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L'homosexualité en Islam

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 L’interdiction de l’homosexualité

Le pire de ce qui a entaché l’histoire de l’humanité est l’éloignement d’une une partie des humains , de la nature innée dont Dieu les a dotés.

Ils ne se sont pas contentés des relations sexuelles avec le sexe opposé sur la base des lois de la religion la religion et de leur propre nature, mais ils ont laissé leurs âmes obéir à ce que leur dicte Satan, et se sont adonner à des pratiques éloignées de la bonne voie, et à pratiquer des relations sexuelles perverses soit avec leurs épouses (par exemple la sodomie) soit avec des humains du même sexe (l’homosexualité masculine ou féminine), jusqu'à arriver à la pire des bassesses en pratiquant des actes sexuelles avec des animaux (zoophilie) ou avec des cadavres (nécrophilie).

Et Dieu a interdit toutes ces différentes sortes de pratiques sexuelles perverses :

A) L’homosexualité masculine (EL LIWATE)

Allah -louange à lui- a dit dans le verset numéro 165 et 166 de sourate EL CHOUARAA (les poètes) « accomplissez-vous l’acte charnel avec les mâles de ce monde ? Et délaissez-vous les épouses que votre Seigneur a créées pour vous ? Mais vous n’êtes que des gens transgresseurs.»

Aussi Allah a dit dans le verset numéro 80 et 81 de sourate AL_A’RAF « Et Lot, quand il dit à son peuple : «Vous livrez vous à cette turpitude que nul, parmi les mondes, n’a commise avant vous ? Certes, vous assouvissez vos désirs charnels avec les hommes au lieu des femmes ! Vous êtes bien un peuple outrancier. »

Et le législateur dans l’islam a instaurer une punition formelle et stricte sur la base du Hadith du prophète (que Dieu lui accorde Sa Grâce et Sa Paix) « Si vous trouvez quiconque en train de pratiquer les pratiques du peuple de Loth, tuez les, que ce soit celui qui commet l’acte ou celui qui le subit.» (El Tarmidi numéro 1376)

B) L’homosexualité féminine (EL SIHAKE)

C’est des pratiques contre nature auxquelles s’adonnent certaines femmes, et consistent en un rapport sexuel entre des femmes imitant ainsi les caresses et les attouchements intimes qui se produisent dans un couple hétérosexuel, et ces actes sont strictement interdits selon un Hadith du prophète (que Dieu lui accorde Sa Grâce et Sa Paix): «le lesbianisme (l’homosexualité féminine) entre femmes est une fornication entre elles» (El Tabarani ) 
C) L’interdiction de la sodomie (relation sexuelle anale)

Aussi Allah a dit dans le verset numéro 222 de sourate AL_BAQARA (la vache)

« Eloignez-vous donc des femmes pendant les menstrues, et ne les approchez que quand elles sont pures. Quand elles se sont purifiées, alors cohabitez avec elles suivant les prescriptions d’Allah ».

Le prophète SWS a dit à ce propos : « Maudit celui qui prend sa femme par derrière » Abou Daoud numéro 1847.

VI) Les maux causés par les turpitudes et l’anarchie sexuelle :

Le docteur El Nassimi a résumé, en un ensemble de points, les conséquences de la liberté sexuelle en tant que maux néfastes et destructeurs pour l’individu et pour la société :

1/ Quand l’être humain s’abandonne à satisfaire ses envies sexuelles et à assouvir ses désirs et ses instincts primitifs cela conduit irrémédiablement à des résultats néfastes qui nuisent sa santé et détruisent la cellule familiale qui est l’élément de base constituant la société.

2/ Les turpitudes sont principalement les seules causes des M.S.T (Maladies Sexuellement Transmissibles) et le plus important mode de leur transmission et leur propagation, comme la syphilis, les chaudes pisses, Gonorrhea et le SIDA.

3/ Comme nous avons vu, l’homosexualité provoque des maux plus complexes que ceux provoqués par la fornication hétérosexuelle. L’homosexuel « actif » habitué aux relations avec les hommes pervertie et dénature ses envies sexuels vers une seconde nature et ses désirs s’orientent vers les hommes plus que vers sa propre femme. Cela conduit ou à un divorce ou à la pratique de perversions sexuelles avec elle en la sodomisant. Quant à l’homosexuel « passif », il s’expose à des déformations et déséquilibres physiques voir anatomiques et hormonaux avec complications et fini par être perturbé psychologiquement et devient efféminé.

4/ Le phénomène de propagation de la satisfaction du plaisir sexuelle par des voies interdites, et les facilités mises à dispositions pour y accéder, mènent la jeunesse au refus du mariage légal et à la fuite de la responsabilité de fonder une famille, qui est l’élément de base de la société. Ceci mène à la dissolution (l’explosion) de cette société et sa transformation en des individualités insociables sans aucun dénominateur en commun.

IV)Les principales maladies contractées par la fornicateurs et les homosexuels : 
Les maladies sexuellement transmissibles (M.S.T.) :

Ces maladies ont été appelées autrefois maladies vénériennes relativement à Vénus (mot latin désignant la déesse de l’amour chez les grecs) et elles désignent un certain nombre d’affections contagieuses, transmissibles par les rapports sexuelles.

La diversité des maladies vénériennes ainsi que leurs modes de transmission ont fait que ce terme qui les désignent est devenu inapproprié et insuffisant, et le terme contemporain qui les regroupe est : « les maladies sexuellement transmissibles » ou M.S.T. Ces maladies peuvent se transmettre par n’importe quelle voie parmi les différentes sortes de rapports sexuels qu’il soit hétérosexuel ou homosexuel, qu’il soit vaginal ou anal, ou même par filiation (hérédité) (transmission mère-enfant).

Sans aucun doute, les M.S.T. représentent des avant-goûts de punitions divines subis par ceux qui ont osé violer la nature humaine et qui se sont écarté de la bonne voie en commettant des turpitudes tels que la fornication, l’homosexualité et autres.

La propagation de ces maladies résultat de la liberté sexuelle et la débauche n’est autre que la confirmation de la prophétie du messager de Dieu et la prédominance, la prépondérance et la prééminence prophétique se manifestent par le hadith évoquant ce sujet : «Et il n’apparaît de turpitude dans un peuple sans être annoncée par de graves maladies que leurs ancêtres n’ont jamais connu auparavant». Rapporté d’après Abdallah Ibnou Omar et dont l’authenticité a été confirmée par Al Albani.

En générale les maladies sexuellement transmissibles (M.S.T.) sont :

1/ Syphilis :

C’est une maladie féminine (ou femelle) qui est apparue dans le continent européen au moyen age, et a fini par se propager dans le monde entier. Elle évolue en véritable épidémie de temps à autre, et cette évolution est liée aux périodes de guerre où les circonstances sont favorables à la contamination via les différents moyens anarchiques de satisfaction des besoins sexuels. La Syphilis est transmise par voie sexuelle et peut aussi être transmises par la femme enceinte à son enfant.

La liberté sexuelle actuelle, et la propagation du phénomène de l’homosexualité et de la débauche sont considérées comme étant les facteurs principaux de la propagation de cette maladie d’autant plus que ce phénomène est favorisé par les pilules de contraception, la facilité et la multiplication du phénomène de migration des populations.

Le germe responsable de la syphilis est une bactérie (Treponema pallidum) faisant partie de la famille des spirochètes. Elle est de forme filaire et sa longueur peut atteindre 20 microns. En dehors du corps humain ces microbes trouvent un environnement défavorable et meurent rapidement et c’est pour cela que leur transmission est limitée aux contacts chaux et humides existants dans les relations sexuelles et leurs préliminaires.

Notons qu’il y’a deux types de syphilis: la syphilis acquise et la syphilis congénitale.

1.a) La syphilis acquise :

La maladie évolue en phases successives. 
a.1- La syphilis primaire :

L’incubation silencieuse (entre la contamination et les premiers symptômes) est en moyenne de 3 semaines, mais peut se prolonger jusqu’à 3 mois.

La première phase se caractérise par l’apparition d’un chancre : lésion rosée, indolore, non inflammatoire, propre, bien limitée devenant dure, laissant sortir un liquide clair. Il est localisé au niveau des organes génitaux (gland, peau des testicules, grandes lèvres, clitoris, paroi du vagin, col utérin). Il peut être également extra génital (lèvres, langue, amygdale, anus) et peut donc passer inaperçu. Des ganglions durs et indolores sont perçus dans la zone du chancre. 
a.2- La syphilis secondaire :

Elle survient entre 1 mois et 1 an après le rapport sexuel contaminant.

La bactérie est responsable de manifestations variées en particulier cutanées (nombreuses lésions dont certaines sont contagieuses) et muqueuses (bouche, langue, vulve, gland, anus). Ces signes cutanés et muqueux sont associés à de nombreux ganglions palpables indolores, une fatigue, une température corporelle légèrement augmentée, des maux de tête. Méningite, hépatite, atteintes rénales et articulaires sont possibles. 
a.3- La syphilis tertiaire :

Elle survient en l’absence de traitement, après quelques mois ou années silencieuses.

Elle est caractérisée par des atteintes neurologiques (on parle de neuro-syphilis), cardiaques, hépatiques, digestives, rénales, laryngées, oculaires, troubles psychiatriques. Pendant cette phase de la maladie, le patient n’est plus contagieux.

La syphilis latente se définit comme l’infection par la bactérie sans manifestation clinique mais les réactions sérologiques sanguines sont retrouvées positives. On distingue la syphilis latente précoce (pendant la première année suivant la contamination) et la syphilis latente tardive (après la première année). 
1.b) Le syphilis congénitale (héréditaire). :

Lorsque la femme est enceinte elle peut transmettre, via le placenta, les microbes causant cette maladie qui peut être souvent mortelle pour le bébé.

2/ La Gonorrhea :

Ce sont des globules marrons ressemblent á des grains de café qui peuvent causées la maladie du Gonorrhea. Après trois jours de la relation douteuse une inféction touchant le sexe du mal provoquant des douleurs et des brulures au moment du contacte ou au moment des autres besoins biologiques. Ces mêmes microbes peuvent toucher les organes génitaux et urinaires. Pour le cas des femmes, les effets seront moins mais les microbes peuvent endommager le vagin, la vissé et la matrice jusqu'à même l’ovule et il peut causé même une stérilité permanente. Si la maladie et le probleme percistent, le microbe en question peut infecter le sang á 1% touchant par la suite les articulation au niveau des genoux comme elle peut provoqué des malaises cardiovasculaires qui conduisent généralement à la mort subite.
3/Le SIDA:

Le SIDA est la dernière station de l’homme avec les maladies contagieuses causées par les relations illégales et la pratique anarchique du sexe, le SIDA menace de détruire toute l’humanité plus que n’importe quelle autre maladie sur terre.

Le SIDA, abréviation de Syndrome d'Immuno-Déficience Acquise, est une maladie liée à un virus appelé VIH (abréviation de Virus de l'Immunodéficience Humaine) ou HIV en anglais (pour Human Immunodeficiency Virus).

Donc le HIV est le principal Virus qui provoque le SIDA, ce virus est très vulnérable est sensible (en dehors du corps humain) á la chaleur et aux désinfecteurs chimiques, le Virus en question ce trouve principalement dans le sang infecté, dans le sperme, dans le vagin et la matrice. Les relations sexuelles sont les voies principales pour la contamination quelques que soit la nature de ces relations (quelles soient hètero ou homo). Le risque de la contamination et de la transmission est plus élevé chez les homosexuelles vu la spécificité de la pénétration anale.

La transfusion incontrôlable et l’utilisation des instruments médicaux non stérilisés (seringues chez les toxicomanes par exemple) conduisent inéluctablement á la contamination, une étude statistique prouve que 30 % des toxicomanes en Europe sont contaminés par le SIDA, rappelons aussi que la femme enceinte peut transmettre le Virus à son foetus á un taux de 50 %. En résumé le Mode de transmission est comme suit :

Par voie sexuelle. C'est la voie de contamination la plus répandue.

Par voie sanguine: soit par transfusion soit par échanges de seringues

Pendant la grossesse, de la mère à l'enfant

Le développement de la maladie et ses caractéristiques : 
Que fait le virus?

Quand le virus a pénétré à l'intérieur du corps, celui-ci va détruire ce qu'on appelle le système immunitaire, c'est à dire ce qui est chargé de nous défendre contre les microbes qui nous entourent en permanence. La destruction du système immunitaire va prendre plusieurs années, ce qui explique pourquoi la plupart des gens porteurs du virus n'ont apparemment aucun symptôme.
Conséquences de la présence du virus dans le corps humain :

Un fois que le virus a fragilisé ou détruit en partie le système immunitaire, l'individu devient alors extrêmement fragile et peut alors développer des infections qu'il n'aurait pas développées en l'absence de fragilisation de ses défenses.

Ecrit par :

Triaki Mohamed

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Le clonage entre la science et la religion

Clonage 

Le clonage des êtres humains

 Une équipe de recherche Sud Coréenne vient de démontrer la possibilité de cloner des embryons humains à des fins thérapeutiques. Cette nouvelle est une véritable révolution puisque jusqu'à présent, les spécialistes s'accordaient pour dire que leclonage de primates était extrêmement difficile à réaliser. Cette nouvelle avancée, qui ouvre des voies thérapeutiques encore difficilement évaluables, repose aussi avec d'autant plus de force la question du clonage reproductif humain.L'une des difficultés principales rencontrée lors du clonage de primates est la perte de facteurs essentiels aux divisions cellulaires, lorsque le noyau est retiré de l'oeuf.

Ces facteurs sont principalement des protéines constitutives d'une structure appelée le centrosome. L'absence de ces protéines entraîne un dysfonctionnement des centrosomes aboutissant à une mauvaise répartition des chromosomes lors de la division cellulaire, et donc à un chaos génétique (pour plus de précision lire notre article "Le clonage humain est actuellement presque impossible !") L'équipe de chercheurs a démontré que, bien que le processus de clonage demeure inefficace, celui-ci est néanmoins possible. Ils ont utilisé 242 oeufs provenant de dons de 16 femmes qui, simultanément, ont donné les cellules à partir desquels les noyaux ont été prélevés pour le clonage. Il est important de noter que les cellules "donneuses" du noyau utilisées dans cette expérience sont des cellules de soutien de l'ovule, présentes uniquement chez les femmes jeunes.Environ un quart des oeufs s'est développé jusqu'au stade du blastocyste(environ 100 cellules), stade à partir duquel des cellules souchesembryonnaires (CSE) peuvent être obtenues. L'efficacité est similaire à celle obtenue lors du clonage de la vache ou du cochon.

