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Articles divers

"La disparition du racisme, comme c'est le cas chez les Musulmans, est une des réussites les plus marquantes de l'Islam et il y a dans le monde contemporain, une urgente nécessité à propager cette vertu islamique..."

A.J. Toynbee "Civilization on Trial", New York, 1948, p. 205.


Derniers billets publiés

Pourquoi pleure-t-on lorsque l'on est très heureux ?

 
Lorsqu'arrive un événement très heureux dans notre vie, beaucoup d'entre nous ne peuvent s'empêcher de verser quelques larmes. Et les situations sont très diverses, des parents qui voient leur enfant recevoir leur diplôme, un couple d'amoureux qui se retrouve après une absence prolongée ou encore des sportifs qui gagnent une rencontre. Mais pourquoi pleurons-nous là où nous devrions sourire ou rire ? Les larmes de joie auraient une explication scientifique.

Selon Oriana Aragon, pleurer après une émotion positive très forte permet de restaurer l'équilibre émotionnel. La scientifique et son équipe, issus de l'université de Yale, ont réalisé une expérience dont les résultats seront très prochainement publiés dans la revue Psychological Science.

Afin de vérifier cette hypothèse, l'équipe scientifique a demandé aux participants à l'étude de visionner une série de photos de bébés dont certains avaient des traits plus infantiles que d'autres (un visage plus rond et des yeux plus grands notamment). Leurs réactions ont ensuite été mesurées et mises en parallèle avec le degré d'infantilité des nourrissons.

Alors que les enfants qui paraissaient les plus infantiles ont suscité des réactions d'attention plus importantes, ils ont également provoqué des réactions « d'agression » plus grandes. Les participants ont en effet manifesté un besoin de les protéger et de s'en occuper, et dans le même temps de leur pincer les joues et de les « manger tout cru ».

Pour les chercheurs, ces situations de « dimorphisme d'expression », dans lesquelles un événement positif est accompagné d'une réaction émotionnelle négative permettrait de réguler les émotions positives très fortes et donc de retrouver un équilibre émotionnel plus rapidement. Et en effet, ils ont constaté que les personnes qui présentaient ce type d'expression montraient une diminution plus importante des émotions positives cinq minutes après avoir visionné les images.

A l'inverse, ce type de comportement pourrait également expliquer les situations où l'on « rit jaune », dans lesquelles un rire ou un sourire fait suite à une émotion négative.
 
 
http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/pourquoi-pleure-t-on-lorsque-l-on-est-tres-heureux
 
 

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Quels sont les plantes, les épices et les aliments anti-âge ?

Vieillesse

Les plantes, les antioxydants et notre santé

Les aliments et les plantes peuvent agir de deux facons. Ils sont eux-mêmes riches en antioxydants ou bien ils aident notre propre système antioxydant interne. Rappelons que les antioxydants sont des molécules qui, apportées par notre alimentation, sont également produites par l'organisme. Elles aident à lutter contre les radicaux libres, des molécules qui accélèrent le vieillissement. Les mettre régulièrement au menu est une excellente facon de lutter contre le vieillissement.

Précisons que ces aliments, épices et plantes, aussi bénéfiques soient-ils, doivent accompagner une alimentation variée et équilibrée. Pas question de manger à l'excès des pruneaux et des épinards, et de négliger les autres aliments.

 

Les plantes les plus antioxydantes

  • Thé
  • Ginkgo biloba
  • Ginseng

Les aliments les plus antioxydants

  • Pruneau, prune
  • Raisin sec, raisin noir
  • Myrtille, mûre, framboise, fraise, cerise
  • Kiwi
  • Pamplemousse rose
  • Ail
  • Chou frisé, chou de Bruxelles
  • Épinard
  • Brocoli
  • Betterave
  • Poivron rouge
  • Oignon

Les épices les plus antioxydantes

  • Gingembre
  • Curcuma
  • Poivre noir
  • Muscade
  • Vanille

 

http://www.e-sante.be/quels-sont-plantes-epices-aliments-anti-age/actualite/1234

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-quels-sont-les-aliments-riches-en-antioxydants-_6295.html

 

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Soubhana Allah; des cellules fœtales viennent à la rescousse de la mère en cas de maladie

Echange cellulaire entre le f tus et sa mere

 

Durant toute grossesse, il existe un échange cellulaire entre mère et fœtus. Des cellules souches hématopoïétiques ou mésenchymateuses constituent une partie des cellules fœtales transférées dans la circulation maternelle et pourraient constituer un réservoir de cellules. .

