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L'Islam et les autres religions

L’islam estime que toutes les religions procèdent d’une même source : Allah. De ce fait, elles conservent malgré les péripéties de l’histoire une morale et des valeurs communes. Quand bien même les voies et les moyens diffèrent, les religions - plutôt la religion car en principe il n’y a qu’une seule religion- ont essentiellement pour but d’assurer à l’homme le bonheur ici-bas et dans l’au-delà.

« Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait prescrit à Noé, ce que Nous t’avons révélé à toi-même, ce que Nous avions prescrit auparavant à Abraham, à Moïse et à Jésus : « Etablissez la religion et n’en faites pas un sujet de divisions. » s42 v13

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Jésus-Christ: comment aurait-il pu mourir?

Peut-être que le plus grand obstacle de tous, celui qui exige toute notre attention, est “le scandale de la croix” dont parle la Bible. Evidemment, à ce scandale se heurtent tous ceux qui, rejetant l’unique voie de salut de Dieu par la croix de Christ, s’imaginent pouvoir gagner la faveur de Dieu par quelque mérite personnel, ce qui est impossible. C’est par la mort de Christ que nous sommes réconciliés avec Dieu. C’est la croix, et la croix seulement, qui peut pourvoir à notre rédemption éternelle.

Mais pour un musulman il est impensable que Dieu puisse permettre à son Saint Prophète de mourir sur une croix. Le Coran s’exprime clairement sur ce point, mettant ainsi en évidence la différence fondamentale entre l’islam et le christianisme.

Christ, face à l’opposition farouche des autorités, à l’abandon de ses amis et l’hostilité des foules se dirigea calmement vers Jérusalem. Il savait qu’il y affronterait la mort sur un gibet romain.

Voilà le point crucial. La Croix, dans laquelle le chrétien se glorifie, est pour le musulman le symbole de chute et de défaite. La Croix qui, pour le chrétien, est la garantie du pardon, est pour le musulman un objet de mépris et de blasphème.

La Parole de Dieu dit que Christ devait mourir. Matthieu 20:28 – “C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs”. Romains 5:10 – “Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie.” I Corinthiens 15:3 – “Car je vous ai enseigné, avant tout, comme je l’avais aussi reçu, que Christ est mort pour nos péchés, selon les Ecritures”.

Le thème qui revient sans cesse dans la Bible est celui de la rédemption par le sacrifice. Christ Lui-même est appelé «l’Agneau de Dieu» (Jean 1:29). L’histoire du fils d’Abraham, dans Genèse 22, est une bonne illustration de la rédemption.

Soulignons l’attitude du Christ envers sa propre mort. Jean 10:17-18 – «Le Père m’aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. Personne ne me l’ôte, mais je la donne de moi-même; j’ai le pouvoir de la donner, et j’ai le pouvoir de la reprendre: tel est l’ordre que j’ai reçu de mon Père».

Ecoutons le témoignage biblique de la mort de Christ. Les quatre Evangiles décrivent les événements qui entourent la crucifixion, et qui se sont déroulés en l’espace d’une semaine, avec beaucoup plus de détails qu’aucune autre période de la vie de Jésus. Ces détails prouvent de façon concluante que le crucifié ne pouvait être que Jésus-Christ. Les détails sont si nombreux et concordent si parfaitement qu’il est impossible de contester l’historicité des récits de la crucifixion. Jean consacre presque la moitié de son Evangile au temps de la crucifixion (Matthieu 27:33-50; Jean 19:32-37; Marc 15:43-47).

Il eût été impossible pour les disciples qui étaient présents quand Jésus fut crucifié et qui prirent son corps, de le confondre avec celui d’un autre. Les blessures de celui qui était mort sur la croix étaient visibles sur le Christ ressuscité. «Puis il dit à Thomas: Avance ici ton doigt, et regarde mes mains; avance aussi ta main, et mets-la dans mon côté; et ne sois pas incrédule, mais crois» (Jean 20.27).

Considérons la victoire de Christ sur le péché, sur Satan et sur la mort. En acceptant d’être mis à mort par crucifixion, Jésus préparait l’éclatante victoire qui se manifesterait lorsqu’il ressusciterait des morts. Ce ne fut pas une victoire ordinaire se situant dans la sphère politique, mais plutôt une victoire cosmique contre le mal.

En mourant et en ressuscitant, Jésus a vaincu et le péché, et Satan et la mort elle-même.

«L’aiguillon de la mort, c’est le péché; et la puissance du péché, c’est la loi. Mais, grâces soient rendues à Dieu, qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ!» ( I Corinthiens l5:56,57).

«….notre Sauveur Jésus-Christ, qui a détruit la mort et mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Evangile» (II Timothée 1:10).

«Nous avons donc été ensevelis avec lui par le baptême en sa mort, afin que, comme Christ est ressuscité des morts par la gloire du Père, de même nous aussi marchions en nouveauté de vie» (Romains 6:4).

«Il est mort, et c’est pour le péché qu’il est mort une fois pour toutes; il est revenu à la vie, et c’est pour Dieu qu’il vit» (Romains 6:10).

«Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c’est-à-dire, le diable, et qu’il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude» (Hébreux 2:14,15).

Read more: http://www.avraidire.com/2012/04/jesus-christ-comment-aurait-il-pu-mourir/#ixzz2C1hyQvoE

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Coopérer avec des non-Musulmans contre l’intérêt des Musulmans

Quelles sont les dipositions juridiques islamiques concernant les Musulmans qui coopèrent avec des étrangers et des non-Musulmans contre l’intérêt de leurs frères Musulmans ?Toutes les louanges et tous les remerciements appartiennent à Dieu, paix et bénédiction sur Son Messager.

De manière générale, il est indéniable que les Musulmans se doivent de coopérer les uns avec les autres et leurs oeuvres doivent viser le renforcement de leur propre cause. La coopération avec des non-Musulmans n’est pas interdite pour autant qu’elle s’inscrive dans un cadre légal conforme aux principes islamiques.

Dans sa réponse à cette question, Sheikh Ahmad Ash-Sharabâsî, que la Miséricorde de Dieu soit sur lui, de l’Université Al-Azhar, dit ceci :

"La Communauté musulmane peut coopérer avec d’autres communautés pour autant que cette coopération soit saine, qu’elle obéisse aux règles et qu’elle ne court pas le risque d’être influencée, voire dirigée, par ces autres nations ou communautés.

Cette remarque se base sur les paroles de Dieu : « Entraidez-vous dans l’accomplissement des bonnes œuvres et de la piété et ne vous entraidez pas dans le péché et la transgression. Et craignez Dieu, car Dieu est, certes, dur en punition ! » [1].

Le verset mentionné ci-dessus n’appelle guère à une coopération absolue : il impose certaines restrictions. La coopération doit impérativement s’inscrire dans le but de l’accomplissement de bonnes oeuvres et de la piété ; ici les bonnes œuvres sont à comprendre dans le sens de bonnes actions, et la piété correspond au fait d’éviter toute action qui pourrait blesser la foi ou l’intérêt d’une personne.

Ainsi une coopération qui se fonderait sur une manipulation par un pays ennemi visant à diviser la Communauté musulmane ferait partie du type de coopération proscrite par le verset sus-mentionné. Ce verset interdit en effet tout acte qui mène au péché, qui viole les principes de la religion ou qui engendre une injustice à l’égard d’un tiers.

La coopération avec les ennemis de l’Islam est donc un grave péché et une transgression de la religion. C’est pourquoi Dieu — Exalté soit-Il — a menacé ceux qui commettent ce type de péché d’une lourde punition.

Dieu, le Tout-Puissant, a établi un cadre qui permet des formes de coopération correctes et utiles. Il nous a montré que les intérêts d’une puissance étrangère ne doivent en aucun cas influencer la coopération entre les deux parties. Dieu, le Tout-Puisant, dit : « Les Croyants et les Croyantes sont alliés les uns des autres » [2].

La coopération entre Musulmans doit donc rester prioritaire. Elle devra s’effectuer dans le but de plaire à Dieu — Exalté soit-Il — et œuvrer au bien-être de la Communauté. Elle devra se fonder sur la justice et l’équité et être libre de toute influence étrangère. Elle devra en outre réunir des gens pieux, qui ont libéré leur pays de l’occupation et de la tyrannie et regagné leur dignité et leur honneur. Dieu, le Tout-Puissant, dit : « Or c’est à Dieu qu’est la puissance ainsi qu’à Son Messager et aux Croyants. Mais les hypocrites ne le savent pas. » [3].

C’est pourquoi ceux qui prétendent travailler pour l’Islam mais qui en réalité dépouillent les Musulmans de leur argent et leur dénient leur droit, ne sont pas Musulmans. Leurs actes divisent la Communauté musulmane entre une minorité qui vit dans le luxe et une majorité privée de tout, souffrant de la faim, de la pauvreté et de la maladie. Cette minorité privilégiée n’occupe cette position que parce que chacun de ses membres possède au sein de sa famille ou parmi ses amis de tels traîtres. Les individus qui forment la majorité sont des victimes, elles sont dépossédées de leur potentialité et de leur droit.

Nous connaissons tous le châtiment que Dieu — Exalté soit-Il — réserve à ceux qui unissent leurs mains aux mains des ennemis au détriment de leur propre peuple et de leur propre pays. Dieu, le Tout-Puisant, dit : « N’as-tu pas vu ceux qui ont pris pour alliés des gens contre qui Dieu S’est courroucé ? Ils ne sont ni des vôtres, ni des leurs ; et ils jurent mensongèrement, alors qu’ils savent. Dieu leur a préparé un dur châtiment. Ce qu’ils faisaient alors était très mauvais. » [4].

Il dit encore : « Dieu ne vous défend pas d’être bienfaisants et équitables envers ceux qui ne vous ont pas combattus pour la religion et ne vous ont pas chassés de vos demeures. Car Dieu aime les équitables. Dieu vous défend seulement de prendre pour alliés ceux qui vous ont combattus pour la religion, chassés de vos demeures et ont aidé à votre expulsion. Et ceux qui les prennent pour alliés sont les injustes. » [5].

Dans un autre verset, Il dit encore : « Et ne vous penchez pas vers les injustes : sinon le feu vous atteindrait. Vous n’avez pas d’alliés en dehors de Dieu. Et vous ne seriez pas secourus. » [6].

Le verset précédent interdit aux Musulmans de s’unir à ceux qui commettent le mal. Il n’y a rien de plus grave que de transgresser les Ordres de Dieu — Exalté soit-Il — en permettant aux mécréants d’humilier les Croyants, de les attaquer et de les expulser de leurs patries. Dieu, le Tout-Puissant, dit : « Et jamais Dieu ne donnera une voie aux mécréants contre les Croyants. » [7].

Ainsi, un leader musulman se devra d’œuvrer pour le bien de son peuple et de son pays. Il devra préserver les avoirs et les ressources des siens et devra faire en sorte que la justice prévaille. Il devra suivre l’exemple de Abû Bakr — que Dieu l’agrée -, qui s’adressa à son peuple en ces termes : « Obéissez-moi tant que j’obéis à Dieu, mais si vous me voyez désobéir à Dieu, ne m’obéissez pas. Les puissants parmi vous, je les considérerai comme des faibles, tant qu’ils n’auront pas rendu leurs droits aux autres et les faibles d’entre vous, je les considérerai comme forts jusqu’au moment où ils auront recouvert leurs droits. »

Par conséquent, lorsqu’un chef musulman dévie du droit chemin et coopère avec ceux qui conspirent contre la Communauté musulmane et cherchent à lui nuire, il est du devoir de son peuple de lui désobéir. Dieu, le Tout-Puissant, dit : « Que soit issue de vous une communauté qui appelle au bien, ordonne le convenable, et interdit le blâmable. Car ce seront eux qui réussiront. » [8]."

Et Dieu est le plus Savant.
P.-S.
Traduit de la Banque de Fatâwâ du site Islamonline.net.
Notes

[1] Sourate 5 intitulée la Table servie, Al-Mâ’idah, verset 2.

[2] Sourate 9 intitulée le Repentir, At-Tawbah, verset 71.

[3] Sourate 63 intitulée les Hypocrites, Al-Munâfiqûn, verset 8.

[4] Sourate 58 intitulée Al-Mujâdalah, versets 14 et 15.

[5] Sourate 58 intitulée l’Eprouvée Al-Mumtahanah, versets 8 et 9.

[6] Sourate 11 intitulée Hûd, verset 113.

http://www.islamophile.org/spip/La-cooperation-entre-Musulmans-et.html

[7] Sourate 4 intitulée les Femmes, An-Nisâ, verset 141.

[8] Sourate 3 intitulée la Famille d’Amram, Âl-'Imrân, verset 104.

http://www.islamophile.org/spip/La-cooperation-entre-Musulmans-et.html

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Juifs et chrétiens seront jugés pour ne pas adhérer à l'Islam

 L’Islam a abrogé les religions antérieures et tout le monde doit désormais adhérer à l’Islam, quelle que soit sa religion antérieure. A ce propos, le Très Haut a dit : «Et quiconque désire une religion autre que l' Islam, ne sera point agréé, et il sera, dans l' au-delà parmi les perdants. » (Coran, 3 : 85) et : «Dis: "Ô hommes! Je suis pour vous tous le Messager d' Allah, » (Coran, 7 : 158).