Cependant, les raisons de ce succès sur des cellules humaines demeurent encore inconnues. Il est possible que les techniques employées pour extraire le noyau de l'ovocyte, afin de l'énucléer, aient été plus douces que celles utilisées jusque-là. Parmi les 30 blastocystes cultivés, un seul a permis d'obtenir une lignée de CSE. Là encore, la raison de cette faible efficacité est encore inconnue, même si les chercheurs soupçonnent des anomalies génétiques non détectées qui pourraient en être la cause. Les cellules obtenues ont de nombreuses caractéristiques des cellules CSE, notamment celle de se diviser indéfiniment. Les CSE ont été capables de se différencier en différents types cellulaires, permettant ainsi d'obtenir différents tissus (cartilage, muscle, os), après injection chez la souris. Cette procédure fait naître l'espoir de pouvoir obtenir des cellules souches parfaitement adaptées aux besoins de la transplantation de tissus pour le traitement de maladies comme le diabète, la maladie de Parkinson, d'Alzheimer et même certains cancers. En effet, grâce au clonage, le problème du rejet, rencontré dans toutes les greffes, serait contourné.Cependant, nous sommes encore loin de cet objectif. En effet, il reste de nombreux obstacles à franchir, notamment celui de s'assurer que ces cellules sont bien différenciées et ne deviendront donc pas cancéreuses une fois injectées dans l'organisme. Une autre difficulté pour imaginer un jour utiliser cette technique thérapeutique à grande échelle, réside dans le fait qu'elle utilise des ovocytes humains qui sont des cellules rares et difficiles à obtenir.

Certains scientifiques craignent que l'annonce de cette réussite, et la publication du protocole de clonage, n'incite des scientifiques peu scrupuleux à se lancer dans des tentatives de clonage reproductif. Actuellement, le clonage humain a été banni dans un grand nombre de pays. Cependant, si les avis sont unanimes contre le clonage reproductif, ils sont plus mitigés en ce qui concerne le clonage thérapeutique en raison de l'exceptionnel potentiel thérapeutique de cette technique

 

La position des religions
Face aux différents types de clonage, chaque religion a une opinion qui diffère. Certaines étant plus favorables que d’autres (Bouddhisme, Judaïsme, Protestantisme), mais d’autres complètement contre (Catholicisme, Islam, Orthodoxes).

  -Le Catholicisme : la religion catholique est une des seules religions à respecter un embryon « comme une personne humaine dès le moment de sa conception ». Partant du principe que l’homme est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, les catholiques voient d’un œil méfiant le clonage thérapeutique et sont radicalement contre le clonage reproductif. Cette religion interdit donc les recherches et des thérapies sur l’embryon vu que ceci viole ce principe.

De plus, en 1995, le pape Jean-Paul II, a annonce que « l'utilisation des embryons et fœtus comme objets d'expérimentation représente un crime contre la dignité des êtres humains ». A travers ce discourt, le pape a interdit tout type de clonage, thérapeutique ou reproductif.

-Le Protestantisme : La religion protestante est plus tolérante, sur ce sujet, que la religion catholique, sans pour autant être totalement en accord avec ce sujet. Elle analyse au cas par cas le clonage thérapeutique et accepte seulement s’il y a un apport pour les progrès génétiques. En contrepartie pour clonage reproductif elle est contre, mais elle autorise toutes recherches sur l’embryon, à condition que celles-ci soient bien encadrées, qu’il y ai une visée thérapeutique, une destruction rapide, et qu’il n’y ai pas de commercialisation des produits de l’embryons.

-Le Judaïsme : De même, le judaïsme accepte le clonage thérapeutique mais a la condition qu’il y a un apport thérapeutique. Contrairement a la plupart des autres religions, le judaïsme est en accord avec le clonage reproductif, pourtant il y a encore une condition cet avis, il faut que l’individu concerné soit stérile. Concernant les recherches sur l’embryon, elles sont autorisées sauf pour les embryons in utéro, et il faut qu’elles soient encadrées d’un point de vue ra rabbinique. Le judaïsme considère, contrairement au catholique, qu’un embryon est vivant, donc un humain, quarante jours après la conception.

 

-L’Islam : La religion islamique n’est en aucun cas pour le clonage, qu’il soit reproductif ou thérapeutique. A propos des recherches sur l’embryon; elles sont interdites car ceci déshumanise la vie, mais peuvent êtres autorisées si elles sont le seul moyen pour sauver une vie et même traiter un cas de malformation. Dans la religion islamique, un embryon n’est pas considéré un être humain jusqu'à sa nidification dans la muqueuse utérine.

 

-Le Bouddhisme : Le bouddhisme, comme le catholicisme, s’oppose catégoriquement au clonage thérapeutique, pourtant en ce qui concerne le clonage reproductif, cette religion l’autorise à la condition qu’il n’y a pas de modification de patrimoine génétique. De plus, le bouddhisme autorise les recherches sur l’embryon qu’en cas de bienfaits éventuels. La religion bouddhiste dit aussi que la seule limite éthique est la souffrance.

 

-Orthodoxe : Elles sont contre les recherches sur l’embryon, n’autorisent pas le clonage thérapeutique ou reproductif. Elle pense que un embryon est un être humain des la conception, mais proclame aussi que l’embryon n’est «ni un objet ni un produit commercialisable.»

 

En conclusion, chaque religion a une opinion différente. Pourtant c’est un débat constant. De plus la religion c’est étendu au fur et a mesure du temps et on peu trouver toutes ces religions dans chaque pays. Les pays ont du donc avoir des lois a eu même qui autorisent ou bannissent le clonage, thérapeutique ou reproductif, et les recherches sur l’embryon.


Pour les musulmans

Réponse du Docteur Yûsuf Al-QaradâwîUn des mérites de l'Islam est qu'il embrasse aisément le progrès scientifique et ne met aucune limite à la créativité dans les domaines de la science et de la technologie. Tout au long de l'histoire, on ne trouvera aucune preuve de conflit entre l'Islam et la science, contrairement aux autres religions où les conflits furent nombreux, à tel point d'ailleurs que des scientifiques furent persécutés et jugés pour leurs découvertes.
L'acquisition de la connaissance - essentielle pour le bien-être de l'humanité - est profondément enracinée en Islam. Elle est considérée comme une obligation de suffisance communautaire . La Communauté musulmane devrait avoir un nombre suffisant de scientifiques musulmans maîtrisant au plus haut degré les connaissances scientifiques, et ce, dans tous les domaines.Dans le Coran, Dieu dit qu'Il a accordé au genre humain un énorme potentiel et des talents lui permettant de découvrir les secrets de la nature et d'apprendre les lois de l'univers. L'être humain est en effet le vicaire de Dieu sur Terre et tout l'univers est à son service.Dieu, le Tout-Puissant, dit : "Ne voyez-vous pas que Dieu vous a assujetti ce qui est dans les cieux et sur la terre ? Et Il vous a comblés de Ses bienfaits apparents et cachés. Et parmi les gens, il y en a qui disputent à propos de Dieu, sans science, ni guidée, ni Livre éclairant." (Sourate 31, Luqmân, verset 20)."C'est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la terre, puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux. Et Il est Omniscient." (Sourate 2, La Vache, Al-Baqarah, verset 29).Par conséquent, puisque l'univers entier est au service de l'homme, il lui est permis de l'explorer et d'en sonder les secrets. Dieu le Tout-Puissant dit : "Il y a sur terre des preuves pour ceux qui croient avec certitude, ainsi qu'en vous-mêmes. N'observez-vous donc pas ?" (Sourate 51, Adh-Dhâriyât, versets 20 et 21).

