referencer site web - referenceur gratuit - $(document).ready(function(){ chargementmenu(); });
Créer un site internet

Blog de Islamiates

Quels sont les bienfaits des amandes?

Les amandes sont un des aliments les plus sains que vous pouvez manger. Voici dix bienfaits des amande sur notre corps.

1. Les amandes et tous les autres fruits secs baissent le cholestérol.

2. Les amandes peuvent vous aider à perdre du poids. Dans une étude, ceux qui inclus les amandes en tant que source de matières grasses saines dans leur alimentation perdent plus de poids et de gras corporel que ceux qui n’incluent pas les amandes dans l’alimentation, même si ceux qui ne prennent pas les amandes avaient moins de gras dans leur alimentation.

3. Les amandes sont riches en acides gras mono-insaturés et en vitamine E, deux éléments essentiels pour une bonne fonction cardiaque et la prévention des maladies.

4. Les amandes sont riches en magnésium, un minéral dont la plupart des gens ne consomment pas assez. Juste 1 / 4 tasse d'amandes contient 24,7% de la valeur quotidienne recommandée en magnésium. Le magnésium est important pour à peu près toutes les fonctions du corps humain, notamment le coeur.

5. L’amande abaisse la hausse de la glycémie et d'insuline qui augmentent après avoir mangé, ce qui la rend un bon outil contre le diabète.

6. Les amandes sont pleines des antioxydants.

7. Ne pas enlever la peau de l’amande. Peaux d'amandes contiennent au moins 20 flavonoïdes antioxydants puissants.

8. Les amandes réduisent les niveaux de protéine C-réactive aussi bien que les statines. La protéine C-réactive (CRP) est une protéine plasmatique produite par le foie qui, lorsqu'elle est élevée, est une indication de l'inflammation dans le corps. Cette inflammation est censée d’augmenter le risque de problèmes de santé et les maladies comme le diabète, l'hypertension artérielle et les maladies cardiaques.

9. Les amandes contiennent du bore, un élément nutritif que la recherche suggère qu’il peut prévenir le cancer de la prostate.

10. Protéines! Ne plus jamais demander à un végétalien comment peut il obtient suffisamment de protéines. Un quart de tasse d'amandes contient plus de protéines qu'un œuf.

http://ventre-plat-tip.blogspot.com/2011/01/10-bienfaits-formidables-des-amandes.html

  • e6un7

A QUOI SERVENT LES MOUSTACHES DU CHAT?

Il s'agit d'organes d'orientation.

Techniquement appelée "VIBRISSES", la moustache du chat est un apanage précieux sans lequel il serait perdu.

Les chats ont des vibrisses ailleurs que sur le museau. Celles qu'ils portent à l'arrière de leurs pattes antérieures, les vibrisses carpiennes, sont tout aussi sensibles. Beaucoup de chats ont également des vibrisses à la place des sourcils. Elles tombent et repoussent en permanence.

Les vibrisses varient en fonction de la race. Celles du Devon Rex sont courtes et ondulées, tandis que celles de l'American Wirehair sont rêches, frisées et recroquevillées comme du fil de fer.

Les vibrisses du chat sont extrêmement sensibles et ont de multiples usages. La nuit, dans l'obscurité, elles fonctionnent comme des antennes et lui évitent de heurter des obstacles. Elles l'aident également à juger de la vitesse et de la direction du vent avant d'effectuer un grand saut. Il les utilise aussi pour mesurer la largeur d'un passage afin de ne pas rester coincé et pour localiser l'origine d'une odeur véhiculée par le vent, comme de la nourriture ou une femelle en chaleur.

Le chat avance ses vibrisses pour toucher la proie qu'il vient de tuer et s'assurer qu'elle est bien morte sans avoir à la lâcher. Il s'en sert également pour saluer d'autres chats ou pour exprimer ses émotions.

http://www.chatmania.fr/physiologie-du-chat/utilite_des_moustaches.php

  • e6un7

La voix de la femme doit-elle être dissimulée (awrah) ?...

La grande majorité des savants des quatre écoles juridiques s'accordent pour reconnaître que la voix de la femme en elle même n'est pas considérée comme étant "Awrah".(Voir les références juridiques suivantes à ce sujet: pour l'école châféite: "Moughniy" - Volume 3 / Page 129 - "Ihyâ oul Ouloûm" - Volume 2 / Page 448; pour l'école hambalite: "Charh Mountaha" - Volume 3 / Page 11; pour l'école mâlékite: "Hachiya As Sâwi 'al charhis saghîr" - Volume 1 / Page 93; pour l'école hanafite: "Raddoul Mouhtâr" - Volume 1 / Pages 405-406).

Cet avis majoritaire est en totale conformité avec le Qour'aane et la Sounnah: En effet, il n'existe aucune référence explicite qui interdise à la femme de parler avec un homme étranger quand le besoin se présente (en respectant bien entendu l'éthique islamique du langage), que ce soit par exemple dans le domaine de l'acquisition de la science, dans le cadre des transactions, pour demander ou offrir un service, pour s'informer des éventuels problèmes qu'ils peuvent rencontrer, lors des invitations, lors des échanges de présents etc… Au contraire, il ressort clairement de nombreuses références du Qour'aane et des Hadiths authentiques que, dans les situations comme celles évoquées ci-dessus, les échanges entre hommes et femmes étrangers sont tout à fait permis…


A titre d'exemple, on peut se référer:

  • Au dialogue qui avait eu lieu entre Moussa (alayhis salâm) et les deux jeunes femmes qui étaient venues abreuver leurs animaux: Moussa (alayhis salâm) les avait questionné au sujet de leur attitude, puis leur avait proposé son aide… A la suite de cela, l'une d'entre elle était revenue auprès de Moussa (alayhis salâm) pour lui transmettre l'invitation de son père… Voici le passage en question:

Et quand il fut arrivé au point d'eau de Madyan, il y trouva un attroupement de gens abreuvant [leur bêtes] et il trouva aussi deux femmes se tenant à l'écart et retenant [leurs bêtes]. Il dit : "Que voulez-vous ? " Elles dirent : "Nous n'abreuverons que quand les bergers seront partis; et notre père est fort âgé".

Il abreuva [les bêtes] pour elles puis retourna à l'ombre et dit : "Seigneur, j'ai grand besoin du bien que tu feras descendre vers moi".

Puis l'une des deux femmes vint à lui, d'une démarche timide, et lui dit : "Mon père t'appelle pour te récompenser pour avoir abreuvé pour nous". Et quand il fut venu auprès de lui et qu'il lui eut raconté son histoire, il (le vieillard) dit : "N'aie aucune crainte : tu as échappé aux gens injustes".

L'une d'elles dit : "Ô mon père, engage-le [à ton service] moyennant salaire, car le meilleur à engager c'est celui qui est fort et digne de confiance".

Il dit : "Je voudrais te marier à l'une de mes deux filles que voici, à condition que tu travailles à mon service durant huit ans. Si tu achèves dix [années], ce sera de ton bon gré; je ne veux cependant rien t'imposer d'excessif. Tu me trouveras, si Allah le veut, du nombre des gens de bien".

(Sourate 28 - Versets 23 à 27)

 

  • Au Hadith qui relate qu'une femme des Ansâr vint rencontrer le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) pour lui demander s'il ne voulait pas qu'elle fasse fabriquer pour lui une chaire. (Boukhâri)

    • Au Hadith qui relate qu'une fois, Salmân (radhia Allâhou anhou) alla rendre visite à Abou Dardâ (radhia Allâhou anhou) et il vit l'épouse de ce dernier habillée négligemment("moutabadh-dhilah")Il lui questionna alors sur le pourquoi de son attitude ("Mâ Chânouki" lui demanda-t-il… "Qu'as tu ?"). L'épouse de Abou Dardâ (radhia Allâhou anha) lui expliqua alors que son époux était détaché des choses de ce monde (…) (Boukhâri) En commentant ce Hadith, Ibné Hadjar r.a. affirme qu'on peut y apprendre beaucoup de choses, parmi lesquelles, la permission de parler à une femme étrangère et de lui questionner à propos de choses liées à un intérêt profitable ("as souâlou ammâ youtarattabou alayhil maslahah"), même si, en apparence, ces choses ne concernent pas celui qui questionne. ("Fath oul Bâriy" - Volume 4 / Pages 111 et 112)

  • Au Hadith qui relate la conversation qui avait eu lieu entre Hind Binté Outbah (radhia Allâhou anha) après sa conversion à l'Islam où elle disait au Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam), qu'auparavant, ce qu'elle désirait le plus, c'était de voir la famille du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) humiliée, alors que maintenant, c'était cette même famille du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) qu'elle désirait le plus voir honorée… (Boukhâri).

    • Au Hadith qui relate qu'une femme vint, une fois, rencontrer le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) pour lui offrir une pièce d'étoffe dont les bordures étaient tissées ("Bourdah"). En offrant le présent, elle s'adressa au Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) et dit: "Envoyé d'Allah, j'ai tissé ce "bourdah" de mes mains afin qu'il te serve de vêtement." (Boukhâri)

  • Au Hadith authentique qui relate qu'une femme Compagnon (radhia Allâhou anha) alla rendre visite à Barâ Ibné Ma'roûr (radhia Allâhou anhou), alors que celui-ci était mourant… Le Hadith mentionne des propos qu'ils avaient alors échangés. (Cité par Cheikh Albâni dans "Silsilat oul Ahâdith As Sahîhah")

  • Au Hadith qui relate que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) alla rendre visite à Oumm oul Alâ (radhia Allâhou anha) quand celle-ci était malade. Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) lui tint à cette occasion des propos de réconfort. (Abou Dâoud)

  • Au Hadith qui relate la visite de Ibné Abbas (radhia Allâhou anhou) à Aïcha (radhia Allâhou anha) avant sa mort et les propos qu'ils échangèrent. (Boukhâri)

  • Au Hadith qui relate l'intercession qu'avait fait le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) auprès de Barîrah (radhia Allâhou anha) pour qu'elle accepte de rester mariée à son époux, Moughîrah (radhia Allâhou anhou). (Boukâri)

(Il est à noter que les Hadiths relatant les discussions qui eurent lieu entre le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) et certaines femmes ne peuvent être considérés comme exprimant une spécificité liée à la personne du Messager d'Allah (sallallâhou alayhi wa sallam)... En effet, il n'existe aucune preuve qui permette d'aller en ce sens, et les savants soulignent que pour qualifier un acte ou une attitude comme relevant des spécificités ("Khasâïs") liées au Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam), il est nécessaire de disposer de preuves claires. Ignorer cela reviendrait à diminuer fortement la force probante et l'autorité législative des actes et propos du Prophète (sallallâhou alayhi wa sallam), et de cette façon, c'est la notion même du modèle parfait envoyé pour guider l'Humanité en la personne du Messager de Dieu (sallallâhou alayhi wa sallam) qui perdrait tout son sens. Qui de plus est, certaines des Traditions sus citées indiquent clairement que l'attitude des Compagnons (radhia Allâhou anhoum) ne différait pas de celle du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) à ce niveau.)

Bien entendu, il est important de souligner à nouveau que lors des conversations entre hommes et femmes étrangers, l'éthique islamique du langage se doit d'être respectée de part et d'autre. En particulier, la femme ne doit pas parler sur un ton mielleux, mélodieux et séducteur, qui pourrait attirer le convoitise des hommes de mauvaise foi. (Voir Sourate 33 / Verset 32)

Wa Allâhou A'lam !

Et Dieu est Plus Savant !

http://www.muslimfr.com/modules.php?name=News&file=article&sid=228

  • e6un7

Quel est le statut de la poésie en Islam ?

 

L'art poétique est un moyen très efficace de suggérer des émotions et des sentiments, mais aussi d'évoquer des images.
 Les poètes utilisent moins souvent leurs talents pour concevoir des œuvres utiles (contribuant par exemple à l'épanouissement intellectuel ou au développement moral) que pour exprimer de bas penchants.
Cheikh Khâlid soutient que c'est probablement en raison de cette double réalité que l'on trouve, au sujet de la poésie, des références musulmanes qui présentent d'apparentes contradictions, certaines la présentant comme un élément positif, d'autres la condamnant.

Ainsi, une fois le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) affirma que les poèmes renferment parfois de la sagesse ("inna minach chi'ri la hikmah"). (Boukhâri) A une autre occasion, il qualifia le fait de contrer les ennemis avec des vers de "djihâd bil lisân" (effort louable pour lutter contre l'injustice par la parole). (Michkât oul masâbîh)

D'un autre côté, le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) avertit dans un Hadith que le fait de remplir son ventre de pus est meilleur que de le remplir de poésies. (Mouslim) Et le Qour'aane, parlant des poètes, affirme: "Et quant aux poètes, ce sont les égarés qui les suivent."(Sourate 26 / Verset 224)

En réalité, il n'y a aucune contradiction réelle entre ces textes: La poésie étant, en soi, un moyen d'expression, tout jugement à son sujet sera évidemment lié au message qu'elle véhicule… Si elle est employée pour diffuser le bien, elle est tout à fait louable; et si elle vise à répandre le mal, elle est forcément blâmable. Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a lui-même clairement énoncé cela dans un Hadith: Aïcha (radhia Allâhou anha) raconte ainsi qu'on évoqua une fois la poésie en présence du Message d'Allah (sallallâhou alayhi wa sallam); celui-ci dit: "C'est là une parole: Quand elle exprime le bien, elle est louable et quand elle exprime de mal, elle est détestable." (Dâr Qoutniy)

Il est à noter que le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) lui-même avait demandé à Hassân ibnou Thâbit (radhia Allâhou anhou) d'écrire des poèmes afin de répondre aux attaques verbales des qouraïchites; il (sallallâhou alayhi wa sallam) avait même prié en sa faveur et invoqué Allah afin qu'Il l'assiste.

Bref, selon des juristes musulmans, la poésie est donc licite à condition que:
- elle n'exprime rien de condamnable,

- elle n'a pas pour conséquence de détourner le musulman de ses devoirs plus importants.
(Réf: "halâl wa harâm" – Pages 230 à 234)
Wa Allâhou A'lam !
Et Dieu est Plus Savant !

http://www.muslimfr.com/modules.php?name=News&file=article&sid=356

    • e6un7

Les médicaments qu'il faut éviter

Environ 15 000 médicaments sont aujourd’hui disponibles en France, mais un groupe de médecins courageux a révélé que seuls 150 sont nécessaires.

Mieux encore, selon ces médecins, l’état de santé global de la population s’améliorerait si l’on supprimait tous les médicaments inutiles ou inefficaces car :

cela diminuerait le nombre d’accidents causés par des effets secondaires non maîtrisés ;
les énormes économies réalisées permettraient d’améliorer les soins dispensés par ailleurs.
Le « problème » est que cette information vient du Dr Jean-Claude Salomon, médecin et directeur de recherches honoraire au CNRS, republiée sur le site du Pr Jean Gadrey [1].

Les travaux ont été menés sans financement et donc sans le soutien d’une instance officielle. Ils seront donc, selon toute probabilité, passés sous silence par les grands médias et ignorés par les politiques.

Toute l’inertie du système sera mobilisée pour… ne rien faire, et rester dans un statu quo pourtant catastrophique quant aux conséquences pour nous tous (désastre sanitaire, désastre financier).

Des médicaments faussement innovants

Depuis une trentaine d’années, les progrès dans les médicaments chimiques sont de plus en plus rares.

Les médicaments « nouveaux » qui sortent sur le marché ne sont en général que d’anciennes molécules présentées sous une nouvelle forme, avec de nouvelles indications thérapeutiques.

La course s’est encore accélérée avec l’apparition des médicaments génériques, qui poussent les industriels à sortir des médicaments prétendument nouveaux dans l’unique but de pouvoir déposer de nouveaux brevets, les protégeant contre la concurrence.

Un marché de 34 milliards d’euros par an

Le marché des médicaments en France représente 34 milliards d’euros par an selon l’Insee [2].

Les intérêts en jeu sont si grands que, quand bien même on peut démontrer que l’abus de médicaments nuit à la santé, il est à craindre qu’aucun politique n’ose toucher au système.

D’une part, les médicaments sont perçus comme « gratuits » ou presque par une grande partie de la population. Se gaver de médicaments aux frais de la collectivité est considéré comme un « droit », voire un « acquis social ». S’y attaquer provoquerait une révolte pratiquement unanime, au nom bien sûr de la « liberté » des médecins et des patients.

D’autre part, l’industrie pharmaceutique risquerait d’y perdre des milliards d’euros et ne manquerait donc pas d’investir des sommes gigantesques pour contrecarrer le projet : lobbying auprès des responsables politiques, campagnes de presse, activation des relais au sein des autorités de santé, etc.

L’exemple de la Suède

Et pourtant, un article publié dans la très sérieuse « Revue de Médecine Interne » [3], explique que la Suède a déjà fait un immense pas dans cette direction. Une liste des 219 médicaments indispensables a été publiée en 2012 par le Comité pour les Médicaments et la Thérapeutique de Stockholm.

87 % de la population suédoise estime aujourd’hui ces recommandations « dignes de confiance », avec pour conséquences une meilleure efficacité thérapeutique, moins d’effets secondaires délétères, et des économies [4].

La population suédoise a aujourd’hui une espérance de vie supérieure d’un an à celle de la France [5]. Les dépenses annuelles de médicaments par habitant sont de 341 euros contre 461 en France [6].

La liste des médicaments utiles

La liste finale des médicaments indispensables doit encore être validée au sein des sociétés françaises des Internistes (SNFMI) et des Généralistes enseignants (CNGE).

Toutefois, les deux premiers consensus ont déjà reconnu cent molécules, et la liste sera complétée par une troisième vague de cinquante, capable de couvrir effectivement 95 % des pathologies courantes.

A votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Sources :

[1] On pourrait passer de 15 000 médicaments à 150 sans dommage pour la santé !

[2] Voir Insee, Tableaux de l’économie française.

[3] « Les 100 médicaments essentiels. Une approche de Médecine Interne », Revue de Médecine Interne 34, 8 (2013)

[4] Les 100 médicaments essentiels. Une approche de médecine interne = 100 essential drugs. An internal medicine approach

[5] Espérance de vie, taux de mortalité et taux de mortalité infantile dans le monde en moyenne de 2010 à 2015

[6] Les 100 médicaments essentiels. Une approche de médecine interne = 100 essential drugs. An internal medicine approach

http://www.santenatureinnovation.com/

e6un7

 

Créer un site internet avec e-monsite - Signaler un contenu illicite sur ce site