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Articles de islamiates

La succession du Prophète

Assalat sur le prophète, Assalat sur le prophète

1- Le décès du prophète :

Le prophète tomba malade dès son retour du pèlerinage d’adieu. Un jour il quitta sa maison avec un bandeau autour de la tête ; il prit place au minbar (la chaire) et dit : « il y avait un esclave de Dieu ; Dieu lui proposa de choisir entre ce qui est ici-bas et ce qui est auprès de Lui ; et cet esclave préféra ce qui est auprès de Dieu. » Abou Bakr le comprit et se mit à pleurer. « Barrez toutes les portes qui s’ouvrent sur la cour de la mosquée, continue le prophète, sauf la porte de Abou Bakr car je n’ai connu personne de plus utile à ma cause que lui ; si je pouvais prendre un ami parmi les humains, ce serait Abou Bakr. Il est mon compagnon et frère dans la foi, jusqu’à ce que Dieu nous réunisse auprès de Lui ».

Le prophète recommanda ensuite l’expédition d’Usama, en rappelant les mérites de ce jeune compagnon et de son père Zaid ibn al Haritha. Il rentra chez lui. Le lendemain son état se détériora ; il demanda aux gens qui se trouvaient à ses côtés : « apportez-moi du papier pour que je puisse rédiger un écrit ; vous ne vous égarerez pas ensuite ». Certains s’opposèrent, disant que ce n’est pas le moment de le faire « le prophète est souffrant, nous possédons le Coran et cela nous suffit » ; il y avait une dispute à ce sujet entre les gens présents ; le prophète leur aurait demandé de sortir. Ne pouvant plus diriger la prière, il nomma Abou Bakr pour le remplacer. Le prophète prononça cette phrase à voix basse : « il n’y a de Dieu qu’Allah ; quelle agonie dans la mort ». Son dernier mot audible fut : « mais avec le Compagnon d’en haut ».

La nouvelle de la mort plongea la ville dans l’émoi. Omar s’emporta contre ceux qui pleuraient : « l’envoyé de Dieu n’est pas mort, leur dit-il, il est seulement allé auprès de Dieu comme Moise y était allé, pour revenir bientôt auprès de sa communauté afin de la guider jusqu’au jour de la résurrection ». Abou Bakr intervient : « Peuple ! quiconque adorait Mohamed, qu’il sache qu’il est mort ; mais quiconque adorait Dieu, alors Dieu est vivant et ne meurt jamais ». il récite le verset suivant : « Mohamed n’est qu’un messager. Des messagers avant lui sont passés. S’il mourait donc, ou s’il a été tué, retournerez-vous sur vos talons ? Quiconque retourne sur ses talons ne nuira en rien à Allah ; et Allah récompense bien les reconnaissants ».s3, v144

2- Discussion et délibération

Les Ansars, estimant qu’il fallait immédiatement régler le problème de la succession, se rendirent à la Saqifa des banou sa’idah pour débattre de cette question. Il s’agissait de savoir auquel des deux clans des émigrés et des Médinois revenait le mérite de la succession du prophète. Avant l’arrivé des émigrés à l’assemblée, les débats avaient abouti à la désignation de Saâd ibn Ubadah comme Emir sans qu’il y eut un consensus autour de ce personnage. Les Ansars étaient divisés tant sur leur droit à la succession que sur la personne de Saâd ibn Ubadah. Ceux qui prétendaient avoir droit à la succession du prophète tiraient argument de l’asile accordé au prophète, du fait que celui-ci est mort chez eux, que Dieu les a nommés Ansars (soutiens, auxiliaires) dans Son Livre (s9, v100,117).

En revanche, les opposants estimaient que les Qoreichites étaient plus dignes que les Ansars parce que ce sont eux qui avaient la charge de la prophétie. Le Califat appartient à ceux qui ont eu la charge de la prophétie. En plus, il ne faut pas oublier que le prophète ne mourut pas avant d’avoir désigné Abou Bakr comme remplaçant pour diriger les offices ; ce choix était fondamental car la Salat est le pilier de la religion. La discussion n’était pas terminée lorsque Abou Bakr arriva en compagnie de Omar ibn kathab, Abou ubaidah et d’un groupe de mohajiroun (émigrés). Ali resta en deuil chez lui avec certains membres de sa famille.

Thabit ibn Qais (khazrajite) intervint et dit : « ô Mohajiroun ! Vous savez tous comme nous que Dieu avait envoyé Mohamed comme messager qui resta à la Mecque malgré la persécution et le refus, Dieu lui enjoigna de s’abstenir de toute violence. Ensuite Il lui permit d’émigrer et de combattre. Nous étions ses auxiliaires et son asile. Puis vous êtes venus, et nous partageâmes avec vous nos biens. Nous sommes donc la vraie force de l’Islam, et c’est de nous que Dieu parle dans le Coran : « A ceux qui, avant eux, se sont installés dans le pays et dans la foi, qui aiment ceux qui émigrent vers eux, et ne ressentent dans leurs cœurs aucune envie pour ce qu’ils ont reçu et qui les préfèrent à eux- mêmes, même s’il y a pénurie chez eux » s59, v9 « Cela entre autres versets que nul ne peut nier. En outre, vous savez aussi toutes les bonnes paroles que le prophète a prononcées en notre honneur. Il quitte ici-bas et ne nomme personne clairement comme son successeur, mais enjoignit à sa communauté de tenir fermement le Livre de Dieu et la sunna (tradition) du prophète. Tant qu’on s’y tient, on ne pourra être unanime dans l’erreur. Nous sommes donc les auxiliaires de Dieu, et c’est à nous qu’appartient la direction du peuple. Qu’en pensez-vous ô Mohajiroun ? je vous salue ».

Abou Bakr se leva et lui répondit : « ô Thabit ! Ton peuple ansârite est exactement comme tu l’as décrit ; personne ne s’y oppose. Quant à nous Mohajiroun, Dieu a révélé à notre sujet : « Aux émigrés besogneux qui ont été expulsés de leurs demeures et de leurs biens, tandis qu’ils recherchaient la grâce et un agrément d’Allah, et qu’ils portaient secours à Dieu et à son messager ceux-là sont les véridiques. »s59, v8. et Allah vous a ordonnés de suivre les véridiques lorsqu’Il vous dit : « ô les croyants craignez Allah et soyez avec les véridiques ».s9, v119. En outre vous savez que les Arabes n’admettront cet amr (commandement) que pour les qoraichites, qui sont considérés comme le clan le plus éminent parmi les Arabes ; et ce sont également eux que vise la prière d’Abraham : « Nôtre Seigneur ! Envoie l’un des leurs comme messager parmi eux » s2, v129. Je choisis donc pour vous l’un de ces deux : Omar et Abu Ubaidah ; prêtez serment à n’importe lequel d’entre eux ». Thabit ibn Qais se leva pour demander aux musulmans s’ils étaient d’accord avec ce qu’a dit Abu Bakr ? « Oui nous sommes d’accord, répond l’assistance ».

Thabit : « Il ne vous fallait pas imputer à Abu Bakr la désobéissance au prophète ? N’avez-vous pas mentionné que le prophète l’avait choisi pour diriger la prière, ne faisant cela que pour le désigner comme successeur ? Or Abu Bakr désobéit au prophète en se retirant de l’élection du successeur du prophète au profit de Omar et de Abu Ubaidah. Comment pouvez-vous suivre ceux auxquels Abu Bakr avait été préféré par le prophète lui-même et choisi par lui » ? Les Mouhajiroun conclurent que, si le chef est choisi parmi eux, les ministres le seront parmi les Ansars et qu’ils ne décideraient rien sans consulter les Ansars et sans leur présence. Le Khazrajite al Hubâb ibn al Mundhir propose la désignation de deux émirs : « un émir de chez nous et un émir de chez eux ». Cette proposition fut rejetée par les Ansars eux-mêmes. On se rappela in extremis d’un hadith qui coupa court à toute discussion : « les dirigeants sont des Quraichites ».

3- L’élection de Abu Bakr

Abu Bakr, rappelant qu’il n’était pas candidat, proposa Omar ou Abu Ubaidah. Ces derniers refusèrent la proposition en affirmant que Abu Bakr était le meilleur des Mouhajiroun, le seul qui a été en compagnie du prophète dans la caverne (Coran s9 v40) et enfin qui avait été nommé par le prophète pour diriger les offices. Ils demandèrent à Abu Bakr d’étendre sa main pour qu’on puisse lui prêter serment. Bachir ibn Saad s’écria : « Je vous jure par Dieu ! Personne ne doit prêter ce serment à Abu Bakr avant moi ! » Et c’est ce qu’il fit. Quelques-uns s’opposèrent, mais la grande majorité de l’assistance y compris les Ansars, vint l’un après l’autre serrer la main d’Abu Bakr au titre du serment. Saad ibn Ubadah faisait partie du groupe des opposants. Ainsi vit le jour l’opposition au sein de l’Etat islamique. Ali et les Banû Hachim étaient en désaccord avec l’élection d’Abu Bakr. Ils estimaient que la succession revenait de droit à Ali. Celui-ci dit à Abu Bakr : « Vous l’avez emporté sur les Ansars en leur disant que Mohamed était des vôtres ; je retourne le même argument contre vous ; nous, les membres de la famille du prophète, sommes plus près de lui que quiconque ». Abu Bakr répondit qu’il ne savait pas que Ali lui contestait cet ‘‘amr’’ (pouvoir), sinon il ne l’aurait jamais accepté. Ce conflit s’aggrava lorsque Fatima, fille du prophète et épouse d’Ali se rendit chez Abu Bakr, pour lui réclamer en héritage la terre de fadak que son père possédait. Abu Bakr lui rappela une parole du prophète qui disait : « nous prophètes, nous ne laissons pas d’héritage. » Il l’assura qu’il prendrait en charge les dépenses de la famille du prophète.

Quelques jours après le serment de la Saqifa, la population de Médine se réunit à la mosquée et émit un vote de confiance en faveur d’Abu Bakr. Celui-ci prononça ensuite son discours d’investiture. Après les formules de louanges habituelles, il dit : « Peuple ! j’ai été choisi comme votre chef, bien que je ne sois pas le meilleur d’entre vous. Donc, si j’agis bien, aidez-moi, et si j’agis mal, corrigez-moi. En effet la véracité est la confiance, et le mensonge est l’abus de confiance. Or le faible parmi vous est fort à mes yeux, jusqu’à ce que j’obtienne pour lui son droit ; et le fort parmi vous est faible à mes yeux, jusqu’à ce que je lui arrache ce qui n’est pas son droit ; tout cela par la volonté de Dieu. Ecoutez ! il n’y a aucun peuple qui ne soit pas frappé d’humiliation s’il néglige de lutter pour la cause de Dieu et l’immoralité ne se répand pas au sein d’un peuple, sans que Dieu ne l’afflige d’une calamité générale. Obéissez-moi, tant que j’obéis à Dieu, et à son messager. Si je désobéis à Dieu et à Son messager, vous ne me devez aucune obéissance. Levez-vous pour la prière ; que Dieu vous fasse miséricorde » !

http://www.bismillah-debats.net/La-succession-du-Prophete.html

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Huit aliments bonne humeur

Aliment bonne humeur : les lentilles

Huit aliments bonne humeur
Très riches en magnésium et en vitamine B9, les lentilles sont un aliment de choix pour booster sa bonne humeur. Pourquoi ? Parce que le magnésium est un minéral qui favorise la relaxation et la vitamine B9 une substance indispensable à la synthèse des neuromédiateurs dans le cerveau.

Aliment bonne humeur : le poisson gras

Huit aliments bonne humeur
Saumon, sardine, maquereau : le poisson gras contient une source intéressante d’omégas 3, indispensables pour maintenir un taux élevé de sérotonine, cette hormone primordiale à notre bien-être.. En papillote, à la vapeur, au four : n’hésitez  donc pas à les mettre à vos menus. Au minimum 2 fois par semaine.

Aliment bonne humeur : les amandes

Huit aliments bonne humeur
Les amandes contiennent du tryptophane, un précurseur de sérotonine. Pour profiter des leurs vertus, pensez à en croquer une petite dizaine entières très régulièrement. Mais pas plus car elles sont aussi très caloriques !

Aliment bonne humeur : le chocolat noir

Huit aliments bonne humeur
Réputé pour ses vertus antistress, le chocolat noir est un aliment très riche en cacao et donc en magnésium, un minéral qui améliore l’équilibre nerveux et émotionnel. La consommation de 2 à 4 carrés par jour est donc parfaite.

Aliment bonne humeur : le sucre

Huit aliments bonne humeur
De plus en plus banni de nos assiettes, le sucre (en quantité raisonnable) est pourtant intéressant pour le moral. Pourquoi ? Parce qu’il augmente de façon rapide la sécrétion de sérotonine dans le cerveau. Voilà une bonne raison pour s’offrir une douceur de temps à autres.

Aliment bonne humeur : le lait

Un verre de lait tiède avant d’aller dormir et c’est un sommeil de bébé garanti ! Le lait contient du tryptophane, un acide aminé précurseur de la sérotonine. Il est aussi riche en calcium, un minéral important dans le bon fonctionnement du système nerveux.

Aliment bonne humeur : la banane

Huit aliments bonne humeur
Délicieuse et parfaite pour déborder d’énergie, la banane est aussi un fruit idéal pour garder le sourire. Elle contient une source intéressante de vitamine B6, de magnésium et de dopamine, des substances impliquées dans le maintien de l’humeur. A consommer coupée en rondelles au petit déjeuner, accompagnée pourquoi pas de céréales et d’une touche de lait.

Aliment bonne humeur : Le sélénium

Huit aliments bonne humeur
Antioxydant idéal pour lutter contre le stress oxydatif (responsable de la déprime saisonnière), le sélénium aide à garder un moral au beau fixe. Alors en cas de coup de blues, renforcez votre consommation de fruits de mer, abats, noix et  noisettes : ils contiennent tous des quantités intéressantes de sélénium !
http://www.maxi-mag.fr/simplifiez-vous-la-vie-huit-aliments-bonne-humeur_4_a13270_p8.php

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Solutions de l’Islam aux maux de la modernité

Les aspects négatifs de la modernité consistent dans la corruption, la perversion des moeurs, la pollution et la destruction de l’environnement, la fabrication des armes chimiques, atomiques et bactériologiques, les manipulations génétiques, les stupéfiants et les produits toxiques, la criminalité, les guerres, la famine, les maladies etc. Bien que certains fléaux tels l’homosexualité, la pauvreté ou les guerres ne soient pas spécifiques à notre époque, étant donné qu’ils existent depuis des temps immémoriaux, il n’en reste pas moins qu’ils se sont intensifiés et aggravés du fait de la modernité.

QUELLE EST LA SOLUTION ?

a solution réside incontestablement dans le retour à Dieu. Comment et par quelle voie doit s’effectuer le retour à Dieu ? Ce n’est pas par n’importe quelle voie, bien entendu. Dieu lui-même nous met en garde contre la pluralité d’impasses et de fausses voies :

« Et voilà mon chemin dans toute sa droiture, suivez-le donc ! et ne suivez pas les chemins qui vous éloignent de sa voie. Voilà ce qu’Il vous enjoint ainsi atteindrez-vous la piété  » 6.153

Il est certain que la volonté de retour à Dieu est une disposition innée qui subsiste malgré les péripéties de la vie chez la plupart des hommes. Cependant Satan peut exploiter à son profit cette volonté. Il peut placer les hommes sur des fausses voies tout en leur faisant croire le contraire. Il en est ainsi des multitudes de religions et de croyances. Ceux qui adorent les vaches, les esprits, les idolâtres, les mages, les naturistes, les animistes, les adorateurs du feu et des objets ne croient pas moins vouer leur culte à Dieu. Alors qu’en réalité, ils sont égarés. C’est pourquoi Dieu insiste sur le Coran qu’Il qualifie de corde de sauvetage, de direction, de guide, de lumière, de remède, de miséricorde... Nous verrons dans les versets qui suivent comment Dieu s’exclame, trouvant insensé que le Coran ne soit pas reconnu par les uns ni adopté comme code de conduite par les autres alors que les morts auraient réagi, la terre et les montagnes se seraient affaissées, s’ils avaient reçu pareil message : « Si nous avions fait descendre le Coran sur une montagne, tu l’aurais vu s’humilier et se fendre par crainte d’Allah. Et ces paraboles nous les citons aux gens afin qu’ils réfléchissent.  » 59.21

« S’il y avait un Coran à mettre les montagnes en marche, à fendre la terre ou à faire parler les morts (ce serait celui-ci) » 13.31

« En quelle parole vont-ils croire après cela ? » 7.185 ; 77.50

« Voici les versets de Dieu que nous te communiquons en toute vérité. Alors dans quelle parole et en quels signes croiront-ils donc ?  » 45.6

Le Coran étant le droit chemin qui mène à Dieu, par conséquent lui seul peut sauver l’humanité. Cependant, étant donné que le Coran est indissociable de l’Islam, du fait qu’il en constitue le fondement essentiel, il ne reste donc que l’Islam comme canot de sauvetage. Il est logique de s’interroger pourquoi ai-je commencé par le Coran et non par l’Islam ? Parce que le rejet ou la méconnaissance du Coran est plus grave que l’insoumission à Dieu, c’est-à-dire plus grave que le rejet de l’Islam dans son ensemble..

De plus, j’ai mis l’accent sur le Coran parce que non seulement l’Islam repose en premier sur le Coran mais il implique aussi et avant tout l’application du Coran, car il ne sert à rien de se prétendre musulman sans mettre en pratique les enseignements du Coran sur tous les plans. Le Coran renvoie à la Sunna qui clarifie le sens de ses versets.

Or, comme il existe une relation extrêmement étroite entre le Coran et le Hadith, il suffit de parler du premier pour comprendre qu’il doit être nécessairement tenu compte du second. L’un ne vas pas sans l’autre. La solution pratique consiste dans l’adoption de l’Islam comme mode de vie (foi et loi) et non pas comme simple religion au sens cultuel du terme. Le drame des musulmans est qu’ils ont abandonné leur religion et emprunté à l’occident sa culture immorale et destructrice. Le modèle de laïcité est des plus suicidaires pour le monde musulman. Cette idée qui tend à privatiser la religion, à l’exclure de la vie publique, n’est rien d’autre qu’une nouvelle forme d’incroyance et d’athéisme, contraire aux principes, aux valeurs et aux objectifs de l’Islam. La laïcité est une manière de congédier Dieu, de le dessaisir des affaires d’ici-bas. Comme pour lui dire : Retire-Toi ! Tu es incompétent. Alors que l’Islam, c’est la soumission à Dieu, à sa volonté, à ses lois, à son message, à ses orientations. Ce n’est pas en vain que Dieu a envoyé un message. Celui-ci a pour objectif de guider les hommes, d’éclairer leur chemin, de leur indiquer la voie du bonheur et du salut ici-bas et dans la vie future. Le fait que ce message contient des lois, des commandements et des directives, c’est pour qu’ils soient observés et appliqués. Dans les enseignements du message, il y a la solution de nos problèmes et le remède à nos maux, outre la miséricorde et la bénédiction de Dieu consécutives au respect de Sa parole et de Ses commandements. Or, non seulement la laïcité prive l’homme de ces avantages matériels et spirituels, mais elle l’expose encore au danger de la colère de Dieu :

« Et ceux qui traitent de mensonge Nos enseignements, le châtiment les touchera à cause de leur perversité.  » 6.49

« Si les habitants des cités avaient cru, s’ils avaient craint Dieu, nous leur aurions certainement accordé les bénédictions du ciel et de la terre. Mais ils ont démenti. Nous les avons emportés à cause de leurs mauvaises actions.  » 7.96

« Et s’ils se maintenaient sur la voie droite, nous les aurions abreuvé certes d’une eau abondante.  » 72.16

Le désordre qui règne actuellement est beaucoup plus grave que le désordre qui a causé la perte des anciennes civilisations. « Ne parcourent-ils pas la terre et ne voient-ils pas quelle a été la fin de ceux qui vécurent avant eux et qui les surpassaient en force. Ceux-ci avaient labouré la terre et l’avaient peuplée plus qu’ils ne l’ont fait eux-mêmes.  » 30.9

« Ne voient-ils donc pas combien Nous avons anéanti avant eux de générations que Nous avons pourtant fixées sur la terre avec des moyens que Nous ne permîment point à vous-mêmes ? Nous avons abondamment ouvert sur elles les vannes du ciel et nous fîmes couler sous leurs pieds des rivières. Mais Nous les avons anéanties ensuite à cause de leurs péchés et Nous avons fait naître, après elles, d’autres générations.  » 6.6

« N’ont-ils donc jamais parcouru la terre pour voir quel a été le sort de ceux qui étaientavant eux ? Ceux-ci étaient cependant plus nombreux qu’eux et bien plus forts. Ils avaient laissé sur terre beaucoup plus de vestiges. Tout ce qu’ils accumulaient ne leur servit à rien. Lorsque leurs messagers leurs apportaient des preuves évidentes, ils se réjouissaient de la science qu’ils détenaient ; mais ils furent frappés de toutes parts par ce dont ils se moquaient.  » 40.82-83 ; 6.10 ; 16.30.

« Nous avons puni chacun à cause de son péché. Il en est parmi eux à qui Nous avons envoyé un ouragan , il en est parmi eux que le cri a saisi. Il en est parmi eux que Nous avons fait engloutir par la terre. Il en est parmi eux que Nous avons noyés. Il ne convenait pas à Dieu de les léser, mais ils se sont fait tort à eux- mêmes.  » 29.40

Quand le péché s’ajoute à l’incroyance, à la rébellion, il faut s’attendre à des cataclysmes marquant la fin de la civilisation. L’Egypte pharaonique a périclité pour les mêmes causes. L’empire Romain a subi le même sort. La Grèce a chuté à cause du péché et du désordre. Aujourd’hui le désordre a atteint son point culminant.

D’où les terribles calamités qui frappent sans répit telles que les épidémies, les tremblements de terre, les inondations, les coulées de boue et de lave, les vents dévastateurs, la sécheresse, les incendies, les catastrophes aériennes et ferroviaires, etc. La civilisation occidentale a perdu l’équilibre ; il y a longtemps qu’elle vacille, menaçant de s’écrouler comme un château de cartes sous nos yeux. Après avoir dévoré l’homme et détruit la nature, cette civilisation est en train de se détruire elle-même.

L’humanité a donc besoin d’une alternative, d’un port de salut, d’un sauveur. L’Islam est tout cela. Il est capable de répondre aux attentes de l’humanité, à condition que les musulmans soient à la hauteur de cette mission salvatrice. Porteurs du message, leur responsabilité est plus que jamais engagée. Ils ont tous les atouts pour réussir à condition de savoir les utiliser et Dieu les aidera certainement. Ils doivent d’ores et déjà se préparer pour assurer la relève.

A la question de savoir comment l’Islam peut-il sauver l’humanité, je peux répondre brièvement ainsi qu’il suit : L’Islam connaît parfaitement le mal et en possède le remède. Tous les diagnostics qui ont été faits jusqu’à maintenant désignent les mêmes symptômes, à savoir : crise morale ou de conscience pour les uns, perte de repères prospectifs pour les autres, dérive matérialiste selon d’autres, bref, il s’agit évidemment d’une maladie de l’âme. C’est la maladie de l’incertitude, caractérisée par l’angoisse et la peur de l’inconnu, de l’avenir. L’Islam peut guérir cette maladie en renforçant les liens entre l’homme et son Créateur.

Il rétablit l’équilibre entre les besoins de l’âme et ceux du corps, entre les exigences de la vie présente et celles de la vie future, entre les intérêts de l’individu et ceux de la société. Il est capable de rétablir la paix et l’harmonie dans les relations humaines, selon la règle : ni exagération, ni négligence ; ni agresseur, ni agressé ; ni privations, ni excès. D’entrée de jeu, l’Islam s’attachera à ouvrir les portes du bien et à fermer -sans brutalité- les portes du mal. L’Islam peut sauver l’humanité parce que les voies qui ont conduit l’Occident à la ruine sont des sens interdits en Islam.

Parce qu’il évite autant que possible l’injustice, sachant que c’est un péché mortel ; parce qu’il agit selon la volonté du Créateur sans négliger celle des créatures ; parce qu’il doit servir à la fois Dieu et les hommes, respecter les Droits de l’homme et les Droits de Dieu ; parce que son programme et son but consistent à faire évoluer les sociétés humaines vers la perfection ; il agit de manière à supprimer les inégalités, à créer les conditions d’une gestion saine et transparente, d’une administration équitable où il y aura moins de corruption et davantage de justice et de bon sens dans l’emploi et la répartition des richesses. Il fait promouvoir les valeurs morales de manière à enrayer l’égoïsme, à faire prévaloir les vertus de solidarité, de fraternité, de bonté et d’humanisme au sein de la société.

Il mettra tout en oeuvre pour l’élimination de l’ignorance et de la pauvreté, fléaux que l’Islam considère comme facteurs de désordre, de criminalité et d’incroyance. L’Islam contient des enseignements, des règles et des préceptes capables de résoudre les problèmes non seulement des musulmans, mais de l’humanité entière. De nombreux penseurs contemporains ont reconnu cette réalité en le proposant comme ‘‘remède efficace’’ à tous les maux qui affectent les sociétés humaines. L’administration de ce remède exige cependant une autorité, des institutions et des hommes, faute de quoi, il ne produit aucun effet, il demeure inopérant.

Autrement dit, l’Islam sans pouvoir politique, sans institutions, ne pourra jouer aucun rôle ; ses enseignements et ses règles restent lettre morte. D’où l’impérieuse nécessité d’écarter la laïcité non seulement du champ politique, mais encore de toutes les institutions publiques et surtout des établissements d’éducation et d’enseignement. L’Islam est un système complet de vie, destiné à régir les rapports des individus et des groupes dans tous les domaines de la vie : politique ; social, économique, juridique, etc. Or, la laïcité a enfermé ce système dans les poitrines après avoir indûment occupé son domaine d’action. Tel un pyromane qui a mis le feu et empêche les pompiers de l’éteindre. Il en résulte que la première tâche des musulmans consiste à déséculariser, délaïciser le pouvoir politique afin de le rendre à l’Islam. C’est dans ces conditions seulement qu’il pourra jouer son rôle de sauveteur ; C’est dans les mêmes conditions également que doit se concrétiser cette promesse de Dieu dans le Coran :

« Allah a promis à ceux d’entre vous qui ont cru et accompli des bonnes oeuvres qu’Il leur donnera la succession sur terre comme Il l’a donnée à ceux qui les ont précédés. Il donnerait force et suprématie à leur religion qu’Il a agréée pour eux. Il changerait leur peur en sécurité. Ils M’adoreront et ne M’associeront rien  » 24.55

http://www.bismillah-debats.net/Islam-Modernite-4-Solutions-de-l.html

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Le radin a t-il moins de matière grise ?

D’après des chercheurs de l’Université de Zurich, le lien entre l’activité cérébrale et la générosité serait établi. Leur étude a été menée sur un groupe de personnes, qui devait partager de l’argent avec des inconnus. Pendant cet échange, les chercheurs suisses mesuraient alors l’activité cérébrale et le volume de matière grise.

  • Moins de matière grise chez les radins

D’après cette étude, chez une personne peu généreuse, la région du cerveau située derrière l’oreille (lobes pariétal et temporal), était très active dès le partage de petites sommes d’argent. Quant à la personne plus généreuse, cette région du cerveau ne s’est mise en action qu’après le partage de sommes plus importantes. Plus étonnant, la générosité serait en lien avec le fait qu’une personne ai plus ou moins de matière grise.

L’étude a en effet révélée que les personnes avares avaient moins de matière grise que les autres, plus généreuses. La matière grise se trouve à la périphérie du cerveau et forme le cortex cérébral, où sont traitées les informations. La substance grise de notre cerveau contient nos fameux neurones, d’où l’expression « faire fonctionner sa matière grise. »

Que les radins se rassurent ! Les chercheurs concluent cependant l’étude en disant qu’ « il ne faut en aucun cas conclure qu’un caractère altruiste n’a qu’une origine biologique. »

  • L’importance de donner en Islam

Se montrer généreux n’est pas seulement d’actualité que pendant le mois de Ramadan. Allah, exalté soit-Il, dit: « Donne donc au proche parent son dû, ainsi qu’au pauvre, et au voyageur en détresse. Cela est meilleur pour ceux qui recherchent la face d’Allah (Sa satisfaction) » Sourate 30, verset 38, et un peu plus loin dans la sourate, à propos de ceux qui se montrent généreux: « Ceux-là verront leurs récompenses multipliées » Sourate 30, verset 39.

De nombreux versets et ahadith témoignent de l’importance de la générosité en Islam. Ali ibn Abi Talib, qu’Allah l’agrée, disait: « N’aie pas honte de donner peu, ne rien donner est encore pire. »

http://muzulmans.fr/articles/decrypter-lactualite/le-radin-a-t-il-moins-de-matiere-grise

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Les Pyramides entre Science et Coran

“Ecoutez Noblesse! En dehors de moi,  je ne connais aucun autre dieu pour vous ! Et toi Hâman, allume pour moi (le feu) sur

l’argile,et érige pour moi un haut palais ; je pourrai peut être accéder au Dieu de Moïse…“ Al-Kassas S28-V38
Commençons d’abord par présenter une traduction adaptée d’un article que le Dr Abdulaziz A.Bin Muammar nous a gracieusement communiqué sur notre site.

La réalité des pyramides, un nouveau miracle Coranique :



Les pyramides que nous connaissons aujourd’hui sont  classées parmi les sept merveilles du monde !
Mais est-ce que les savants ont résolu l’énigme de leur construction? Il y en a qui croient qu’elles avaient été construites par des djinns ? Peut on y croire?
Ces mythes étaient pourtant répandus et ont duré plusieurs siècles. Mais la nouvelle découverte faite par des savants Français  et Américains,va lever cette énigme à jamais et changer complètement le point de vue des savants modernes,
Jusque là, les Egyptologues modernes croyaient que les Pharaons avaient taillé des pierres et les avaient empilées pour bâtir ces énormes édifices. Mais des questions pertinentes restaient sans réponse:
1-  Pourquoi  toutes ces pierres sont-elles identiques et si bien assemble que l’on ne peut même pas glisser un cheveu entre deux pierres voisines ?
2-  D’où provenaient les matériaux qui ont servi à leur confection ?
3-  Quels sont les outils utilisés pour les tailler avec une telle finesse ?
Aucune de ces questions n’avait trouvé une réponse satisfaisante ; et ceci nous permet d’affirmer que les savants qui soutenaient que ces blocs avaient été taillés dans le rocher étaient dans l’erreur.

Nouvelles réalité scientifique
Le professeur Joseph  DAVIDOVITS Directeur   de l’institut Géo polymère France, propose une nouvelle théorie qui soutient que les blocs composant les pyramides auraient été fabriqués à partir de l’argile,
Celle-ci, additionnée à d’autres matériaux aurait été extraite dans la vallée du Nil, Le mélange aurait été placé dans des moules en pierre, et aurait été chauffé à une température élevée, Cette cuisson aurait causé une interaction entre les composts du mélange.  Les blocs ainsi fabriqués ressemblent à des pierres volcaniques datant de quelques millions d’années.
Pr DAVIDOVITS fournit des arguments prouvant que ces agglomérés sont essentiellement  composés   de chaux, ,d’argile et d’eau, La technique Nano utilisée pour l’analyse des composantes, a révélé  la présence de quantités d’eau qu’on ne trouve jamais dans les pierres naturelles .
D’autre part, la cohésion interne de ces pierres prouve qu’elles ne sont pas naturelles et qu’elles ne peuvent pas avoir été extraites du sol et taillées de la sorte.   Il semble donc plus réaliste d’admettre qu’elles auraient été  faites d’argile moulée, ce qui leur a donné une forme régulière et des dimensions identiques.
Les examens au microscope électronique ont révélé la présence de cristaux de quartz  comme conséquence de la cuisson de l’argile ; on a détecté également la présence du bioxyde de silicone.  Ceci démontre encore une fois que les pierres des pyramides ne sont pas naturelles .
Elles seraient plutôt le  résultat d’une réaction chimique entre l’argile, la chaux et l’eau à haute température.
Le Professeur  DAVIDOVITS, a publié en  2OO2 un ouvrage titré : «  Ils ont bâti les pyramides ». Ce livre a levé de multiples énigmes et répondu à de multiples questions concernant la construction des pyramides. Il a convaincu de nombreux savants à travers le monde.
Certains chercheurs confirment qu’on utilisait jadis  des fours de cuisson pour la fabrication des céramiques des statuts et des outils. L’argile était mélangée à des oxydes métalliques et malaxée à l’eau, puis  cuite à haute température. Elle durcissait comme de la pierre. Plusieurs civilisations avaient utilisé l’argile cuite pour fabriquer les pierres de construction, les statuts et les ustensiles.

D’autres recherches et des résultats identiques
D’autres examens aux rayons X ont révélé la présence de bulles d’air dans les échantillons, ces bulles pouvaient provenir de l’air lors de la coulée de l’argile ou de l’évaporation de l’eau contenue dans le mortier au moment de la cuisson, De telles bulles n’existent pas dans les pierres naturelles courantes. Ceci est un argument supplémentaire pour dire que les pierres qui avaient servi à la construction des pyramides étaient artificielles ; elles avaient été fabriquées avec de l’argile calcique, et elles ne pouvaient avoir plus de 4700 années d’existence.
Le professeur Italien Mario Collepardi ,qui a étudié la géométrie  des pyramides ,  affirme que les ouvriers des Pharaons ramenaient de la terre calcique, disponible en grande quantité dans la région , et la mélangeaient avec une terre banale ; ils malaxaient le tout avec l’eau du Nil.  Ensuite, ils versaient le mortier dans un moule qu’ils chauffaient à environ 900 °C, Cette cuisson transformait l’argile en une pierre très dure et lui donnant l’aspect d’une pierre naturelle.
Cette opération ne demandait pas trop d’effort, puisque les ouvriers ne portaient ni ne soulevaient aucun  rocher lourd comme on le croyait au cours des dernières décennies, Tout ce qu’il faisaient c’était de confectionner des moules, de transporter les matériaux et l’eau dans de petits récipients, de malaxer le mortier et de remplir les moules montés sur chantier. Ce qui les attardait le plus, c’était la cuisson. Ils devaient attendre la bonne  prise du l’aggloméré. Grâce à ce procédé, ils s’assuraient qu’il n’y avait pas de vide entre  les blocs, Ils assuraient également à l’édifice une résistance à l’érosion pendant  des millénaires.



Vue aérienne de la pyramide « Khoufou le grand » ; elle mesure 146m de haut. Elle a nécessité des millions de pierres de plusieurs tonnes chacune ; elle date de plus de 4500 ans.





Deux pierres voisines d’une pyramide où on remarque une petite  concavité jumelée à une convexité (au droit de la flèche) , cette géométrie prouve encore une fois que les pierres d’argile avaient été coulées dans un moule en pierre, cette géométrie a été réalisée à la coulée, et ne résulté pas d’une érosion ou d’une dégradation de la pierre.


La réalité scientifique correspond à la réalité Coranique:
Cette technique de construction des pyramides à partir de l’argile de la vallée du Nil, est restée inconnue jusqu’en 1979, lorsque le Professeur Joseph Davidovits a annoncé cette nouvelle thèse. Et ce n’est qu’en 2006 que d’autres savants ont  confirmé la validité de cette théorie a l’aide d’analyses en laboratoire, Il est évident qu’elle était donc inconnue à l’époque de la révélation du Coran. Ce dernier l’avait dévoilé ce secret il y a 14 siècles.
Ceci prouve qu’il est parole d’Allah !



Une des 3 pyramides de Gizeh dont le sommet est recouvert de pierres d’argile de même nature que celui des pierres qui avaient servi à sa construction.


Que dit le Coran ?

Dans la suite de son article, le Dr Abdulaziz A.Bin Muammar donne son interprétation des Versets coraniques en relation avec cette grande découverte archéologique.
Pour cette partie, nous préférons comme de coutume, donner celle de notre site avec nos propres commentaires.

Commentaires du site
Dans le Verset 137 du Chapitre Al-Araf 7 le Coran qualifie les constructions de Pharaon de « Arich » c'est-à-dire d’édifices hauts, avec des toits de verdure ou de vigne grimpante.  Certains interprètes comme le Dr Abdulaziz A.Bin Muammar sont allés jusqu’à déceler dans cette expression, une technique de construction en montée spirale, comme la vigne ?! Ils parlent même de rails en bois, grimpant en hélicoïde autour de l’édifice.
En ce qui nous concerne, nous pensons que le terme « Arich » ou « Yârouchoun », fait plus allusion tel que spécifié dans le dictionnaire arabe à des constructions en bois pour supporter la verdure, la vigne ou toute plante ombrageuse. Le Coran y fait souvent allusion et nous ne prendrons comme exemple que le Verset 68 de la Sourate 16 et le 24 de la Sourate Addoukhan 44.
Il est d’ailleurs  très probable, selon les Egyptologue que la construction des pyramides et autres hauts édifices égyptiens se soit servi de rampes en bois ou d’autre moyens, sur les quels nous reviendrons bientôt.
Mais nous restons intimement convaincus que le Verset 137 de la Sourate 7 n’a aucune relation avec les rampes de construction des pyramides, à supposer qu’elles aient effectivement existé. Nous ne voyons d’ailleurs même pas pourquoi elles auraient fait l’objet d’attention particulière du Coran, comme symbole de la civilisation démolie par ordre divin ? C’est un moyen de construction qui disparaît à la fin du chantier. Les toits de vigne, les jardins luxuriants les allées ombrages des palais,et les grandes constructions  étaient par contre,  les symboles de la civilisation des Pharaons.
Nous profitons de cette occasion pour lancer encore une fois, un appel aux savants musulmans, et leur demander d’éviter des interprétations hâtives et non certifiées.
Toutefois, il nous parait intéressant de s’arrêter un petit instant sur le Verset précité mais sur la partie concernant la destruction des vestiges pharaoniens :
Que dit au juste ce Verset 137 de la Sourate 7 ?
 « … Et nous avons démoli tout ce que faisait Pharaon et son peuple et tout ce qu’ils érigeaient comme édifices verdoyants ».
Ainsi, de toutes les civilisations anciennes, celle qui a bâti le plus et qui été  la plus effacée de la mémoire de l’histoire, c’est bien la civilisation de l’Egypte des Pharaons. Il ne reste que ce que Dieu a bien voulu conserver pour exemple et leçon aux tyrans de ce monde.
L’Egypte des Pharaons a perdu jusqu’à son écriture ; et il a fallu l’ère de la science moderne pour déchiffrer l’hiéroglyphe et déterrer ce que la démolition divine a enfoui sous les sables. Le Coran d’il y a 14 siècles et la science moderne remettent en mémoire les vestiges que nous découvrons. Un véritable miracle du Coran et de la science, n’est-ce pas ?
En ce qui concerne les matériaux de construction et la cuisson de l’argile, la théorie du Pr Joseph Davidovits explique parfaitement les Versets suivants :
 Ghafir S40-V36 : « Pharaon dit: Hâman! Construis- moi un haut palais afin que j’accède aux voies céleste; je pourrai peut être découvrir le Dieu de Moïse… »
Al-Kassas S28-V38: « Ecoutez noblesse! En dehors de moi,  je ne connais aucun autre dieu pour vous ! Et toi Hâman, allume pour moi (le feu) sur l’argile,et érige pour moi un haut palais ; je pourrai peut être accéder au Dieu de Moïse… »
Dans le premier Verset, Pharaon donne l’ordre à son chef des chantiers de construction, de bâtir pour lui un haut palais. La bâtisse devait être si haute que Pharaon pourrait atteindre les voies célestes et accéder au Dieu de Moïse.
Le Coran suggère donc que Pharaon construisait des palais et des édifices très hauts.
C’est dans le second Verset que le Coran nous donne des précisions sur la technique de construction :
a-    Le matériau de base était de l’argile
b-    Cette argile étai cuite
c-    Le feu était allumé directement sur l’argile ou sur le moule
d-    L’argile cuite servait à la construction des édifices, tels que les pyramides.
Le mode de transport n’était donc pas indiqué. L’argile pouvait être  transportée en hauteur ou sur le plat, et ce n’est qu’une fois mélangée aux autres adjuvants et à l’eau, qu’elle était  versée dans des moules. Une fois l’argile bien malaxée, le feu était allumé pour sa cuisson.
Quand au transport en hauteur, il pouvait très bien se faire dans des récipients à bras d’homme, par des bêtes de somme, par des chars sur des rails ou par un système de récipients tirés par corde, comme l’on fait encore de nos jours sur les chantiers de construction traditionnels.
Les preuves scientifiques énumérées ci-dessus pour le coulage dans des moules et la cuisson pouvaient aussi bien se faire en hauteur.
Le plus important est que la découverte du Pr Davidovits et de ses collègues, rejoint parfaitement le Coran autant pour le matériau de construction que pour sa polymérisation.
Pour illustrer ce que nous disons, et après autorisation du Pr. Joseph Davidovits, nous publions ci-dessous le courrier échangé à ce sujet.
Nous conseillons vivement au lecteur de visiter le site du Pr Joseph Davidovits ; il y trouvera des compléments d’information très utiles.
http://www.davidovits.info/8/le-scientifique-et-les-textes-sacres

Nous donnons ci-dessous, uniquement à titre documentaire, une maquette représentant l’hypothétique échafaudage hélicoïdal qui aurait servi à la construction des pyramides et au transport des matériaux.



Maquette représentant un mode de transport hypothétique par rampe hélicoïdale.




Une Photo du scientifique américain Michel Barsoum qui en 2006 a confimé la théorie u Prof. Joseph Davidovitsau pied de la pyramide Rhomboidale de Sneferou. Admirez la ressemblance des pierres.On penserait à des parpaings de nos jours


Par Dr Abdulaziz A.Bin Muammar
Traduit par : Açya Thamina
Revu et adapté par : Mohammed Messe

Référence :
La réalité des pyramides, un nouveau miracle Coranique par Dr Abdulaziz A.Bin Muammar
http://www.davidovits.info/8/le-scientifique-et-les-textes-sacres par le Professeur Joseph Davi



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