On ne doit pas penser que les découvertes et le progrès de la science sont des transgressions envers Dieu : elles n'ont été accessibles que par l'aide et la guidance de Dieu. Le Tout-Puissant dit dans les premiers versets révélés du Coran : "Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, qui a créé l'homme d'une adhérence. Lis ! Ton Seigneur est le Très Noble, qui a enseigné par la plume. Il a enseigné à l'homme ce qu'il ne savait pas." (Sourate 96, L'Adhérence, Al-'Alaq, versets 1 à 5).Les découvertes peuvent être considérées parmi les signes que Dieu a promis de montrer à l'humanité : "Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que ceci (le Coran) est la Vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute-chose ?" (Sourate 41, Fussilat, verset 53).Notre religion nous enseigne que la science est sans limite. Dieu dit : "Et vous n'avez reçu qu'une faible part de connaissance." (Sourate 17, Le Voyage nocturne, Al-Isrâ', verset 85)."Et dis : "Ô mon Seigneur, accrois mon savoir !" (Sourate 20, Tâhâ, verset 114).

Ceci inclut toute sorte de connaissances utiles, qu'elles soient religieuses ou scientifiques, à condition qu'elles soient conformes à la foi et aux valeurs morales, et qu'elles ne soient pas livrées à elles-mêmes sans les restrictions de la religion, de l'éthique et de l'intérêt général.Dans le Coran, Dieu le Tout-Puissant nous donne deux exemples d'utilisation de la connaissance d'une façon inséparable de la religion.

 

 

Le travail sur soi-même: les priorités et la progressivité

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Le travail sur soi-même, de même que le rappel fait à sa famille et à ses frères et sœurs musulmans, ne sauraient consister en le simple fait d'édicter un grand nombre d'obligations et d'interdits. La révélation a choisi la voie de la formation formation des cœurs, de l'éducation, du pragmatisme et de la patience, et c'est cette voie qu'il nous faut suivre, aujourd'hui encore, pour vivre l'islam et faire le rappel de ses enseignements.

Aïcha, épouse du Prophète (sur lui la paix), raconte ainsi : "Parmi les premiers passages coraniques à avoir été révélés se trouve une sourate parmi les sourates mufassal, dans laquelle il est question du Paradis et de l'Enfer. C'est ensuite, lorsque les hommes furent retournés à l'islam, que le licite et l'illicite furent révélés. Si dès le début Dieu avait révélé : "Ne buvez plus d'alcool", les hommes auraient dit : "Nous ne le délaisserons jamais !". Si dès le début Dieu avait révélé : "Ne commettez plus l'adultère !", les hommes auraient dit : "Nous ne la délaisserons jamais !"…" (al-Bukhârî, 4707). Jundub ibn Abdillâh raconte lui aussi la même expérience, vécue en la compagnie du Prophète : "Nous étions, jeunes hommes, auprès du Prophète. Nous apprîmes alors la foi avant d'apprendre le Coran [= les lois coraniques]. Puis nous apprîmes le Coran, ce qui fit augmenter notre foi" (Ibn Mâja, 61) (cliquez ici pour découvrir ce que JUndub a désigné ici par le mot "foi").

En sus de la foi en l'existence, l'unicité et les noms et attributs de Dieu, en le jour dernier, etc., les Compagnons du Prophète apprirent aussi la morale : les devoirs et les interdits fondamentaux (Al-Muwâfaqât 2/93-94).

Ce n'est qu'après ce profond travail sur les cœurs que la révélation s'est mise à édicter obligations et interdits détaillés.

Et même ici, elle a choisi la voie du pragmatisme. Le texte coranique témoigne ainsi, aujourd'hui encore, de la patiente progression et de la pédagogie qui furent les siennes dans la mise en place de l'interdiction : l'exemple bien connu de la législation relative à l'alcool l'illustre parfaitement, puisqu'il montre une progression s'étendant sur une période de nombreuses années et comportant plusieurs étapes intermédiaires avant l'interdiction complète, survenue seulement, d'après un avis, en l'an 8 de l'hégire (Fat'h ul-bârî, 8/353), soit quelques... 18 années après le début de la prédication publique du Prophète. Et lorsque cette interdiction complète fut révélée, les musulmans étaient prêts à accueillir celle-ci au point que Anas ibn Mâlik raconte : "J'étais en train de verser à boire chez Abû Tal'ha, et à l'époque l'alcool que les gens buvaient était un alcool de datte. Le Prophète dépêcha une personne pour annoncer : "L'alcool a été interdit". (En entendant cela,) Abû Tal'ha me dit : "Va verser l'alcool dehors". Je sortis le faire. Il coula dans les ruelles de Médine…" (al-Bukhârî, 2332, Muslim, 1980). Les cœurs ayant été formés, une législation de ce genre ne pouvait en effet qu'être bien accueillie.

Aujourd'hui encore, il faut donc, d'une part, ne pas oublier le travail primordial sur la profondeur et l'intensité de la foi, et, d'autre part, comprendre les priorités (awlawiyya) par rapport à la situation d'un lieu donné, à un moment donné, pour rappeler graduellement obligations (wâjibât) et interdits (manhiyyât).

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A) Une objection formulée par certains frères et sœurs :

On entend parfois objecter à cela que cette progressivité était possible à l'époque où la révélation, elle-même graduelle, se faisait au Prophète (sur lui la paix), mais qu'aujourd'hui, l'ensemble des préceptes (et donc les obligations et les interdictions) ayant été donné et la révélation ne se faisant plus, nul ne peut plus déclarer permis ce que Dieu a déjà interdit.

En fait la réalité est plus nuancée :
– déjà il est certaines obligations (et certaines interdictions) dont le caractère même dépend du contexte dans lequel les musulmans vivent, en correspondance étroite avec les différentes situations (dawr makkî / dawr habashî / dawr madanî) que le Prophète et/ou ses Compagnons ont connues (lire à ce sujet notre article Comprendre les différences de situation) : pour les musulmans qui se trouvent dans une situation comparable à celle du Prophète quand il était à la Mecque, de nouveau l'action n'est pas instituée (mashrû') ;
– ensuite, s'il est certain qu'il est d'autres obligations et interdits qui sont aujourd'hui applicables même s'ils ont été révélés vers la fin de la mission du Prophète, ce qu'il faut comprendre c'est que personne ne remet en cause leur caractère (obligatoire ou interdit), celui-ci étant désormais définitivement établi : nous parlons seulement de la nécessité de respecter la progressivité dans le rappel (da'wa) de ces règles et dans le fait de les faire appliquer concrètement à l'échelle de la société (tanfîdh)...

A.a) La progressivité dans le rappel des règles :

C'est bien là ce que le Prophète (sur lui la paix) avait enseigné à Mu'âdh quand il l'avait envoyé au Yémen : il l'avait fait vers la fin de sa mission, quand la plupart des obligations et des interdictions de l'islam étaient déjà révélées ; et pourtant il lui avait bien recommandé d'être progressif lorsqu'il informerait ceux qui se convertiraient à l'islam des obligations leur incombant ; il lui avait dit : "Tu vas te rendre auprès de Gens du Livre. Que la première chose à laquelle tu les invites soit l'adoration de Dieu. Lorsqu'ils connaîtront Dieu, informe-les que Dieu a rendu obligatoires cinq prières dans la journée et la nuit. Lorsqu'ils feront cela, informe-les que Dieu a rendu obligatoire sur eux une aumône qui sera prise de leurs riches et donnée à leurs pauvres…" (al-Bukhârî, 1425, Muslim, 19, etc.). An-Nawawî écrit en commentaire : "...Le Prophète (sur lui la paix) a enseigné une progression dans l'invitation, commençant par le plus important, et ainsi de suite. Ne vois-tu pas qu'il a parlé d'abord de la prière puis de l'aumône, alors que personne n'a jamais dit qu'(après l'acceptation de l'islam) la prière devenait obligatoire mais non pas l'aumône ?" (Shar'hu Muslim, 1/198).

Au mois de ramadan de l'an 9 de l'hégire, une délégation de la tribu Thaqîf, qui avait auparavant combattu les musulmans, se rendit à Médine rencontrer le Prophète et embrasser l'islam. Parmi les choses qu'ils demandèrent au Prophète, il y avait que pendant trois années encore on ne fasse rien à leur temple dédié à leur idole al-Lât. Le Prophète refusa. Ils demandèrent qu'on le leur laisse deux années encore. Le Prophète refusa. Ils demandèrent une année. Le Prophète refusa. Ils finirent par demander qu'on le leur laisse un mois. Le Prophète refusa de s'engager à le laisser subsister pendant un laps de temps défini ("abâ 'alayhim an yada'ahâ shay'an mussamman"). Ils demandèrent que ce ne soit pas eux qui soient chargés de briser leurs idoles et qu'ils n'accomplissent pas les cinq prières quotidiennes. Le Prophète répondit : "Pour ce qui est du fait de briser vos idoles par vos mains mêmes, nous vous en déchargerons. (Mais) pour ce qui est de la prière : il n'y a pas de bien dans une religion dans laquelle il n'y a pas de prière" (Zâd ul-ma'âd 3/498-500). Ils demandèrent aussi qu'ils ne remettent pas d'aumône [= zakât] et ne mènent pas de lutte armée contre l'ennemi. Jâbir rapporte que "le Prophète dit après cela : "Bientôt ils donneront l'aumône et participeront à la lutte lorsqu'ils seront devenus musulmans"" (Abû Dâoûd, n° 3025). Voyez : le Prophète refusa de s'engager à ce que le temple idolâtre ne soit pas démoli immédiatement (c'était une nécessité pour l'Arabie ou pour le Hedjaz : cliquez ici pour lire notre article sur le sujet) ; de même, le Prophète refusa qu'ils ne se mettent pas à prier immédiatement après leur conversion à l'islam : "Il n'y a pas de bien dans une religion dans laquelle il n'y a pas de prière", leur dit-il. Mais pour ce qui est de démolir le temple et de briser leurs idoles, le Prophète accepta que ce ne soit pas eux qui le fassent, et il dépêcha deux Compagnons chez eux pour le faire à leur place ; de plus, le Prophète ne dit rien quand ils dirent qu'ils ne donneraient pas l'aumône obligatoire (la zakât) et ne participeraient pas à la lutte armée : ce n'est pas que le Prophète releva d'eux le caractère obligatoire de ces deux actes (puisqu'un acte obligatoire doit nécessairement être considéré obligatoire, cela relève de la croyance même) ; c'est qu'il savait qu'il s'agissait pour eux de progresser dans leur pratique de l'islam, selon le degré de priorité des actes, et qu'au bout d'un certain temps de pratique des actes prioritaires (notamment la prière), ils progresseraient et viendraient à la pratique des autres actes obligatoires : "Bientôt ils donneront l'aumône et participeront à la lutte lorsqu'ils seront devenus musulmans."

Lorsqu'il avait envoyé Mu'âdh ainsi que Abû Mûssâ au Yémen, le Prophète leur avait également recommandé ceci : "Rendez facile et non difficile. Donnez la bonne nouvelle et ne faites pas fuir". An-Nawawî écrit en commentaire : "Ce hadîth ordonne de donner la bonne nouvelle de la grâce de Dieu et de Sa grande Miséricorde, et interdit de faire fuir en ne mentionnant que les menaces de châtiment sans mentionner avec celles-ci les bonnes nouvelles. Ce hadîth enseigne d'être doux avec ceux qui se sont récemment convertis, de même qu'avec ceux qui sont enfants et adolescents, de même qu'avec ceux qui se sont repentis : il faut être doux avec eux et leur communiquer progressivement les actes de dévotion. Les enseignements de l'islam ont été révélés progressivement. Si on rend les choses faciles pour celui qui entre dans la dévotion ou qui veut y entrer, elles seront faciles pour lui, et le plus souvent il progressera et augmentera. Mais si on rend ces choses difficiles pour lui, il ne se mettra pas à les pratiquer ; et s'il les pratique, il ne le fera pas longtemps ou ne les appréciera pas" (Shar'h Muslim, 12/41). Car il faut comprendre qu'un homme ou un groupe d'hommes qui étaient jusqu'à présent éloignés de la religion ont besoin d'une certaine progressivité pour se mettre à pratiquer tout ce qui est obligatoire sur eux. Il faut être patient avec eux, tout en rappelant la nécessaire constance dans la pratique.

Aujourd'hui encore, il faut donc respecter la progressivité dans le rappel des règles. Et il faut savoir à ce sujet qu'en islam les croyances et la spiritualité sont fondatrices par rapport aux actes ; parmi les actes, ce qui est obligatoire est prioritaire par rapport à ce qui est facultatif ; se préserver de ce qui constitue une grande faute morale (kabîra) est prioritaire par rapport à arrêter ce qui constitue une petite faute morale (saghîra) ; obligation ou interdiction, un acte qui fait l'objet d'un consensus (mujma' 'alayh) doit être considéré prioritairement par rapport à un acte qui fait depuis les premiers temps de l'Islam l'objet d'une divergence d'avis entre les savants (mukhtalaf fîh).

A.b) La progressivité dans l'application concrète de celles des règles qui sont applicables dans le milieu où l'on vit :

Par rapport aux pays musulmans, il faut également respecter la progressivité dans l'application concrète des règles. C'est ce que met en exergue le récit suivant, avec Omar ibn Abd il-Azîz, le calife omeyyade célèbre pour sa justice et sa droiture : "وفيما يحكى عن عمر بن عبد العزيز أن ابنه عبد الملك قال له: "ما لك لا تنفذ الأمور؟ فوالله ما أبالي لو أن القدور غلت بي وبك في الحق." قال له عمر: "لا تعجل يا بني؛ فإن الله ذم الخمر في القرآن مرتين وحرمها في الثالثة؛ وإنى أخاف أن أحمل الحق على الناس جملة فيدفعوه جملة، ويكون من ذا فتنة"" : Un jour, Omar ibn ul-'Azîz fut ainsi questionné par son fils Abd ul-Malik : "Père, pourquoi n'appliques-tu pas [toutes] les choses ? Je ne me soucie pas que moi et toi ayons à supporter des difficultés à cause de la vérité". Le calife répondit : "Ne te presse pas, mon fils. Car Dieu a, dans le Coran, critiqué deux fois l'alcool, (puis,) la troisième fois, l'a interdit. Je crains que si j'applique d'un coup aux gens (tout) ce qui est vrai, ils rejettent d'un coup (tout ce qui est vrai) ; et que naisse à cause de cela une fitna" (Al-Muwâfaqât, ash-Shâtibî, 1/402). Voyez : l'alcool a été interdit en l'an 8 de l'hégire, et cette interdiction est complète et définitive, applicable pour tout musulman et musulmane quel que soit le lieu qu'il ou elle se trouve ; Omar ibn Abd il-Azîz parle bien, pourtant, de progressivité dans le fait de faire respecter sur la scène publique cette interdiction, par la société musulmane du début du 2ème siècle. Du début du 2ème siècle de l'hégire ! Aujourd'hui, en ce 15ème siècle de l'hégire, comment ne pas être pragmatique et ne pas tenir compte, avec les normes, de l'état des lieux ? Ibn ul-Qayyim écrit : "L'idéal (al-wâjib) est une chose et le réel (al-wâqi') est une chose. Le (bon) juriste est celui qui fait le lien entre idéal et réel et applique l'idéal en fonction des possibilités. Ce n'est pas celui qui provoque l'inimitié entre idéal et réel" (A'lâm ul-muwaqqi'în, 4/169).

Il ne s'agit pas de devenir paresseux et, au nom de la progressivité, se donner bonne conscience en remettant tout à des lendemains toujours plus lointains ; il s'agit concrètement de déterminer ce qui est applicable dans le contexte où l'on vit, puis de faire de la situation une fine analyse qui nous permette de :
– fixer les objectifs qui sont nôtres dans ce contexte (tahdîd ul-maqâssid),
– penser les moyens devant en permettre la réalisation (tahdîd ul-wassâ'ïl),
– enfin, déterminer les étapes devant rendre possible bi idhnillâh la concrétisation de ces moyens (tahdîd ul-marâhil) en fonction des priorités (fahm ul-awlawiyya) (lire à ce sujet As-Siyâssa ash-shar'iyya fî dhaw'i nussûs ish-sharî'ah wa maqâssidihâ, al-Qardhâwî, pp. 298-307).

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B) Récapitulatif :

Il faut comprendre les priorités dans le travail sur soi-même, sur le terrain, sur ses frères et sœurs. Sinon le risque est grand de faire des "islamisations de surface, creuses à l'intérieur".

Malheureusement, combien d'entre nous commencent aujourd'hui par ce qui devrait normalement être rappelé ou appliqué à la fin ! Pourtant le seul rappel ou la seule promulgation d'une règle ne change pas les hommes tant qu'elle n'est pas précédée et accompagnée d'une réforme des mentalités et des cœurs. L'échec de la tentative de prohibition de l'alcool aux Etats-Unis au début du XXème siècle grégorien le prouve. A comparer avec l'interdiction de l'alcool faite en Arabie au VIIème siècle grégorien sous la direction du Dernier des Messagers de Dieu, Muhammad (sur lui la paix) : ici l'interdiction fut non seulement réalisée de façon graduelle mais fut aussi et surtout précédée et accompagnée d'une profonde éducation spirituelle et morale.

Il faut donc, d'une part, graduellement rappeler les normes et les règles. Et il faut aussi et surtout, d'autre part, ne pas oublier le travail sur l'intensité de la foi : renforcer son lien avec Dieu, intensifier pour Lui l'amour et la crainte révérentielle dont tout croyant porte une parcelle dans les profondeurs de son cœur. Il faut commencer par le commencement, par là où a commencé le Coran, parler des rétributions de l'au-delà, évoquées dans le Coran et la Sunna… Alors nous pourrons inshâ Allâh vivre nous aussi ce que Jundub a raconté : apprendre la foi et apprendre les normes, la foi préparant le terrain pour l'acceptation des normes, et la connaissance et le respect concret ('amalan) des normes faisant augmenter la foi.

Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux).

http://www.maison-islam.com/articles/?p=53

    • e6un7

Le clonage entre la science et la religion

 

Le clonage des êtres humains

 Une équipe de recherche Sud Coréenne vient de démontrer la possibilité de cloner des embryons humains à des fins thérapeutiques. Cette nouvelle est une véritable révolution puisque jusqu'à présent, les spécialistes s'accordaient pour dire que leclonage de primates était extrêmement difficile à réaliser. Cette nouvelle avancée, qui ouvre des voies thérapeutiques encore difficilement évaluables, repose aussi avec d'autant plus de force la question du clonage reproductif humain.L'une des difficultés principales rencontrée lors du clonage de primates est la perte de facteurs essentiels aux divisions cellulaires, lorsque le noyau est retiré de l'oeuf.

Ces facteurs sont principalement des protéines constitutives d'une structure appelée le centrosome. L'absence de ces protéines entraîne un dysfonctionnement des centrosomes aboutissant à une mauvaise répartition des chromosomes lors de la division cellulaire, et donc à un chaos génétique (pour plus de précision lire notre article "Le clonage humain est actuellement presque impossible !") L'équipe de chercheurs a démontré que, bien que le processus de clonage demeure inefficace, celui-ci est néanmoins possible. Ils ont utilisé 242 oeufs provenant de dons de 16 femmes qui, simultanément, ont donné les cellules à partir desquels les noyaux ont été prélevés pour le clonage. Il est important de noter que les cellules "donneuses" du noyau utilisées dans cette expérience sont des cellules de soutien de l'ovule, présentes uniquement chez les femmes jeunes.Environ un quart des oeufs s'est développé jusqu'au stade du blastocyste(environ 100 cellules), stade à partir duquel des cellules souchesembryonnaires (CSE) peuvent être obtenues. L'efficacité est similaire à celle obtenue lors du clonage de la vache ou du cochon.

Cependant, les raisons de ce succès sur des cellules humaines demeurent encore inconnues. Il est possible que les techniques employées pour extraire le noyau de l'ovocyte, afin de l'énucléer, aient été plus douces que celles utilisées jusque-là. Parmi les 30 blastocystes cultivés, un seul a permis d'obtenir une lignée de CSE. Là encore, la raison de cette faible efficacité est encore inconnue, même si les chercheurs soupçonnent des anomalies génétiques non détectées qui pourraient en être la cause. Les cellules obtenues ont de nombreuses caractéristiques des cellules CSE, notamment celle de se diviser indéfiniment. Les CSE ont été capables de se différencier en différents types cellulaires, permettant ainsi d'obtenir différents tissus (cartilage, muscle, os), après injection chez la souris. Cette procédure fait naître l'espoir de pouvoir obtenir des cellules souches parfaitement adaptées aux besoins de la transplantation de tissus pour le traitement de maladies comme le diabète, la maladie de Parkinson, d'Alzheimer et même certains cancers. En effet, grâce au clonage, le problème du rejet, rencontré dans toutes les greffes, serait contourné.Cependant, nous sommes encore loin de cet objectif. En effet, il reste de nombreux obstacles à franchir, notamment celui de s'assurer que ces cellules sont bien différenciées et ne deviendront donc pas cancéreuses une fois injectées dans l'organisme. Une autre difficulté pour imaginer un jour utiliser cette technique thérapeutique à grande échelle, réside dans le fait qu'elle utilise des ovocytes humains qui sont des cellules rares et difficiles à obtenir.

Certains scientifiques craignent que l'annonce de cette réussite, et la publication du protocole de clonage, n'incite des scientifiques peu scrupuleux à se lancer dans des tentatives de clonage reproductif. Actuellement, le clonage humain a été banni dans un grand nombre de pays. Cependant, si les avis sont unanimes contre le clonage reproductif, ils sont plus mitigés en ce qui concerne le clonage thérapeutique en raison de l'exceptionnel potentiel thérapeutique de cette technique

 

La position des religions
Face aux différents types de clonage, chaque religion a une opinion qui diffère. Certaines étant plus favorables que d’autres (Bouddhisme, Judaïsme, Protestantisme), mais d’autres complètement contre (Catholicisme, Islam, Orthodoxes).

  -Le Catholicisme : la religion catholique est une des seules religions à respecter un embryon « comme une personne humaine dès le moment de sa conception ». Partant du principe que l’homme est créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, les catholiques voient d’un œil méfiant le clonage thérapeutique et sont radicalement contre le clonage reproductif. Cette religion interdit donc les recherches et des thérapies sur l’embryon vu que ceci viole ce principe.

De plus, en 1995, le pape Jean-Paul II, a annonce que « l'utilisation des embryons et fœtus comme objets d'expérimentation représente un crime contre la dignité des êtres humains ». A travers ce discourt, le pape a interdit tout type de clonage, thérapeutique ou reproductif.

-Le Protestantisme : La religion protestante est plus tolérante, sur ce sujet, que la religion catholique, sans pour autant être totalement en accord avec ce sujet. Elle analyse au cas par cas le clonage thérapeutique et accepte seulement s’il y a un apport pour les progrès génétiques. En contrepartie pour clonage reproductif elle est contre, mais elle autorise toutes recherches sur l’embryon, à condition que celles-ci soient bien encadrées, qu’il y ai une visée thérapeutique, une destruction rapide, et qu’il n’y ai pas de commercialisation des produits de l’embryons.

-Le Judaïsme : De même, le judaïsme accepte le clonage thérapeutique mais a la condition qu’il y a un apport thérapeutique. Contrairement a la plupart des autres religions, le judaïsme est en accord avec le clonage reproductif, pourtant il y a encore une condition cet avis, il faut que l’individu concerné soit stérile. Concernant les recherches sur l’embryon, elles sont autorisées sauf pour les embryons in utéro, et il faut qu’elles soient encadrées d’un point de vue ra rabbinique. Le judaïsme considère, contrairement au catholique, qu’un embryon est vivant, donc un humain, quarante jours après la conception.

 

-L’Islam : La religion islamique n’est en aucun cas pour le clonage, qu’il soit reproductif ou thérapeutique. A propos des recherches sur l’embryon; elles sont interdites car ceci déshumanise la vie, mais peuvent êtres autorisées si elles sont le seul moyen pour sauver une vie et même traiter un cas de malformation. Dans la religion islamique, un embryon n’est pas considéré un être humain jusqu'à sa nidification dans la muqueuse utérine.

 

-Le Bouddhisme : Le bouddhisme, comme le catholicisme, s’oppose catégoriquement au clonage thérapeutique, pourtant en ce qui concerne le clonage reproductif, cette religion l’autorise à la condition qu’il n’y a pas de modification de patrimoine génétique. De plus, le bouddhisme autorise les recherches sur l’embryon qu’en cas de bienfaits éventuels. La religion bouddhiste dit aussi que la seule limite éthique est la souffrance.

 

-Orthodoxe : Elles sont contre les recherches sur l’embryon, n’autorisent pas le clonage thérapeutique ou reproductif. Elle pense que un embryon est un être humain des la conception, mais proclame aussi que l’embryon n’est «ni un objet ni un produit commercialisable.»

 

En conclusion, chaque religion a une opinion différente. Pourtant c’est un débat constant. De plus la religion c’est étendu au fur et a mesure du temps et on peu trouver toutes ces religions dans chaque pays. Les pays ont du donc avoir des lois a eu même qui autorisent ou bannissent le clonage, thérapeutique ou reproductif, et les recherches sur l’embryon.


Pour les musulmans

Réponse du Docteur Yûsuf Al-QaradâwîUn des mérites de l'Islam est qu'il embrasse aisément le progrès scientifique et ne met aucune limite à la créativité dans les domaines de la science et de la technologie. Tout au long de l'histoire, on ne trouvera aucune preuve de conflit entre l'Islam et la science, contrairement aux autres religions où les conflits furent nombreux, à tel point d'ailleurs que des scientifiques furent persécutés et jugés pour leurs découvertes.
L'acquisition de la connaissance - essentielle pour le bien-être de l'humanité - est profondément enracinée en Islam. Elle est considérée comme une obligation de suffisance communautaire . La Communauté musulmane devrait avoir un nombre suffisant de scientifiques musulmans maîtrisant au plus haut degré les connaissances scientifiques, et ce, dans tous les domaines.Dans le Coran, Dieu dit qu'Il a accordé au genre humain un énorme potentiel et des talents lui permettant de découvrir les secrets de la nature et d'apprendre les lois de l'univers. L'être humain est en effet le vicaire de Dieu sur Terre et tout l'univers est à son service.Dieu, le Tout-Puissant, dit : "Ne voyez-vous pas que Dieu vous a assujetti ce qui est dans les cieux et sur la terre ? Et Il vous a comblés de Ses bienfaits apparents et cachés. Et parmi les gens, il y en a qui disputent à propos de Dieu, sans science, ni guidée, ni Livre éclairant." (Sourate 31, Luqmân, verset 20)."C'est Lui qui a créé pour vous tout ce qui est sur la terre, puis Il a orienté Sa volonté vers le ciel et en fit sept cieux. Et Il est Omniscient." (Sourate 2, La Vache, Al-Baqarah, verset 29).Par conséquent, puisque l'univers entier est au service de l'homme, il lui est permis de l'explorer et d'en sonder les secrets. Dieu le Tout-Puissant dit : "Il y a sur terre des preuves pour ceux qui croient avec certitude, ainsi qu'en vous-mêmes. N'observez-vous donc pas ?" (Sourate 51, Adh-Dhâriyât, versets 20 et 21).

On ne doit pas penser que les découvertes et le progrès de la science sont des transgressions envers Dieu : elles n'ont été accessibles que par l'aide et la guidance de Dieu. Le Tout-Puissant dit dans les premiers versets révélés du Coran : "Lis, au nom de ton Seigneur qui a créé, qui a créé l'homme d'une adhérence. Lis ! Ton Seigneur est le Très Noble, qui a enseigné par la plume. Il a enseigné à l'homme ce qu'il ne savait pas." (Sourate 96, L'Adhérence, Al-'Alaq, versets 1 à 5).Les découvertes peuvent être considérées parmi les signes que Dieu a promis de montrer à l'humanité : "Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que ceci (le Coran) est la Vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute-chose ?" (Sourate 41, Fussilat, verset 53).Notre religion nous enseigne que la science est sans limite. Dieu dit : "Et vous n'avez reçu qu'une faible part de connaissance." (Sourate 17, Le Voyage nocturne, Al-Isrâ', verset 85)."Et dis : "Ô mon Seigneur, accrois mon savoir !" (Sourate 20, Tâhâ, verset 114).

Ceci inclut toute sorte de connaissances utiles, qu'elles soient religieuses ou scientifiques, à condition qu'elles soient conformes à la foi et aux valeurs morales, et qu'elles ne soient pas livrées à elles-mêmes sans les restrictions de la religion, de l'éthique et de l'intérêt général.Dans le Coran, Dieu le Tout-Puissant nous donne deux exemples d'utilisation de la connaissance d'une façon inséparable de la religion.

 

 

La nudité entre la bible et l'islam

Nudité originelle et chute d’Adam

La première allusion biblique faite à la nudité est fondatrice. Adam et Eve dans le jardin d’Eden avant la faute étaient nus mais n’en avaient pas conscience et n’étaient pas gênés l’un à l’égard de l’autre ; c’est du moins ce que dit le texte hébreu en Genèse 2, 25.

Il importe de lire la suite (Genèse 3, 7) : lorsque Adam et Eve mangent le fruit de l’arbre défendu, « alors leurs yeux s’ouvrirent et ils surent qu’ils étaient nus ; ayant cousu des feuilles de figuier ils s’en firent des pagnes » (traduction de la TOB d’après le texte hébraïque de la tradition juive). Ils couvrent donc les parties du corps qu’ils perçoivent désormais comme honteuses. Lorsqu’ils entendent la voix de Dieu, ils se cachent et Adam explique « j’ai pris peur car j’étais nu et je me suis caché » et Dieu répond « qui t’a révélé que tu étais nu ? Tu as donc mangé de l’arbre dont je t’avais prescrit de ne pas manger » (Genèse 3, 10-11).

Les codes de la nudité occidentale reposent sur des passages bibliques (interdit visuel des organes génitaux : Adam et Eve, Noé et Canaan). Mais les chrétiens condamnent le péché et non le corps, créé par Dieu à sa ressemblance. Les degrés de nudité publique marquent le statut modeste du pauvre et du travailleur, l’» état de nature » du « sauvage », la désocialisation du réprouvé ou du condamné. Aux Temps modernes, les progrès de la « civilisation des mœurs » (N. Elias) exhaussent les seuils de la pudeur publique et privée. L’Occident est peuplé de représentations du corps nu, religieuses (Christ, martyrs, ascètes) et aussi profanes (le nu pictural), à partir de la Renaissance qui a réévalué les canons artistiques antiques.

L’interdit visuel des organes génitaux : Canaan et David

Un terrible récit, un peu plus loin dans la Genèse (9, 18-28) montre à quel point la vision des organes génitaux en cas de nudité intégrale peut constituer un interdit majeur considéré comme un crime s’il est enfreint : c’est le récit de l’ivresse de Noé et de la malédiction de Canaan. Après le déluge, Noé plante la vigne, fait du vin et s’enivre. Dans son ivresse, « il se dénuda à l’intérieur de sa tente ». Or un de ses trois fils, Cham, père de Canaan, entre dans la tente et voit la nudité de son père. Il avertit les deux autres, Sem et Japhet, qui trouvent une solution : mettant un manteau sur leurs épaules, ils en couvrent leur père et se retirent en marchant à reculons sans se retourner.

La nudité en Islam

Pour l'islam, la sexualité; et tout ce qui y a trait font partie de la nature humaine, et il n'y a pas de tabou qui y serait lié. L'instinct sexuel ne doit donc pas être considéré comme une mauvaise chose en soi. Mais cet instinct ne doit pas non plus être flatté sans cesse. En fait il doit être canalisé. Et c'est avec l'objectif de fournir à l'être humain cette orientation que l'islam lui offre, au sujet de la façon de vivre la sexualité comme au sujet de toute chose, des limites à respecter.
L'islam enseigne de plus que parler de choses intimes doit se faire avec dignité et en utilisant un langage plein de pudeur, comme l'a fait Dieu quand il dit dans le Coran : "… ne les approchez pas" (Coran 2/222) et "… avant que tous deux ne se touchent l'un et l'autre" (58/3).

La nudité; est généralement considérée comme une honte et la femme chaste entre furtivement sous le couvre-lit. Le Coran dit aux musulmans: « 0h vous Enfants d'Adam! Nous vous avons donné de quoi vous vêtir pour couvrir votre honte… » (7:26) « Ne laissez pas Satan vous séduire de la même manière qu'il a eu raison de vos parents au Jardin, les déshabillant pour exposer leur honte ». (7:27)
Dans le hadith 134 (Sahih Muslim), le Messager a dit: « Un homme ne devrait pas voir les parties intimes d'un autre homme, et une femme ne devrait pas voir les parties intimes d'une autre femme ». Il est également défendu aux hommes et aux femmes de voir les parties intimes du sexe opposé. Le mari peut se montrer devant sa femme et vice versa au moment du rapport sexuel, mais ce n'est pas souhaitable. C'est, cependant, admissible dans les cas de stricte nécessité, par exemple, lors d'un examen médical et d'un traitement. Pourtant, dans de nombreux cas, un mari n'a pas permis à sa femme sur son lit de mort de recevoir les soins d'un docteur homme.
Le hadith 135 (Sahih Muslim) raconte que les Enfants d'Israël ont perdu leur pudeur et se sont adonnés à la dépravation morale en se baignant nus l'un devant l'autre. Seul Moïse a pris son bain isolé. Cependant, un jour, il a laissé ses vêtements sur un roc et, le roc s'étant déplacé, Moïse a dû courir après lui. Pendant que Moïse rattrapait ses vêtements et châtiait le roc en le frappant, tout le monde avait eu le temps de le voir nu. Cela a clarifié une pomme de discorde: certains pensaient que Moïse était prude parce qu'il avait une hernie du scrotum.

http://rives.revues.org/2283

http://hraicjk.org/french/femmes_et_l'islam.html

http://www.maison-islam.com


islam pudeur relation hommes&femmes de mahdy... par mikeddy

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