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Islam - L'épreuve de la maladie par al_ikhlas
Pour traiter ce sujet, nous avons trois sources, le Coran avec de nombreux versets sur la maladie, le hadith et traditions se rapportant au prophète ainsi que la pratique et traitements de l'époque ; Enfin, les oeuvres des savants musulmans sur la maladie, et principalement « ZAAD AL MAAD » d'IBN QAYYIM AL JAWZYYA ».
Ce livre rapporte les enseignements du prophète éclairant plusieurs domaines de la vie du croyant. Une grande partie de cette oeuvre traite des questions médicales : Les soins, le malade, et bien entendu, les recommandations du prophète à ces propos.
Le Coran évoque la maladie, et autres états en découlant, dans 25 versets. Il ressort de l'analyse de ces versets, qu'il y a deux catégories de maladies : Celles de la foi, citées 12 fois, dues à l'éloignement de Dieu ou l'égarement, et celles corporelles ou physiques, 13 fois.
IBN QAYYIM parle de l'intérêt des soins spirituels pour les perversités de la foi, et de la nécessité de soins médicaux pour les maladies du corps.
Dans la conception islamique, la maladie est considérée comme une épreuve divine. Or, l'épreuve est en fait une notion générale qui ne concerne pas uniquement la maladie. La vie de l'homme sur terre, n'est-elle pas justement la véritable épreuve ?
Il en découle que le musulman doit être patient. Le prophète n'a-t-il pas dit : « la patience est la moitié de la foie ». Mais cette patience ou compassion pour son prochain, ne doit pas exclure ou négliger la recherche du soin adéquat.
La nécessité des soins est indiquée dans plusieurs hadiths. Le prophète a répondu à des bédouins qui venaient lui demander : « Envoyé de Dieu, devons-nous nous soigner ? », « Oui, sujets d'Allah, soignez-vous car Allah, le puissant et le grand, n'a créé de maladie sans lui avoir associé un remède, à l'exception d'une seule ». Ils s'interrogèrent : « Laquelle ? » Le prophète répliqua : « c'est la vieillesse ».
Une deuxième hadith de MOSLIM rapporte : « pour chaque maladie il y a un remède. Quand le remède est compatible avec la maladie, il va la guérir, avec la permission de Dieu, Gloire et puissance à lui ».
Un troisième hadith : « A toute maladie un remède. Le traitement vaincra la maladie, et le souffrant se rétablira avec la permission de Dieu, à lui la puissance et la gloire ». Quand le remède est compatible avec la maladie, celui-là va la guérir avec l'aide de Dieu.
Un quatrième hadith dit : « Dieu n'a fait descendre une maladie sans avoir, en même temps, fait descendre son remède dont certains ont eu connaissance alors qu'il est demeuré inconnu pour d'autres ». Ainsi que l'homme arrive à connaître ou non ce remède, le remède existe.
Pour commenter ces hadiths qui contiennent beaucoup d'enseignements :
1ère Conclusion :
IBN QAYYIM rapporte que le fait de remettre à Dieu ne s'oppose pas à la nécessité de prendre tous les moyens de soins adéquats lorsqu'on est atteint d'une maladie. Au Contraire, il considère que le sens véritable de la confiance en Dieu est de se remettre à lui en prenant toutes les dispositions nécessaires pour atteindre ce qu'on cherche. Ainsi, en islam, il n'existe pas de contradiction entre la notion de remettre à Dieu et le fait de disposer de tous les moyens disponibles de la vie courante ( pas uniquement de se procurer les soins adéquats à sa maladie ».
2ème Conclusion :
Dans le hadith « A toute maladie, un remède ». Cela signifie pour IBN QAYYIM une incitation à chercher un remède, à commencer par le malade lui-même qui dans sa requête de soins va s'attacher à un traitement potentiellement existant et capable de le guérir, arrivera déjà à vaincre le désespoir et trouvera la force pour lutter contre la maladie. Dans ce hadith, le médecin doit être confiant puisque la maladie à son anti-dote, le remède. Lui aussi va déployer tous ses efforts à la recherche de ce remède.
3ème Conclusion :
la maladie 2éme partie ''islam'' par jamal61
Il ne suffit pas de trouver le remède et que celui-ci soit compatible avec la maladie. Il existe d'autres conditions supplémentaires pour aboutir à la guérison, notamment l'état du malade qui va recevoir ce remède et le dosage de ce dernier...
