referencer site web - referenceur gratuit - $(document).ready(function(){ chargementmenu(); });

Blog de Islamiates

Les Conditions d’acceptation des oeuvres par Dieu

Shaykh Muhammad nasirud-din Al-Albani

Une action n'est acceptée par Allah le Béni et le Glorifié, que si elle contient deux
conditions :

  • Premièrement : elle doit être faite exclusivement (en toute pureté) pour le Visage d'Allah le

Puissant et Majestueux.

  • Deuxièmement : elle doit être juste et elle ne peut être juste, que si elle est établie sur la

sunna, sans s'y opposer. Il a été confirmé par les chercheurs des gens de science, que tout
acte présumé d'adoration que le prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam ) n'a pas légiféré par sa parole , ou qu'il n'a pas exécuté pour se rapprocher d'Allah - est en opposition avec la sunna. Donc la sunna consiste en deux parties, sunnatul fi'iliyyah (la sunna des actions) et
sunnatut tarkiyyah (la sunna de délaissement). Ainsi quels soient les actes d'adoration que
le prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam ) a délaissé, alors c'est une sunna de les délaisser.
Ne voyez-vous pas les exemples de cela pour l'adhan (l'appel à la prière) des deux 'ids et
pour l'enterrement des morts, bien qu'une personne puisse être occupée dans le souvenir et
la glorification d'Allah le Puissant et Majestueux. Il n'est pas permis de se rapprocher d’Allah par cela.

En effet les compagnons du prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam) ont compris cette
signification, donc ils ont émis des avertissements généraux contre les innovations, comme
ce qui est rapporté à ce sujet de Hudhayfa (radiyalaahu ' anhu), qui a dit : "Tout acte
d'adoration que les compagnons du messager d'Allah n'ont pas exécuté, alors ne les faites
pas.
" ' Abdullah Ibn Mas'oud (radiyallahu ' anhu) a dit : "suivez et n’innovez pas, car en effet vous avez été comblés. Accrochez-vous aux anciennes questions. [2]

Ainsi quiconque établit son adoration d'Allah conformément à la sunna de son prophète
(sallallahu ' alayhi wa sallam ) et ne la mélange pas avec l'innovation, et se réjouit ensuite de
l'acceptation d'Allah de son obéissance. Allah le placera sûrement au Paradis. Qu’Allah
nous mettent parmi ceux qui entendent la parole et obéissent ensuite dans la bonté.

Sachez que l'innovation que vous rencontrerez est de deux types :

-Les innovations qui ont été extrapolées d'un texte et leur nouveauté sont mentionnées dans
les livres des gens de science et c'est un signe qu'elle est parvenue à eux, et ce type est
abondant.
-L'autre type est, les innovations qui ne sont trouvées dans aucun texte. Au contraire la
connaissance des principes et des fondations jugent qu'elles sont des innovations. Donc
c'est la preuve qu'elles sont dépourvues d'origine.


Donc ces innovations proviennent des questions suivantes :

  • Premièrement : les hadiths faibles. Il n'est pas permis de les employer comme preuve, ou

de les attribuer au prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam ). Selon ce que j'ai expliqué dans
l'introduction de ' Sifatus Salatun Nabee ', ce genre d’action ne nous est pas permis, et
c'était la méthodologie d'un groupe des gens de science comme Ibn Taymiya.

  • Deuxièmement : les hadiths inventés, ou ceux pour lesquels il n'y a aucune base. Leur

question est bien connue de quelques fuqahaa ` (juristes légaux), aujourd’hui encore ils
basent toujours leurs décisions sur eux. Ceux-ci sont de l'essence même de l'innovation et
des questions nouvellement inventées!

  • Troisièmement : Raisonnement et approbations (istihsanat) fait par certains des juristes

légaux - particulièrement les derniers parmi eux - non soutenu par quelconque preuves
légales. Plutôt elles ont continué, comme une question accepté par les musulmans, jusqu’à
ce qu'elles soient placées au rang de sunnahs qui doivent être suivies! Il n'est pas inconnu
de celui qui a la compréhension dans sa religion, qu’il n'est pas permis de suivre cela,
puisque rien ne peut être légiféré à part ce qui est légiféré par Allah. Ainsi si une action est acceptable selon le juge- s'il est un mujtahid - alors Allah ne le punira pas pour cela. Quant aux gens qui le prenne comme une législation, ou une sunna, alors non. Ainsi comment
cela peut-il être quand certaines de ces actions s'opposent aux actions rapportées de la
sunna, comme suivront si Allah, le Glorifié, le veut.

  • Quatrièmement : les coutumes ou les superstitions qui ne sont pas de la révélation et ne

sont pas attestées par l'intellect, bien que certains des gens ignorants puissent oeuvrer
selon elles et les prendre comme révélation. Ceux-ci ne peuvent pas être soutenus par
leurs autorités, même si certains d'entre eux sont des prêcheurs vers la science, ou de ceux
qui ont leur aspect.