2/ Al-Qadi Iyadh a dit : « c’est pourquoi nous jugeons mécréants les adeptes des religions autres que l’Islam et ceux qui émettent des réserves ou des doutes à propos de l’inexactitude de leur credo et ceux qui les déclarent exactes, même s’ils affichent l’Islam, même s’il croient et déclarent faux tout autre credo. Nous les jugeons mécréants puisqu’ils vont dans le sens contraire de ce qu’ils affichent ». Voir ach.chifa bi taarif bi huquq al-mustafa, 2/1071.

3/ Cheikh Muhammad ibn Abd al-Wahhab (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) a dit : « Sachez que dix choses constituent les plus grandes violations de l’Islam :

La première consiste à associer un autre au culte à rendre à Allah seul qui n’a pas d’associé. Cela s’atteste dans la parole du Très Haut : « Certes, Allah ne pardonne pas qu' on Lui donne des associés. À part cela, Il pardonne à qui Il veut. Quiconque donne des associés à Allah s' égare, très loin dans l' égarement.» (Coran, 4 : 116). L’offrande de sacrifices à un autre qu’Allah à l’instar de ceux qui immolent (des animaux) au profit des djinns et devant des mausolées relève de ce chapitre.

La deuxième consiste à installer des intermédiaires entre soi-même et Allah, intermédiaires que l’on invoque et dont on sollicite l’intercession. Celui qui adopte une telle attitude devient mécréant selon l’avis unanime des ulémas.

La troisième est le cas de celui qui refuse de reconnaître la mécréance des associateurs (polythéistes) ou doute de leur infidélité ou juge leur credo exact, celui-là est unanimement considéré comme mécréant.

Après avoir énuméré les autres violations, il poursuivit : « Aucune différence n’existe dans ces violations entre l’attitude du plaisantant et celle du sérieux, à moins qu’on se trouve sous l’emprise de la peur ou de la contrainte. Toutes les violations sont très dangereuses et très fréquentes. Aussi le musulman doit-il s’en méfier et craindre de les commettre.

Nous demandons à Allah de nous protéger contre les causes de Sa colère et de Son douloureux châtiment. Puisse Allah bénir Muhammad ».

Les œuvres de Cheikh Muhammad ibn Abd al-Wahhab, 212-213.

4/ L’associationnisme (le polythéisme) et la mécréance ont le même statut.

Ibn Hazm a dit : « l’associationnisme et la mécréance sont pareils ; tout mécréant est un associationniste et tout associationniste est un mécréant. C’est aussi l’avis de Chafii et d’autres ». Voir al-fissal, 3/124/

5/ Les Juifs et les Chrétiens sont des infidèles associationnistes. A ce propos, le Très Haut a dit : «Les Juifs disent: "'Ouzayr est fils d' Allah" et les Chrétiens disent: "Le Christ est fils d' Allah". Telle est leur parole provenant de leurs bouches. Ils imitent le dire des mécréants avant eux. Qu' Allah les anéantisse! Comment s' écartent- ils (de la vérité)? - Ils ont pris leurs rabbins et leurs moines, ainsi que le Christ fils de Marie, comme Seigneurs en dehors d' Allah, alors qu' on ne leur a commandé que d' adorer un Dieu unique. Pas de divinité à part Lui! Gloire à Lui! Il est au-dessus de ce qu' ils (Lui) associent. » (Coran, 9 : 30-31).

D’après Abou Hourayra, le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Au nom de Celui qui tient mon âme en Sa main ! Tout juif et tout chrétien ayant entendu parler de moi qui mourront sans avoir cru en moi iront en enfer » (rapporté par Mouslim, 153).

Celui qui dit que les Juifs ne sont pas des infidèles démentit la parole du Très Haut concernant les Juifs : «Dans leur impiété, leurs cœurs étaient passionnément épris du Veau (objet de leur culte).» (Coran, 2 : 93). Il démentit encore la parole du Très Haut : « Il en est parmi les Juifs qui détournent les mots de leur sens, et disent: "Nous avions entendu, mais nous avons désobéi", "Écoute sans qu' il te soit donné d' entendre", et favorise nous "Râ'inâ", tordant la langue et attaquant la religion. Si au contraire ils disaient: "Nous avons entendu et nous avons obéi", "Écoute", et "Regarde- nous", ce serait meilleur pour eux, et plus droit. Mais Allah les a maudits à cause de leur mécréance.» (Coran, 4 : 46) et démentit aussi cette parole du Très Haut : « (Nous les avons maudits) à cause de leur rupture de l' engagement, leur mécréance aux révélations d' Allah, leur meurtre injustifié des prophètes, et leur parole: "Nos cœurs sont (enveloppés) et imperméables". En réalité, c' est Allah qui a scellé leurs cœurs à cause de leur mécréance, car ils ne croyaient que très peu. - Et à cause de leur mécréance et de l' énorme calomnie qu' ils prononcent contre Marie, - et à cause de leur parole: "Nous avons vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messager d' Allah"... Or, ils ne l' ont ni tué ni crucifié; mais ce n' était qu' un faux semblant!» (Coran, 4 : 155-157). Il démentit en plus la parole du Très Haut «Ceux qui ne croient pas en Allah et en Ses messagers, et qui veulent faire distinction entre Allah et Ses messagers et qui disent: "Nous croyons en certains d' entre eux mais ne croyons pas en d' autres", et qui veulent prendre un chemin intermédiaire (entre la foi et la mécréance), les voilà les vrais mécréants! Et Nous avons préparé pour les mécréants un châtiment avilissant. » (Coran, 4 : 150-151).

Celui qui dit que les Chrétiens ne sont pas des mécréants démentit la parole du Très Haut : «Certes sont mécréants ceux qui disent: "Allah, c' est le Messie, fils de Marie! » (Coran, 5 : 17) comme il démentit cette autre parole du Très Haut : « Ce sont certes des mécréants, ceux qui disent: "En vérité, Allah est le troisième de trois." Alors qu' il n' y a de divinité qu' Une Divinité Unique! Et s' ils ne cessent de le dire, certes, un châtiment douloureux touchera les mécréants d' entre eux.» (Coran, 5 : 73). Il démentit en plus la parole du Très Haut relative aux Juifs et aux Chrétiens qui ne croient pas en notre Prophète et ne le suivent pas : «Ceux qui ne croient pas en Allah et en Ses messagers, et qui veulent faire distinction entre Allah et Ses messagers et qui disent: "Nous croyons en certains d' entre eux mais ne croyons pas en d' autres", et qui veulent prendre un chemin intermédiaire (entre la foi et la mécréance), les voilà les vrais mécréants! Et Nous avons préparé pour les mécréants un châtiment avilissant » (Coran, 4 : 150-151).

Qu’est-ce qui reste après cette claire explication émanant d’Allah, le Puissant et Majestueux ? Nous demandons à Allah de nous guider. Puisse Allah bénir notre Prophète Muhammad.

http://islamqa.info/fr/ref/668

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Le voile la laïcité et les droits de l'homme

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La laïcité est basée sur des textes auxquels elle doit se conformer. Nous prenons comme exemple les seuls textes fondateurs dont les principes figurent dans la plupart des constitutions des pays laïcs. Parmi ces textes, figure la Déclaration des droits de l’homme de 1789 qui précise dans son article 10 : « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ».

Vient ensuite la loi du 9 décembre 1905 qui affirme dans son article 1er que : « La République assure la liberté de conscience. Elle garantit le libre exercice des cultes, sous les seules restrictions édictées [...] dans l’intérêt de l’ordre public »

Ces deux textes consacrent à l’évidence la liberté de culte. Les Conventions internationales s’inscrivent dans le même sillage.

La Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de 1948, précise en son article 18 que « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu’en privé, par l’enseignement, les pratiques, le culte et l’accomplissement des rites »

Les dispositions de l’article ci-dessus ont été reprises, d’une part dans l’article 18 du pacte international relatif aux droits civils et politiques signés à New York le 19 décembre 1966 et ratifié par la France le 29 janvier 1981, et d’autre part, dans le premier alinéa de l’article 9 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, en ce sens que « toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion ».

Le tourbillon du port du foulard en France a donné lieu à des déclarations d’éminents responsables politiques ainsi qu’à une importante jurisprudence du Conseil d’Etat avant la promulgation de la loi du 17 mars 2004 interdisant le port du foulard.

Avant que le Conseil d’Etat ne se prononce, plusieurs voix et non des moindres se sont élevées pour assurer que le port du voile ne porte aucune atteinte à la laïcité.

Citons entre autres le ministre de l’éducation nationale, Lionel Jospin, lequel, sans omettre de rappeler son attachement à la laïcité, appelle les journalistes au calme, assurant que « l’école est faite pour accueillir les enfants et non pour les exclure ».

Michèle Cotta affirme : « je le dis tout net, le port du tchador par quelques malheureuses ‘‘beurettes’’ ou ‘‘gazelles’’ ne me paraît pas devoir justifier l’exclusion d’une école publique »

Mme Danielle Mitterrand explique aux journalistes : « Si aujourd’hui, deux cents ans après la Révolution, la laïcité ne pouvait accueillir toutes les religions, toutes les expressions en France, c’est qu’il y aurait un recul »

Il est en conséquence important de rappeler que la laïcité authentique est celle qui garantit la liberté de pratiquer la religion.

Les principes de cette laïcité authentique ont été confirmés par le Conseil d’Etat lequel, dans son avis du 27 novembre 1989 sur le port du foulard, affirme : « le principe de laïcité implique nécessairement le respect de toutes les croyances, déjà reconnu par l’article 10 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789, aux termes duquel « Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l’ordre public établi par la loi ».

Le conseil d’Etat précise que le port du voile s’inscrit dans le cadre de la liberté de conscience reconnue tant par les lois de la république que par les Conventions internationales ratifiées par la France. A cet égard, il rappelle qu’en vertu de ces Conventions, la France s’est engagée :

« à garantir à tous les individus se trouvant sur son territoire le droit d’accéder à l’enseignement sans distinction aucune notamment de religion et à prendre les mesures propres à donner effet à un tel droit ;

à assurer la liberté de pensée, de conscience et de religion, et la liberté de manifester sa religion ou ses convictions individuellement ou collectivement, en public ou en privé, sous la seule réserve des restrictions prévues par la loi et nécessaires à la protection de la sécurité, de l’ordre et de la santé publics, de la morale ou des libertés et des droits fondamentaux d’autrui ;

à respecter, dans le domaine de l’éducation et de l’enseignement, le droit des parents de faire assurer cette éducation conformément à leurs convictions religieuses ;

à prendre les mesures nécessaires pour que l’éducation favorise la compréhension et la tolérance entre tous les groupes raciaux et religieux. »

Cette liberté, assure le Conseil d’Etat, comporte pour les élèves le droit d’exprimer et de manifester leurs croyances religieuses à l’intérieur des établissements scolaires, dans le respect du pluralisme et de la liberté d’autrui.

La haute juridiction conclut enfin que le port de signes par lesquels les élèves entendent manifester leur appartenance à une religion « n’est pas par lui-même incompatible avec le principe de laïcité, dans la mesure où il constitue l’exercice de la liberté d’expression et de manifestation de croyances religieuses »

Sauf, souligne-t-il, si ces signes constitueraient, en raison de leur caractère ostentatoire ou revendicatif, un acte de pression, de provocation, de prosélytisme ou de propagande susceptible de troubler l’ordre public, de perturber l’enseignement ou de porter atteinte à la dignité ou à la liberté de l’élève ou de l’enseignant.

La question se pose de savoir si le port du voile peut constituer une provocation ou un acte de prosélytisme ? La réponse est NON. Le port du voile ne constitue ni provocation ni acte de prosélytisme. Et il ne saurait en aucun cas troubler l’ordre public ni perturber le fonctionnement de l’enseignement. Sinon, la minijupe et le décolleté constitueraient des actes de prosélytisme.

La loi du 17 mars 2004 contre le port du foulard est en totale opposition avec les principes susmentionnés. Elle heurte de front la liberté de conscience garantie par les Conventions internationales ratifiées par la France.

La supériorité des traités sur les lois, même postérieures est consacrée par l’article 55 de la constitution française (arrêt nicolo, conseil d’Etat 20 octobre 1989.)

http://www.bismillah-debats.net/La-laicite-dans-les-textes.html

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Différence entre les Apôtres et certains Évangélistes

Les savants musulmans ne sont pas d’accord sur le fait que les Évangiles actuellement en notre possession aient pour origine les Apôtres de Jésus.

D’une part, les Évangiles ont été rédigés en grec alors que les paroles qui y sont rapportées ont été dites, prononcées en araméen ou en hébreu.

D’autre part, si l’on se réfère au saint Coran, on constate que les Apôtres étaient des bons croyants, des musulmans dévoués à Dieu. Alors que selon les Évangiles, certains Apôtres auraient déformé le Message de Jésus.

Ils auraient contribué à l’élaboration des fausses théories sur Jésus, par exemple : la crucifixion, la Rédemption, le Salut par le sang de Jésus, etc.

A-t on déformé leurs propos ? Ou est-ce que leurs croyances étaient ainsi ? Est-ce qu’il s’agit d’autres personnes que les vrais disciples de Jésus ? Dieu Seul le sait !

Le Coran nous indique qui sont les apôtres et quelles étaient leurs croyances :

« Puis, quand Jésus constata leur incrédulité, il dit : « Qui sont mes alliés dans la voie d’Allah ? » Les apôtres dirent : « Nous sommes les alliés d’Allah. Nous croyons en Allah. Et sois témoin que nous Lui sommes soumis (nous sommes musulmans). » Coran, s3 v52 ; s61 v14

« Et lorsque j’ai révélé aux apôtres : « Croyez en Moi et en Mon messager (Jésus), ils répondirent : « Nous y croyons, et Tu es Témoin que nous sommes entièrement soumis (musulmans). » Coran, s5 v111

Les Apôtres étaient censés savoir que Dieu avait sauvé Jésus en l’élevant au Ciel et que le crucifié était une personne autre que Jésus.

A-Les propos des Apôtres d’après les Évangiles :

Matthieu dit :

« C’est ainsi que le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs » Matthieu 20:28

« Car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs, pour la rémission des péchés. » Matthieu 26.28 Marc dit :

« Car le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs. » Marc 10.45

« Ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui est répandu pour plusieurs » Marc 14.24 Luc dit :

« C’est qu’aujourd’hui dans la ville de David, il vous est né un sauveur qui est le Christ, le Seigneur. » Luc 2.11 ; 1.77

« Cette coupe est la nouvelle alliance en mon sang, qui est répandu pour vous » Luc 22.20

« Sachez donc, hommes frères, que c’est par lui que le pardon des péchés vous est annoncé, et que quiconque croit est justifié par lui de toutes les choses dont vous ne pouviez être justifiés par la loi de Moïse » Actes 13.38

Jean dit :

« Jésus Christ le juste. Il est lui-même une victime propitiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier » 1 Jean 2.2

« Le lendemain, il vit Jésus venant à lui, et il dit : Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du Monde. » Jean 1.29

« Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. » 1Jean 1.7

Quels péchés les enfants peuvent-ils avoir ? Il est naturellement fait allusion au péché originel.

« Je vous écris, petits enfants, parce que vos péchés vous sont pardonnés à cause de son nom » 1Jean 2.12.

Jean affirme : « Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut que le Fils de l’homme soit élevé, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle » Jean 3.14-16

« Or, vous le savez, Jésus a paru pour ôter les péchés, et il n’y a point en lui de péché. » 1Jean 3.5

« Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu’il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés. » 1Jean 4.10

« Et nous savons qu’il est vraiment le Christ, le Sauveur du monde » Jean 4.42

« A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang » Apocalypse 1.5

« Il est lui-même une victime expiatoire pour nos péchés, non seulement pour les nôtres, mais aussi pour ceux du monde entier » 1Jean 2.2

« Ils ont lavé leurs robes, et ils les ont blanchies dans le sang de l’agneau. » Apocalypse 7.14

« Ils l’ont vaincu à cause du sang de l’agneau » Apocalypse 12.11

Paul fait de la Rédemption un des thèmes essentiels de ses épîtres. En effet, la plupart de ses écrits gravitent autour de trois concepts, à savoir : crucifixion, résurrection, rédemption.

Paul dit :

« Maintenant que nous sommes justifiés par son sang » Romains 5.9

« À nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur, lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification. » Romains 4.25

« Et ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus Christ. » Romains 3.24

« En lui nous avons la rédemption par son sang, la rémission des péchés, selon la richesse de sa grâce » Éphésiens 1.7 ; Colossiens 1.14

« Et il est entré une fois pour toutes dans le lieu très saint, non avec le sang des boucs et des veaux, mais avec son propre sang, ayant obtenu une rédemption éternelle. » Hébreux 9.12

« De même Christ, qui s’est offert une seule fois pour porter les péchés de plusieurs, apparaîtra sans péché une seconde fois à ceux qui l’attendent pour leur salut » Hébreux 9.28

« Qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. C’est là le témoignage rendu en son propre temps » 1Timothée 2.6

S’adressant aux païens, Paul dit : « Mais maintenant, en Jésus Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ. » Éphésiens 2.13

« C’est pour cela que Jésus aussi, afin de sanctifier le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte » Hébreux 13.12

« Comment concevoir un Dieu s’offrant à lui-même en holocauste pour ses créatures ? Quel rapport peut exister entre un pareil sacrifice et les fautes de l’humanité ? »

Pierre dit :

« Sachant que ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or que vous avez été rachetés (...) mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache » 1Pierre 1.19

« lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. » 1Pierre 2.24

« Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu » 1Pierre 3.18

B-Les auteurs de la Rédemption se contredisent :

Paul affirme : celui qui pèche n’échappe pas au jugement de Dieu (Romains 2.3). Chacun sera récompensé selon ses œuvres (Romains 2.6). Et Dieu jugera les impudiques et les adultères (Hébreux 13.4 ; Ephésiens 5.4-7).

« Car, sachez-le bien, aucun impudique ou impur, ou cupide, c’est-à-dire idolâtre, n’a d’héritage dans le royaume de Christ et de Dieu. Que personne ne vous séduise par de vains discours ; car c’est à cause de ces choses que la colère de Dieu vient sur le fils de la rébellion. N’ayez donc aucune part avec eux » Éphésiens 5.4-7

Il ajoute : Ce ne sont pas ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés (Romains 2.13).

D’après Paul, il y aura de la part de Dieu jugement et récompense selon les œuvres de chacun.

Comment les Apôtres se contredisent ? Pour certains, le sang de Jésus a été versé pour sauver l’humanité. Pour d’autres, personne n’échappera au jugement. Qui faut-il croire ? Le Salut ou le jugement ?

Paul dit que chacun sera jugé selon ses œuvres Romains 2.6, puis il se contredit en Romains 3.27 non par la loi des œuvres mais par la loi de la foi.

Car nous pensons que l’homme est justifié par la foi, sans les œuvres de la loi. Tantôt c’est la foi qui sauve, tantôt ce sont les œuvres, alors il y a de quoi se perdre.

« ...il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! » Romains 8.34

« Parce que c’est selon Dieu qu’il intercède en faveur des saints. » Romains 8.27

Si les saints ont besoin d’intercession, que dire alors des gens du commun ?

Une fois de plus, l’on se demande pourquoi ces mises en garde et cette intercession si la Rédemption était vraie !

Pierre affirme que le jugement touchera tout le monde y compris la maison de Dieu :

« Car c’est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, c’est si par nous qu’il commence, quelle sera la fin de ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de Dieu ? Et si le juste se sauve avec peine, que deviendront l’impie et le pécheur ? » 1Pierre 4.17, 18

« Le Seigneur sait délivrer de l’épreuve les hommes pieux, et réserver les injustes pour être punis au jour du jugement » 2 Pierre 2.9

Luc affirme « Alors Pierre, ouvrant la bouche, dit : En vérité, je reconnais que Dieu ne fait point acception de personnes, mais qu’en toute nation celui qui le craint et qui pratique la justice lui est agréable. » Actes 10.34,35

Jean affirme « Quiconque ne fut pas trouvé écrit dans le livre de vie fut jeté dans l’étang de feu » Apocalypse 20.15

« Ils furent tous les deux jetés vivants dans l’étang ardent de feu et de soufre » Apocalypse 19.20

C- Les Apôtres qui avaient bien saisi le sens du Message de Jésus

Parmi les Apôtres qui avaient bien compris le sens de la parole de Jésus, figurent Jacques et Jude dont les propos correspondent parfaitement aux enseignements de leur maître.

« La religion pure et sans tache, devant Dieu notre Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions et à se préserver des souillures du monde » Jacques 1.27

« Mes frères, que sert-il à quelqu’un de dire qu’il a la foi, s’il n’a pas les œuvres (...) Vous voyez que l’homme est justifié par les œuvres, et non par la foi seulement » Jacques 2.14,24

« Soumettez-vous donc à Dieu ; résistez au diable, et il fuira loin de vous. Approchez-vous de Dieu, et Il s’approchera de vous. Nettoyez vos mains, pécheurs ; purifiez vos cœurs ( ...) Humiliez-vous devant le Seigneur et Il vous élèvera. Ne parlez point mal les uns des autres, frères » Jacques 4.7-11

Jacques affirme « Mes frères, si quelqu’un parmi vous s’est égaré loin de la vérité, et qu’un autre l’amène, qu’il sache que celui qui ramènera un pécheur de la voie où il s’était égaré sauvera une âme de la mort et couvrira une multitude de péchés » Jacques 5. 20

« Car le jugement est sans miséricorde pour qui n’a pas fait miséricorde » Jacques 2.13

« Sauvez- en d’autres en les arrachant du feu ; et pour d’autres encore, ayez une pitié mêlée de crainte, haïssant jusqu’à la tunique souillée par la chair. » Jude 23

D-On peut relever l’existence de deux mouvements opposés chez les Apôtres :

Deux mouvements contradictoires virent le jour :

Paul d’un côté, Jacques de l’autre, autrement dit : les circoncis et les incirconcis.

Paul abolit la loi tandis que Jacques l’applique ; Paul va enseigner aux païens dont il se réclame l’apôtre « cette croyance qui se suffit de la loi », tandis que Jacques, à l’instar de son maître, s’occupera des brebis perdues de la maison d’Israël.

Rappelons que Jésus a dit : « N’allez pas vers les païens, et n’entrez pas dans les villes des Samaritains ; allez plutôt vers les brebis perdues de la maison d’Israël » Matthieu 10.5-7

La ville d’Antioche fut pendant plus d’un siècle le théâtre d’affrontements entre les deux sectes rivales issues des deux mouvements. La lutte se termina par un compromis autour de ce qu’on appelle les évangiles « canoniques ». « Les Évangiles sont un tri de textes, un assemblage de textes, fait dans un contexte particulier et spécialement dans le contexte d’une lutte entre communautés chrétiennes, entre Judéo-chrétiens et Pauliniens.

Les musulmans pensent que les disciples de Jésus étaient des Enfants d’Israël conformément au fait qu’il leur fut envoyé afin de leur rappeler d’observer les commandements de Dieu. Le Coran ne mentionne pas leurs noms ni même leur nombre ou encore des détails concernant leur vie. Cependant, certains exégètes musulmans sont plus ou moins d’accord avec la plupart des apôtres figurant dans le Nouveau Testament comme Pierre, Philippe, Thomas, Barthélemy, Matthieu, André, Jacques, Jude, Jean et Simon, mais gardent beaucoup de réserve.

Les exégètes tracent un parallèle entre les disciples de Jésus et les compagnons de Mohamed (Paix et Salut sur lui).

E-Comment les Apôtres avaient terminé leur mission ?

1) Jacques de Zébédée ou Jacques le Majeur ou saint Jacques est l’un des douze apôtres de Jésus Christ. Il est nommé « Jacques, fils de Zébédée » dans le Nouveau Testament.

Jacques est le seul apôtre dont la mort est rapportée dans le Nouveau Testament : « Il (Hérode) fit périr par le glaive Jacques, frère de Jean. » (Actes, 12.2)

2) "Jean l’évangéliste est un disciple de Jésus, et non un membre du groupe des douze apôtres.

Il a longtemps été confondu avec l’autre Jean, également disciple, mais lui membre du groupe des douze apôtres, qui est le fils de Zébédée et de Marie Salomé, le frère de Jacques le Majeur, tous deux originaires de la ville de Bethsaïde, en Galilée, où ils étaient pêcheurs. La confusion initiale entre les personnes de Jean l’évangéliste et de Jean fils de Zébédée a été faite au IIIème siècle par Denys, évêque d’Alexandrie, et perdure depuis."(Wikipédia)

Jean serait mort à Éphèse en l’an 101, à l’âge de 98 ans. Il serait enterré à Selçuk, près d’Éphèse, où il existait une basilique Saint-Jean aujourd’hui en ruine.

3) Simon Saint Pierre, Pape de 30 à 64 : mort à Rome en l’an 64. L’Évangile selon saint Matthieu rapporte la parole de Jésus : "Tu es Pierre, et sur cette pierre, je bâtirai mon Église".

Après avoir été arrêté deux fois à Jérusalem, pour fuir les persécutions d’Hérode Agrippa, il quitte Jérusalem pour Antioche, où il soutient que ceux qui se convertissent au christianisme peuvent se dispenser des rituels judaïques (circoncision et restrictions alimentaires). Une vive querelle l’oppose alors à Paul.

Il se rend à Rome, attire beaucoup de païens à lui. Le préfet le fait arrêter et crucifier la tête en bas. Cela se passe sous l’empereur Néron en 64 (ou 67 selon les sources).

4) Matthieu est d’origine juive, galiléen de naissance. Il exerce la profession de collecteur d’impôts pour les romains à Capharnaüm. C’est un homme cultivé, de formation grecque (d’ où son nom Lévi).

Le jour où Jésus, de passage devant son bureau de péage, lui demande de le suivre, il abandonne tout et devient un de ses disciples. Après la crucifixion de Jésus, selon la tradition orale de l’Église, il passe un temps en Égypte, puis part en Éthiopie.

Arrivé à Naddaver, il prêche et combat l’influence de deux mages et devient populaire en opérant la résurrection du fils du roi. Défendant une vierge consacrée au Seigneur contre l’avidité d’un prince, Matthieu s’attire la colère du roi Hirtiacus qui se résolut à le faire mourir. Les bourreaux arrivèrent alors que Matthieu finissait la messe, ils montèrent à l’autel et le tuèrent.

5) Philippe, Galiléen de Bethsaïda. C’est le 5ème apôtre de Jésus et c’est lui qui amène Nathanaël (Barthélemy) à Jésus.

Philippe serait mort martyr à 87 ans, crucifié (lui aussi) la tête en bas, sous Domitien. Il fut enterré avec ses filles à Hiérapolis, ville de Phrygie, qui lui bâtit plus tard le Martyrium.

Le Pape Pélage Ier fit construire au VIème siècle l’église des Douze-Saints-Apôtres à Rome. Il y fit transférer les reliques de saint Philippe et de Jacques le mineur* (Jacques d’Alphée).

6) Thomas l’Apôtre ou saint Thomas est l’un des douze apôtres de Jésus. Il est nommé sur les quatre listes du Nouveau Testament : Mt 10:2-3, Mc 3:16, Lc 6:12 et Ac 1:13). Son nom signifie « jumeau » en araméen, tout comme son surnom Didyme, qui en est la traduction grecque.

Il appartiendrait à la tribu d’Issacar, l’une des douze tribus d’Israël.

D’après la Légende dorée, saint Thomas fut envoyé par le Seigneur en Inde où il construisit pour le roi un superbe palais.

Durant l’absence de ce dernier, il prêcha et donna aux pauvres un trésor que le roi lui avait confié.

Celui-ci, à son retour, le fit jeter en prison et le condamna à être écorché et brûlé, mais l’apôtre fut libéré après la résurrection du frère du roi, mort peu avant.

Saint Thomas partit alors pour l’Inde supérieure, où il fit de nombreux miracles et convertit même des femmes de la famille royale.

Le roi de la région le força alors à adorer une idole, mais lui, continuant de vénérer le Christ, ordonna au démon présent dans l’idole de partir, et celle-ci fondit comme de la cire. Le grand prêtre le transperça alors de son épée pour venger l’insulte faite à son dieu.

Selon une autre tradition (IVe siècle), Thomas annonce l’Évangile aux Parthes et aux Perses et décède en Perse.

7) Judas Iscariot, le douzième apôtre, fut choisi par Nathanael. Il était né à Kérioth, petite ville de la Judée méridionale. ‘‘Quand il était petit garçon, ses parents s’étaient installés à Jéricho, où il vécut et fut employé dans les diverses affaires commerciales de son père jusqu’au moment où il s’intéressa aux sermons et à l’œuvre de Jean le Baptiste.

Ses parents étaient des sadducéens, et lorsque Judas se joignit aux disciples de Jean, ils le renièrent. Jésus avait pris le risque d’avoir foi en Judas.

Dès le commencement, le Maître avait parfaitement compris la faiblesse de cet apôtre et connaissait bien les dangers de l’admettre dans la communauté. ‘‘

Judas prit alors dans la vile et honteuse décision de trahir son Seigneur et Maître et mit rapidement en œuvre son projet néfaste.

Une fois terminée cette affaire ignoble et impie, le damné renégat, qui avait vendu son ami pour trente pièces d’argent, se sauva précipitamment et, semble-t-il, se suicida. Une autre version dit que c’est lui qui prit la ressemblance de Jésus et fut crucifié.

8) Saint Marc l’Évangéliste, rédacteur d’un des quatre Évangiles, naquit en Libye, trois ans après la naissance du Christ, de parents juifs qui s’établirent plus tard en Palestine.

La maison de Saint Marc était celle où Jésus se réunissait avec les Apôtres et où Il célébra avec eux la Pâque. C’est aussi dans sa maison que les Apôtres étaient réunis lorsque le Saint Esprit descendit le jour de la Pentecôte.

Ainsi la maison de Saint Marc est bien connue dans toutes les Églises Apostoliques comme la première église du monde.

Marc fut le premier à être envoyé en Égypte, et prêcha l’Évangile dont il établit des Églises, d’abord à Alexandrie même.

Il arriva, qu’au jour de Pâques en l’année 68, les païens fêtèrent Sérapis en même temps que les chrétiens fêtèrent la résurrection de Jésus.

‘‘Les premiers, bouillonnant de jalousie, profitèrent de l’occasion pour subtiliser Saint Marc et le faire souffrir. Il mourut de leurs mains en martyr le 29 Barmoudah’’.

Près du tombeau de Saint Marc furent ensevelis tous les patriarches qui lui ont succédé jusqu’à Saint Pierre, le dernier des martyrs en 311. La mort de Saint Marc eut lieu à la fin du règne de l’empereur Néron, qui le premier, fit gravement souffrir les chrétiens jusqu’au martyr. Sous son règne moururent en martyrs, Pierre et Paul à Rome et Jacques, le frère de Jésus, à Jérusalem

9) Luc est le compagnon de Paul. Il est l’auteur du 3e évangile et des Actes des Apôtres. Il adresse ces deux textes à un certain Théophile. C’est aussi l’évangéliste qui raconte la naissance et l’enfance de Jésus.

Luc n’a pas connu Jésus pendant sa vie terrestre. Son évangile et les Actes des Apôtres ont été rédigés autour des années 60. Luc écrit une biographie de Jésus, puis l’histoire des premiers chrétiens.

Dans le prologue de son évangile, il indique les raisons qui le poussent à écrire l’Évangile.

« Puisque beaucoup ont entrepris de composer un récit des événements accomplis parmi nous, suivant ce que nous ont transmis ceux qui furent dès le début témoins oculaires et qui sont devenus serviteurs de la parole, il m’a paru bon, à moi aussi, après m’être soigneusement informé de tout à partir des origines, d’en écrire pour toi un récit ordonné, très honorable Théophile, afin que tu puisse constater la solidité des enseignements que tu as reçus. » Luc 1.1-4

De la même façon, Paul a écrit à Timothée, sans aucune inspiration :

‘‘Ne continue pas à ne boire que de l’eau ; mais fais usage d’un peu de vin à cause de ton estomac et de tes fréquentes indispositions.’’ (1Tim 5.23)

10) Barnabé était un juif de la tribu de Lévi, né dans l’île de Chypre où une importante colonie juive s’était installée à l’époque d’Alexandre le Grand.

Il reçut dans sa jeunesse une culture hellénique. Il vint à Jérusalem et fit partie de la première communauté chrétienne : « Joseph, surnommé Barnabé ou Barnabas, né quelque 3 ans avant J.-C. à Salamine dans l’île de Chypre, Barnabé ne faisait pas partie du groupe des douze apôtres. Cependant les Actes des Apôtres lui en attribuent le titre au sens large, comme à Paul. Cf. Ac 14:14, Barnabé se serait retiré dans l’île de Chypre où il serait mort martyrisé près de Salamine, l’actuelle Famagouste.

Son tombeau, découvert sous l’empereur Zénon (Ve siècle), contenait un exemplaire de l’Évangile selon Matthieu, le monastère de saint Barnabé (occupé) qu’il serait mort en l’an 75 après J.-C.retournait à Chypre où, d’après les traditions il mourut martyr.

11) André, le frère de Simon-Pierre, fut l’un des premiers apôtres à rencontrer Jésus sur le bord du Jourdain au lendemain de son baptême.

Après la Pentecôte, il partit prêcher l’Evangile, au cours d’un long voyage, tout autour des côtes de la mer noire. Il finit par être crucifié sous l’empereur Néron, à Patras, en l’an 60. ’’La croix de supplice sur laquelle il a été crucifié était en forme de X.’’

12) Saint Barthélémy ou saint Nathanaël Barthélémy que Philippe amena à Jésus est originaire de Cana en Galilée (Jn 21.12) Jésus dit de lui : "Voilà un véritable fils d’Israël, un homme qui ne sait pas mentir" (Jean 1.47)

Après la Pentecôte, il fut envoyé prêcher l’Évangile dans l’Inde, au-delà du Gange. ‘‘Dans tous les pays qu’il dut traverser, il annonça Jésus-Christ, Rédempteur du monde. En quittant les Indes, l’Apôtre vint dans la grande Arménie.’’

Il réussit un exploit extraordinaire en convertissant le roi avec une multitude de personnes y compris la famille.

Mais le Démon ne manquera pas de se venger contre l’Apôtre pour ses grands efforts d’évangélisation des foules. Celui-ci ‘’ fut saisi par le frère du roi et condamné à être écorché vif.

Les bourreaux cruels s’armèrent de couteaux et de pierres tranchantes et écorchèrent la victime de la tête aux pieds ; de telle sorte que, n’ayant plus de peau, son corps montrait une chair sanglante percée de ses os.

Il eut ensuite la tête tranchée. Le corps écorché et la peau sanglante de l’Apôtre furent enterrés à Albane, en la haute Arménie ; il s’y opéra tant de miracles, que les païens furieux, enfermèrent le corps du bienheureux dans un cercueil de plomb et le jetèrent à la mer. Mais le cercueil, flottant sur l’onde, vint heureusement à l’île de Lipari, près de la Sicile.’’

13) Jude ou Judas, fils d’Alphée ou Thaddée est le fils d’Alphée et de Marie jacobé. C’est le frère de Jacques le Mineur.

Il prêcha l’Évangile en Syrie et en Mésopotamie. Il souffrit le martyre, en Perse ou en Arménie, vers l’an 80.

14) Paul de tarse (Au cas où il serait considéré comme un Apôtre) : il naît entre l’an 5 et 10 à Tarse en Cilicie. Son nom hébreu est Saül qu’il changera en Paul après sa conversion.

On peut supposer que son père était tisserand, ou fabricant de tentes, comme il le sera lui-même. Sa famille était vraisemblablement assez aisée, car elle a pu recevoir la citoyenneté romaine.

Il a été disciple de Gamaliel, un maître pharisien réputé dont on trouve des traces dans la tradition juive (Talmud).

Il assiste le Grand prêtre lors de la persécution des chrétiens hellénistes de Jérusalem.

LA CONVERSION DE PAUL

‘’L’histoire de conversion de Paul est un vrai scenario Hollywoodien : Paul qui avance sur la route, soudain, il tombe, ensuite il affirme que Jésus lui a parlé, belle histoire, une étude approfondie montrera que les récits divergent à un point qu’on peut affirmer qu’il ne s’agit que d’une histoire fabriquée :

Il tombe (comme il l’affirme) aveugle et sera guéri par le chrétien Ananias qui le baptisera. Il prêche pendant 3 ans à l’Est du Jourdain, revient à Damas.

Il se rend à Jérusalem en 38 ou 39, et c’est là que Barnabé le prend pour la mission de l’Église d’Antioche. En 41, Barnabé et Paul sont désignés par l’Église d’Antioche pour tirer au clair l’admission des païens dans l’Église.

En 48, Barnabé et Paul vont remettre à Jérusalem une collecte de solidarité. Ils partent ensuite en voyage missionnaire de 48 à 50.

Paul se mit ensuite à attaquer tous ceux qui suivent la loi de la Torah et surtout la circoncision, il se disputa avec les juifs convertis au christianisme : « Quelques hommes, venus de la Judée, enseignaient les frères, en disant : Si vous n’êtes circoncis selon le rite de Moïse, vous ne pouvez être sauvés. » actes 15.2

Arrivés à Jérusalem, Paul et Barnabé sont accueillis par jacques le chef de l’église de Jérusalem : Jacques, chef de l’Église de Jérusalem ayant réussi à influencer Pierre et Barnabas, Paul se fâche, et là se fut un grand débat car les juifs convertis au christianisme n’étaient pas d’accord avec Paul et insistaient sur la circoncision’’ :

Alors quelques-uns du parti des pharisiens, qui avaient cru, se levèrent, en disant qu’il fallait circoncire les païens et exiger l’observation de la loi de Moïse. »Actes 15.5

Ensuite, Paul et Barnabé se disputèrent et séparèrent, Barnabé rentre à chypre et Paul continue ses voyages, la bible affirme que Paul et Barnabé se sont disputés car Paul n’était pas d’accord pour emmener marc avec eux : ’’ Il circoncit son disciple pour tromper les juifs (sachant qu’il combattit la circoncision), puis il se moqua des païens adorateurs de statues à Athènes ,voyant qu’ils adoraient la statue d’un Dieu inconnu il leur dit qu’il est venu leur annoncer ce Dieu inconnu (actes 17.23 ) , voyant que leurs poètes disaient qu’ils sont de la race de Dieu , il leur dit qu’ils sont de la race de Dieu.

Et en Turquie, (Corinthe, Éphèse) il vit que les apôtres de jean baptiste l’ont précédé, ils avaient déjà appris la religion aux gens, ils disent à Paul qu’ils n’avaient jamais entendu parler de saint esprit et qu’ils furent baptisés selon le baptême de Jean , Paul leur enseigna alors l’invention du saint esprit qui viendra en eux , et leur enseigna un nouveau baptême autre que celui de jean (sachant que Jésus lui-même fut baptisé selon le baptême de Jean et par Gean ) Actes 19.2

Ce qui est sûr, Paul n’est pas un disciple de Jésus. Il prétend avoir rencontre Jésus sur le chemin de Damas. Est-ce vraiment Jésus qu’il avait rencontré ou seulement une hallucination, un Diable qui s’est présenté à lui sous l’apparence de Jésus ? Les paroles de Paul regorgent de contradictions et d’incohérences, alors qu’un Apôtre ne devrait pas se contredire (cf. mon ouvrage : Jésus et Mohammed, p.196 et s). ‘’On peut bien dire que les apôtres de Jésus ont combattu les enseignements de Paul et l’ont contredit, la meilleur preuve est la disparition de leurs traces du christianisme après l’apparition de Paul, leurs écritures ont disparu et furent combattues, il n’en reste que l’évangile de Barnabé et l’épitre de Jacob qui contredit Paul en matière de rédemption surtout. Nous ne savons rien d’une autre comparution de Paul devant Néron, rien de sa sentence, rien de sa mort. Le témoignage des anciens historiens ecclésiastiques est que, comme citoyen romain, il fut décapité vers l’an 67.

En conclusion, il est indéniable que les vrais Apôtres ont souffert le martyr. A l’instar des compagnons du prophète Mohamed (Paix sur lui), ils sont considérés comme les meilleurs exemples en termes de combat et de sacrifice pour la cause de Dieu.

http://www.bismillah-debats.net/les-Apotres.html

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