Les échanges entre le sang de l'enfant et celui de sa mère se fait par l'intermédiaire du placenta, auquel l'embryon est relié via le cordon ombilical.

Le placenta (gâteau en latin) est l'organe reliant le futur bébé et le corps maternel au niveau de l'utérus, permettant les échanges entre le futur bébé et la mère. De plus, il produit les hormones de la grossesse. A terme, c'est un disque de 20 cm de diamètre, de 3 cm d'épaisseur et pesant environ 500 g.

Grâce à la membrane des villosités placentaires (Replis du tissu placentaire qui baignent dans le sang maternel, permettant les échanges entre la mère et le fœtus), le sang maternel et celui du fœtus restent toujours séparé. Ces villosités forment un filtre.

Chaque heure, 4 litres de sang sont filtrés par le placenta. La plupart des bactéries sont arrêtées mais certains virus (par exemple celui responsable de la toxoplasmose) passent la barrière placentaire. C'est aussi le cas de certaines drogues et du tabac. Il ne faut prendre aucun médicament sans connaître le risque de passage et de l'effet éventuel sur le fœtus.

Le cordon ombilical relie le nombril du futur bébé au placenta (et non pas au nombril de la maman comme on l'imagine parfois...). Les veines du cordon ombilical puisent du sang oxygéné et plein de nutriments dans le placenta et l'artère ombilical rejette le sang chargé de déchets et de dioxyde de carbone du fœtus.

Echange cellulaire entre le fœtus et sa mère

Durant toute grossesse, il existe un échange cellulaire entre mère et fœtus. Des cellules souches hématopoïétiques ou mésenchymateuses constituent une partie des cellules fœtales transférées dans la circulation maternelle et pourraient constituer un réservoir de cellules. .

Une cellule souche est une cellule indifférenciée, capable de s'autorenouveler, de se différencier en d'autres types cellulaires et de proliférer en culture. Les cellules souches sont issues soit de l'embryon, soit du fœtus, soit de tissus adultes avec ou sans transformation, elles peuvent aussi être obtenues par transfert de noyau. Grâce à ces propriétés, elles peuvent servir à régénérer ou recréer des tissus détruits : c'est la thérapie cellulaire.

Rôle des cellules souches

Les cellules souches ont différentes fonctions dans les organismes.

À l'état fœtal ou dans les premières phases du développement embryonnaire, elles se multiplient pour générer peu à peu toutes les cellules du corps, qu'elles soient différenciées ou non.

Dans les tissus adultes, les cellules souches sont beaucoup plus rares et regroupées dans des régions particulières des organes. Elles contribuent au renouvellement naturel des tissus (un globule rouge vit en moyenne 120 jours et doit être remplacé, par exemple) ou à leur réparation en cas de lésion. Cependant, tous les organes n'en sont pas pourvus, comme le cœur et le pancréas.


Des Cellules du Fœtus Survivent dans le Sang Maternel

C'est vrai : des cellules fœtales peuvent franchir la barrière que le placenta constitue entre la mère et son enfant. On le sait depuis la découverte en 1969 de cellules masculines (porteuses du chromosome Y) dans le sang de femmes enceintes de garçons.

Nornalement, des cellules fœtales ne devraient pas pouvoir passer la barrière du placenta, censée n'autoriser que les échanges nécessaires à la nutrition et à l'oxygénation du fœtus à travers les vaisseaux sanguins maternels et fœtaux qui s'y côtoient étroiement. Et quand bien même elles y parviendraient, elles devraient être immédiatemenl éliminées par le système immunitaire maternel, puisque son rôle est de traquer dans l'organisme tout élément étranger.
Comment sont-elles alors arrivées là ? Eh bien, cela reste un mystère complet ! Il est vrai que la présence de ces cellules est difficile à étudier. "En eflet, il n'y a que de une à trois cellules fœtales par millilitre de sang maternel, dans lequel elles sont mélangées à 10 millions de globules blancs et 5 milliards de globules rouges", explique Patrizia Paterlini, de l'unité Inserm carcinogenèse hépatique et virologie moléculaire de l'hôpital Necker, à Paris. Plusieurs types de cellules s'échappent ainsi du fœtus : des globules blancs et rouges, des cellules du placenta (lui-même constitué de cellules fœtales et de cellules maternelles), et des cellules "précurseurs" qui peuvent donner naissance à plusieurs types de cellules sanguines. Et le plus étonnant, c'est que ces dernières peuvent persister dans l'organisme maternel après l'accouchement pendant... des décennies ! A tel point qu'on a trouvé des cellules fœtales dans le sang d'une femme ayant accouché 51 ans auparavant. Phénomène également observé en cas de fausse couche ou d'avortement.
On a d'abord cru que ces cellules baladeuses s'attaquaient à la mère, un peu comme des cellules greffées détruisent parfois l'organisme qui les accueille (c'est la réaction du greffon contre l'hôte). Dans ce scénario, les cellules fœtales étaient alors désignées comme l'origine d'un dérèglement du système immunitaire, causant des maladies auto-immunes telles que le lupus ou la sclérodermie. D'ailleurs, les femmes souffrant de sclérodermie ont de 20 à 50 fois plus de cellules fœtales dans le sang que les femmes en bonne santé. "Cette hypothèse est possible, mais d'autres facteurs entrent forcément en jeu dans le déclenchement de ces maladies", tient à souligner Diana Bianchi, du Tufts University School of Medicine à Boston, qui penche pour un rôle autrement plus positif des cellules fœtales. Un rôle crucial, même : elles pourraient constituer une réserve de cellules souches venant à la rescousse de la mère en cas de maladie. Un mécanisme qui a été mis en évidence chez la souris. "On sait avec certitude que les cellules fœtales se dirigent vers des tissus préalablement lésés, comme le foie, et qu'elles les réparent en créant un tissu sain", explique Diana Blanchi.

UNE ARMÉE DE CELLULES FŒTALES

Dans la peau, elles peuvent créer de nouveaux vaisseaux sanguins ; et dans le cerveau, de nouveaux neurones. Car c'est là toute leur qualité : elles sont capables de se différencier en fonction du tissu malade qui les recrute". Ce qui expliquerait d'une tout autre manière le fort taux de cellules fœtales présentes en cas de maladie auto-immune : sorte d'armée appelée en renfort, ces cellules constitueraient une véritable thérapie cellulaire qui, pour Diana Bianchi, "conférerait un avantage évolutif aux femmes ayant enfanté".
Mais si leur rôle semble aujourd'hui éclairci, leur capacité à échapper au système immunitaire de la mère reste, elle, une énigme. Pour réussir à circuler librement, les cellules fœtales empêchent peut-être certaines protéines, susceptibles de révéler leur imposture, de s'afficher à leur sufface, et passent ainsi inaperçues du système immunitaire... mais pas des médecins. De fait, tandis que se poursuivent les recherches fondamentales, ces derniers sont aujourd'hui capables d'isoler ces cellules et de les utiliser pour effectuer un diagnostic précoce du fœtus à pàrtir d'une simple prise de sang de la mère.

http://planete.gaia.free.fr/animal/homme/bio.embryon/cellules.foetus.html

http://e-sante.futura-sciences.com

http://www.chambon.ac-versailles.fr/science/sante/repr/bb.htm

 

  • e6un7

 

Tomber malade à cause des « courants d’air » n'est que du vent !

Rhume

« Ferme cette porte ! Y’a un courant d’air ! Tu vas nous faire attraper la mort ! » « J’ai mal au dos ! Ce doit être un courant d’air ! »

Le courant d’air est un peu le croque-mitaine de la médecine. Personne ne le voit, mais il serait la cause de beaucoup de nos maux : rhume, grippe, lumbago, etc.

Pour les maladies infectieuses (rhume, angine, etc.), voir Prendre froid. Le frisson ressenti n’est pas dû à un courant d’air, mais à l’attaque traîtresse et lâche du microbe qui a réussi à s’insinuer subrepticement dans votre organisme.

Un rhume également appelé rhinite ou coryza aigu est occasionné, pour rappel, par un virus. Contrairement à une idée reçue, le froid, une chute brusque des températures, une météo glaciale ou encore des courants d’air n’entraînent pas de rhume…mais plutôt un virus qui sera dans les parages. Mais pourquoi souffre-t-on dès lors davantage de rhume et/ou de refroidissement en hiver ? La chute du thermomètre n’est pas à incriminer mais bien le fait que de nombreuses personnes restent cloîtrées à l’intérieur dans des espaces relativement confinés, restreints. Vu leur proximité, ils augmentent ainsi le risque de contagion.