Alors vous devez savoir que le danger de ces innovations n’est pas seulement dans une
question, plutôt il est sur plusieurs niveaux. Certains d'entre eux sont clairement du shirk
(donner des associés à Allah) et de la mécréance, comme vous pouvez le voir, et certains
d'entre eux sont moins que cela. Cependant, il nous est obligatoire de savoir que la plus
petite innovation qu'un homme apporte dans la religion est interdite après que sa question
ait été clarifiée (la religion est complète). Donc les innovations ne sont pas - comme le
pensent certaines personnes - seulement au niveau du makrouh (détestable). Comment
cela pourrait-il en être ainsi quand le messager d'Allah (sallallahu ' alayhi wa sallam) a dit :
"toute innovation est un égarement et tout égarement est dans le Feu." ? [3] ce qui signifie,
que celui qui le fait est dans le Feu.
En effet l’imam Ash-Shatibi a confirmé cela avec les meilleurs des explications dans son
livre, 'Al-I'itisam' . C’est pourquoi, la question de l’innovation est un grand danger. La plupart des gens sont ignorants de cela, à part un groupe des gens de science. Ainsi, vous suffit comme une preuve quant au danger de l’innovation, la parole du messager d'Allah : "en
vérité Allah voile le repentir de toute personne de l'innovation, jusqu’à ce qu'il ne laisse son
innovation.
" Ceci est rapporté par Tabarani et par Diya`ul Maqdisi dans ' Al-ahadithul
Mukhtarah ' , et d'autres qu'eux avec une chaîne authentique de narrateurs et Al-Mundhiri
l’a déclaré bon. (Hassan) [4]

Donc je finis avec ces grands conseils au lecteur, d'un grand savant des premiers savants
des musulmans : Shaykh Hassan Ibn ' Ali Al-Barbahari, qui était parmi les compagnons des
compagnons de l'imam Ahmad, il est mort en l’an 329. Il a dit :
" Prenez garde aux petites innovations, parce qu'elles poussent et deviennent grandes.
C'était le cas de chaque innovation apportée dans cette Umma. Elle commençait comme
quelque chose de petit, portant une ressemblance à la vérité, c’est pourquoi ceux qui y sont
entrés ont été induits en erreur et étaient ensuite incapables de la laisser. Donc elle a
grandi et est devenue la religion qu’ils ont suivi, ainsi ils ont dévié du chemin droit et ont
ainsi quitté l’islam. Qu’Allah vous fasse miséricorde! Examinez soigneusement le discours
de tous ceux que vous écoutez, à votre époque en particulier. N'agissez pas donc avec
hâte, ni n’entrez dans tout de cela, avant que vous ne demandiez et voyiez : qui des
compagnons du prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam) en parle, ou qui (des premiers)
savants ? Ainsi si vous trouvez une narration d'eux à propos de cela, accrochez-vous y, et
n’allez pas au-delà, ni ne donnez la préséance à quelque chose sur cela , sinon vous
tomberez dans le Feu.
"

Apprenez donc – qu’Allah vous fasse miséricorde - que l’islam d’un serviteur n’est pas
complet, jusqu’à ce qu’il ne devienne un musulman obéissant et véridique. Ainsi quiconque
prétend que quelque chose reste de la question de l’islam, non achevé par les compagnons
du messager d'Allah (sallallahu ' alayhi wa sallam), alors il a, certes, menti sur eux et a
causé un schisme en faisant cela et il a menti sur eux. Donc il est un innovateur, égaré et
égarant (les gens), innovant dans l’islam ce qui n’en fait pas partie. [5]
L’imam Malik, qu’Allah lui fasse miséricorde, a dit :
"La dernière partie de cette umma ne sera rectifiée, que par ce qui a rectifié sa première
partie. Ainsi tout ce qui ne faisait pas partie de la religion à cette époque, ne peut pas faire partie de la religion aujourd'hui.
[6]
Qu’Allah fasse miséricorde à notre prophète (sallallahu ' alayhi wa sallam ) qui a dit :
"Je n'ai rien laissé qui vous rapproche d'Allah, sans que je ne vous l’ai commandé et je n'ai
rien laissé qui vous éloigne d'Allah et vous rapproche du Feu, sauf que je ne vous l’ai
interdit
. [7]
La louange est à Allah, par la faveur de qui les actions justes sont perfectionnées.

Notes de bas de page :
[1] C'est une traduction (p. 100-105) du livre, ' Nabi Hujjatun ' de shaykh Muhammad
Nasirud Din Al-Albani.
[2] Notes des traducteurs: Rapporté authentiquement dans Ad-Darimi (no) 211) - Tabarani
dans Al-Kabir (No 8870), Al-Bayhaqi (No 204), Ibn Wadah dans Bid'ah wan-Nahi ' Anha (p. 10) et aussi de Qatadah (p.11). Rapporté aussi par Abi Khaythamah dans Al-'Ilm (No 54). Shaykh Al-Albani a authentifié la narration dans Bid'ah wan-Nah ' Anha.
[3] Notes des traducteurs: Voir : Sahih Muslim(3/11), Ahmad (3/381), Nasa`i (1/234), Al-
Bayhaqi (3/214). Une vérification complète de ce hadith peut être trouvée dans le livre, '
Khutbatul Hajah ' de shaykh Muhammad Nasirud din Al-Albani.
[4] Notes des traducteurs: Voir Silsilatul Ahadithus Sahihah (No 1620).
[5] Rapporté dans Tabaqatul Hanabilah (2/18-19), d'Ibn Ab Ya'ala.
[6] Notes des traducteurs: Rapporté dans Ash-Shifa ` de Qaie ` Iyyadh, (2/676).
[7] Notes des traducteurs: Rapporté dans les Sunan de l’mam Ash-Shafi'i (1/14) et par Al-
Bayhaqi (7/76) et par Al-Khatib dans Al- Faqeeh wal-Mutafaqqih (1/93). Voir l'introduction de shaykh Salim Al-Hilali dans sa vérification de Hidayatus Sultan pour une vérification appropriée de ce hadith .

e6un7

 

 

L'Islam et l'espionnage

Le manque de confiance nous pousse à une action du cœur, qui est le mauvais préjugé, et à une action du corps, qui est l'espionnage. L'Islam construit sa société sur la propreté apparente en même temps que sur la propreté intérieure de la conscience. C'est pourquoi il a relié l'interdiction d'espionner à celle de soupçonner. Souvent l'une est la cause de l'autre.

Les gens ont une sphère sacrée qu'il n'est pas permis de violer en espionnant et en cherchant leurs défauts, même quand ces gens commettent un péché concernant exclusivement leur propre personne, alors qu'ils agissent en cachette et qu'ils n'étalent pas leurs mauvaises actions au grand jour.

D'après Ibn al-Haïtham, le secrétaire de `Oqba Ibn `Amir : "J'ai dit à `Oqba Ibn `Amir :

"Nous avons des voisins qui boivent du vin et je vais appeler la police pour qu'elle les arrête". Il me dit : " N'en fais rien. Fais-leur plutôt des remontrances et des menaces". Ibn `Amir lui dit : "Je leur ai dit de cesser et ils n'ont pas écouté, c'est pourquoi je vais appeler la police afin qu'elle les arrête". `Oqba dit : "Malheur à toi ! Ne le fais pas. J'ai en effet entendu le Messager d'Allah  - que la paix et le salut soient sur lui - dire :

" Celui qui cache le défaut d'un autre, c'est comme s'il avait fait revivre de sa tombe une fille enterrée vivante à sa naissance "

Abou Dawoud, an-Nassa'i et Ibn Hiban.

 

Le Prophète  - que la paix et le salut soient sur lui - a assimilé la manie de chercher les défauts des autres aux caractéristiques des hypocrites qui ont dit : "Nous croyons", sans que leurs coeurs n'aient cru. Il les a violemment dénoncés à l'opinion publique. `Omar a rapporté : " Le Messager d'Allah  - que la paix et le salut soient sur lui - monta sur la chaire et cria de toute ses forces :

 

"O vous qui avez embrassé l'Islam avec votre langue, sans que la foi n'ait pénétré dans votre coeur ! Ne faites pas de tort aux musulmans. Ne cherchez pas leurs défauts, car celui qui cherche les défauts de son frère musulman, Dieu lui cherchera ses propres défauts. Et quand Allah cherche les défauts de quelqu'un, il dévoile ces défauts et le soumet au scandale, même s'il se cachait dans le ventre de sa monture"

At-Tirmidhi et Ibn Hiban.

 

C'est pour sauvegarder les valeurs sacrées des gens que le Messager d'Allah  - que la paix et le salut soient sur lui - a interdit, avec une sévérité extrême, d'épier les gens dans leurs propres demeures sans leur permission. Il a permis de se venger de celui qui a fait du tort aux occupants de la maison épiée en disant :

"Celui qui regarde ce qui se passe dans une maison sans l'autorisation de ses habitants, il est permis à ces derniers de lui crever l'oeil" 

Unanime.

De même, il a interdit d'écouter leurs conversations à leur insu et sans leur consentement. Il a dit :

"A celui qui écoute la conversation des autres contre leur gré, on lui versera du plomb fondu dans ses deux oreilles le jour de la Résurrection"

Al-Boukhari et d'autres.

 

Le Coran oblige celui qui veut rendre visite à quelqu'un dans sa maison, de n'entrer qu'après en avoir demandé la permission et salué ses occupants :

"O vous qui croyez ! N'entrez dans les maisons autres que les vôtres qu'en sollicitant la permission et en saluant ses habitants. Cela est meilleur pour vous, peut-être vous rappellerez-vous."

Sourate 24 : La lumière (An-Nur) verset 27.

 

"Si vous n'y trouvez personne, n'y entrez point avant qu'on ne vous y autorise. Si l'on vous dit de repartir, retirez-vous ! Cela est plus pur pour vous et Dieu connaît parfaitement ce que vous faites".

Sourate 24 : La lumière (An-Nur) verset 28.

 

Un hadith dit :

"Quiconque a soulevé un voile pour jeter un regard avant d'y être autorisé, a transgressé l'une des limites établies par Allah  qu'il ne lui est pas permis de transgresser"

Ahmad et at-Tirmidhi.

 

Tous les textes interdisant l'espionnage et la recherche des défauts d'autrui s'appliquent à tout le monde, qu'ils soient gouvernants ou gouvernés. Mou'awiya a rapporté ce hadith du Prophète  - que la paix et le salut soient sur lui - :

"Quand tu cherches les défauts des gens, tu les a déjà corrompus ou presque"

Abou Dawoud et Ibn Hiban.

 

Abou Oumama a rapporté cet autre hadith :

"Quand le prince suspecte ses sujets, alors il les corrompt"

Abou Dawoud.

 

Source : Le licite et l’illicite en islam, cheikh Youssouf al-Qaradawi


e6un7

 

 

 

Soubhana Allah:pourquoi les reptiles ont-ils le sang froid ?

سبحانك اللهم و بحمدك أشهد أن لا إله إلا أنت أستغفرك و أتوب إليك 

Et dans votre propre création, et dans ce qu’Il dissémine comme animaux, il y a des signes pour des gens qui croient avec certitude. (Coran, 45 : 4)

serpent sang froid

La thermorégulation est le mécanisme qui permet à un organisme de conserver une température constante. Elle est le résultat de production et de déperdition de chaleur. On distingue les organismes homéothermes des poïkilothermes. Les poïkilothermes sont des organismes dont la température interne n'est pas constante. La thermorégulation se fait par la  thermolyse (perte de chaleur) et la thermogenèse (production de chaleur).

Les animaux poïkilothermes (ou à « sang froid ») sont des animaux ayant une température corporelle qui varie. Par cette caractéristique, ils diffèrent et s'opposent aux homéothermes qui ont une température interne relativement stable. Ils ne sont pas à confondre avec les hétérothermes qui sont des homéothermes dont la température corporelle habituellement stable, varie dans certains cas (les animaux qui hibernent, les nourrissons dont la température corporelle n'est pas encore stable, etc.)

La plupart des organismes poïkilothermes (qui ne contrôlent pas leur température corporelle) sont également ectothermes (c'est-à-dire que leur chaleur corporelle provient de l'extérieur). Il existe toutefois des cas particuliers, et il est nécessaire de rappeler que poïkilotherme et ectotherme ne sont pas synonymes.

Cette non-maîtrise de leur température interne les empêche d'avoir une activité « normale » lors des périodes froides, mais c'est une caractéristique beaucoup plus économe en énergie que les homéothermes. Les deux types ont survécu car ils sont caractéristiques de modes de vie différents, même si on considère que l'homéothermie est un caractère évolué.


 

Les animaux à sang froid font référence à 3 principaux mécanismes de thermorégulation.

  1. L'exothermie : les animaux contrôlent la température de leur corps grâce à des moyens externes (se mettre au soleil, par exemple).
  2. La poïkilothermie : la température de ces animaux varie, souvent en fonction de la température ambiante de l'environnement immédiat.
  3. Le bradymétabolisme : le métabolisme au repos est bas (p.e. en cas de conditions hivernales extrêmes, ou par manque de nourriture) ; ces animaux peuvent "sombrer" dans des états proches de la mort, jusqu'au retour de conditions favorables (comme pour l'hibernation).

Très peu d'animaux possèdent seulement l'une de ces 3 caractéristiques ; la plupart utilisent une combinaison de ces 3 aspects de thermophysiologie (avec leurs contreparties : endothermie, homéothermie et tachymétabolisme), pour couvrir un large spectre de tous les types de températures corporelles.

Différentes stratégies de contrôle de température incluent :

  • Les serpents et les lézards, profitant du soleil sur des rochers
  • Les poissons, changeant de profondeur en fonction de la température de l'eau
  • Les animaux du désert, tirant profit du sable pendant la journée
  • Les insectes, réchauffant les muscles de leurs ailes en produisant des vibrations

Souvent, les poïkilothermes ont un métabolisme plus complexe que les homéothermes. Pour une réaction chimique importante, ils peuvent en effet avoir des systèmes de 4 à 10 enzymes, qui opèrent à différents niveaux de températures. En conséquence, les poïkilothermes ont souvent des génomes plus complexes que leur homologues homéothermes dans une même niche écologique. Un bon exemple est la grenouille, ainsi que le crapaud.


 

Source:Wikipédia

  • e6un7

Pourquoi le blanc ou le noir pour le deuil?

Dans toutes les sociétés, la mort d'un proche est signifiée par le port du costume de deuil . Le deuil est entendu au sens large : « Espèce particulière d'habit pour marquer la tristesse qu'on a dans des occasions fâcheuses, surtout dans des funérailles. » Si les modalités de l'expression du deuil varient selon les cultures, quelques constantes se retrouvent : le bannissement des couleurs vives, le retrait temporaire des manifestations de la vie sociale et la plus grande rigueur dans le respect du deuil imposé aux femmes, à la fois dans sa durée et dans le costume.

La diversité des mœurs et des usages suivis par les différentes sociétés émerveille. Ils relèvent que le blanc domine en Orient, mais aussi à Rome, à Sparte, en Castille et dans quantités d'autres régions d'Europe. Les reines de France portent le deuil en blanc jusqu'au XVIe siècle : Marie Stuart, Élisabeth d'Autriche et Louise de Lorraine sont les dernières reines blanches ; Anne de Bretagne aurait été la première reine à porter le deuil en noir, imitée par Catherine de Médicis puis par Marie de Médicis et Anne d'Autriche. La dernière souveraine à avoir porté le deuil blanc est la reine Élisabeth d'Angleterre, épouse de George VI : lors de sa visite officielle en France en 1938, après la mort de sa mère, elle porte des vêtements blancs. En outre, le blanc subsiste longtemps pour le deuil des jeunes filles et des enfants, parallèlement à la diffusion du noir. Quant aux rois de France et d'Angleterre, ils portent le deuil en violet ou en pourpre, couleurs royales, encore que Henri VIII ait choisi le blanc à la mort d'Anne Boleyn, qu'il avait fait exécuter.

La généralisation du noir aux XVIe et XVIIe siècles prend sa source à la cour de Bourgogne puis à celle des Habsbourg, qui en sont les héritiers. Cette austérité qui souligne la majesté du pouvoir est la marque de la domination espagnole en Europe...

Symbolique de la couleur Noire

 

Mort  Elégance
Deuil Nuit
Silence
Noblesse
Distinction  Respect
Mystère Angoisse 

Le noir correspond à l’absence de lumière, donc de couleurs. Il symbolise, le néant, le mystère, les ténèbres et donc la mort.

Son association à la mort explique que le deuil, dans beaucoup de pays, se porte noir. Mais il est aussi lié à la respectabilité (magistrats, professeurs), à l’élégance sophistiquée, son omniprésence dans la mode en est la preuve. Il peut être perçu comme conventionnel et reste utilisé dans les occasions solennelles.
Le noir s’associe avec bonheur à toutes les autres couleurs afin de créer un certain contraste, notamment avec les couleurs vives telles que le rouge ou encore le jaune. Association courue en signalétique pour sa bonne visibilité .

Le noir dans l’histoire et dans le monde :
Le noir était associé au renoncement à la vanité du monde, d’où les manteaux noirs dans les costumes religieux chrétiens et musulmans
Associé à la mort, aux ténèbres le noir ne symbolise le deuil en France que depuis son port par Anne de Bretagne, qui, à la mort de Charles VIII fut la première reine à le porter. Jusque là la couleur du deuil était le blanc (les reines blanches). Dans certains pays, les veuves s’habillent en noir pour le restant de leur vie.

En Inde, il est la pureté originelle : l’immortel est noir tandis que le mortel est blanc, c’est le soi universel opposé au moi individuel.

Les Chinois l’associent au Yin féminin, terrestre, instructif, maternel.

Plusieurs déesses mères sont noires : Diane d’Éphèse, Isis, Kali hindoue. Il existe de nombreuses vierges noires illustrant la moisson mariale française. Sur le Mont Palatin la Magna Mater était noire ainsi que la Ka’ba de la Mecque. C’est le symbolisme originel. Il est à la fois commencement et fin.

Chez les mystiques musulmans les étapes de la progression des Soufis vers la béatitude sont colorées et aboutissent au noir brillant précédant l’extase suprême ou l’éblouissement.

Symbolique de la couleur Blanche

  • Pureté,
  • Innocence,
  • Chasteté,
  • Richesse,
  • Silence,
  • Au-delà,
  • Vertu,
  • Bonté,
  • Fidélité

Couleur liée à la pureté et à l’innocence dans les pays d’Occident, elle signifie le deuil dans les pays d’Asie. 
Elle est souvent associée au jour et à la lumière, mais avant tout, le blanc sous-entend la virginité.
Le blanc représente aussi la sagesse, il s’identifie avec la lumière intérieure dans beaucoup de religions.
Couleur passe-partout, le blanc se marie parfaitement avec toutes les couleurs.
Couleur fraîche et calme, le blanc peut également vous insuffler la paix et la relaxation.

Le blanc dans l’histoire et dans le monde

Le blanc est donc couleur de deuil à la cour de France jusqu’à la fin du XVIE siècle(les Reines blanches).
C’est la couleur de la pureté, donc de la virginité (la mariée est vêtue de blanc), donc aussi de l’innocence (l’enfant que l’on baptise est vêtu de blanc).

De même pour les enterrements, les enfants sont conduits en terre sous un suaire blanc orné de fleurs blanches. Les religieuses novices sont habillées en blanc. Cette notion de passage et d’au-delà conduit les prêtres à se vêtir de blanc. Le pape porte des vêtements blancs. La pureté prend la couleur immaculée : c’est la Vierge de l’immaculée Conception vêtue de blanc. Jésus apparaît aux disciples vêtu de blanc.

Le blanc est aussi le secret correspondant à la lumière intérieure chez les Soufis, se rattachant au for intérieur de l’être représenté par Moïse.

Le côté maléfique du blanc est donc relatif au deuil ancien, alors que les animaux blancs étaient réservés aux sacrifices : moutons, taureaux, colombes…

L’éléphant blanc est sacré en Thaïlande et réservé au roi.

Le blanc, est réputé porter chance. Naguère les enfants royaux étaient habillés de blanc pendant leur petite enfance (jusqu’à 7 ans).

En Inde, en Chine et au Japon le blanc symbolise la mort.

Les Egyptiens
 enveloppaient les défunts dans un linceul blanc pour montrer que la mort délivre l’âme pure de son enveloppe charnelle périssable.

Chez les Hébreux, la tunique de lin blanc représentait la pureté du Sacrificateur et la justice divine.

A Rome, le blanc était la couleur des vestales (prêtresses qui étaient brûlées vives lorsqu’elles manquaient à leur vœux de chasteté…). C’était aussi le couleur des druides, des initiés…

http://www.universalis.fr/encyclopedie/deuil-histoire-du-costume/

http://www.fleurir-une-tombe.com/symboilique-de-la-couleur-noire

e6un7

LA VIE APRES LA MORT EN ISLAM

La question de savoir s’il existe une vie après la mort n’est pas du ressort de la science, dans la mesure où la science se préoccupe uniquement de classifier et d’analyser des données sensorielles. En outre, l’homme ne s’occupe de recherche scientifique, au sens moderne, que depuis quelques siècles, alors qu’il connaît le concept de la vie après la mort depuis des temps immémoriaux.
Tous les prophètes envoyés par Dieu ont appelé leurs peuples à adorer Dieu et à croire en la vie après la mort. Ils insistèrent tant sur cette croyance que le moindre doute à ce sujet signifiait nier l’existence de Dieu et rendait toutes les autres croyances sans fondement.
Le fait même que tous les prophètes, envoyés par Dieu, aient traité cette question métaphysique avec autant de confiance et d’unanimité, à des milliers d’années de distance les uns des autres, tend à prouver que la source de leur connaissance de la vie après la mort, telle qu’ils la proclament tous, est la même, c’est-à-dire la révélation Divine. Nous savons aussi que ces problèmes étaient très contestés par leurs peuples et tout particulièrement sur la question de la vie éternelle car les gens pensaient que cela ne pouvait exister. En dépit de cette opposition, les prophètes conquirent, quand même, une multitude d’adeptes sincères.
La question est de savoir ce qui amena ces adeptes à renoncer aux croyances établies, aux traditions et aux coutumes de leurs ancêtres, au risque de s’aliéner leur propre communauté. La réponse est simple: Ils firent appel à leur raison et à leur cœur et comprirent où était la vérité. Ont-ils perçu la vérité par leur conscience perceptive? Certainement pas, puisqu’il est impossible d’exprimer la vie après la mort.

En réalité, Dieu a pourvu l’homme d’une conscience rationnelle, esthétique et morale en plus de sa conscience perceptive. Cette conscience guide l’homme au milieu de réalités qui ne peuvent être vérifiées par le sens. C’est pour cette raison que les prophètes lorsqu’ils appellent les hommes à croire en Dieu et à l’existence d’une vie après la mort, font appel à la conscience esthétique, morale et rationnelle de l’homme. Ainsi par exemple, lorsque les idolâtres de la Mecque niaient jusqu’à la possibilité d’une vie après la mort, le Coran démontra la faiblesse de leur position par des arguments logiques et rationnels: “Il pensa donner un exemple de Notre incapacité, oubliant sa propre création, et dit: Qui fait revivre les ossements une fois réduits en poussière? Dis: Celui qui les a créés une première fois les fera revivre et il se connaît parfaitement en toute création. Lui qui a fait pour vous du feu à partir des arbres verts et voilà que c’est de ce feu que vous allumez (vos brasiers). Celui qui a créé les cieux et la terre, serait-Il incapable de créer leur pareil? Bien sûr que si! Et Il est Le Créateur par excellence et L’Omniscient.” (S. 36, V. 78-81)

Ailleurs, le Coran dit clairement que les incroyants n’ont pas d’arguments solides pour nier la vie après la mort, que cela est basé sur des conjectures: “Ils disent: Il ne s’agit que de notre vie ici-bas. Nous mourons et nous venons à la vie et seul le temps qui passe nous fait périr. Ils n’ont de cela aucune science mais ne font que conjecturer. Quand on leur récite nos versets bien clairs leur seul argument est de dire: Faites venir nos ancêtres si ce que vous dites est vrai” 
(S. 45, V. 24-25).

Dieu ressuscitera tous les morts. Mais Dieu décide du déroulement des événements. un jour certain viendra où l’univers sera entièrement anéanti, après quoi les morts seront ressuscités pour comparaître devant Dieu. Ce jour sera le commencement de la vie éternelle, et ce jour là chacun sera récompensé par Dieu selon ses bonnes ou mauvaises actions.

L’explication donnée par le Coran à propos de la vie après la mort correspond à ce que notre simple conscience morale d’homme réclame. En réalité, si la vie après la mort n’existait pas, la croyance en Dieu, elle même, devient inutile, car, si l’on croit malgré tout en Dieu, il s’agirait alors d’un Dieu injuste et indifférent: après avoir créé l’homme, Il se désintéresserait du destin de celui-ci! Les criminels et les innocents connaitraient-ils le même sort? Or Dieu est juste. Il punit les tyrans dont les crimes sont innombrables: Ceux qui ont tué des centaines de personnes innocentes, corrompu leur société, réduit en esclavage nombre de gens afin de satisfaire leurs passions etc...Et grande sera la récompense des croyants.

La durée de la vie humaine est courte et ce monde physique n’est pas éternel; punir ou récompenser équitablement les mauvaises ou les bonnes actions n’est pas possible dans cette vie, où tout est périssable. Le Coran insiste beaucoup sur le fait que le Jour du Jugement doit venir et que Dieu décidera du destin de chaque âme en fonction de ses actions: “Ceux qui ont mécru dirent: L’Heure ne nous viendra pas, Dis: Oh que si, par mon Seigneur! Elle vous viendra, (par) Lui qui connait l’Inconnu! Rien ne Lui échappe dans les cieux et sur terre, pas même le poids d’un grain de poussière (d’un atome). Il n’est rien de plus petit ou de plus grand qui ne soit mentionné dans un Livre bien clair.” 
“Afin qu’Il récompense ceux qui auront cru et fait les bonnes ouvres. Pour ceux-là il y aura une absolution et des biens généreux.”
“Ceux qui auront tout fait pour mettre Nos versets en défaut, ceux-là auront des tourments faits de supplices répugnants et douloureux.” (S. 34, V. 3-5)
C’est le jour où les attributs de Justice et de Miséricorde de Dieu se manifesteront pleinement. Dieu sera miséricordieux envers ceux qui ont souffert pour Lui sur terre, car ils croyaient au bonheur éternel après la mort. 
Mais quant à ceux qui auront abusé de la générosité divine sans se soucier de l’au-delà, ils seront dans un état pitoyable. 
Le Coran fait la comparaison.
“Est-ce que celui à qui Nous avons promis une bonne chose (le Paradis) et qu’il va sûrement trouver est similaire à celui à qui Nous avons accordé la jouissance de la vie ici-bas et qui sera ensuite, le jour de la résurrection, de ceux qu’on traînera (au châtiment)?” (S.28, V. 61)
Le Coran dit également que la vie terrestre est une préparation à la vie éternelle. Mais ceux qui la nient sont esclaves de leurs passions et de leurs désirs, et se moquent des personnes vertueuses et croyantes. Ces personnes ne réalisent leur sottise qu’à l’heure de leur mort et désirent alors que leur soit laissée une dernière chance sur terre, mais en vain. 
L’état lamentable dans lequel ils se trouvent à l’heure de la mort, l’horreur du Jour du Jugement et le bonheur éternel promis aux croyants sincères sont merveilleusement décrits dans les versets suivants du Livre Sacré:
“Dis: Seigneur! Si jamais Tu me montres ce qui leur est promis, alors Seigneur, ne me place pas parmi les gens injustes! Nous sommes parfaitement capable de te montrer ce que Nous leur promettons. Oppose à la malveillance la manière la plus douce. Nous savons parfaitement ce qu’ils décrivent. Et dis: Seigneur! Je me mets sous Ta protection contre les les incitations des démons. Et je cherche, Seigneur, Ta protection contre leur présence auprès de moi! 
Jusqu’à ce que la mort vienne à l’un d’eux. Il dit alors: Seigneur! retournez-moi (à la vie). Peut-être que je ferai quelque bonne œuvre de ce que j’ai laissé. Oh que non! Ce n’est là qu’une vaine parole qu’il prononce et derrière eux se trouve un barrage jusqu’au jour où ils seront ressuscités. 
Lorsqu’on soufflera dans la Trompe, ce jour-là il n’y aura plus entre eux aucun lien de parenté et ils ne s’interrogeront pas entre eux. Ceux dont les œuvres pèseront lourds, ceux-là sont les bienheureux. 
Ceux dont les œuvres seront légères, seront ceux qui ont ruiné leur propre âme et qui s’éterniseront en Enfer. Les flammes leur lèchent le visage et leurs lèvres s’y retroussent, découvrant leurs dents.” (S. 23, V. 93-104)

La foi en la vie éternelle ne garantit pas seulement la réussite dans l’Au-delà, elle donne la paix et le bonheur à ce monde en rendant les individus plus responsables et plus consciencieux dans toutes leurs actions.

Voyez la population de l’Arabie, avant la Révélation: le jeu, la boisson, les querelles entre tribus, les pillages et les meurtres étaient leurs principaux traits de caractère tant qu’ils ne croyaient pas en la vie éternelle. Dès qu’ils eurent accepté de croire en un Dieu Unique et en la Vie éternelle, ils devinrent la nation la plus disciplinée au monde. Ils abandonnèrent leurs vices, s’entraidèrent lorsqu’ils étaient dans le besoin et réglèrent leurs disputes avec justice et équité. De même, la négation de la Vie éternelle a des conséquences sur l’Au-delà tout comme dans ce bas monde. Lorsqu’une nation entière la nie, toutes sortes de maux et dépravations apparaissent dans la société et finissent par la détruire.

Le Coran parle de la fin terrible des `Ad, des Thamoud et du Pharaon en détail: “Les Thamoud et les `Ad n’ont pas cru au Jugement. Les Thamoud ont été anéantis par la foudre. Les `Ad ont été anéantis par un vent mugissant et impétueux que Dieu a utilisé entre eux pour tout dévaster durant sept nuits et huit jours. Tu aurais vu alors ce peuple renversé par terre comme des troncs évidés de palmiers. En aperçois-tu le moindre vestige? Pharaon, ceux qui vécurent avant lui et les cités renversées commirent des fautes: Ils désobéirent au Prophète de leur Seigneur et Dieu les emporta avec une force irrésistible, lorsque l’eau déborda, nous vous avons portés sur le vaisseau (l’Arche de Noé), afin que ceci devienne pour vous un rappel et qu’une oreille attentive le retienne.”

“Lorsqu’on sonnera une fois la trompette; lorsque la terre et les montages seront emportées et pulvérisées d’un seul coup, alors ce jour-là la terreur inéluctable surviendra, le ciel se fendra et restera béant ce jour-là. Celui qui recevra son livre dans la main droite dira: Voici...Lisez mon livre! Je savais que j’y trouverais mon Jugement. Il jouira d’une vie agréable dans un jardin situé très haut et dont les fruits sont à la portée de la main. Mangez et buvez en paix en récompense de ce que vous avez accompli dans les jours passés.”
“Mais celui qui recevra son livre dans la main gauche dira: Malheur à moi!...Si on ne m’avait pas remis mon livre, je ne connaîtrais pas mon Jugement! Hélas!... Si seulement cette mort était définitive! Ma fortune ne m’a servi à rien et ma force a disparu!” (S. 69, V. 4-39)

Voici donc des raisons très convaincantes de croire en la Vie éternelle.

Premièrement, tous les Prophètes envoyés par Dieu ont appelé à y croire.

Deuxièmement, toute société humaine bâtie sur le principe de cette croyance est une société idéale et paisible, débarrassée de tous les maux sociaux et moraux.

Troisièmement, l’histoire témoigne du fait que chaque fois que cette croyance a été rejetée par une communauté, malgré les avertissements répétées du Prophète, la communauté toute entière a été punie par Dieu dans ce monde.

Quatrièmement, ses facultés morales, esthétiques et rationnelles font que l’homme est en mesure d’admettre la possibilité de l’existence de la vie après la mort.

Cinquièmement, les attributs divins de Miséricorde et de Justice n’ont aucun sens s’il n’y a pas de vie après la mort.

 


 

 FRATERNITÉ DES MUSULMANS 

 

e6un7

 

Créer un site internet avec e-monsite - Signaler un contenu illicite sur ce site