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L'Islam et la science

« La science est plus méritoire que la prière », faisait remarquer le Prophète ; « un seul homme de science – ajoutait-il – a plus d’emprise sur le démon, qu’un millier de dévots ». «  Les homme de science sont les héritiers des Prophètes dont le seul patrimoine légué au monde est précisément la science ».

     L’islam selon sa charia incite donc à l’étude et à la recherche dans tous les domaines afin d’accumuler toutes les sciences fondamentales, toutes les techniques et les beaux-arts censées faciliter la vie et la rendre toujours plus commode et toujours plus belles sans toutefois rien corrompre. Méditons à ce propos ces deux versets dont voici le sens : 

-        « Nous avons pourvu la terre d’une beauté, afin de les éprouver (soit les hommes) qui d’entre eux sont les meilleurs en bonnes œuvres » (verset 7 chap.18)  

-        « Dis: "Qui a proscrit l’ornement d'Allah, qu’Il a produit pour Ses sujets, ainsi que le licite en nourritures ?" Dis: "Elles sont destinées à ceux qui ont la foi, dans la vie ici-bas, et exclusivement à eux au Jour de la Résurrection. " Ainsi exposons-Nous clairement les versets pour les gens qui savent. » (Verset 32 chap.7)  

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La science confirme:le croyant dégage une lumière

Par définition l'homme, comme tout organisme vivant, produit de l'énergie.  Le corps dégage de la chaleur en continu, il dissipe environ 100 watts,

Mais, il y a une certaine différence de luminosité et de vibrations et de puissance d’un individu à un autre.

Vous le savez, certains restent cinq minutes à peine près de vous, et ensuite vous cherchez en vain votre inspiration, votre joie et votre foi en Dieu. Tout a disparu… D’autres restent cinq minutes avec vous et vous êtes ressuscité, vos vieilles cellules ont disparu et de nouveau vous avez la foi, de nouveau vous avez un élan.

Parmi tous les hommes, le Prophète (salallahu ’alaihi wa salam) avait le plus beau et le plus lumineux des visages. Tous les compagnons qui l’ont décrit s'accordent à dire que son visage était lumineux et rayonnant, resplendissant de lumière et de pur éclat. Certains comparent la brillance de son visage à la lumière émise par le soleil, d'autres la comparent à la lune. Et d'autres encore faisaient le rapprochement entre l’éclat de son visage aux rayons de la lune. Tous confirment donc l'éclat de son visage et sa lumière extrêmement vive.

Tirmidhi rapporta que Abu Hurayra dit : « Je n'ai jamais vu de personnes aussi magnifique que le Messager de Dieu; c'était comme si le soleil brillait depuis son visage. »

Comment devenir "rayonnant" ?

La prière est la relation spirituelle qui lie le musulman à son Créateur et qui entretient le lien initial : la foi. Ainsi, Allah l’Exalté enjoint le croyant d'accomplir la prière pour se souvenir de Lui et L'invoquer : « [...] Accomplis la prière pour M'avoir en ta pensée. » (Sourate 20-14).

Les differents types de prières

En dehors de la prière rituelle on peut citer:
La prière de demande:
C'est celle que l'on fait en demandant quelque chose. La plupart des fois, cependant ce n'est pas la bonne demande qui est faite, en effet, dans le cas d'intérêts particuliers on doit demander, non pas l'arrêt de la souffrance, des problème ou de la douleur, mais surtout les moyens et les forces pour les surmonter et avec eux l'opportunité afin d'apprendre quelque chose.
Souvent le remède est la souffrance, et c'est surtout parce qu'il est amère qu'il va nous permettre de progresser.
Lorsque l'on demande pour quelqu'un d'autre, il en est de même. On doit demander le renouvellement des forces pour affronter les difficultés, ainsi que la paix et la tranquillité pour traiter la douleur.
La prière de reconnaissance:
C'est celle qui est faite dans le but de remercier les innombrables bienfaits que nous avons reçus et que souvent nous ne savons pas reconnaître.
La vie, la santé, la famille, les amis, le travail, enfin tout ce qui nous entoure et que nous oublions d'observer et de leur donner la valeur qui leur est due parce que nous sommes trop préoccupés par les problèmes matériels.
La prière de louange:
C'est la reconnaissance et l'exaltation de Dieu dans tout ce qu'il a créé. C'est notre acceptation et notre joie devant tout ce qui nous entoure et qui est si bien fait, si juste et si équilibré.
La concentration dans la prière

Puisque la prière est une manifestation de l'âme qui recherche la présence divine ou ses émissaires, elle doit être démunie de tout formalisme.

Par la force de la pensée, après une période de concentration, nous cherchons à traduire notre volonté avec le meilleur de nos sentiments par une prière, qui ne doit pas être formulée selon un schéma préfabriqué.

Elle doit traduire ce que nous sommes en train de sentir, de penser, de vouloir.

Il faut se souvenir que la prière est "une conversation avec Dieu" ou ses représentants, qui nous serviront d'intermédiaire, parce qu'il est très difficile d'avoir une image mentale de Dieu (sauf si nous fixons notre pensée dans ses attributs: Bonté, Justice, Harmonie, Amour, etc.).

Cette "conversation" doit provenir spontanément de notre intérieur selon ses besoins et ses finalités, elle ne doit pas être une répétition des mots qui, dans la plupart des cas, sont incompréhensibles pour ceux qui les prononcent.

La prière doit être précise, objective et pleine de sentiments élevés. Ceux-ci doivent être cultivés continuellement, parce qu'ils ne peuvent pas "apparaître" seulement dans les moments de prière.

Pourquoi certains ont le visage radieux?

La lumière, tous les croyants ne l'ont pas forcément. Elle est attribuée par la grâce divine à ceux qui ont la piété et la crainte :

{ Ô vous qui croyez ! Si vous avez la piété, II vous accordera la faculté de discerner (entre le bien et le mal), vous effacera vos méfaits et vous pardonnera. Et Allah est le Détenteur de l'énorme grâce. } [ Sourate 8 - Verset 29 ]

Ainsi, certains musulmans ont un visage radieux et c'est grâce à:

_Le fait de prier la nuit: On a demandé Al Hassan Al Bassri : «Pourquoi les gens qui font la prière de la nuit ont les plus beaux visages ? »
Il a répondu : « parce qu’ils ont eu une séance privée avec le Clément alors Il les a couverts de sa lumière »

_Le fait d'avoir un bon comportement avec les gens: sourire même si tu as des chagrins dans ton coeur, pardonner aux gens etcc... Bref developper un caractère doux. Cela permet d'eliminer le stress

_Le fait de s'accrocher à l'obeissance d'Allah et de s'eloigner des péchés; en effet les péchés surtout ceux qui sont fait en cachette finissent toujours par sortir sur le visage. Ainsi dès que tu aperçois une personne qui fume du chanvre indien en cachette ou qui vit dans la fornication, tu le reconnais dans son visage

_Le fait d'être dôté de patience et de ne pas se plaindre aux gens

_Le fait d'avoir une bonne aqidah (connaitre son Seigneur sans aucune erreur de description ou autre); si une personne commet beaucoup de bidah, cela se reflète en généralement sur son visage. C'est pourquoi la science islamique est une lumière.