Le Coran accorde des dérogations pour aider le malade dans ses pratiques religieuses. Pour le jeûne ; « Celui, qui par suite d'une maladie ou d'un déplacement, aura manqué des jours de jeûne, devra les remplacer » verste 185, sourate 2 . Donc Dieu ordonne au malade d'accomplir son jeûne en cas de maladie.
Pour l'ablution, elle est remplacée par la purification sèche ou ablution pulvérale (taymmum) : « Si vous êtes malades ou en voyage, ou si vous venez de satisfaire un besoin, ou si avez eu des rapports avec vos femmes et que vous manquiez d'eau, cherchez de la terre propre » verset 6, sourate 5.
Pour les pèlerins, Dieu a permis au malade, ainsi qu'à celui qui souffre d'une affection de la tête ou autre de se raser durant l'Ihram : Celui qu'une maladie ou infection du cuir chevelu obligera à se raser, devra se racheter par temps de jeûne, une aumône ou un sacrifice » verset 197, sourate 2.
Commentant ces dérogations accordées aux malades, IBN QAYYIM dit que le principe de la médecine des corps se base sur trois fondements :
Préserver la bonne santé, la restriction pour ne pas aggraver la maladie, l'évacuation des substances nuisibles en ordonnant de couper les cheveux dans les cas d'infection dermatologique pour un pèlerin.
Il faut retenir également de ces versets que la religion musulmane considère que la préservation de la bonne santé et la nécessité de soins justifient une souplesse dans les prescriptions religieuses sans utiliser les substances interdites et illicites dans le traitement.
Le prophète a dit dans un hadith rapporté par EL BOUKHARI : « Dieu n'a pas mis votre guérison dans qu'il vous a interdit ».
IBN QAYYIM rapporte quelques règles pour préserver une bonne santé :
- Une alimentation saine, diversifiée, équilibrée, pas trop abondante et respectant les règles d'hygiène. En elle-même, c'est un traitement préventif.
- La prévention pour éviter la maladie.
- Pratique du sport qui permet de dégager les surplus entassés dans le corps. Le prophète a recommandé les activités sportives : La course à pied, la natation, l'équitation, le tir ...
Le statut du malade en islam
Le Statut du malade en islam doit répondre à 4 principes selon IBN QAYYIM :
- Le malade, dans le droit musulman, jouit de tous ses droits légaux. IBN EL KAUDAMA dit dans son livre EL MOUGHNI : « Celui qui ne perd pas sa raison, ses transactions et ses actions sont valables ».
- L'allègement des prescriptions religieuses.
- L'état psychique du malade.
- L'importance du médecin habile : Il ne doit pas se focaliser uniquement sur la maladie, mais prendre en compte l'environnement, les habitudes, l'âge et le pays du malade. Il doit adopter une stratégie ouvrant plusieurs possibilités de soins, et connaître l'autre partie de l'homme, qui est le côté psychique et mental.
Dr Ahmed JABALLAH
http://www.amaf-france.org/images/NotionMaladie.pdf

En fait il y a un désaccord théologique entre le judaisme, le christianisme nicéen et l'Islam : c'est sur un ou quelques points principaux que chacune de ces trois religions est en désaccord théologique avec les deux autres.
Le principal désaccord entre le christianisme nicéen et l'islam porte sur la nature de Jésus : dans la croyance chrétienne, Jésus n'est pas créé mais engendré, et n'est pas en dehors de Dieu .
Et le principal désaccord théologique existant entre le judaïsme (selon la forme qu'il a prise au cours du temps) et l'islam porte sur l'héritage des promesses faites à Abraham. Pour le judaïsme, les fils d'Israël en sont les seuls bénéficiaires, de sorte que c'est dans leur lignée seulement que, après Abraham, les prophètes sont apparus ; de plus, selon cette religion, il n'y a plus eu de prophète authentique après Malachie. Par contre, pour l'islam, si l'Alliance a effectivement été conclue d'abord avec les fils d'Israël, elle a ensuite, après l'échec de la mission de Jésus, été conclue avec les fils d'Ismaël (cliquez ici), de sorte que c'est chez eux qu'est apparu le prophète ultime, Muhammad, dont le message s'adresse à l'humanité tout entière.
Ci-après un passage extrait d'un écrit d'un savant indien en sciences de l'islam, Shâh Waliyyullâh (Al-Fawz ul-kabîr, pp. 29-31). Il parle des trois messages reçus de Dieu par Moïse, Jésus et Muhammad respectivement, et de ce que certaines personnes adhérant jusqu'alors au contenu d'un message antérieur ont pu penser lorsqu'elle se sont trouvées confrontées à un message ultérieur.
Il écrit : "Chaque message enseigne le principe suivant : il y aura une différence entre ce qu'il adviendra [dans l'au-delà] de celui qui aura adhéré à cette religion [en croyances] mais n'aura pas pratiqué [en actes], et ce qu'il adviendra de celui qui aura catégoriquement refusé d'y adhérer. (…) Or cette réalité a été exprimée dans chaque message en désignant celui qui y adhère par un nom spécifique :
– dans la religion se référant à la Loi mosaïque, il est désigné par : "le fils d'Israël" ;
– dans la religion se référant à l'Evangile, par : "celui qui adhère au message de Jésus" ;
– et, dans le Coran, par : "celui qui adhère au message de Muhammad".
En réalité le pivot de ce principe est la foi en Dieu et en le jour dernier, ainsi que l'adhésion à la Voie du Messager dont on vit à l'époque ; le pivot n'en est pas le nom en soi [, et celui qui aura eu foi en Dieu et en le jour dernier, et aura adhéré à la Voie du Messager dont il a connu l'époque, celui-là aura le bonheur dans l'au-delà].
Mais certaines personnes se sont mises à penser que le pivot est le nom employé dans ces textes du passé, même si la personne ne remplit plus la condition du pivot véritable, comme nous l'avons expliqué, c'est-à-dire même si elle ne croit pas de façon correcte en Dieu, ou bien même si elle n'adhère pas à la Voie du plus récent Messager de Dieu [bien que cette Voie soit parvenue jusqu'à elle]."
Il écrit également : "De même, Dieu a nommé le peuple qu'Il a choisi pour être, par le biais de l'adhésion à la Voie du Messager du moment, les porteurs immédiats de Son Message : "le peuple choisi", les "bien-aimés de Dieu". Cette réalité a été exprimée dans chaque message selon les expressions en usage chez ce peuple à son époque – c'est d'ailleurs pourquoi il n'y a rien d'étonnant à ce que, avant le message donné à Muhammad, les termes "fils de Dieu" aient été employés par Dieu pour signifier : "les bien-aimés de Dieu".
Mais certaines personnes se sont mises à penser que cette appellation (de "peuple choisi") de la part de Dieu est liée au peuple en tant que tel ; elles n'ont pas compris qu'elle n'est pas liée à l'appartenance à un peuple mais à l'adhésion à la Voie du Messager de l'époque qui a cours."
Shâh Waliyyullâh dit encore : "Dans chaque message, des règles ont été édictées en conformité avec les usages du peuple destinataire et en conformité avec la situation prédominante du moment. De plus, dans chaque message l'emphase a été mise sur le fait d'avoir la ferme conviction que ce message est la vérité et qu'il est nécessaire d'y adhérer. L'objectif réel, à chaque fois, est de dire qu'il est nécessaire d'y adhérer pendant la période où il est applicable, c'est-à-dire jusqu'à ce que vienne un nouveau messager, porteur d'un nouveau message, qui comportera certaines règles qui seront édictées conformément aux nouvelles situations et aux usages différents.
Mais certaines personnes se sont mises à penser que les propos [de Dieu ou de l'un de Ses prophètes] enjoignant de ne pas cesser de se référer à telle Ecriture sont de portée intemporelle et qu'il est impossible que Dieu – par le moyen d'une règle différente, communiquée à un moment ultérieur à un Messager ultérieur parce que la situation a changé ou que l'ancien usage n'est plus de vigueur – abroge une règle qu'Il avait communiquée à un moment antérieur par l'intermédiaire d'un Messager antérieur."
http://www.maison-islam.com/articles/?p=480

Chaque serviteur s'est vu attribué 4 anges ! 2 de ces 4 anges descendent du ciel à l'heure du fajr et restent en compagnie du serviteur jusqu'à la prière du asr !
Et les 2 autres descendent du ciel à l'heure du asr et restent en compagnie du serviteur jusqu'à l'heure du fajr !
