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L'Islam et les autres religions

L’islam estime que toutes les religions procèdent d’une même source : Allah. De ce fait, elles conservent malgré les péripéties de l’histoire une morale et des valeurs communes. Quand bien même les voies et les moyens diffèrent, les religions - plutôt la religion car en principe il n’y a qu’une seule religion- ont essentiellement pour but d’assurer à l’homme le bonheur ici-bas et dans l’au-delà.

« Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait prescrit à Noé, ce que Nous t’avons révélé à toi-même, ce que Nous avions prescrit auparavant à Abraham, à Moïse et à Jésus : « Etablissez la religion et n’en faites pas un sujet de divisions. » s42 v13

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Quelle est la différence entre l'Islam et les autres religions célestes ?

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La différence entre la religion du Prophète Mohammed, , et les autres religions divines réside dans les points suivants :

1/ La religion transmise par le Prophète Mohammed, , est destinée à l'humanité tout entière (les arabes et non arabes) et à toutes époques subséquentes.

Plutôt, elle est destinée aux hommes comme aux Djinns. Allah, Le Très Haut, dit : " Dis : " Ô hommes ! Je suis pour vous tous le Messager d'Allah […]" (sourate 7/verset 158). Tandis que les autres Prophètes furent envoyés uniquement pour leurs peuples, comme nous informe Allah, le Tout Puissant, en affirmant que chacun d'eux a dit à son peuple : " Je suis pour vous un Messager digne de confiance." (sourate 26/verset 143).

Par ailleurs il été rapporté que le Prophète, , a dit :

" Chaque Prophète a été envoyé uniquement à son peuple, alors que je suis envoyé à tous les gens."

 

2/ Au sujet de ce qui est interdit et ce qui est illicite : il y a des choses qui étaient interdites dans les religions divines précédentes qu'Allah a rendues licites pour cette communauté islamique. Comme il y avait aussi des choses qui étaient licites dans les religions divines précédentes qu'Allah a interdites dans l'Islam.

Pour le premier cas par exemple, Allah a interdit aux fils d'Israël certaines nourritures, comme Il dit : " Aux Juifs, Nous avons interdit toute bête à ongle unique. Des bovins et des ovins, nous leurs avons interdit les graisses,…" (sourate 6/verset 146).

Allah leur a interdit ces choses-ci à cause de leur injustice et de leur tyrannie. C'est donc une interdiction qui a été prise comme mesure de sanction et de peine.

Allah dit : " C'est à cause des iniquités des Juifs que Nous leur avons rendu illicites les bonnes nourritures qui leur étaient licites, et aussi à cause de ce qu'ils obstruent le sentier d'Allah, (à eux-mêmes) et à beaucoup de monde, …" (sourate 4/ verset 160).

Or dans notre religion, Allah nous a permis de manger la viande et les graisses des bovins et des ovins et nous a aussi permis de manger la bête à ongle, comme le chameau …etc.

Il nous a interdit de manger toute bête carnivore et tout oiseau carnassier. Ceci donc est une interdiction dans notre intérêt et pour notre protection.

Comme il était permis, dans certaines lois divines précédentes, à l'homme d’épouser une femme et sa sœur en même temps. C'est-à-dire qu'il réunissait les deux. Ce fut le cas du prophète Jacob, , qui s'était marié avec la mère de Joseph et avec sa sœur Lia en même temps. Ceci donc était permis dans sa religion. Tandis qu'Allah nous a interdit de nous marier avec deux sœurs. Il dit, en citant les femmes qui nous sont interdites en mariage : " De même que deux sœurs réunies." (sourate 4/verset 23).

Aussi le fait de se prosterner pour quelqu'un d'autre à part Allah était une chose permise comme étant une manière de respecter quelqu'un ou de l’honorer. C'est ainsi que le père du Prophète Joseph, Jacob, sa mère et ses frères se sont tous prosternés devant lui. Mais dans notre religion le fait de se prosterner pour d'autre à part Allah est interdit. Les exemples de ce genre sont nombreux.

Cependant la religion islamique s'accorde avec toutes les autres religions divines précédentes sur le fondement de la foi d'origine qui est donc l'Islam.

En effet tous les Prophètes étaient musulmans, appelaient à l'adoration d’Allah Seul et à abandonner l'adoration de toute autre divinité à part Lui.

Le Prophète, , a dit : " Tous les Prophètes sont des frères d'un même père mais de mères différentes et  ont la même religion. ", rapporté par Boukhari et Muslim.

 

http://www.islamweb.net/frh/index.php?page=showfatwa&FatwaId=74853

  • e6un7

 

La bague de mariage, "La lune de miel "...:origines de nos habitudes

 

Mariage 1

L'humanité est une famille unique, elle s'est séparée, et la disposition naturelle sur laquelle ils sont nés, est restée : (Chaque nouveau-né, naît sur l'état de nature…).
Et ces choses font partie de l'état de nature : la circoncision, enlever les poils du pubis, se couper les ongles…

Lorsque nous étions petits, nous jetions au soleil la dent qui tombait, et nous lui disions de la prendre et de nous donner une dent plus grande !

Comment cette habitude s'est-elle introduite dans un village éloigné qui est rempli de l'âme de la religion islamique ?

C'était une habitude de l'époque de l'ignorance avant l'Islam, ils pensaient que lorsque l'enfant perdait sa dent, et qu'il la jetait au soleil avec son index et son pouce, et disait :
"Remplace-la moi par une meilleure qu'elle", il était rassuré que ses dents ne soient pas tordues ou fendues !

Les habitudes et les coutumes arabes avant la prophétie s'appellent "ignorance", beaucoup d'entre elles sont perses, ou romaines, ou chinoises ; et l'Islam n'a rejeté d'elles que ce qui contenait une signification méprisable.

Aïcha (qu'Allah soit satisfait d'elle) avait des poupées chez elle, les invitées étaient bien accueillis, les gens respectaient leurs engagements, le bon voisinage, l'alliance pour le bien…

Il est difficile d'être certain des origines des habitudes et de l'époque de leur apparition ; beaucoup d'entre elles sont des cultures humaines mutuelles concernant les vêtements, les jeux, l'embellissement, les nourritures, et les systèmes de la société.

"Le fer à cheval" est considéré être une amulette chez des communautés ignorantes à travers le monde. Il est attribué à un prêtre qui a propagé que mettre le fer à cheval au-dessus de la porte de la maison possède une force particulière pour repousser les diables.
Et les chrétiens continuent à l'utiliser, depuis son apparition au dixième siècle, avec beaucoup de confiance en la mettant au-dessus de la porte de la maison, ensuite au milieu de la porte pour frapper à la porte ; il faut ajouter qu'ils pensent qu'elle a un rôle, - qui est imaginaire -, pour repousser les mauvais esprits.

Le miroir fut connu en Orient depuis longtemps ; en Italie, le premier miroir en verre fut fabriqué, et le casser signifiait sept ans de malheurs. Les ignorants à cette époque mélangèrent les croyances tribales et populaires aux compréhensions religieuses.

De nos jours, il y a toujours des papiers de bonne chance qui sont vendus parce que ceux qui les achètent croient qu'ils portent bonheur ; donc, les croyances tribales transmises sont une partie qui forme les profondeurs du patrimoine humain.

Prendre la décision d'agir ou de laisser, ou d'accepter ou de refuser, et essayer de découvrir le futur, pousse un ignorant à utiliser une méthode comme jeter des pièces de monnaie, ou tirer au sort avec des flèches…Et il est rapporté dans la Sounnah qu'il faut utiliser la prière de la consultation, les invocations et avoir confiance en Allah (qu'Il soit exalté).

Le pessimisme [ou croire au mauvais augure] est une croyance psychologique qui résulte de la difficulté de s'adapter à la vie ; les arabes tiraient mauvais augure des corbeaux ou du lapin par exemple.

Asperger du sel est une habitude romaine ; De Vinci le peintre célèbre a utilisé le sel dans certains de ses tableaux.

Mettre la main sur la bouche lorsqu'on bâille est une Sounnah prophétique, d'après Abou Sa'îd Al-KHoudri (qu'Allah soit satisfait de lui) le messager d'Allah (qu'Allah prie sur lui et le salue) a dit : (Lorsque l'un d'entre vous bâille, qu'il mette sa main sur sa bouche, parce que le diable entre) rapporté par Mouslim.
C'est un bon comportement et une politesse pour ne pas nuire aux autres, tandis que prétendre que c'est par peur que l'âme quitte le corps, ceci fait partie des croyances du moyen-âge en Orient.

Les médecins grecs au treizième siècle avant Jésus Christ croyaient en la présence d'une veine qui s'appelle "la veine de l'amour" qui passe par l'annulaire jusqu'au cœur, c'est la raison pour laquelle ils décidèrent que l'annulaire est le doigt qui porte la bague de mariage pour représenter une des fonctions du cœur : "La palpitation par amour".
Ensuite, les chrétiens prirent cette habitude, ils ajoutèrent le fait que le marié mette la bague dans l'index, puis le majeur et ensuite dans l'annulaire, en répétant "au nom du père", "puis "au nom du fils", et ensuite "au nom du saint esprit".

Alors que les orientaux ne prêtaient aucune attention aux bagues, ils croyaient que les bagues sont des bijoux pour la parure seulement, et elles n'ont aucune signification sociale ou religieuse.

"Honey Moon", "La lune de miel " : signifie une période courte de bonheur et d'isolement ; c'est une habitude scandinave parce que le marié emportait la mariée du village vers un endroit que personne ne connaissait pendant une certaine période, et lorsque la famille de la mariée abandonnaient les recherches parce qu'ils n'avaient pas trouvé l'endroit où ils étaient, le marié retournait au village avec sa mariée ; et cela provient d'une coutume de Babel qui est une boisson faite de miel qui donne de l'énergie au marié.

 

http://fr.islamtoday.net/node/20135

 

e6un7

 

Le sacrifice des animaux dans les religions

Dans l'Antiquité

Le sacrifice comme élément central des religions antiques a fasciné la science des religions depuis que celle-ci pense avoir compris le rituel comme le véritable « langage » de la religion. La découverte du rituel a apporté simultanément deux modèles d’interprétation dans le discours sur la religion : la religion est, dans l’homme, quelque chose d’archaïque, de primitif, de non apprivoisé par la culture. Par conséquent, la religion n’est pas ce que les théologiens veulent entendre par là aujourd’hui : un comportement éthique et son fondement ultime dans le transcendant, le respect pour l’infini, la sublimation suprême, en somme ! À l’origine, la religion s’avère être un comportement préconscient, qui se trouve en relation avec les instincts de l’homme en tant qu’être naturel. Une « situation primitive » en est le parfait exemple.

Dans la Grèce antique, la religion faisait partie du quotidien ; sacré et profane étaient étroitement imbriqués. Pour les hommes, il était crucial de pouvoir entrer en communication avec les dieux : nombre de rites furent ainsi inventés pour s'allier les Immortels, les appeler ou les remercier. Parmi ces rites, le plus couramment pratiqué étant le sacrifice – en particulier le sacrifice sanglant, qui consistait à mettre à mort un animal en l'honneur d'une divinité – et, parallèlement, le don d'offrandes. La religion grecque était donc basée sur l'échange et la réciprocité : les dieux accordent leurs faveurs et les hommes, en retour, les honorent et leur témoignent fidélité et gratitude. Mais parler aux dieux, chercher à s'attirer leurs bonnes grâces, c'était aussi reconnaître son statut de mortel. S'il semble possible d'influer, dans une certaine mesure, sur le cours des événements, les dieux restent maîtres des destinées.

Dans la Bible

Pour les chrétiens, Jésus-Christ s'est sacrifié lui-même pour sauver le genre humain, tel que cela est relaté dans plusieurs versets du Nouveau Testament. La théorie mimétique de René Girard, dans son développement, en vient à distinguer le sacrifice primaire (une collectivité met à mort une victimaire émissaire) d'un sacrifice secondaire (inauguré par les prophètes, achevé par Jésus dans une version considérée comme parfaite et imité par les martyrs), avec ceci d'intéressant que le secondaire révèle l'existence du primaire. En prédisant son propre lynchage émissaire et en acceptant d'être la victime des peuples de son temps (et d'un point de vue anthropologique de toute l'humanité), Jésus révèle le mécanisme émissaire en place depuis l'apparition d'homo sapiens voire des espèces humaines précédentes. Le Dieu des chrétiens refuse les sacrifices alors que les dieux païens multiplient les meurtres eux-mêmes et en réclament dès qu'ils se sentent offensés, ou plus exactement quand des membres de la communauté ont transgressé des interdits. Quoique les modernes sachent bien que les boucs émissaires sont innocents, cette innocence étant même intégrée dans la signification de cette locution, il s'agit d'une révélation pour les contemporains de Jésus : les "Grecs" (ou les polythéistes) ne savent pas qu'ils produisent des sacrifices pour réguler la violence profane et pacifier les relations ; de leur point de vue, celui que nous autres modernes appelons "bouc émissaire" est coupable. Jésus renverse la façon de voir la scène du sacrifice et fait passer d'une victime active avec une foule passive à une victime passive avec une foule active.
Jésus dans l'évangile de Saint Mathieu condamne le sacrifice des animaux.

 

Dans le Coran

Selon l'islam, le Coran est le point terminal de la Révélation pour cette humanité. Il se présente de fait comme la récapitulation et la synthèse des messages antérieurs, et maints récits bibliques y sont relatés de façon condensée et allusive. Le caractère sibyllin du « Livre », on va s’en rendre compte, apparaît nettement dans l’épisode du sacrifice d’Abraham.

Dans la sourate 37, ressort au thème coranique de l’épreuve (balâ’), qui agit comme une véritable pédagogie spirituelle à l’adresse des croyants et à fortiori des prophètes : l’élection et l’investiture ont pour passage obligé la purification. Abraham (Ibrâhîm en arabe) a été choisi comme « ami intime de Dieu » (khalîl Allâh) parce qu’il a subi avec succès maintes épreuves1. L’une des plus intenses fut sans doute ce songe au cours duquel le patriarche se vit en train d’immoler son fils :

- « Ô mon fils, je vois en rêve que je t’égorge. Qu’en penses-tu ? »

- « Père, répondit le fils, fais ce qui t’est ordonné. Tu me trouveras, si Dieu veut, parmi ceux qui supportent [l’épreuve] » (Cor. 37 : 102).

La commémoration du sacrifice d’Abraham, actualisée chaque année par le sacrifice d’animaux, est devenue la « grande fête » (al-‘îd al-kabîr) des musulmans, célébrée le 10 de Dhû l-Hijja, mois du Pèlerinage. Le Hajj, ceux qui l’ont accompli le savent bien, est une épreuve : répétition du Jugement dernier, il est mort à ce monde et résurrection.

À l’instar de la bête, le pèlerin est l’offrande sacrificielle dont le parcours rituel permet à la communauté musulmane, et au-delà à l’humanité, de se régénérer. Si le sacrifice animal garde aujourd’hui toute sa pertinence, et si le partage et le don de la viande perpétuent « l’hospitalité sacrée » d’Abraham, il importe de ne pas perdre de vue le sens premier du sacrifice : la purification intérieure.

Analyse sociologique du sacrifice

Le sacrifice peut se comprendre comme un échange entre les hommes qui le pratiquent et les puissances divines qui le reçoivent. Dans les sociétés primitives, non-monétaires, tout commerce suppose un échange, dons contre dons, à proportion de la situation et de la qualité des personnes engagées dans l'échange. Do ut des, je donne pour que tu donnes, selon la formule latine bien connue... Le don n'est jamais gratuit mais s'effectue selon des codes sociaux précis et réglés par la tradition.
Il en va de même dans l'échange entre hommes et puissances divines. De même que les langues anciennes n'ont pas de mot pour désigner la "religion" en soi, comme une activité et surtout une idéologie, séparée du reste des activités humaines, le sacrifice, ou ce que nous nommons tel, est d'abord à comprendre dans le cadre plus large des règles de l'échange et du fonctionnement des relations sociales. Les Dieux étant les plus puissants des êtres, la communication et l'échange avec eux sont régis par des règles certes spéciales mais qui doivent s'entendre dans un cadre plus large donc. Plus une personne est puissante et haut-placée, plus elle est censée répondre au don par un contre-don encore plus prestigieux et de plus haute valeur. On offre aux Dieux le meilleur parce qu'on attend en retour des dons inestimables, la pluie, de bonnes récoltes, la victoire, la paix, la prospérité, la santé... En latin, sacrifier veut dire faire passer dans le monde du sacré un objet profane, généralement par une forme de destruction (mais pas nécessairement, que l'on songe aux dédicaces, objets votifs et ex-voto de toutes sortes). Cette définition peut être généralisée mais n'oublions pas qu'en grec, thysia, le sacrifice est un mot de la même racine que thyein, brûler et thyo, encens, parfum. Il n'a un sens "technique" et religieux que secondairement. Sacrifier, c'est faire monter une fumée d'agréable odeur vers les Dieux, comme il est dit dans la Bible aussi.
Le sacrifice étant un échange, il est un partage... Une des formes est donc le repas sacrificiel où la victime est "sacrifiée" puis consommée de concert entre Hommes et Dieux, chaque partie recevant sa part, différence qui marque la séparation en le Ciel et la Terre mais aussi leur communion. Le sacrifice doit donc s'entendre comme une frontière, mais une frontière où l'on se rencontre et où l'on échange, aux dons des hommes devant répondre les dons des Dieux.
Dans la Bible, en Grèce, à Rome, tuer un animal pour la boucherie ou le sacrifier, n'a point de différences. Une seule manière de le mettre à mort qui est toujours sacrificielle. Puis après que la part des Dieux a été prélevée et leur a été offerte, les hommes prennent leur part, soit pour la consommer sur place dans un grand banquet commun soit pour l'amener chez eux. Dans ces temps anciens, on mangeait rarement de la viande, d'abord aux fêtes qui étaient toujours "religieuses" et donc accompagnées de "sacrifices".

 

Conclusion

Friedrich Nietzsche, Jane Harrison, Martin Nilsson renversent l’image de la « noble simplicité et calme grandeur ». L’« origine sauvage » du rituel devient, en somme, la clef de la religion ; l’homme devient l’homo necans. Dès lors naît une théorie de la culture qui attribue au sacrifice, en tant que rituel, un effet canalisateur : grâce au rite sacrificiel, la menaçante agressivité intraspécifique est déchargée sur l’animal. Au lieu de s’entretuer, les hommes mettent à mort l’animal sacrificiel. Walter Burkert et René Girard, le spécialiste de la littérature, développent simultanément une théorie semblable sur le rite sacrificiel, du point de vue de la culpabilité, de l’imitation, de l’évacuation de l’agressivité. Plus large et plus systématique est l’interprétation du sacrifice comme ordre et représentation du groupe.

 

 

http://kernos.revues.org/2029

http://www.religions-histoire.com/

http://fr.wikipedia.org/

http://oumma.com/

 

  • e6un7

     
     
     
 

En Islam la mère est glorifiée toute la vie


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Tous les ans, au printemps, un dimanche est dédié aux mamans : c'est la fête des mères !
Il existe de nombreuses façons de célébrer cette journée. Tu peux lui faire un joli dessin, lui écrire un mot gentil, lui offrir un bouquet de fleurs ou même lui préparer une surprise !
Auprès de ta famille ou à l'école, tu trouveras de l'aide et des conseils pour fabriquer un joli cadeau : un objet rigolo pour les mamans qui aiment rire, un délicieux gâteau pour les gourmandes, un collier ou une boîte à bijoux pour les coquettes… tu peux même lui écrire un poème, tout est permis !
Avec beaucoup d'amour et un peu d'imagination, tu trouveras à coup sûr le cadeau qui fera plaisir à ta maman.
La fête des mères - illustration 1
Le savais-tu ?
La fête des mères est célébrée dans de nombreux pays même si la date n'est pas la même partout.
En général, elle a lieu à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin.
La tradition de la fête des mères est très ancienne. Dans l'Antiquité, les Grecs organisaient des festivités dédiées à la déesse Rhéa, la mère des dieux. Chez les Romains, on célébrait les mères lors des Matronalia, au début du de ses enfants

La mère en Islam

L’Islam a identifié la relation des enfants avec leur maman comme étant la meilleure preuve de la vraie valeur de la femme dans la constitution d’une société musulmane. Il s’agit ici d’un très célèbre Hadith rapporté par Abou Horaira (ra) dans lequel on parle d’un homme qui a sollicité le Messager d’Allah (sws) :«  O Messager de Dieu ! Quelle est la personne qui mérite que je lui tienne plus de compagnie ? »

Et la réponse du prophète fut très claire : «  Ta mère, ta mère, ta mère et ensuite ton père ».

Ce Hadith ne vient que montrer alors l’importance de la gente féminine et de la mère en particulier dans l’Islam, une évidence absolue qui met l’accent sur les trois vertus qui la distinguent du père à savoir la vertu de la conception, celle de l’accouchement et celle de l’allaitement. Chaque bon enfant doit ainsi suivre ces consignes et vouer d’amour et de compassion pour sa maman dans l’espérance qu’il arrivera à avoir sa satisfaction et sa bénédiction.

Tout jeune ou adulte, l’enfant reste toujours le petit bijou de ses parents et son traitement à leur égard doit être exemplaire aux yeux de la religion musulmane. Il s’agit de s’engager en leur faveur en exerçant ce que le Très Haut Allah leur recommande de faire (bien veiller sur eux, obéir à leurs ordres, les épauler dans leur vieillissement, etc.). La meilleure image pour illustrer cette importance nous vient de l’histoire de Jahima qui va à la rencontre du prophète (sws)  pour prendre ses conseils avant de partir aux expéditions du Jihad et c’est là que le prophète lui dit clairement :« Prends soin de ta mère car le paradis se trouve sous ses pieds ».

En effet, dans l’Islam il n’y a pas de paradis sans la bénédiction de la mère ce qui met en évidence son statut si honorable dans cette religion, un statut qui est même supérieur à celui du père.

Le SaintCoran valorise la mère

Dans le Saint Coran, le Très Haut Allah dit dans le Sourate 4 – Versets 36 : «  Adorez Allah et ne lui donner aucun associé. Agissez avec bonté envers vos père et mère ». Ce verset indique qu’il faut respecter ses parents, ne pas leur dire des mauvaises paroles ou les gronder car Allah les a placés, à travers le Saint Coran, en haute considération.

Une autre valorisation de la maman a été bien illustrée dans le livre sacré des musulmans, plus précisément au niveau du Sourate 31- Versets 14 à 15«  Et nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers son père et sa mère : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché ; et sa gestation et sevrage durent trente mois ; puis quand il atteint ses pleines forces et atteint ses quarante ans, il dit : O Seigneur ! Inspire-moi pour que je rende grâce au bienfait dont tu m’as comblé ainsi qu’à mes père et mère, et pour que je fasse une bonne œuvre que tu agrées et fais que ma postérité soit de la moralité saine ».

Il est alors bien clair que l’Islam, à travers toutes ses composantes, a donné à la maman un privilège bien déterminé comme étant un instrument de vie irréprochable que l’on doit toute notre existence et à qui on doit toujourslui rendre grâce.

 

Sources: Il était une fois une histoire 

Le Muslim poste

La mère en Islam est glorifié toute la vie

En Islam
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Il existe de nombreuses façons de célébrer cette journée. Tu peux lui faire un joli dessin, lui écrire un mot gentil, lui offrir un bouquet de fleurs ou même lui préparer une surprise !
Auprès de ta famille ou à l'école, tu trouveras de l'aide et des conseils pour fabriquer un joli cadeau : un objet rigolo pour les mamans qui aiment rire, un délicieux gâteau pour les gourmandes, un collier ou une boîte à bijoux pour les coquettes… tu peux même lui écrire un poème, tout est permis !
Avec beaucoup d'amour et un peu d'imagination, tu trouveras à coup sûr le cadeau qui fera plaisir à ta maman.
La fête des mères - illustration 1
Le savais-tu ?
La fête des mères est célébrée dans de nombreux pays même si la date n'est pas la même partout.
En général, elle a lieu à la fin du mois de mai ou au début du mois de juin.
La tradition de la fête des mères est très ancienne. Dans l'Antiquité, les Grecs organisaient des festivités dédiées à la déesse Rhéa, la mère des dieux. Chez les Romains, on célébrait les mères lors des Matronalia, au début du de ses enfants

La mère en Islam

L’Islam a identifié la relation des enfants avec leur maman comme étant la meilleure preuve de la vraie valeur de la femme dans la constitution d’une société musulmane. Il s’agit ici d’un très célèbre Hadith rapporté par Abou Horaira (ra) dans lequel on parle d’un homme qui a sollicité le Messager d’Allah (sws) :«  O Messager de Dieu ! Quelle est la personne qui mérite que je lui tienne plus de compagnie ? »

Et la réponse du prophète fut très claire : «  Ta mère, ta mère, ta mère et ensuite ton père ».

Ce Hadith ne vient que montrer alors l’importance de la gente féminine et de la mère en particulier dans l’Islam, une évidence absolue qui met l’accent sur les trois vertus qui la distinguent du père à savoir la vertu de la conception, celle de l’accouchement et celle de l’allaitement. Chaque bon enfant doit ainsi suivre ces consignes et vouer d’amour et de compassion pour sa maman dans l’espérance qu’il arrivera à avoir sa satisfaction et sa bénédiction.

Tout jeune ou adulte, l’enfant reste toujours le petit bijou de ses parents et son traitement à leur égard doit être exemplaire aux yeux de la religion musulmane. Il s’agit de s’engager en leur faveur en exerçant ce que le Très Haut Allah leur recommande de faire (bien veiller sur eux, obéir à leurs ordres, les épauler dans leur vieillissement, etc.). La meilleure image pour illustrer cette importance nous vient de l’histoire de Jahima qui va à la rencontre du prophète (sws)  pour prendre ses conseils avant de partir aux expéditions du Jihad et c’est là que le prophète lui dit clairement :« Prends soin de ta mère car le paradis se trouve sous ses pieds ».

En effet, dans l’Islam il n’y a pas de paradis sans la bénédiction de la mère ce qui met en évidence son statut si honorable dans cette religion, un statut qui est même supérieur à celui du père.

Le SaintCoran valorise la mère

Dans le Saint Coran, le Très Haut Allah dit dans le Sourate 4 – Versets 36 : «  Adorez Allah et ne lui donner aucun associé. Agissez avec bonté envers vos père et mère ». Ce verset indique qu’il faut respecter ses parents, ne pas leur dire des mauvaises paroles ou les gronder car Allah les a placés, à travers le Saint Coran, en haute considération.

Une autre valorisation de la maman a été bien illustrée dans le livre sacré des musulmans, plus précisément au niveau du Sourate 31- Versets 14 à 15«  Et nous avons enjoint à l’homme de la bonté envers son père et sa mère : sa mère l’a péniblement porté et en a péniblement accouché ; et sa gestation et sevrage durent trente mois ; puis quand il atteint ses pleines forces et atteint ses quarante ans, il dit : O Seigneur ! Inspire-moi pour que je rende grâce au bienfait dont tu m’as comblé ainsi qu’à mes père et mère, et pour que je fasse une bonne œuvre que tu agrées et fais que ma postérité soit de la moralité saine ».

Il est alors bien clair que l’Islam, à travers toutes ses composantes, a donné à la maman un privilège bien déterminé comme étant un instrument de vie irréprochable que l’on doit toute notre existence et à qui on doit toujourslui rendre grâce.

 

Sources: Il était une fois une histoire 

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