’emporter vers la miséricorde de mon Seigneur ! Ah, si vous saviez vers quelle destination vous m’emportez ! » En revanche, si cette âme a reçu la mauvaise nouvelle de sa damnation, elle s’écrie : « Doucement ! Doucement ! Si vous saviez vers quel grand châtiment vous m’emmenez ! » Voilà pourquoi l’Envoyé de Dieu – que Dieu lui accorde Grâce et Paix – ne laissait jamais passer un convoi funèbre devant lui sans se lever à son passage. En effet, on lit dans les Recueils authentiques de Hadiths que le Prophète – que Dieu lui accorde Grâce et Paix – se leva par égard au passage d’un convoi mortuaire devant lui. Comme on lui fit remarquer : « O Envoyé de Dieu, c’était un juif ! », il répondit : « N’est-ce pas une âme ? » Si l’Envoyé de Dieu- que Dieu lui accorde Grâce et Paix – agissait ainsi, c’est parce qu’il avait accès aux mystères du Monde suprasensible. D’ailleurs, chaque fois que la dépouille d’un mort passait devant lui, il manifestait de la joie en sa faveur parce qu’il était de ceux qui en saisissent le sens et en connaissent la signification.

http://paradise-islam.fr.gd/Ce-qui-arrive-aux-mort-avant-d-h-%EAtre-enterr-e2-.htm

    • e6un7

Les bienfaits de la cannelle sur la santé

La cannelle ne se contente pas d'enchanter nos papilles, elle est également souveraine pour notre santé. L'écorce du cannelier se rencontre sous plusieurs variétés, mais celle qui nous intéresse est la cannelle de Ceylan. Connue depuis l'Antiquité, la cannelle de Ceylan ne cesse de nous étonner par ses propriétés salutaires pour notre bien-être et notre santé. Ses vertus sont saluées aussi bien dans la lutte contre le diabète que pour aider les personnes au régime, ou simplement dans les états grippaux.

Au Moyen Âge, on la met à toutes les sauces, et elle se rencontre dans la majorité des recettes autant sucrées que salées. Déjà, elle parfumait le vin, soulageait les infections hivernales et tentait de contrer les grandes épidémies. On lui connaissait des propriétés antimicrobiennes, on lui découvre des vertus qui améliorent la glycémie.

Cannelle et diabète

De nombreuses études, notamment allemandes, indiquent que la cannelle contient des éléments susceptibles de lutter contre le diabète de type 2. Elle renferme des éléments qui équilibrent la glycémie, stimulent l'insuline, et joue ainsi un rôle dans la prévention et l'amélioration du diabète. Des tests ont démontré une amélioration du taux de glycémie post-prandiale (après le repas) chez les patients consommant un gramme de cannelle en poudre par jour pendant minimum un mois. Il est donc conseillé aux diabétiques d'user et d'abuser de cette épice millénaire.

Cannelle et Alzheimer

Deux molécules présentent dans la cannelle pourraient en freiner l'apparition. Des travaux publiés récemment montrent que ces 2 molécules empêchent l'enchevêtrement précurseur de la maladie d'Alzheimer.

Cannelle et perte de poids

En observant les bienfaits de la cannelle sur le diabète, il suffisait d'extrapoler et de se dire : « Pourquoi ne pas essayer les vertus de la cannelle sur les personnes ayant du poids à perdre ? » On a, dès lors, remarqué son effet « coupe-faim », essentiellement lorsque l'envie de sucré se fait sentir.

De nombreux nutritionnistes préconisent l'emploi d'une petite boîte à senteurs contenant cannelle, vanille, écorce d'orange, café, qu'il suffit de respirer pour éloigner l'envie de grignoter.Vous pouvez y ajouter une goutte d'huile essentielle de cannelle et une goutte d'huile essentielle d'orange ou de mandarine. Un peu de cannelle en poudre ajoutée dans une tisane calmera également votre fringale.

Cannelle et antioxydants

La cannelle se classe au quatrième rang des aliments contenant le plus d'antioxydants. Elle vous aide, notamment, dans la lutte contre le vieillissement dû au stress et elle redonne de l'éclat aux peaux fatiguées. Il existe au rayon compléments alimentaires des pharmacies et para-pharmacies des gélules de cannelle, qui en facilitent l'usage.

Cannelle et microbes

Bien connue pour ses propriétés antivirales et antimicrobiennes, la cannelle stimule le fonctionnement du système immunitaire. Elle vous aide à chasser les premiers frissons et les prémices du rhume et de la grippe

Une infusion de 10g de cannelle en bâton pour 1 litre d'eau, sucrée au miel, apporte soulagement et tonus. Cette tisane se consomme tout au long de la journée.

La cannelle améliore le vin chaud, et nous aide dans la lutte contre les refroidissements et les courbatures dues à la grippe.

Cannelle et intestins

La cannelle modifie favorablement la flore intestinale. Une tisane composée d'une cuillère à café de cannelle, infusée 10 minutes dans une tasse d'eau bouillante, soulage les gargouillis, les flatulences et les ballonnements. Cette tisane est à consommer après les repas.

Cannelle et fatigue

Grâce à son action sur l'organisme, la cannelle est énergisante et défatigante. Faites infuser, pendant 10 minutes, 1 cuillère à café d'écorce ou de poudre de cannelle dans une tasse d'eau bouillante et filtrez. Lorsque la fatigue s'installe, consommez 3 à 4 tasses de cette tisane par jour.

Bienfaits de l'huile essentielle d'écorce de cannelle de Ceylan

L'huile essentielle (H.E.) de cannelle triomphe de 99,99 % des microbes, elle terrasse même ceux qui résistent aux antibiotiques. Elle convient parfaitement pour soigner rhumes, grippes, refroidissements. Une goutte, trois fois par jour, dans un peu de miel, soulage rapidement. L' H.E. de cannelle de Ceylan est stimulante et booste le tonus. Elle soigne les dérèglements intestinaux à merveille, à raison d'une à deux gouttes sur un comprimé neutre ou dans une petite cuillère de lait en poudre, 3 fois par jour. Placée dans un diffuseur d'huiles essentielles, elle terrasse les microbes des pièces à vivre. L'HE de cannelle ne doit pas être diffusée seule. il est préférable de l'associer à une essence plus douce : orange par exemple. En synergie et à parts égales avec l'HE de tea-tree et de lavande, diluée ou non dans une huile végétale, elle vient à bout des mycoses de l'ongle.

Mises en garde :

La cannelle à forte dose ou sous forme d'huile essentielle est déconseillée aux femmes enceintes ou allaitantes et aux jeunes enfants.

Astuces

N'hésitez pas à saupoudrez vos plats et desserts de cannelle.
En cuisant, la cannelle devient amère : ajoutez-la donc à vos plats en fin de cuisson !

http://www.santenatureinnovation.com/cachee-dans-votre-cuisine-une-epice-anti-alzheimer/

  • e6un7

Visions objectives et anticipation les événements

asmaa-allah.jpg

Comme exemple d’une vision objective rapportée par le Coran, celle de Joseph, fils de Jacob (Saluts de Dieu sur eux) annonça un événement capital du futur. Son importance est telle qu’elle révéla le plan d’accomplissement de la promesse divine faite à Ibrahim (Salut de Dieu sur lui), via Isaac (Salut de Dieu sur lui) et se concrétisant par le truchement des douze ancêtres de la communauté juive, qui furent les acteurs principaux du théâtre de sa naissance :

« Quand Joseph dit à son père : « Ô mon père, j'ai vu [en songe],
onze étoiles, et aussi le soleil et la lune ; je les ai vus prosternés
devant moi. »» Coran (12,4)

Jacob pressentit que les symboles sensibles (onze étoiles, le soleil et la lune) anticipaient une destinée hors du commun pour sa descendance.

Cependant, connaissant la nature humaine et les rivalités entre ses fils,
il lui déconseilla de conter sa vision à ses frères :

« Ô mon fils, dit-il, ne raconte pas ta vision à tes frères car ils
monteraient un complot contre toi; le Diable est certainement pour l'homme un ennemi déclaré. » Coran (12,5)

Plus tard, le comportement affectif incontrôlable de Jacob envers Joseph exacerba la jalousie de ses frères. Par une réaction primaire, ils lui tendirent un piège fatal pour l’éloigner définitivement de leur père.

Loin de sa famille, Joseph vécut une succession d’événements
malheureux, caractérisés par l’absence de valeurs, mais, grâce à la
Clémence divine, l’issue fut admirablement heureuse. Le retour
d’expérience du récit rappelle que la bonne foi, la persévérance et
l’éthique finissent toujours par l’emporter sur les calculs étroits, la
bassesse et l’immoralité.

En résumé, son histoire se déroula en Egypte et à l’âge adulte, il apprit plusieurs sciences, dont celles de l’interprétation des visions et la connaissance des rouages des activités économiques du pays. Quand le roi d’Egypte eut la vision de sept vaches grasses mangées par sept maigres et sept épis verts et d’autres desséchés, il fut le seul à pouvoir l’interpréter :

« Joseph, toi qui ne dis que la vérité ! Donne-nous ton avis sur la signification de sept vaches grasses que mangent sept maigres et de sept épis verts et d’autres desséchés ; peut-être retournerai-je aux gens et peut-être alors qu’ils connaîtront (la vérité sur ton compte). Il dit : « Vous sèmerez sept années de suite. Ce que vous récolterez laissez-le dans ses épis sauf un peu pour votre manger. Puis, après cela, viendront sept (années) dures qui mangeront ce que vous leur aurez préparé sauf un peu de ce que vous mettrez en lieu sûr. Puis, après cela, viendra une année où les gens recevront des pluies bienfaisantes et où ils presseront.» Coran (12,46 à 49)

L’interprétation de la vision permit d’obtenir une vue prospective de l’évolution des événements et de prendre de bonnes décisions pour un avenir prospère du pays.Trois phases ressortaient du songe :
la première, la Région bénéficierait de sept années pluvieuses ;
la deuxième, sept années de sécheresse la menaceraient de famine et
dans la dernière, une année suffisamment pluvieuse ramènerait de
nouveau la fertilité.

De cette façon,un programme économique pratique, étalé sur une durée d’au moins quinze ans, fut mis sur pied pour réagir en connaissance de cause aux conséquences de la sécheresse.

Sur ces entrefaites, le roi confia à Joseph la mission de mettre en œuvre le plan d’action correspondant. Bien préparé pour assumer ses nouvelles responsabilités, il dirigea le processus couvrant toutes les phases allant des stocks de blé, des circuits de distribution jusqu’aux ventes. Plus tard, alors que la sécheresse ravageait toute la Région, elle tourna favorablement à l’avantage de l’Egypte grâce à l’interprétation objective de la prémonition du roi. Elle permit d’éviter le pire et de changer positivement une situation extrême de crise en une affaire lucrative.

Entretemps, durant la deuxième phase, quand la sécheresse s’acharna sur les populations des contrées voisines, l’occasion propice se présenta alors pour revoir ses frères. Comme la plupart des gens déshérités de la Région, ils vinrent se ravitailler en grains. Joseph les reconnut et conçut alors des stratagèmes pour rassembler toute sa famille.Après des péripéties, ils se retrouvèrent de nouveau ensemble.

Selon les usages en vigueur pour rendre les honneurs dus aux personnalités de haut rang en Egypte, son père, sa mère et ses onze
frères se prosternèrent devant lui. Il réalisa alors les correspondances
entre les symboles célestes de sa vision d’enfance et la scène des
retrouvailles : le soleil est son père, la lune sa mère et les onze étoiles
ses frères :
« Et il éleva ses parents sur le trône, et tous tombèrent devant lui, prosternés. Et il dit : « Ô mon père, voilà l'interprétation de mon rêve de jadis. Allah l'a bel et bien réalisé... »» Coran (12,100)

Joseph rendit grâces à Dieu de lui avoir appris l’art de l’interprétation des songes :
« Ô mon Seigneur,Tu m'as donné du pouvoir et m'as enseigné l'interprétation des rêves. [C'est Toi Le] Créateur des cieux et de la terre, Tu es mon patron, ici-bas et dans l'au-delà. Fais-moi mourir en parfaite soumission et fait moi rejoindre les vertueux. » Coran (12,101)

Après que toute la famille fut établie en Egypte, la descendance des douze fils de Jacob se multiplia au fil des siècles jusqu’à former les douze tribus de la communauté juive que Moïse (Salut de Dieu sur lui), conduisit hors d’Egypte. Plus tard, quand Jésus (Salut de Dieu sur lui) choisit douze apôtres, c’était aussi dans le but d’adresser la bonne nouvelle aux douze tribus d’Israël.

L’enseignement à retenir est que les visions objectives sont en mesure de jouer le rôle d’indicateurs ou de faisceaux de probabilité pour anticiper les événements ultérieurs et de mieux préparer l’avenir, en connaissance de cause.

déjà, depuis 1434 ans au moins, le Prophète (Paix et Saluts de Dieu sur lui) était conscient que son époque et l'Heure étaient proches. Pour estimer cette durée, selon le hadith/ (Sahih Mouslim) référencié par le n°1671, le Prophète (PSDL) a dit en joignant l'index au majeur :

« J'ai été envoyé, moi et l'Heure ainsi » (En rapprochant l’index du majeur, il montre la courte durée séparant sa Mission de la date relative à la phase ultime de la fin des temps)

Si le Prophète (Paix et Saluts de Dieu sur lui) avait signalé qu'il était à deux doigts de ces événements, à priori, aujourd'hui, nous y sommes encore plus proches.

Par rapport à l'enseignement transmis par la Sourate "Youssef" (Saluts de Dieu sur lui), la précaution prise étant de mettre de côté des stocks de provisions, prodigués par le Seigneur. Le Prophète Youssef (paix et saluts soient sur lui), a occupé le plus haut poste en Égypte, par Décret divin, pour gérer les affaires d’Egypte. Il a ainsi réussi à mettre de côté des réserves avant que la catastrophe annoncée ne détruise l’Egypte.

Concernant notre futur, le Prophète Mohamed (paix et saluts de Dieu sur ui) avait prophétisé la crise que le monde entier subirait à la fin des temps. "Il y aura certes, avant l’apparition du Dajjal (l’Antéchrist), 3 années de crise où les gens seront affligés par la famine. Allah donnera l’ordre, lors de la première année (de cette crise), au Ciel de retenir le 1/3 de sa pluviométrie, et à la Terre de retenir le 1/3 de sa récolte. Ensuite Il donnera l’ordre, à la deuxième année, au Ciel qui retiendra les 2/3 de sa pluviométrie, et à la Terre qui retiendra les 2/3 sa récolte, et lorsque ça sera la troisième année, Allah donnera l’ordre au Ciel de retenir toute sa pluviométrie, et à la Terre de retenir toute sa récolte. Aucun bétail ne survivra, sauf ceux qu’Allah aura voulu (qu’ils survivent). Les compagnons lui demandèrent alors : Qu’est-ce qui aidera les gens de cette époque pour survivre ? Il a répondu : les louanges, la glorification et la gratitude envers Allah, ceci fera office de nourriture." - Recueil Ibn Maja – Ibn Khouzaima – Hadith Sahih

عن أبي أمامة رضي الله عنه أن رسول الله صلى الله عليه وسلم قال: ((وَإِنَّ قَبْلَ خُرُوجِ الدَّجَّالِ ثَلَاثَ سَنَوَاتٍ شِدَادٍ يُصِيبُ النَّاسَ فِيهَا جُوعٌ شَدِيدٌ، يَأْمُرُ اللَّهُ السَّمَاءَ فِي السَّنَةِ الْأُولَى أَنْ تَحْبِسَ ثُلُثَ مَطَرِهَا وَيَأْمُرُ الْأَرْضَ فَتَحْبِسُ ثُلُثَ نَبَاتِهَا، ثُمَّ يَأْمُرُ السَّمَاءَ فِي الثَّانِيَةِ فَتَحْبِسُ ثُلُثَيْ مَطَرِهَا، وَيَأْمُرُ الْأَرْضَ فَتَحْبِسُ ثُلُثَيْ نَبَاتِهَا، ثُمَّ يَأْمُرُ اللَّهُ السَّمَاءَ فِي السَّنَةِ الثَّالِثَةِ فَتَحْبِسُ مَطَرَهَا كُلَّهُ فَلَا تُقْطِرُ قَطْرَةً، وَيَأْمُرُ الْأَرْضَ فَتَحْبِسُ نَبَاتَهَا كُلَّهُ فَلَا تُنْبِتُ خَضْرَاءَ، فَلَا تَبْقَى ذَاتُ ظِلْفٍ إِلَّا هَلَكَتْ إِلَّا مَا شَاءَ اللَّهُ قِيلَ فَمَا يُعِيشُ النَّاسُ فِي ذَلِكَ الزَّمَانِ قَالَ: التَّهْلِيلُ وَالتَّكْبِيرُ وَالتَّسْبِيحُ وَالتَّحْمِيدُ، وَيُجْرَى ذَلِكَ عَلَيْهِمْ مُجْرَى الطَّعَامِ)) رواه ابن ماجة وابن خزيمة والحاكم بسند صحيح

Que se passera-t-il pour ceux qui paniqueront en cas de rupture de provisions ? L’anarchie ? Le Chaos? Or, Dieu n’aime pas l’anarchie/Chaos. Prévoyant à l'avance ces événements, Dieu dans Sa grande Miséricorde et Sa bonté, nous a donné des paraboles par la Sourate "Youssef" pour éviter Le Chaos/l’anarchie du futur, en vue de revenir vers Lui, repentants et reconnaissants.

"Prévoir vaut mieux que guérir". En prévision des ces événements, il apparait préventif de songer à des stocks de sécurité qui feront que le pays qui prendra les mesures dans cette perspective sera d'autant plus stable et respectée pour des choix qui coïncideront tôt ou tard avec la Prophétie du Prophète (Paix et Saluts de Dieu sur lui), sachant évidemment qu'il n'a jamais parlé par passion. Et Dieu dit la vérité et guide dans la voie vraie!

Tajeddine Bennani Karim L'enseignement de la Sourate "Youssef" 

  • e6un7

Créer un site internet avec e-monsite - Signaler un contenu illicite sur ce site