Plus le nombre de personnes est grand dans un espace confiné, plus le risque de transmettre et/ou d’attraper un virus sera élevé. Notez que l’on dénombre environ une centaine de virus qui peuvent occasionner un rhume voire un refroidissement. Ces virus, comme pour toute infection virale, sont fortement contagieux. Il suffit que quelqu’un d’enrhumé éternue et que les particules virales soient respirées dans l’air ou encore de serrer la main d’une personne malade qui vient par exemple de se moucher sans avoir pris la peine de se laver les mains pour être contaminé. A ce titre, les poignées de porte, les robinets, les claviers d’ordinateur, les gsm, les clés sont de grands vecteurs de contamination.

Nous savons aussi depuis le début du siècle que le fait de faire du courant d’air en ouvrant portes et fenêtres permet de diminuer la concentration microbienne dans les pièces. Donc, non seulement les courants d’air ne sont pas la cause des maladies, mais au contraire ils les dispersent.

Pour les lumbagos et autres douleurs musculaires, le muscle est lésé par l’effort et non par le courant d’air. Le froid sur le muscle lésé ne fait qu’aggraver la sensation douloureuse

 

http://tatoufaux.com/?Les-courants-d-air

http://www.passionsante.be/INDEX.cfm?fuseaction=art&art_id=8221

 

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La douleur est une miséricorde d’Allah

Douleur

La douleur est une miséricorde d’Allah. De nombreuses personnes ne savent pas qu’il s’agit d’une bénédiction, car la douleur est synonyme que quelque chose ne va pas dans leur corps et qu’il est temps d’aller voir un médecin. S’il n’y avait pas de douleurs, comment les gens sauraient-ils qu’ils ont des problèmes d’estomac ou des calculs rénaux ? Si elle ne se faisait pas sentir aussi rapidement, la “maladie” resterait inconnue jusqu’à ce qu’elle s’intensifie et devienne d’une façon ou d’une autre perceptible. Mais dans Sa miséricorde, Allah fait en sorte que les personnes ressentent les symptômes de chaque maladie afin d’être diagnostiquée à l’avance

Qu’est-ce que la douleur?
L’Association internationale pour l’étude de la douleur note que la douleur est « une expérience sensorielle et émotionnelle déplaisante associée au dommage actuel ou potentiel des tissus ». La douleur est très personnelle et subjective. Contrairement à la fièvre, pour laquelle un thermomètre peut indiquer si vous faites beaucoup de température, il n’y a aucune façon objective de mesurer la douleur que vous éprouvez.


Comment sentons-nous la douleur?
Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi vous ressentez la douleur? Habituellement, la douleur est le système d’avertissement de votre corps. Elle vous prévient que quelque chose ne va pas. Les cellules nerveuses, également appelées « neurones », transmettent les signaux de vos cinq sens vers votre cerveau. Certains neurones, appelés « nocicepteurs », se spécialisent à lancer des signaux de douleur. Ces neurones de la douleur se trouvent dans toute votre peau et dans tous les autres tissus de votre organisme. Lorsque les neurones de la douleur sont stimulés, ils lancent des signaux électriques et chimiques à travers les nerfs de la moelle épinière jusqu’à votre cerveau qui les interprète comme de la douleur.


Quels sont les différents types de douleur?
Tout le monde a fait l’expérience de la douleur. Cela peut avoir été de la douleur aiguë, comme celle provenant d’une aiguille ou d’une coupure, ou encore de la douleur chronique due à un problème persistant, comme l’arthrite.


La douleur aiguë
La douleur aiguë est appelée douleur « ordinaire » ou « nociceptive ». C’est celle que vous ressentez lorsque vos nerfs lancent des messages à partir des tissus blessés de votre organisme. Tout le monde a ressenti de la douleur aiguë. C’est le type de douleur que vous éprouvez lorsqu’on vous pique pour une analyse de sang ou lorsque vous vous faites une entorse à une cheville. Cette douleur est temporaire; elle dure de quelques minutes à plusieurs semaines. La douleur aiguë disparaît avec la guérison et elle se traite d’habitude facilement. Elle peut souvent être soignée par une approche simple utilisant des médicaments, des moyens physiques (chaleur, froid, repos) ou des stratégies psychologiques (distractions, respirations profondes).

La douleur aiguë est utile, parce qu’elle vous empêche de vous blesser. La douleur aiguë vous alerte à propos d’un dommage actuel ou imminent. Par exemple, si vous marchiez pieds nus sur un morceau de verre, votre cerveau reconnaîtrait rapidement la douleur et vous avertirait d’enlever votre pied. Vous sauriez également que vous pourriez avoir besoin de soins médicaux. De cette manière, la douleur aiguë peut vous aider à vous protéger contre des situations nocives.  


La douleur chronique
La douleur chronique est une douleur qui dure depuis au moins trois mois. La douleur chronique est également toute douleur récurrente qui apparaît au moins trois fois en trois mois. La douleur chronique peut être :

persistante : douleur continue
récurrente : fréquents épisodes de douleur comme les maux de tête


Contrairement à la douleur aiguë, la douleur chronique n’a aucun objectif utile; c’est une réponse prolongée et anormale à une blessure. Vous pouvez la considérer comme un mauvais fonctionnement du système d’alarme de votre corps, qui lance des signaux de danger sans raison valable. La douleur chronique peut être associée à des maladies comme l’arthrite et le cancer, ou elle peut tout simplement se produire sans raison connue (idiopathique). À la différence de la douleur aiguë, la douleur chronique ne sert pas à grand-chose sauf de rappeler à la personne que sa maladie est continue et qu’elle exige un traitement permanent. La plupart des gens qui sont aux prises avec la douleur souffrent de douleur chronique. Il faut la gérer minutieusement pour améliorer le fonctionnement. Elle est généralement plus difficile à traiter que la douleur aiguë, et elle exige une approche multimodale. Une telle approche utilise une combinaison de médicaments ainsi que de la physiothérapie et une psychothérapie. Il y a également des équipes spécialisées dans la douleur chronique qui utilisent une approche interdisciplinaire (médicaments, soins infirmiers, physiothérapeutes, psychologues, etc.) pour traiter la douleur. Il y a deux types de douleur chronique : la douleur nociceptive et la douleur neuropathique.


La douleur nociceptive
La douleur nociceptive est le type de douleur chronique le plus fréquent. C’est celle que vous ressentez quand vos nerfs lancent des messages à partir des tissus blessés ou irrités. Elle peut être causée par la pression, par des températures extrêmement chaudes ou froides, ou par des signaux chimiques envoyés par certains tissus en réponse à une blessure, par exemple, par des articulations endommagées par l’arthrite ou par des muscles douloureux à cause d’une tension chronique.


La douleur neuropathique
L’autre type de douleur chronique est la douleur neuropathique. Cette douleur chronique n’est pas causée par des nerfs qui transmettent des messages au cerveau que des tissus sont blessés ou irrités. La douleur neuropathique est plutôt causée par un dommage à un nerf ou par un problème du système nerveux. Les nerfs endommagés lancent des messages anormaux de douleur au cerveau.

La douleur neuropathique est difficile à diagnostiquer, étant donné qu’il n’y a souvent aucun signe de maladie. Le problème vient du nerf lui-même ou du cerveau. Ce type de douleur est également plus difficile à traiter que la douleur nociceptive. Par exemple, cela peut être une sensation de brûlure qui provient du zona (une infection qui affecte les nerfs de la douleur) ou la douleur du membre fantôme (dans laquelle un membre amputé continue à faire mal).

Certaines personnes souffrant de douleur chronique peuvent éprouver à la fois de la douleur nociceptive et de la douleur neuropathique. On l’appelle alors la « douleur mixte ».

Votre douleur peut être transformée
Votre douleur peut être transformée en empêchant les signaux de la douleur d’atteindre votre cerveau. Ces signaux de la douleur peuvent être réduits ou bloqués n’importe où sur le chemin de la douleur. Il peut ne pas être possible d’éliminer toute la douleur due à votre problème de douleur chronique. Néanmoins, il y a des choses que vous pouvez faire pour diminuer votre douleur.

Votre douleur peut être transformée en utilisant des :

stratégies pharmacologiques ou des médicaments contre la douleur
moyens physiques comme la chaleur, le froid, le massage et l’exercice
stratégies psychologiques comme la relaxation, la distraction (s’engager dans des activités agréables) et changer votre manière de penser 

     

http://www.harunyahya.fr/fr/Articles/30269/les-manifestations-du-nom-dallah

http://www.douleurchronique.org/content_new.asp?node=162

 

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