referencer site web - referenceur gratuit - $(document).ready(function(){ chargementmenu(); });

Articles divers

"La disparition du racisme, comme c'est le cas chez les Musulmans, est une des réussites les plus marquantes de l'Islam et il y a dans le monde contemporain, une urgente nécessité à propager cette vertu islamique..."

A.J. Toynbee "Civilization on Trial", New York, 1948, p. 205.


Derniers billets publiés

Soubhana Allah: les crottes de nez sont un véritable filtre naturel !!

Les crottes de nez sont des accumulations de mucus. © Phovoir

« Les crottes de nez sont des sécrétions fabriquées par la muqueusenasale, explique Jean-Marc Juvanon, membre de la Société française d’otorhyno laryngologie. Il s’agit en fait de mucus plus ou moins riche en eau, qui finit par se dessécher et se durcit en leur donnant l’aspect de " crottes ". Le mucus produit par les muqueuses nasales est un fluide clair et visqueux. « Cette sécrétion naturelle est destinée à évacuer par le système mucociliaire, tout ce qui entre dans les fosses nasales. C’est une sorte de «tapis roulant », dont les cellules dotées de cils vibratiles entraînent le mucus vers le fond de la gorge. » Quant à la muqueuse nasale, elle agit comme un véritable climatiseur. Elle réchauffe et humidifie l’air inspiré, tout en le filtrant.

Un système dépassé

Le problème est que bien souvent, ce système bien rôdé est dépassé. Les microparticules inhalées (poussières, fumée de tabac, gaz d’échappement) s’accumulent. « Résultat, les glaires ou mucosités apparaissent », explique Jean-Marc Juvanon. Autrement dit les fameuses « crottes de nez ». Bien souvent d’ailleurs, celles-ci paraissent plus foncées chez les habitants des zones urbaines. Et oui, c’est la pollution…

Les infections modifient la sécrétion

« En cas d’agression virale, le mucus se surinfecte et des germes se développent. La consistance du mucus va passer du blanc d’œuf à un jaune épais, puis au vert ». C’est ce qui explique, en cas de grippe par exemple, l’apparition de glaires vert fluo. Cette couleur vient des neutrophiles, des globules blancs présents dans le mucus en cas d’infection.

http://www.futura-sciences.come6un7

 
 

Le sentiment amoureux serait né d'un cocktail chimique ?!

C'est l'état naissant d'un mouvement collectif à deux" dixit le sociologue Francesco Alberoni dans son livre "Le Choc amoureux ". Il existe toute forme d'amour : amour-amitié, amour-complicité, amour-maternel, amour-fraternel...  Mais celui qui nous importe le plus est bien évidemment le grand Amour. Ce lien si fort qui vous lie à une personne ; cette envie de tout partager, de construire un foyer, de vieillir à ses côtés.

Les scientifiques se sont mêlés de ce sujet et ont tenté de comprendre ce qu'est véritablement l'amour et ce qui nous différencie ainsi des autres animaux.

le cerveau agit face aux stimuli sensoriels perçus.
 
Le cerveau agit face aux stimuli sensoriels perçus. © Le cerveau à tous les niveaux
 

Un cerveau très émotif

Les neurobiologistes ont réussi à cerner les régions cérébrales qui s'activent pendant le processus amoureux. Les scientifiques parlent du cerveau "émotionnel" qui se situe essentiellement dans le système limbique. Il comprend différentes régions du cortex cérébral, des régions sous corticales comme l'amygdale, mais aussi l'hippocampe, la région ventrale du striatum, etc.

Bref, ces différentes zones cérébrales libèrent différentes molécules qui vont jouer un rôle très important dans le processus amoureux, à savoir le désir, le plaisir/souffrance et l'attachement. C'est ce dernier paramètre qui nous distingue des autres Vertébrés.

Au commencement : la passion...

La toute première sensation à se manifester est le désir soit de manière immédiate et explosive, le coup de foudre, soit au fur et à mesure, de manière progressive. A qui doit-on cette décharge d'excitation, de joie ? A l'adrénaline et à la dopamine bien sûr. Elles augmentent le rythme cardiaque, la vasodilatation des vaisseaux, d'où les rougissements embarrassants, ainsi que la sudation. Son action est renforcée par la phenyléthylamine, une amphétamine naturelle, qui accentue l'euphorie et l'excitation. Certains la qualifient d'hormone de la passion. 

