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Pourquoi a-t-on le hoquet ?

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Le hoquet est un phénomène réflexe qui intéresse l’appareil respiratoire. Il peut être « aigu » (transitoire) ou « persistant » et « réfractaire ».
Les contractions intéressent les muscles impliqués lors de la respiration : le « diaphragme » (le muscle de la respiration qui sépare le thorax de l’abdomen) et les muscles entre les côtes (muscles « intercostaux »).
Ces contractions sont associées à une fermeture de la « glotte », le clapet qui sépare les voies respiratoires des voies digestives à la base de la gorge.
Un « arc réflexe » (ou système neurologique d’asservissement) qui comprend le « nerf phrénique » permet la synchronisation du fonctionnement de ces différentes structures.

Qu'est-ce que le hoquet ?

Le hoquet est un phénomène réflexe dû à des contractions involontaires, spasmodiques et répétées du « diaphragme » (le muscle qui ferme le thorax en bas et le sépare de l’abdomen) et des muscles intercostaux, associées à une fermeture dans le même temps de la « glotte » à la base de la gorge, qui freine donc l’arrivée de l’air et produit les sons caractéristiques (le « hic »). Il peut être aigu ou chronique.

Pourquoi le hoquet


Le hoquet habituel est généralement aigu, banal, transitoire et inoffensif. Il est dans ce cas le plus souvent lié à des problèmes digestifs. Mais s’il se prolonge ou récidive trop souvent, une consultation médicale peut être nécessaire afin de soulager le malade et d’en trouver la cause.
Dans le hoquet chronique, le problème siège généralement sur « l’arc réflexe » du muscle diaphragmatique (le système d’auto-contrôle) qui comprend les voies nerveuses sensitives « centripètes » (nerf phrénique et nerf récurrent), le centre de commande à la base du cerveau et les voies motrices « centrifuges » (nerf pneumogastrique et nerf phrénique). Dans certaines circonstances, le hoquet peut témoigner d’une irritation du muscle diaphragmatique par une affection touchant un organe de l’abdomen à son contact.

Pourquoi a-t-on un hoquet de temps en temps ?

Le hoquet transitoire (ou « aigu ») est la forme la plus fréquente : c’est celle dont la plupart des personnes peuvent être atteintes à un moment ou à un autre de leur vie.
C’est un dérèglement bénin, qui ne nécessite pas de traitement particulier. L’épisode dure en général quelques minutes et ne persiste jamais plus de 48 heures. Il cesse le plus souvent spontanément.
Bien qu’on ignore la plupart du temps sa cause, le hoquet aigu peut être lié à un excès de nourriture ou d'alcool, à la consommation de boissons gazeuses, au stress ou encore à une irritation de l'œsophage.
Il s'observe à tout âge, mais les bébés sont davantage sujets au hoquet que les adultes. Le hoquet survient alors souvent après la tétée et disparaît au bout de quelques minutes, souvent après un rot. Si le hoquet persiste, il est possible de faire boire une petite quantité d’eau au nourrisson.

A quoi est dû un hoquet qui dure ou qui récidive ?

Dans certains cas très rares, le hoquet peut durer plus de 48 heures ou bien récidiver régulièrement. Il va alors perturber l'alimentation, le sommeil et la qualité de vie des personnes qui en souffrent.
Ce type de hoquet peut être associé à une maladie qu’il convient alors de rechercher et qui va concerner dans 3 cas sur 4 une maladie de l’œsophage (irritation de l'œsophage en rapport avec un reflux gastro-œsophagien, hernie hiatale, œsophagite, voire ulcère). C’est pourquoi une endoscopie œso-gastro-duodénale est le plus souvent contributive. Le traitement du reflux avec des médicaments anti-acides associés à un une perte de poids confirmera l’origine de ce hoquet si ce traitement aboutit à sa disparition.
La suite de l’enquête sur l’origine du hoquet s’intéressera au reste de l’arc réflexe évoqué dans la question sur la définition du hoquet. Le médecin s’attachera à rechercher une maladie du pharynx ou du larynx, une maladie neurologique (méningite ou tumeur cérébrale), un problème intra-thoracique (infection, atteinte cardiaque ou pulmonaire, ganglions, maladie de l’aorte) ou intra-abdominal (tumeur du foie, de l’estomac ou du pancréas).
Mais un hoquet peut être lié à une anesthésie récente ou à un trouble « métabolique » concernant le sucre (hypo- ou hyperglycémie), l’équilibre en sel (hyponatrémie ou en calcium (hypocalcémie). Parfois aucune cause n’est retrouvée et un facteur psychologique est évoqué.

Comment prévenir la récidive du hoquet banal ?

Chez l’adulte, la prévention du hoquet repose sur un aménagement des repas en évitant les repas trop copieux, trop épicés ou trop rapidement avalés. Les boissons gazeuses peuvent être consommées, mais pas trop rapidement et pas en trop grandes quantités. En cas de reflux gastro-œsophagien ou de sensation de douleur en arrière du sternum, en particulier en position couchée, il faut penser à une irritation de l'œsophage (« œsophagite ») qui peut être à l’origine d’un hoquet.
Chez le nourrisson, la prévention du hoquet repose sur une tétée plus lente (attention à l’ouverture de la tétine), en évitant qu’il avale trop d’air et en veillant à lui faire faire un rot ensuite.
En cas de pleurs de l’enfant, ou de régurgitation, après le repas, il faut également penser à un reflux gastro-œsophagien qui peut être associé à une œsophagite.

Que faire en cas de hoquet aigu ?

Différents « remèdes de grand-mère » ont été proposés avec assez peu d’efficacité. Il est possible d’essayer de réaliser une stimulation vagale à travers l’ingestion rapide d’un verre d’eau froide ou en essayant d’avaler du pain…
En cas de persistance plus de quelques minutes, il est possible d’essayer de stimuler le centre cérébral impliqué dans le hoquet en augmentant la quantité de gaz carbonique dans le sang (« hypercapnie »), en effet, le hoquet est inhibé par l’hypercapnie.
Cette hypercapnie est obtenue en réalisant une série d’apnées prolongées (retenir plusieurs fois sa respiration) ou en respirant profondément et rapidement une dizaine de fois dans un sac en papier (pour les enfants, cette manœuvre doit être faite sous surveillance.

Que faire en cas de hoquet chronique ?

Si le hoquet dure depuis plus de 48 heures ou revient régulièrement, il est nécessaire de consulter le médecin traitant car le hoquet chronique peut être le signe d’une maladie qui sera le plus souvent curable.
Après un interrogatoire sur le hoquet, les signes associés et en particulier les signes de reflux du contenu gastrique acide de l’estomac dans l’œsophage (ou reflux gastro-œsophagien) : douleur ascendante en arrière du sternum avec éventuellement goût acide dans la gorge, et sur les traitements pris, le médecin pratiquera un examen clinique et demandera des examens complémentaires.
Une endoscopie œsogastroduodénale (ou « fibroscopie ») sera le plus souvent demandée à la recherche d’un reflux gastro-œsophagien ou d’une irritation de l’œsophage.
Cette endoscopie peut être associée à une « manométrie œsophagienne » : il s’agit d’une mesure de la pression dans l’œsophage pendant 30 à 45 minutes, grâce à une sonde équipée d’un capteur. Cette technique permet d’enregistrer les contractions et les relâchements de l’œsophage et de sa partie basse, le « cardia », pour vérifier que celui-ci marche normalement et empêche le reflux du contenu de l’estomac dans l’œsophage.
Un autre examen qui peut être nécessaire si l’endoscopie est normale est une « pH-métrie œsophagienne » : après une anesthésie locale, on introduit dans le nez du patient une sonde munie d’une électrode, qui est placée en bas de l’œsophage. Elle enregistre les variations du pH (mesure du caractère acide ou basique) à cet endroit, sur 18 à 24 heures. Le pH du bas œsophage, normalement neutre, est acide lorsque du liquide gastrique remonte dans l’œsophage à cause d’un reflux et une insuffisance du cardia.
Différents médicaments sont susceptibles de soulager le malade en attendant les résultats de l’exploration de l’œsophage et des autres anomalies.
Si ces examens permettent d’authentifier la réalité d’une affection de l’œsophage, le traitement du reflux permettra de faire disparaître le hoquet. Il s’agira essentiellement de médicaments anti-acides et anti-ulcéreux, associés éventuellement à un régime amaigrissant. Une surélévation de la tête du lit peut être associée pour limiter le reflux qui est majoré en position allongée.
Si ces examens se révèlent négatifs, un bilan plus extensif sera nécessaire à la recherche d’une autre maladie touchant l’arc réflexe du diaphragme avec des explorations focalisées sur le thorax, le cerveau et l’abdomen. Une fois la cause trouvée, le traitement de la maladie fera disparaître le hoquet.
Dans certains cas, aucune cause du hoquet chronique n’est retrouvée et le médecin traitant prescrira alors des médicaments pour améliorer la qualité de vie du patient.

 

http://www.pourquoidocteur.fr/Symptome/13-Hoquet-seule-la-duree-de-la-crise-fait-la-gravite/p-60-QUE-FAIRE-Hoquet

e6un7

 

Soubhana Allah;les hommes aussi pourraient être victimes de leurs hormones !

Mariage

Déprime, irritabilité, hyperémotivité… les femmes ont tendance à mettre ces sautes d'humeur sur le compte de fluctuations hormonales. Seul apanage de la gent féminine ? Pas vraiment. En cas de stress, les hommes pourraient être victimes de leurs hormones. Le syndrome de l'homme irritable.

Pourquoi certains hommes stressés deviennent-ils irritables, grincheux ou émotifs au point de fondre en larmes ? Et bien, ces changements d'humeur pourraient être liés à l'effondrement de l'hormone mâle : la testostérone.

Doux comme un agneau ?

Certains animaux présentent des changements d'humeur et de comportements liés aux fluctuations saisonnières de l'hormone mâle. Les scientifiques de l'Université d'Edimbourg ont dans un premier temps étudié la conduite de certains moutons. En automne, leur niveau de testostérone explose pendant la période de rut et tombe en hiver. Période pendant laquelle les moutons perdent tout intérêt pour le sexe.

Les résultats obtenus vont à l'encontre de certaines idées reçues. Alors que la testostérone est généralement liée à un comportement agressif, les animaux avaient plus tendance à se blesser entre eux en dehors de la saison des amours. En focalisant son attention sur le comportement de huit moutons mâles, le Dr Lincoln a relevé que le nombre de conflits était en relation inverse avec le taux de testostérone. En hiver, les animaux deviennent nerveux, antisociaux et attaquent de manière irrationnelle.

Par la suite, ce même "syndrome du mâle irritable" a été observé sur des cerfs, des mouflons, des rennes et des éléphants indiens à la fin de la saison des amours.

L'homme : esclave de sa testostérone ?

Même si l'homme peut être un peu bête, l'extrapolation de ces comportements bestiaux n'est-il pas un peu rapide ? Le responsable de l'étude admet lui-même la faiblesse des preuves. Néanmoins, plusieurs études témoignent de l'effet de la testostérone sur certains troubles psychologiques masculins.

Les hommes ayant une production insuffisante de testostérone deviennent irritables et déprimés, dès qu'ils arrêtent le traitement hormonal substitutif. De la même manière, la reprise de testostérone de substitution améliore rapidement leur humeur.

En mai 2000, des chercheurs de l'Université d'Harvard 2 ont ainsi comparé les taux de testostérone chez des hommes séropositifs qui avaient subi une perte de poids liée au VIH/SIDA. Bien que limitée à un certain type de population, cette étude a permis de constater que les hommes qui présentaient de faibles niveaux de testostérone avaient plus de risque de se souffrir de dépression. Enfin, les hommes déprimés recevant des injections de testostérone régulières constataient une amélioration de leur humeur.

Mais ce sont plus les troubles de d'humeur (dysthimie) que les dépressions majeures qui semblent directement liés au taux de testostérone. Ainsi, une récente étude a pu constater que les hommes dysthimiques présentaient des taux de testostérone plus faibles que ceux victimes de dépressions majeures ou exempts de toute pensée négative 3.

Stress et hormones : les frères ennemis

Contrairement au syndrome prémenstruel lié au cycle ovarien de la femme, les fluctuations hormonales seraient attachées à des expériences traumatisantes comme un deuil, un divorce ou une maladie grave. De nombreuses études animales ont déjà mis en évidence le lien « stress et testostérone » mais très peu chez l'homme.

Ce que déplore David Abbott, spécialiste américain des hormones, interrogé par le New Scientist 4, qui estime que "l'effet de la testostérone a été ignoré. Quand un type devient grincheux et irritable, les chercheurs tentent d'expliquer le phénomène en niveaux de cortisol et dépression. Ils ignorent en fait que les niveaux de testostérone chutent également".

Mais cet avis n'est pas partagé par toute la communauté scientifique. Selon le Dr David Handelsman, de l'Université de Sydney, les fluctuations de testostérone chez l'homme sont sans commune mesure avec celles observées chez les moutons, à une exception près : les taux chutent de 90 % chez les hommes devant subir une castration suite à un cancer avancé de la prostate.

Une nouvelle controverse ?

Rapportée au comportement humain, l'humeur est un paramètre hautement subjectif. De plus, alors que le syndrome prémenstruel souffre encore de doutes pour certains experts, le syndrome de l'homme irritable ne devrait pas atterrir dans l'encyclopédie médicale avant quelque temps. Certains psychiatres ne voient dans cette terminologie qu'une nouvelle appellation plus avouable de la dépression masculine. Tout comme l'andropause, le syndrome du mâle irritable témoigne de l'intérêt croissant des chercheurs pour l'influence des fluctuations hormonales chez l'homme.

1 - Reproduction, fertility and Development, vol. 13, p.567
2 - J Clin Endocrinol Metab 2000 Jan;85
3 - Am J Psychiatry 2002 Mar;159(3):456-9
4 - New Scientist, 27 février 2002

 

http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2002/sem01/mag0308/ps_5243_syndrome_homme.htm

 

 

e6un7

Nietzsche: à propos du christianisme,le judaisme et l'Islam

 

 On connaît l'intérêt que nourrit Nietzsche pour les religions et doctrines orientales et qu'attestent son admiration pour les Lois de Manou, le code social indo-aryen, ses pages sur le bouddhisme (qu'il connut par la médiation de Schopenhauer), son amitié pour l'orientaliste Paul Deussen, spécialiste du Vedânta, ou encore son choix du nom du réformateur du mazdéisme, Zarathoustra, pour le titre de son livre le plus lyrique. Mais personne ne s'était encore. penché sur la vision nietzschéenne de l'islam

Biographie

Philosophe allemand issu d'une famille de pasteurs. Après avoir renoncé à la carrière de pasteur, Friedrich Nietzsche étudie la philologie et s'intéresse à Arthur Schopenhauer. Il devient professeur de philosophie en 1869 à l'université de Bâle, mais il doit s'arrêter d'enseigner en 1879 pour raisons de santé.

Nietzsche et la religion

Nietzsche a philosophé à coup de marteau en critiquant la croyance en un idéal séparé du monde, l'idée de salut de l'âme, le bien et le mal... Mais sa critique ne peut se percevoir et se comprendre qu'à partir de son univers de référence (occidental et allemand de la fin du XIXème siècle).

Néanmoins, le point sur lequel Nietzsche en partie a raison lorsqu'il dit que "Dieu est mort", c'est que la société occidentale repose de moins en moins sur des valeurs religieuses, même si l'éthique et la Laïcité d'un point de vue Spinoziste ne peuvent se départir d'un vernis résiduel et individualiste du religieux, relégué dans la sphère du privé et non plus de la communauté. Quoique, à la base le droit reste imprégné de commandements religieux, comme tu ne tueras point, tu ne voleras point ...

Nietzsche avait prévu ce que Marcel Gauchet aura expliqué quelques années plus tard: le désenchantement du monde (chrétien). Il pensait que l'Homme ne peut se surmonter lui-même,  s'il continue à croire aux dérisoires fables de l'arrière-monde.

Sur le christianisme

Le christianisme nous a frustrés de la moisson de la culture antique, et, plus tard, il nous a encore frustrés de celle de la culture islamique. La merveilleuse civilisation maure d’Espagne, au fond plus proche de nous, parlant plus à nos sens et à notre goût que Rome et la Grèce, a été foulée aux pieds (et je préfère ne pas penser par quels pieds!) - Pourquoi? Parce qu’elle devait le jour à des instincts aristocratiques, à des instincts virils, parce qu’elle disait oui à la vie, avec en plus, les exquis raffinements de la vie maure!... Les croisés combattirent plus tard quelque chose devant quoi ils auraient mieux fait de se prosterner dans la poussière [...] Voyons donc les choses comme elles sont! Les croisades? Une piraterie de grande envergure, et rien de plus! [...] La noblesse allemande est à peu près absente de l’histoire de la culture supérieure: on en devine la cause... Le christianisme, l’alcool - les deux grands moyens de corruption… En soi, on ne devrait même pas avoir à choisir entre l’islam et le christianisme, pas plus qu’entre un Arabe et un Juif. La réponse est donnée d’avance: ici, nul ne peut choisir librement. Soit on est un tchandala, soit on ne l’est pas. «Guerre à outrance avec Rome! Paix et amitié avec l’Islam.» C’est ce qu’a senti, c’est ce qu’a fait ce grand esprit fort, le seul génie parmi les empereurs allemands, Frédéric II [Hohenstauffen].

L’Antéchrist (1888), Friedrich Nietzsche

Sur le Judaisme

  « Les juifs sont le peuple le plus étonnant de l’histoire universelle, parce que, placés devant la question de l’être et du non etre, ils ont ,en pleine conscience et avec une résolution qui fait peur, préféré l’être à tout prix, ce prix, ce fut la falsification radicale de toute nature, de tout naturel, de toute réalité, tant dans le monde intérieur que dans le monde extérieur. ;Ils se sont transformés en vivante anti thèse des conditions naturelles.
Ils ont successivement, retourné de manière irrémédiable la religion, le culte, la morale, l’histoire, la psychologie, en l’exact opposé de leurs valeurs naturelles.
Les juifs sont, en cela précisément, le peuple le plus fatal de l’humanité : à travers les séquelles de leur influence, ils ont rendus l’homme si faux qu’aujourd’hui,un chrétien peut éprouver des sentiments antijuifs, sans comprendre qu’il n’est que l’ultime conséquence du judaïsme. »


« L’idée de Dieu faussée, l’idée morale faussée…Mais le clergé juif ne s’en tint pas là. On ne savait plus que faire de l’histoire d’Israel :quelle disparaisse donc !Les prêtres ont réussis à mettre au point ce prodige de falsification dont une partie de la bible reste a nos yeux le document :avec un mépris sans bornes pour toute tradition, pour toute réalité historique, ils ont réinterprété dans un sens religieux tout leur propre passé national. »

Sur l'Islam

Mais qu'en est-il de la perception islamique? Le malentendu est bien là. Qui connaît les textes élogieux de Nietzsche sur l'islamisme et son prophète Mohammed, religion authentique qui ne reconnait pas de ressentiment au sens chrétien, de rédemption (à chacun sa responsabilité,  car pas de péché originel qui marquerait de malédiction le reste de l'Humanité)?

Il y voyait des Hommes héroïques dans le sens du romantisme allemand à la façon d'un Goethe, en phase avec leur époque et avec leur histoire, sensuels, ouverts sur le monde. Mais ce qu'il y a de plus déterminant, c'est cette figure de surhomme dont l'incarnation n'en est que le modèle prophétique Mohammadien. Quel est l'homme, comme se le demandait Lamartine, qui peut se prévaloir d'être en phase avec ses actes et ses dires? Le plus grand génie de l'Humanité.

Nietzsche lui-même critiquait les ascètes,  alors qu'il en était un malgré lui à la fin de sa vie. Il faisait l'éloge de la jouissance du corps et de l'esprit à travers son Dionysos ou son Zarathoustra (fondateur du premier monothéisme au passage), alors que pour le corps il n'aura pas connu l'amour ou l'étreinte d'une femme (Andréa Lou Salomé). Que de contradictions! Tout comme Platon et Heidegger, l'un voulant aider le tyran de Syracuse et le second admirant les mains d'Hitler, qui ont cédé à la tentation de "changer leur séjour" (le monde philosophique) et de "s'insérer" dans le monde des affaires humaines (la réalité), en se fourvoyant dans l'illusion de la masse et de la tyrannie.

Quel est cette homme qui a le mieux concilié cette dimension de l'être et celle de l'étant, qui à partir du néant (désert) a donné à la dimension de l'être toutes ses dimensions de noblesse, si ce n'est Mohammed?

L'islam en cela est l'incarnation de cet accomplissement où les idoles sont anéanties, jusqu'à la plus dangereuse, celle de l'égo ou du nafs. Cette prétention qu'ont les clercs, les philosophes, les scientifiques, les hommes de toutes obédience de détenir la vérité ou de juger leur prochain. Le plus détestable dans la religion, est ce qu'en ont fait les hommes, ce que feu M. Arkoun appelait de ses vœux: sortir des clôtures dogmatiques.

Revenir au principe originel, à l'expérience du prophète Mohammed face à lui-même dans la grotte de Hira, seul dans le désert. Ou à celle de Moïse face au buisson ardent. Loin des Hommes, loin des prétentions puériles, des richesses, des orgueils, des vices. Retrouver la pureté originelle que décrit Rousseau à travers l'enfant: la Fitra ou pureté de l'être (notion islamique).

Ce que Mohammed avait réalisé, n'est ni plus ni moins, ce que Sartre avait ressenti, une acceptation totale qui est aux antipodes de la résignation. "C'est par moi que le monde vient à l'être", dit Sartre, ainsi, dans "l'humilité de la finitude", je retrouve "l'extase de la création divine". et Sartre d'ajouter "l'absence de Dieu est plus divine que Dieu". Ici est résumée la quintessence de la perception du Dieu en Islam et dans le judaïsme, immatériel, omniprésent et omniscient.

 

Ce que Heidegger pressentait dans son être et étant mais sauf que le Dieu chrétien qui est "étant" car incarné par Jésus sur la croix est en opposition avec le Dieu du judaïsme et de l'Islam incarné par l'Être immatériel. En effet, partant de ce postulat, la métaphysique (occidentale) est l'oubli de l'être au profit des "étants". Là est le malentendu fondamental! La vérité comme dévoilement de l'être, voilà ce que les mystiques et les prophètes ont ressenti.

Ceux qui n'en ont pas fait l'expérience, qui ne vivent que par procuration, à travers les clercs et les textes, ne peuvent comprendre le Dawq (le goût) de cette expérience unique qui font que l'être et l'étant se retrouvent en phase, à la façon de ce que pressentaient Nietzsche, Heidegger, et Sartre. Sauf, que ceux qui viennent d'un monde de référence occidental et matérialiste, dont l'Église à fait du sang et la chair le paradigme, et l'ostentation de ses richesses et la puissance du Vatican que Jésus aurait sûrement rejeté, le Roi des juifs, le Roi des pauvres, Saint parmi les saints, dans la lignée des saints prophètes. Voilà le malentendu!

Moïse, Jésus, et Mohammed sont bien issus de la même école, celle où l'étant et l'être ne font qu'un. Mais les Hommes ont souvent trahi ce message et cette réalité, créant des institutions religieuses qui souvent agissent à l'opposé de ce Message.

 

 

Sources:

http://islammedia.free.fr/Pages/citation_Nietzsche.html

http://oumma.com/11015/le-malentendu-de-la-philosophie-occidentale-sur-la-critique-de-dieu-ou-de-la-religion

 

e6un7

Soubhana Allah: pourquoi on éternue ?

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Vos narines vous chatouillent, vous gratouillent et paf ! L'explosion. A vos souhaits ! L'éternuement a une fonction bien définie dans le corps humain. Laquelle ?

Une sensation désagréable de picotement vous prend subitement dans les narines. Seul moyen de s'en débarrasser : éternuer ! Un vent violent d'environ 200 km/h est projeté de votre nez. Impossible de vous contrôler. Ce mécanisme est un système de défense mis au point par notre organisme. La nature est bien faite ! Les voies aériennes comme la bouche et les narines sont des lieux de passage de l'air vers les poumons. Celui-ci est souvent chargé en diverses particules non désirées et pouvant empêcher le bon fonctionnement de la respiration.

 

Des cellules bien collantes

L'intérieur de nos narines est couvert d'une muqueuse constituée de petites cellules ciliées. Elles sécrètent une substance collante appelée mucus. Lorsque des particules pénètrent dans les voies respiratoires, elles les captent directement en les engluant. Ces petites boules de mucus sont ensuite dirigées par le mouvement des cils vers l'œsophage et donc l'estomac pour être éliminées. Oui mais parfois ce mécanisme n'est pas suffisant. Les particules sont trop grosses pour être piégées et digérées. Seul moyen : les projeter hors de l'organisme via un vent violent : l'éternuement.

Eternuer pour mieux respirer

Dans le processus d'éternuement, les cellules ciliées de la muqueuse nasale ne rentrent pas en ligne de compte. Cet épithélium dispose de terminaisons nerveuses du nerf crânien V ou le nerf trijumeau. Les poussières et autres agents irritants vont stimuler ces terminaisons qui s'empressent d'envoyer des signaux nerveux. Le nerf trijumeau les transmet en haut lieu, le cerveau et plus précisément au noyau trijumeau. Celui-ci commande les muscles responsables de la respiration tels que le diaphragme, l'épiglotte, les muscles intercostaux, les muscles paupières et du pharynx.

 
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Le noyau trijumeau va provoquer une inspiration conséquente d'environ 2,5 litres de volume d'air, les cordes vocales et l'épiglotte vont alors se refermer ; les muscles intercostaux se contractent et génèrent une forte pression pulmonaire. L'air contenant les particules est expulsé ; les cordes vocales et l'épiglotte s'ouvrent, le voile du palais s'abaisse libérant ainsi le passage vers les voies aériennes supérieures et plus particulièrement vers les fosses nasales.

Les agents irritants sont ensuite renvoyés hors du corps dans un atchoum fracassant.

 Pourquoi dit on à tes souhaits quand on éternue?

C'est une habitude qui remonte à l'époque du moyen age. En effet, lorsqu'une personne éternuait, son entourage lui prodiguait un "Dieu vous bénisse". Car à cette époque, la peste sévissait sérieusement et l’éternuement était le premier symptôme de cette maladie. Souhaiter donc à cette personne que Dieu la bénisse, protégeait le malade de l’infection.

Mais il existe encore d'autres explications. Comme celle qui vise à dire que lorsque l’on éternue, une partie de l’âme est expulsée. Et comme à l'époque on pensait que l'âme vivait dans la tête, dire "A vos souhaits" était sensé protéger cette petite partie de l’âme et ainsi, favoriser le destin.

 Dans la même logique, pourquoi est-il impossible d'éternuer les yeux ouverts?

Lorsque l'on éternue, on ferme systématiquement les yeux. Il s'agit d'un réflexe inné que l'on ne peut contrôler. Mais pourquoi? Pour répondre à cette question il faut déjà comprendre ce qu'est l'éternuement. C'est "une expiration brusque et bruyante, semi-autonome ou involontaire (réflexe au niveau cortical) par le nez et la bouche provoqué par un mouvement subit et convulsif des muscles expirateurs (notamment le diaphragme et les muscles intercostaux) provoqué suite à une irritation des muqueuses nasales ou à leur mise en contact avec un corps étranger". Certains scientifiques s'avancent même à dire qu'au moment de l'éternuement, toutes les fonctions du corps s'arrêtent, même le cœur ! Eternuer les yeux ouverts entrainerait certainement l'éclatement de vaisseaux sanguins au niveau des yeux...

Source: 

 
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L'Halloween ; origine et point de vue de l'Islam

Halloween

La Toussaint, le 1 novembre, est un jour de fête pour l'Église catholique romaine et l'Église anglicane. En ce jour Dieu y est glorifié pour tous ses saints connus et inconnus. Les catholiques romains sont obligés de se rendre à la messe ce jour-là. Dans l'Angleterre médiévale il était appelé ‘’All Hallows’’ (tous les saints), d'où le nom  Halloween (Hallows’ eve/ la veille) pour le jour précédent (31 octobre).

Selon l’encyclopédie Compton's Family, édition 1991 : les coutumes et superstitions recueillies à travers les âges se retrouvent dans la célébration de l'Halloween ou All Hallows Eve, le 31 Octobre, la fête chrétienne de la Toussaint. Quoiqu’il en soit elle trouve ses origines, dans la fête de l'automne (autumn festival) d'autrefois.

Début novembre, les druides avaient une fête de trois jours. Selon leur croyance, la dernière nuit d’octobre les esprits des morts revenaient d’outre tombe et erraient, pour les chasser ils allumaient des feux de joie. Dans la Rome antique la fête de Pomona (aussi appelée Pomone), divinité des fruits et des jardins, se déroulait à cette époque de l'année. C'était une occasion de réjouissance associé à la récolte ; on y grille des noix et des pommes, en tant que symboles des fruits d'hiver avant d’allumer des feux de joie immenses. Ces célébrations agricoles et pastorales comportaient également un aspect sinistre, avec des fantômes et des sorcières censés être à l'affût.

Même après que le 1er Novembre soit devenu un jour de fête chrétienne pour y honorer tous les saints, beaucoup de gens s'accrochèrent aux croyances païennes anciennes et aux coutumes qui se sont développées sur Halloween.

Certains essayent de prédire l'avenir cette nuit-là par l’accomplissement de rites comme le saut au dessus de feux ou bougies. Dans les îles britanniques de grand feux étaient allumés pour le festival celtique de Samhain. Rires des bandes de jeunes déguisés avec des masques grotesques, lanternes de navets sculptées animent alors les villages.
Aux États-Unis, les enfants sculptent des visages sur des citrouilles vidées et y mettaient à l'intérieur des bougies allumées pour faire des ‘’jack-o'-lanternes’’.

Les festivités d'Halloween aujourd'hui reflètent bon nombre de ces coutumes : les magasins et maisons sont décorés en orange et noir, y sont dessinés des sorcières, chauve-souris, chats noirs et autres citrouilles. Les gens portent des tenues fantaisistes pour se rendre à des fêtes costumées ; des jeux à l'ancienne comme celui consistant à mettre des pommes  dans des baquets d'eau sont mis en place. Les enfants mettent des costumes et des masques et vont de maison en maison demandant ‘’des friandises ou un sort’’ (trick or treat).


Des friandises, généralement des bonbons, sont généralement données et le sort rarement jeté. Certains parents trouvent cette coutume dangereuse car il y a eu de nombreux cas où des objets pointus ou du poisons furent trouvés dans des bonbons ou des pommes. Pour offrir une alternative à la collecte des bonbons auprès de personnes étrangères, de nombreuses communautés organisent de spéciales festivités surveillées. L'Organisation des Nations Unies utilise Halloween pour recueillir des fonds de financement pour les enfants.


Le celtique festival de Samhain (Samain) est probablement la source de la fête d'Halloween d’aujourd'hui. Les Celtes ont vécu plus de 2000 ans dans ce qui est aujourd'hui la Grande-Bretagne, l'Irlande et le nord de la France. Leur année commençait le 1er Novembre, on y organisait une fête qui commençait  à sa veille le  soir en l'honneur de Samain, le seigneur celtique de la mort. Cette célébration marquait le début de la saison froide, l'obscurité et la saison morte. Elle est donc devenue naturellement associée à la mort de l'homme. Les Celtes croyaient que Samain permettait aux âmes des morts de retourner en cette nuit dans leurs demeures terrestres.


Le soir de la fête, qui durait trois jours, les druides, qui étaient les prêtres et les guides des Celtes, ordonnaient aux gens d'éteindre les feux dans leurs foyers. Car selon eux la dernière nuit du mois d’octobre les âmes des défunts revenaient d’outre tombe et erraient à la recherche de leur foyer, ils allumaient ainsi de géants feux de joie pour les chasser. Ils allumaient un énorme feu avec branches de chêne au début de leur année, car ils considéraient le chêne comme sacré. Ils y brûlaient des animaux, une partie des récoltes et parfois même des êtres humains comme sacrifice. Ensuite, chaque famille rallumait son feux de foyer pour la nouvelle année. Lors de la célébration, les gens portaient parfois des costumes faits de têtes d'animaux et peaux. Ils examinaient les restes des animaux sacrifiés et y lisaient l’avenir.
Les coutumes d’Halloween

La plupart des activités pratiquées aujourd’hui pour Halloween trouvent leurs origines dans le symbolisme occulte. En voici quelques exemples :


1 - Les coutumes d’Halloween se sont développées différemment dans les différents groupes celtes :

En Irlande, par exemple, les gens priaient pour avoir de la nourriture dans un défilé qui honorait leur dieu-soleil Muck Olla. Le chef de la parade portait une robe blanche et un masque fait d’une tête d'animal.

En Ecosse, les gens défilaient à travers champs et villages portant des torches. Ils allumaient des feux immenses sur les collines pour chasser les sorcières et autres esprits maléfiques.

Au pays de Galles, chaque personne prenait une pierre et l’introduisait dans le feu. Les gens croyaient que si la pierre d'une personne manquait le lendemain matin, elle mourrai dans l'année.

En Angleterre, Halloween était parfois appelé la nuit des casse-noisettes ou ‘’Snap Apple Night’’. Les familles se réunissaient pour s’assoir près d’un feu et racontaient des histoires tout en mangeant des pommes et des noix. Le jour de la Toussaint les pauvres sortaient pour mendier, ils recevaient des pâtisseries appelées ‘’gâteaux âme’’ (soul cake) en échange de la promesse de dire des prières pour les morts.

Des Jack-O'-Lanterns sont creusées dans des citrouilles. La plupart des Jack-O'-Lanterns contiennent une bougie. Les gens en Angleterre et en Irlande utilisaient aussi des betteraves, des pommes de terre et des navets pour faire des lanternes.

Lorsque cette tradition arriva en Amérique, on utilisa des citrouilles au lieu des navets. Selon une légende irlandaise, Les Jack-O'-Lanterns ont été nommé ainsi suite à l’histoire d’un homme appelé Jack qui ne pouvait ni entrer au ciel car trop avare et mauvais ni entrer en l'enfer car il avait joué de mauvais tours au diable. Selon la légende il fut donc condamné à errer sur terre avec sa lanterne jusqu'au Jour du Jugement.
2 - La divination

Certaines méthodes de divination vieilles de plusieurs siècles ayant leur source en Europe sont devenues une part importante de la fête d'Halloween. Par exemple, des objets comme des pièces de monnaie, bagues ou dés à coudre sont cuits dans un gâteau ou d'autres aliments. Selon la légende celui qui trouve la pièce deviendra riche, celui qui trouve la bague se mariera bientôt et celui qui a obtenu le dé ne se mariera jamais. Aujourd'hui, des techniques telles que le tirage des cartes et la chiromancie ont été ajoutés aux méthodes traditionnelles de divination d’Halloween.
3 - Les  costumes

On croyait aux féeries, aux sorcières et démons et que les âmes des morts erraient ça et là... De la nourriture leur était laissée pour les apaiser. Avec le temps les gens prirent l’habitude de se déguiser comme ces créatures d’épouvante et à exécuter des mouvements étranges en échange de nourriture. Cette pratique appelée en anglais "mumming" évolua jusqu’à aujourd’hui, pour être appelée "Farce ou Friandise".

En ces jours modernes du 21ième siècle, les sorcières, les fantômes et les figures squelettiques des morts sont parmi les déguisements préférés des gens. La pratique du port des masques et des costumes représentant ces créatures méchantes est universelle dans les habitudes de l’homme. Dans tous les endroits habités de la terre, des traditions existent où des individus se revêtent de costumes représentant un dieu ou un démon ayant des pouvoirs surnaturels. Ils reçoivent souvent des gâteries ou des actions de bienfaisance. Il y a une raison pour cela. Les idoles et les masques qu’ils portent sont une représentation de quelque chose !


4 - Farce ou friandise

Les gens les plus diaboliques vivant à cette époque de noirceur horrible étaient les druides... des prêtres qui exigeaient des sacrifices de sang humain. Ces prêtres étaient connus sous le nom 'd'hommes de chêne' (de l’Anglais 'men of oak'). Ces hommes étaient tellement remplis de démons que certains d'entre eux possédaient des pouvoirs étranges et semaient la terreur chez les gens ordinaires.

Pour les druides, le grand événement était la fête de Samhain qui avait lieu le soir du 31 octobre. Les druides sont à l'origine de la coutume qu'ont les enfants d'aujourd'hui d'aller de porte en porte pour demander des friandises. Le soir de l’Halloween, les druides et leurs disciples allaient de château en château pour s'adonner à leur "jeu". Ils exigeaient des résidents de ces endroits, qu'on leur livre une princesse ou une autre femme [vierge de préférence] pour que celle-ci devienne la victime d'un sacrifice humain.

Halloween aux Etats-Unis :

Parmi les premiers colons américains venus d'Angleterre et d'autres régions celtiques, beaucoup ont apporté avec eux diverses coutumes. Mais en raison des croyances religieuses strictes d'autres colons, la fête d'Halloween n'est devenue populaire qu’après les années 1800. Au cours de cette période, un grand nombre d'immigrants arrivés d'Irlande et d'Ecosse sont arrivés et ont imposé leurs coutumes de Halloween.

Au cours des années 1900 le ‘’trick-or-treating’’ devint moins populaire dans les grandes villes où de nombreux voisins ne se connaissent pas. Les farces d’Halloween, qui étaient sans danger, devinrent dangereuses. Des accidents de la circulation devinrent également un problème lié à Halloween. Les fêtes de famille, les célébrations communautaires gagnèrent en popularité. Aujourd'hui, de nombreuses communautés organisent des feux de joie, défilés en costumes, danses, sketchs et autres formes de divertissement pour célébrer Halloween.


Comprendre avec connaissance

« L'humanité a été bénie par le don de l'intellect et de l'inclination naturelle à la vérité. En plus de ces grandes bénédictions qu’Allah a donné à l'humanité, Il lui a aussi donné la bénédiction de l'intelligence qui lui permet d’assumer les responsabilités confiées par Allah. Elle leur permet aussi d'atteindre les choses et de les comprendre. Le Tout-Puissant lui a également fourni une inclinaison naturelle à la vérité qui est en accord avec ce que les Messagers d'Allah ont apporté : la noble révélation et la vraie religion qu’Allah a prescrite et imposée comme la voie à suivre pour l'humanité. » (La méthodologie des prophètes dans l’appel à Allah, qui est la voie de la sagesse et de l'intelligence)


Avec cette intelligence dont Allah nous a bénis, n'oublions pas la vérité d'Halloween. Tout Halloween implique un certain type de Chirk. Halloween doit être vu tel qu'il est réellement:

1. Du respect et la crainte de le soi-disant "esprits des morts." (Association, adoration d’autres qu'Allah le Très-Haut).

2. Pratique de fêtes païennes (imitation des mécréants).

3. Divination (la croyance que certains ont le pouvoir de connaître l'avenir et l'invisible).

Halloween : 13 conseils pour les parents


Supposons qu’en rentrant à la maison le soir d'Halloween (le 31 octobre) vos enfants  vous supplient de bien vouloir les laisser sortir pour cette occasion. Ils sont en effet impatients et ne tiennent plus en place à l’idée de récolter ces nombreux bubble-gums, sucettes et autres bonbons, sans parler du déguisement de Pokémon ou de sorcière qu’ils veulent vêtir tout comme le font tous leurs amis.


Vous regardez tout cela totalement consterné, sachant qu'Halloween n’est qu’un pur produit de la société païenne. Voulez-vous mettre les choses à plat avec vos enfants une fois pour toutes et les convaincre de ne pas sortir ? Voici une liste de conseils qui vous aidera à y parvenir et vous permettra de  régler  ‘’le problème Halloween’’:
I - Savoir exactement ce qu’est Halloween


Trop souvent, les parents eux-mêmes ne savent qu’elles sont les origines des fêtes et occasions comme celle d’Halloween. Ne considérez pas ce point comme une question de second ordre car une fois découvert le pourquoi de la célébration d’Halloween, vous réfléchirez à deux fois avant de laisser vos enfants y participer. En fait, tout parent désireux de développer chez ses enfants la conscience de l’existence de Dieu (et ce qu’elle implique) s'opposera à la célébration d’une telle occasion. Rien de plus facile que de savoir quelles sont ses origines, il vous suffit de passer une heure dans une bibliothèque et  faire une petite recherche dans l’une des nombreuses encyclopédies qui s’y trouvent. Pour obtenir un point de vue islamique, vous pouvez aussi consulter l’un des livres jurisprudentiels qui parle des jours fériés et des mythes. Discutez avec vos enfants en utilisant des renseignements exacts, ils sentiront que vous savez de quoi vous parlez, seront peut-être convaincu et décideront d’eux-mêmes de ne plus y participer.

II - Aborder le sujet quelques semaines à l'avance


Ceci vous est facilité par la commercialisation anticipée des bonbons, des costumes et par la diffusion traditionnelle et rituelle de films d'horreur à la télévision. L'atmosphère est donc propice pour vous asseoir avec vos enfants afin d’avoir une conversation au sujet d'Halloween. Profitez-en et anticipez la plutôt que de le faire dans la matinée du 31 octobre, vous leur donnerez ainsi du temps pour y réfléchir et s'habituer à l'idée de ne pas y participer par simple envie d’imiter leurs amis.

III - Expliquer rationnellement que nous avons nos propres fêtes


Citez Halloween dans le contexte d'un discours enflammé sur le fait que «les non-musulmans sont si mauvais et égarés» n’aidera pas vos enfants à comprendre pourquoi ils ne doivent pas y participer. Votre attitude ne fera que les rendre plus perplexes. Il est préférable de leur expliquer que chaque communauté ou chaque culture a ses propres fêtes et que nous, en tant que musulmans, avons les nôtres, qu’Halloween est une fête païenne et lorsque nos deux fêtes -Aïds- arrivent, expliquez leur que celles-ci sont nos fêtes.

Expliquez leur calmement ce qu'il en est réellement des fêtes païennes sans oublier de mettre l’accent sur les nombreux dangers qu’elle renferme et donnez-leurs le temps d’y réfléchir.


IV - Mentionner les autres dangers d'Halloween (pour l'Amérique)


Racontez-leur ces horribles histoires qui ont faits les choux gras des faits divers : lames de rasoir dans les pommes, laxatifs sous forme de chocolat, poison dans les bonbons… avertissez-les aussi des dangers inhérents aux sorties nocturnes, mais ne faites pas de ce point la raison principale pour laquelle vous vous opposez à Halloween.


V - Expliquer que chacune de nos occasions a un sens


Rappelez à vos enfants que pour les musulmans, nos fêtes ont toujours une bonne et positive signification. Par exemple, pour l’Aïd-el-fitr, nous célébrons notre joie d’avoir jeûné durant le mois béni de Ramadan, qui est un moment où nous nous efforçons de nous rapprocher d'Allah et d’être de meilleurs musulmans. Par contradiction Halloween est un rappel de chaytan (satan), qui est le symbole même du mal que tout le monde doit éviter et contre qui nous devons chercher refuge auprès d’Allah.


VI - Mettre l'accent sur le fait qu'il n'y a rien de mal à être différent des autres


Ce point est crucial car il y aura de nombreuses autres occasions plus tard dans la vie de vos enfants, notamment dans le milieu scolaire, où ils devront rester en marge. Cela ne signifie pas l'obligation d’une auto-exclusion permanente et définitive du système scolaire mais cela signifie qu’en tant que musulmans, ils doivent prendre ce qui est bon et s’éloigner ou rejeter ce qui est mauvais.


VII - Rencontrer les enseignants de nos enfants


Organisez une réunion avec les enseignants pour discuter avec eux d’Halloween ainsi que des autres fêtes célébrées. Parlez avec eux de nos propres fêtes et expliquez-leurs qu’en tant que musulman vous ne voulez pas que vos enfants participent à certaines choses.

Profitez-en pour parler du genre d'activités que vous recommandez ou approuvez et pour discuter des fêtes musulmanes. Proposez l’idée de venir bénévolement durant le mois de Ramadan, par exemple, pour leur expliquer ce que signifie ce mois pour les musulmans.


VIII - Ne pas envoyer les enfants à l'école le jour de Halloween s’il y a une fête


Si l'enseignant a prévu une fête à l’occasion d’Halloween, n’envoyez pas vos enfants à l'école ce jour-là. Toutefois, avant de ce faire, écrivez une courte lettre ou note à l'enseignant et au directeur dans laquelle vous leurs expliquer pourquoi votre fils ou fille ne sera pas à l'école ce jour-là.
 

IX - Inviter à la maison des amis musulmans ou leur rendre visite


Ne pas en faire une occasion spéciale mais si vous avez pour habitude de rencontrer régulièrement d'autres familles musulmanes et que vos enfants sont amis avec leurs enfants, rendez leur visite ou invitez-les ce jour là. Ceci les aidera peut-être à se préserver de l’ambiance hystérique qui règne à l’extérieur.


X - Sortir manger un beignet


Ou autre chose halal, juste pour ne pas avoir à ouvrir la porte aux collecteurs de sucrerie, ce qui renforcera l'hystérie d’Halloween.


XI - Éteindre les lumières, fermer les fenêtres et informer nos voisins (pour ceux qui habitent en Amérique ou dans un compound)


Éteindre les lumières et faire passer le message que cette maison n'est pas vraiment intéressée ni impliquée dans cette fête d’Halloween. Fermer les fenêtres peut être nécessaire, étant donné que les jets d’œufs sur les maisons de ceux qui ne distribuent pas de bonbons est une chose banale ce jour-là. Informez vos voisins en affichant une brève et polie note expliquant le pourquoi de votre boycott.


Une sœur raconte avoir posté une note joliment décorée sur sa propre porte dans laquelle elle expliquait à ses voisins pourquoi elle ne participerait pas à cette fête. Elle raconte que son voisinage fut très compréhensif et que cette note fut à l’origine de mesure de sécurité prises dans sa région. Elle dit encore n’avoir reçu ni mauvais commentaire ni œuf brisé non plus !


XII - Passer le mot deux à trois semaines à l'avance et organiser une conférence


Organisez une conférence pour les parents musulmans et leurs jeunes enfants. Faites-y une présentation claire sur la signification d’Halloween et sur ce que peuvent faire les parents musulmans. Ceci donnera une occasion aux enfants de rencontrer d’autres musulmans et de jouer avec eux. Vous pouvez aussi vous servir de cette occasion pour lancer une invitation (point IX).


XIII - Tenir les promesses faites au sujet des fêtes du Aïd


Pour un certain nombre de jeunes musulmans qui ont grandi à l'Ouest, le jour de l’Aïd n’est parfois qu’un jour ordinaire, les parents ne prenant parfois pas de congé. Dans d'autres cas, alors que les parents prennent un jour de congé, le rituel est le même: lever, nouveaux vêtements, se réunir pour prier puis les accolades traditionnelles accompagnées des félicitations, retour à la maison, repas «ethnique» et les cadeaux. Les enfants ne comprennent pas ce qui se passe réellement et quel est le véritable sens du Aïd. Il n'est pas étonnant que les yeux de nos enfants s'allument quand ils voient les lumières de Noël, les cadeaux emballés et voient les friandises d'Halloween arrivées.

 

Faites de l’Aïd un jour spécial ! Ne vous contentez pas, lorsqu’arrive Halloween, de raconter combien le jour de l’Aïd est important pour les musulmans et d’énumérer les nombreuses festivités qui y ont lieu afin de  convaincre les enfants de ne pas participer à halloween puis lorsque ce jour arrive, vous oubliez vos promesses. Le jour de l’Aïd emmenez-les prier, sortez-les au parc d'attractions par exemple. Organisez une fête et invitez leurs amis. Les possibilités de s’amuser de façon halal sont nombreuses. N’oubliez pas de célébrer nos fêtes comme il se doit, faites des efforts pour vos enfants, si vous voulez qu'ils restent musulmans et en soient fiers !

 

http://www.convertistoislam.fr/article-dossier-halloween-son-origine-et-son-jugement-85315026.html

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