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Articles de islamiates

Incha Allah c’est quoi au juste ?

in-ch-Allah

Il est toujours très instructif de lire les mémoires des gens, surtout lorsqu’ils ont atteint un certain âge. Tout d’abord parce que leur vision du monde est « assez complète »; parvenus au sommet tels des oiseaux de montagne, leur vision de la vie est quasi panoramique panoramique, donc plus lucide, plus aiguë, enfin plus juste.

Le livre de Maurice Tubiana intitulé N’oublions pas demain, écrit à 87ans, ne déroge pas à la règle en dépit d’un point de vue très particulier que nous considérons en quelques occasions fragmentaire. Né en 1920 à Constantine (Algérie) dans une famille juive bourgeoise, il put comprendre une grande partie du XIXe siècle à travers le récit de ses parents et a été témoin direct de nombre de grands bouleversements du XXème. Son éducation et son instruction faites au milieu des livres et des intellectuels achevèrent de lui offrir une vision rigoureuse du monde. Son livre est donc utile et les réflexions qui y sont développées méritent qu’on y fasse halte.

Nous ne reprocherions qu’une chose à Tubiana : c’est de connaître si peu la civilisation islamique au point de nourrir à son égard une vision tellement fausse, lui qui est né au beau milieu de celle-ci (même si c’était pendant la période coloniale), qui jouit d’une culture quasi encyclopédique et qui adolescent, parlait de Nietzche et de Marx comme ceux d’aujourd’hui parleraient d’un footballeur ou d’un acteur. En fait, le cancérologue de renom ne fait pas de référence directe à l’Islam, mais il y fait parfois des allusions dont les présupposés et les sous-entendus laissent transparaître un regard bien particulier, teinté d’une certaine condescendance.

Dès son chapitre liminaire « Refuser la fatalité », il écrit : « J’ai appris, dès ma jeunesse, qu’il n’y a pas de fatalité, contrairement à ce « Mektoub » (« c’est écrit ») qui était sans doute le mot le plus fréquemment prononcé dans l’Algérie de mon enfance, généralement pour justifier la paresse et la résignation ». Cette phrase a le mérite de bien résumer ce que pense un certain nombre d’intellectuels occidentaux et orientaux à propos de l’islam : la civilisation islamique serait en décadence parce qu’elle contient en elle-même les germes de sa propre déchéance. Les formules « inchaAllah » (« Si Dieu veut »), « La hawla wa la quwata illa biLah » (« il n’est de pouvoir et de puissance qu’en Dieu »), « atawaqulu ‘ala Allah » (« le fait de se reposer sur Dieu », la prosternation en groupe, les invocations (dou’as) en formeraient les expressions les plus flagrantes. C’est cette fausse croyance que nous voudrions réfuter ici.

D’abord, si cela était réellement le cas, ladite civilisation n’aurait jamais connu ces nombreux siècles de développement inouï. En fait, on semble confondre deux choses foncièrement différentes : l’humilité et la fatalité. Le musulman se sait très petit, très fragile et fort dépendant dans cet immense univers ; il a parfaitement conscience que son existence ne tient à rien et que le moindre caprice météorologique au dessus de sa tête, la moindre secousse en dessous de ses pieds, un simple cyclone peut balayer des siècles d’œuvres humaines. Dans cette méditation où il trouve l’humilité, il sent qu’il a besoin de Dieu où qu’il se trouve au même titre que chaque créature sur ce globe et bien au-delà : « Tous ceux qui sont dans les Cieux ou sur la Terre implorent son secours, pendant que Lui [Dieu] se manifeste chaque jour dans la réalisation d’une œuvre nouvelle » (Coran : 55, 29).

Les invocations qui font partie intégrante du souvenir intime de Dieu porté à son summum par les cinq prières quotidiennes, rythment la vie du croyant et orientent ce dernier sur la voie d’un rappel qui cadence sa journée ; à l’aube, au zénith, au déclin, au coucher et en pleine nuit. Ces prières perpétuent le souvenir intime de Dieu et secondent le croyant dans une introspection régulière. D’ailleurs, ce même rappel ne peut se faire efficacement sans une profonde méditation sur l’œuvre divine : « Il y a, assurément, dans la création des Cieux et de la Terre et de l’alternance de la nuit et du jour des signes pour ceux qui font usage de leur intelligence. Ceux qui debout, assis ou couchés, ne cessent d’invoquer Dieu et de méditer sur la création des Cieux et de la Terre… » (Coran, 3, 191-192). Le rappel de Dieu ne prend ainsi vraiment sens que lorsqu’il est accompagné d’un singulier questionnement sur les environnements incroyables, célestes et terrestres, qui nous entourent et nous accueillent. Le croyant se sachant donc dépendant de l’espace, mais également du temps qui sont l’œuvre de Dieu et sur lesquels il n’a aucune emprise, doit retourner vers son Créateur pour appeler humblement Ses largesses infinies et solliciter Son accompagnement dans ses projets futurs. La formule incha Allah trouve tout son sens ! Ainsi, incha Allah c’est l’esprit d’entreprise sous les couleurs de l’humilité vis-à-vis de Celui qui détient les clés de l’espace et du temps. Molière avait cette belle formule dans Le Tartuffe : « On n’exécute pas tout ce qui se propose/ Et le chemin est long du projet à la chose ».

Cette humilité, nous l’aurons bien saisi, une fois acquise ne se révèle pas une entrave à l’action, elle est bien au contraire une force stimulatrice ; le croyant pour renforcer sa conviction doit sonder son univers et se donner les moyens de l’interroger pour mieux se comprendre et par la même occasion, jouer pleinement son rôle au sein de celui-ci : « : « Ô peuples de djinns et d’hommes ! Si vous pouvez traverser les espaces célestes et les espaces terrestres, faites-le ! Mais vous ne les traverseriez qu’à l’aide d’un pouvoir. » (Coran, 55, 33). De même, la recherche de l’interaction avec les hommes de tout bord, érigée en projet divin, constitue une priorité absolue : « Ô hommes, Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle et Nous vous avons répartis en nations et en tribus dans le but que vous interagissiez… » (Coran, 49, 13). Ces deux éléments, à savoir une profonde méditation sur notre environnement qui doit déboucher sur un strict respect de celui-ci, de même que le respect et la volonté de connaître et d’échanger avec les hommes, deviennent un préalable indispensable pour penser correctement notre existence et éviter les folies meurtrières que nous connaissons depuis un siècle. La philosophe Hannah Arendt, qui à traité cette question ex professo, démontre dans son livre Les Origines du totalitarisme combien le lien est fort entre le mal, l’inhumanité et le fait pour l’homme de renoncer à penser son monde et les relations
qu’il entretient avec ses semblables.

Ainsi, tout acte de bonté est d’abord un acte d’humilité et l’action cohérente qui en découle est celle de la compassion, de la fraternité et de l’amour. L’être humain, sans l’humilité et la sollicitude peut basculer dans l’orgueil et devenir par la même occasion un tyran pour ses semblables. De la sorte, tout acte de progrès qui ne vise pas à rendre plus heureux les hommes est vain. Une nouvelle fois, cette formule incha Allah, loin d’être une expression d’inertie, affirme avant tout l’humilité du croyant et annonce toute la philosophie de bienveillance qui doit commander ses actes.

Le croyant, est appelé à agir sur son monde, à trouver les solutions à ses problèmes à améliorer sa condition de vie tout en se comportant en être responsable devant Dieu : « Invoquez votre Seigneur humblement et secrètement. En vérité, Dieu n’aime pas les transgresseurs. Ne semez pas le désordre sur la Terre, après que l’ordre y a été établi. Invoquez votre Seigneur avec crainte et espoir. La miséricorde de Dieu est à la portée de ceux qui font des œuvres salutaires. » (Coran, 7, 55-56). Cette exhortation à l’action traverse tous les domaines, qu’ils soient d’ordre médical, scientifique ou tout simplement ceux du savoir-vivre. Les versets coraniques abondent en ce sens.

La formule « il n’est de force et de puissance qu’en Dieu » est en réalité le résultat d’une profonde méditation sur la création ; elle est surtout l’aboutissement de l’humilité et de la juste reconnaissance de la Grandeur divine. Cette même sentence finit d’ailleurs souvent par se vider de sa substance et perdre ses couleurs lorsqu’elle est utilisée sans conscience, et de manière mécanique pour tout et n’importe quoi. Le croyant qui fait usage de cette expression a conscience d’une chose : tous ses projets ne peuvent être menés à bien qu’à l’aide d’une force bien au dessus de la sienne, car il ne détient en réalité aucun pouvoir entre ses mains, tout lui échappe et il est soumis aux lois de l’univers au même titre que toutes les autres créatures. Mais ladite force peut être sollicitée et c’est même un devoir que de la solliciter ! Conscient donc de cette formidable assistance qui peut lui être offerte grâce à la miséricorde divine, le croyant peut envisager tous les projets pour peu qu’ils soient nobles, et doit repousser sans cesse les limites pour mériter cette grande tâche qui consiste à être au service de ses semblables.

Toutes ses postures morales sont matérialisées physiquement par la soumission du corps (après celle de l’esprit) et exprimées lors des prosternations journalières et nocturnes. Elles sont surtout bien résumées dans les premiers mots de la sourate la plus récitée par le croyant : « Louange à Dieu, le Maître de l’univers, le Miséricordieux par essence, Le Très Miséricordieux par excellence».

Le croyant échappe à l’angoisse en prenant conscience que son Créateur l’encourage dans son effort à comprendre Son œuvre qu’Il lui dévoile progressivement et de manière quasi-pédagogique. L’homme face à tout cela, retrouve une pleine sérénité en se soumettant en
connaissance de cause et en vouant à Dieu une adoration non plus aveugle, mais pleine de bon sens.

Les récentes découvertes en astronomie achèvent de montrer la petitesse de l’homme dans cet incroyable et immense univers. L’être humain qui fait chaque jour des découvertes aussi surprenantes les unes que les autres, se rend en même temps compte de l’étendue de ses méconnaissances et surtout de son impuissance ; les quelques lois qu’il découvre sont une goutte d’eau dans l’immense océan de règles qui régissent le cosmos. Enfin, ces lois une fois découvertes, loin de se soumettre à la volonté humaine, continuent de s’imposer à l’homme ; l’univers, pour fonctionner, n’a nullement recours aux services de l’être humain et le romantique Gérard de Nerval nous avait fait don de ces deux magnifiques vers : « Des forces que tu tiens ta liberté dispose/ Mais de tous tes conseils l’univers est absent ».

Pour résumer et finir, le Coran loin de décourager les esprits pleins d’initiatives, invite les hommes à innover, à transformer, à rechercher et à interroger leur univers pour mieux en saisir le langage subtil. Dans cette quête de sens, l’homme retrouve progressivement et sûrement confiance en lui et parvient à parfaire sa soumission, une soumission pleine de grandeur puisqu’elle est
exprimée à l’endroit de Dieu : « Et c’est ainsi que nous étendîmes devant Ibrahim (Abraham) le Royaume des Cieux et de la Terre afin de le raffermir dans sa croyance » (Coran, 6, 75). Cette soumission enfin, oriente le croyant humble et entrepreneur sur la voie d’œuvres utiles à ses semblables et à l’environnement qui l’accueille.

« C’est par un effet de la grâce de Dieu que tu es [Ô prophète Muhammad] si conciliant envers les hommes, car si tu te montrais brutal ou inhumain avec eux, ils se seraient tous détachés de toi. Sois donc bienveillant à leur égard ! Implore le pardon de Dieu en leur faveur ! Consulte-les lorsqu’il s’agit de prendre une décision ! Mais, une fois la décision prise place ta confiance en Dieu, car Dieu aime ceux qui mettent en Lui leur confiance » ! (Coran, 3, 159).

A.Bouzelmate

http://havredesavoir.fr/incha-allah-cest-quoi-au-juste/

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Le sacrifice des animaux dans les religions

Dans l'Antiquité

Le sacrifice comme élément central des religions antiques a fasciné la science des religions depuis que celle-ci pense avoir compris le rituel comme le véritable « langage » de la religion. La découverte du rituel a apporté simultanément deux modèles d’interprétation dans le discours sur la religion : la religion est, dans l’homme, quelque chose d’archaïque, de primitif, de non apprivoisé par la culture. Par conséquent, la religion n’est pas ce que les théologiens veulent entendre par là aujourd’hui : un comportement éthique et son fondement ultime dans le transcendant, le respect pour l’infini, la sublimation suprême, en somme ! À l’origine, la religion s’avère être un comportement préconscient, qui se trouve en relation avec les instincts de l’homme en tant qu’être naturel. Une « situation primitive » en est le parfait exemple.

Dans la Grèce antique, la religion faisait partie du quotidien ; sacré et profane étaient étroitement imbriqués. Pour les hommes, il était crucial de pouvoir entrer en communication avec les dieux : nombre de rites furent ainsi inventés pour s'allier les Immortels, les appeler ou les remercier. Parmi ces rites, le plus couramment pratiqué étant le sacrifice – en particulier le sacrifice sanglant, qui consistait à mettre à mort un animal en l'honneur d'une divinité – et, parallèlement, le don d'offrandes. La religion grecque était donc basée sur l'échange et la réciprocité : les dieux accordent leurs faveurs et les hommes, en retour, les honorent et leur témoignent fidélité et gratitude. Mais parler aux dieux, chercher à s'attirer leurs bonnes grâces, c'était aussi reconnaître son statut de mortel. S'il semble possible d'influer, dans une certaine mesure, sur le cours des événements, les dieux restent maîtres des destinées.

Dans la Bible

Pour les chrétiens, Jésus-Christ s'est sacrifié lui-même pour sauver le genre humain, tel que cela est relaté dans plusieurs versets du Nouveau Testament. La théorie mimétique de René Girard, dans son développement, en vient à distinguer le sacrifice primaire (une collectivité met à mort une victimaire émissaire) d'un sacrifice secondaire (inauguré par les prophètes, achevé par Jésus dans une version considérée comme parfaite et imité par les martyrs), avec ceci d'intéressant que le secondaire révèle l'existence du primaire. En prédisant son propre lynchage émissaire et en acceptant d'être la victime des peuples de son temps (et d'un point de vue anthropologique de toute l'humanité), Jésus révèle le mécanisme émissaire en place depuis l'apparition d'homo sapiens voire des espèces humaines précédentes. Le Dieu des chrétiens refuse les sacrifices alors que les dieux païens multiplient les meurtres eux-mêmes et en réclament dès qu'ils se sentent offensés, ou plus exactement quand des membres de la communauté ont transgressé des interdits. Quoique les modernes sachent bien que les boucs émissaires sont innocents, cette innocence étant même intégrée dans la signification de cette locution, il s'agit d'une révélation pour les contemporains de Jésus : les "Grecs" (ou les polythéistes) ne savent pas qu'ils produisent des sacrifices pour réguler la violence profane et pacifier les relations ; de leur point de vue, celui que nous autres modernes appelons "bouc émissaire" est coupable. Jésus renverse la façon de voir la scène du sacrifice et fait passer d'une victime active avec une foule passive à une victime passive avec une foule active.
Jésus dans l'évangile de Saint Mathieu condamne le sacrifice des animaux.

 

Dans le Coran

Selon l'islam, le Coran est le point terminal de la Révélation pour cette humanité. Il se présente de fait comme la récapitulation et la synthèse des messages antérieurs, et maints récits bibliques y sont relatés de façon condensée et allusive. Le caractère sibyllin du « Livre », on va s’en rendre compte, apparaît nettement dans l’épisode du sacrifice d’Abraham.

Dans la sourate 37, ressort au thème coranique de l’épreuve (balâ’), qui agit comme une véritable pédagogie spirituelle à l’adresse des croyants et à fortiori des prophètes : l’élection et l’investiture ont pour passage obligé la purification. Abraham (Ibrâhîm en arabe) a été choisi comme « ami intime de Dieu » (khalîl Allâh) parce qu’il a subi avec succès maintes épreuves1. L’une des plus intenses fut sans doute ce songe au cours duquel le patriarche se vit en train d’immoler son fils :

- « Ô mon fils, je vois en rêve que je t’égorge. Qu’en penses-tu ? »

- « Père, répondit le fils, fais ce qui t’est ordonné. Tu me trouveras, si Dieu veut, parmi ceux qui supportent [l’épreuve] » (Cor. 37 : 102).

La commémoration du sacrifice d’Abraham, actualisée chaque année par le sacrifice d’animaux, est devenue la « grande fête » (al-‘îd al-kabîr) des musulmans, célébrée le 10 de Dhû l-Hijja, mois du Pèlerinage. Le Hajj, ceux qui l’ont accompli le savent bien, est une épreuve : répétition du Jugement dernier, il est mort à ce monde et résurrection.

À l’instar de la bête, le pèlerin est l’offrande sacrificielle dont le parcours rituel permet à la communauté musulmane, et au-delà à l’humanité, de se régénérer. Si le sacrifice animal garde aujourd’hui toute sa pertinence, et si le partage et le don de la viande perpétuent « l’hospitalité sacrée » d’Abraham, il importe de ne pas perdre de vue le sens premier du sacrifice : la purification intérieure.

Analyse sociologique du sacrifice

Le sacrifice peut se comprendre comme un échange entre les hommes qui le pratiquent et les puissances divines qui le reçoivent. Dans les sociétés primitives, non-monétaires, tout commerce suppose un échange, dons contre dons, à proportion de la situation et de la qualité des personnes engagées dans l'échange. Do ut des, je donne pour que tu donnes, selon la formule latine bien connue... Le don n'est jamais gratuit mais s'effectue selon des codes sociaux précis et réglés par la tradition.
Il en va de même dans l'échange entre hommes et puissances divines. De même que les langues anciennes n'ont pas de mot pour désigner la "religion" en soi, comme une activité et surtout une idéologie, séparée du reste des activités humaines, le sacrifice, ou ce que nous nommons tel, est d'abord à comprendre dans le cadre plus large des règles de l'échange et du fonctionnement des relations sociales. Les Dieux étant les plus puissants des êtres, la communication et l'échange avec eux sont régis par des règles certes spéciales mais qui doivent s'entendre dans un cadre plus large donc. Plus une personne est puissante et haut-placée, plus elle est censée répondre au don par un contre-don encore plus prestigieux et de plus haute valeur. On offre aux Dieux le meilleur parce qu'on attend en retour des dons inestimables, la pluie, de bonnes récoltes, la victoire, la paix, la prospérité, la santé... En latin, sacrifier veut dire faire passer dans le monde du sacré un objet profane, généralement par une forme de destruction (mais pas nécessairement, que l'on songe aux dédicaces, objets votifs et ex-voto de toutes sortes). Cette définition peut être généralisée mais n'oublions pas qu'en grec, thysia, le sacrifice est un mot de la même racine que thyein, brûler et thyo, encens, parfum. Il n'a un sens "technique" et religieux que secondairement. Sacrifier, c'est faire monter une fumée d'agréable odeur vers les Dieux, comme il est dit dans la Bible aussi.
Le sacrifice étant un échange, il est un partage... Une des formes est donc le repas sacrificiel où la victime est "sacrifiée" puis consommée de concert entre Hommes et Dieux, chaque partie recevant sa part, différence qui marque la séparation en le Ciel et la Terre mais aussi leur communion. Le sacrifice doit donc s'entendre comme une frontière, mais une frontière où l'on se rencontre et où l'on échange, aux dons des hommes devant répondre les dons des Dieux.
Dans la Bible, en Grèce, à Rome, tuer un animal pour la boucherie ou le sacrifier, n'a point de différences. Une seule manière de le mettre à mort qui est toujours sacrificielle. Puis après que la part des Dieux a été prélevée et leur a été offerte, les hommes prennent leur part, soit pour la consommer sur place dans un grand banquet commun soit pour l'amener chez eux. Dans ces temps anciens, on mangeait rarement de la viande, d'abord aux fêtes qui étaient toujours "religieuses" et donc accompagnées de "sacrifices".

 

Conclusion

Friedrich Nietzsche, Jane Harrison, Martin Nilsson renversent l’image de la « noble simplicité et calme grandeur ». L’« origine sauvage » du rituel devient, en somme, la clef de la religion ; l’homme devient l’homo necans. Dès lors naît une théorie de la culture qui attribue au sacrifice, en tant que rituel, un effet canalisateur : grâce au rite sacrificiel, la menaçante agressivité intraspécifique est déchargée sur l’animal. Au lieu de s’entretuer, les hommes mettent à mort l’animal sacrificiel. Walter Burkert et René Girard, le spécialiste de la littérature, développent simultanément une théorie semblable sur le rite sacrificiel, du point de vue de la culpabilité, de l’imitation, de l’évacuation de l’agressivité. Plus large et plus systématique est l’interprétation du sacrifice comme ordre et représentation du groupe.

 

 

http://kernos.revues.org/2029

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Quels sont les jours de tashriq ?

Quels sont les jours de tashriq ? Et en quoi ils se distinguent des autres jours ?

Les jours dits de Tashriq sont le 11e, le 12e et le 13e jours de Dhoul Hidjdja. Des hadiths et des versets évoquent leurs mérites. En voici quelques uns :

1/ Allah le Puissant et Majestueux dit : «Et invoquez Allah pendant un nombre de jours déterminés.» (Coran, 2 : 203). Il s’agit dans ce verset des jours en question d’après Ibn Omar et la plupart des ulémas.

2/ le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit à propos de ces jours-là : « Ils sont sûrement des jours pendant lesquels on doit manger, boire et rappeler Allah, le Puissant et Majestueux ». Le rappel d’Allah recommandé pendant les jours de tashriq  comporte différentes catégories :

-         Il en est celle qui consiste à rappeler Allah le Puissant et Majestueux au sortir des prières prescrites à l’aide de takbir (Allahou akbar) répété) Cette pratique est recommandé jusqu’au dernier jour de tashriq, selon la majorité des ulémas.

-         Il en est de même de la mention du nom divin avec le takbir au moment d’égorger le sacrifice. Car le temps pendant lequel on peut égorger le sacrifice s’étend jusqu’à la fin du dernier jour de tashriq.

-         Il en est du rappel d’Allah, le Puissant et Majestueux au moment de manger et de boire. Car il est recommandé de mentionner le nom d’Allah avant de manger et de boire, et de Le louer après. Selon un hadith, le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Certes, Allah, le Puissant et Majestueux est satisfait du serviteur qui Le loue après avoir mangé et bu ». (rapporté par Mouslim, 2734).

-         Il en est de même du rappel consistant dans les takbir prononcé pendant la lapidation des stèles par les pèlerins au cours des jours de tashriq.

-         Il en est de même du rappel d’Allah le Puissant et Majestueux de façon absolue. Il est certainement recommandé de le multiplier pendant les jours de tashriq. Omar, installé dans sa tente, prononçait le takbir de manière à ce que les gens l’entendaient et le relayaient au point que tout Mina retentissait. C’est dans ce sens que le Très Haut dit : «Et quand vous aurez achevé vos rites, alors invoquez Allah comme vous invoquez vos pères, et plus ardemment encore. Mais il est des gens qui disent seulement: "Seigneur! Accorde nous (le bien) ici-bas!" - Pour ceux-là, nulle part dans l' au-delà. Et il est des gens qui disent: "Seigneur! Accorde nous belle part ici-bas, et belle part aussi dans l' au-delà; et protège- nous du châtiment du Feu!" » (Coran, 2 : 200-201).

Bon nombre des ancêtres pieux aimaient à prononcer fréquemment la répétition de cette formule de prières pendant les jours de tashriq.

La parole du Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) : « Ils sont sûrement des jours pendant lesquels on doit manger et boire et se rappeler Allah le Puissant et Majestueux » signifie que l’on mange et boit pendant les jours de fête pour mieux pouvoir rappeler Allah le Très Haut et Lui obéir, et constitue la plus parfaite expression de la gratitude envers Lui.

Allah a donné dans Son livre l’ordre de manger des nourritures licites et de Le remercier. Quiconque utilise les bienfaits d’Allah pour pouvoir Lui désobéir fait preuve d’une ingratitude de mécréant et mérite d’en être privé. C’est dans ce sens qu’on dit :

Si tu vois un bienfait, conserve le

Car les actes de désobéissance font disparaître les bienfaits

Fais les perdurer en en remerciant Allah

En remerciant Allah on écarte la colère (divine)

3/ le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) a interdit de jeûner lesdits jours : « Ne jeûnez pas ces jours-là, car ils sont des jours pendant lesquels on doit manger, boire et rappeler Allah, le Puissant et Majestueux » (rapporté par Ahmad, n° 10286 et déclaré authentique par al-Albani dans as-Silsila as-Sahiha, n° 3573). Voir lataif al-maarif d’Ibn Radjab, p. 500.

Seigneur ! Assiste-nous à accomplir de bonnes œuvres et raffermis-nous jusqu’à la mort, et accorde-nous Ta miséricorde, toi qui prodigues des dons abondants.

Louange à Allah, le Maître des univers.

Islam Q&A

e6un7

 
 
 
 

Selon des Hadiths le Jour du Jugement Dernier est probablement vers 2120

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Anas ibn Malik rapporte que le Messager d’Allah (pbsl) a dit : LA DUREE DE VIE DU MONDE EST DE SEPT JOURS SELON LES JOURS DANS L’AU-DELA. Allah le Tout-Puissant a dit QU’UN JOUR AUPRES DE VOTRE SEIGNEUR EST COMME UN MILLIER DE VOS ANNEES. ALLAH ATTRIBUERA L’EQUIVALENT EN BONNES ACTIONS DES SEPT MILLE ANNEES QUI SONT L’AGE DE CE MONDE pour celui qui répond aux besoins de ses frères en religion sur le chemin d’Allah, comme s’il avait passé ses journées en jeûnant et ses nuits en adoration. (Al-Muttaqi al-Hindi, Al-Burhan fi Alamat al-Mahdi Akhir az-Zaman, p. 8)

Dans son ouvrage al-Burhan fi Alamat al-Mahdi Akhir az-Zaman, al-Muttaqi al-Hindi, l'un des savants d'Ahl al-Sunnah a annoncé dans 8 hadiths que la durée de vie de ce monde est de 7000 années.

Cependant, notre Prophète (pbsl) a attiré l'attention sur un calendrier de 7000 ans avec les mots 'la durée de vie du monde est de 7000 ans'.

Ce calendrier de 7000 ANS est un calendrier utilisé à une période de l'histoire comme furent utilisés les différents calendriers Hégirien, Grégorien, Solaire ou Maya.

Ce calendrier que notre Prophète (pbsl) mentionne dans son hadith est une période de temps de millions d'années  de l'histoire.

De la même manière que l'Hégire (Hijra) est le début du calendrier hégirien et que la naissance du Prophète Jésus (psl) marque le commencement du calendrier grégorien, la période de 7000 ans rapportée par notre Prophète peut être déterminée selon un évènement considéré comme un commencement. De nombreux évènements importants comme la naissance du Prophète Abraham (psl) ou du Prophète Noé (psl), l'affectation de la mission d'être un Prophète au Prophète Abraham (psl), la construction de la Kaaba ou le commencement du déluge de Noé peuvent être le début de ce calendrier de 7000 ans.

Notre Prophète a relaté certaines informations concernant la période qui commence à son temps et qui durera jusqu'à la fin de la communauté islamique en prenant ce calendrier de 7000 ans comme une référence.

Notre Prophète (pbsl) a éclairé les Musulmans à propos de la venue de Hazrat Mahdi (psl), du règne mondial de l'Islam et sur le dernier siècle de la Fin des Temps via ces informations.

Les informations détaillées relatées par notre Prophète (pbsl) se révèlent quand d'autres hadiths et travaux de nos savants islamiques sont examinés.

"Cinq mille six cents ans de ce monde sont passés."

Notre Prophète (pbsl) a dit que la vie de la communauté islamique est de 7000 ans et que 5600 ans de cette vie se sont déjà écoulés jusqu’à l’époque de notre Prophète (pbsl).

Selon le calendrier révélé par notre Prophète  (pbsl), la vie de la communauté islamique est de 7000 ans. Et jusqu'à l'époque de notre Prophète (pbsl), 5600 ans de cette période sont passés. Lorsque nous soustrayons 5600 ans de 7000 ans, il reste 1400 ans.

Selon ce calendrier de 7000 ans, 1400 ans après la mort de notre Prophète (pbsl), la durée de vie de la communauté islamique va connaître un terme et le temps du Jour du Jugement sera très proche (Allah connaît la vérité).

Le grand savant sunnite Al-Barzanji déclare que la durée de vie de la communauté ne dépassera pas l’an 1500 de l’Hégire. (Allah connaît la vérité).

LA VIE DE CETTE COMMUNAUTE DEPASSERA 1000 ANS, MAIS SERA LIMITEE A 1500 ANS... (Al-Barzanji, Al-Isha'ah li-ashrat al-sa'ah, p. 299)

As-Souyouti, l'un des plus grands savants islamiques, a fait cette déclaration après avoir examiné le hadith.

"LA VIE DE MA COMMUNAUTE NE DEPASSERA PAS 1500 ANS."

Nous sommes maintenant en l'an 1433 selon le calendrier hégirien. C'est-à-dire 1433 ans se sont écoulés de la durée de vie de la communauté depuis notre Prophète (pbsl). Alors, de combien la durée de vie de la communauté islamique dépassera-t-elle l'an 1500 ?

En examinant numériquement le hadith annoncé par notre Prophète concernant la Fin des Temps, Bediuzzaman a fait le calcul que le temps de la communauté islamique jusqu’à laquelle elle sera victorieuse se terminera en 1506 du calendrier hégirien, ce qui veut dire qu'elle ne dépassera pas 1500 ans comme déclaré dans le hadith.

“UN GROUPE DE MA COMMUNAUTE RESTERA DANS LA VERITEJUSQU’AU COMMANDEMENT D’ALLAH. (LE JOUR DU JUGEMENT) ” (Mouslim)

L’abjad (le calcul numérique) de la partie “Un groupe de ma communauté...” qui est 1542 (2117) fait allusion à son [de la communauté] temps de survie.

L’abjad de la proposition “restera dans la vérité” (si on compte la marque de gémination) donne le nombre 1506 (2082) ; cela indique la date jusqu’à laquelle elle (la communauté islamique) va continuer son travail d’éclaircissement de manière évidente et manifeste et peut-être victorieusement ; ensuite jusqu’à 1542 (2117) en secret et en défaite.

L’abjad de la proposition “JUSQU’AU COMMANDEMENT D’ALLAH” (SI ON COMPTE LA MARQUE DE GEMINATION) SUGGERE QUE LE JOUR DU JUGEMENT SURVIENDRA SUR LE NON-CROYANT EN 1545 (2120). (Lettres de Kastamonu, p. 33)

La durée de vie de la communauté islamique est une chose et celle du monde en est une autre. Said Nursi, le plus grand mujaddid (rénovateur religieux) des 1000 dernières années, a dit que les Musulmans resteraient sur le vrai chemin jusqu’à ce que vienne le commandement d’Allah, et seraient victorieux jusqu'aux alentours des années 2082 et qu'il est probable qu'en 2120 le Jour du Jugement aura lieu. (Allah connaît la vérité)

Les déclarations de Bediuzzaman concernant le fait que la communauté musulmane restera victorieuse jusqu'à 1506, confirment complètement les déclarations des grands savants islamiques comme Al-Barzanji, al-Souyouti, affirmant que "la durée de vie de ma communauté ne dépassera pas 1500 ans" (Allah connaît la vérité.)

Comme la durée de vie de ce monde est de 7000 ans et que notre Prophète (pbsl) a dit que 5600 ans de ce monde se sont écoulés, alors le reste de la vie de cette communauté doit être terminé dans 100 ans entre les années 1400 et 1500 du calendrier hégirien.

Notre Prophète (pbsl) est le Prophète de la Fin des Temps. 1400 ans se sont écoulés depuis le temps de notre Prophète (pbsl). Nous vivons aujourd'hui dans la période finale de la Fin des Temps. Il reste très peu de temps jusqu'au Jour du Jugement. Le Prophète Jésus (psl) et Hazrat Mahdi (psl) viendront au cours de ce siècle et l'Islam prévaudra incha Allah dans le monde.

http://harunyahya.fr/fr/works/102221/Notre_Prophete_%28pbsl%29_a_parle_dans_ses_hadiths_dun_calendrier_de_7000_ans_comprenant_des_evenements_significatifs_qui_seront_vecus_par_le_monde_musulman

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En Islam la mère est glorifiée toute la vie


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Tous les ans, au printemps, un dimanche est dédié aux mamans : c'est la fête des mères !
Il existe de nombreuses façons de célébrer cette journée. Tu peux lui faire un joli dessin, lui écrire un mot gentil, lui offrir un bouquet de fleurs ou même lui préparer une surprise !
Auprès de ta famille ou à l'école, tu trouveras de l'aide et des conseils pour fabriquer un joli cadeau : un objet rigolo pour les mamans qui aiment rire, un délicieux gâteau pour les gourmandes, un collier ou une boîte à bijoux pour les coquettes… tu peux même lui écrire un poème, tout est permis !
Avec beaucoup d'amour et un peu d'imagination, tu trouveras à coup sûr le cadeau qui fera plaisir à ta maman.
La fête des mères - illustration 1
Le savais-tu ?
La fête des mères est célébrée dans de nombreux pays même si la date n'est pas la même partout.
En général, elle a lieu à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin.
La tradition de la fête des mères est très ancienne. Dans l'Antiquité, les Grecs organisaient des festivités dédiées à la déesse Rhéa, la mère des dieux. Chez les Romains, on célébrait les mères lors des Matronalia, au début du de ses enfants

La mère en Islam

L’Islam a identifié la relation des enfants avec leur maman comme étant la meilleure preuve de la vraie valeur de la femme dans la constitution d’une société musulmane. Il s’agit ici d’un très célèbre Hadith rapporté par Abou Horaira (ra) dans lequel on parle d’un homme qui a sollicité le Messager d’Allah (sws) :«  O Messager de Dieu ! Quelle est la personne qui mérite que je lui tienne plus de compagnie ? »

Et la réponse du prophète fut très claire : «  Ta mère, ta mère, ta mère et ensuite ton père ».

Ce Hadith ne vient que montrer alors l’importance de la gente féminine et de la mère en particulier dans l’Islam, une évidence absolue qui met l’accent sur les trois vertus qui la distinguent du père à savoir la vertu de la conception, celle de l’accouchement et celle de l’allaitement. Chaque bon enfant doit ainsi suivre ces consignes et vouer d’amour et de compassion pour sa maman dans l’espérance qu’il arrivera à avoir sa satisfaction et sa bénédiction.

Tout jeune ou adulte, l’enfant reste toujours le petit bijou de ses parents et son traitement à leur égard doit être exemplaire aux yeux de la religion musulmane. Il s’agit de s’engager en leur faveur en exerçant ce que le Très Haut Allah leur recommande de faire (bien veiller sur eux, obéir à leurs ordres, les épauler dans leur vieillissement, etc.). La meilleure image pour illustrer cette importance nous vient de l’histoire de Jahima qui va à la rencontre du prophète (sws)  pour prendre ses conseils avant de partir aux expéditions du Jihad et c’est là que le prophète lui dit clairement :« Prends soin de ta mère car le paradis se trouve sous ses pieds ».

En effet, dans l’Islam il n’y a pas de paradis sans la bénédiction de la mère ce qui met en évidence son statut si honorable dans cette religion, un statut qui est même supérieur à celui du père.

Le SaintCoran valorise la mère

Dans le Saint Coran, le Très Haut Allah dit dans le Sourate 4 – Versets 36 : «  Adorez Allah et ne lui donner aucun associé. Agissez avec bonté envers vos père et mère ». Ce verset indique qu’il faut respecter ses parents, ne pas leur dire des mauvaises paroles ou les gronder car Allah les a placés, à travers le Saint Coran, en haute considération.

Une autre valorisation de la maman a été bien illustrée dans le livre sacré des musulmans, plus précisément au niveau du Sourate 31- Versets 14 à 15«  Et nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers son père et sa mère : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché ; et sa gestation et sevrage durent trente mois ; puis quand il atteint ses pleines forces et atteint ses quarante ans, il dit : O Seigneur ! Inspire-moi pour que je rende grâce au bienfait dont tu m’as comblé ainsi qu’à mes père et mère, et pour que je fasse une bonne œuvre que tu agrées et fais que ma postérité soit de la moralité saine ».

Il est alors bien clair que l’Islam, à travers toutes ses composantes, a donné à la maman un privilège bien déterminé comme étant un instrument de vie irréprochable que l’on doit toute notre existence et à qui on doit toujourslui rendre grâce.

 

Sources: Il était une fois une histoire 

Le Muslim poste

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