... Ensuite vient l'attachement

Comme beaucoup de gens en ont fait l'expérience, la passion ne dure pas. Elle est fugace. La faute à notre cerveau ; les récepteurs spécifiques à la phenyléthylamine se saturent et perdent toute action. L'hypophyse, une glande du cerveau prend le relai et secrète deux autres neurotransmetteurs-hormonaux : la vasopressine et l'ocytocine. En plus de la dopamine, hormone du bonheur, ces deux molécules provoquent l'attachement.

L'ocytocine est l'hormone du premier attachement qui lie l'enfant à sa mère. Elle se déclenche à nouveau lors du premier rapport sexuel. Les neurobiologistes ont clairement établi le lien entre sa sécrétion et ses répercussions physiologiques et surtout

émotionnelles.

Source: L'internaute

 

 
e6un7

 

 

 

 

Attention: La saleté est excellente pour la santé!

La flore microbienne

Choses sales excellentes pour la santé

Les allergies sont provoquées par une réaction excessive du système immunitaire.

Convaincu qu'il est attaqué par de dangereux microbes, notre corps fait tout ce qu'il peut pour s'en débarrasser : il nous fait éternuer pour nettoyer nos poumons et nos fosses nasales, il produit du mucus qui s'écoule abondamment par notre nez, il nous fait pleurer pour nettoyer nos yeux, provoque une inflammation entraînant des rougeurs sur la peau et de la conjonctivite (yeux qui grattent) pour détruire les agents étrangers.

Ces réactions sont provoquées par un puissant cocktail d'histamines, de leucotriènes et de prostaglandines fabriquées par les mastocytes, des cellules du système immunitaire qui se trouvent sur nos muqueuses et qui servent à détecter les agents étrangers.

Mais nos mastocytes se trompent ! Nous ne sommes pas attaqués par un dangereux microbe, mais par d'innocents grains de pollen, poils de chats ou autres poussières.

Pour lutter contre les allergies, notre corps doit donc apprendre à distinguer les corps étrangers dangereux de ceux qui ne le sont pas.

Or, il ne peut apprendre que s'il est souvent confronté à une grande diversité de microbes.

L'hygiène excessive le prive d'occasions nécessaires de s'exercer.

C'est là une raison possible de la forte augmentation des allergies dans les sociétés industrialisées. À force de vouloir tout nettoyer, désinfecter, stériliser, nous avons déboussolé notre système immunitaire.

Alors qu'arrive le printemps et que s'annoncent les premières vagues de pollen, voici quelques découvertes récentes tout à fait passionnantes qui vous aideront à mieux lutter contre les allergies.

Le lave-vaisselle favorise les allergies
Des chercheurs de l'université de Gothenburg, en Suède, ont récemment découvert que les enfants élevés dans des maisons sans lave-vaisselle ont deux fois moins d'allergies que les autres [1].

Ils avaient beaucoup moins de tendance à l'eczéma, à l'asthme et au rhume des foins.

Cela pourrait être dû au fait que le lave-vaisselle chauffe à très haute température, bien plus fort que la chaleur que nous pouvons supporter en lavant notre vaisselle à la main.

Les ustensiles de cuisine sortent donc largement stérilisés du lave-vaisselle. La plupart des microbes ont été éliminés.

Les personnes qui mangent avec ces ustensiles sont donc moins exposées aux bactéries et autres antigènes (corps étrangers provoquant une réaction immunitaire). Leur système immunitaire est moins sollicité, il perd de sa précision et risque plus souvent de se tromper, de réagir alors que c'est inutile (provoquant des allergies).

Les aliments fermentés et les produits de la ferme diminuent le risque d'allergie
Les enfants qui mangent des aliments fermentés et des produits de la ferme non pasteurisés (beurre, fromage, lait), des fruits et des légumes ramassés tels quels et non traités, ont aussi moins d'allergies que les autres [2].

On peut là aussi faire un lien avec les bactéries et microbes avec lesquels les enfants sont en contact, et qui leur font un vaccin naturel.

Les recherches montrent que les femmes qui prennent des probiotiques (bactéries bonnes pour la santé) durant leur grossesse ont des enfants plus résistants aux allergies [3].

Les enfants qui prennent des probiotiques quotidiennement voient leur risque d'eczéma baisser de 58 % [4].

Concernant les aliments frais de la ferme, les enfants qui grandissent dans des intérieurs aseptisés, sans être en contact ni avec les animaux, ni avec la terre, les insectes, les plantes, les fleurs, les pollens, ont plus de risques de souffrir d'asthme et de rhume des foins que ceux qui vivent dans des maisons un peu sales.

Dans une étude, les enfants d'âge scolaire buvant du lait cru ont eu 41 % de risques en moins d'avoir de l'asthme, et 50 % de risques en moins d'avoir le rhume des foins que les enfants qui buvaient du lait UHT [5].

Autres choses « sales » qui peuvent être bonnes pour la santé
Notre société est obsédée par la propreté, en particulier pour les enfants. Mais il devient de plus en plus clair que le contact avec la nature, avec les choses naturelles considérées comme sales, est bon et sans doute même essentiel pour maintenir le corps en bon ordre de fonctionnement.

Un biochimiste de l'université du Saskatchewan au Canada a été jusqu'à prétendre, par exemple, que les crottes de nez, ou mucus nasal, ont un goût sucré afin de donner envie de les manger [6] !

En faisant cela, selon lui, les enfants introduisent des microbes pathogènes dans leur organisme. Ils stimulent alors leur système immunitaire, ce qui renforce leurs défenses naturelles.

Et il existe bien d'autres facteurs associés à une baisse des allergies : le fait d'avoir un chien ou des animaux domestiques ; le fait pour un bébé d'aller à la garderie avant l'âge de 1 an, le fait, encore, de recevoir un extrait d'acariens et d'autres allergènes deux fois par jour entre l'âge de 6 mois et 18 mois.

Les acariens sont un des allergènes les plus répandus. Ils déclenchent fréquemment les symptômes de l'asthme. Mais le contact régulier avec les acariens réduit l'incidence des allergies de 63 % chez les enfants à haut risque, dont les deux parents sont allergiques.

Des chercheurs ont aussi constaté que les bébés citadins exposés aux cafards, aux souris, aux acariens et à d'autres allergènes dans la poussière de la maison durant la première année de leur vie avaient moins de risques de souffrir d'allergies à l'âge de 3 ans.

La conclusion est claire : l'environnement est un facteur important d'allergie. Un enfant qui grandit dans une maison trop propre et éloignée de la nature souffrira d'un manque de stimulation de son système immunitaire.

Les bébés qui mangent de la cacahuète ont moins de risques d'allergie à la cacahuète

Entre 1 et 3 % des enfants en Europe occidentale, Australie et Etats-Unis, sont allergiques aux cacahuètes. Il est donc classique de conseiller aux parents de ne pas donner aux jeunes enfants de produits contenant de la cacahuète (arachides).

L'allergie aux cacahuètes est aussi en train de se répandre en Asie et en Afrique. Les réactions allergiques à la cacahuète peuvent varier en gravité, allant de difficultés à respirer au gonflement de la langue, des yeux et du visage, des douleurs d'estomac, des nausées, des démangeaisons et, dans les cas les plus graves, un choc anaphylactique pouvant conduire à la mort.

Cependant, une récente étude indique qu'éviter les cacahuètes dans l'enfance pourrait justement favoriser l'apparition des allergies. Les enfants qui, entre l'âge de 4 et 11 mois, ont reçu des aliments contenant de la cacahuète plus de 3 fois par semaine ont eu 80 % de risques en moins de développer une allergie à la cacahuète, par rapport à ceux qui n'en avaient jamais reçu [7].

Même chez les petits qui manifestaient déjà des signes d'allergie à la cacahuète, les chercheurs ont réussi à guérir l'allergie en donnant de toutes petites quantités de cacahuète et en augmentant progressivement la dose.

Notez bien que les cacahuètes entières doivent absolument être évitées avec les nourrissons qui risquent de s'étouffer. L'idéal est de donner aux enfants du beurre de cacahuète (peanut butter) en petites quantités.

Je me permets néanmoins de souligner que les cacahuètes sont loin d'être un aliment idéal. Je ne les recommande certainement pas pour nourrir les petits enfants. Le but de l'opération est uniquement d'éviter plus tard une allergie gênante mais aussi dangereuse.

Faites la vaisselle à la main… et autres conseils pour réduire le risque d'allergie

Si la théorie de l'hygiène est vraie, et les données s'accumulent dans ce sens, vous auriez intérêt à faire régulièrement la vaisselle à la main. Souvenez-vous simplement que la plupart des lave-vaisselle doivent être utilisés au moins une ou deux fois par mois pour éviter que certaines pièces ne se dessèchent et endommagent la machine.

Vous pouvez aussi éviter de devenir « trop propre », et ainsi aider à renforcer et réguler vos réactions immunitaires naturelles, en :

laissant vos enfants se salir. Laissez-les jouer dehors, gratter dans la terre, jouer avec des vers de terre, des insectes, des racines. Même s'ils mangent leurs crottes de nez, ce n'est pas la fin du monde.

Lorsque vous faites le ménage, contentez-vous régulièrement de faire la poussière, sans utiliser de produit désinfectant ou nettoyant.

Evitez les savons antibactériens et les autres produits ménagers qui désinfectent de façon trop brutale (eau de javel par exemple). Votre corps a besoin d'être exposé aux micro-organismes. Le simple savon et l'eau chaude suffisent amplement à vous laver les mains. Les antibactériens chimiques comme le triclosan sont très toxiques et favorisent la croissance de bactéries dangereuses.

Evitez les antibiotiques inutiles. Souvenez-vous que les antibiotiques sont inefficaces contre les infections virales (donc la plupart des rhumes, rhinites, grippes, gastro, otites) ; ils ne marchent que contre les infections bactériennes.

Mangez des produits bio, si possible que vous aurez cultivés vous-même dans votre potager, avec du bon compost et du bon fumier pleins de micro-organismes vivants.

Enfin, si vous faites partie des millions de personnes qui souffrent d'allergie, notez que vous pouvez faire de nombreuses choses sans aller remplir les poches de l'industrie pharmaceutique.

Mangez de la nourriture saine, naturelle, peu transformée (légumes et fruits frais), peu cuite, et même crue quand c'est possible, dont des aliments fermentés, optimisez votre taux de vitamine D. Corrigez votre ratio oméga-3/oméga-6 (qui doit être idéalement entre 1/1 et 1/5, non 1/20 ou 1/30 comme c'est en général le cas dans le régime moderne) et vous donnerez à votre système immunitaire les bons fondements pour se réguler naturellement.

Pour un soulagement immédiat de vos symptômes allergiques, irriguez vos sinus avec un spray d'eau de mer, essayez l'acupuncture et servez-vous de la plante suprême contre les allergies, le plantain qui est à la fois émollient, adoucissant, anti-inflammatoire, expectorant, antispasmodique bronchique et immunostimulant :

Contre les rhinites asthmatiques et l'asthme : prendre 3 gélules d'extrait sec par jour.

En cas de conjonctivite, appliquer sur les yeux clos une compresse imbibée d'une infusion à 4 % de feuilles de plantain (40 grammes de feuilles pour 1 litre d'eau).

Il existe également de très nombreuses solutions en gemmothérapie (bourgeons), aromathérapie (huiles essentielles) et oligothérapie (éléments-trace) qui sont détaillées dans le dernier numéro de Plantes & Bien-Être, dans un dossier passionnant réalisé par Danielle Roux, qui est docteur en pharmacie et l’une des meilleures spécialistes européennes de phytothérapie (médecine par les plantes). Je ne peux que vous recommander de vous procurer ce numéro, qui est d'ailleurs offert actuellement avec tout abonnement d'essai (satisfait ou remboursé) à Plantes & Bien-Être. Vous bénéficiez en outre en ce moment d'une réduction importante sur le prix l'abonnement (plus d'information sur Plantes & Bien-Être ici).

Pour un traitement de fond de vos allergies, envisagez une désensibilisation chez un allergologue. Enfin, si vous avez des enfants, envisagez très sérieusement avec votre pédiatre de leur donner régulièrement de la cacahuète sous forme de beurre de cacahuète. La même approche avec les autres allergènes pourrait fonctionner également pour empêcher l'apparition future d'allergies.

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

 

Sources :

Cet article est partiellement traduit et adapté du Dr J. Mercola : Got Allergies? Here’s How Dishwashers Can Hurt You and Peanuts Can Help You

[1] Allergy in Children in Hand Versus Machine Dishwashing

[2] Eat Dirt - The hygiene hypothesis and allergic diseases

[3] The effects of selected probiotic strains on the development of eczema (the PandA study).

[4] Voir article du New England Journal of Medicine cité à la note 2.

[5] The protective effect of farm milk consumption on childhood asthma and atopy: The GABRIELA study

[6] Don't Pick Your Nose: Never Mind, Boogers May Be Good for You

[7] The Surprising Way to Treat Peanut Allergies

 

http://www.santenatureinnovation.com/

 

 

 

 

La fourmi, découverte d'un antibiotique dernière génération

Fourmi myrmecologie

La fourmi, la clé de l’antibiotique de demain
Les fourmis ont utilisé des antibiotiques bien avant nous, les humains. Selon une nouvelle étude, elles pourraient permettre de développer des antibiotiques plus forts, à une période où les bactéries sont de plus en plus résistantes.

Icefront/Epictura

Etre une fourmi dans une fourmilière, c’est comme être un humain dans une ville surpeuplée. La proximité avec ses voisins élève la menace d’épidémie. Il faut donc se protéger. Des millions d’années avant de croiser notre chemin, les fourmis ont utilisé des antibiotiques. Pour contrôler les infections, susceptibles de détruire leurs nids. Une nouvelle étude, publiée dans le journal Royal Society Open Science, démontre que les fourmis pourraient nous permettre de développer de nouveaux antibiotiques, plus efficaces face aux bactéries résistantes.

La fourmi voleuse, fabricante d’antibiotiques puissants


Les chercheurs ont analysé vingt espèces de fourmis différentes, en réalisant des prélèvements sur leur surface. Les écouvillons - petite brosse qui sert à faire des prélèvements - ont ensuite été mélangés à des bactéries. Si les bactéries se développaient moins avec certains écouvillons, c’est que les fourmis étaient enrobées d’un anti-bactérien.

Parmi ces vingt espèces de fourmis, les chercheurs ont trouvé leur championne: la fourmi voleuse. Cette dernière a fabriqué les antibiotiques les plus puissants trouvés à ce jour. Ceux prélevés à sa surface ont tué toutes les bactéries de l’expérience.


Éviter le manque d'antibiotiques

Depuis quelques temps, les chercheurs se tournent à nouveau vers la nature pour travailler sur les micro-organismes. Au coeur de leurs préoccupations : le manque d’antibiotiques à venir, dans un futur proche.Peu de nouveaux antibiotiques ont été découverts ces derniers temps et en parallèle, les bactéries deviennent de plus en plus résistantesà ceux que l’on connait déjà.

Quand une bactérie devient trop résistante, elle provoque une infection plus difficile à traiter. Rien qu’en Europe, le Centre européen de contrôles des maladies évalue à 25 000 le nombre de décès par an, liés à la résistance aux antibiotiques. 

Source :Futura sciences

 

Lire la suite

Pourquoi les escargots bavent-ils ?

 

La vraie question est comment peuvent-ils marcher sur un pied dans de la glue ? Car le mucus gluant que produisent les escargots et les limaces n’est pas seulement un lubrifiant, c’est aussi une colle. On peut même le décrire comme « visco-élastique ». En exerçant différents efforts de torsion avec son pied sur le mucus, le mollusque peut en modifier les propriétés. Résultat : il glisse gracieusement sur une surface rugueuse à un moment donné, et le suivant, fait de l’escalade à la verticale !

Mais d’où vient cette bave ? Elle est produite par plusieurs grosses glandes situées dans le pied de la bête. Ces glandes sont remplies de cellules dites à gobelet qui fabriquent des glycoprotéines (des protéines sur lesquelles sont fixées un grand nombre de molécules de sucres). Notre organisme comporte lui aussi des glycoprotéines que l’on retrouve dans le mucus de la gorge et du nez.

Pour voir un mollusque en action, persuadez un escargot de ramper sur une vitre et observez-le de l’autre côté. Vous le verrez glisser sur la bave émise au centre de son pied, alors que les muscles des bords de ce même pied ondulent et le propulsent vers l’avant ! Scotchant, n’est-ce pas ?

 

http://www.futura-sciences.com/magazines/nature/infos/qr/d/nature-bave-escargot-limaces-escargots-bavent-ils-107/

Créer un site internet avec e-monsite - Signaler un contenu illicite sur ce site