Le corps humain doit maintenir sa température aux alentours de 37 degrés Celsius et peut transpirer si nécessaire. Quand il fait chaud, la production de sueur augmente et l’eau qui s’évapore prélève de la chaleur à la peau, refroidissant ainsi le corps. C'est par cette réaction que survient l'odeur corporelle, qui peut devenir source de problèmes au quotidien.
La sueur contient un mélange d’eau, de sels et de toxines; la sueur est produite par des millions de glandes eccrines réparties sur l’ensemble du corps. Mais nous avons un autre type de glandes sudorales, qui se trouvent sous nos bras et à proximité de nos organes génitaux, baptisées glandes apocrines. Les glandes apocrines produisent une sueur laiteuse qui contient des protéines et une substance huileuse appelée sébum, un hydratant naturel de la peau. Cette sueur laiteuse est l’aliment idéal pour de nombreuses bactéries microscopiques qui se trouvent sur la peau sous nos bras et autour de notre sexe. Lorsqu’elles consomment notre sueur, ces bactéries produisent des composés chimiques odorants qui sont responsables de notre odeur corporelle. Plus longtemps on laisse ces bactéries consommer les composés de la sueur (en d’autres termes, plus on attend avant de prendre une douche), plus l’odeur devient forte.
Les déodorants et les antitranspirants ont une action différente sur la sueur. Les déodorants ne perturbent pas l’émission de la sueur mais ils contiennent des agents antiseptiques qui éliminent les bactéries à l’origine des odeurs corporelles ainsi que des parfums. Les antitranspirants, par contre, bloquent les pores pour empêcher la libération de sueur.
http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/qr/d/corps-humain-odeur-corporelle-sueur-odeur-desagreable-209/
L’identification humaine à partir de l’odeur corporelle n’est pas nouvelle. Les polices s’en servent depuis plus d’un siècle en faisant appel à des chiens renifleurs, dont l’odorat est suffisamment puissant pour retrouver une personne à partir d’un échantillon qu’ils ont senti. Dès lors, avec les moyens techniques dont nous disposons aujourd’hui, serions-nous en mesure de créer un système de reconnaissance biométrique basé sur l’odeur corporelle ?
Disons-le d’emblée, cela est encore loin d’être une réalité et ne le sera peut-être même jamais. Mais les chercheurs ont franchi une étape importante en démontrant que l’identification d’un individu à partir de son odeur est scientifiquement réalisable en se servant de l’apprentissage automatique. Les travaux ont été menés par une équipe du groupe biométrie, biosignaux et sécurité (GB2S) de l’université polytechnique de Madrid, qui a pu isoler des caractéristiques reconnaissables constitutives de l’odeur d’une personne. Grâce à un capteur utilisant la spectrométrie de masse, ils ont pu identifier 13 personnes à partir de l’odeur de leurs mains avec un taux de réussite de 85 %.
L’idée est que cette méthode d’identification biométrique serait moins invasive que les autres techniques actuelles. « Plusieurs techniques biométriques comme la lecture de l’iris ou des empreintes digitales ont un taux d’erreur très bas. Cependant, ces deux méthodes sont généralement associées à des dossiers criminels, et c’est la raison pour laquelle une personne est réticente à s’y soumettre », expliquent-ils dans leur article publié dans la revue Knowledge-Based Systems. « Les passeports électroniques permettent la reconnaissance faciale, par empreinte digitale ou l’iris. Par conséquent, ils sont préparés à recevoir des informations biométriques, et inclure l’odeur corporelle serait bénéfique pour rendre les systèmes plus fiables », argumente Irene Rodriguez-Lujan, membre de l’équipe.
Le capteur d’odeur corporelle mis au point par l’université polytechnique de Madrid et Ilía Sistemas SL prélève les émanations de l’épiderme de la main. Il réalise ensuite une ionisation à pression atmosphérique avec un spectromètre de masse. Ces données brutes ont été utilisées pour élaborer l’algorithme d’identification.
Le capteur d’odeur corporelle mis au point par l’université polytechnique de Madrid et Ilía Sistemas SL prélève les émanations de l’épiderme de la main. Il réalise ensuite une ionisation à pression atmosphérique avec un spectromètre de masse. Ces données brutes ont été utilisées pour élaborer l’algorithme d’identification.
Trois sortes d’odeurs corporelles
Notre odeur est faite de composés chimiques volatils : hydrocarbures, alcools, acide carboxylique, cétone, aldéhydes. Elle est émise par les cellules épithéliales qui se détachent en permanence de l’épiderme, les sécrétions des glandes apocrine, eccrine et sébacée ainsi que les bactéries qu’elles produisent. Cette alchimie complexe constitue ce que les chercheurs appellent l’« odeur primaire », qui reste constante dans le temps. À cela s’ajoute une « odeur secondaire », elle aussi stable, qui est induite par un régime alimentaire ou un état émotionnel particulier tel que la dépression. Vient enfin une « odeur tertiaire », résultat d’apports extérieurs comme les cosmétiques, les savons et les parfums que nous appliquons sur la peau.
Pour son étude, l’équipe du GB2S a choisi de prélever l’odeur corporelle à partir de la main parce qu’il s’agit d’une partie peu invasive. Elle s’est servie d’un capteur spécialement fabriqué pour l’occasion par Ilía Sistemas SL. Il se compose d’un ionisateur et d’un spectromètre de masse pour réaliser une ionisation à pression atmosphérique qui permet d’extraire, puis d’analyser, les vapeurs émises par l’épiderme de la main. Les données brutes sont des spectres qui représentent le nombre d’ions détectés pour chaque masse (752 intervalles de masse par spectre) pendant que la main est placée dans le capteur.
Détecter des maladies grâce à l’odeur
Les chercheurs ont ensuite élaboré l’algorithme d’apprentissage en réalisant une série de prélèvements sur les mains droite et gauche de 13 personnes (huit hommes et cinq femmes) durant 28 cessions sur plusieurs jours. C’est à partir de ces échantillons de chaque individu que le système est entraîné à élaborer une classification qui fonctionne par une analyse discriminante prédictive. La problématique consistait à analyser un grand nombre de masses récoltées à partir d’un échantillon réduit d’individus. Il a donc fallu procéder à une réduction dimensionnelle. Mais au final, les chercheurs sont parvenus à bâtir leur modèle mathématique, qui a démontré son efficacité en atteignant un taux de réussite de 85 %.
Cependant, les scientifiques admettent en conclusion de leur article que bien qu’ils aient démontré la faisabilité de l’utilisation de l’odeur corporelle comme identifiant biométrique, le système est loin d’être aussi efficace que les méthodes basées sur les empreintes digitales ou l’iris. « Bien que nos résultats soient très prometteurs, nous devons encore améliorer le capteur et le modèle mathématique dans les années qui viennent, reconnaît Irene Rodriguez-Lujan. Nous sommes encore loin d’atteindre l’efficacité de l’odorat du chien. Néanmoins, l’odeur corporelle pourrait ajouter de la valeur en consolidant les systèmes existants, dans la mesure où elle propose une approche qu’il est difficile de falsifier. »
Elle ajoute que la caractérisation de l’odeur corporelle ouvre de nombreuses possibilités dans d’autres domaines que la biométrie. « Nous travaillons à appliquer cette technologie à des utilisations biomédicales pour la détection prématurée de certaines maladies. Le GB2S, Ilia Sistemas SL et SEADM SL collaborent actuellement avec d’autres groupes de recherche sur des projets de détection des signes précurseurs du cancer du côlon et de la leucémie à partir du sang et de la respiration. »
http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/actu/d/informatique-odeur-corporelle-nouvel-outil-biometrique-52294/#xtor=RSS-8
« Le fait de jurer par autre qu’Allah, le Très Haut, par exemple : « par ta vie, par ma vie ou encore je jure par le peuple ou autre que cela est interdit, plus grave, ceci fait partie du « Shirk » (attribuer un associé à Allah). En effet, le fait de juger par une personne est un symbole de glorification, de ce fait, ceci ne revient qu’à Allah, le Très Haut. Donc, glorifier autre qu’Allah relève du « Shirk ».
Par contre, celui qui jure par autre qu’Allah tout en étant conscient que la chose par laquelle il a jurée est moins importante qu’Allah ne commet pas de « Shirk akbar » mais plutôt du « Shirk asghar » . Le prophète, sala Allah ‘alayhi wa salam, a dit :
« Ne jurez pas par vos pères, celui qui veut jurer, qu’il jure par Allah ou bien qu’il se taise » comme ceci a été rapporté de façon authentique dans Bukhari.
Il, sala Allah ‘alayhi wa salam, a également dit :
« Celui qui a juré par autre qu’Allah a mécru ou a associé ».
Donc, ne jure pas par autre qu’Allah, le Très Haut, même si c’était le prophète, Jibril ou d’autres parmi les messagers, les anges ou les êtres humains.
Sache que Cheikh Al-Islam (Ibn Taymiya, rahimahou Allah)a dit :
« le « Shirk » n’est pas pardonné par Allah, fut-il petit ».
Quant au fait de jurer par le coran, il n’y a pas de mal, car le coran est la parole d’Allah, qui est une de Ses caractéristiques, il est, donc, permis de jurer par le coran »
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Information
Source : Fatawa Al-‘Aqîda, page 348.
Auteur : Cheikh Al-Uthaymîne
Traduction : L’équipe de Sounna.com
"Coupe-faim", "brûle-graisses", drainants, etc… De nombreux produits naturels dédiés à la perte de poids ont fait leur apparition sur le marché ces dernières années. D’un simple clic, il est possible de se les procurer sous forme de complément alimentaire. En 2009, le CNRS a pourtant révélé que plus de 2/3 d’entre eux contenaient des composants inactifs ou étaient surdosés. Certains ont même interdits par les autorités de santé. Quels sont les produits naturels réellement efficaces pour perdre du poids ? PasseportSanté a choisi de vous en livrer cinq, sources et modes d’action à l’appui.
Le thé vert, brûle-graisse naturel
D’origine chinoise, le thé vert est connu depuis l’antiquité et fait partie des « brûle-graisses ». Cette appellation grand public, qui caractérise le plus souvent les plantes contenant de la caféine, fait référence à une augmentation de la lipolyse (= dégradation de certains gras) et de la thermogènese (= production de chaleur de l’organisme).
Comment ça marche ?
Les feuilles de thé vert contiennent à la fois de la caféine, entre 3 et 4 %, et des catéchines, deux substances qui augmentent les concentrations de noradrénaline dans l’organisme. Or, ce composé permet d’accroître les dépenses énergétiques et l’oxydation des graisses. Des études réalisées sur des rats ont démontré l'effet anti-obésité du thé vert. Celles effectuées sur l’homme sont moins catégoriques mais semblent être tout de même bénéfiques sur la perte de poids. Une méta-analyse, réalisée sur 11 études, a montré que les catéchines du thé vert avaient un intérêt dans la perte de poids et dans son maintien, en particulier lors d’une activité physique modérée.
Comment consommer le thé vert ?
Le thé vert est principalement utilisé sous forme d’infusion. On peut cependant le retrouver sous formes de pastilles ou de gélules. Une tasse de thé vert contient en moyenne 50 mg de caféine4. Il est recommandé de ne pas dépasser 3 à 4 tasses de thé vert, ce qui permet de ne pas aller au-delà des doses moyennes quotidiennes recommandées de 300 mg de caféine. En raison d’une suspicion d’effet hépatotoxique, surtout si le thé vert est consommé à jeun, la FDA (Food and Drug Administration) recommande de le consommer en mangeant .
Le guarana, accélérateur de la dépense énergétique
La graine de guarana, un arbuste originaire de l’amazonie brésilienne, est également employée comme complément dans certains régimes amincissants. Elle fait partie, tout comme le thé vert, des « brûle-graisses » qui favorisent la dégradation de ces dernières et l'augmentation de l’activité métabolique.
Comment ça marche ?
Le guarana doit ses effets à sa haute teneur en caféine. Outre une augmentation de la vigilance et une accélération du rythme cardiaque, la caféine serait responsable de l’augmentation du métabolisme cellulaire et donc de la perte de graisses. Des chercheurs ont notamment montré que la consommation de ce composé augmentait la dépense énergétique et avait un impact sur la sensation de satiété.
Comment consommer le guarana ?
Le guarana peut se consommer sous forme de boisson, d’extrait fluide, de gélules ou encore de comprimés effervescents. Pour un adulte, la dose de guarana est de 1 à 3 g maximum de poudre par jour. Il ne doit pas être administré chez les patients hypertendus ou les enfants de moins de 16 ans. D’autre part, l’ESCOP (European Scientific Cooperative on Phytotherapy) ne recommande pas son utilisation aux femmes enceintes et allaitantes.
La pomme, aliment santé par excellence
La pomme est le fruit-santé par excellence. Ses pectines sont reconnues pour réguler le transit intestinal mais elles sont également utilisées dans les compléments alimentaires, comme « coupe-faim ».
Comment agissent les pectines ?
L’activité coupe-faim de la pomme est liée à sa teneur en pectines, des fibres alimentaires végétales. Une fois ingérées, ces fibres sont capables d’absorber de grandes quantités d’eau pour former un gel visqueux qui permet d’augmenter le volume du bol alimentaire (= aliments mâchés mêlés à la salive), de réduire l’activité des enzymes digestives et donc de diminuer la sensation de faim. Deux études chez les rats ont permis de constater que l’association des pectines et des polyphénols de pommes diminuait le taux de triglycérides sanguins et exerçait une activité anti-obésité. En revanche, peu d’études cliniques sur l’homme se sont consacrées à la question. L’une d’entre elles a démontré un effet concluant mais elle ne portait que sur 35 sujets.
Comment consommer la pomme pour favoriser la perte de poids ?
L’AFSSA n’a pas proposée de doses maximales admissibles sur la consommation de pommes. Pour une efficacité optimale, la prise de pectines doit être effectuée avant le repas et en buvant beaucoup d’eau.
Le konjac, coupe-faim au fort pouvoir d'absorption
Courant dans la cuisine asiatique, le konjac est utilisé dans le traitement de la constipation légère mais aussi en tant que « coupe-faim » pour aider à la perte de poids. Il s’agit d’une plante vivace composée de feuilles en parapluie, mais dont seuls les tubercules sont utilisés.
Comment ça marche ?
L’activité « coupe-faim » du konjac est liée à sa forte teneur en glucomannanes. Ce sont des fibres alimentaires qui possèdent un grand pouvoir d’absorption de l’eau grâce à leurs propriétés gélifiantes importantes. Un gramme de ces fibres peut absorber jusqu’à 200 ml d’eau ! De ce fait, le konjac provoque une augmentation de la viscosité du bol alimentaire, et donc un ralentissement de la vidange gastrique. Cela induit une sensation de satiété plus importante et une moindre absorption des sucres et des graisses, que l’on retrouve dans les selles. Aucune étude, néanmoins, n’est encore parvenue à prouver un véritable effet sur la perte de poids dans la pratique.
Comment prendre le konjac ?
Afin d'éviter tout problème d'obstruction, il est préférable de le consommer sous forme de capsules, car elles ne permettent un délitement de leur contenu qu'à partir de l'estomac. De plus, il est recommandé de boire environ 200 ml d'eau simultanément à l'ingestion de la capsule. Les doses recommandées sont d’environ 1 g, une heure avant chaque repas.
Le nopal et ses propriétés hypoglycémiantes
Plante pouvant atteindre 3 mètres de hauteur, le Nopal est fréquemment employé comme complément dans les régimes amaigrissants. Ce sont ses cladodes, sortes de rameaux ayant l’apparence d’une feuille, qui sont utilisés en médecine car ils renferment des quantités importantes de polysaccharides.
Comment ça marche ?
Les cladodes du nopal ont des propriétés diurétiques et hypoglycémiantes. Cela signifie qu’ils favorisent la sécrétion urinaire et qu’ils diminuent le stockage de triglycérides dans le tissu adipeux. Une étude réalisée sur des rats a montré qu’un extrait de cladodes avait un effet hypoglycémiant à des doses très faibles (6 mg/kg)1. Néanmoins, aucune étude relative à la perte de poids n’a encore été démontrée. En revanche, son taux élevé de fibres alimentaires lui permet d’être employé en tant que coupe-faim, comme le konjac ou la pomme.
Comment consommer le nopal ?
La dose recommandée est de 3 g de plante sèche par jour. Au Mexique, les cladodes de nopal sont consommées depuis des années. Par conséquent, au vu du recul qu'il y a dans l'ingestion de cette plante, on peut considérer qu'il n'existe pas de toxicité.
Attention
L'emploi des produits naturels diurétiques n'est guère justifié dans l'obésité : le poids perdu correspond à de l'eau et non à de la graisse. Par ailleurs, il est important de rappeler que ces composés naturels ne sont pas des produits miracles ! Ils constituent seulement des aides à la perte de poids. Pour maintenir un poids santé, il convient d’adopter des habitudes alimentaires saines et équilibrées et de pratiquer une activité sportive régulière. Enfin, il faut garder à l’esprit que les plantes renferment des composants actifs : les doses recommandées doivent être respectées. En cas de doute, il est important d’en parler à un médecin ou un pharmacien avant le traitement.
Martin Lacroix
Sources :
Medical Economics Compagny, PDR for herbal medicines : the information standard for complemantary medicine. Montvale: Thomson PDR.
T. M. Rains, S. Agarwal, and K. C. Maki, “Antiobesity effects of green tea catechins: a mechanistic review,” J Nutr Biochem, vol. 22, no. 1, pp. 1–7, 2011.
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. Wichtl M, Anton R. Plantes thérapeutiques : tradition, pratique officinale, science et thérapeutique. Paris; Cachan: Tech & Doc ; Editions Médicales Internationales; 2003.
. D. N. Sarma, M. L. Barrett, M. L. Chavez, P. Gardiner, R. Ko, G. B. Mahady, R. J. Marles, L. S. Pellicore, G. I. Giancaspro, and T. Low Dog, “Safety of green tea extracts : a systematic review by the US Pharmacopeia,” Drug Saf, vol. 31, no. 6, pp. 469–484, 2008.
M. Westerterp-Plantenga, K. Diepvens, A. M. C. P. Joosen, S. Berube-Parent, and A. Tremblay, “Metabolic effects of spices, teas, and caffeine,” Physiology & Behavior, vol. 89, no. 1, pp. 85–91, 2006.
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J. M. Lattimer and M. D. Haub, “Effects of dietary fiber and its components on metabolic health,” Nutrients, vol. 2, no. 12, pp. 1266–1289, 2010.
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INTÉRÊT DES COMPLÉMENTS ALIMENTAIRES À BASE DE PLANTES, DANS LES RÉGIMES AMAIGRISSANTS, GENESLAY Angélique, année universitaire 2012-2013
http://www.passeportsante.
Les récits et les hadiths sur la création d’Adam et d’Ève, de même que ceux qui traitent de la façon dont s’est opérée la multiplication de leur progéniture, sont divergents. Cependant, on peut remarquer que dès la création du premier couple de l’humanité, les jalons des rapports homme-femme ont été posés. L’histoire de la création d’Adam et d’Ève, malgré les divergences qui marquent ses péripéties, nous permet d’entrevoir les prémices de ces rapports qui sont, dès le départ, fonction de la nature différente de chacun des deux conjoints.
Ainsi, Zurârah Ibn A‘yan rapporte que lorsqu’on dit à l’Imam al-Sâdiq (p) qu’il y avait des gens qui affirmaient qu’Allah –Il est puissant et sublime- créa Hawwâ’ de la dernière côte gauche d’Adam, l’Imam (p) dit : « Allah est au-dessus et éloigné de telles affirmations. Ceux qui disent de pareilles choses insinueraient qu’Allah –Il est béni et exalté- aurait été incapable de créer pour Adam une épouse autrement que de sa côte, et permettraient par conséquent aux mauvaises langues de dire qu’Adam accomplissait le coїt entre ses différentes parties, si Ève avait été créée de sa côte! Qu’ont-ils donc ces gens pour parler ainsi! Qu’Allah soit arbitre entre eux et nous!» Et l’Imam al-Sâdiq (p) d’expliquer (de relater l’histoire de la création) : «Lorsqu’Allah –Il est béni et exalté- a créé Adam d’argile et qu’Il a demandé aux Anges de se prosterner devant lui, Il l’a mis en état de sommeil. Puis Il a créé pour lui Hawwâ’ (Ève) et l’a placée dans le creux qui se trouve entre ses deux fémurs, afin que la femme dépende de l’homme. Ève se mit alors à bouger et Adam s’est rendu compte de son mouvement. Là on demanda à Ève de s’écarter de lui. Adam la regarda et vit une belle créature qui lui ressemblait, sauf qu’elle était femelle. Il lui parla et elle lui répondit dans son langage. Il lui demanda : « Qui es-tu? » Elle répondit : « Une créature qu’Allah a créée comme tu vois ». Adam dit alors : « Ô Seigneur ! Qui est cette belle créature dont la proximité et la vue me font plaisir? » Allah –Il est béni et exalté- Dit : « Ö Adam ! Elle est mon esclave Hawwâ’ ! Aimerais-tu qu’elle soit avec toi pour te faire plaisir, te parler et dépendre de toi ? » Adam répondit : «Oui, Seigneur! Et je Te remercierai et je Te louangerai pour cela tant que je vivrai ». Allah-Il est puissant et sublime- lui dit : « Demande-Moi alors de t’accorder sa main, car elle est Mon esclave et elle pourrait être ton épouse pour satisfaire ton désir aussi. » Allah plaça alors le désir en lui, après lui avoir appris toutes choses auparavant. Adam dit : «Je Te demande de m’accorder sa main, ô Seigneur. Et que dois-je faire pour obtenir Ton consentement ? » Allah –Il est puissant et sublime- lui répondit : «Tu as Mon consentement contre ton engagement de lui apprendre les aspects de Ma Religion ». Adam répondit : «Je m’y engage, si telle est Ta Volonté me concernant ». Allah –Il est puissant et sublime- dit : «Oui, Je le veux et Je vous marie. Étreins-la donc ». Sur ce, Adam interpella Ève : «Viens près de moi ». Elle répondit : «Non, c’est à toi de venir vers moi ». Allah –Il est puissant et sublime- ordonna à Adam d’aller vers elle, sans quoi, les femmes eussent dû prendre l’initiative elles-mêmes d’aller vers les hommes pour leur demander leur main. Telle est l’histoire d’Ève –que les prières d’Allah soient sur elle. »[12]
Al-Çadûq, qui cite ce hadith, commentant le verset coranique suivant : « Ô hommes! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d'un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux-là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d'hommes et de femmes»[13] dit : «Selon le Hadith, Allah –Il est puissant et sublime- a créé de l’argile de cet être son épouse… »[14] avant d’ajouter : «Quant au hadith qui indique qu’Ève a été créée de la côte gauche d’Adam, il est juste et signifie qu’elle a été créée de l’argile amputée de la côte gauche d’Adam, raison pour laquelle l’homme a une côte de moins que la femme »[15].
Concernant la continuation de la dynastie d’Adam et de sa progéniture, al-Çadûq, citant Zurârah, écrit : «Selon l’Imam al-Sâdiq (p), Adam eut un enfant nommé Chîth, ou Hibat-ullâh en arabe (le Don d’Allah). Il fut le premier héritier-présomptif (waçiy) humain sur terre. Puis, il eut un second fils, Yâfith. Lorsque les deux fils eurent atteint la puberté, Allah –Il est puissant et sublime- voulant assurer la multiplication et la continuation du genre humain, d’une part, l’interdiction du mariage entre frères et sœurs, d’autre part, fit descendre du Paradis l’après-midi du jeudi, une houri nommée Nazlah, et ordonna à Adam de la marier à Chîth. Ce fut fait. Ensuite, le lendemain après-midi, Allah –Il est puissant et sublime- fit descendre du Paradis une autre houri appelée Manzilah et Il ordonna à Adam de la marier à Yâfith. De ces mariages, Chîth eut un garçon et Yâfith une fille. Lorsque les deux enfants nés ainsi atteignirent la puberté, Allah-Il est puissant et sublime- ordonna à Adam de marier la fille de Yâfith au fils de Chîth. Adam exécuta la Volonté d’Allah. L’élite de prophètes et d’envoyés naquit de la descendance de ce dernier couple. Qu’Allah nous préserve de ce qu’on insinue au sujet du mariage entre frères et sœurs. »[16]
Selon un autre hadith rapporté par Burayd al-‘Ijlî et attribué à l’Imam Abû Ja‘far : «Allah –Il est béni et exalté- fit descendre du Paradis une houri auprès d’Adam, lequel la maria à l’un de ses deux fils, et il maria l’autre à la fille d’un djinn. Il s’ensuivit que la beauté que l’on remarque chez les gens remonte à la houri, et la laideur à la fille du djinn »[17].
Abdullah Ibn Yazid Ibn Salâm rapporte qu’il demanda au Messager d’Allah (P) :
- Informe-moi si c’est Adam qui a été créé d’Ève ou bien si c’est celle-ci qui a été créée de celui-là ?
- « Non c’est Ève qui a été créée d’Adam, autrement, si Adam avait été créé d’Ève, le divorce aurait été entre les mains des femmes et non des hommes », répondit-il (p).
- Fut-elle créée de tout son corps ou d’une partie de lui ? lui demandai-je.
- D’une partie de son corps, autrement, si elle avait été créée de la totalité de sa personne, le talion aurait été prescrit contre les femmes à l’instar des hommes » répondit-il (P).
- A-t-elle été créée de son extérieur ou de son intérieur, lui demandai-je?
- De son intérieur, car si elle avait été créée de son extérieur, les femmes se seraient découvertes, comme les hommes, et c’est justement la raison pour laquelle les femmes doivent se couvrir, répondit-il (P).
- A-t-elle été créée de son côté droit ou gauche? lui demandai-je.
- De son côté gauche; car si elle avait été créée de son côté droit, la femme aurait droit au double de sa part dans l’héritage, et c’est justement la raison pour laquelle la femme a droit à une part contre deux parts à l’homme et le témoignage de deux femmes vaut celui d’un seul homme, répondit-il (P).
- De quelle partie de lui a-t-elle été créée? lui demandai-je.
- De l’excédent (reste) de l’argile de sa côte gauche, répondit-il (P).
- Tu as dit la vérité, ô Mohammad ! lui dit-il…[18]
Comme on peut le constater, il ressort de ce qui précède qu’il y a deux avis apparemment divergents sur la création d’Ève : l’un laisse entendre qu’elle a été créée de la côte d’Adam, l’autre du reste de l’argile de sa côte.
L’auteur d’al-Hadâ’iq al-Nâdhirah qui a réuni et confronté les deux séries de hadiths apparemment opposées, explique cette opposition de façade par deux probabilités :
1- Les hadiths qui indiquent qu’Ève a été créée de la côte d’Adam, ont été émis par taqiyyah (par souci de ne pas contredire la version adoptée officiellement par le pouvoir califal).
2- L’expression « créée de sa côte gauche » est une métonymie[19] de l’expression «créée de l’argile de sa côte gauche », auquel cas l’opposition à la version officielle du pouvoir califal est une opposition à la façon de comprendre la signification du hadith.[20]
Une autre opinion
Mais concernant la multiplication de la deuxième génération humaine, après Adam et Ève, al-‘Allâmah Muhammad Hussein al-Tabâtabâ’î, commentant le premier verset précité de la Sourate al-Nissâ’ dans son Tafsîr al-Mîzân, écrit[21] :
« La première génération humaine fut formée d’Adam et d’Ève qui s’accouplèrent et donnèrent naissance à des filles et des garçons (frères et sœurs). La question qui se pose est de savoir si ces derniers se multiplièrent en se mariant entre eux (entre frères et sœurs) ou autrement ? Si l’on s’en tient à l’apparence de la Parole d’Allah «et de ces deux-là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d'hommes et de femmes » qui est exprimée dans un mode général sans restriction ni précision, on comprend que le genre humain remonte à Adam et Ève à l’exclusion de toute autre participation male ou femelle. Le Coran ne mentionne comme origine de la multiplication que ces deux-là. Et s’il y avait une participation d’autres éléments ou êtres, il aurait dit : «de ces deux-là et d’autres a fait répandre beaucoup d’hommes et de femmes.» ou utilisé toute autre expression adéquates qui dénotent cet état. Or, il est évident que le fait de restreindre le principe de progéniture ou de descendance à Adam et son épouse implique le mariage entre leurs fils et filles.
» Quant au fait qu’un tel mariage a été prohibé aussi bien en Islam qu’au sein des précédentes législations, cette prohibition a un caractère législatif qui peut changer selon les circonstances et non constitutionnel et immuable. C’est Allah –qu’Il soit glorifié- qui en décide, Il fait et juge selon Sa Volonté[22]. Il est possible qu’Il l’autorise un jour, s’il y a une nécessité à cela, et qu’Il l’interdise par la suite si cette nécessité disparaîtrait et que son maintien serait un motif de la propagation de la turpitude dans la société.
» D’autre part, l’objection selon laquelle un tel mariage incestueux serait contraire à la nature innée (fitrah) et à la religion divine qu’Allah a révélée à Ses prophètes, laquelle est une religion innée (fitrî), comme l’atteste le verset coranique : «Dirige tout ton être vers la religion exclusivement [pour Allah], telle est la nature qu'Allah a originellement donnée aux hommes - pas de changement à la création d'Allah -... »[23] est irrecevable, car la nature innée ne la renie ni n’appelle à s’y opposer en tant que telle, mais le déteste et le rejette en tant qu’un facteur conduisant à la propagation de la turpitude et le blâmable, et à l’abolition de l’instinct de la chasteté au sein de la société humaine. Il est évident que ce type de relations (mariage entre frère et sœurs) peut être qualifie à juste titre de turpitude et de libertinage, lorsqu’il s’agit de la société humaine constituée, telle notre société universelle, mais un tel qualificatif ne s’applique certainement pas au groupe constitué exclusivement de frères et sœurs que la Volonté d’Allah décida de multiplier.
» La preuve que la nature innée ne répugne pas instinctivement à cette relation incestueuse, est que les Mages la pratiquèrent pendant de longues époques, comme nous l’apprend l’histoire, qu’elle était répandue en Russie légalement (d’après ce que l’on dit), et illégalement en Europe »[24].
(N.B. Tous les hadiths précédés d’un (*) sont de source sunnite)
[1] Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/307, hadith 1 ; Al-Kâfî, 5/541, h. 4 ; Al-Mahâsin, 107/93.
[2] Voir à cet égard l’opinion de l’Ayâtollah al-Sisatni, par exemple : 2e Partie, p. 174, Regarder les femmes non-mahram, Articles 772-775.
[3] Al-Wasâ’il, tome 20, p. 26, hadith 6 :
" أوّل ما عُصي الله تعالى بستّ خصال : حبّ الدنيا ، وحبّ الرئاسة ، وحبّ النوم ، وحبّ النساء ، وحبّ الطعام ، وحبّ الراحة "
[4] Bihâr al-Anwâr, 100/252.
[5] Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/35, hadith 6 ; Al-Khiçâl, 3/247, h. 1137.
[6] Wasâ’il al-Chî‘ah, 20/22, hadith 4 ; Al-Kâfî, 5/321, h. 6 : "مااُحبّ من دنياكم إلاّ النساء والطيب"
[7] Al-Faqîh, tome 3, p. 24.
اكثر الخير في النساء
[8] Al-Kâfî, tome 5, p. 320 .
« ما اظن رجلاً يزداد في الايمان خيراً الا ازداد حباً للنساء »
[9] Wasa’il al-Chî‘ah, 20/33, h. 16 ; Ma‘ânî al-Akhbâr, 144.
عن الإمام الصادق (ع) قال : "إنَّما المرأة قلادة ، فانظر ما تتقلد، وليس للمرأة خطر ، لا لِصالحتهنَّ ولا لِطالحتهنَّ ، فأما صالحتهنَّ فليس خطرها الذهب والفضة ، هي خيرمن الذهب والفضة ، وأما طالحتهنَّ فليس خطرها التراب ، التراب خير منها"
[10] Makârim al-Akhlâq, op. cit., 8e Partie, Chap. 1, p. 197.
[11] Id. Ibid, op. cit., p. 196.
[12] Man Lâ Yâh-dhurhu-l-Faqîh, 3/270, hadith 1/1133, bâb Bid’-il-Nikâh wa açlihi, Chapitre : “Le commencement du mariage et son origine”.
[13] Sourate al-Nisâ’, 1/3.
[14] Man Lâ Yâh-dhurhu-l-Faqîh, 3/271, hadith 3/1134, bâb Bid’-il-Nikâh wa açlihi, Chapitre : “Le commencement du mariage et son origine”.
[15] Idem, hadith 3/1135.
[16] Idem, hadith 4/1136.
[17] Idem, hadith 5/1137.
[18] ‘Ilal al-Charâ’i‘, p. 470, h 31, bâb Al-Nawâdir ; et Bihâr al-Anwâr, 11-101.
[19] métonymie : figure de rhétorique, procédé de langage par lequel on exprime un concept au moyen d'un terme désignant un autre concept qui lui est uni par une relation nécessaire (la cause pour l'effet, le contenant pour le contenu, le signe pour la chose signifiée). Ex. boire un verre (le contenu), ameuter la ville (les habitants). (Le Petit Robert).
[20] Al-Hadâ’iq al-Nâdhirah, 23/7.
[21] Al-Mîzân Fî Tafsîr al-Qur’ân, al-‘Allâmah al-Sayyed Muhammad Hussein al-Tabâtabâ’î, tome IV, pp. 144-145, tafsîr du verset 1 de la sourate al-Nisâ’.
[22] - « C'est Allah qui juge et personne ne peut s'opposer à Son jugement » (sourate al-Ra‘d, 13/41) :
وَاللَّهُ يَحْكُمُ لاَ مُعَقِّبَ لِحُكْمِهِ
- « Le pouvoir n'appartient qu’à Allah » (Sourate Yûsuf, 12/40) :
إِنْ الْحُكْمُ إِلاَّ لِلَّهِ
- « et Il n'associe personn à Son Commanadement », (sourate al-Kahf, 26/18)
وَلاَ يُشْرِكُ فِي حُكْمِهِ أَحَدًا
- « C'est lui Allah. Pas de divinité à part Lui. A Lui la louange ici-bas comme dans l'au-delà. A Lui appartient le jugement. Et vers Lui vous serez ramenés »(Sourate al-Qaçaç, 70/28)
وَهُوَ اللَّهُ لاَ إِلَهَ إِلاَّ هُوَ لَهُ الْحَمْدُ فِي الْأُولَى وَالآخِرَةِ وَلَهُ الْحُكْمُ وَإِلَيْهِ تُرْجَعُونَ
[23] Sourate al-Rûm. 30/30 :
فَأَقِمْ وَجْهَكَ لِلدِّينِ حَنِيفًا فِطْرَةَ اللَّهِ الَّتِي فَطَرَ النَّاسَ عَلَيْهَا لاَ تَبْدِيلَ لِخَلْقِ اللَّهِ ذَلِكَ الدِّينُ الْقَيِّمُ
[24] L’une des coutumes répandues en Europe et en Amérique est que les filles perdent leur virginité avant le mariage et avant d’atteindre l’âge de la majorité légale. Or selon les statistiques dans beaucoup de cas, cette perte de virginité est causée par les pères ou les frères.
http://bostani.com/livre/la-femme-dans-le-hadith.htm
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité