Les marchés financiers se divise en 4 grandes parties;
1- Le Forex(c'est le commerce d'une devise contre une autre devise)le but de la transaction dans ce marché c'est de faire des bénéfices en achetant par exemple de l'euro contre dollar lorsqu'il est à 1,25 et de le revendre lorsqu'il est à 1,35 ou on peut aussi faire le contraire si par exemple le cours à 11 heures du matin est à 1,40 et suivant une analyse mathématique et fondamentale on sait qu'il va descendre à 1,30 on peut déjà le vendre au marché à ce taux et le racheter plus tard dans la journée à 1,30.Pour cet exemple c'est comme si on avait des acheteurs à 1,40 donc notre travail c'est d'acheter l'euro contre dollar à un cours inférieur à 1,40.
2- Les Actions.
3- Les Cfd(contrat sur différence)et 4 le marché des futures qui représente le marché des matières premières (blé,pétrole,gaz....)
Le commerce des devises comporte plusieurs dangers à cause de la confusion de la condition de la l'encaissement immédiate et du retard du règlement en général pendant une période de deux jours. 2- Les contrats sur différence : il comporte le hasard {Al-Maïssir: jeu de hasard] qui est interdit dans la législation islamique. 3- Le commerce des actions : il n'y a aucun mal en cela à condition que le travail de la compagnie elle-même soit en bonne forme [l'intégrité du travail de la compagnie], tout en évitant les spéculations préjudiciables (comme par exemple le commerce durant la même journée [Day trading], de même que les dérivés [Derivatives]). 4- Il n'y a aucun mal en ce qui concerne le commerce des produits et des matières premières à condition de payer le prix complètement afin d'éviter l'ajournement des deux échanges [le prix et le produits, ce qui est interdit dans la législation islamique.
http://fr.islamtoday.net/node/3290
http://le-monde-du-forex.blogspot.com/2012/01/trader-avec-un-compte-forex-islamique.html
Quel que soit votre parfum, l'alcool représente au minimum 80% de sa composition. Est-ce pour vous mettre en joie le matin quand vous vous parfumez ? Cela peut être une raison mais ce n'est pas la principale.
La substance odoriférante est le concentré du parfum. C'est une huile qui doit être déposée en faible quantité pour bien exhaler. Il est donc nécessaire de la diluer dans de l'alcool éthylique choisi pour sa neutralité. Dès l’application du parfum, l'alcool s'évapore rapidement en provoquant ce sentiment de fraîcheur. Sur la peau reste alors le concentré qui diffuse son odeur tout au long de la journée par évaporation progressive des molécules odorantes.
Selon la quantité de concentré présente (20 à 15 % pour un parfum, 10 à 20% pour une eau de parfum, 6 à 8% pour une eau de toilette), la diffusion sera plus ou moins longue. Alors à vous de choisir !
http://www.espace-sciences.org/archives/science/17215.html
Cheikh Abdoul Aziz Ibn Baz (Puisse Allah lui accorder si miséricorde) a été interrogé en ces termes : « M’est-il permis de lire le Saint Coran au profit de mes père et mère, étant donné qu’ils sont illettrés. Puis-je effectuer une lecture complète du Coran au profit d’une personne lettrée, mais à qui il me plait d’offrir une telle œuvre ?
Puis-je faire la même chose pour plusieurs personnes ? Il a répondu ainsi : « Rien dans le Coran ni dans la Sunna purifiée du Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui ) ni dans ce qui a été rapporté de ses nobles compagnons n’atteste la légalité d’offrir la lecture du Saint Coran à ses père et mère ou à d’autres. La loi religieuse stipule qu’on lit le Coran pour en tirer profit, pour le méditer et l’appliquer. Le Très Haut a dit : « (Voici) un Livre béni que Nous avons fait descendre vers toi, afin qu'ils méditent sur ses versets et que les doués d'intelligence réfléchissent! (Coran, 38 : 29) et dit : « Et ils dirent: "Nous ne croirons pas en toi, jusqu'à ce que tu aies fait jaillir de terre, pour nous, une source;» (Coran, 17 :90) et dit «Si Nous en avions fait un Coran en une langue autre que l'arabe, ils auraient dit: "Pourquoi ses versets n'ont-ils pas été exposés clairement? quoi? Un (Coran) non-arabe et (un Messager) arabe?" Dis: "Pour ceux qui croient, il est une guidée et une guérison". Et quant à ceux qui ne croient pas, il y a une surdité dans leurs oreilles et ils sont frappés d'aveuglement en ce qui le concerne; ceux-là sont appelés d'un endroit lointain. » (Coran, 41 : 44). Et notre Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « lisez le Coran car il intercédera au profit de ses lecteurs » il dit aussi : « Le Coran sera amené au jour de la Résurrection en compagnie des siens, ceux qui l’appliquaient avec entête les sourates al-baqara et al-imran qui apparaîtront tels deux nuages ou un groupe d’oiseaux rangés, et défendraient celui qui avait l’habitude de les lire.
En somme, le Coran est révélé pour être appliqué et médité. Il faut le réciter fréquemment dans le cadre de la pratique cultuelle. Mais il n’est pas fondé d’offrir la récompense de sa lecture aux morts ou à d’autres. Je ne sache pas que le fait d’offrir la récompense de sa lecture aux père et mère ait un fondement sûr. Or le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Toute œuvre contraire à notre ordre est rejeté ».
Certains ulémas soutiennent la légalité de cela et disent : rien n’empêche d’offrir (aux défunts) la récompense de la lecture du Coran ou d’autres bonnes œuvres. Et ils assimilent cela à l’aumône, et à l’invocation et à d’autres actions faites pour les morts.
Le premier avis demeure le juste compte tenu du hadith susmentionné et d’autres allant dans le même sens. S’il était permis d’offrir la récompense de la lecture du Coran (aux morts), les ancêtres pieux l’auraient fait. Et le raisonnement par analogie n’est pas acceptable en matière cultuelle, celle-ci étant exclusivement déterminée soit par un texte reproduisant la parole d’Allah Puissant et Majestueux, soit par la Sunna du Messager d’Allah) conformément au hadith précité et d’autres abondant dans le même sens. Voir Madjmou fatawa Cheikh Ibn Baz, 8/360-361.
Quant à l’argument qu’ils (les partisans du deuxième avis) croient trouver dans ce hadith : « La mort fait cesser les œuvres du défunt sauf trois… » il est invalide car, à y réfléchir de près, ce hadith indique qu’il n’est pas institué d’offrir la récompense de la lecture du Coran aux morts, car le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) dit : un enfant qui prie pour lui (son père) et non : qui lit le Coran pour lui »
http://islamqa.info/fr/70317
Il y a de nombreux textes juridiques du Coran et de la Sunna qui recommandent la modestie envers Allah et envers les gens.
Ces textes louent ceux qui sont modestes et mentionnent leur récompense instantanée.
Par ailleurs, il y a de nombreux textes juridiques interdisant l'arrogance et l'orgueil et montrant le châtiment réservé à ces gens-là.
Comment une personne peut donc se soigner de l'arrogance et acquérir la modestie ?
Il ne fait aucun doute qu'il est obligatoire à tout musulman de se méfier de l'orgueil et de chercher à être modeste.
"Celui qui se montre humble devant Allah d'un degré, Allah l'élèvera d'un degré"
Une fois, un homme a dit : "O Messager d'Allah ! J'aime bien porter de beaux vêtements et de belles chaussures. Est-ce de l'arrogance ?"
Le Messager (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam) a dit :
"Allah est beau, et Il aime la beauté. Mais j'entends par orgueil : la méconnaissance du droit et le mépris des gens."
La méconnaissance du droit signifie de rejeter la vérité quand elle s'oppose aux désirs personnels.
Le mépris des gens signifie le fait de dédaigner les gens, car une personne arrogante voit que les gens lui sont inférieurs et qu'elle s'élève au dessus d'eux.
Cela peut être dû à son éloquence, à sa richesse, à sa position, ou à d'autres raisons.
Un arrogant pourrait être également pauvre.
Dans le Hadith authentique, le Messager (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam) a dit :
"Il y a trois types de personnes à qui Allah ne parlera pas le Jour de la Résurrection, qu'Il ne purifiera pas, qu'Il ne regardera pas et ils auront un châtiment douloureux :
un vieux fornicateur,
un roi menteur
et un pauvre orgueilleux."
Il est plus détestable qu'un pauvre soit orgueilleux et hautain, parce qu'on est plus susceptible d'être arrogant en raison de la richesse et la fortune.
Ainsi, si un pauvre se caractérise par l'arrogance, cela reflète une caractéristique innée et dans sa nature.
La modestie c'est avoir la clémence et les bonnes moralités et traiter les gens avec de bonnes manières.
Le Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam) a dit :
"Ceux qui me sont les plus chers et qui seront les plus proches de moi au Jour de la Résurrection, sont ceux qui ont une bonne conduite."
"Le bien consiste à avoir un bon caractère."
Ainsi, il faut toujours se rappeler la Majesté d'Allah, c'est Lui qui donne la richesse, la position, l'autorité, la beauté etc..
On se montre reconnaissant envers Allah par la modestie et par le fait de s'abstenir de l'arrogance.
Il n'est pas permis d'être orgueilleux à cause de la richesse, de l'emploi, de l'origine, de la beauté, de la puissance, ou d'autres choses.
Au contraire, il faut se rappeler que ces dons sont les bienfaits d'Allah (qu'Il soit Exalté) et qu'on doit Lui en être reconnaissant par la modestie, l'humilité et l'abstention de l'arrogance.
C'est parce que l'arrogance mène à l'oppression, au mensonge et à l'injustice en paroles et en action.
Elle conduit l'homme à se considérer comme supérieur à son frère en raison soit de la richesse, de la beauté, de la position, de l'origine, ou d'autres facteurs que vous pourriez imaginer.
Par conséquent, le Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam) a dit :
"Mais j'entends par orgueil : la méconnaissance du droit et le mépris des gens."
Autrement dit, le fait de rejeter la vérité quand elle s'oppose aux désirs personnels.
Alors que le mépris des gens signifie le fait de les rabaisser, de les juger comme étant inférieurs et indignes d'un traitement juste et d'estimer qu'ils ne sont pas assez à la hauteur pour que leur invitation soit acceptée ou pour qu'on les salue etc..
Si l'homme peut se souvenir de sa faiblesse et qu'il a été créé à partir d'une goutte de sperme faible, qu'il a besoin d'entrer aux toilettes pour vider son corps des urines ou des excréments et qu'il a besoin de manger pour être en mesure de vivre, alors il saura que s'il continue à désobéir à Allah (qu'Il soit Exalté), sa fin sera en Enfer, il reconnaîtra sa faiblesse et sa pauvreté et il ne sera pas arrogant.
http://3ilm.char3i.over-blog.com/article-comment-se-debarrasser-de-l-arrogance-et-acquerir-la-modestie-117533961.html
Il y a quelques divergences entre les savants concernant l'accomplissement de la Salât oul Djanâzah (prière mortuaire) pour celui qui s'est suicidé:
- Selon l'avis de la majorité des savants (c'est là l'opinion qui fait autorité chez les hanafites, les châféites et les mâlékites), la prière mortuaire sera accomplie en sa faveur étant donné qu'il reste malgré tout un musulman décédé. Pour ce qui est de son péché, il s'agit d'un acte d'une très grande gravité, mais qui ne le fait pas pour autant perdre l'Imân et devenir apostat ("mourtad"): Il assumera l'entière responsabilité de ce qu'il a fait dans l'Au-delà…
- Selon l'avis de l'Imâm Ahmad r.a., il n'est pas "sounnah" (recommandé) au Imâm ou au responsable des affaires de la communauté musulmane d'une localité d'accomplir la Salât oul Djanâzah pour cette personne (les autres musulmans peuvent le faire). Mais si l'Imâm décide de prier quand même, il n'y a aucun mal à cela.
- Selon l'avis du calife Oumar Ibn Abdil Azîz r.a., de l'Imâm Awzâï r.a. et Qâdhi Abou Youssouf r.a. (l'élève de Abou Hanîfa r.a.), la prière mortuaire ne sera pas accomplie pour celui qui s'est suicidé. Cet avis s'appuie sur un Hadith du Sahîh Mouslim qui relate qu'une fois, on présenta au Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) une personne qui s'était suicidé: Il (sallallâhou alayhi wa sallam) ne pria pas en sa faveur...
Par rapport à ce Hadith, les autres savants répondent que si le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) n'a pas prié sur cette personne, c'était uniquement pour bien mettre en valeur la gravité du suicide: En effet, les Compagnons (radhia Allâhou anhoum), eux, ont accompli la Salât oul Djanâzah pour cette personne suicidée, comme l'indique apparemment la version de ce Hadith rapporté par Nassaï dans laquelle le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) dit: "Quand à moi, je ne prie pas sur lui."
A noter d'ailleurs que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) adoptait la même attitude au départ au sujet de la personne qui mourrait et laissait des dettes derrière lui: Il ne priait pas lui-même pour cette personne, mais ordonnait aux Compagnons (radhia Allâhou anhoum) de le faire.
Wa Allâhou A'lam !
Et Dieu est Plus Savant !
(Réf: "Al Fiqh oul Islâmiy", "Marâqiy oul Falâh" et "Souboulous Salâm")
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité