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L'Islam et la science

« La science est plus méritoire que la prière », faisait remarquer le Prophète ; « un seul homme de science – ajoutait-il – a plus d’emprise sur le démon, qu’un millier de dévots ». «  Les homme de science sont les héritiers des Prophètes dont le seul patrimoine légué au monde est précisément la science ».

     L’islam selon sa charia incite donc à l’étude et à la recherche dans tous les domaines afin d’accumuler toutes les sciences fondamentales, toutes les techniques et les beaux-arts censées faciliter la vie et la rendre toujours plus commode et toujours plus belles sans toutefois rien corrompre. Méditons à ce propos ces deux versets dont voici le sens : 

-        « Nous avons pourvu la terre d’une beauté, afin de les éprouver (soit les hommes) qui d’entre eux sont les meilleurs en bonnes œuvres » (verset 7 chap.18)  

-        « Dis: "Qui a proscrit l’ornement d'Allah, qu’Il a produit pour Ses sujets, ainsi que le licite en nourritures ?" Dis: "Elles sont destinées à ceux qui ont la foi, dans la vie ici-bas, et exclusivement à eux au Jour de la Résurrection. " Ainsi exposons-Nous clairement les versets pour les gens qui savent. » (Verset 32 chap.7)  

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Santé cardiovasculaire rime avec bonheur et bien-être

 la santé cardiovasculaire dépend de la qualité de vie et de la bonne humeur

Plusieurs études démontrent que la santé cardiovasculaire dépend de la qualité de vie et de la bonne humeur. Parcourez donc cet article pour découvrir les détails et les résultats de ces recherches.

D’après les études menées par les chercheurs de la Harvard School of Public Health, l’optimisme joue un rôle important dans la réduction des risques de maladies cardiaques. En effet, en se basant sur 200 études différentes, ces scientifiques ont abouti à la conclusion selon laquelle les individus « optimistes » présentent 50% de risque en moins que les personnes moins optimistes d’être atteints d’une maladie cardio-vasculaire.

D’autres recherches réalisées par les scientifiques de l’Université d’Uppsala Hôpital en Suède ont également démontré que l’adoption d’un comportement positif dans la gestion du stress ne peut être que bénéfique pour le cœur. Pilotées par Mats Gulliksson, ces études s’étalant sur 94 mois ont démontré que les individus souffrant de maladies cardiovasculaires et sujets à une thérapie cognitivo-comportementale présentent 41 % de risques de moins que les individus soignés suivant des méthodes traditionnelles d’être exposé à un incident cardiaque.

Penser à son bien-être

Le fait de penser à son bien-être et à son bonheur contribue également à la protection de l’individu contre les problèmes cardiaques. Plusieurs recherches se sont penchées sur la question, notamment celle qui a été publiée dans l’European Heart Journal. En suivant de près l’état de santé de 1 700 personnes âgées de plus de 18 ans, sans aucune trace de maladies cardiovasculaires, les chercheurs ont mesuré le niveau d’affection des sujets de l’étude afin de déterminer leur niveau de perception du bonheur. Il ressort de cette étude que les personnes ayant un niveau d’affection positif élevé, donc, ceux qui sont plus « heureux » présentent moins de risques au développement de ce type de maladie.

D’après ces chercheurs, la sensation de bien-être et de bonheur conduit automatiquement les individus à améliorer leur santé grâce à des comportements sains, pour ne citer que la pratique régulière de plusieurs exercices, l’adoption d’une alimentation saine, une meilleure hygiène de vie, voire un poids normal.

Quid de la bonne humeur ?

Toujours selon les résultats publiés par l’European Heart Journal, la bonne humeur figure aussi parmi les solutions destinées à réduire les risques d’exposition aux maladies cardio-vasculaires. Plusieurs occasions permettent à un individu d’adopter une bonne humeur, entre autres la pratique d’une activité physique que l’individu apprécie en particulier. D’après ces chercheurs, le fait d’avoir un penchant pour telle ou telle activité et de la pratiquer en toute sérénité améliore considérablement la qualité de vie de la personne concernée.

Ces activités, qu’elles soient intenses ou plus calmes permettent en effet de soulager les muscles tendus et d’être plus apaisé avec soi-même pour affronter sa journée en toute confiance.

Les bienfaits de l'optimisme en Islam

Une étude scientifique récente a révélé que l'optimisme augmente la résistance du corps aux maladies et procure à l être humain plus de bonheur dans sa vie. C’était en fait le comportement de notre prophète Salut et Paix soient sur Lui. Lorsqu'on avait interrogé Assayida (notre mère) Aicha, Dieu soit satisfait d’elle, à propos du comportement du prophète, elle a répondu qu’il était l’incarnation du Coran. Il avait pleinement appliqué le coran et avait obtenu le bonheur total. Nous devons suivre son exemple dans notre comportement. Et là où la psychiatrie est incapable de nous donner la satisfaction et la paix intérieure, nous trouvons que le Coran nous comble. Le Tout-Puissant dit : « Or, il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose alors que c’est un bien pour vous. Et il se peut que vous aimiez une chose alors que c’est un mal pour vous. C'est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas.” [Al-Baqarah: 216] ». Le Prophète Paix soit sur lui, aimait le bon augure. Qui a donc enseigné ce comportement préconisé par les scientifiques occidentaux aujourd'hui à notre prophète Paix et Salut soient sur Lui ?!

Maintenant, contemplez avec moi ce verset, Allah dit: « Ne vous laissez pas abattre, ne vous affligez pas alors que vous êtes les supérieurs, si vous êtes de vrais Croyants ». [Al-Imran: 139]. Ce verset exhorte le croyant à avoir un comportement positif, à rester fort et à ne pas s’incliner devant les souffrances de la vie.

Les savants disent que le sentiment d’inhabilité affaiblit le système immunitaire. Le sentiment permanent de tristesse lui aussi est à l’origine de divers troubles mentaux. Nous ne pouvons que dire Gloire à Allah !

http://www.mutuelle-zen.com/sante-cardiovasculaire-rime-avec-bonheur-et-bien-etre/

http://www.kaheel7.com/fr/index.php/sante-et-medecine/250-les-secrets-de-lame-2

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la masturbation entre la science et la religion

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La masturbation consiste à provoquer le plaisir sexuel par excitation manuelle des parties génitales. Elle peut être pratiquée seul(e) ou en compagnie d’un ou une partenaire. 

Une étude la pointe à nouveau du doigt, en suggérant que se masturber plus d'une fois par semaine augmente le risque de cancer de la prostate. Publiée en janvier dans le British Journal of Urology International, l'analyse des habitudes intimes de 840 hommes est formelle : ceux qui ont eu une activité sexuelle intense entre 20 et 40 ans ont plus de risque de développer un cancer de la prostate après 50 ans. Et c'est la masturbation fréquente, et non le nombre de rapports sexuels, qui pèse sur le risque de cancer.

« Il y a probablement un lien entre des besoins sexuels forts et un taux élevé d'hormones mâles, facteur de risque de cancer de la prostate », explique Polyxeni Dimitropoulou, épidémiologiste à l'Université de Cambridge. En revanche, passé l’âge de 50 ans, la masturbation semble avoir un effet protecteur contre le cancer. De quoi en perdre son latin, d'autant que d'autres études ont montré que la masturbation, en libérant des toxines, permettait au contraire de protéger contre le cancer de la prostate, quel que soit l'âge. « Les résultats ne sont pas opposés : nous trouvons aussi que la masturbation protège, mais après un certain âge, tempère le chercheur. Les mécanismes en jeu diffèrent simplement d'un moment à l'autre de la vie ».

Si le plaisir solitaire soulève encore la polémique, sachez que les rapports sexuels, eux, n'ont que des avantages. Ils protègent contre les maladies cardiovasculaires, la dépression et le surpoids… Dans le doute, mieux vaut donc profiter du sexe à deux que tout seul!

La masturbation et la religion


Pendant des siècles, la masturbation, bien que condamnée par l'Église, n'a pas directement été l'objet de réprobation. C'est à partir du XVIIIe siècle que son statut est réévalué. L'angoisse de la diminution et de l'affaiblissement de la population, perceptible dans tous les traités philosophiques, médicaux et économiques de l'époque – mais infondée –, modifie la perception des pratiques sexuelles. La masturbation est progressivement considérée non plus comme une habitude licencieuse et moralement condamnable, mais comme une des causes de la dépopulation et comme une véritable maladie qui se répand dans toute l'Europe.
Au milieu du XVIIIe siècle, se développe ainsi une abondante littérature, principalement médicale, qui dépeint en des termes atroces les effets nocifs de cette « perversion solitaire », tant pour la santé du corps que pour celle de l'âme. Si l'Église n'est pas à l'initiative de cette stigmatisation de la masturbation, elle agit cependant main dans la main avec l'ordre médical, avec qui elle partage le souci de la préservation de l'espèce et d'une sexualité exclusivement reproductive. Médecins, directeurs de conscience, éducateurs ou philosophes s'accordent ainsi tous sur la nécessité d'endiguer ce mal qui accable la jeunesse du royaume et menace le peuple français d'épuisement, voire de dégénérescence.
Le traité publié par le médecin suisse Samuel Tissot en 1760, intitulé L'Onanisme : essai sur les maladies produites par la masturbation, inaugure ainsi toute une série d'écrits, mais reste la référence médicale incontournable sur les « pathologies » de la masturbation ; il sera réédité jusqu'au XXe siècle. Selon Samuel Tissot, en se livrant à la masturbation, hommes et femmes se détournent de la reproduction et s'adonnent à un plaisir mortifère, pour eux-mêmes comme pour la nation. La masturbation apporterait à chaque sexe son lot de maladies, comme si ces dernières venaient punir une pratique condamnée par la nature.
La fin de l'espèce et le désordre social
L'onanisme attenterait ainsi à la virilité de l'homme. Pour Tissot, il rend les jeunes hommes « pâles, efféminés, engourdis, paresseux, lâches, stupides et même imbéciles ». Les hommes perdent leur vigueur et leur santé : ils maigrissent, se languissent, souffrent de vieillesse prématurée et d'une foule de maux (saignements, incontinence, paralysies, migraines, troubles de la vue, mélancolie, épilepsie, etc.). On est loin de l'expression folklorique selon laquelle la masturbation rend sourd : dans nombre de descriptions cliniques, les médecins vont jusqu'à rapporter des cas mortels. Ils prêtent à la pratique masturbatoire les symptômes correspondant à des infections microbiennes variées. De surcroît, selon les descriptions médicales, le masturbateur porte les stigmates de son vice caché, annonçant de graves troubles de la fonction virile : vésicules sur la verge, flaccidité, impuissance, déformation des organes génitaux, spermatorrhée (écoulement incontrôlé de sperme) ou stérilité.
Toutefois, aux yeux des médecins, l'une des conséquences les plus préoccupantes de la masturbation est que les onanistes se détournent des femmes. Autant un séducteur est excusable, autant un masturbateur est condamnable. Comme l'écrit Tissot, il faut être « infiniment plus porté à excuser celui qui séduit par ce penchant que la nature a gravé dans tous les cœurs, et dont elle se sert pour conserver l'espèce […] que celui qui pèche en violant toutes les lois, en renversant tous les sentiments, toutes les vues de la nature ».
Les hommes ne sont pas les seuls exposés aux « dangers » de la masturbation. La masturbation féminine, auparavant considérée avec une relative indulgence, fait l'objet d'un souci grandissant de la part des médecins. Le danger est que cette pratique les pousse à rechercher la satisfaction sexuelle hors de la finalité de la grossesse. Tissot écrit ainsi que l'onanisme chez les femmes est « un monstre qui renaît chaque jour et auquel les filles s'adonnent avec d'autant plus de confiance qu'il n'en résulte pas de fécondité et que […] l'on n'a pas à recourir à l'avortement ». Cet accès au privilège masculin de la sexualité non reproductive est accusé de « viriliser les femmes ».
Alors que le corps des femmes est traditionnellement considéré comme un corps « lâche, mou et fragile, engorgé par ses humeurs », qui participe au tempérament flegmatique, féminin par excellence, les médecins attribuent aux masturbatrices un tempérament « sanguin, bilieux, vigoureux », c'est-à-dire mâle. Dans la plupart des traités, la masturbatrice est issue des classes populaires ; elle est vigoureuse, rustre et sa moralité est douteuse du fait de sa condition sociale. Quand des jeunes filles de bonne famille sont touchées par le mal, les médecins soupçonnent toujours les domestiques et les préceptrices de les avoir initiées à de tels penchants.
Les médecins sont persuadés que la masturbation altère le corps des femmes, notamment en hypertrophiant le clitoris. « Les femmes ainsi constituées ne conservent presque rien des qualités de leur sexe, et tiennent beaucoup plus de l'homme ; elles ont la taille élevée, les membres vigoureux, la figure hommasse, la voix forte, le ton impérieux, les manières hardies », écrit ainsi le médecin Renauldin à l'article « clitoris » du Dictionnaire des sciences médicales de Panckouke, en 1813. En menaçant la féminité et les qualités afférentes telles la pudeur, la retenue et l'ignorance de ses désirs, la masturbation soustrait le corps des femmes à son rôle dans la perpétuation de l'espèce.
De la prévention à la répression
Ainsi, le grand danger de l'onanisme pour la société, c'est qu'il inverse l'ordre des sexes. En rendant les hommes efféminés et les femmes viriles, il menace l'avenir de l'humanité, et en modifiant physiologiquement l'identité des sexes, il bouleverse les privilèges qui y sont associés. Dans le portrait de l'onaniste au bord du précipice, transparaît l'angoisse d'une société pour laquelle le plaisir solitaire figure la fin de l'espèce et le désordre social.
En réponse à ce qu'ils qualifient d'épidémie désastreuse, les médecins entreprennent de lutter contre la masturbation. Les descriptions morbides des effets de l'onanisme participent de fait, en intimidant la population, à la propagande anti-masturbatoire. On fait par exemple lire aux pubères le Livre sans titre, publié dans les années 1840, qui présente en images l'agonie d'un jeune masturbateur (voir la figure 1).
Par ailleurs, le pouvoir médical en appelle à une surveillance accrue des jeunes hommes et femmes, tandis qu'il élabore des traitements qui vont de la pharmacopée (le bromure) à la chirurgie (l'ablation du clitoris) en passant par la rééducation par la contrainte physique.
Les politiques préventives restant sans grand effet, les médecins finissent par soupçonner au début du XIXe siècle que le mal qu'ils combattent est paradoxalement le produit des institutions éducatives elles-mêmes. Dans les collèges et les pensionnats, la promiscuité, l'ennui et le manque d'exercice physique fournissent un terrain propice au développement de ce « vice », au point que la « contagion » peut devenir générale : « Tous les élèves d'un collège trompaient quelques fois, par une détestable manœuvre, l'ennui que leur inspiraient les leçons […] qu'un très vieux professeur leur faisait en dormant », peut-on lire en 1819, à l'article « Masturbation » du Dictionnaire des sciences médicales. Pour remédier à ce laxisme, l'espace est réorganisé dans les établissements scolaires de telle sorte que les élèves ne puissent plus se soustraire aux regards. Les portes des latrines sont ainsi ajourées, et certaines punitions, tels la retenue individuelle ou l'enfermement aux arrêts, qui laissent l'élève seul avec lui-même, sont supprimées.

Les politiques préventives et l'acharnement des médecins techniciens de la coercition achoppent ainsi sur un aspect irréductible de la masturbation, son polymorphisme. Les agencements érotiques potentiels du corps et des objets qui l'environnent étant à peu près illimités, il est impossible de les anticiper tous. Ni la surveillance ni la contrainte physique ne parviennent à circonscrire l'inventivité sexuelle des jeunes masturbateurs.
Les politiques d'intimidation, de surveillance et de coercition marquent pourtant durablement le rapport des individus à leur corps et à leur sexualité. Pour traiter les femmes qui se livrent à l'onanisme, nombre de médecins pratiquent la clitoridectomie, pensant « supprimer le vice par l'ablation d'un organe inutile (car inutile à la reproduction) ». Pratiquée en France notamment par le docteur Levret, cette pratique est également répandue en Angleterre, où le docteur Isaac Baker Brown en est l'un des plus ardents promoteurs. À travers elle se manifeste toute la violence de la définition « moderne » de la féminité, qui réduit cette dernière à la seule maternité.
Dans le cas des hommes, la situation est plus complexe. Ironie du sort, chez certains onanistes, les actions préventives et coercitives ont produit l'effet contraire à celui recherché : plutôt que de sauvegarder leur virilité, la médecine en a fait des impuissants. Les adolescents terrorisés par le discours médical se croient atteints de maladies imaginaires. Dès 1836, Lallemand, grande figure de l'histoire de l'andrologie, dans son traité Des pertes séminales involontaires, soulève le problème de la « torpeur des organes génitaux ». En 1891, le docteur Léon Bouveret note que ses patients atteints d'impuissance ou de neurasthénie attribuent leur état à l'abus des plaisirs sexuels et « se croient menacés de la perte irrémédiable de leur virilité, ou bien encore d'une maladie incurable de la moelle épinière ».
Étouffer les pulsions par le sport
Les médecins vont alors s'évertuer à conjurer les effets pervers de leurs propres politiques. Aux victimes imaginaires de la masturbation, « il faut faire entendre une partie de la vérité », conclut le docteur Bouveret, à savoir que les conséquences pathologiques de la masturbation ont été sciemment exagérées par le discours médical. Il faut faire comprendre au sujet que son impuissance est d'ordre psychique et réside uniquement dans une appréhension du coït.
Dans certains cas, les médecins se retrouvent face à une situation absurde : après avoir interdit la masturbation, ils doivent eux-mêmes la faire pratiquer ! Lallemand vante ainsi les mérites du galvanisme pour traiter l'impuissance, et Bouveret avoue devoir stimuler les organes sexuels du patient à l'aide de différents appareils de massage électrique pour « lui prouver qu'il est capable de très fortes érections ». La technique est cependant très approximative.
On assiste donc, après la crise des institutions, qui produisent elles-mêmes des masturbateurs, après la crise du pouvoir disciplinaire, incapable d'endiguer le phénomène, à la crise des politiques médicales qui se montrent inefficaces, si ce n'est contre-productives. Le constat dressé, une réorientation s'engage dans les années 1860, et débouche sur la mise en œuvre institutionnelle d'une nouvelle stratégie de préservation de la virilité. Au lieu d'étouffer les manifestations de la « pulsion sexuelle reproductrice », les médecins vont s'efforcer de l'atténuer et de la dévier de sa réalisation initiale.
Ces deux objectifs sont atteints par l'exercice physique et la fatigue musculaire. « Il vaut mieux agir par voie de diversion : c'est le corps qu'il faut fatiguer et rompre par les exercices matériels, pour dompter l'esprit ; c'est dans le système musculaire qu'il faut faire refluer [...] toutes les énergies exubérantes de la vie. C'est dans le gymnase que meurent les désirs coupables et les mauvaises pensées de la salle d'étude », écrit ainsi le docteur Émile Jozan en 1864. Ces arguments s'inscrivent dans un vaste courant hygiéniste qui débouche en 1869 sur le décret Duruy rendant obligatoire la gymnastique à l'école. L'exercice physique appartient à tout un arsenal de prévention des maladies mis en place par la médecine publique naissante. Il s'agit cette fois de lutter contre la masturbation selon une tactique active : le moyen employé pour éviter l'affaiblissement de l'organisme sert aussi directement à viriliser le corps en le musclant.

http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/f/fiche-article-la-masturbation-reprimee-20392.php?chap=2

http://www.sciencepresse.qc.ca/actualite/2009/02/13/masturbation-fait-toujours-debat

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Traitement par la drogue

Le traitement par la drogue telle que la morphine, la cocaïne et le phalium.Quel est le jugement de l'Islam sur cela ?
Qu'en est-il également de l'autopsie après la mort ?

Il n'est pas permis de se traiter avec les choses illicites, vu les preuves légales confirmées, démontrant son interdiction.

C'est le cas du hadith transmis par Abou Dâwoud dans ses Sounans du hadith de Abou Ad-Dardâ' qui dit, le Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam) a dit :
"Certes Allah a fait descendre la maladie et le remède, et Il a créé pour chaque maladie un remède, prenez donc des remèdes, mais ne prenez pas de remèdes illicites ."

Al-Boukhârî a mentionné dans son ''Sahîh'' d'après Ibn Mas'oud que :
"Allah n'a pas placé votre guérison dans ce qu'Il vous a interdit".

Et dans les "Sounans "d'après Abou Hourayra qui dit :
"Le Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam) interdit le recours au mauvais remède. "

Dans [ Sahîh Mouslim ] d'après Târiq ibn Souwayd Ad-Djou'fî Al-Hadramî ou Souwayd ibn Târiq :
Târiq ibn Souwayd Al-Dja'fî interrogea le Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam) sur l'usage de l'alcool pour fabriquer des médicaments,
"le Prophète (Salla Allah 'Alaihi Wa Sallam) rétorqua que ce n'était pas un remède mais plutôt un mal."
Rapporté par Abou Dâwoud et At-Tirmidhî.

Dans [ Sahîh Mouslim ] d'après Târiq ibn Sowayd
Al-Hadramî qui dit : Je dis :
"O Envoyé d'Allah! Il y a dans notre terre des vignes dont nous pressons les raisins puis nous en buvons."
- "Non, c'est interdit", jugea-t-il.
Je repris: "Mais, nous en tirons un remède pour le malade."
- "Ceci n'apporte pas la guérison, c'est plutôt un mal." .

Qu'Allah vous accorde la réussite et que les prières et le salut soient sur notre Prophète Mohammad, ainsi que sur sa famille et ses compagnons.

fatwas émises par le Comité Permanent. Q (2) de la fatwa N° (4243).
copié de alhouda.forumactif.com
Comité permanent [des savants] de l'Ifta

http://3ilm.char3i.over-blog.com/article-traitement-par-la-drogue-102921434.html

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Sept vérités scientifiques prouvent la bonne parole du prophète (saw)

Nous allons voir à travers cette recherche quelques vérités scientifiques exposées par notre prophète à son époque et que la science moderne a prouvé par la suite ….

Les plus beaux instants que le croyant puisse vivre c’est quand il voit un miracle de la parole de son prophète. Vue qu’on est dans une époque de science et de découvertes scientifiques, on éprouve le besoin de chercher dans ses HADITHS ( les dires du prophète) qui prouvent sa bonne parole. Ce genre de recherche contribue à corriger l’image que les occidentaux ont du prophète de la miséricorde (Mohamed que le salut soit sur lui)

Première vérité

Le messager de dieu dit à ses compagnons : (Cette chose va atteindre ce qu’ont atteint la nuit et le jour) cela dit que l’Islam va se propager dans tout les coins de la terre. Effectivement les statistiques disent que l’Islam est présent dans le monde entier et qu’en l’an 2025, l’Islam sera la religion qui occupera la première place dans le monde. Cette affirmation n’est pas du tout exagérée du fait que ce sont des statisticiens non musulmans qui ont avancé des chiffres réels relatifs à cette propagation.

Des spécialistes en matière de statistiques affirment que l’Islam se propage avec une grande vitesse et qu’un grand pourcentage de musulmans existe dans tout les pays du monde .la question qu’on doit se poser : n’est-ce pas ça ce que le prophète nous a raconté ? (Que le salut d’ALLAH soit sur lui)

Deuxième vérité

Le miracle se situe dans le hadith suivant : le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui a dit :

La terre m’a été crée en lieu de prière et de purification (Raconté par Muslim)

Dans une nouvelle recherche, les scientifiques ont découvert l’existence des anticorps dans la substance de la terre et cette substance peut éliminer les plus dangereux des bactéries. Cela prouve que la terre est une matière purifiante.

Et dans une autre étude récente, les scientifiques affirment qu’il y’a quelques types de terres qui éliminent les plus résistantes des bactéries. Ils ont même fait plusieurs expériences et ont constaté à la fin que la terre peut éliminer toute une colonie de bactérie en 24 heures alors que la même colonie s’est multipliée 45 fois quand ils l’ont mise hors terre.

A partir de cette découverte les scientifiques pensent produire des anticorps soustraits de la matière de la terre pour chasser les bactéries les plus complexes.

S’est avéré récemment que la terre contient des anticorps et s’il n’y avait pas cette particularité purifiante, les virus et les moisissures tueraient tout sur cette planète à commencer par l’homme. Sauf que la miséricorde d’ ALLAH a fait exister cette substance purifiante dans la terre pour assurer la continuité de la vie. Est-ce qu’ ALLAH ne mériterait pas d’être glorifié et remercié pour tout ces dons ?

Troisième vérité

Le prophète a parlé avec précision d’une vérité scientifique qui n’a été observée que ces dernières années par les scientifiques eux-mêmes. Que le salut d’ALLAH soit sur lui dit :

La fin du monde n’arriverait que si la terre des arabes deviendrait vallées et rivières. (Raconté par Muslim)

Il a été prouvé scientifiquement que le golfe d’Arabie était plein de rivières et les traces de leur écoulement d’eau sont visibles jusqu’à nos jours. Les photographies parvenues des satellites exposent clairement des rivières couvertes de sables au golfe d’Arabie. Des grands chercheurs à la NASA affirment que les photos qui ont été prises par le radar sur le Sahara montrent que cette zone a été dans le passé des rivières et des îles, et cet environnement ressemblait à celui de l’Europe et qu’il viendrait le jour ou le golfe d’Arabie Reviendrait comme avant.

Des chercheurs à la NASA affirment que le Sahara du Rub’al khali et de l’Arabie étaient un jour couvertes de rivières, de forets, d’îles et il y’avait une faune importante. Ils affirment que cet environnement reviendrait dans le futur (ce qu’a été démontré dans le saint hadith du prophète).

Quatrième vérité

Quand notre prophète a parlé du pont qu’on devrait traverser au jugement dernier, il a parlé d’un miracle scientifique avec beaucoup de précision. Le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui a dit : Ne voyez-vous pas l’éclair comment il va et revient en un clin d’œil ? (Raconté par Muslim).

La similitude est très claire entre la parole du prophète et ce qui a été découvert par les scientifiques dernièrement. Le prophète a parlé du clin d’oeil de l’éclair et les scientifiques de leur côté parlent de mouvement complexe et précis de l’éclair. L’éclair consiste en la sortie d’un rayon de nuage qui se dirige vers la terre et revient en un laps de temps équivalent à un clin d’œil. C’est exactement ce qui a été annoncé par le prophète.

Les scientifiques ont découvert que l’éclair est constitué de plusieurs étapes dont les plus importantes sont le passage et le retour et que le temps écoulé de l’éclair est de 25 millisecondes. Exactement le temps du clin d’œil (n’est-ce pas ce qui a été apporté par notre prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui il y a plus de 14 siècles passés ?!).

Cinquième vérité

Récemment Les scientifiques ont découvert la partie du lobe frontal (en haut et à l’avant du cerveau) c’est dans cette partie que sont prises les décisions, c’est pour cela plus cette partie est efficace et en bonne fonctionnalité plus les décisions sont précises et sages.

Notre prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui priait en invoquant ALLAH ainsi : Ma destinée est en entre tes mains (Raconté par Ahmed). Dans ce hadith, le prophète mets tout entre les main de son Dieu et lui dit c’est toi qui me commande et me dirige. Aussi, il a été découvert que cette partie du cerveau joue un rôle important dans la compréhension, l’orientation, la résolution des problèmes et la créativité c’est pour cela que le prophète l’a mise entre les mains de son créateur.

Après des études approfondies sur la fonctionnalité du cerveau, les scientifiques constatent que la partie la plus importante c’est bien le lobe frontal celui- ci est responsable de tous nos actes telles que l’orientation et la créativité pour ces raisons le prophète donne de l’importance à cette partie du cerveau durant sa prière et dans ses invocations. Ceci est un miracle qui prouve la bonne parole du messager de Dieu qui savait cette particularité alors qu’à son époque personne ne savait le moindre détail .c’est ALLAH qui le lui a enseigné en lui adressant ce verset : Sourate les Femmes Anl-Nisa’ 113 Et n'eût été la grâce de Dieu sur toi (Muhammad) et Sa miséricorde, une partie d'entre eux t'aurait bien volontiers égaré. Mais ils n'égarent qu'eux-mêmes, et ne peuvent en rien te nuire. Dieu a fait descendre sur toi le Livre et la Sagesse, et t'a enseigné ce que tu ne savais pas. Et la grâce de Dieu sur toi est immense.

Sixième vérité

Le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui a dit : L’un des signes indiquant l’approche de la fin du monde, c’est la mort subite. (Raconté par Tabarani)

Dans ce hadith, existe un miracle scientifique qui correspond à des vérités médicinales incontestables. Ce miracle témoigne que le prophète Mohamed est bien le messager de Dieu. ALLAH l’oriente et le dirige en toute parole qu’il prononce

D’après les dernières statiques faites par les Nations Unies, on constate une progression importante dans le nombre de morts subites malgré toutes les procédures de préventions.

Des spécialistes en cardiologie affirment que la mort subite s’est propagée ces dernières années. Malgré le développement de la science dans ce domaine le nombre de gens qui meurent subitement est en nette progression. La question qu’on se pose : n’est-ce pas cela, la prédiction de notre prophète ?

Septième vérité

Une grande majorité de scientifiques affirment que la vieillesse est le meilleur moyen pour une fin naturelle. Et tout essai pour prolonger l’âge devrait avoir des résultats néfastes sur la santé comme le cancer. Le professeur LEE SILVER de l’Université Américaine PRINCETON a déclaré que toute tentative pour atteindre l’éternité va à l’encontre de la nature. Les scientifiques ont conclu que dépenser un argent fou pour éviter la vieillesse n’aboutirait à aucun résultat positif. Cette affirmation a été prédite par notre prophète que la salut d’ALLAH soit sur lui : « Guérissez-vous 3ibad allah parce qu’ALLAH ne met pas de mal que s’il met son remède sauf un seul mal : celui de la vieillesse » (Raconté par Ahmed).

Ainsi, la science apporte de nouvelles découvertes qu’elle ignorait auparavant qui, prouvent la bonne parole du prophète et la vérité sur le message de l’Islam.

Et à la fin de nos invocations : Louange à Dieu, Seigneur de l'univers

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Par: Abduldaem Al-Kaheel

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Références:

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Le radin a t-il moins de matière grise ?

D’après des chercheurs de l’Université de Zurich, le lien entre l’activité cérébrale et la générosité serait établi. Leur étude a été menée sur un groupe de personnes, qui devait partager de l’argent avec des inconnus. Pendant cet échange, les chercheurs suisses mesuraient alors l’activité cérébrale et le volume de matière grise.

  • Moins de matière grise chez les radins

D’après cette étude, chez une personne peu généreuse, la région du cerveau située derrière l’oreille (lobes pariétal et temporal), était très active dès le partage de petites sommes d’argent. Quant à la personne plus généreuse, cette région du cerveau ne s’est mise en action qu’après le partage de sommes plus importantes. Plus étonnant, la générosité serait en lien avec le fait qu’une personne ai plus ou moins de matière grise.

L’étude a en effet révélée que les personnes avares avaient moins de matière grise que les autres, plus généreuses. La matière grise se trouve à la périphérie du cerveau et forme le cortex cérébral, où sont traitées les informations. La substance grise de notre cerveau contient nos fameux neurones, d’où l’expression « faire fonctionner sa matière grise. »

Que les radins se rassurent ! Les chercheurs concluent cependant l’étude en disant qu’ « il ne faut en aucun cas conclure qu’un caractère altruiste n’a qu’une origine biologique. »

  • L’importance de donner en Islam

Se montrer généreux n’est pas seulement d’actualité que pendant le mois de Ramadan. Allah, exalté soit-Il, dit: « Donne donc au proche parent son dû, ainsi qu’au pauvre, et au voyageur en détresse. Cela est meilleur pour ceux qui recherchent la face d’Allah (Sa satisfaction) » Sourate 30, verset 38, et un peu plus loin dans la sourate, à propos de ceux qui se montrent généreux: « Ceux-là verront leurs récompenses multipliées » Sourate 30, verset 39.

De nombreux versets et ahadith témoignent de l’importance de la générosité en Islam. Ali ibn Abi Talib, qu’Allah l’agrée, disait: « N’aie pas honte de donner peu, ne rien donner est encore pire. »

http://muzulmans.fr/articles/decrypter-lactualite/le-radin-a-t-il-moins-de-matiere-grise

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