_Le fait de lire Al Quran fréquement et de vivre selon le Coran

_Le fait de "vivre sounnah" dans l'hygiène de vie c'est à dire utiliser le siwak, essayer de manger moins etc

Ainsi, parmi les signes de la pureté et la guérison du coeur, l'on trouve le fait de désirer la rencontre du Seigneur. Le coeur du croyant l'appelle à se soumettre à Lui jusqu'à ce qu'il revienne avec humilité et s'accroche à Lui en sachant que ni vie, ni réussite, ni bonheur ne peuvent être atteints sans Sa satisfaction. Après cela, le coeur s'apaise en étant confiant, espérant en Lui et Le craignant. Son rappel et Sa remémoration (dhikr) deviennent sa force et sa nourriture. Son amour et le désir de Sa rencontre deviennent sa vie et son plaisir, l'attachement à d'autres que Lui devient sa maladie et le retour vers Lui, son remède. Quand il Le retrouve, il s'apaise par Lui et se repose. L'angoisse de l'éloignement et l'incertitude du sens disparaissent, le besoin est comblé. Car dans le coeur, il y a un besoin et une pauvreté qui ne peuvent être comblés que par Lui , une perplexité qui n'est calmée que par le retour à Lui, une maladie qui n'est guérie que par la sincérité envers Lui et l'adoration qu'on lui porte. À ce moment-là, le coeur embrasse la vie et en goûte la saveur.

 

http://www.saveurs-soufies.com

www.spiritisme.org/

http://forumislam.com/f/archive/index.php/t-50924.html

http://www.sajidine.com/spiritualite/coeur/lumiere.htm

 


Pourquoi les croyants sont rayonnants par fistone

 

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Le coran précurseur des sciences de la nutrition

La majorité des maladies chroniques, de nos jours, découlent d’un mauvais régime alimentaire. Les maladies du cœur, l’hypertension, le diabète, l’obésité et la dépression sont tous reliés à un mauvais régime alimentaire. La sounnah du Prophète nous encourage à la modération comme moyen de maintenir une bonne santé et le Coran nous invite à trouver un équilibre et à éviter les extrêmes.

L’islam nous encourage à traiter notre corps avec respect et à le nourrir non seulement de foi, mais aussi d’aliments licites et sains. Vivre sa vie en suivant les instructions de notre Créateur inclut le fait de suivre un régime alimentaire équilibré. Choisir des aliments sains et éviter la nourriture malsaine est essentiel au maintien d’une bonne santé. Dieu dit, dans le Coran :

« Ô vous qui croyez! Mangez des bonnes choses dont Nous vous avons pourvus et remerciez Dieu si c’est Lui que vous adorez vraiment. » (Coran 2:172)

« Ô hommes! Mangez de ce qui est licite et sain sur la terre. » (Coran 2:168)

Si une personne devient obsédée par la nourriture et qu’elle s’empiffre d’aliments malsains, cela aura nécessairement des répercussions négatives sur sa santé, ce qui la distraira du but ultime de sa création, qui est d’adorer Dieu. À l’inverse, si une personne se concentre exclusivement sur sa vie spirituelle, tout en négligeant sa santé et sa nutrition, elle risque de tomber malade et d’être incapable, elle aussi, d’adorer Dieu comme il se doit. C’est pourquoi le Coran et la sounnah du prophète Mohammed fournissent divers conseils aux hommes pour les aider à maintenir un équilibre entre ces deux extrêmes.

Un régime sain comprend une grande variété de nourritures fournies par Dieu pour Sa création. Cette variété est à même de satisfaire les besoins du corps humain en glucides, en minéraux, en vitamines, en protéines, en matières grasses et en acides aminés. Certains versets du Coran font mention des aliments que Dieu a créés, pour nous. Il ne s’agit évidemment pas d’une liste exhaustive des aliments dont nous avons besoin, mais cela nous donne une idée générale des types d’aliments nécessaires au maintien d’un corps sain.

« Et Il a créé, pour vous, les bestiaux dont vous faites des vêtements chauds, dont vous retirez divers profits et dont vous mangez, aussi. » (Coran l6:5)

« Et c’est Lui qui a soumis la mer afin que vous puissiez en manger une chair fraîche… » (Coran 16:l4)

« C’est Lui qui, du ciel, fait descendre une eau que vous buvez et grâce à laquelle pousse une végétation servant de pâturage à votre bétail. [De cette eau], Il vous fait pousser des herbages, des oliviers, des palmiers, des vignes et toutes sortes d’arbres fruitiers. Voilà bien là un signe pour les gens qui réfléchissent. » (Coran 16:11)

« Et il y a certes un enseignement, pour vous, dans les bestiaux : Nous faisons sortir de leur ventre – d’entre la bouillie gastrique et le sang – un lait pur, délicieux pour ceux qui le boivent. » (Coran l6:66)

« Et ton Seigneur a révélé (ceci) aux abeilles : « Aménagez vos ruches dans les montagnes, dans les arbres et dans les habitations construites (par les hommes). Puis mangez de toutes espèces de fruits et suivez les sentiers de votre Seigneur, rendus faciles (à suivre) pour vous. » De leur ventre sort un liquide aux couleurs variées, dans lequel il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là un signe pour les gens qui réfléchissent. » (Coran 16:69)

« C’est Lui qui crée les jardins, treillagés ou non, les palmiers et les récoltes de diverses saveurs, de même que l’olive et la grenade, d’espèces semblables et différentes. Mangez de leurs fruits, quand ils en produisent… » (Coran 6:141)

Les principes de la diététique dans le Coran
Dans le Coran et la Sunna, la qualité et la propreté des aliments sont mises en exergue, les excès alimentaires
sont déconseillés et la diète est recommandée. La consommation de certains produits alimentaires est conseillée
et d'autres sont prohibés.

 Les excès alimentaires
L'enseignement coranique à cet égard est très clair : << Ô fils d'Adam !.. Mangez et buvez, mais sans excès, car Dieu n'aime point ceux qui commettent des excès D
(sourate S. VU, verset v. 31)

De même, le Prophète disait :<< Un plat pour deux suffit à trois et un plat pour trois suffit à quatre ?>
Il disait aussi : << Le croyant mange pouru n seul estomac, l'infidèle mangepour sept estomacs >>
A cet égard, il disait enfin :<< L'estomac est le siège de tous les maux et la diète est le meilleur des médicaments >>

 La qualité des aliments
Le Coran recommande à plusieurs resprises de consommer les aliments propres et bons :<< Ô humains ! Nourrissez-vous de tout ce qui est licite et propre sur la terre >>.
<< 6 vous qui avez cru! Mangez des choses bonnes et propres de ce qune ous vous avons octroyé...>>( S. II, vs. 168 et 172).
Le Prophète Mohammad disait : << Si un chien mange ou boit dans un plat, le plat doit être lavé et nettoyé sept fois avant l'usage.

 La nature des aliments

27. et y faisons pousser grains, 28. vignobles et légumes, 29. oliviers et palmiers, 30. jardins touffus, 31. fruits et herbages, 32. pour votre jouissance vous et vos bestiaux.

L’alimentation de l’homme était composée essentiellement de végétaux, et c’est la raison pour laquelle les versets parlent de verser de l’eau du ciel d’une manière abondante, de faire fendre la terre par fissures comme ils indiquent les plantes et fruits qui représentent ceux dont l’homme a besoin en matière de végétaux. Cette alimentation végétale sous-entend en même temps l’alimentation à base animale, puisque les viandes que l’homme consomme proviennent des animaux qui se nourrissent de plantes et de fruits.

Les aliments sont la source d’énergie nécessaire pour les différentes fonctions du corps humain, pour maintenir sa température et pour générer les cellules et tissus nécessaires pendant les différentes étapes de son développement et pour régénérer ce qui se perd.
Ils sont nombreux les produits alimentaires recommandés par le Coran.Nous trouvons tout d'abord:

Les aliments d’origine végétale :
En ce qui concernele s produits alimentaires d‘origine végétale, le nombre de versets coraniques et aussi le nombre de
végétaux cites dans le Coran ne nous permettent pas de les aborder tous ici. Toutefois, on peut résumer l ’essentiel en disant
que l’on y accorde une place particulière à leur valeur nutritive des produits d’origine végétale telle que e la datte, le raisin, la grenade, l’olive, la figue, la pomme, les lentilles, les légumes, l’oignon, la courge, le concombre. etc.
Quant aux légumes :
i(I nvoque pour nous ton Seigneur qpu'il nous sorte de ce que fait pousser la terre quelque chosed e ses légumes, de ses
concombres, de son ail, de ses lentilles et de son oignon ( S . II, v. 61).
Bref, tout aliment d’origine végétale est considéré comme une jouissance : Nous avons fait pousser des graines >> ; << de la vigne et des
plantes fourragères >> :< < des oliviers et des palmier>s) ; << des vergers à la végétation abondante >> ; << des fruits et des pilturages
>> ; << Pour que vous en jouissiez, vous et vos troupeaux >> ( S . 80, vs. 27 à 30).

« C’est Allah qui fait fendre la graine et le noyau : du mort il fait sortir le vivant et du vivant il fait sortir le mort. Tel est Allah. Comment donc vous laissez-vous détourner ? (95)

Le terme ‘grains’ désigne toutes les espèces de céréales telles que le blé, l’orge, le maïs et le riz. Elles font partie des plantes céréalières monocotylédones qui font partie de la famille des graminées, l’une des familles les plus importantes d’un point de vue économique pour l’homme et ses bêtes car elle comporte plusieurs herbes de pâturage et elle est considérée comme l’espèce la plus cultivée sur terre.

Le blé

Grâce à son grand stock chromosomique, le blé est extrêmement malléable sur le plan génétique, ce qui en fait une céréale polyvalente : on l'utilise pour la confection de produits de boulangerie, de pain, de semoule, de pâtes et d'amidons.
L'orge

L'orgeest appréciée comme céréale fourragère. La lécithine, abondante dans l'orge, fortifie le système nerveux et la mémoire.

La lentille

Elle présente une haute teneur en fibres, constitue une excellente source de glucides complexes, est riche en protéines, en vitamine B et en minéraux, et contient peu de sodium et de gras. La lentille sert souvent d'allongeur ou de substitut pour la viande en raison de sa forte teneur en protéines et de sa qualité.

Le maïs :
C' une petit plante dont l'épi mesurait 2,5 centimètres, et dont le grain avait la dimension d'un grain de riz. Sa teneur élevée en glucides et en corps gras le rend facilement périssable après la mouture.

Les ‘fruits et herbages :

Dans la sourate six, verset 99, il est dit ceci : «Nous faisons croître des jardins plantés de vignes, des oliviers et des grenadiers semblables ou différents les uns des autres. Considérez leurs fruits lorsqu’ils fructifient et qu’ils mûrissent. Voilà des signes pour un peuple qui croit».

les fruits sont tous les produits frais au goût sucré dont l’homme jouit. En arabe, le verbe ‘TaFakahâ’ est synonyme des verbes prendre plaisir et jouir de la chose.Et les fruits ou ‘fakihâ’ désignent tous les fruits sauf les raisins et les grenadines. Les ‘herbages’ regroupent tout ce qui est pâturin et herbes et tout ce que le bétail et les bêtes de somme consomment frais ou séché, tels que le foin et le fourrage. Le terme est plus général que ‘Quadb’ ou ‘légumes’. Ainsi, les versets se terminent par ces paroles divines –ce qui peut être traduit comme : ‘pour votre jouissance vous et vos bestiaux’ (TSC, ‘Abassa’ ‘Il S’est Renfrogné’ : 32).

Plusieurs études prospectives et épidémiologiques ont révélé qu’une consommation élevée de fruits et de légumes diminuait le risque de maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques. Quelques mécanismes d’action ont été proposés pour expliquer cet effet protecteur; la présence d’antioxydants dans les fruits et les légumes pourrait jouer un rôle.

Les aliments d’origine animale
Outre les viandes de bétail (camelins, bovins, caprins) et de volaille qui sont licites, la chair de poisson est plus particulièrement appréciée et recommandke :<< On vous a rendu licite de pêcher en mer et de manger [ce qu’elle vous fournit]. C’est là une jouissance à vous et aux itinérants >) ( S . V, v. 96).
On lit dans le Hadith’s :
<< La premièe nourriture que mangeront les élus au Paradis, ce sera l’excroissance du foie de poisson ."
A côté des viandes, qui sont considérées comme un émerveillement, le Coran porte un intérêt particulier au miel en lui donnant àla fois une valeura limentaire et médicale, d’où son emploi dans de nombreuse recettes culinaires et thérapeutiques dans les pays de conviction musulmane.<< Ton Seigneur a inspiré aux abeill:e fsa ites-vous des maisons à partir des montagnes, des arbres et de ce qu’ils font comme treillage. Puis, mangez de toutes les fleurs et suivez en toute docilit6 les voies de votre Seigneur >><<. Il sort de leur ventre une boisson aux couleurs différenteso ù se trouve une sourcede guérison pour les humains >> (S. XVI, VS. 68 et 69).
Le lait est également tres apprécié :
<< Vous avez dans le bétail un sujet de méditation. Nous vous abreuvons dec e qui est dansle ur ventre, vous y avdeez s profits
nombreux et vous en mangez >> ( S . XXIII, v. 21).Le Prophète disait à cet égard:" Quelle excellente chose que le produit d’une chamelle laitire aux pis gonflés d‘luanit pur et d‘une brebisl aitiere qui remplit un vase de lait pour le matin et pour le soir >>.
Il disait aussi que :
"La telbina (mélange de son, de lait et de miel) soulage l’esprit des malades et dissipe partiellement la tristesse >>.

Conclusion

le Coran et la sounnah du prophète Mohammed fournissent divers conseils aux hommes pour les aider à maintenir un équilibre entre ces deux extrêmes.
Un régime sain comprend une grande variété de nourritures fournies par Dieu pour Sa création. Cette variété est à même de satisfaire les besoins du corps humain en glucides, en minéraux, en vitamines, en protéines, en matières grasses et en acides aminés. Certains versets du Coran font mention des aliments que Dieu a créés, pour nous. Il ne s’agit évidemment pas d’une liste exhaustive des aliments dont nous avons besoin, mais cela nous donne une idée générale des types d’aliments nécessaires au maintien d’un corps sain.

Ces vérités scientifiques ne sont devenues connues qu’au vingtième siècle, et leur existence dans le Saint Coran depuis plus de quatorze siècles prouve à quiconque, qui a du discernement, que le Coran est bien la parole d’Allah le Créateur, et confirme la véracité de la prophétie et du message du dernier des messagers.

les croyants ont besoin d’un esprit sain dans un corps sain pour adorer Dieu comme il se doit. Le cœur et l’esprit sont nourris par l’adoration de Dieu et le corps est nourri par les bonnes nourritures licites dont Dieu nous a pourvus. Chacun doit donc porter une attention particulière à son régime alimentaire.

Sources:

 

http://www.islamreligion.com/fr/articles/1892/

http://horizon.documentation.ird.fr/exl-doc/pleins_textes/pleins_textes_6/colloques2/010005519.pdf

http://islam-notre-vie.over-blog.com/article-21169716.html

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La science aussi a besoin de Dieu

Science et religion
divergences et complémentarités

La science et la Religion, tout comme l'art d'ailleurs, ont pour théâtre le cerveau de l'homme, c'est dans ce creuset que s'élaborent ces grands édifices conceptuels. Dans ces conditions, il n'est pas étonnant qu'au-delà de leurs querelles, ces frère "ennemis" gardent une parenté profonde, répondent aux mêmes besoins, poursuivent les mêmes fins, observent les mêmes lois et finalement se complètent l'un l'autre. C'est cette unité que je vais m'efforcer de mettre en lumière.

L'homme est un animal religieux. Biologiquement parlant, l'homme est un animal parmi les autres animaux, c'est un mammifère, un primate supérieur. Sa parenté avec les autres animaux est étroite et profonde.

C'est donc un animal , mais un bien étrange animal en vérité, un animal raté en quelque sorte, infiniment fragile à sa naissance, dépendant, incapable de survivre sans les soins de ses parents, qui doivent le nourrir, le protéger de ses prédateurs, des intempéries, lui apprendre son métier d'homme, car chez lui, contrairement aux autres animaux presque rien n'est inné, alors que le comportement des autres animaux est solidement dicté par l'instinct, l'homme, lui, est presque dépourvu de ce guide. L'instinct ne se trompe guère ; privé de ces rails, l'homme erre et divague.

Mais la station débout a libéré ses mains et sa nuque et donc son cerveau. Ses mains sont préhensiles parce que le pouce est opposé à la paume.

Solitaire, il périrait, il est donc condamné à vivre en société (famille, clans, tribus). Solitaire, il n'aurait aucune chance d'émerger jamais de l'animalité, c'est la société humaine qui confère à l'homme son humanité. Capable d'un langage articulé, il hérite de l'expérience des générations antérieures par l'éducation. Cette expérience, il la capitalise en culture, ce qui permet à l'homme d'échapper à la prison étroite des fatalités naturelles.

Par le développement de sa capacité crânienne et plus particulièrement de son cortex, l'homme accède à une conscience opposable elle aussi, c'est-à-dire réflexive. Par là, il sort définitivement du règne animal et du même coup de la nature. L'homme est le seul être vivant à savoir qu'il sait et à se regarder agir. "Je" regarde "moi".

Mais la conscience réflexive ouvre en l'homme une déchirure. Elle fait de lui un être double, un être duel, en divorce avec lui-même, en exil dans la nature. Elle fait de lui un être d'ailleurs, un être des lointains, déchiré entre le "je" et le "moi", entre "Je" intemporel et un "moi" voué au vieillissement et à la mort, entre un petit "moi" individuel et un "moi-je" universel, entre avenir et passé, entre ici et ailleurs, entre l'attraction de la matière et l'appel de la transcendance et de l'Esprit, entre ce qui est et ce qui devrait être.

L'animal est ; l'homme en vérité n'est pas, il devient. Son essence n'est que potentielle, latente, elle ne le précède pas, elle le suit. Il est un projet, une espérance. Il est un manque, une faim, une soif d'un plus et d'un mieux. L'homme est travaillé d'une exigence infinie d'un surcroît d'Etre, d'une exigence d'absolu et de perfection. Cette exigence, il l'entend dans l'appel des valeurs qu'il ne créée pas arbitrairement, mais qui s'imposent à lui. Se soumettre à elles, c'est accéder à la libération et à la joie. Ces valeurs, il les appelles la Beauté, le Bien, la Justice, la Vérité, la Liberté, l'Amour. Pourtant il pressent qu'elles ne font qu'un, qu'elles sont autant d'aspects d'une Réalité suprême en qui se condense en l'Etre. Cette valeur suprême, cet Existant inconditionné, la plupart des hommes l'ont spontanément nommé Dieu. D'autres s'y refusent, ce ne sont pas toujours les moins religieux, car les hommes ont caché beaucoup d'idoles derrière le nom de Dieu. Dieu n'est pas un nom, il est Esprit, Souffle et Vie. Il est mille noms, il est mystère.

Issu de la nature, l'homme ne se satisfait pas de la nature. Ce réel insuffisant, il veut le corriger; le remodeler. Il veut la nature, mais sans sa cruauté, sans la loi du plus fort. Issu de la jungle et de la savane, il veut faire de cette terre un jardin, le jardin d'Eden. Tout se passe comme si l'homme avait reçu mission de parachever la création. Comme s'il était l'instrument que Dieu s'est choisi pour apporter la dernière touche à son oeuvre.

Noeud provisoire de forces qui se dénoueront avec la mort, l'homme se sait fragment mortel d'un grand Tout. Il se vit comme incomplétude, comme une insuffisance congénitale qui aspire à la communion avec la Totalité. Dans sa quête, il se trompe souvent. Souvent il distrait sa faim d'un surplus d'ETRE en une chasse pour un surplus d'avoir, espérant par là faire taire son angoisse et échapper à une exigence qui le requiert tout entier. Mais même quand il déserte et trahit, c'est encore Dieu qu'il cherche. Même quand il tourne le dos pour courir après le diable. L'homme n'échappe pas à Dieu – à moins d'abdiquer de son humanité.

Il n'y a qu'une façon de déserter vraiment, c'est de renoncer à l'inquiétude, de s'installer dans le sommeil. Mais ôtez la quête de l'absolu, et vous n'avez plus d'homme. Il ne reste plus qu'un animal, mais un animal manqué.

L'homme ne se définit que par une référence à la Transcendance. Un animal en manque de Dieu, tel est l'homme.

En attendant de réussir à le rejoindre, face à la réalité du mal, de l'injustice, de la laideur, de la souffrance et de la mort, l'homme a besoin d'un SENS, besoin d'une direction, d'une signification. Les grandes Révélations sont là pour lui en proposer un. La science est-elle capable de donner un sens à la vie ? Si la souffrance et la mort ont un sens, l'homme est capable de les accepter et d'en faire de la Joie.


* La science du XXe siècle

La science, les idéologies, la civilisation, l'homme en un mot sont en crise. C'est-à-dire qu'ils traversent une dangereuse et passionnante période de mutation.

Par ses applications qui révolutionnent nos conditions d'existence, la science apparemment triomphe. Pourtant, pour la première fois, elle se met à douter d'elle-même. Et elle se fait de plus en plus modeste.

Au siècle passé, un certain scientisme a caressé l'illusion que la science pourrait avoir réponse à tout. L'illusion qu'elle pourrait apporter à l'homme non seulement le dernier mot de toutes choses, mais encore le bonheur.

Mais bientôt elle a renoncé à toute prétention normative. Son objet se limitant à l'étude du Réel, de ce qui est, elle n'a rien à nous dire sur ce qui doit être. Elle qui cherche la vérité, elle ne se reconnaît même pas le droit de nous recommander la recherche de la vérité. Elle ne peut même pas nous dire si la science est bonne. Elle n'exclut pas la possibilité qu'elle soit mauvaise. Elle n'a donc rien à nous dire sur le Beau, le Bien, le Juste, rien à nous dire sur l'Amour. Rien à nous dire en somme sur ce qui nous importe essentiellement, nous autres hommes. Limitant son ambition à l'étude du réel, elle pensait du moins pouvoir nous parler de la Vérité.

Mais le moment d'euphorie est passé, là encore elle dut se faire plus modeste. Elle pouvait certes dépasser les apparences de notre expérience naïve, mais n'en devait pas moins renoncer à atteindre jamais l'"en-soi" des choses. Le savoir qu'elle atteignait n'était qu'hypothétique et provisoire. Ses applications techniques sont là pour nous prouver qu'elle est bien en prise sur le réel, qu'elle est "opérationnelle". Regardez la brouette, la lampe à incandescence, la radio, la centrale atomique, les satellites, ça marche ! Nos hypothèses sont vérifiées. Sans doute, mais la nature intime du réel fuit à l'infini et notre connaissance le poursuit sur une asymptote, s'en rapprochant sans cesse, bien que de plus en plus convaincue qu'elle ne le rejoindra jamais.

La science postule l'unité du réel. Mais en fait elle se retrouve avec un univers en miettes. Nos savoirs sont des archipels, des îlots de connaissance qui ne se rejoignent que par le postulat qui les soutient. Entre macro et microphysique, il n'y a plus continuité. Réductrice par hypothèse et par méthode, elle ramène les organismes à des organes, les organes à des tissus, ceux-ci à des cellules, ces cellules se révélant être de véritables organismes complexes, il faut les analyser en divers éléments, qui finalement sont constitués d'atomes, lesquels se résolvent à leur tour en noyaux et électrons. Mais voilà que ces électrons se diversifient en protons, neutrons, mésons, positrons, en baryons et en hadrons, lesquels eux-mêmes éclatent en quarks. A peine la science croyait-elle toucher au but et être sur le point de ramener la diversité de l'univers à la combinaison de quelques éléments simples, voilà que ceux-ci, se diversifient à nouveau en même temps que les difficultés pour aller plus avant, croissent à l'infini. Quoiqu'il en soit, ces conquêtes extraordinaires sont d'authentiques victoires. Il n'en reste pas moins que les connaissances acquises aux différentes échelles ne se rejoignent plus. Entre le quark et l'organisme, il y a de telles césures que tout se passe comme si nous avions affaire à des réalités totalement hétérogènes. Nous ne retrouvons plus le même réel, à croire que nous aurions changé d'univers.

Chaque science tend à se constituer en univers fermé, qui n'a plus rien à apporter, sinon des pouvoirs à notre univers humain, des pouvoirs qui laissent l'énigme de notre condition humaine plus béante que jamais elle ne le fut.

La médecine occidentale a réalisé au cours de ces dernières décennies des progrès gigantesques, autant de progrès en un demi siècle que depuis l'aube de l'humanité. Elle ne s'en heurte pas moins à des difficultés croissantes, qui font entre autres apparaître qu'à un certain niveau de complexité, les phénomènes cessent d'être prévisibles. C'est également ce qui arrive au niveau des particules élémentaires. La science se rabat sur des probabilités statistiques. L'un des principes fondamentaux sur lesquels repose la science ne s'en trouve pas moins ébranlé : le principe de causalité, à savoir que tout phénomène a nécessairement une cause et que dans les mêmes conditions une même cause produit nécessairement les mêmes effets.

Plus la biologie progresse et plus elle s'enfonce dans la complexité. Ainsi dans l'étude du cancer, des phénomènes de rejet et d'allergie, le chercheur voit se refermer sur lui une forêt vierge de plus en plus inextricable. L'arbre cachait un bois, qui masquait une forêt, derrière laquelle prolifère une jungle. Sans doute serait-il bien hasardeux de mettre des limites aux capacités de l'esprit humain, il n'en reste pas moins qu'à mesure qu'elle progresse, la science entrevoit de plus en plus nettement qu'il lui faudra remettre en question toutes ses méthodes si elle veut espérer franchir des murailles qui paraissent aujourd'hui théoriquement infranchissables.

Le principe sur lequel repose le déterminisme n'est pas seul à sortir ébranlé des empoignades avec la complexité du réel, les principes de non contradiction, d'identité, d'invariance, d'objectivité et jusqu'au principe de réalité lui-même en sortent malmenés.

Du même coup, la science est contrainte d'avouer ses postulats, axiomes et principes non démontrés, qui sont autant d'actes de foi sans lesquels aucune science n'eût été possible. Elle pose a priori qu'il existe une réalité, que cette réalité est une, qu'elle est pensable parce qu'elle recèle un ordre et que cet ordre est saisissable par l'esprit humain. Et derrière ces actes de foi s'en cachent d'autres qu'elle n'avoue pas, actes de foi en la création en la vie et en l'homme.

La science enfin sait qu'elle n'est plus innocente, elle admet qu'elle est elle-même le produit d'une culture, et que, pour si désintéressée qu'elle se veuille, elle échappe de moins en moins aux impératifs et aux compromissions financières. La recherche moderne exige des moyens considérables, ces moyens dépendent du bon vouloir des pouvoirs publics et des grandes entreprises. Ceux-ci donnent la priorité à des recherches dont ils attendent des retombées technologiques à des fins militaires ou de simple profit mercantile. De tous côtés, la science est aujourd'hui confrontée à des problèmes éthiques, que de son propre aveu elle n'est pas habilitée à résoudre. A ce niveau, l'homme de science n'est plus qu'un homme comme les autres, qui se détermine en fonction d'une conscience morale qui est celle de son temps et de son lieu et ne fait autorité que par son accord avec la conscience collective. Souvent aussi l'ingéniosité technologique utilise les découvertes de la science à des fins imprévues et qui peuvent se révéler éminemment dangereuses; L'homme de science se trouve alors dans la situation de l'apprenti sorcier qui a déchaîné des forces démoniaques.

Enfin, science du réductible, du reproductible, du vérifiable, du quantitatif et du mathématisable, la science est naturellement matérialiste. Elle est totalement désarmée en face du qualitatif et, comme nous l'avons déjà évoqué, tout porte à croire qu'elle va se révéler incapable de traiter les phénomènes complexes, qu'elle tend à dissoudre dans l'analyse. Ce sont ses limites. Un jour viendra sans doute où l'homme inventera d'autres disciplines d'investigation. Les cultures non occidentales auront certainement beaucoup à nous apprendre dans ces voies-là.

Mais à la question qui hante le coeur de l'homme, quel est le sens de ma vie, quel est le sens de cette vie ? la science moderne ne connaît qu'une réponse : la terre, la vie, l'homme n'ont aucun sens, ils sont apparus par hasard et sont appelés à disparaître ; de tes espoirs, de tes efforts, de tes souffrances, rien ne subsistera, Dieu est mort et avec lui l'homme est mort. Ce que Jacques Monod, dans "Le hasard et la nécessité" a formulé en ces termes sans appel : "L'ancienne Alliance est rompue ; l'homme sait enfin qu'il est seul dans l'immensité indifférente de l'Univers d'où il a émergé par hasard."

Après cela, vivez encore si vous le pouvez, mais avouez qu'un suicide collectif serait tellement plus logique !


* Convergences, divergences, complémentarités de la science et de la religion

La science n'a donc rien à nous dire sur les FINS. Par contre, elle confère à l'homme des moyens, des pouvoirs redoutables ou libérateurs, suivant ce que nous en ferons. Science sans conscience n'est plus seulement ruine de l'âme, mais plus radicalement anéantissement de la vie, de l'homme, et du même coup de la science elle-même. La science est contrainte de s'ordonner à une éthique qu'elle ne peut tirer de son propre fonds et qu'il lui faut donc recevoir d'ailleurs. La transcendance est le complémentaire obligé de la science. La science aussi a besoin de Dieu.

D'ailleurs, la science est monothéiste à sa manière. Refaisant le chemin de l'évolution, elle s'efforce de ramener le complexe au simple, le composé à ses éléments. Elle quête l'Un sous le multiple et pour se faire, postule l'Unité de l'Univers et de ses lois. Le retour à l'Unité est sans aucun doute un des besoins fondamentaux de l'esprit humain. C'est cette unité qu'il cherche non seulement dans l'élucidation scientifique, ou dans l'illumination religieuse, mais encore dans la composition de l'Amour et dans la création-contemplation artistique.

Comme la religion, elle part d'actes de fois qu'elle appelle principes ou postulats et derrière lesquels se cache une foi implicite en l'unité de l'univers, en sa cohérence, et en la capacité de l'esprit humain d'atteindre à la vérité. Comme la religion, elle exprime ainsi une révérence implicite à une valeur transcendante : la vérité.

Comme la religion moderne, la Foi baha'ie, elle, envisage l'univers dans une perspective dynamique, évolutionniste. Pour elle, l'homme est l'univers sont en devenir, le temps est irréversible, il inscrit toutes choses dans une histoire, mais pour la science, cette histoire se terminera par la mort au terme de la dégradation de l'énergie.

Par son humilité, par sa soumission au réel, on peut même dire que la science est une leçon de respect religieux à la création. De Galilée ou d'Urbain VIII et de son inquisition, l'un soutenant que la terre tournait autour du soleil, les autres l'obligeant à se rétracter au nom d'une interprétation purement littérale de la Genèse, qui était l'interprète du plus haut respect de la Transcendance ? La religion moderne ne voit plus dans la raison une révolte démoniaque contre la soumission à Dieu, mais elle voit en elle au contraire une parcelle de la lumière divine. Elle se contente d'affirmer que la raison a besoin du secours de la foi. Nous avons vu plus haut que, même si elle répugne à l'avouer, la pensée scientifique en est une illustration.

Le monde de la pensée claire et lucide, le monde de la conscience, le monde des idées et des valeurs, l'expérience intime de notre "Je" face à notre "moi" matériel nous font participer et expérimenter l'intemporel et l'immatériel. Ils nous mettent en relation avec un niveau supérieur d'existence, un niveau auquel l'homme, quand il y accède, se trouve libéré des contingences matérielles.

La science moderne refuse le recours à la notion de finalité, la religion au contraire affirme la présence d'une pensée, d'un projet divin dans la création. Prigonine, Prix Nobel, étudiant les lois de la thermodynamique, a conclu que le principe de Clausius sur la dégradation de l'énergie en chaleur, et donc de la fatale dégradation de l'ordre en désordre, ne s'appliquait plus au niveau du biologique. De là, il a été amené à proposer l'hypothèse que la matière à son niveau le plus élémentaire obéirait à une loi qui l'orienterait vers des degrés de complexité et d'organisation supérieurs. Bien que Prigonine se refuse à voir là une réintroduction du finalisme dans la physique, il faut bien dire que si cette hypothèse se trouvait confirmée, elle faciliterait grandement la compréhension de l'ordre relatif qui règne dans l'univers et de l'évolutionnisme avec l'apparition des molécules lourdes, de la vie, des animaux supérieurs et de l'homme. Et du même coup serait également facilité le dialogue de la science et de la religion. La science n'a pas encore, et de loin, dit son dernier mot. Attendons. Mais en attendant, il nous faut bien vivre. Par le pouvoir qu'elle nous confère sur la nature, la science nous rend certes la survie plus confortable ; elle la rend aussi plus périlleuse.

La science est sur le point de mettre à notre portée la satisfaction de tous nos besoins matériels, mais au même coup nous expérimentons que ce but lumineux vers lequel ont tendu tous les efforts de l'humanité depuis des millénaires ne nous apporte pas la plénitude escomptée. L'abondance, ce n'est pas la joie. Ce pourrait même être l'enfer le plus perfide que l'homme ait jamais été capable de concevoir. Donnez-nous tous les plaisirs et même tous les bonheurs, le désespoir n'en sera pas moins au bout. L'homme se sait promis à plus que tout cela, il se sait promis à la Joie. La quiétude de l'animal repu n'est pas son lot. Que nous le voulions ou non, il nous est impossible de faire taire cette voix qui nous appelle à un surplus d'Etre.

Jusqu'à ce dernier siècle, l'homme combattait d'abord pour survivre, l'avoir prévalait sur l'être. Ce combat-là lui était aisé, il était encore poussé par l'instinct et il pouvait même trouver une exultation vitale dans l'action. Aujourd'hui, nous ne pouvons plus échapper à l'Essentiel. Pour la première fois dans son histoire, l'homme n'est plus sommé de transformer son environnement, mais de se transformer lui-même. Tâche ô combien plus difficile !

Pour la première fois, nous sommes libres et totalement responsables. Libres de choisir la haine et le désespoir ou de choisir l'Amour et l'Espérance. C'est dans le creuset de l'amour que la matière devient Esprit. L'amour seul est créateur d'Etre. C'est à l'homme qu'il revient de donner un sens à la création, dans un acte de foi éperdu en ce Dieu d'Amour.

M. Kriegel
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Soubhana Allah ,le corps humain: un système de recyclage parfait

 

Le système de recyclage du corps humain possède une structure parfaite. Chaque instant, les nombreux déchets nuisibles, les cellules mortes, les corps étrangers qui entrent et se font neutralisés par le système de défense ainsi que beaucoup d’autres substances inutiles circulent dans notre corps. Or, aucun de ces derniers ne nuit au corps. 


Car dans le corps, il se trouve des systèmes capables de jeter ces substances dehors ou bien de valoriser ces dernières dans les opérations effectuées à l’intérieur du corps. Nous pouvons donner comme exemple les globules rouges qui sont renouvelées constamment. La durée de vie de ces globules est d’environ 120-130 jours. Les globules rouges “âgés” meurent dans le foie, la rate et la moelle osseuse. Et de nouveaux globules rouges sont constamment produits à la place ceux qui meurent. Chaque seconde 10 millions de globules rouges meurent et chaque jour 200 milliard de nouvelles cellules sont créés à la place. De cette manière, tous les globules rouges du corps sont complètement renouvelés tous les 4 mois environ.

Grâce au système de recyclage de notre corps, les molécules de fer qui se trouvent à l’intérieur des globules rouges sont entreposés et prêts à être utiliser dans la production de nouveaux globules rouges. Ceci est un exemple de planification industriel excellent. Le corps humain, avec toutes ses qualités, est le propre du miracle.

Nous leur montrerons Nos signes dans l'univers et en eux-mêmes, jusqu'à ce qu'il leur devienne évident que c'est cela (le Coran), la Vérité. Ne suffit-il pas que ton Seigneur soit témoin de toute chose ? (Sourate Fussilat, 53)

Harun Yahya

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Les vertus thérapeutiques du henné

 

Le henné est un arbuste dont la hauteur varie de 1 à 5 mètres. Les feuilles de cet arbuste sont de forme simple et se présentent par paires symétriquement réparties sur les branches. Ces dernières portent en grappe de petites fleurs blanches qui émettent une forte senteur. Les fruits de cet arbuste sont petits et contiennent des graines de forme pyramidale. Le henné est un arbuste de la famille des « lythracées ». L'odeur qu'émettent ces fleurs provient de l'évaporation de l'huile que secrète la plante.

Cette plante est répandue en Inde, en Iran, en Australie et dans les régions humides des côtes de l'Afrique du nord. Le henné est aussi produit en Arabie, au Yémen, en Egypte et en Syrie. La fleur du henné est appelée « Tamrhenné » en Egypte, « Al hanoun » au Yémen et « Al qotb » en Syrie.

Le henné est planté au début du printemps. Ses feuilles sont moissonnées avec les branches qui les portent avant d'être mis à sécher au soleil. Pour séparer les feuilles des branches, ces dernières sont mises en tas et battues à coup de bâtons. Une fois les feuilles débarrassées des branches, la poudre obtenue est filtrée pour enlever les dernières impuretés. Le henné contient un colorant naturel qui lui donne d'ailleurs son nom scientifique : « Lawsonia inermis ».

Le henné est utilisé depuis des milliers d'années comme produit cosmétique, se présentant sous la forme d'une pâte orange qu'on applique comme colorant sur les cheveux ou pour embellir les doigts et les ongles, ainsi que pour les soins de la peau.

Les anciens égyptiens ont utilisé le henné dans les procédés de momification. Les bandelettes des momies découvertes étaient teintées de henné. Son usage comme purificateur de la peau lors du mariage était aussi une tradition pharaonique. Les vertus hygiéniques du henné sont d'ailleurs établies.

Sa poudre est préparée sous forme de pâte qui est ensuite appliquée sur les mains, les ongles et les cheveux. Une solution acide est mélangée à cette pâte pour fixer la teinture. La pâte de henné est aussi utilisée pour ses vertus thérapeutiques contre les champignons et les maladies de la peau, notamment les inflammations provoquées par les parasites au niveau des doigts.

En la matière, il existe d'ailleurs une recette populaire qui consiste en un mélange qui comprend en plus de cette plante de l'eau de rose et d'autres plantes riches en essences parfumées.

L'usage du henné comme produit cosmétique s'est poursuivi pendant la période islamique. Les femmes l'utilisaient pour se teindre les mains et les cheveux, tandis que les hommes en faisaient usage pour se teindre la barbe.

L'usage de cette plante miracle à des fins thérapeutiques s'est élargi à d'autres problèmes. Sa pâte est aussi utilisée pour réduire la fièvre et pour soigner la migraine par application des cataplasmes fait à base de pâte de henné et d'eau de rose.

Le henné ou Lawsonia Inermes, est un arbrisseau de la famille des lythracées. Les vertus de cette plante que nos ancêtres disaient venir du paradis, sont nombreuses et son usage millénaire. Le henné est célèbre pour ses propriétés cosmétiques et médicinales. Il gomme et adoucit la peau en lui donnant un léger hale. Astringent, il resserre les pores et unifie le teint, en plus son action antibactérienne en fait un excellent déodorant. Il est bien entendu, un produit naturel de teinture idéale. Ce qu'on connait moins du henné ce sont ses vertus médicinales. C'est pourtant un des éléments essentiels de la médecine ancienne. Il constitue un cicatrisant hors pair, en fortifiant la peau, en jugulant les plaies grâce à ses propriétés coagulantes. Il protège la peau contre les rayons néfastes du soleil. Une recherche française a également permis de relever que le henné était très efficace contre les maladies de la peau d'origine mycosique, l'ecchymose, la lèpre, la jaunisse et les champignons. Ce sont les traitements cutanés qui sont les plus connus et les plus répandus. Des analyses récentes ont montré que le henné possède des vertus antibactériennes, diurétiques et anti-diarrhéiques. Les brûlures bénignes sont soignées à l'aide d'emplâtres de henné. Celui-ci permet à la nouvelle peau qui se forme de s'épaissir et de s'endurcir. La varicelle est soignée par l'application du henné mélangé avec du lait sur tous les boutons dès leur apparition. Ils sèchent sans noircir, ni laisser de cicatrices, les boutons de chaleur subissent le même traitement: Soit on douche le corps avec de l'eau mélangée au henné soit on saupoudre les boutons de henné et on attend que la sueur sèche.

Purger l'organisme

Ce genre de traitement est surtout utilisé pour les nourrissons et les personnes âgées. En fait le Henné à une action régulatrice et purificatrice du fonctionnement intestinal.

Le nourrisson est parfois affecté par des verres intestinaux. Pour le soigner on lui fait prendre une petite quantité de lait dans lequel on aura fait tremper des feuilles de Henné. Ce liquide purge l'enfant, si l'affection n'est pas traitée de cette façon cela peut conduire à une maladie du sang.

Les coliques et les diarrhées sont traitées par des lavements avec de l'eau dans laquelle ont macéré des feuilles de Henné, puis chauffée et filtrée.

Histoire:

Il est difficile de dire avec certitude, d'où vient le henné. On dit qu'il aurait voyagé au gré des conquêtes musulmanes, mais on le retrouve dans la plupart des civilisations, bien avant l'apparition de l'islam. Le henné serait originaire d'une région située entre le sud de l'Iran et le Béloutchistan, c'est là qu'il aurait ensuite gagné, dès l'antiquité, le Nord de l’inde, la Syrie, l'Égypte , la Palestine et les pays du Maghreb. La plante du henné se caractérise par des feuilles d'un vert plus intense que celles de l'olivier. La graine est noire comme les grains du sureau. La fleur est blanche est pareille à la mousse. Le henné est aussi un talisman. On dit qu'il est signe de bonne chance, une tache de henné dans le creux de la main droite est particulièrement efficace contre le mauvais œil.

Les fleurs de henné déposées entre les plis des habits en laine les embaument et les préservent contre les mites.

Il préserve miraculeusement de la lèpre si on en boit durant quarante jours l'essence de son eau en raison de vingt portions par jour accompagnées de dix portions de sucre.

L'essence de ce breuvage est obtenue en laissant macérer les feuilles de henné dans de l'eau limpide submergeante puis en les essorant et les mettant à part.

Il s'en trouva rétabli et ses ongles reprirent leur belle forme.

Le henné appliqué en pâte sur les ongles, les embellit.

Mélangé au beurre et déposé en compresses sur les restes d'une tumeur chaude qui suinte une eau jaune, il lui est utile, de même qu'il remédie à la gale ulcérée et chronique de façon efficace.

Le henné laisse pousser les cheveux en les fortifiant et les embellissant et tonifie la tête.

Il traite les ampoules et les pustules accidentelles qui se manifestent dans les jambes, les pieds et le reste du corps.

La cure de la migraine se fait par le traitement de sa cause provocatrice. Son lénifiant le plus utilisé pour l'apaiser temporairement est l'aspirine.

Mise en garde : Méfiez vous du henné coloré, car il n'existe pas de henné de couleur, le henné coloré n'est pas naturel, car le henné neutre, la poudre est de couleur verte, donne un pigment variant de l'orange à l'auburn  


Source: La medecine Prophétique par Ibn Qayyim Al Jawziyya

page85 Chapitre XIV

http://www.mielepil.com/pages/le-bronzage-therapeutique-au-henne.html

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