Et aucun des 2 groupes d'anges ne quitte le serviteur avant que l'autre groupe ne soit arrivé, afin que tout acte que ce serviteur effectuera soit bel et bien noté de manière claire et précise, tout est enregistré et rien ne manque.
Et il a été rapporté dans les 2 recueils de hadiths authentiques des imâms Al-Boukhâri et Mouslim d'après Abi-Hourayrah que le messager d'Allah salallahou 'alayhi wa sallam a dit :
se succèdent auprès de vous les anges de la nuit et les anges de la journée et ils sont réunis durant la prière du matin (salât as sobh) et la prière de la fin d'après-midi (salât al 'asr).
Ils se succèdent donc jour et nuit ! Ainsi ces 2 groupes d'anges sont réunis durant la prière du matin et la prière de la fin d'après midi, et lorsque ces anges retournent auprès d'Allah il leur demande dans quel état étaient mes serviteurs lorsque vous les avez quitté ? (il leur pose la question mais il est plus savant qu'eux de la réponse) ainsi il leur demande : dans quel état étaient mes serviteurs lorsque vous les avez quitté ?
Et les anges répondent alors nous les avons quitté alors qu'ils priaient et nous les avions trouvé alors qu'ils priaient ! Quand nous sommes parti en fin d'après midi ils étaient en train d'accomplir la salât et quand nous étions venus à eux à l'aube ils priaient !
Sois attentif à ce point là serviteur d'Allah ! Et dis moi par Allah ! si nous étions témoins de leurs descentes et de leurs remontées vers le ciel, si on pouvait les voir descendre du ciel et y remonter ne serait-ce point là une spectacle grandiose ???
Si on considère qu'il y a près de 5 milliards d'êtres humains sur terre et que chacun d'entre eux a avec lui 4 anges !
Combien ça nous fait d'anges en tout ?
Ça nous donne 20 milliards d'anges mandatés auprès des humains ! Ceci nous éclaire sur le grand nombre qu'il existe d'anges.
Il y a près de 20 milliards d'anges qui montent et redescendent du ciel de jour comme de nuit !
Toutes ces montées et ces descentes du ciel n'aurait aucun but ? Tout ceci ne serait que vaine futilité ?
Il y a près de 20 milliards d'anges dont la mission est de retranscrire les actes des êtres humains !
Tout ceci ne serait ce que perte de temps, un simple jeu sans but ?
Non bien sur que non ! Absolument pas ! Il s'agit d'une affaire extrèmement importante, il s'agit d'une affaire très sérieuse, une affaire de la plus haute des importances !
Allah a attribué à chacun d'entre nous 4 anges qui se font passer entre eux le registre de nos oeuvres afin d'y inscrire chacun de faits et gestes.
Cheikh 'Abdoullah ibn 'Uthmân al-Dhamâri

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Le Coran dit : " et quiconque sauve une vie c’est comme s'il sauvait la vie de toute l’humanité ." Il se pourrait qu’ il n'y a pas de meilleure façon de mettre en oeuvre ce concept dans le domaine de sauver des vies qu’en transplantant des organes provenant de dons pour remplacer les organes vitaux défaillants. Cette conclusion a pu cependant être définie après à la synthèse des lois Islamiques. A la base, la violation du corps humain, qu’il soit vivant ou mort, est contraire aux règles de l' Islam. Ceci entrainerait l’incision du corps d'un donneur vivant ou d'un cadavre et l'obtention de l'organe destiné au don serait interdit, si l’évocation de deux règles juridiques n’avaient pu résoudre aisément l’impasse. La première des deux règles est : " la nécessité lève l’interdit." et la seconde est "le moindre des deux maux doit être choisi si les deux ne peuvent pas être évités." Puisque sauver une vie est une nécessité plus importante que la préservation de l'intégrité du corps du donneur ou du cadavre et puisque la lésion faite au corps du donneur est minime comparé au fait de laisser mourir un patient, la procédure de donation et de transplantation d'organe est autorisée. Elle ne doit pas présenter de danger pour le donneur, et devra également être médicalement assurée. Les lois de libre consentement dénuées de toute pression doivent être observées lorsqu’un donneur (ou un membre de la famille du donneur décédé) expriment leur consentement. - Transplantation du tissu nerveux La transplantation du tissu nerveux a récemment montré quelque promesse dans le traitement de certaines maladies. Elle est légale si la source en est les glandes surrénales ou un foetus animal, ou alors un foetus humain qui a spontanément avorté. Il est illégal de sacrifier une vie ou un foetus humain viable dans ce but. Dans l'avortement légal (comme sauver la vie de la mère) le foetus peut être utilisé. La création de foetus ou la provocation d’ un avortement dans le but de la transplantation est illégal. - Le foetus anencéphale Le foetus anancéphale est le résultat d’ une anomalie congénitale dans laquelle la voûte cranienne et les hémisphères cérébraux sont absents. Le foetus peut naitre vivant, mais mourra en fin de compte après une période variable qui pourrait s'étendre à quelques jours. Tant qu'il vit, il ne doit pas être utilisé comme une source d'organes pour la transplantation. Mettre fin artificiellement à sa vie est illégal. Il peut être maintenu par la réanimation artificielle afin de conserver ses tissus sains, jusqu’à ce qu’il y ait mort cérébrale et seulement ensuite, le prélevement de ses organes sera autorisé. -Transplantation des glandes sexuelles Il est illégal de transplanter à une autre personne des testicules capables de produire et de libérer du sperme ou de transplanter des ovaires capables d'ovuler, car cela amènerait à la confusion dans la généalogie et dans la conception de bébés issus de gamètes n’ayant pas été unis par un mariage authentique, puisque de tels spermes et ovocytes appartiendront toujours au donneur et non au receveur. Les glandes sexuelles stériles ( qui ne produisent pas de gamètes) mais qui sont hormonalement actives ne sont pas concernées pas cette interdiction, mais leur utilisation est absente dans la pratique clinique. - Définition de la Mort La définition du moment de la mort a son importance non seulement concernant des questions médicales, comme la prise de décision d'arrêter la réanimation artificielle ou lors de la décision de prélever un organe vital unique (comme le coeur), mais elle a également son importance pour des questions juridiques comme la détermination du début de la période d’attente d’ une veuve, qui doit attendre un certain délai suite à la mort de son mari avant de se remarier (quatre mois et dix jours, ou si elle est enceinte, jusqu’à la fin de sa grossesse) et comme la répartition des parts de legs si deux héritiers ou plus devaient mourir successivement. De récents congrès juridiques ont accepté une nouvelle définition de la mort basée sur la mort cérébrale totale (incluant le tronc cérébral) même si certaines fonctions physiologiques sont toujours maintenues par la réanimation artificielle. La nouvelle définition a été rendue possible par un processus "d'analogie" à une ancienne règle juridique qui reconnaissait le concept de la blessure fatale. Il y a plusieurs siècles, il a été décrété que si une personne était poignardée, entrainant une extériorisation de ses intestins, cet état était considéré comme une blessure fatale bien que la victime continuait à bouger et montrait d'autres signes de fin de vie, et était techniquement appelé "le mouvement du tué." Si un second agresseur venait alors achever la victime lui provoquant définitivement la mort, la responsabilité du meurtre incomberait au premier agresseur et le second agresseur sera également inculpé, mais pas accusé de meurtre. Les personnes en état de mort cérébrale dont les organes et le système organique sont maintenus artificiellement sont ramenées au même statut que celui du "du mouvement du tué ", au regard du fait que le retour à la vie est scientifiquement impossible. Ce ne serait donc pas un crime si l’on décidait l’arrêt de la réanimation, ou si le coeur (sain et fonctionnel) est prélevé pour la transplantation destiné à un patient dont le coeur serait malade sans espoir de guérison. Islam-Médecine Cet article a été traduit grâce à la permission écrite du sitewww.islamicity.com |

véritable phénomène de société, de moins en moins caché , le piston a rarement été autant employé. Il est entré dans les moeurs, et face à la difficulté de notre époque, il se révèle aussi salutaire qu'un bon dossier, un bon diplome ou autre...
Pour trouver un stage , un emploi, une école, un logement, des places de spectacle, Parfois, sans lui , on peut attendre des années avant de trouver ce qu'on cherche.. , il suffit d'un coup de fil pour que ça bouge.
L'islam rejette le favoritisme envers certaines personnes ou certaines nations à cause de leurs richesses, de leur pouvoir , ou de leur race. Allah taala a créé les êtres humains égaux et on ne peut faire de distinction entre eux que sur la base de leur foi et de leur piété...
"Ô hommes! Nous vous avons créés d'un mâle et d'une femelle, et Nous avons fait de vous des nations et des tribus, pour que vous vous entreconnaissiez. Le plus noble d'entre vous, auprès d'Allah, est le plus pieux. Allah est certes Omniscient et Grand-Connaisseur."
[Sourate AL-HUJURAT (LES APPARTEMENTS) - Verset 13]
L’être humain doit traiter les gens avec justice et ne pas favoriser un proche ou un ami que ce soitpour lui ou pour son responsable, car le Prophète, qu’Allah prie sur lui et le salut, a dit :
« Je jure par Allah que si Fâtima fille de Muhammad avait volé, je lui aurais coupé la main ! »
Il n’est donc pas permis de favoriser les proches du responsable ou ses amis, que cette faveur soit,comme le dit la personne, importante ou routinière. En effet, toute chose que le gouvernement a mise en place et qui ne contredit pas la loi divine doit être respecté, car Allah dit :
An-nissa_059
« Ô les croyants ! Obéissez à Allah, et obéissez au Messager et à ceux qui détiennent lecommandement. » Les Femmes, v. 59.
L’obtention par intervention d’un diplôme non mérité est interdite. Car elle entraîne plusieurs autres choses prohibées. Celui qui est intervenu en votre faveur est votre complice dans cette pratique interdite. Les choses prohibées consécutives à votre obtention de ce diplôme sont les suivantes :
-La mauvaise intervention à propos de laquelle Allah Très Haut dit : « Quiconque intercède d' une bonne intercession, en aura une part; et quiconque intercède d' une mauvaise intercession en portera une part de responsabilité. Et Allah est Puissant sur toute chose.» (Coran, 4 : 85).
Al-Hafiz ibn Hadjar (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) a dit : « Toute bonne intervention n’est pas génératrice de récompense (divine). Seule l’est l’intervention qui intéresse un domaine dans lequel il est permis d’intercéder. C’est ce qu’on appelle la bonne intercession. Elle consiste précisément à intercéder dans les domaines où la loi le permit, comme l’indique le verset (4 :85). En somme, remportera une part de récompense tout auteur d’une bonne intervention. Et supportera une part du péché toute personne qui intervient pour faire prévaloir le faux ». Fateh al-Bari, 10/451-452.
-La tricherie consistant à présenter de faux papiers.
D’après Abou Hourayra (P.A.a) le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Le tricheur ne fait pas partie des nôtres ». (rapporté par Mouslim, 102).
-Se targuer d’un titre que l’on ne possède pas réellement. Car l’intéressé prétend avoir obtenu un diplôme. Ce qui n’est pas vrai.
D’après Asma (P.A.a) le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui)a dit : « Celui qui se targue (de qualités) qu’il n’a pas est comme quelqu’un qui porte de faux vêtements » (rapporté par al-Boukhari, 4921 et par Mouslim, 2130).
-Tenir de faux propos et faire un faux témoignage
D’après Abou Bakr le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Ne vais-je pas vous apprendre le plus grave des péchés ?
-«Si, ô Messager d’Allah »
-« le fait d’associer quelqu’un à Allah, le mauvais traitement de ses père et mère. A cet instant, il se mit assis après s’être accoudé. Et puis il dit : attention ! Et les faux propos et le faux témoignage » Et il ne cessa de répéter cette phrase jusqu’à ce que nous souhaitâmes qu’il se tût » (rapporté par al-Boukhari, 5631 et Mouslim, 87).
-Mentir au patron et aux gens
D’après Abou Hourayra (P.A.a) le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : «Les signes (caractéristiques) de l’hypocrite sont au nombre de trois : « un discours mensonger, des promesses non tenues et la trahison en cas de confiance » (rapporté par al-Boukhari, 33 et par Mouslim, 59.
-Usurper la place d’un autre qui a obtenu un vrai diplôme sans intervention. Ce qui est une injustice à l’égard des diplômes non employés.
D’après Abou Dharr (P.A.a) le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) reçut d’Allah Très Haut et Béni les propos que voici : « Mes serviteurs! Je me suis interdit l’injustice et vous l’ai interdite ; ne vous lésez pas les uns les autres » (rapporté par Mouslim, 2577).
http://islamqa.info/fr/60199
http://www.fatawaislam.com/les-relations-sociales/le-travail/1490-etre-complaisant-dans-le-travail-en-faveur-des-connaissances-du-patron



1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité