"La disparition du racisme, comme c'est le cas chez les Musulmans, est une des réussites les plus marquantes de l'Islam et il y a dans le monde contemporain, une urgente nécessité à propager cette vertu islamique..."
A.J. Toynbee "Civilization on Trial", New York, 1948, p. 205.
On croyait dur comme fer jusqu'à récemment que le cerveau était immuable. Même aujourd'hui, selon la croyance populaire, des modifications du cerveau ne sont possibles que par des interventions médicales ou pharmaceutiques. Or, ce n'est pas comme cela que le cerveau fonctionne. Plutôt, le vécu de chaque personne engendre des changements continuels dans l'anatomie de son cerveau tout au long de sa vie, formant ainsi ses habiletés particulières ainsi que son caractère. Le réseau des neurones est en perpétuel réarrangement, autant relativement aux microchangements des neurotransmetteurs qu'aux grandes bases intégratives reliées à l'intelligence.
On découvre de plus en plus de liens entre la souffrance morale et le fonctionnement du cerveau. On sait maintenant que des manifestations purement biologiques au cerveau peuvent être modifiées par des expériences exclusivement humaines comme la psychothérapie, par exemple, sans aucune intervention chimique. Ainsi, la psychothérapie à elle seule peut modifier le fonctionnement du cerveau de façon permanente.
Le psychiatre Kandel (Prix Nobel 1998) a démontré la plasticité du cerveau. Par exemple, des images scannées du cerveau de musiciens témoignent de différences faisant suite à leur pratique d'instruments de musique. Leur cerveau «musical» s'est développé à la suite de leurs répétitions avec leurs instruments de musique et non à cause de gènes précis. Autres exemples : les neurones de rats élevés dans des environnements plus stimulants sont beaucoup plus branchés. Ces environnements rehaussés stimulent les rats au point que leur cerveau s'en trouve amélioré. Chez les humains, le nombre de dendrites neurales du centre du langage dans le cerveau est proportionnel au degré de scolarité d'un individu.
Pour bien comprendre, il faut savoir que le cerveau est constitué de neurones, environ cent milliards, qui établissent entre eux des connexions tout au long de la vie. Chaque neurone a une moyenne de 10 000 connexions qui le relient à d'autres neurones. Ce qui porte à environ un million de milliards de connexions dans le cerveau, faisant ainsi du cerveau la structure la plus complexe de la Terre. La connexion de chaque neurone se fait par l'émission de petites impulsions électriques qui déclenchent une substance chimique appelée neurotransmetteur, laquelle rejoint un autre neurone de cette façon, et il s'enclenche ainsi une série de répercussions sur une multitude d'autres neurones tous interconnectés. Ainsi, un seul neurone peut influencer une moyenne de 10 000 neurones à l'autre bout du processus lors de l'envoi d'un seul message. Le cerveau se forge de cette manière.
Or, savez-vous que les contacts interpersonnels sont parmi les principales causes de connexions des neurones? Dans son livre The Developing Mind, le psychiatre Daniel Siegel explique comment l'esprit d'une personne émerge de l'activité de son cerveau, dont la structure biologique est formée par ses relations interpersonnelles dès le début de sa vie et tout au cours de sa vie. Ce qui fait dire à Siegel que «les connexions humaines forment les connexions des neurones». En effet, le vécu interpersonnel altère à la fois l'activité et la structure des connexions entre les neurones, formant ainsi les divers circuits responsables des divers processus du cerveau comme la mémoire, les émotions, la conscience de soi, etc.
Je fais le lien avec la dépression. Malheureusement, celle-ci est encore très mal comprise. On est porté à blâmer le cerveau ou les gènes, alors que les réelles explications relèvent de notre vécu et du sens que nous donnons à ce vécu. Il y a des échanges bidirectionnels constants entre notre cerveau, notre organisme et notre vécu. Ainsi, le calme ressenti à la vue d'un beau point de vue du fleuve Saint-Laurent s'accompagne d'un accroissement de l'amplitude des ondes alpha dans le cerveau. Autrement dit, le cerveau réagit en fonction de notre vécu. Nous ne sommes pas à la merci de la «mécanique biologique» de notre cerveau, puisqu'au contraire, nous agissons et notre cerveau se modifie en conséquence.
Les personnes en dépression ne sont pas les esclaves de leur cerveau détraqué qu'il faudrait remettre sur les rails nécessairement de façon chimique. Notre cerveau est en constante adaptation, et ceci en fonction de notre vécu, sans apport chimique externe. Le corps et l'esprit sont intimement liés. Des répercussions physiques se manifestent automatiquement à la suite de nos émotions, mais de façon temporaire, et vice versa. Dans le cas d'une dépression typique, il s'agit de changements normaux, mineurs et temporaires et non de pathologies graves du cerveau.
En résumé, ce que nous vivons au jour le jour change l'anatomie de notre cerveau. Notre personnalité est donc le fruit de l'interaction active entre notre bagage héréditaire et notre expérience concrète de la vie.
http://www.lapresse.ca/le-soleil/vivre-ici/coin-du-psy/201306/01/01-4656803-notre-vecu-change-lanatomie-du-cerveau.php
Quel que soit votre parfum, l'alcool représente au minimum 80% de sa composition. Est-ce pour vous mettre en joie le matin quand vous vous parfumez ? Cela peut être une raison mais ce n'est pas la principale.
La substance odoriférante est le concentré du parfum. C'est une huile qui doit être déposée en faible quantité pour bien exhaler. Il est donc nécessaire de la diluer dans de l'alcool éthylique choisi pour sa neutralité. Dès l’application du parfum, l'alcool s'évapore rapidement en provoquant ce sentiment de fraîcheur. Sur la peau reste alors le concentré qui diffuse son odeur tout au long de la journée par évaporation progressive des molécules odorantes.
Selon la quantité de concentré présente (20 à 15 % pour un parfum, 10 à 20% pour une eau de parfum, 6 à 8% pour une eau de toilette), la diffusion sera plus ou moins longue. Alors à vous de choisir !
http://www.espace-sciences.org/archives/science/17215.html
La matière grise, lieu des opérations mentales et du stockage des informations nerveuses, est composée des corps cellulaires et des dendrites des neurones. Ce cortex, qui signifie « écorce » en grec ancien, tire son nom de sa couleur grise qui contraste avec celle des tissus qu’elle enveloppe, appelés substance blanche. La matière grise est souvent considérée comme la clé de l’intelligence. Plusieurs études ont en effet découvert un lien entre son abondance dans le cerveau et la performance à des tests de quotient intellectuel.
Pourquoi sommes-nous inégaux face à ce don que nous fait le cerveau ? Cette question intéresse de nombreux neurobiologistes, mais le mystère est encore loin d’être résolu. Dans une nouvelle étude publiée dans la revue Molecular Psychiatry, des chercheurs du King's College de Londres ont fait un pas en avant sur ce sujet. Ils déclarent en effet avoir mis le doigt sur une des origines de l’intelligence. Cette découverte pourrait les aider à mieux comprendre les mécanismes biologiques cachés dans certaines formes de déficience intellectuelle.
Les synapses sont les zones de communication entre deux neurones. La protéine Nptn, impliquée dans le fonctionnement de ces liaisons synaptiques, contrôlerait en partie la quantité de matière grise présente dans le cerveau.
Les synapses sont les zones de communication entre deux neurones. La protéine Nptn, impliquée dans le fonctionnement de ces liaisons synaptiques, contrôlerait en partie la quantité de matière grise présente dans le cerveau. © Birth Into Being, Flickr, cc by nc sa 2.0
Pour réussir cet exploit, les chercheurs ont mis les grands moyens : ils ont analysé le génome et réalisé des images par résonance magnétique (IRM) du cerveau de 1.583 adolescents âgés de 14 ans. Ils ont également fait passer différents tests aux participants afin d’analyser leur niveau d’intelligence, à la fois verbale et non verbale. Après de nombreux mois de travail à examiner en détail les 54.837 différences génétiques potentiellement impliquées dans le développement du cerveau, les chercheurs ont enfin trouvé ce qu’ils cherchaient. Ils ont en effet découvert que les candidats portant un variant génétique particulier possédaient un cortex plus fin à certains endroits du cerveau et en particulier au niveau des lobes temporal et frontal de l’hémisphère gauche. D’autre part, ces adolescents réussissaient moins bien aux tests intellectuels que les autres.
Nptn, le gène de la matière grise ?
En étudiant ce phénomène de plus près, les chercheurs ont montré que ce variant génétique affectait l’expression du gène Nptn, qui code pour une protéine jouant un rôle dans la communication entre les neurones au niveau des synapses. Autrement dit, ce variant altère la façon dont les neurones parlent entre eux et font circuler les informations nerveuses dans le cerveau.
Pour finir, les scientifiques ont analysé chez la souris l’expression du gène Nptn dans les neurones localisés dans différentes régions de la matière grise. Ils ont alors découvert que ce gène était exprimé différemment dans les hémisphères gauche et droit. Cela expliquerait donc pourquoi les candidats portant le variant génétique possèdent un cortex moins épais, mais uniquement au niveau de la région cérébrale gauche. Selon les auteurs, l’ensemble de ces résultats suggère que le gène Nptn contrôle en partie l’intelligence chez l'Homme.
Ces résultats, bien qu’intéressants, sont à prendre avec des pincettes. Tout d’abord, les auteurs précisent que cette variation génétique entraîne une différence intellectuelle de seulement 0,5 %, ce qui n’est pas très élevé. D’autre part, les tests utilisés ne reflètent pas toutes les formes d’intelligence, comme l’intelligence émotionnelle qui permet aux individus de contrôler leurs émotions et d’évoluer dans la société. « L’intelligence est influencée par de nombreux facteurs, à la fois génétiques et environnementaux, conclut Sylvane Desrivières, la directrice de cette étude. Le gène que nous avons identifié explique seulement une infime partie des différences dans les capacités intellectuelles chez l’Homme. Il ne s’agit en aucun cas du "gène de l’intelligence". »
http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/actu/d/biologie-intelligence-origines-genetiques-identifiee-52259/#xtor=RSS-8
L'émotion (ou "sentiment") de la colère est une combinaison complexe de sensations physiques, des cognitions (ou pensées) et les comportements.
Les sensations physiques associées à la colère sont bien connus. Une accélération du rythme cardiaque, essoufflement, une bouche sèche, des papillons dans l'estomac, jambes tremblantes, sentant etc chaude et rougie Ceux-ci peuvent sembler familier - ils sont très semblables aux sensations physiques qui se produisent dans l'anxiété. Cela n'est pas surprenant - c'est le même mécanisme physiologique qui sous-tend les deux émotions. La colère est la «lutte» de la composante "Fight or Flight" réponse au danger perçu.
Les sensations physiques de la colère et l'anxiété sont entraînés par les hormones libérées par les glandes surrénales (petites poches de tissus situé au-dessus des reins). Ces glandes surrénales sécrètent l'adrénaline dans le sang qui se disperse rapidement dans l'organisme. Il est l'adrénaline qui agit sur le corps pour le préparer à combattre ou à fuir en augmentant le cœur («cœur de course") et le taux de respiration ("la bouche le souffle court et sec»), élévation de la pression artérielle ("sensation de chaleur et rincé »), tendant les muscles (" jambes tremblantes »), etc
Pensées communes associées à la colère comprennent "Il ne peut pas dire / faire ça à moi!" ou "C'est pas juste!"
Les manifestations comportementales de la colère comprennent serrant les poings, le broyage de la mâchoire et une autre envahir l'espace personnel.
Il est très important de réaliser que toutes ces composantes interagissent et 3 feed-back à l'autre, provoquant une augmentation ou une diminution de la sensation de la colère. Par exemple, si vous êtes en colère et vous vous laissez se comporter en colère - cris et des hurlements, par exemple - vous êtes le corps va sécréter plus d'adrénaline, ce qui augmente encore les sensations de colère.
La colère n'est pas en soi un problème - il est une émotion qui a des avantages dans certaines situations. La «colère» chez les animaux quand ils sont menacés ou se disputent les droits sur le territoire ou l'accouplement est clairement une stratégie de survie. Un passif, aux manières douces tigre n'est pas susceptibles de vivre très longtemps!
Heureusement pour la plupart des êtres humains, nous n'avons plus à se battre physiquement pour survivre, de manger ou de trouver un partenaire. Cela fait beaucoup de notre redondante colère. Toutefois, le "Fight or Flight" réponse a développé en nous (et la plupart des animaux) au cours de millions d'années nous allons donc continuer à se mettre en colère pour l'avenir prévisible. Cela peut nous causer des problèmes et d'autres autour de nous.
Je ne prétends pas que nous essayer d'éliminer la colère de nos vies, mais si nous pensons qu'il est la cause de nous ou d'autres problèmes, nous pouvons essayer de le modérer et le rendre moins nuisible. Idéalement, nous pouvons le faire fonctionner pour nous plutôt que contre nous.
TCC se rapproche la colère en se concentrant sur les processus de pensée associés à la colère. La théorie est que, puisque nos pensées sont une composante fondamentale de la colère (avec des sensations physiques et les comportements), si l'on peut modérer ces pensées de colère, nous pouvons modérer les deux autres composantes ainsi par le biais du mécanisme de rétroaction.
Souvent ce sont nos pensées - nos interprétations des événements - qui déclenchent la réponse la colère en premier lieu. Si nous pouvons développer une interprétation plus équilibrée et rationnelle du monde qui nous entoure, nous pouvons étouffer la réponse la colère dans l'œuf. Un bon exemple de ceci est notre réponse à la critique. Si nous interprétons toute critique comme une attaque malveillante sur nous comme une personne, alors nous allons mettre en colère. Si nous sommes en mesure d'adopter une approche plus équilibrée, en vue de la critique rationnelle, nous pouvons nous sentir déçus, mais nous allons éviter de se faire "à chaud sous le col". Nous pouvons même être en mesure de voir que, parfois, notre porte-parole a raison!
Une autre technique pour modérer notre colère est trop penser avec plus de souplesse. Nous avons tous vu les tout-petits et jeunes enfants lancent des crises de colère - ils peuvent être d'apoplexie avec rage! Souvent, cela semble être le résultat de la pensée inflexible immature, - les jeunes enfants aiment avoir (et maquillage) des règles qui ne doit jamais, absolument jamais, être ventilées, soit par eux-mêmes ou (surtout) par d'autres. Oh, les scènes d'horreur assisté à des fêtes d'enfants quand un enfant a «cassé» les règles d'un jeu!
Malheureusement, beaucoup d'entre nous les adultes continuent à inflexible, les règles à ne jamais être brisées à la vie-. Il s'agit d'un problème si vous voulez éviter à crier et se rouler sur le sol, tout en portant un costume. Exemples de règles pour adultes sont «Personne ne doit jamais être désagréable avec moi", "La vie ne doit pas être injuste envers moi", et (mon préféré) "D'autres personnes doivent conduire ainsi et de façon courtoise que je fais».
Il ya beaucoup de problèmes avec ces règles. D'abord et avant tout de ce qui est qu'ils ne sont pas vraiment des «règles» à tous - ils sont vos préférences. Il n'existe aucune loi contre les personnes impoli de vous, ou la vie est injuste, ou gens de ne pas vous laisser sortir au niveau des jonctions. Vous préférez en était autrement, mais c'est tout ce qu'il est - votre préférence. Comme il s'avère, la plupart des gens sont généralement polis et conduire décemment, et le monde ne peut pas être tout à fait injuste, après tout, mais il y aura toujours des exceptions. Vous ne pouvez pas contrôler ces exceptions, et en ayant des règles aussi rigides que vous êtes vous-même la mise en place pour beaucoup de colère dans votre vie. Essayez la pensée le long des lignes de "Je préfère quand les choses vont à ma façon, mais parfois ils ne seront pas et je ne peux accepter et de traiter avec cela".
Cela conduit à une autre technique pour modérer la colère - la modération du langage que nous utilisons. Je ne signifie pas simplement en évitant etc jurant, mais quelque chose de plus subtil que cela, concerne à la fois les mots que nous utilisons en interne et en externe. La langue est une chose puissante - après tout, nos pensées sont constitués de mots (nous quelques photos jetés dans) - et nous pouvons l'utiliser à notre avantage. Donc, si quelque chose que nous n'aimons pas a eu lieu - de quelqu'un heurta notre voiture dans le parking - nous pouvons choisir la façon d'encadrer cet événement dans le langage. Nous pouvons penser: «Je le voudrais si elles n'avaient pas fait cela, ils auraient pu être plus prudent, cela me causer quelques désagréments et des dépenses" OU nous pouvons penser "Il a fait cela délibérément! Il était probablement ivre! Comment peut-on cela se produit, aujourd'hui, de tous les jours! " Une façon de penser utilise des termes modérés, les autres utilisations extrêmes. Même événement, mais les réponses de pensée différents. Il est clair que la réponse n'est pas seulement fait de ce tracas plus supportable, mais aussi conduit tout naturellement à trier les tracas avec un minimum de tracas.
Penser avec plus de souplesse implique aussi l'acceptation de personnes, y compris vous-même - comme des êtres humains faillibles, capables de faire des erreurs et faire le mal. Et pourtant, malgré ces défauts, ils (et vous) possèdent encore la dignité et sont dignes de respect. Cela signifie également que nous allons accepter que d'autres personnes peuvent avoir des opinions divergentes et des vues, et même si nous n'avons pas d'accord avec eux, nous n'allons pas nous rendre en colère essaie de leur faire admettre qu'ils ont tort! En outre, nous n'allons pas à d'autres étiquettes (ou vous-même) comme «méchant» ou «inutile» ou «égoïste», etc sur la base d'un ou de deux événements ou des conversations. Tout le monde peut, et il a probablement, été toutes ces choses (et autres) à un moment donné dans leur vie, et probablement sur plus d'une fois! Si vous identifiez quelqu'un, alors vous n'êtes pas seulement être totalement inexacte au sujet d'un être complexe et changeante de l'homme, mais vous êtes également susceptible d'interpréter tout ce qu'ils font à l'avenir sur la base de cette étiquette. Si un "méchant" personne tousse, tout en vous donnant un discours, puis il est évident qu'ils l'ai fait exprès pour vous embêter. Cue la réponse la colère!
Une dernière façon de modérer la colère rend l'utilisation des interactions entre les pensées, les sensations et les comportements d'une manière légèrement différente. Plutôt que de se concentrer sur les processus de pensée, cette technique vous encourage à vous concentrer sur votre comportement. En modérant votre comportement, vous fournir des «rétroaction négative» (également appelé "rétroaction inhibitrice») pour le système de réponse colère, modérer les ses effets. Donc, lors de votre prochaine sens très en colère, plutôt que de piétiner autour, en criant, en agitant les poings et être intimidant, essayez de prendre de grandes respirations lentes, se détendre vos mains, parler à un volume normal et à un rythme normal, etc Ce comportement calme enverra le message "Les choses sont OK" pour retourner à votre corps, causant la sécrétion d'adrénaline à la queue et arrêter, ce qui réduit et d'éliminer les sensations physiques de la colère. Il est intéressant, de se comporter comme si vous étiez calme travaille également sur vos pensées. Tellement calme, le comportement mesuré conduit à un corps calme et l'esprit.
Le principal problème avec les êtres humains et la colère, c'est que, pour la plupart d'entre nous, la colère n'est plus très utile. Dans nos vies modernes, nous la plupart du temps face à des irritations et des inconvénients plutôt que d'une tribu ennemie ou vorace animal sauvage. Il n'est plus approprié pour nous d'aller le visage rouge et que vous voulez casser la baraque. En utilisant les techniques décrites ci-dessus peut nous aider à modérer notre colère.
Je dis «modérée» et non «éliminer». Je pense qu'il n'est ni possible ni souhaitable d'éliminer une émotion fondamentale comme la colère d'un être humain. Nous avons besoin d'un certain niveau de colère pour nous inciter à agir de façon appropriée dans des situations où nos intérêts sont menacés. Nous ne pouvons pas être en danger physique, mais se mettre en colère peut nous inciter à nous d'agir lorsque nos patrons nous donnent une trop grande charge de travail ou notre gouvernement est restreignant nos libertés.
Mais peut-être je devrais l'appeler pas appeler cette «colère», mais «l'affirmation de soi"! (Voir ci-dessus!)
Source : http://www.energika.org/problemes-colere-a03575764.htm
Le corps humain doit maintenir sa température aux alentours de 37 degrés Celsius et peut transpirer si nécessaire. Quand il fait chaud, la production de sueur augmente et l’eau qui s’évapore prélève de la chaleur à la peau, refroidissant ainsi le corps. C'est par cette réaction que survient l'odeur corporelle, qui peut devenir source de problèmes au quotidien.
La sueur contient un mélange d’eau, de sels et de toxines; la sueur est produite par des millions de glandes eccrines réparties sur l’ensemble du corps. Mais nous avons un autre type de glandes sudorales, qui se trouvent sous nos bras et à proximité de nos organes génitaux, baptisées glandes apocrines. Les glandes apocrines produisent une sueur laiteuse qui contient des protéines et une substance huileuse appelée sébum, un hydratant naturel de la peau. Cette sueur laiteuse est l’aliment idéal pour de nombreuses bactéries microscopiques qui se trouvent sur la peau sous nos bras et autour de notre sexe. Lorsqu’elles consomment notre sueur, ces bactéries produisent des composés chimiques odorants qui sont responsables de notre odeur corporelle. Plus longtemps on laisse ces bactéries consommer les composés de la sueur (en d’autres termes, plus on attend avant de prendre une douche), plus l’odeur devient forte.
Les déodorants et les antitranspirants ont une action différente sur la sueur. Les déodorants ne perturbent pas l’émission de la sueur mais ils contiennent des agents antiseptiques qui éliminent les bactéries à l’origine des odeurs corporelles ainsi que des parfums. Les antitranspirants, par contre, bloquent les pores pour empêcher la libération de sueur.
http://www.futura-sciences.com/magazines/sante/infos/qr/d/corps-humain-odeur-corporelle-sueur-odeur-desagreable-209/
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité